#Fondation Salomon
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2013 Alex, château d'Arenthon, Fondation pour l'art contemporain Salomon, 2003 Costume de moine, JanFabre
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Vie ? ou théâtre ? Charlotte Salomon. 1940-1942 Collection Musée juif, Amsterdam © Fondation Charlotte Salomon
Illustration de NOTE DE LECTURE / été 2024
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Misère de la psychanalyse
Si les psychanalystes se sont à ce point dévoyés de la subversive découverte freudienne de l‘inconscient, de son noyau révolutionnaire réel, cela tient beaucoup à la prolifération médiatisée de «psychanalystes» (se faisant passer pour tels) qui sont en vérité les premiers promoteurs du Discours Universitaire, qui est du point de vue de la structure, ce qu’il y a de plus antagoniste au Discours de l’Analyste.
Les deux plus grands fournisseurs de ces soi-disant «psychanalytistes» sont logiquement les deux plus grands groupes psychanalytiques (par le nombre), institutions se réclamant de l’enseignement de Lacan: l’École de la Cause Freudienne fondée par Jacques-Alain Miller en 1981 (coiffée désormais par une usine à gaz dénommée Champ Freudien...) et l’École de Psychanalyse des Forums du Champ Lacanien (fondée en 1998, par un collectif d’anciens membres de L’ECF, ayant fait scission, et dirigée d’une main de maîtresse (d’école) par le double féminin de Jacques-Alain Miller, Colette Soler, un autre éminent «professeur d’université», elle aussi formatée à l���ENS...
Lorsqu’en janvier 1980, Lacan dissout son École Freudienne de Paris, il motive son acte de ce qu’il appelle l’«échec de la passe», passe de l’analysant à l’analyste, qui était la raison même de la fondation de son École.
Lacan, parce qu’il se demandait «que peut-il se passer dans la tête de quelqu’un ayant fait une analyse pour vouloir devenir analyste ?» était parti de l’hypothèse qu’une «passe» de l’analysant à l’analyste était un fait de structure, témoin que le sujet n’était plus du tout le même à sa sortie qu’à son entrée, ayant constaté dans sa pratique «qu’il y vient comme une boule dans un jeu de tric-trac».
Lacan invente donc une procédure pour tirer ça au clair, parce qu’il souhaite que les psychanalystes se reconnaissent entre eux comme tels, à partir de l’analyse et non pas sur la base de critères préétablis de type universitaire et autres, confrérie, initiation, cooptation, copinage...
Il construit donc la procédure de la passe sur le modèle du mot d’esprit.
Un «passant» raconte son «hystoriole analytique», à un quidam comme lui qui en sera le «passeur», pour un jury de la même veine qui devra apprécier si ça tient debout.
Exemple: le «passant» raconte qu’il a rencontré Salomon Rothschild aux Bains de Lucques et que ce dernier l’a traité d’une façon tout à fait «familonnaire», le passeur prend note et va transmettre ça, texto, au jury, et tout le monde est plié de rire, car ils sont de la même chapelle (la chapelle évoquant bien entendu l’église, comme c’est souvent le cas dans les groupes analytiques...)
Où en est-on aujourd’hui avec cette «passe», 40 ans après la dissolution par Lacan de l’École Freudienne de Paris?
La passe s’est bien sûr transformée en impasse pour la transmission de la psychanalyse...
Jacques-Alain Miller (JAM pour les médias, depuis qu’il est devenu inséparable de l’indécrottable BHL) fait donc. après la mort de Lacan, main basse sur ce qui reste de la machinerie lacanienne et impose son «idée» que la passe (où il n’avait strictement jamais mis les pieds du temps de Lacan) c’était ...la «traversée du fantasme»!, un hapax lacanien que Lacan lui-même n’a jamais exploité (et pour cause... la traversée du fantasme, cela veut dire exactement le contraire de ce qu’on croit en comprendre a priori, c'est à dire qu'on pourrait vivre en dehors de toute illusion — ce qui est le fantasme ultime — traverser le fantasme signifie précisément renoncer au fantasme d’y échapper, le sujet a traversé le fantasme lorsqu'il accepte en soi et pour soi la nécessité constitutive de l'illusion. Son illusion. Chacun ne voit le monde qu'à travers la fenêtre de son fantasme fondamental...)
Bref, depuis plus de vingt ans, Colette Soler a aligné elle aussi son École des Forums du Champ Lacanien sur le diktat millerien, qui s’il n’a strictement aucun rapport avec la passe telle que Lacan l’avait imaginée et tenté de la mettre en œuvre avant d’en constater l’échec, s’avère très utile et particulièrement efficace pour asseoir son pouvoir personnel, et développer une expansion sans limite en montant des comptoirs un peu partout dans le monde, au nom de la «politique de la psychanalyse», comptoirs que viennent visiter de temps en temps des psychanalystes de «renommée mondiale» (!) pour renforcer le gouverneur, mis en place, adoubé par les «locaux», et à l’occasion lui remonter un peu les «bretelles» de la théorie...
Bien entendu, Miller est celui qui a poussé le bouchon le plus loin en se substituant au «cartel de la passe» pour nommer Analyste de l’École (AE) un de ses propres analysants, que le cartel n’avait pas nommé...
Ah, elle aura été tripotée cette pauvre «passe» qui aurait dû signaler la sortie du transfert, et qui en réalité fait la preuve que l’impétrant est au contraire toujours «sous-transfert», passant un examen comme pour entrer à l’École, selon une pure procédure de type universitaire, une formalité plus ou moins colorée de cooptation, à l’opposé radical de l’éthique psychanalytique...
Comment ces dérives (de la jouissance) pervertissent-elles la transmission de la psychanalyse?
Au grand dam du Discours de l’Analyste, que les psychanalystes authentiques s’efforcent de vouloir servir, c’est bien le Discours Universitaire (dont le Signifiant maître sous la barre permet d’éradiquer discrètement le grain de sable de l’énonciation) qui régit massivement l’économie relationnelle de ces groupes, les pratiques perverses de domination et de soumission sont devenues l’ordinaire des institutions psychanalytiques qui n’ont de psychanalyse que le nom, la logique qui les domine étant précisément celle du discours dominant, psychologisant, sociologisant, moralisant ...et démoralisant.
Les deux multinationales Millerienne et Solerienne poursuivent leur développement conformément aux vœux de l’étude de marché, la première commandée par le Capitaine «Win-Win» (surnommé ouin-ouin par les moqueurs) ; l’autre pilotée par «La Solaire», comme elle se surnomme elie-même, qui après avoir rejeté la prétention de Miller à incarner le «Plus-Un» du groupe en a fondé un autre, et qui à force de vouloir y briller jour et nuit en est devenue «La Peluce-Une», ou «La-femme-qui-existe»...
L’obstination des deux professeurs d’université à faire coller l’enseignement lacanien avec leurs rêves de suprématie (leur fantasme d’immortalité symbolique) a donc fini par naufrager la transmission de l’enseignement lacanien sur le roc de «la passe» qui affleure dans des eaux peu profondes, raison pour laquelle ils ne coulent pas, mais demeurent couchés sur le flanc, les forçant à réinventer ce qui n’était pas du tout à retoquer chez Lacan...
Chacun à sa façon a donc été amené à faire l’hypothèse de l’existence, au-delà de l’inconscient freudien, d’un «inconscient réel»...
Ainsi, pour Colette Soler: il y a "l’inconscient langage" et "l’inconscient lalangue" soit l’inconscient "réel"...
(« Lacan y donne, selon moi, un modèle réduit de ce que l’on appelle la chute du sujet supposé savoir, soit une passe à l’inconscient réel que j’écrirai désormais ICSR pour élider les signifiés du terme «inconscient». C. Soler in Lacan, l’inconscient réinventé p.46 )
Et pour Jacques-Alain Miller, il y a «l’inconscient transférentiel et l’inconscient réel, non tranférentiel»...
(« En revanche, l’inconscient réel, c’est l’inconscient qui ne se laisse pas interpréter, et c’est pourquoi, dans ce texte ultime – ou pré-ultime puisqu’il y a encore celui de «Tout le monde est fou» –, l’inconscient est défini comme le lieu où l’interprétation n’a plus aucune portée»…
JA Miller, Choses de finesse en psychanalyse XIII. Cours du 25 mars 2009)
Le passage de l’inconscient supposé à l’inconscient réel est désigné comme «passe au réel» (C. Soler) ou «vers le réel» (J.A Miller).
Alors que Lacan a toujours été très clair là dessus: «Qu’est-ce que la neutralité de l’analyste si ce n’est justement ça, cette subversion du sens, à savoir cette espèce d’aspiration non pas vers le réel mais par le réel.»
Rappelons aussi que Lacan avait déjà posé la question : «L’inconscient est-il imaginaire ou réel, difficile de le savoir?» avant de trancher: l’inconscient est réel (ce qui ne veut pas dire qu’il y ait deux inconscients, comme le soutiennent Jacques-Alain Miller et Colette Soler).
Lacan affirme lui-même qu’«il n’a qu’un inconscient, et c’est la raison pour laquelle il y pense jour et nuit...» (L’insu que sait de l’une bévue c’est l’amour - 1977)
Sans omettre de préciser que l’inconscient, s’il s’origine bien de «lalangue», n’en est pas moins «structuré comme un langage».
Et s’il est vrai que Lacan incite à explorer un peu plus le réel au-delà du peu de réalité du fantasme, en ce qui concerne la transmission de la psychanalyse dans ce qu’elle a d’absolument singulier et subversif, tout se joue à la dernière conception de la passe énoncée par Lacan, passée inaperçue et qui est très précise : «La passe dont il s’agit, je ne l’ai envisagée que d’une façon tâtonnante, comme quelque chosequi ne veut rien dire que de «se reconnaître entre soir», si je puis m’exprimer ainsi, à condition que nous y insérions un «av» après la première lettre :«se reconnaître entre s(av)oir». (JL, 15 février 1977)
Pour Miller et Soler la fin de l’analyse amène au manque du manque: «Le sujet est comblé, il est satisfait» (Soler), «il n’est plus divisé» (Miller), pour les deux professeurs, arrivé en ce point, le patient peut laisser tomber son analyste et vivre sa vie.
Alors que pour Lacan, le manque est réel...
«Il suffit de lire ce qu’on peut vraiment considérer comme son testament, à savoir «Analyse terminable et interminable», pour voir que s’il y avait quelque chose dont Freud a eu conscience, c’est qu’il n’y était pas entré, dans cette «terre promise». Cet article,
je dirais, n’est pas une lecture à proposer à n’importe qui, qui sache lire - heureusement il n’y a pas tellement de gens qui savent lire - mais pour ceux qui savent lire, c’est un article difficile à assimiler, pour peu qu’on soit analyste. Si on n’est pas analyste, on s’en fiche.» (JL)"
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La sagesse vaut plus que des perles précieuses.
Où trouver la sagesse? 22/11/2024
La sagesse vaut plus que des perles précieuses. Car la sagesse est préférable aux perles précieuses… Job 28.18 et Proverbes 8.11
Telle est la question posée par Job dans un échange avec ses amis. Il sait où trouver les pierres précieuses, il le dit (au début du chapitre 28), mais où trouver la sagesse (versets 12 et 20), préférable aux pierres précieuses ? Pour lui, elle se cache à nos yeux (v. 21) et seul Dieu sait où la trouver (versets 23 à 27).
Dans le livre des Proverbes, aux chapitres 8 et 9, les leçons de Salomon font écho aux propos de Job au sujet de la valeur de la Sagesse. Mais pour lui, la Sagesse est une personne et elle appelle (Proverbes 8.1). Et c’est à chacun de nous qu’elle s’adresse. Il faut l’écouter. Elle nous invite à réfléchir et devenir des gens raisonnables (versets 4-5). Comme Job, Salomon dit que la Sagesse était au commencement, avant la fondation du monde (versets 22-31).
La sagesse se trouve donc en Dieu, qui révèle à l’homme : Respecter le Seigneur, voilà la Sagesse ! (Job 28.28). Et Salomon complète : Respecter le Seigneur, c’est détester le mal et Le respect du Seigneur est le commencement de la sagesse.1.
Si l’un de vous manque de sagesse, qu’il la demande à Dieu qui la lui donnera…2, écrira l’apôtre Jacques. N’est-ce pas ce qu’a fait le jeune Salomon3 ?
Et pourquoi pas vous ? Il suffit de la demander à Dieu, avec foi.
Béatrice Guerche
1 Proverbes 8.13 et 9.10 2 Jacques 1.5 3 1 Rois 3.5-28
__________________ Lecture proposée : Livre de Job, chapitre 28.
Job à la recherche de la sagesse
1 Il y a pour l’argent une mine d’où on le fait sortir, Et pour l’or un lieu d’où on l’extrait pour l’affiner ; 2 Le fer se tire de la poussière, Et la pierre se fond pour produire l’airain. 3 L’homme fait cesser les ténèbres ; Il explore, jusque dans les endroits les plus profonds, Les pierres cachées dans l’obscurité et dans l’ombre de la mort. 4 Il creuse un puits loin des lieux habités ; Ses pieds ne lui sont plus en aide, Et il est suspendu, balancé, loin des humains. 5 La terre, d’où sort le pain, Est bouleversée dans ses entrailles comme par le feu. 6 Ses pierres contiennent du saphir, Et l’on y trouve de la poudre d’or. 7 L’oiseau de proie n’en connaît pas le sentier, L’œil du vautour ne l’a point aperçu ; 8 Les plus fiers animaux ne l’ont point foulé, Le lion n’y a jamais passé. 9 L’homme porte sa main sur le roc, Il renverse les montagnes depuis la racine ; 10 Il ouvre des tranchées dans les rochers, Et son œil contemple tout ce qu’il y a de précieux ; 11 Il arrête l’écoulement des eaux, Et il produit à la lumière ce qui est caché. 12 Mais la sagesse, où se trouve-t-elle ? Où est la demeure de l’intelligence ? 13 L’homme n’en connaît point le prix ; Elle ne se trouve pas dans la terre des vivants. 14 L’abîme dit : Elle n’est point en moi ; Et la mer dit : Elle n’est point avec moi. 15 Elle ne se donne pas contre de l’or pur, Elle ne s’achète pas au poids de l’argent ; 16 Elle ne se pèse pas contre l’or d’Ophir, Ni contre le précieux onyx, ni contre le saphir ; 17 Elle ne peut se comparer à l’or ni au verre, Elle ne peut s’échanger pour un vase d’or fin. 18 Le corail et le cristal ne sont rien auprès d’elle : La sagesse vaut plus que les perles. 19 La topaze d’Éthiopie n’est point son égale, Et l’or pur n’entre pas en balance avec elle. 20 D’où vient donc la sagesse ? Où est la demeure de l’intelligence ? 21 Elle est cachée aux yeux de tout vivant, Elle est cachée aux oiseaux du ciel. 22 Le gouffre et la mort disent : Nous en avons entendu parler. 23 C’est Dieu qui en sait le chemin, C’est lui qui en connaît la demeure ; 24 Car il voit jusqu’aux extrémités de la terre, Il aperçoit tout sous les cieux. 25 Quand il régla le poids du vent, Et qu’il fixa la mesure des eaux, 26 Quand il donna des lois à la pluie, Et qu’il traça la route de l’éclair et du tonnerre, 27 Alors il vit la sagesse et la manifesta, Il en posa les fondements et la mit à l’épreuve. 28 Puis il dit à l’homme : Voici, la crainte du Seigneur, c’est la sagesse ; S’éloigner du mal, c’est l’intelligence.
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⚖️❓Où trouver la sagesse?
Telle est la question posée par Job dans un échange avec ses amis. Il sait où trouver les pierres précieuses, il le dit (au début du chapitre 28), mais où trouver la sagesse (versets 12 et 20), préférable aux pierres précieuses ?
Pour lui, elle se cache à nos yeux (v. 21) et seul Dieu sait où la trouver (versets 23 à 27).
Dans le livre des Proverbes, aux chapitres 8 et 9, les leçons de Salomon font écho aux propos de Job au sujet de la valeur de la Sagesse. Mais pour lui, la Sagesse est une personne et elle appelle (Proverbes 8, 1). Et c’est à chacun de nous qu’elle s’adresse. Il faut l’écouter. Elle nous invite à réfléchir et devenir des gens raisonnables (versets 4-5). Comme Job, Salomon dit que la Sagesse était au commencement, avant la fondation du monde (versets 22-31).
La sagesse se trouve donc en Dieu, qui révèle à l’homme : Respecter le Seigneur, voilà la Sagesse ! (Job 28, 28). Et Salomon complète : Respecter le Seigneur, c’est détester le mal et Le respect du Seigneur est le commencement de la sagesse.(1)
Si l’un de vous manque de sagesse, qu’il la demande à Dieu qui la lui donnera…(2), écrira l’apôtre Jacques. N’est-ce pas ce qu’a fait le jeune Salomon(3) ?
Et pourquoi pas vous ? Il suffit de la demander à Dieu, avec foi.
Béatrice Guerche
1/ Proverbes 8, 13 et 9, 10
2/ Jacques 1, 5
3/ 1 Rois 3, 5-28
__________________
Lecture proposée : Livre de Job,
chapitre 28.
Vivre aujourd'hui, 22 novembre 2024
Copyright © 2024 Editions CAEF
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Billet spécial n°2 - Les imprimeurs de Lyon
Le cap des 200 billets de ce blog ayant été franchi, cela nous offre l'occasion d'un nouveau billet spécial. Quittant la capitale où sont situées l'essentiel des plaques commémoratives présentées ces derniers jours, il est l'heure de retourner dans une ville française également importante : Lyon.
De tout temps depuis sa fondation, Lyon a joué un rôle majeur dans l'histoire de France. Les XVème-XVIème siècles sont ainsi l'occasion pour Lyon de devenir l'un des principaux centres européens de l'imprimerie : finalisée en 1453, l'invention gagne Lyon en 1472 et lui confère une importance majeure dans le domaine de l'édition. Bénéficiant d'une politique fiscale favorable et du carrefour commercial qu'occupe Lyon, véritable ville de foires, une centaine d'ateliers d'imprimerie se concentrent notamment autour de la rue Mercière (2ème arrondissement). L'histoire de l'imprimerie lyonnaise n'est toutefois pas sans heurts : le "grand tric" de 1539, première grève de l'histoire de France, voit se révolter les ouvriers typographes qui protestent contre leurs conditions de travail et de rémunération. Il est le signe précurseur d'un déclin qui s'amorce dans les années 1560 (un siècle plus tard, l'industrie subsiste, mais se tourne surtout vers la contrefaçon).
Plusieurs plaques commémoratives (dont une partie a été installée sur l'initiative de Régis Neyret) honorant de célèbres imprimeurs lyonnais peuvent aujourd'hui être trouvées dans la rue Mercière et ses environs (les quatre premières et la dernière ont été apposées en décembre 2014, l'avant-dernière en 2003).
Sébastien Gryphe (1492-1556) est un imprimeur français d'origine allemande. Produisant surtout des traités administratifs, juridiques et religieux, il est le principal premier utilisateur des caractères italiques dans les années 1530. Il publie également les œuvres de François Rabelais, étant très proche du milieu humaniste. Surnommé le "Prince des libraires", il laisse un héritage important à Lyon. Texte de la plaque (21 rue Thomassin) : SÉBASTIEN GRYPHE, 1493 ? -1556. "PRINCE DES LIBRAIRES LYONNAIS". D'origine allemande, prolifique imprimeur (Rabelais, Alciat, Dolet…), il introduit le caractère italique en France.
Mathieu Husz (1455-1507) est un imprimeur allemand qui s'établit à Lyon. Il imprima de nombreux manuels théologiques, des ouvrages juridiques et des livres sur la construction. Texte de la plaque (9 quai de la Pêcherie) : MATHIEU HUSZ. D'origine allemande, il édita la GRANT DANSE MACABRE, 1499, où l'on voit la première représentation imprimée d'un atelier d'imprimeur-libraire.
Jean de Tournes I (1504-1564) s'est formé auprès de Sébastien Gryphe. Il édite de très nombreux ouvrages de poésie d'auteurs lyonnais, dont ceux de Louise Labé, ainsi que des traités d'architecture. Il décède des suites de la peste, mais son fils, Jean de Tournes II se fait également imprimeur et fonde une grande dynastie de libraires. Texte de la plaque (7 rue Jean de Tournes) : JEAN DE TOURNES 1er, 1504-1564. Premier d'une dynastie d'imprimeurs lyonnais, reconnu pour la qualité et la beauté de ses publications, il collabora souvent avec le célèbre graveur BERNARD SALOMON.
Aymon, Hugues (1500-1572) et Sibylle de la Porte étaient trois membre d'une influente famille de marchands libraires. Hugues, fils d'Aymon et père de Sibylle, fut plusieurs fois conseiller-échevin de Lyon et l'un des plus riches libraires de Lyon, apportant un soutien financier à Sébastien Gryphe. Texte de la plaque (68 rue Mercière) : AYMON, HUGUES & SIBYLLE DE LA PORTE. Famille de riches marchands-libraires, prolifiques éditeurs au sein de la Compagnie des Libraires, à Lyon au XVIème siècle
Fleury Mesplet (1734-1794) est un imprimeur québecois d'origine française. S'étant formé au métier d'imprimeur à Lyon et après un bref passage à Avignon, il s'établit au Canada, où il fonde La Gazette littéraire, premier journal de Montréal et premier journal exclusivement en français du Québec. Texte de la plaque (68 rue Mercière) : Hôtel Horace Cardon, résidence de grands imprimeurs lyonnais. Fleury Mesplet, 1734-1794, premier imprimeur-libraire en langue français au Canada, formé à LYON, rue Mercière
Étienne Dolet (1509-1746) est un imprimeur mais également écrivain et philosophe français. Établi à Lyon, humaniste et critique du christianisme de son époque, il édite nombre d'ouvrages jugés hérétiques, ce qui lui vaut arrestations et emprisonnements, pour être finalement exécuté sur le bûcher à Paris, devenant après sa mort un symbole de la libre-pensée. Texte de la plaque (56 rue Mercière) : Étienne Dolet, 1509-1546, humaniste, imprimeur en ces lieux à l'enseigne de la "Doloire d'or". Périt sur le bûcher. "Martyr de l'indépendance de la pensée" (Édouard Herriot)
Aimé de la Roche (1715-1801) fut l'un des plus grands imprimeurs lyonnais de son temps, consacrant l'essentiel de son activité à l'édition d'actes officiels pour différentes institutions, et publia également plusieurs journaux. Benoît-Paul Mougin-Rusand (1838-1897), issus d'une famille d'imprimeurs à la fois par son père et sa mère, se tourne quant à lui plutôt vers des ouvrages ecclésiastiques, des revues savantes et des livres d'histoire. Texte de la plaque (2 rue de Brest) : Halles de la Grenette. Du XVIIIe au XIXe siècle, de nombreux imprimeurs ont occupé cet ancien grenier à grains : AIME DE LA ROCHE, BALLANCHE & BARRET, MOUGIN-RUSAND, DURAND...
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Corinthiens.
Paul a une vision de l’église que Dieu a marquée au fer bleu sur son cœur. Une conviction de combien le temple de Dieu est important aux yeux de Dieu, et saint, et compte pour Lui— même les croyants mondains restés au stade de bébés parce qu’ils n’ont pas l’amour ni l’esprit de Famille ni la conscience de tout ce qui est à eux en Jésus, et qui est tellement plus haut que leurs dissensions terre-à-terre.
La crainte de Dieu qu’il a, c’est fou. Le zèle et l’importance et le soin qu’il met, à ne voler rien de l’œuvre parfaite de Messiah ou de l’épouse qui est à Lui, de la fondation qu’Il est et qui est primordiale, de l’or et des rubis et des perles précieuses qu’il est important de bâtir sur eux pour édifier ce temple comme il se doit... à l’image de l’intérieur du Temple que Salomon avait construit, lui aussi, avec de l’or et des rubis et des pierres précieuses.
Les gens au milieu d’eux qui créent des disputes, et des jalousies, en se vantant de prédicateurs ou se réclamant de tels apôtres plutôt que d’autres, et qui méprisent leurs frères et sœurs en les regardant de haut, et qui écrasent le dessein de l’amour au milieu de cette Famille sainte, de cette Maison sainte, de ce temple de Dieu ; ceux-là font l’équivalent de détruire le temple de Dieu, en détruisant l’unité et l’amour, et la paix dans la famille, et Paul les avertit que de telles personnes, Dieu détruira.
Puis Paul passe son temps à leur enseigner ce qu’est un croyant en Yéchua mature, qui reçoit de la viande et non du lait, qui est rempli de l’Esprit et non du monde. C’est un croyant qui aime.
On connaît 1 Corinthiens comme la lettre sur l’amour ; mais c'est parce que Paul ne cesse de les rabrouer pour leur expliquer que le vrai but de ce Temple qu’ils sont, c’est uniquement ça. D’être une Famille. D’être une équipe. D’être un corps. De cesser d’être orgueilleux spirituels et de se mépriser les uns les autres, ou s’envier les uns les autres, ou se hiérarchiser les uns les autres pour des questions de prédicateurs ou d’apôtres ou de dons spirituels ou de révélations. Mais quel le seul chemin excellent, qui prouve réellement la maturité, c’est l’amour. Être patients les uns envers les autres, c’est l’amour. Être bons les uns envers les autres, c’est l’amour. Ne pas être envieux mais se réjouir de ce que les autres ont reçu, c’est l’amour. Ne pas se vanter, parce que tout ce que nous avons, nous l’avons reçu par grâce, c’est l’amour. Ne pas réagir par orgueil, mais avec humilité, c’est l’amour. Ne pas déshonorer les autres, c’est l’amour. Ne pas chercher son propre intérêt, c’est l’amour. Ne pas se mettre en colère facilement, c’est l’amour. Ne pas dénombrer les fautes, c’est l’amour. Ne pas prendre plaisir dans le mal, c’est l’amour. Se réjouir de la vérité, c’est l’amour. Toujours protéger, c’est l’amour. Toujours avoir confiance, c’est l’amour. Toujours avoir espoir, c’est l’amour. Toujours persévérer, c’est l’amour. Si les enfants de Dieu ont toute la foi du monde au point qu’ils délacent les montagnes, mais qu’ils n’ont pas d’amour, ils ne sont rien. Si les enfants de Dieu ont toute la connaissance du monde et toute la révélation des profondeurs des mystères de Dieu, mais qu’ils n’ont pas d’amour, ils ne gagnent rien. Si les enfants de Dieu donnent tout ce qu’ils ont pour que d’autres soient enrichis ou qu’ils offrent même leur propre corps aux flammes, mais qu’ils n’ont pas d’amour, ils n’ont rien. L’amour est ce qui nous attend pour toujours. Si nous ne l’avons pas dès maintenant, alors nous passons à côté du but même de la vie éternelle. De la substance même de l’éternité. De la valeur même du Royaume.
L'amour est notre héritage. L'amour est notre Roi. L'amour est notre Royaume.
Si nous croyions vraiment en qui Jésus est, nous aimerions plus que quiconque au monde, en particulier parce que les gens ne le méritent pas, et parce qu’ils ne sont pas aimables. Parce que c’est dans cet état-là que nous étions, chacun d'entre nous. C'est dans cet état-là que nous avons reçu l’amour dont nous étions le plus indignes. À cet endroit-là. Où nous étions à l’opposé d’aimables, à l’opposé de le mériter, à l’opposé d’enclins à accepter quoi que ce soit de Dieu. À cet endroit-là. L’amour à son maximum. Comme les cieux ouverts. Et une cascade de grâce, de pardon, de tendresse, d’affirmation, d’approbation, de faveur, de paroles de vie et de fierté et de consolation et de guérison et de fortification et de royauté. À cet endroit-là, où nous étions dignes de mort, et de pierres jetées sur nous, et d’être appelés de tous les noms, enfoncés dans notre condamnation, passés en jugement et de se faire déclarer tout le mal que nous sommes, que nous faisons, que nous avons fait, et l’abomination de rébellion, de méchanceté, de saleté et d’infidélité que nous sommes devant la merveilleuse fidélité et sainteté de Dieu.
Mais c’est pas ça, que tu as fait. Tu n’as pas planté une croix dans le monde pour faire passer chaque humain de la terre dessus jusqu’à ce qu’il y meure dans le jugement légitime de ton courroux. Ça aurait été justice, et rien d’autre, rien de trop exagéré, n’en déplaise à notre sensibilité heurtée, qui ne comprend rien de la vraie nature du péché, ni de l’abominable souffrance que tu as endurée, et à laquelle tu as assisté depuis que nous t’avons cloué au bois dans le jardin d’Eden.
Non, tu ne voulais pas que tes créations passent par là.
Mais tu voulais les libérer quand même de leur péché, et de cette condamnation qui est la leur à cause de leur voies qui ont tué les tiennes.
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Quels sont les livres que vous avez lu, et que vous avez envie d'offrir parce que ça vous a touché?
Pour moi :
Kafka sur le rivage, Murakami
Le meurtre du commandeur, Murakami
La fin des temps, Murakami
Le livre des Baltimore, Dicker
L'océan au bout du chemin, Gaiman
Les archives de Roshar, Sanderson
Fils des brumes, Sanderson
La tour sombre, King
A la croisée des mondes, Pullman
Le cycle de Fondation, Asimov
La formule de Dieu, Dos Santos
La clé de Salomon, Dos Santos
L'affaire Charles Dexter Ward, Lovecraft
Le champs de Personne, Picouli
Les annales du Disque Monde, Pratchett
La horde de Contrevent, Damasio
Terreur, Simmons
John Shannow, Gemmel
Soixante-neuf tiroirs, Petrović
Le problème à 3 corps (trilogie), Cixin
Le chat qui voulait sauver les livres, Natsukawa
Moby Dick, Melville
Oedipe sur la route, Bachau
Frankenstein, Shelley
L'oeuvre, Zola
La bête humaine, Zola
La Mélancolie des baleines, Gerin
Les voyages de Cosme K, Gerin
Et vous, comment vivrez-vous ? ,Genzaburô
Le Cycle de Dune 1-6, avec un coup de coeur pour "Le messie de Dune" et "la maison des Mères", Herbert
L'enchanteur, Barjavel
Le peuple blanc, Machen
Le portrait de Dorian Grey, Wilde
Piranhèse, Clarke
Le Cycle de la Bibliothèque des livres oubliés, surtout "l'ombre du vent", Zafon
La mer sans étoiles, Morgenstern
Le cycle "The Expanse", S.A Corey
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Where is Kimiko? Fondation pour l’art contemporain Claudine et Jean-Marc Salomon : 26 April ~7 July — view on Instagram http://bit.ly/2GEqmmm
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- Shabbat Shalom à tous dans l’Amour et la Paix de Yahshua Ha Machia'h -
Shabbat Shalom au Peuple d’Israël et aux qehilot de la Diaspora
Qu’Elohim vous bénisse et vous protège au nom de l’Adon Yahshua.
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Yahshua, la pierre angulaire
“ Vous avez été édifiés sur le fondement des apôtres et des prophètes, Yahshua lui-même étant la pierre angulaire. “ (Ephésiens 2:20)
Préparons-nous pour la prochaine étape du Plan d’Elohim car les temps s’accélèrent, se dégradent et la ligne de démarcation parmi le peuple s’accentue.
Yahshua vient épouser sa Qehila c’est-à-dire celles et ceux qui font Sa Volonté, lui appartiennent et qui se sont préparés à le rencontrer.
Yahshua est la lumière du monde, il est également La Parole faite chair, la pierre angulaire, notre fondation sur laquelle nous avons été édifiés.
Notre préparation s’effectue par la méditation et l’application de la Parole et par le Ruah Ha Kodesh qui nous purifient, sanctifient afin de ressembler à Celui que nous servirons pour l’éternité, Notre Roi Yahshua.
Nous sommes cisaillés, par l’intermédiaire des épreuves pour devenir celle ou celui qu’Elohim veut que nous soyons afin de pouvoir nous assembler au moment du second avènement du Messie Yahshua.
“ Je suis persuadé que celui qui a commencé en vous cette bonne oeuvre la rendra parfaite pour le jour de Jésus-Christ. “ (Philippiens 1:6)
Persévérons dans ce travail de préparation afin de correspondre au maximum au standard d’Elohim - selon Sa Parole - tout en sachant que si nous ne le faisons pas avec l’aide du Ruah Ha Kodesh maintenant, nous serons taillés par les tribulations.
Quoiqu’il en soit, c’est Lui qui nous finalisera et nous rendra parfait.
Ainsi, Yahshua nous rassemblera dans son corps pour former le temple définitif avec chacun.
Lors de la construction du Temple par Salomon, une grande partie des matériaux avait été préparée d’avance par son père, le Roi David, qu’il a complété et chaque pierre - selon sa catégorie - avait été extraite et découpée du roc brut :
“ Lorsqu'on bâtit la maison, on se servit de pierres toutes taillées, et ni marteau, ni hache, ni aucun instrument de fer, ne furent entendus dans la maison pendant qu'on la construisait. “ (1 Rois 6:7)
L’assemblage s’est fait naturellement et en douceur car chacun était à sa place.
Il en sera de même pour nous.
HalleluYAH !
Soyez toutes et tous béni(e)s en Yahshua, Notre Roi.
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Jérusalem - Western Wall live camera (Mur des Lamentations - Kotel en direct)
Et pour un Sabbat en musique, voici plusieurs web radios pour louer et adorer Elohim en Yahshua :
RadioYeshua
MessianicRadio
Hleradio
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L’Esplanade des Mosquées, Jérusalem - Israël
Le dôme du Rocher ou la coupole du Rocher, appelé parfois mosquée d'Omar à tort, « premier monument qui se voulut une création esthétique majeure de l'islam », est un sanctuaire érigé à la fin du VIIe siècle sur ordre du calife Abd al-Malik ibn Marwan à Jérusalem-Est. Il se trouve sur le « Haram al-Sharif » (« le noble sanctuaire », connu en français sous le nom d'Esplanade des mosquées), le site qui comprend aussi la mosquée al-Aqsa le troisième lieu saint musulman après La Mecque et Médine.
Achevé en l'an 691 ou dans la seconde partie de l'année 692 (an 72 de l'hégire), son dôme a été reconstruit en 1022 et rénové en 1089, 1318, 1448, 1830, 1874, 1962 puis complètement en 1994. Lors de cette dernière restauration, on a posé des plaques de cuivre recouvertes d'une fine couche de nickel et d'or. Le bâtiment dérive de modèles de l'architecture byzantine, avec une influence perse sassanide. Si on connaît le nom des personnes qui en ont supervisé la construction (Raja ibn Haywa, Yazid ibn Sallam et Sahaba), on ignore celui de son architecte. Les carreaux qui le recouvrent ont quant à eux été installés par Soliman Ier en 1545-1552 ; certains présentent des sourates qui rejettent la trinité chrétienne.
Sous le dôme du Rocher se trouve un grande pierre appelée « Rocher de la Fondation ». La tradition musulmane y voit l'endroit depuis lequel Mahomet s'est élevé au ciel lors de l'Isra et Miraj. Mais la tradition juive reconnaît dans ce même rocher le mont Moriah, le massif montagneux sur lequel, d'abord, Abraham monta avec son fils Isaac afin de l'offrir à Dieu en sacrifice, puis sur lequel furent bâtis successivement les Temples de Jérusalem (le Temple de Salomon et le temple dit d'Hérode . Enfin, le rocher fut aussi considéré par les Juifs de la région comme l'emplacement du centre du monde. Le dôme du Rocher occupe une place de premier plan dans l'art et l'architecture de l'islam, et l'historien de l'art Oleg Grabar y voit un « monument unique de la culture islamique ».
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Disney Chaussons Tsum Tsum Minnie Mouse
portés de nouveau dans son processus permettra de réduire le coût des matériaux de production à long terme, ce qui signifie qu'en plus de faire économiser sur l'eau nécessaire pour la culture du coton et d'autres matériaux, fournitures seront moins coûteux, ce qui se traduit par des économies à long terme pour les vêtements Marques. Il a également parlé de l'organisation à but non lucratif de l'entreprise, la Fondation Cigar Family bienfaisance, un complexe de 23 acres en République dominicaine qui dispose d'une école, les installations sportives et de loisirs et une clinique médicale. Le festival attire les touristes et résidents, fournissant une expérience qui pourrait générer un intérêt soutenu et des visiteurs réguliers. Nous nous réjouissons de renforcer les relations de notre industrie avec Alrosa plus loin, 'Le président IDE dit. Au lieu de cela, à cause de la marque du nouveau Disney Soldes Maison format de présentation, les consommateurs pourraient boutique beauté regarde de la piste sur le site Web. Fiera di Vicenza a rapporté des résultats positifs sur la première de VicenzaOro Club Italien, VicenzaOro Club Européen et T-GOLD international au Week Dubai International a eu lieu le 21 Novembre à 24 au Dubai World Trade Center (DWTC). 4) chez fine Disney Nouveaux Produits Jewels enchère à Luxeford à en Novembre, la maison d'enchères a annoncé. Le Dom Pedro Aquamarine, le plus grand, d'une seule pièce d'aigue-marine de coupe dans le monde, est maintenant exposée en permanence au Musée national du Smithsonian d'histoire naturelle de Washington. 'Au cours des dernières années, et les marques Kering sous son égide ont pris des mesures durables pour colorer leurs approvisionnement disney bebe fille vert par le nettoyage de la fabrication et de la distribution. Salomon Brothers Fine Jewelry, un important détaillant d'anneaux concepteur de pyjama minnie pas cher, bagues de fiançailles, pour en or. 'Nous avons fermé des offres lors de la foire elle-même. Le marché de la France continentale a enregistré une croissance de 3,4 pour cent des ventes à magasins comparables. professionnellement organisé Nous participerons à nouveau ', a noté Rachel Wang, représentant basé à, Rio pearl, un fabricant de perles, grossiste et trader. LVMH le placement à l'événement, co-organisé par LVMH Groupe appartenant Les Echos et Publicis Groupe, lui permettra de s'engager et à soutenir ceux qui sont à la pointe du progrès technique togetherA innovation. A cette époque, ces joyaux seront envoyés à un autre laboratoire mondial GIA et retour à Tokyo, pick-up. Les avantages économiques pour la région, un plan environnemental global et un vaste engagement avec les communautés et les organismes de réglementation classés fortement dans les jouet chateau disney agenda. Par exemple, la Cornaline amulette représente le souhait de vivre éternellement tandis que le Onyx représente le souhait pour force de coeur. GIA a déclaré qu'il envisage d'élargir l'éventail des services offerts par sa facilité de Tokyo dans les prochains Disney Jouets Déstockage mois. www.officieldisney.com/disney-soldes-mode
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Misère de la psychanalyse
Si les psychanalystes se sont à ce point dévoyés de la subversive découverte freudienne de l‘inconscient, de son noyau révolutionnaire réel, cela tient beaucoup à la prolifération médiatisée de «psychanalystes» (se faisant passer pour tels) qui sont en vérité les premiers promoteurs du Discours Universitaire, qui est du point de vue de la structure, ce qu’il y a de plus antagoniste au Discours de l’Analyste.
Les deux plus grands fournisseurs de ces soi-disant «psychanalystes» sont logiquement les deux plus grands groupes psychanalytiques (par le nombre), institutions se réclamant de l’enseignement de Lacan: l’École de la Cause Freudienne fondée par Jacques-Alain Miller en 1981 (coiffée désormais par une usine à gaz dénommée Champ Freudien...) et l’École de Psychanalyse des Forums du Champ Lacanien (fondée en 1998, par un collectif d’anciens membres de L’ECF, ayant fait scission, et dirigée d’une main de maîtresse (d’école) par le double féminin de Jacques-Alain Miller, Colette Soler, un autre éminent «professeur d’université», elle aussi formatée à l’ENS...
Lorsqu’en janvier 1980, Lacan dissout son École Freudienne de Paris, il motive son acte de ce qu’il appelle l’«échec de la passe», passe de l’analysant à l’analyste, qui était la raison même de la fondation de son École.
Lacan, parce qu’il se demandait «que peut-il se passer dans la tête de quelqu’un ayant fait une analyse pour vouloir devenir analyste ?» était parti de l’hypothèse qu’une «passe» de l’analysant à l’analyste était un fait de structure, témoin que le sujet n’était plus du tout le même à sa sortie qu’à son entrée, ayant constaté dans sa pratique «qu’il y vient comme une boule dans un jeu de tric-trac».
Lacan invente donc une procédure pour tirer ça au clair, parce qu’il souhaite que les psychanalystes se reconnaissent entre eux comme tels, à partir de l’analyse et non pas sur la base de critères préétablis de type universitaire et autres, confrérie, initiation, cooptation, copinage...
Il construit donc la procédure de la passe sur le modèle du mot d’esprit.
Un «passant» raconte son «hystoriole analytique», à un quidam comme lui qui en sera le «passeur», pour un jury de la même veine qui devra apprécier si ça tient debout.
Exemple: le «passant» raconte qu’il a rencontré Salomon Rothschild aux Bains de Lucques et que ce dernier l’a traité d’une façon tout à fait «familonnaire», le passeur prend note et va transmettre ça, texto, au jury, et tout le monde est plié de rire, car ils sont de la même chapelle (la chapelle évoquant bien entendu l’église, comme c’est souvent le cas dans les groupes analytiques...)
Où en est-on aujourd’hui avec cette «passe», 40 ans après la dissolution par Lacan de l’École Freudienne de Paris?
La passe s’est bien sûr transformée en impasse pour la transmission de la psychanalyse...
Jacques-Alain Miller (JAM pour les médias, depuis qu’il est devenu inséparable de l’indécrottable BHL) fait donc. après la mort de Lacan, main basse sur ce qui reste de la machinerie lacanienne et impose son «idée» que la passe (où il n’avait strictement jamais mis les pieds du temps de Lacan) c’était ...la «traversée du fantasme»!, un hapax lacanien que Lacan lui-même n’a jamais exploité (et pour cause... la traversée du fantasme, cela veut dire exactement le contraire de ce qu’on croit en comprendre a priori, c'est à dire qu'on pourrait vivre en dehors de toute illusion — ce qui est le fantasme ultime — traverser le fantasme signifie précisément renoncer au fantasme d’y échapper, le sujet a traversé le fantasme lorsqu'il accepte en soi et pour soi la nécessité constitutive de l'illusion. Son illusion. Chacun ne voit le monde qu'à travers la fenêtre de son fantasme fondamental...)
Bref, depuis plus de vingt ans, Colette Soler a aligné elle aussi son École des Forums du Champ Lacanien sur le diktat millerien, qui s’il n’a strictement aucun rapport avec la passe telle que Lacan l’avait imaginée et tenté de la mettre en œuvre avant d’en constater l’échec, s’avère très utile et particulièrement efficace pour asseoir son pouvoir personnel, et développer une expansion sans limite en montant des comptoirs un peu partout dans le monde, au nom de la «politique de la psychanalyse», comptoirs que viennent visiter de temps en temps des psychanalystes de «renommée mondiale» (!) pour renforcer le gouverneur, mis en place, adoubé par les «locaux», et à l’occasion lui remonter un peu les «bretelles» de la théorie...
Bien entendu, Miller est celui qui a poussé le bouchon le plus loin en se substituant au «cartel de la passe» pour nommer Analyste de l’École (AE) un de ses propres analysants, que le cartel n’avait pas nommé...
Ah, elle aura été tripotée cette pauvre «passe» qui aurait dû signaler la sortie du transfert, et qui en réalité fait la preuve que l’impétrant est au contraire toujours «sous-transfert», passant un examen comme pour entrer à l’École, selon une pure procédure de type universitaire, une formalité plus ou moins colorée de cooptation, à l’opposé radical de l’éthique psychanalytique...
Comment ces dérives (de la jouissance) pervertissent-elles la transmission de la psychanalyse?
Au grand dam du Discours de l’Analyste, que les psychanalystes authentiques s’efforcent de vouloir servir, c’est bien le Discours Universitaire (dont le Signifiant maître sous la barre permet d’éradiquer discrètement le grain de sable de l’énonciation) qui régit massivement l’économie relationnelle de ces groupes, les pratiques perverses de domination et de soumission sont devenues l’ordinaire des institutions psychanalytiques qui n’ont de psychanalyse que le nom, la logique qui les domine étant précisément celle du discours dominant, psychologisant, sociologisant, moralisant ...et démoralisant.
Les deux multinationales Millerienne et Solerienne poursuivent leur développement conformément aux vœux de l’étude de marché, la première commandée par le Capitaine «Win-Win» (surnommé ouin-ouin par les moqueurs) ; l’autre pilotée par «La Solaire», comme elle se surnomme elie-même, qui après avoir rejeté la prétention de Miller à incarner le «Plus-Un» du groupe en a fondé un autre, et qui à force de vouloir y briller jour et nuit en est devenue «La Peluce-Une», ou «La-femme-qui-existe»...
L’obstination des deux professeurs d’université à faire coller l’enseignement lacanien avec leurs rêves de suprématie (leur fantasme d’immortalité symbolique) a donc fini par naufrager la transmission de l’enseignement lacanien sur le roc de «la passe» qui affleure dans des eaux peu profondes, raison pour laquelle ils ne coulent pas, mais demeurent couchés sur le flanc, les forçant à réinventer ce qui n’était pas du tout à retoquer chez Lacan...
Chacun à sa façon a donc été amené à faire l’hypothèse de l’existence, au-delà de l’inconscient freudien, d’un «inconscient réel»...
Ainsi, pour Colette Soler: il y a "l’inconscient langage" et "l’inconscient lalangue" soit l’inconscient "réel"...
(« Lacan y donne, selon moi, un modèle réduit de ce que l’on appelle la chute du sujet supposé savoir, soit une passe à l’inconscient réel que j’écrirai désormais ICSR pour élider les signifiés du terme «inconscient». C. Soler in Lacan, l’inconscient réinventé p.46 )
Et pour Jacques-Alain Miller, il y a «l’inconscient transférentiel et l’inconscient réel, non tranférentiel»...
(« En revanche, l’inconscient réel, c’est l’inconscient qui ne se laisse pas interpréter, et c’est pourquoi, dans ce texte ultime – ou pré-ultime puisqu’il y a encore celui de «Tout le monde est fou» –, l’inconscient est défini comme le lieu où l’interprétation n’a plus aucune portée»…
JA Miller, Choses de finesse en psychanalyse XIII. Cours du 25 mars 2009)
Le passage de l’inconscient supposé à l’inconscient réel est désigné comme «passe au réel» (C. Soler) ou «vers le réel» (J.A Miller).
Alors que Lacan a toujours été très clair là dessus: «Qu’est-ce que la neutralité de l’analyste si ce n’est justement ça, cette subversion du sens, à savoir cette espèce d’aspiration non pas vers le réel mais par le réel.»
Rappelons aussi que Lacan avait déjà posé la question : «L’inconscient est-il imaginaire ou réel, difficile de le savoir?» avant de trancher: l’inconscient est réel (ce qui ne veut pas dire qu’il y ait deux inconscients, comme le soutiennent Jacques-Alain Miller et Colette Soler).
Lacan affirme lui-même qu’«il n’a qu’un inconscient, et c’est la raison pour laquelle il y pense jour et nuit...» (L’insu que sait de l’une bévue c’est l’amour - 1977)
Sans omettre de préciser que l’inconscient, s’il s’origine bien de «lalangue», n’en est pas moins «structuré comme un langage».
Et s’il est vrai que Lacan incite à explorer un peu plus le réel au-delà du peu de réalité du fantasme, en ce qui concerne la transmission de la psychanalyse dans ce qu’elle a d’absolument singulier et subversif, tout se joue à la dernière conception de la passe énoncée par Lacan, passée inaperçue et qui est très précise : «La passe dont il s’agit, je ne l’ai envisagée que d’une façon tâtonnante, comme quelque chosequi ne veut rien dire que de «se reconnaître entre soir», si je puis m’exprimer ainsi, à condition que nous y insérions un «av» après la première lettre :«se reconnaître entre s(av)oir». (JL, 15 février 1977)
Pour Miller et Soler la fin de l’analyse amène au manque du manque: «Le sujet est comblé, il est satisfait» (Soler), «il n’est plus divisé» (Miller), pour les deux professeurs, arrivé en ce point, le patient peut laisser tomber son analyste et vivre sa vie.
Alors que pour Lacan, le manque est réel...
«Il suffit de lire ce qu’on peut vraiment considérer comme son testament, à savoir «Analyse terminable et interminable», pour voir que s’il y avait quelque chose dont Freud a eu conscience, c’est qu’il n’y était pas entré, dans cette «terre promise». Cet article, je dirais, n’est pas une lecture à proposer à n’importe qui, qui sache lire - heureusement il n’y a pas tellement de gens qui savent lire - mais pour ceux qui savent lire, c’est un article difficile à assimiler, pour peu qu’on soit analyste. Si on n’est pas analyste, on s’en fiche.» (Lacan)
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Samedi 1 juin 2024 Quelques plans divins (2)
“Alors David déclara : Tout cela figure dans le document que j’ai reçu de la part du Seigneur ; ce document explique en détail la façon d’exécuter les plans.” 1 Ch 28. 19
David voulait construire un temple pour honorer le nom de l’Eternel, mais Dieu ne le lui permit pas, car ses mains avaient versé trop de sang. Cependant les plans précis de la construction du temps lui furent transmis à lui et non à Salomon qui plus tard aurait la tâche de suivre ces plans. La Bible nous dit : “David donna à son fils Salomon le plan du vestibule et des bâtiments, des chambres du trésor, des chambres hautes, des salles intérieures et de la pièce du propitiatoire, le plan de tout ce qu’il avait dans l’esprit touchant les parvis de la maison de l’Éternel, et toutes les chambres de l’enceinte pour les trésors de la maison de Dieu et les trésors des choses saintes…” (v. 11-12). David indiqua même à son fils le poids d’or nécessaire pour la réalisation de tous les ustensiles ainsi que le modèle de l’autel des parfums. Autrement dit ces plans étaient extrêmement détaillés et précis, car Dieu est un créateur méthodique jusque dans les moindres détails. Là encore nous ne savons pas comme Dieu transmit à David des plans aussi précis : hologrammes ou plans dessinés ? David indique seulement qu’il reçut “un document” directement du Seigneur. Quand le temple fut terminé la gloire de Dieu l’envahit, comme le tabernacle au temps de Moïse. Dieu indique toujours Son approbation en remplissant le bâtiment de Sa gloire s’il a été bâti selon Ses plans. Et rien n’a changé. Le “bâtiment” que Dieu construit en ce moment est Son église, faite non de pierres, de boiseries et d’or, mais constitué des milliers de croyants. “En Lui, tout l’édifice bien coordonné s’élève pour être un temple saint dans le Seigneur. En Lui, vous aussi, vous êtes édifiés ensemble pour être une habitation de Dieu en Esprit” (Ep 2. 21-22). La pierre d’angle est Jésus-Christ, la seule fondation de valeur que rien ne peut ébranler. Nous sommes appelés à être co-bâtisseur à condition de construire selon les plans fournis par Dieu dans Sa parole. A l’exception de toute autre doctrine ou idée !
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L’amour de Christ nous presse .
Il y a plus de 38 ans , j'ai lu un livre qui m'a transformé . L'auteur disait que Jésus avait passé la plus grande partie de son temps, pendant les trois ans et demi de son ministère, à former douze hommes. L'éducation qu'il leur donna était bien différente de celle qu'on donne aujourd'hui dans nos collèges et dans nos écoles. Tandis que le monde encourage l'ambition, Jésus enseigne à ses disciples l'humilité. Il les exhorte à se prévenir les uns les autres par honneur; à n'être point enflés d'orgueil, à n'être point envieux, mais plutôt, à être doux et humbles de coeur.
L’amour de Christ nous presse
Il existe une charmante tradition sur la fondation du temple de Salomon. Le terrain sur lequel il fut construit appartenait en commun à deux frères, dont l'un avait des enfants, et l'autre n'en avait pas. Ils y avaient semé du blé. Le lendemain de la moisson, deux meules ayant été élevées, l'aîné des deux frères dit à sa femme : « Mon jeune frère n'a pas la force de supporter la fatigue et la chaleur du jour, je vais prendre une partie de mes gerbes et les ajouter à sa meule sans qu'il le sache. » Le frère cadet, animé de sentiments semblables, se dit en lui-même : « Mon frère a des enfants, et moi je n'en ai pas. Je vais prendre une partie de mes gerbes et les ajouter à sa meule.
Quel ne fut pas leur étonnement le lendemain, en trouvant leurs meules respectives aussi grandes que la veille. La même aventure se renouvela plusieurs nuits de suite. Chacun d'eux résolut enfin de veiller toute la nuit afin d'éclaircir le mystère. C'est ce qu'ils firent, et la nuit suivante, ils se rencontrèrent à mi-chemin entre leurs deux meules, les bras chargés de gerbes. Ce fut sur un terrain sanctifié par un tel souvenir que s'éleva le magnifique temple de Salomon, la merveille et l'admiration du monde. Hélas ! de nos jours, combien de frères seraient disposés à dérober toute la meule de leur frère plutôt qu'à y ajouter une seule gerbe !
Si nous voulons apprendre à gagner les âmes, si nous voulons être utiles au service de notre Maître, il faut nous débarrasser de ce maudit esprit de rivalité et d'amour-propre. C'est là le fond de la pensée de Paul dans ce passage de son épître aux Corinthiens. Il leur dit qu'on a beau avoir beaucoup de foi et de zèle, et distribuer beaucoup d'aumônes, si l'on n'a pas d'amour, on est comme l'airain qui résonne ou une cymbale qui retentit. Si ce n'est pas l'amour qui inspire et remplit tous nos discours, nous ferions tout autant de bien aux âmes en sonnant de la trompette du haut de la chaire qu'en prêchant des sermons. On peut annoncer la vérité ; on peut enseigner la doctrine évangélique dans toute sa pureté ; si le coeur n'est pas rempli d'amour pour ceux auxquels on s'adresse alors l'apôtre le déclare, on n'est qu'une cymbale retentissante.
Ce qu'il nous faut comprendre c’est que Dieu tient compte du mobile qui nous fait agir, bien plus que de notre activité extérieure. Le seul arbre sur la terre qui puisse produire des fruits agréables à Dieu c'est l'arbre de l'amour.
Voyez les soldats. S'ils ne se battent que parce qu'ils y sont forcés, ils ne remporteront pas beaucoup de victoires. Si, au contraire, ils se battent par amour pour leur pays et pour leurs chefs, rien ne pourra leur résister. Si ce n'est pas l'amour qui vous pousse à travailler pour Christ, ne vous attendez pas à être béni dans votre oeuvre.
Napoléon essaya de fonder un empire par la force des armes. Alexandre le Grand, César, d'autres conquérants encore, l'avaient essayé avant lui, mais tous, ils ont échoué. Jésus-Christ a fondé son royaume sur l'amour, et ce royaume durera éternellement.
Je voudrais vous rappeler encore une chose. L'amour ne songe jamais à ce qu'il recevra en retour de ce qu'il donne. Vous avez tous lu dans l'Evangile selon saint Mathieu la parabole du père de famille qui avait loué des ouvriers pour travailler dans sa vigne. Après en avoir loué plusieurs dès le matin, il en trouva d'autres à différentes heures du jour, et les envoya aussi à sa vigne. Quand le soir fut venu, ceux qui avaient travaillé depuis le matin s'attendaient à recevoir un salaire plus élevé que les autres; aussi se mirent-ils à murmurer et à se plaindre lorsqu'ils virent qu'ils recevaient tous la même chose. Mais quelle fut la réponse du père de famille : « Mon ami, je ne te fais point de tort ; n'as-tu pas accordé avec moi à un denier par jour? Prends ce qui est à toi et t'en va. Je veux donner à ce dernier autant qu'à toi. Ne m'est-il pas permis de faire ce que je veux de ce qui est à moi? Ton oeil est-il mauvais de ce que je suis bon ? Ainsi les derniers seront les premiers, et les premiers seront les derniers .
AMEN 😊😊 .
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Voici votre invitation au Festico, édition de 2020, suivie du programme dédié...😁😁 Rdv dès le 23 Juin à la Fondation Salomon Tandeng Muna...🤩🤩 On parle de chez nous...😉😉 https://www.instagram.com/p/CBIzgC6hrdU/?igshid=iyyx3hccn24a
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