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#Fenêtre sur cour
chicinsilk · 9 months
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Rear Window 1954
Grace Kelly in a black dress created by the famous costume designer Edith Head for the film "Rear Window" Alfred Hitchcock 1954.
Grace Kelly dans une robe noire création de la célèbre costumière Edith Head pour le film "Fenêtre sur cour" Alfred Hitchcock 1954.
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luxm0nst3r · 11 months
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game-of-kinks · 1 year
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Fenêtre sur cour Toutes les cartes sont dispo sur @tire-une-carte / English version is at @play-my-game Bon jeu !
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lefeusacre-editions · 7 months
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"REAR WINDOW", LE COMPLOT DU STYLITE, par Warren Lambert
Avec sa réputation devenue vite ronflante de film méta sur le cinéma, on en serait presque à oublier que "Rear Window"/"Fenêtre sur Cour" est un grand film d'amour sérieux, un de ceux de la filmographie d'Hitchcock, avec plus tard "Vertigo"/"Sueurs Froides", au sous-texte le plus audacieux, tordu et un tantinet tragique. Avant que ce ne soit une image qu'il faille reproduire pour s'aimer (comme dans "Vertigo"), c'est une image qu'il faut halluciner ensemble pour tomber amoureux. Séance de rattrapage, donc.
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Trois panoramas de la cour à trois moments de la journée, réalisés à partir de photogrammes du film.
La caméra happée par ces volets ouverts, ce mouvement circulaire étourdissant qui survole la cour jusqu’à ce front perlé en gros plan de son personnage assoupi, le thermomètre qui dépasse les 90 degrés Fahrenheit... Peut-être Rear Window est parvenu toutes ces années, malgré sa mise en scène toute en lignes claires, à dissimuler le vrai postulat de son incipit : celui d'être la transcription, à l’échelle d’une résidence, d’une poussée de fièvre. Contre la léthargie des corps va s'arbitrer la véracité des images. Les photographies de Jefferies (James Stewart) disposées sur sa table le promettent par le tour d’horizon de morbidité et d’interdit qu’elles opèrent (accident, incendie, essai nucléaire) ; collection d’événements extrêmes dont le meurtre serait la pièce manquante de cet impressionnant tableau de chasse.
Mais cette image, il ne lui suffira pas seulement de la vouloir, il faudra avant tout que les autres y croient, qu’ils croient eux aussi l’avoir vue, en croyant le seul homme dans toute cette affaire qui veuille si suspicieusement avoir raison. C’est selon cette unique modalité, celle de la persuasion, que l’action trouvera – Jefferies étant momentanément infirme – les moyens physiques d’avancer, et avec elle l'histoire d’amour entre lui et Lisa (Grace Kelly). Pour la belle jeune femme, il se jouera effectivement autre chose dans la scrutation des faits et gestes de cet énigmatique Lars Thorwald, dont le prénom épelé par elle à Jefferies au téléphone marquera le point de départ incantatoire de leur romance, cette dernière culminant lors de l'épisode où Lisa se faufilera de l’autre côté de l’écran (enjambant la fenêtre du dit-coupable) pour se passer elle-même la bague au doigt (celle de l’épouse disparue). Que Thorwald découvre cette intruse chez lui et qu'il mime alors maladroitement sur cette pauvre Lisa le meurtre auquel Jefferies aurait rêvé d’assister, voilà le prix à payer envers celui qu’elle aime. La reconstitution supplante la preuve, et l’interprétation l’image. Peu importe l'intervention de la police, pour celle qui, téméraire et obstinée, cherchera le film durant à électriser son homme, les vagissements d’impuissance de Jefferies la regardant crier et se débattre évoqueront bien à s’y méprendre les spasmes du plaisir.
La cour et ses lucarnes agissant telle une caisse de résonance des ambitions comme des craintes des deux personnages vis-à-vis du couple et du mariage, un chantage tacite s’installe peu à peu entre eux sur la base d’un échange de bon procédé : Lisa accréditant le crime spéculé par Jefferies, et Jefferies soumettant à Lisa les épreuves qui s'assureront de ses sentiments envers lui, offrant ainsi à leur idylle, grâce à ce pacte, les meilleures chances d’aboutir. Il n’existe d'ailleurs pas, dans tout l’érotisme latent contenu dans Rear Window, de moment plus jouissif transpirant sur le visage d’ordinaire patibulaire de Stewart que ce reaction shot, dans lequel il s’illumine de l’amour naissant ressenti pour Lisa, à l’écoute de l’excitation que procure chez elle l'adhésion à sa théorie meurtrière. Par son timide sourire benêt, tout s’éclaire en effet : le meurtre promet bien d’incarner la caution de cette union, son facteur déterminant autant que sa condition sine qua non. Rear Window est un drôle de sitcom au sein duquel, en dépit de son happy end, réside cette équation pétrie d’un malaise sourd : l’assassinat vu comme une heuristique sentimentale ; la nécessité du meurtre pour que puisse éclore l'amour.
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L'instant où Jefferies tombe amoureux de Lisa.
Malicieusement, du reste, par touches discrètes, le film insinue que le crime pourrait aussi bien se dérouler ailleurs que chez les Thorwald, et cela parmi beaucoup d’autres recoins laissés inexplicablement vierges de toutes projections : un couple occupé la quasi-totalité du film à batifoler le store baissé (ou quelque chose de plus « sinistre », suggère même Lisa) ; une voisine étendue sur un transat, inerte, un journal ouvert recouvrant son visage. Dans ce hammam de visions potentiellement morbides, ce n'est pas un hasard que l’œil de Jefferies s'attarde sur ce couple à la femme alitée et au mari effectuant les cent pas entre le salon et la chambre à coucher. Un couple qui peine à se séparer comme Lisa et lui peinent à se mettre ensemble. Mieux qu’un écran : un miroir, et élu par son regard. Car il y a un alignement dans les destins qui lient aussi bien Lisa et Jefferies à Mr et Mme Thorwald que, par exemple, Miss Lonely Heart – la dépressive du rez-de-chaussée – à ce pianiste niché au dernier étage de l’immeuble d’en face, dont la mélodie envoûtante arrêtera miraculeusement le geste suicidaire.
La vie des autres fonctionne à la manière d’un decorum sentimental de ce que Jefferies est heureux de voir uniquement hors de chez lui, détaché de sa vie pareil à un album photo dont chaque vignette serait ce à quoi il a échappé : célibat douloureux, dénigrement artistique, sollicitude sexuelle. Il devine que la vie du couple Thorwald s'apprête à devenir son présent le plus imminent. C'est pourquoi lorsque ce mari se délectera dans son canapé d’un cigare qu’il n’a sans doute, par le passé, jamais eu la chance de savourer, cette paix retrouvée est bien ce qui alarmera le reporter. En proie aux hésitations de sa propre vie, la quiétude qu’il observe est la rupture la plus insupportable de ce jeu de reflets duquel Jeff pensait, la veille encore, se tenir du bon côté. Privé de ce rassurant et cathartique coup d’avance quant au devenir de son couple, ou pire de sa résolution lugubre, la ténacité dont il devra faire preuve aura pour but de rétablir l’ordre du cadastre amoureux dans lequel s'inscrivait son statut de célibataire endurci.
Dans l'écologie de cette alcôve new-yorkaise, toutes et tous se voient sans se regarder, jouissent sans se toucher, savent sans connaître, mettent à mort sans cadavre, et ce alors que chacun se plaît à rêver d’étreinte ou de liberté, de succès, de répit ou de tranquillité. Le chien inanimé des voisins posé au milieu de la cour figure cet élément sacrificiel, ce pavé dans la mare jeté aux visages des divers locataires, de leurs situations et de leurs aspirations muettes. Leur bref sursaut coïncide alors avec cette seule mort visible de l’intégralité du film, et acculant davantage Thorwald, non en raison de sa simple implication subodorée dans la mort de l’animal, mais parce qu’il n’aura aucunement pris la peine de feindre, avec l’ensemble de la cour, l’affectation polie qu’il était censé témoigner. De ce fait, le cri primal que pousse la propriétaire de la malheureuse bête est l’expression de cette défaillance qui règne dans ce cul-de-sac des passions ; l’indice de son moment de bascule. Il rappelle que les vocalises résonnant sur le visage endormi de Jefferies, et qui annonçaient la première apparition diaphane de Lisa dans la trame de Rear Window, en étaient la version préliminaire : un chant de sirène déjà synonyme de danger.
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Jefferies et Little Nemo, deux rêveurs et deux éveillés.
Les nuits, pour Jefferies, sont propices aux écarts et aux divagations ; elles sont une voûte urbaine faite pour nourrir ses oracles, cherchant à travers la loupe grossissante de son téléobjectif des réponses dans ce catastérisme tantôt attendrissant, tantôt effrayant. Telle son aide-soignante, Stella (qui clame dans l’une des premières séquences avoir prédit le krach boursier de 1929 sur la base de l’auscultation d’un directeur de General Motors), Miss Torso, Miss Lonely Heart, The Songwriter, tous ces noms affublés par Jefferies lui-même aux visages anonymes peuplant sa résidence, sont le dédale de son grand dessin astral privatif à l’égard de la crise affective qu’il traverse. Il lui aura fallu inventer un monstre (Thorwald) qui incarnerait donc cette crise, qui la séculariserait par un nom civil pour lui prêter les contours de ses accusations, inculpant plus lâche et détestable que lui – gage vivant de l’échec marital qu'il cherche tout du long à démontrer. Sous les pressions répétées de Lisa à venir partager sa vie de globe-trotter, cet opportun assassinat lui permettra un temps de remettre sa décision et son jugement entre les mains d’un autre.
Le duel final avec Thorwald, Jeffries le provoquera en ébranlant d’abord l’insouciance de celui qui lui ressemble le plus ; celui qu’il choisit de réveiller en dernier recours pour effrayer celle qui ne connaît rien du monde hormis les cocktails littéraires et les réceptions mondaines. Celle à qui il jure, s’il devait l’épouser, une aventure sans illusions et sans mensonges, crue de ce qu’elle contient de laborieux et de répugnant. Ce croque-mitaine aux cheveux blancs, invité à traverser à son tour ce méridien invisible qui le sépare de ses spectateurs, à briser le quatrième mur, est cette hallucination collective venue in fine réclamer son brevet d’existence spolié. Le regard-caméra lancé par Thorwald, à la découverte de celui qui intrigue depuis le début contre lui, reste glaçant et pathétique car il marque la perte brutale de cette innocence du mal qui le caractérisait jusqu’ici, averti désormais de cet autre homme qui en sait autant que lui sur la vie qu’il mène. Son regard suit le geste de Lisa qui s'est passée à l'annulaire gauche la bague de l'épouse disparue. Sans mot dire, c'est le meurtrier qui vient de bénir leur union.
Venu bientôt prier un peu de clémence auprès du responsable de cette rencontre interdite, Thorwald poussera Jefferies par la rambarde de sa fenêtre panoramique pour que s’interrompe l'inavouable, l'inimaginable qu'ils vivent alors tous les deux. À l’instar d'un Little Nemo dans les bandes dessinées de Winsor McCay, la chute est la clé de sortie pour Jefferies, en même temps qu'il sonne le glas de cette image que symbolisait Thorwald, cette image délogée de son cadre. Une fois ce dernier enfin arrêté par la police, soudain les lois de la gravitation se reconfigurent : les jeunes voisins tout juste fiancés ont la gueule de bois de leur serment ; la température redevient raisonnable ; une gynécée s’implante au cœur de la chambre d’un rêveur. Ses photographies les plus réussies, Jeff confessa à Doyle, son ami détective, les avoir à chaque fois prises durant ses jours de congés. Celle qui lui aura donné le plus de mal ne requit finalement aucune pellicule. Mais, après tout, ainsi sont peut-être toujours faites les vraies images.
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Les idées maîtresses de ce texte sont nées au cours d'une discussion avec Aurélien Lemant, Pierre Pigot et Steven Lambert suite à une projection du film dans le cadre des séances "Les Voyeurs" au cinéma Le Petit Casino de Saint-Aignan, en décembre 2015.
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fidjiefidjie · 5 days
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Bonjour, bonne journée ☕️ 🌤
Fenêtre sur cour🗼Paris 1964
Photo de © Jon Goell
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grandboute · 10 months
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Fenêtre sur cour
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abdou-lorenzo · 9 months
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Ma rage d'aimer donne sur la mort comme une fenêtre sur la cour....💞✨
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Georges Bataille
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mochademic · 1 year
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100 Days of Productivity [Day: 27] || 100 Jours de Productivité [Jour: 27]
rain in the morning makes me nostalgic for when I lived on the coast. I adore that first crisp breath of air when you open the door. being curled up by the fireplace or in front of a window; the grey sky and the deepening shadows.
today I finished course work, added to both the essays I've been working on, & started working on a few new jewelry pieces for an upcoming collection.
currently listening // Joan of Arc. by Barnes Blvd.
La pluie le matin me rend nostalgique de l'époque où je vivais sur la côte. J'adore cette première bouffée d'air frais lorsque vous ouvrez la porte, me blottir près de la cheminée ou devant une fenêtre, le ciel gris et les ombres qui se creusent.
Aujourd'hui, j'ai terminé mon travail de cours, ajouté aux deux essais sur lesquels je travaillais, et commencé à travailler sur quelques nouvelles pièces de bijoux pour une collection à venir.
chanson // Joan of Arc. par Barnes Blvd.
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jeanfrancoisrey · 8 months
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Fenêtre sur cour…
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alexar60 · 1 year
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Changement
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C’était un simple crush, une histoire d’une nuit. Mais au matin, Manon se leva, encore vêtue de son t-shirt déchiré. La rouquine prépara ses pinceaux et invita Paul à la rejoindre. Elle trouvait son visage si charmant qu’elle voulait garder une trace. Dès lors, elle dessina son portrait, usant de la peinture et du temps. Son coup du soir demeurait nu, assis sur une chaise, prenant une position sérieuse et intime. Contrairement à l’artiste qui, sans complexe, n’hésita pas à garder les cuisses ouvertes. D’ailleurs, Paul ne pouvait que profiter de son sexe rasé et sa poitrine généreuse à peine voilée par le tissu blanc de son maillot.
Manon peignait, profitant de son inspiration. Elle dessinait magnifiquement mais ne souhaitait pas exposer ni vendre ce nouveau tableau. Contrairement à ses habitudes, celui-ci n’était qu’une envie, un moment de plaisir, un cadeau pour remercier Paul pour cette jolie nuit passionnée.
Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau, dit-elle.
Paul sourit à cet instant. Cependant, constatant que Manon arrêta de peindre tout en présentant un regard sérieux. Il comprit qu’elle ne voulait pas qu’il bouge, y compris dans la mimique.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Non, répondit-il après une hésitation.
Il avait peur qu’elle rate son œuvre parce qu’il aurait remué les lèvres. Toutefois, elle arrêta de peindre et regarda son amant avec étonnement. Dès lors, il se sentit obligé de se justifier.
Je préfèrerais changer ma vie entièrement…Parfois, j’ai l’impression d’avoir loupé quelque-chose. Que ça ne s’est pas passé comme prévu. Rien ne me plait dans cette vie.
La jeune femme écoutait avec attention. Elle comprenait ce qu’il ressentait. Elle avait bientôt 40 ans, pas d’enfant et une vie, pourtant magnifique, mais triste. Elle avait vécu des moments de galère avant la reconnaissance. Cependant, elle sait que la galère peut revenir à tout moment. Et oui, elle aussi, aurait voulu changer sa vie, si elle le pouvait. Paul interrompit sa perdition soudaine. Aussitôt, Manon se remit à peindre.
Le soir venu, le tableau n’était pas encore fini. Paul proposa de revenir le lendemain soir, car il devait rentrer chez lui. Personne ne l’attendait si ce n’est une pile de dossiers pour le boulot. Il s’habilla puis sortit après avoir embrassé langoureusement Manon.
Dehors, il faisait déjà nuit. Le ciel magnifiquement dégagé, se voilait d’un tapis d’étoiles. Paul marcha longtemps, en repensant à leur discussion sur leur vie. Il se demandait si ce n’était pas l’occasion de se ranger, arrêter des histoires sans lendemain et enfin, de pouvoir vivre une vraie histoire d’amour. Il leva la tête pour admirer la lune. Tout à coup, il aperçut une étoile filante. Cette dernière laissait derrière elle, un éphémère trait argenté. Puis il entra dans son appartement et s’endormit en oubliant cette belle journée.
Chéri, tu vas être en retard !
Paul regarda avec des yeux exorbités la belle brune qui se promenait en jogging dans sa chambre. Elle ouvrit la porte d’une armoire qu’il n’avait jamais vue.  Un coup d’œil par la fenêtre, il n’était pas dans son logement. Lui qui, d’ordinaire, voyait une petite cour, se trouvait à découvrir une avenue ou un boulevard. Il se leva, approcha de la femme  qu’il ne connaissait pas. Il allait poser une question lorsqu’il entendit parler. Dès lors, il approcha de la cuisine. Deux petites filles, assises autour d’une table, mangeaient une tartine et buvaient un bol de chocolat.
Bonjour papa ! dirent-elles en cœur.
Hé bien Paul, tu ne t’habilles pas ? Tu vas être en retard.
Et toi, tu ne travailles pas aujourd’hui ? demanda Paul.
Elle sourit à sa question  Cependant, ce n’était pas la première qui lui venait en tête. Mais il ne savait pas comment expliquer qu’il y avait erreur. Il n’était pas marié, n’a jamais eu d’enfant. Et brusquement, il se retrouvait avec une femme et deux gamines dans un appartement qui ne lui disait rien.
Tu sais bien que le mardi, je suis en télétravail, annonça la femme.
Elle pria les filles de prendre leur cartable et les accompagna jusqu’à l’école. Pendant ce temps, Paul se lavait puis quittait à son tour l’appartement pour rejoindre son bureau.
Durant tout le trajet, il interrogea son esprit. Comment était-il possible qu’il ait changé de vie en une nuit ? Les vœux se réalise-t-il ? Il n’avait pas changé d’apparence. Il n’avait pas pris la vie d’un autre. Il était bien lui, mais ne comprenait rien de ce qu’il lui arrivait.
En entrant dans le hall, l’hôtesse d’accueil le regard avec insistance. Paul passa, comme tous les jours, montrant un grand sourire et en disant bonjour. Il partait en direction de l’ascenseur pour rejoindre son bureau minable, encerclé de cloisons qui n’empêchait pas d’entendre les discussions de ses collègues. Seulement, il fut arrêté.
S’il vous plait, monsieur ! Avez-vous rendez-vous ?
Je travaille ici, répondit Paul avec étonnement. Vous ne me reconnaissez pas Mathilde ?
Surprise d’entendre son prénom de la bouche d’un inconnu, Mathilde resta bouche bée. Puis, elle reposa la question. Paul continuait d’affirmer qu’il travaillait dans cette entreprise depuis quatre ans. Finalement, il demanda qu’on appelle son collègue de bureau.
Norbert n’avait pas changé. Petit gros, les cheveux gris, il sortit de l’ascenseur avec son air patibulaire connu. Il commença par engueuler Mathilde tout en dévisageant Paul et un agent de sécurité. Et quand Paul le salua. Il chercha dans son esprit s’il l’avait déjà rencontré.
Non, désolé, je ne vous connais pas, dit-il. Et ne m’appelez pas pour ce genre de foutaise…Déjà que j’étais en pleine réunion !
Il partit sans écouter les appels de Paul. Celui-ci, sentant qu’il n’était pas le bienvenu, quitta le hall surveillé de près par la sécurité. Toutefois, une fois dans la rue, son téléphone sonna.  L’écran afficha un nom qu’il ne connaissait pas. Cependant, il répondit et entendit une voix d’homme
Bonjour Paul, Vous allez bien ? Parce que vous ne nous avez pas prévenu de votre absence.
Oui, ça va. Mais je devais aller où ?
Bin, à la Sorbonne. Vous avez votre cours.
Choqué, il attendit et n’eut pas le temps de parler.
Vous êtes sûr que vous allez bien ? Je peux annuler vos cours de la journée.
Non, ça va. Je...j’arrive.
Paul prit le métro et descendit à Maubert-Mutualité. Il remonta la rue et entra dans l’université par la porte principale. Il ne savait pas où aller ni quoi faire. Il resta hagard jusqu’à ce qu’il croise un étudiant qui le salua. Dès lors, il profita de la discussion pour en savoir plus. Et il apprit ce qu’il n’aurait jamais pensé. Il était professeur de grec ancien.
Après avoir écouté le jeune érudit. Paul s’arrêta devant une salle de cours. Une vingtaine d’élèves attendait patiemment tout en discutant. Son entrée imposa le silence. Il posa une valisette sur la table avant d’observer les étudiants. Le grec ne s’apprend pas. Il avait quelques notions mais cela datait du collège. Il prononça un bonjour obtenant la pareille de ses élèves.
Vous ai-je déjà donné un exercice à faire ? Une traduction ?
Oui, répondit un étudiant.
Immédiatement, il lui proposa de venir au tableau et de traduire le texte étudié. En écoutant, le jeune homme, Paul réalisa qu’il comprenait tout comme s’il parlait couramment le grec ancien. Il s’étonna en corrigeant lui-même quelques erreurs d’accents et de grammaire. Le cours lui parut normal, tout comme la journée.
Au moment de quitter la Sorbonne, son téléphone sonna de nouveau. C’était son épouse.
A quelle heure rentres-tu ? demanda-t-elle.
Je ne sais pas encore.
Si tu vas chez Manon, ne rentre pas trop tard comme hier, s’il te plait. Ce matin, tu m’as paru déboussolé.
Manon ?
Oui, Manon, la peintre.
Il ne s’attendait pas à connaitre déjà Manon. Dans sa nouvelle vie, c’était une amie, alors qu’il l’avait rencontrée la veille. Il se dirigea chez elle. Peut-être avait-elle des explications ? Il reconnut la rue, le même immeuble. Il grimpa jusqu’à son atelier qui servait aussi d’appartement. Il sonna et entendit crier : « C’est ouvert ».
Sans hésiter, le professeur de grec entra. Manon était assise, elle peignait un tableau. La vue de Paul s’attarda sur la raie de ses fesses, indiquant qu’elle ne portait qu’un maillot à moitié déchiré. Elle tourna la tête lorsqu’il toussa.
Oh Paul, je ne t’attendais pas. Je pensais qu’on aurait continué ton portrait demain. (Elle se leva pour faire la bise). Tu vois j’étais en train de faire quelques retouches.
Paul découvrit son portrait nu, assis comme il l’était hier. Elle proposa de reprendre où ils en étaient. Il se retira dans la chambre, se déshabilla et revint s’assoir. Manon se mit à peindre de suite.
Excuse-moi, Manon, mais, on se connait intimement pour que tu restes…
Pour que je reste à poil ? Non, on n’a jamais couché ensemble. C’est une habitude pour mettre à l’aise mes modèles. Je me mets à poil quand ils le sont. Et puis, je ne couche pas avec les maris de mes amies.
Et pourquoi, je pose nu ?
Un cadeau pour Fabienne. Enfin, c’est ce que tu m’avais dit. Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau
Paul sourit à cet instant parce qu’il avait déjà entendu Manon prononcer ces mots.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Cette fois-ci Paul ne répondit pas. Cette nouvelle vie lui paraissait plus belle.
Alex@r60 – août 2023
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chicinsilk · 9 months
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Grace Kelly (Lisa Carol Fremont) in a green suit created by Edith Head for the film "Rear Window" directed by Alfred Hitchcock in 1954.
Grace Kelly ( Lisa Carol Fremont) en tailleur vert créé par Edith Head pour le film "Fenêtre sur cour" réalisé par Alfred Hitchcock en 1954.
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ayadarkraicute · 6 months
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Malleus fait sa promenade nocturne en passant par le dortoir de Ramshackle qu'il croyait inhabitable mais il a remarqué qu'il y a des lumières sur les fenêtres, en face du grillage de ce dortoir il y a une jeune fille regardant vers le ciel. Par curiosité Malleus avance de plus près et pour la première fois qu'il a vu une humaine avec des cheveux bruns, yeux bleus, deux cicatrices une sur la joue et sur le coup et uniforme bleu.
??? : Que c'est joli cette lumière verte. On dirait des feux feu follet ! *Se retourner* Hum ? Oh bon soir !
Malleus : Oh bon soir, je t'ai jamais vu ici ?
??? : Oh parce que ma grande sœur et moi on est apparue il y a quelques jours et on cherche un moyen pour rentrer dans notre monde !
Malleus : Dans votre mode ?
??? : C'est un peu compliqué, ma sœur et moi même on est téléporté dans ce monde, ma sœur Zafira croyait que le directeur de ce collège nous a kidnappés. Hé hé ^w^'
Malleus : Je vois... Et comment t'appelles-tu ?
??? : Je... je m'appelle Yuri ! Et toi comment tu t'appelles ?
Malleus : Moi je suis... non attend je préfère que tu restes sur l'ignorance !
Yuri : Hein pourquoi ?
Malleus : C'est pour ton bien je t'assure, à la place je te donne la permission de me donner par le nom ce que tu désires !
Yuri : Oh d'accord je vais réfléchir un peu... bon sens bon soir ça va être compliqué...
Zafira : Yuri ! Rentre il est tard !
Yuri : Ah désolé on se verra peut-être demain ou pendant les cours.
Malleus : Alors je te dire à très bientôt l'enfant l'homme.*se téléporté*
Yuri : *Pense : l'enfant l'homme ?* Oui bonne nuit.
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olympic-paris · 1 month
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saga: soumission & Domination 242
WE avec Alban
Après une nuit agitée et un réveil tardif, nous retrouvons Alban devant un café. Il nous dit avoir dormi comme un bébé. Il faut dire que Pierre (notre architecte) a particulièrement soigné l'isolation acoustique, aussi bien des fenêtres (et depuis, la serre ajoute un écran supplémentaire avec le monde extérieur) qu'entre les pièces ou les niveaux.
PH lui dit qu'il a bien fait d'emmagasiner des forces car ce soir il en aura besoin. Quand Alban cherche à en savoir plus, il se heurte à un mutisme généralisé. Vu l'heure, nous brunchons. Aux plaques, Ammed fourni à la demande, oeufs brouillés, pancakes, je suis le premier à prendre une entrecôte grillée, bientôt suivit par mes trois compères alléchés par l'odeur.
Dans l'après midi, arrivent nos invités. Les premiers à nous rejoindre sont Franck et Louis. Pierre et Olivier arrivent sur leurs talons. Ce dernier demande aussitôt à voir l'installation de la sculpture. Alban nous accompagne. Une fois rassuré sur son implantation, il prend le temps d'admirer l'oeuvre. Il adore et le dit à l'artiste. A moi, en aparté, il demandera le prix, intéressé d'acquérir lui aussi une de ses oeuvres. Ric nous rejoint, je lui devais une touze pour son service auprès de DGSE (même s'il en tire lui-même un plaisir à hauteur de ses particularités SM). Quand il se met à l'aise, Alban ne peut retenir un sifflement approbateur. Effectivement, si nous, nous sommes habitués à son physique légèrement hors norme, il est quand même méchamment musclé. La réciproque semble acquise, Ric n'hésitant pas à trébucher sur un obstacle imaginaire pour tomber dans les bras d'Alban. Ce n'est que vers 19h30 que nous rejoignent Eric et Cédric. Ce dernier devient une véritable réplique, une taille en dessous, de Ric, l'inscription à sa salle de muscu lui a été profitable tout comme les conseils de Ric.
Alors que je croyais tout les invités arrivés, nouveaux coups de sonnette. Marc répond et laisse entrer. La surprise est là. Hervé et Ernesto sortent du monte-charge !
PH et moi ne pouvons nous retenir et c'est avec des cris de fous que nous serrons notre ami dans les bras. Les hurlements cessent quand nous mélangeons nos langues. On nous laisse tranquille quelques instants puis, sous les yeux éberlués d'Alban, Hervé tente de récupérer son espagnol mais c'est avec l'aide de tous les autres qu'il réussit à nous séparer. Présentation d'Alban à Hervé et Ernesto qui se fait dévorer des yeux par notre sculpteur.
La soirée commence doucement. Apéro autour de l'oeuvre d'Alban et premières prises de photo de couple en position. Comme pour imiter la sculpture, il faut se mettre nu, à la fin de la séance tout le monde l'est et bande plus ou moins. Ce qui est bien du " numérique " c'est qu'on peu tester le meilleur éclairage et voir tout de suite le résultat. Nous avons commencé par les couples. Eric et Cédric, Franck et Louis, Hervé et Ernesto, Pierre et Olivier. Marc se fait photographier une première fois avec moi puis avec PH. Je remets ça avec Ric, question muscles, c'est notre " couple " qui se rapproche le plus de l'oeuvre d'Alban. Quoi que ! L'ensemble Eric et Ric semble encore plus coller à l'oeuvre. De plus la différence de couleur reflète la différence de traitement de surface des deux hommes de la sculpture, bronze mat et bronze poli.
Pour terminer avec les photos, Alban me demande de prendre la pose et fait tourner dans mes bras tous les participants y compris lui-même. Il considère que c'est le privilège du " propriétaire ". Le dernier NIKON D600 à 24 millions de pixel permet la projection en grand format sans perdre trop de précision.
Du coup, la touze démarre sur la terrasse. Heureusement qu'Emma m'a offert sa couverture. Le chauffage du jardin tropical de l'ancienne cour maintien une température suffisante pour que nous puissions évoluer à poil sans craindre d'attraper la grippe.
Alban est vite dans le bain avec Ernesto et Ric accrochés à lui. Un peu jaloux, je m'approche du trio et surtout d'Ernesto que je n'avais revu depuis la fin de l'été. Ernesto est tout content de me voir arriver. Nous nous roulons un patin avant que les deux autres s'interposent. A 4 langues c'est plus délicat à gérer, mais on y arrive et au niveau du dessous ça bande dur ! Comme nous sommes près de la piscine, je fais tomber tout notre petit groupe dans l'eau. Le bruit attire les autres et, une fois décollés, ils nous rejoignent les uns après les autres. Du coup petit intermède aquatique, même si ça continu à se rouler des patins et à se branler sous l'eau. Avant qu'il y en ait un qui jute dans l'eau, Marc fait sortir tout le monde. Sur l'herbe artificielle, la touze reprend. Je laisse Ric dans les bras d'Alban et retrouve PH et Ernesto. Tout content de nous retrouver nous nous isolons un peu des autres et passons la première partie de la touze à fêter nos retrouvailles. Bien qu'il soit désormais avec Hervé, Ernesto ne boude pas nos bites ni nos culs. Et réciproquement, nous aussi jouons avec sa belle queue et sa rondelle accueillante. Evidement, ça fini par des pénétrations diverses. Nous ré entrainons nos gorges aux pénétrations très profondes, les 24cm d'Ernesto exigeant une souplesse accrue de nos larynx. Mais quand on est motivé... ce n'est qu'une question de temps, enfin pas des années non plus, quelques coups de bites en profondeurs progressives et il nous les met entiers dans nos bouches. Ça commence par des pipes et fini en sodo. A nous trois, nous essayons toutes les combinaisons de trio. Les bites passent de bouches en cul (kpotées). PH comme moi, apprécions les cm bien larges de notre ibère préféré. Quand je me souviens de ses première sodos, il s'est bien amélioré et il nous pénètre sans douleur. Entre deux coups de rein, je lui demande où il en est avec Hervé. Il me dévoile tout bas qu'il a réussit la veille à le sodomiser à son tour. Ça m'excite et je me promets de tenter le coup avant la fin du WE. L'ambiance touze devrait bien m'y aider. Nous finissons notre première jouissance, Ernesto enfilé dans PH et moi-même dans son cul.
Enlacés, nous rejoignons les autres. Ils ne sont pas encore " mûrs " et les bites s'activent encore partout. Bouches et culs en sont pleins. Je remarque qu'Alban s'enfile Ric qui semble lui faire, avec son anneau, un traitement sur sa queue qui l'emmène doucement vers l'explosion. Je passe dans son dos et lui pince les tétons. Il me capte et me demande qui est ce ouf qui lui trait la bite comme un pro ? Quand je lui dis que ce n'est que mon petit Ric que j'ai initié et formé depuis 4 ans, il me dit que j'ai fait un travail impeccable. Il se tait, trop occuper à écouter son corps réagir. Je reste avec eux jusqu'à ce qu'Alban explose dans sa kpote. Avant qu'il n'ait finit de juter, je pince durement les tétons de Ric, ce qui a pour effet de le faire exploser à son tour et emprisonner dans un dernier spasme de son anneau la bite d'Alban.
Ils se décollent et, Alban, allongé sur le dos me dit dans un souffle qu'on ne lui avait jamais fait un tel effet. Ric se retourne et vient lui rouler une pelle de remerciement.
Je les laisse et vais plus loin. Mon Marc et Hervé se font Cédric à deux. J'arrive quand ils commencent la double pénétration sous les conseils avisés d'Eric. Faut dire qu'Eric l'a habitué à ses 26 x 7 et qu'il prend vraiment son pied à se faire écarter la rondelle. Marc est couché et Cédric le chevauche. C'est dans cette position, le torse collé à celui de Marc qu'il se prend sa deuxième queue. Hervé, pour qui c'est la première fois hésite un peu et n'ose pas forcer pour rejoindre Marc. Il faut que ce soit Eric qui lui dise d'y aller carrément. Il va même jusqu'à pousser ses reins pour qu'Hervé s'enfonce enfin. Quand il est enfin au fond de Cédric, Hervé laisse échapper un gémissement de plaisir. Il lime le beau petit cul de Cédric en compagnie de Marc et trouve cela hyper-bandant. Il est encore dans cette position quand Ernesto arrive. C'est amusant de voir Hervé sursauter, légèrement honteux, jusqu'à ce qu'Ernesto lui demande, après lui avoir roulé un patin, s'il prend bien son pied. Eric ayant prêté son " régulier ", il est tout bandant. Avec Ernesto je m'agenouille et, ensemble, nous lui prodiguons une pipe. Vu la taille de son engin, nous n'avons aucun mal à trouver chacun un morceau de peau où poser nos lèvres ou la langue.
A nos cotés, Cédric couine sous les assauts de Marc et Hervé. Eric a pris nos têtes dans ses mains et oriente notre double pipe à sa guise. Je me retrouve la gorge défoncée par son gland quand Ernesto fait rouler ses boules sous sa langue. Sa pression monte en fonction des gémissements crescendos de Cédric. Et comme Cédric explose, il me repousse et nous couvre de son sperme. Il ne fait pas une minute pour, qu'à leur tour, Hervé et Marc remplissent leurs capotes.
Une fois tout le petit groupe remis de ses émotions, Hervé remercie Eric pour le cul de son p'tit mec alors que Cédric vient nous rouler une pelle à Ernesto et moi pour nous remercier de lui avoir prêté nos mecs. Il les a trouvés très efficaces. Cela a déclenché un éclat de rire généralisé.
On s'est alors aperçu que tous avait finis de baiser. Comme d'habitude, Samir et Ammed sont arrivés avec de quoi essuyer les " dégâts " et nous prévenir que le diner était servi.
Nous enfilons rapidement après les avoir un peu cherchés, qui un slip, qui un boxer avant de descendre.
Samir et Ammed nous avaient préparé le diner à la romaine. Tous les plats sur la table basse et arrangés autour les fauteuils-repose pieds et les canapés avec des tables basses pour soutenir les verres. Les couples se refont et si, avec PH et Marc nous squattons un des grands canapés, Alban s'installe près de nous avec Ric. Les entrées diverses sont rapidement avalées, chacun ayant à coeur de refaire ses batteries. Nos deux cuisiniers s'étant surpassés, ils récoltent des louanges de tous nos invités. Comme nous sommes tous de bons carnivores, la suite, constituée d'un choix (ou un cumul pour certains) de volailles, rôtis et gigots, reconstitue nos besoins en protéines. L'arrive des desserts se fait sous les vivats.
Après le café, nous entrons les photos dans le PC qui est relié au vidéoprojecteur du feu. Samir envoi les poses. Les résultats sont superbes. Ensemble nous choisissons les meilleures et effaçons les autres. La soirée continue sur un mode plus affectueux que sexuel. La discussion porte surtout sur l'art et les sculptures d'Alban. Franck nous demande l'adresse de la galerie de Bo-gosse et nous prévient qu'il va y envoyer son grand père. Pierre, lui, veux connaitre le catalogue d'Alban et pense que certains de ses clients seraient demandeur d'intégrer ses sculptures dans l'architecture de leurs maisons particulières. Marc lui rappelle que nous avons la priorité et nous expliquons aux autres la commande que nous avons passée de deux cariatides mâles destinées à " soutenir ", dans cette même pièce, la piscine de la terrasse. Franck nous dit que ça pourrait être sympa d'agrémenter l'entrée de la salle de sport du second d'un " athlète ". Je le remercie de l'idée et du budget supplémentaire ! Alban nous dit qu'à la 6ème sculpture que je lui aurais vendu, il me la fait gratuite.
PH dit alors que cela ira vite, déjà 3 chez nous, plus une sûr cher Henri et Kev, une chez le grand père de Franck, il ne suffira plus qu'une par Pierre et ce sera bon. Et comme ce dernier m'assure avoir déjà un client en tête et peut être même deux, c'est quasiment fait.
Comme la nuit est déjà bien avancée, nous allons tous nous coucher. Après avoir ouvert les différentes chambres d'amis et laissé nos invités s'y mélanger, je regagne la notre en compagnie de PH et Marc. Sevrés de notre Ernesto depuis plus d'un mois, nous avons du mal à le laisser nous décoller. Marc voit ça et fait une entorse à notre règlement en l'invitant avec Hervé à nous rejoindre. A ce dernier un peu gêné, il nous montre tous les trois collés et tellement content de sa décision.
Si notre salle de bain n'est pas aussi grande que celle de la salle de muscu, nous arrivons à nous mettre tous les trois sous la douche. Puis, en attendant nos mecs, nous nous couchons au centre du lit et enlacés, nous sombrons dans le someil. Marc me dira le lendemain matin qu'ils nous avaient trouvés les bras et les jambes emmêles et qu'ils s'étaient mis chacun d'un coté de l'amalgame pour dormir à leur tour.
Jardinier
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frenchcurious · 1 year
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Grace Kelly et James Stewart sur le tournage de Rear Window (Fenêtre sur cour) d'Alfred Hitchcock (1954). - source TCM, Turner Classic Movies.
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equipe · 11 days
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Notes de mise à jour
🌟 Nouveautés
L'auteur d'un billet d'une communauté reçoit maintenant une notification quand ce dernier atteint 10 réactions (sans compter les siennes). Nous espérons ainsi limiter le volume de notifications envoyées aux auteurs de billets à succès dans les communautés populaires.
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Les utilisateurs non connectés, possiblement nouveaux venus sur Tumblr, peuvent à présent soumettre la création d'une nouvelle communauté. En amont de sa validation, il leur sera demandé de se connecter ou de s'inscrire avant de pouvoir en profiter.
🛠️ Correctifs
Les recommandations du carrousel "Découvrez ces blogs" qui sont ignorées ne sont dorénavant plus jamais proposées.
Les certificats SSL renouvelés de nouveaux domaines personnalisés ne fonctionnaient pas correctement. Suite au correctif, tous les certificats SSL des domaines concernés sont maintenant opérationnels.
Correction d'une anomalie qui empêchait l'accès aux archives et aux pages de blogs rattachés à un domaine personnalisé.
Sur le Web, les raccourcis clavier étaient toujours opérationnels pendant l'affichage de certaines fenêtres. Par exemple, appuyer sur "L" pouvait donner un coup de cœur à un billet en arrière-plan même si une fenêtre était affichée au premier plan.
Sur le Web, une option permettant de bloquer une communauté était proposée dans la section Trafic alors qu'elle était inopérante. Elle a été remplacée par la fonction permettant tout simplement de quitter une communauté.
Les informations affichées dans la section Tags d'une communauté ont été affinées afin d'indiquer clairement qu'ils sont avant tout utiles pour en favoriser la découverte.
De menues améliorations visuelles ont été réalisées dans la fonction Communautés afin d'optimiser encore davantage l'espace utilisé.
🚧 En cours
Nos équipes sont au fait que certaines pubs peuvent interrompre la lecture audio en arrière-plan sur iOS et un correctif est en préparation. Nous avons également reçu des signalements d'étranges sons de "criquet" constatés dans l'application… Il semblerait que les deux problèmes soient liés. 🦗
🌱 Prochainement
Aucune nouveauté à annoncer cette semaine.
Vous rencontrez un problème ? Consultez les problèmes connus ou écrivez-nous (en anglais) et nous reviendrons vers vous aussi vite que possible.
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ernestinee · 8 months
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Cette nuit, j'ai pu observer depuis ma fenêtre la constellation d'Orion bien reconnaissable aux trois étoiles rapprochées de sa ceinture, et Bételgeuse la plus brillante sur son épaule, j'ai vu Sirius en bas à gauche d'Orion, qui est la plus brillante de la constellation du Grand Chien, j'ai vu le Petit Chien un peu plus haut, et aussi les Gémeaux, en haut à gauche d'Orion.
Bételgeuse est déjà morte mais il faut 650 ans pour que sa lumière nous parvienne. Du coup, autour des années 2300, on verra d'ici son explosion, alors elle sera tellement lumineuse qu'elle sera visible même en plein jour.
Tout ce petit groupe est maintenant au nord-ouest sous la ligne d'horizon. De ma fenêtre, en plein sud, on pourrait voir la constellation de la balance et celle du Scorpion juste à sa droite, mais il fait déjà trop clair.
On est le 28 janvier, ça fait aujourd'hui 28 ans que mon père est décédé. Lui aussi, dans ma vie qui suit son cours avec des hauts et des bas, sa lumière continue de me parvenir.
Et le ciel est là, fidèle point de repère dans nos errances.
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