#En plein Vol
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MOVIE: En plein vol
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Watch The Full Movie : https://sites.google.com/view/enpleinvol/accueil
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NETFLIX : En plein Vol : Un Braquage Spectaculaire en Altitude [Bande Annonce] 🎬
En plein Vol, le dernier film de braquage de Netflix, offre une aventure audacieuse et captivante avec un casting international de premier plan, comprenant Jean Reno, Kevin Hart, Gugu Mbatha-Raw et Sam Worthington. Réalisé par F. Gary Gray et écrit par Daniel Kunka, le film est une prouesse cinématographique mêlant habilement action et comédie. Un voleur d’œuvres d’art chevronné, interprété par…
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#Altitude#bande annonce#Braquage Spectaculaire#cinéma#En plein Vol#Film NETFLIX#Gugu Mbatha-Raw#Jean Reno#Kevin Hart
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En plein vol : succès sur Netflix, une suite possible
Le film d’action « En plein vol », dirigé par F. Gary Gray et mettant en vedette Kevin Hart, connaît un immense succès sur Netflix, se positionnant comme l’un des films les plus regardés avec 32,8 millions de vues en seulement trois jours. Cette performance fulgurante pourrait ouvrir la voie à une éventuelle suite. Le braquage aérien captivant, doté d’un budget de 100 millions de dollars et…
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Last week something happened. A strange feeling that I had forgotten, buried deep within my being. I watched FFVII Rebirth and my heart exploded in mid-flight, aboard the Tiny Bronco. I was suddenly propelled back almost 20 years, to the time when I discovered the game, to the time of Advent Children which had given me a cosmic slap in the face. These two resurfaced from the depths of my being, took me by the hand and led me into their adventures with all the fantasies that it aroused in me. I feel like Vincent waking up from a long sleep, and connecting with myself. I'm getting back to writing. I write about them. My desires for drawings are made only of them. I live again. I find this bit of madness and excitement that had abandoned me following several burnouts and depression. This illustration is just the beginning. The start of a new adventure.
*********** La semaine dernière il s'est passé quelque chose. Une drôle de sensation que j'avais oublié, enfoui au plus profond de mon être. J'ai regardé FFVII Rebirth et mon cœur à exploser en plein vol, à bord du Tiny Bronco. J'ai été brutalement propulsé presque 20 en arrière, à l'époque où j'avais découverte le jeu, à l'époque d'Advent Children qui m'avait foutu une claque cosmique. Ces deux là on ressurgit du fin fond de mon être, m'ont pris par la main et mon entrainé dans leurs aventures avec tout les fantasmes que cela suscitait en moi. Je me sens comme Vincent se réveillant d'un long sommeil, et me connectant à moi même. Je me remet à écrire. J'écris sur eux. Mes envies de dessins ne sont fait que d'eux. Je revis. Je retrouve ce brin de folie et d'excitation qui m'avait abandonné suite à une plusieurs burn out et dépression. Cette illustration n'est que le début. Le début d'une nouvelle aventure.
#ff7 rebirth#ff7#fanart#final fantasy#final fantasy 7#final fantasy vii#vincent valentine#cid highwind#valenwind#my fanart
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Pour l'anniversaire de Lavi, il va y avoir tout pleins de goodies à acheter au Japon ( les veinards ; . ; ) . Voici le lien vers les site au cas où : Pop-up
Mashikaku Can Badge (Aveugle) vol.1
Prix : 550 yens (taxes incluses) / set 11 000 yens (taxes incluses) Nombre de types : 20 types (dont 2 types secrets) Taille : environ 58 mm x 58 mm
Carte de collection (aveugle) vol.1
Prix : 550 yens (taxes incluses) / set 6 600 yens (taxes incluses) Nombre de types : 12 types Taille : Environ 55 mm x 91 mm
Autocollant (aveugle) vol.1
Prix : 660 yens (taxes incluses) / set 7 920 yens (taxes incluses) Nombre de types : 24 types au total (1 paquet contient 2 pièces) Taille : environ L47 mm x H79 mm
Aimant carré (aveugle) vol.1
Prix : 660 yens (taxes incluses) / Ensemble 9 240 yens (taxes incluses) Nombre de types : 14 types Taille : Environ 55 mm x 80 mm
Aimant carré (aveugle) vol.2
Prix : 660 yens (taxes incluses) / Ensemble 9 240 yens (taxes incluses) Nombre de types : 14 types Taille : Environ 55 mm x 80 mm
Mini toile d'art (aveugle) vol.1
Prix : 1 100 yens (taxes incluses) / Ensemble 16 500 yens (taxes incluses) Nombre de types : 15 types Taille : Environ 84 mm x 63 mm
pince à cheveux en acrylique
Prix : 770 yens chacun (taxes incluses) Nombre de types : 5 types
porte-clés en acrylique pailleté
Prix : 1 430 yens chacun (taxes incluses) Nombre de types : 4 types
pochette transparente
Prix : 1 760 yens chacun (taxes incluses) Nombre de types : 4 types
Prix A : Art sur toile, 100 pièces gagnantes, 5 types au total Prix B : Mini charms, 520 pièces gagnantes, 13 types au total Prix C : Bromure magique, 12 types au total
*Pour le prix A, vous pouvez choisir votre design préféré . Selon l'heure de votre visite, vous ne pourrez peut-être pas sélectionner le modèle souhaité. Veuillez noter. *Les prix B et C sont distribués aléatoirement, vous ne pouvez donc pas choisir le design.
Voilà voilà ..... comment voulez-vous ensuite ne pas vouloir habité au Japon ? ; . ; Si seulement ces produits sortait du Pays pour venir chez nous ; . ;
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Scène 1 "Une femme mure sur la plage"
Déjà presque une année écoulée depuis ces vacances passées chez mes parents dans le sud-ouest de la France. C’était en pleine saison au mois d'août, je me souviens encore des senteurs et sensations d’aller courir chaque matin avant d’aller piquer une tête dans l’océan pour conclure cette activité de remise en forme. Ces sensations qui restent dans la mémoire comme des moments marquants de la vie où tout est calme, où on ressent la sérénité du présent, où la vie semble sans contraintes.
J’avais passé l’âge de passer des vacances chez mes parents mais cette année là les voyages étaient encore limités et j’avais à coeur de voir mes parents après cette période surréaliste où la moitié de la planète avait passé plusieurs mois confinée. Ce virus COVID-19 qui a touché tous les pays du monde et cette mise en quarantaine qui nous a coupé de nos proches pendant plusieurs semaines et tant de victimes. Comme la plupart des gens, les vacances d’été se réduisaient à des distances accessibles en train ou en voiture, les vols à l’autre bout de bout monde encore déconseillés.
J'aimais me lever tôt pour aller courir, profiter de la fraîcheur matinale et du calme avant le trafic des vacanciers qui abondaient sur les plages et les coins touristiques.
Depuis quelques jours j’avais remarqué cette femme venant profiter de la plage, comme moi elle semblait préférer la tranquillité avant l'arriv��e de la foule. La 1ère fois que je l’avais aperçu, étant seul sur la plage avec elle, je me disais qu’elle m'avait obligatoirement remarqué. Je me souviens comme si c’était hier, je voulais me rafraichir après mon footing matinal, je n’avais pas résisté à l'envie de rester sur la plage alors que je n'avais ni serviette ni affaires de rechange. J'étais étonné de voir cette femme seule à cette heure, comme si elle commençait sa journée de plage, installée sur sa serviette, en maillot de bain avec un petit haut couvrant son buste de la fraîcheur
Elle lisait et avait tourné la tête en me voyant passer pour aller me baigner. J'avais posé mes runing, mon short et mon tee-shirt au bord de l'eau avant de plonger dans la mer encore fraîche. Je lui tournais le dos, elle était installé à une 20aine de mètre plus haut sur la plage, je n'avais pas osé me retourner mais bien qu'étant allongée sur le ventre, tournant le dos à la mer, j’avais imaginé qu’elle avait tourné la tête pour me regarder me dévêtir avant de plonger en boxer dans l’eau calme comme si la mer accueillait son 1er baigneur de la journée. Quand je revenais vers le bord, elle avait changé de position, assise sur sa serviette, le regard plongé dans son livre mais elle s'était retournée, peut-être pour profiter de l'océan et me regarder nager. Je trouvais cet instant troublant et la situation presque intime.
Depuis ce jour là, je revenais tous les matins, à la même heure, espérant retrouver cette femme qui lisait sur la plage. Avait-elle remarqué que je la regardais ? Pensait-elle que je venais dans l'espoir de l'aborder, la draguer ? Raisonnablement je n'y croyais pas trop, j'étais beaucoup plus jeune qu'elle, et visiblement ce n'était pas le genre de femme qu’on aborde facilement. C'était l'impression qu'elle me donnait.
Une belle femme mure, qui devait avoir 55 ans bien sonnés, des formes matures, des cuisses charnues, un belle peau soignée. Malgré le soleil estival, sa peau à peine hâlée, encore assez blanche me laissait imaginer qu'elle avait dû arriver depuis peu. Un détail avait capté mon attention plus particulièrement, cette femme aux airs et attitudes un peu « bourgeoises » semblait prendre soin d’elle, elle n’était pas grosse mais des formes qui s’arrondissent avec les années de manière plus ou moins harmonieuses mais pleines de charme. Un visage assez fin encore mais quand elle s’était levée pour aller se baigner, son fessier m’avait captivé, il était large, charnu et marqué par les années tout en étant très agréable au regard. Un cul assez gros pour dire les choses de manière trivial mais un cul comme je les aimais et qui me faisait rêver surtout chez une femme mure. J'avais remarqué cette femme il y a 3 jours, depuis je suis repassé le matin à la même heure, elle était là au même endroit. Depuis je m'étais calé sur son horaire pour venir profiter de la plage et de sa présence qui agrémentait mes sorties footing et ma baignade matinale
Est-ce qu'elle se demandait ou se doutait qu'elle me faisait fantasmer ? moi un jeune homme de 27 ans qui venait tous les matins en même temps qu'elle, toujours au même endroit, un peu en retrait à quelques 10aines de mètre d'elle. Suffisamment en retrait pour ne pas l'agresser, comme si je voulais faire parti de son décors, l'habituer à ma présence pour me donner le droit de lui dire « bonjour ! », de lui parler comme un habitué de la même plage, à la même heure. Comme pour partager cette discrète complicité et la rassurer de ma présence à quelques mètres d'elle. Pour vivre ce moment, à la surprise de mes parents, j’avais pris cette habitude de me lever tôt tous les matins, pour profiter de ce moment privilégié qui devenait onirique et alimentait mon fantasme pour les femmes mures.
Chaque matins elle allait se baigner, faire quelques brasses et revenait sur sa serviette en profitant de l’océan calme avant de se replonger dans son livre le temps que les 1er touristes arrivent bruyamment sur la plage. Je n'avais pas encore osé aller me baigner en même temps, lui parler ne serait-ce que lui dire bonjour comme si elle devait forcement me reconnaitre. Je ne savais pas combien de temps elle resterait mais elle était en vacances et j'avais la sensation que j'avais le temps, qu'elle resterait indéfiniment le temps de mes vacances. Je sentais qu'elle s'habituait à ma présence, que je faisais parti de ce moment qu'elle s'octroyait tous les matins, avant que les vacanciers viennent encombrer la plage.
Depuis 3 matins elle était là, entre 7h30 et 7h45, l'heure où les gens dormaient encore, où l'eau est encore froide et chaque matin depuis 3 jours j'étais là en espérant la retrouver à la même place sans personnes aux alentours. Je ne savais pas comment l'aborder à part un simple bonjour mais elle était trop loin pour lui parler et je n’osais pas aller l’aborder et pour quelle raison d’ailleurs ! je voulais pas qu'elle se sente agressée. Je m’encourageais en me disant que je devrais aller me baigner en même temps qu'elle, ça serait plus facile de discuter, lui parler de la température de l'eau, du calme, de l'heure matinale ... des choses banales, anodines qui me permettraient de créer un contact, d'entendre sa voix et sentir si elle était ouverte à la discussion. "Demain je le ferai" me disais-je ! comme un défi à relever mais ça faisait 2 jours que j'essayais d'imaginer un moyen de l'aborder et que je finissais par me convaincre que ce serait mieux le lendemain. Comme si j'espérais que l’initiative vienne d’elle, considérant que mon âge ne me permettait pas d’aborder cette femme devenant de plus en plus inaccessible.
Je la regardais du coin de l'oeil, elle se levait pour aller se baigner, j'hésitais à me lever, attendre un moment pour la rejoindre mais je craignais de casser la magie de ce moment matinal qui agrémentait mes vacances et j'avoue aussi mes soirées. J’étais troublé en pensant à elle le soir en me couchant. J'imaginais des situations qui finissaient par réveiller mon sexe au point de me caresser en échafaudent des plans que je savais pertinemment irréalisables mais ces rêves érotiques étaient des plus agréables. J’essayais de l’imaginer, telle que je l’avais vu, je me remémorais régulièrement ce moment qui m’avait marqué et ému : son cul qui ondulait quand elle se dirigeait vers la mer pour aller nager.
Ce matin encore en la voyant nager, je me résignais, me promettant que demain j'irai me baigner en même temps qu'elle, que je l'aborderai. Je me détendais en gagnant ce nouveau délais. Elle nageait à quelques mètres du bord, je la regardais, elle avait l'air sereine, douce, sensuelle, comme si elle savourait l'instant, je me réjouissais et me consolait en me disant que je faisais parti de ce moment, de ce décors qu'elle garderait en tête comme ses bons moments de vacances.
Ces moments matinaux alimentaient de plus en plus mes fantasmes nocturnes et mes pensées en journée. Je retournais parfois sur la plage pour tenter de la retrouver mais depuis que j’étais arrivé je n'avais pas encore eu l'occasion de la voir ou la croiser ailleurs que sur la plage le matin tôt. Il m'arrivait de parcourir les lieux où les touristes se promenaient, j’avais même fait le tour du marché en matinée, espérant la croiser, me demandant qui elle était, si elle était seule, en couple, avec sa famille, des amis mais étant seule chaque matin je l’imaginais seule.
Toutes ces questions occupaient maintenant mon esprit et une bonne partie de mon temps. J'avais envie de savoir, de découvrir cette femme qui nourrissait mes fantasmes depuis que je l’avais vu ce 1er matin sur la plage.
Qui était cette femme mure sur la plage, venant seule tous les matins vers 7h30 et repartait avant l'arrivée des touristes. Jusque là, je n’avais pas osé quitter la plage en même temps qu'elle, je ne voulais pas lui paraitre entreprenant ou passer à ses yeux pour un dragueur de plage en quête d’aventure sans lendemain. Je ne savais pas si elle venait à pied, à vélo ou en voiture mais je commençais à échafauder des plans pour en savoir plus.
Peut-être venir un peu avant 7h30 pour voir d'où elle venait ? peut-être attendre d'être hors de vu et la suivre de loin pour en savoir plus, savoir ou elle habitait. Ces plans tenaient en haleine mon esprit une partie de la journée mais je ne faisais que repousser la moindre initiative pour l'aborder. D'abord en savoir plus et aller me baigner en même temps qu'elle. Je me sentais presque rassuré d’obtenir ce délais tout en redoutant qu’elle ne vienne plus et disparaisse à jamais sans avoir rien tenté ni entendu le son de sa voix.
Le lendemain était un samedi, un jour de turn-over pour les touristes. J’angoissais presque en imaginant qu'elle risquait de disparaitre, que je n'en saurai pas plus sur elle et que j'aurai raté l'occasion de l'aborder. Je m'arrêtais un moment, j'hésitais entre me changer les idées en allant voir un copain et continuer à errer dans les alentours de la plage en espérant la croiser. Je me sentais comme un détective privé à la recherche d'informations sur une femme sur laquelle je menais une enquête.
Ces moments excitaient ma curiosité, je finissais par décider de retourner sur la plage en scrutant les environs mais il y avait tellement de monde à cette heure que mon espoir de la retrouver dans cette foule s'estompait vite. Pourtant je restais un moment à scruter du regard la foule peuplant cette plage si tranquille le matin. Je décidais d'aller voir un copain en projetant de repasser en début de soirée quand la foule aurait quitté les lieux.
A suivre ... (Scène 2 le 21 mars 2024 à 06h00)
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Si vous me cherchez Vous ne me verrez pas dans les grands magasins, parmi la foule assoiffée de biens matériels. Je préfère le calme de la forêt, ou la sérénité des vieux cimetières isolés, pieds nus dans l'herbe, attentive aux bruits des branches qui se meuvent sous la brise, aux chants des oiseaux qui sonnent comme une mélodie harmonieuse, aux vols des papillons, petits clins d'œil des défunts... Vous ne me trouverez pas dans les centres aquatiques ou de thalassothérapie. Je me baigne dans les rivières ou la mer, parmi les êtres de la nature. J'adore le bruit des vagues s'échouant sur le sable, le massage des courants plus ou moins chauds ou froids sur mon corps. J'aime observer le parcours de l'élément eau que rien n'arrête. L'eau contourne les obstacles, les dépasse, et poursuit sa route sans se poser de questions. Vous ne me croiserez pas à des spectacles sons et lumières, bondés de monde et de nuisances sonores. Je serai sous les rayons de la pleine lune, me remplissant de ses douces énergies, en scrutant les étoiles où résident mes frères galactiques. Enveloppée de l'obscurité de la nuit, je ferai face à la lumière de la reine des astres, me rappelant mes origines stellaires. Vous ne m'apercevrez pas sous les projecteurs, sous les stroboscopes, au contact d'une population déchaînée. Je préfère les crépitements du feu de bois, la danse de ses flammes, ses messages, sa chaleur. Le son du tambour, aligné sur les battements de mon cœur. La communion avec les éléments et les différents plans. Je suis fille du feu, de la terre, de l'eau et de l'air. Femme sur Terre, une âme de l'Univers. Je suis tout et rien à la fois. L'œil du cyclone au cœur de la tempête, la pluie, le beau temps, l'arc en ciel, l'orage et l'ouragan.
Patou Llech
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IA
Depuis quelques jours, sur Threads, je fais un petit jeu qui consiste à reconnaitre un personnage Disney. A la base, ce n'est pas un humain mais grace à l'Intelligence Artificielle il le devient. Je passe du temps à créée ces images, même si je ne fais que dicter au logiciel les caractéristiques du personnage que je veux qu'il transforme. Ce petit jeu fonctionne si bien, que mes images sont republiées sur d'autres profils qui ne me cite pas et font comme si l'idée venait d'eux. Rançon de la gloire me direz vous ? Certes, et je ne me sens pas légitime d'une certaine façon, de revendiquer ces images qui sont à la base des héros Disney et ensuite imaginé par l'IA. Mais.. C'est tout de même moi qui passe du temps à peaufiner chaque détail, à faire et refaire les descriptions pour que le résultat soit bon. J'ai donc le droit de signer mes images, en y ajoutant la précision qu'elles sont créées avec l'IA. Bien entendu, je me fais descendre par les anti IA qui m'accusent de vol, de plagiat et j'en passe. Je ne gagne pas un centime à créer et publier ces images. Au mieux, cela m'apporte des followers. Mais cette façon de venir descendre quelqu'un, sans rien connaitre de sa vie, alors même que j'ai bien précisé que si je note "créée avec l'IA" c'est par respect pour les véritables artistes, ça me dégoute ! Parce qu'ils sont vraiment méchant dans leur commentaire. Du coup, ma fonction "bloquer" fonctionne à plein régime ! Je ne prend pas la peine d'expliquer ni de répondre, car tout est clair dans ma démarche et expliquer sur mon profil. L'IA fera certainement du mal a certains artistes, j'en ai conscience. Mais l'IA reste détectable ! On voit très bien que ce n'est pas un dessin au feutre ou à la peinture. Ce n'est finalement pas vraiment pire que ceux qui font leur dessin sur tablette, enfin si, un peu quand même, moi je ne fais que mettre des mots. Mais combien de création avons nous dénigrer par le passé avant de finalement ne plus pouvoir nous en passer ? Je ne joue pas avec la bombe atomique quand même ! Et cela reste de la création, quoi que les anti IA en pense.
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il fait noir, encore
j'ai les mains tendues, en forme de bol, pour recueillir
voilà une étoile
je l'attrape en plein vol entre deux soupirs
et je hisse la grande voile
Regarde :
nous sommes libres.
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Waiting
DURING those hours of waiting, what did they do? We must needs tell, since this is a matter of history.
While the men made bullets and the women lint, while a large saucepan of melted brass and lead, destined to the bullet-mould smoked over a glowing brazier, while the sentinels watched, weapon in hand, on the barricade, while Enjolras, whom it was impossible to divert, kept an eye on the sentinels,
Combeferre, Courfeyrac, Jean Prouvaire, Feuilly, Bossuet, Joly, Bahorel, and some others, sought each other out and united as in the most peaceful days of their conversations in their student life, and, in one corner of this wine-shop which had been converted into a casement, a couple of paces distant from the redoubt which they had built, with their carbines loaded and primed resting against the backs of their chairs, these fine young fellows, so close to a supreme hour, began to recite love verses. What verses?
These:
Vous rappelez-vous notre douce vie, Lorsque nous étions si jeunes tous deux, Et que nous n'avions au cœur d'autre envie Que d'être bien mis et d'être amoureux, Lorsqu'en ajoutant votre age à mon age, Nous ne comptions pas à deux quarante ans, Et que, dans notre humble et petit ménage, Tout, même l'hiver, nous était printemps?
Beaux jours! Manuel etait fier et sage, Paris s'asseyait à de saints banquets, Foy lançait la foudre, et votre corsage Avait une épingle où je me piquais. Tout vous contemplait. Avocat sans causes, Quand je vous menais au Prado dîner, Vous étiez jolie au point que les roses Me faisaient l'effet de se retourner.
Je les entendais dire: Est elle belle! Comme elle sent bon! Quels cheveux à fiots Sous son mantelet elle cache une aile, Son bonnet charmant est à peine éclos. J'errais avec toi, pressant ton bras souple. Les passants crovaient que l'amour charmé Avait marié, dans notre heureux couple, Le doux mois d'avril au beau mois de mai.
Nous vivions cachés, contents, porte close, Dévorant l'amour, bon fruit défendu, Ma bouche n'avait pas dit une chose Que déjà ton cœur avait répondu.
La Sorbonne était l'endroit bucolique Où je t'adorais du soir au matin. C'est ainsi qu'une âme amoureuse applique La carte du Tendre au pays Latin.
O place Maubert! ô place Dauphine! Quand, dans le taudis frais et printanier, Tu tirais ton bas sur ton jambe fine, Je voyais un astre au fond du grenier. J'ai fort lu Platon, mais rien ne m'en reste; Mieux que Malebranche et que Lamennais Tu me démontrais la bonté céleste Avec une fleur que tu me donnais.
Je t'obéissais, tu m'étais soumise; O grenier doré! te lacer! te voir Aller et venir dès l'aube en chemise, Mirant ton jeune front à ton vieux miroir. Et qui donc pourrait perdre la mémoire De ces temps d'aurore et de firmament, De rubans, de fleurs, de gaze et de moire, Où l'amour bégaye un argot charmant? Nos jardins étaient un pot de tulipe; Tu masquais la vitre avec un jupon; Je prenais le bol de terre de pipe, Et je te donnais le tasse en japon.
Et ces grands malheurs qui nous faisaient rire! Ton manchon brûlé, ton boa perdu! Et ce cher portrait du divin Shakespeare Qu'un soir pour souper nons avons vendu!
J'étais mendiant et toi charitable. Je baisais au vol tes bras frais et ronds. Dante in folio nous servait de table Pour manger gaîment un cent de marrons. La première fois qu'en mon joyeux bouge Je pris un baiser a ton lèvre en feu, Quand tu t'en allais décoiffée et rouge, Je restai tout pâle et je crus en Dieu! Te rappelles-tu nos bonheurs sans nombre, Et tous ces fichus changés en chiffons? Oh que de soupirs, de nos cœurs pleins d'ombre, Se sont envolés dans les cieux profonds!(1)
The hour, the spot, these souvenirs of youth recalled, a few stars which began to twinkle in the sky, the funeral repose of those deserted streets, the imminence of the inexorable adventure which was in preparation, gave a pathetic charm to these verses murmured in a low tone in the dusk by Jean Prouvaire, who, as we have said, was a gentle poet.
In the meantime, a lamp had been lighted in the small barricade, and in the large one, one of those wax torches such as are to be met with on Shrove-Tuesday in front of vehicles loaded with masks, on their way to la Courtille. These torches, as the reader has seen, came from the Faubourg Saint-Antoine.
The torch had been placed in a sort of cage of paving-stones closed on three sides to shelter it from the wind, and disposed in such a fashion that all the light fell on the flag. The street and the barricade remained sunk in gloom, and nothing was to be seen except the red flag formidably illuminated as by an enormous dark-lantern.
This light enhanced the scarlet of the flag, with an indescribable and terrible purple.
(1) Do you remember our sweet life, when we were both so young, and when we had no other desire in our hearts than to be well dressed and in love? When, by adding your age to my age, we could not count forty years between us, and when, in our humble and tiny household, everything was spring to us even in winter. Fair days! Manuel was proud and wise, Paris sat at sacred banquets, Foy launched thunderbolts, and your corsage had a pin on which I pricked myself. Everything gazed upon you. A briefless lawyer, when I took you to the Prado to dine, you were so beautiful that the roses seemed to me to trn round, and I heard them say: Is she not beautiful! How good she smells! What billowing hair! Beneath her mantle she hides a wing. Her charming bonnet is hardly unfolded. I wandered with thee, pressing thy supple arm. The passers-by thought that love bewitched had wedded, in our happy couple, he gentle month of April to the fair month of May. We lived concealed, conent, with closed doors, devouring love, that sweed forbidden fruit. My mouth had not uttered a thing when thy heart had already responded. The Sorbonne was the bucolic spot where I adored thee from eve till morn. 'Tis thus that an amorous soul applies the chart of the Tender to the Latin country. O Place Maubert! O Place Dauphine! When in the fresh spring-like hut thou didst draw thy stocking on thy delicate leg, I saw a star in the depths of the garret. I have read a great deal of Plato, but nothing of it remains by me; better than Malebranche and than Lamennais thou didst demonstrate to me celestial goodness with a flower which thou gavest to me. I obeyed thee, thou didst submit to me; oh gilded garret! to lace thee! to behold thee going and coming from dawn in thy chemise, gazing at thy yourg brow in thine ancient mirror! And who, then, would forego the memory of those days of aurora and the firmament, of flowers, of gauze and of moire. when love stammers a charming slang? Our gardens consisted of a pot of tulips; thou didst mask the window with thy petticoat; I took the earthenware bowl and I gave thee the Japanese cup. And those great misfortunes which made us laugh! Thy cuff scorched, thy boa lost! And that dear portrait of the divine Shakespeare which we sold one evening that we might sup! I was a beggar and thou wert charitable. I kissed thy fresh round arms in haste. A folio Danto served us as a table on which to eat merrily a centime's worth of chestnuts. The first time that. in my joyous den, I snatched a kiss from thy fiery lip, when thou wentest forth, dishevelled and blushing, I turned deathly pale and I believed in God. Dost thou recall our innumerable joys, and all those fichus changed to rags? Oh! what sighs from our hearts full of gloom fluttered forth to the heavenly depths!”
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Valparaiso
Photographies Serge Larrain, Texte Pablo Neruda
conception de l'ouvrage Agnès Sire avec la participation de Xavier Barral
Éditions Hazan, Paris 1991, 58 pages, 38 photographies noir & blanc pleine page dont certaines en double page , broché, couv. à rabat sur papier recyclé, 16,5x23,5cm, ISBN 2 850 25 2581
euro 800,00
email if you want to buy [email protected]
Le fotografie realizzate da Sergio Larrain nel porto cileno di Valparaiso tra gli anni 50 e gli anni 60 e pubblicate in questo ricercatissimo e prezioso documento solo nel 1991. Accompagnato da un testo di Pablo Neruda
Valparaiso, published by Editions Hazan in 1991 is another of the major works that is nearly impossible to find. This beautifully produced title contains most of the photographs of his home country that we may be familiar with. Started in 1957 while traveling with Pablo Neruda for Du Magazine (published in 1965), it was a project that Larrain would work on for several years. As reflected in the earlier vagabond street children series he originally established his voice with, Larrain challenges the edges of his frames creating new and dynamic compositions. Often choosing vantage points that mimic the viewpoints of the stray dogs that appear in the photos, Larrain wanders and observes the life of this port city. Things get interesting at night when the bars are full of sailors, dancers and desire. Ref in Martin Parr & Gerry Badger, The Photobook, vol. II, p.102
05/01/24
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MON AME TE CHERCHAIT…
Par-delà les montagnes et les forêts obscures, les vallées où serpentent les ruisseaux d’or pur, les champs et les prairies caressées par le vent, mon âme te cherchait déjà depuis longtemps.
Elle guettait un signe, un éclair, un reflet, un éclat de lumière, une aura singulière, une douce musique émanant de la terre pour la guider enfin vers tes tendres secrets.
Un soir d’été, soudain, elle entendit ton rire, qui montait vers le ciel comme un pressant appel, et touchée en plein vol, elle inclina ses ailes pour regagner le sol, filant vers l’avenir.
Elle alla se blottir, épuisée, sur ton sein, et quand ton âme vint, contre elle, se lover, elle sut que son grand voyage prenait fin, sa longue quête, enfin, venait de s’achever.
Depuis lors, nous vivons, unis par la passion, nos deux cœurs éperdus battant à l’unisson, et au-dessus de nous, dans un ciel lumineux, planent nos âmes-sœurs, sous un soleil radieux…
V. H. SCORP
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Je travaille tout le jour comme un moine et la nuit je rôde, comme un matou cherchant l’amour… Je proposerai à la Curie de me sanctifier. Je réponds en effet à la mystification par la douceur. Je regarde avec un œil sage comme une image les préposés au lynchage. J’observe mon propre massacre avec le tranquille courage du savant. J’ai l’air d’éprouver de la haine, et j’écris en fait des vers pleins de ponctuel amour. J’étudie la perfidie comme un phénomène fatal, dont je ne serais pas l’objet. J’ai pitié des jeunes fascistes, et aux vieux, que je considère comme des formes du mal le plus horrible, je n’oppose que la violence de la raison. Passif comme un oiseau qui voit tout, dans son vol, et garde dans son cœur en son vol dans le ciel la conscience qui ne pardonne pas. Pier Paolo Pasolini, « Poésie mondaine », 21 juin 1962
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BEAUX SPÉCIMENS DE LA RACE. 1. Princesse, Jument Ardennaise aubère, 1 m. 57, née en 1916, par Marquis d’Axel et Kermesse, par Félen. 1er prix Paris; à M. Paul Tassot. 2. Arlette, Jument Ardennaise, née en 1922, pleine de César; à M. R. Michel.
Vie à la Campagne, Vol. 65, 15 Octobre 1930
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.../...Les gens bienheureux!...Tout à coup dans l'espace, si haut qu'il semble aller lentement, un grand vol en forme de triangle arrive, plane et passe. Où vont-ils? Qui sont-ils? Comme ils sont loin du sol! Les pigeons, le bec droit, poussent un cri de flûte qui brise les soupirs de leur col redressé, et sautent dans le vide avec une culbute. Les dindons d'une voix tremblotante ont gloussé. Les poules picorant ont relevé la tête, le coq, droit sur l'ergot, les deux ailes pendant, clignant de l'oeil en l'air et secouant sa crête, vers les hauts pèlerins pousse un appel strident. Qu'avez-vous bourgeois? Soyez donc calmes, pourquoi appeler, sot? Ils n'entendront pas. Et d'ailleurs, eux qui vont vers le pays des palmes, crois-tu que ton fumier ait pour eux des appas? Regardez-les passer! eux ce sont les sauvages. Ils vont où leur désir le veut, par dessus monts, et bois et mers, et vents, et loin des esclavages. L'air qu'ils boivent ferait éclater vos poumons. regardez-les! avant d'atteindre sa chimère, plus d'un, l'aile rompue et du sang plein les yeux, mourra. ces pauvres gens ont aussi femme et mère, et savent les aimer aussi bien que vous, mieux; Pour choyer cette femme et nourrir cette mère, ils pouvaient devenir volaille comme vous. Mais ils sont avant tout des fils de la chimère, des assoiffés d'azur, des poètes, des fous. Ils sont maigres, meurtris, las, harassés. Qu'importe! Là-haut chante pour eux un mystère profond. A l'haleine du vent inconnu qui les porte ils ont ouvert sans peur leurs deux ailes; ils vont. La bise contre leur poitrail siffle avec rage. L'averse les inonde et pèse sur leur dos. Eux, dévorent l'abîme et chevauchent l'orage. Ils vont, loin de la terre au-dessus des badauds. Ils vont, par l'étendue ample, rois de l'espace. Là-bas ils trouveront de l'amour, du nouveau. Là-bas un bon soleil chauffera leur carcasse et fera se gonfler leur coeur et leur cerveau. Là-bas, c'est le pays de l'étrange et du rêve, c'est l'horizon perdu par delà les sommets, c'est le bleu paradis, c'est la lointaine grève où votre espoir banal n'abordera jamais. Regardez-les, vieux coq, jeune oie édifiante! rien de vous ne pourra monter aussi eux qu'eux. Et le peu qui viendra d'eux à vous, c'est leur fiente. Les bourgeois sont troublés de voir passer les gueux." extrait de: "Les oiseaux de passage" Jean Richepin- Editions L'amourier-
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J’y suis enfin dans cet avion qui m’emmène vers la premier destination de mon tour du monde.
Les aurevoirs sont faits, mon sac est en soute (une année en 13kg) et mon sac cabine est plein d’activités pour faire passer plus vite ce long vol. J’ai la chance d’être seule sur ma rangée donc je vais pouvoir dormir allongée! Et en plus le bébé a arrêté de pleurer 🙏
Par le hublot je vois les nuages si paisibles et je me dis que d’ici 12h je serai dans un autre pays, sur un autre continent et que j’aurais traversé un océan.
Ce voyage je l’attends depuis un moment, comme un reset après une longue année mais surtout pour les découvertes! Je suis tellement heureuse d’avoir la chance de partir pour cette aventure même si tout cet inconnu me donne un peu le vertige parfois.
Je mets des petites photos textures de mon été en attendant celles de mon périple.
Petit récap des destinations :
USA - 3 mois
Canada - 1 mois
Polynésie Française - 1 mois
Nouvelle Zélande - 3 mois
Nouvelle Calédonie - 2 semaine
Indonésie - 1 mois
Vietnam - 3 semaines
Turquie - 1 semaine
Bon je vous laisse le déjeuner arrive (15min après le petit-dej’, je crois que l’équipage a envie qu’on pionce et qu’on leur fiche la paix).
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