#En montant dans le bus
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La grand mère de Toto lui dit: - Toto, pour que je ne paye pas ta place dans le bus, tu vas dire au chauffeur que tu as 9 ans et pas 10 ans d’accord ? - D’accord mamie, répondit Toto En montant dans le bus, le chauffeur demande à Toto : - Bonjour mon garçon, quel âge as-tu ? - J’ai 9 ans monsieur ! - Et quand auras tu 10 ans ? - Quand je serai descendu du bus, monsieur !
#La grand mère de Toto lui dit:#- Toto#pour que je ne paye pas ta place dans le bus#- D’accord mamie#répondit Toto#En montant dans le bus#le chauffeur demande à Toto :#- Bonjour mon garçon#quel âge as-tu ?#- J’ai 9 ans monsieur !#- Et quand auras tu 10 ans ?#- Quand je serai descendu du bus#monsieur !
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15 mai
parfois je me demande pourquoi je me suis embarquée là-dedans. surtout à cause de l’argent que ça me fait dépenser, même si on sera probablement défrayées, mais je sais pas à combien. samedi dans le bus le jour de la perf on s’est pris une amende de cent francs et je m’en suis toujours pas remise. ça m’a miné le ventre toute la journée, à chaque performance que je voyais venait un moment où je décrochais pour me repasser la scène où j’ai du sortir ma carte pour payer cent francs aux tpg, cent francs bordel comment je vais faire pour les récupérer? en attendant le début de notre perf je répondais à toutes les offres de cours de luxembourgeois online de cours at home que j’ai reçues ces derniers jours dans un élan de panique, mais ils me les donnent jamais de toute façon. je déteste l’argent et je déteste la suisse. point très positif d’être à genève par contre: j’ai pas le temps de penser à r. d. ce matin au wc je regardais des vidéos de stand-up d’une humoriste américaine et dans une des vidéos elle disait qu’elle était techniquement bisexuelle, mais qu’elle préférait et choisissait activement d’avoir des relations qu’avec des femmes parce qu’elles se lavent les mains après avoir fait pipi et ça m’a fait retomber du côté gay de la bascule. et puis j’ai repensé à la conversation des ami.es de r. hier et x. disait qu’elle était trysexual et que donc elle essayait tout et s. l’égyptien disait qu’il avait d’abord ét�� hétéro à cause de la société, puis quand il a déménagé au caire il était gay parce qu’il se sentait libre, et une fois qu’il a eu fait la paix avec ça il a de nouveau couché avec des femmes. mais il disait qu’il était d’abord attiré par l’énergie des gens et non leurs attributs sexuels et qu’en fait il s’en fout. peut être qu’on a la même sexualité. sauf que moi je peux être très excitée par la nuque d’une fille, ou un side boob, ou un bras, ou n’importe quoi.
18 mai
hier soir je suis allée à un atelier d’écriture d’élodie petit/gorge bataille de l’anthologie douteuse, j’avais vu l’affiche mardi collé sur la porte du couloir en partant de l’école et je me suis inscrite sur le champ, alors que j’aime pas des masses sa poésie et puis cette histoire de sexe omniprésent me faisait un peu peur, parce que je me suis dit et si tout le monde écrit sur le sexe parce que c’est à la mode et qu’elle nous fait écrire des trucs trash et moi je sais pas faire du trash etc. le truc qui m’a décidée à y aller c’est que dans une vidéo avec laura vazquez elle encense violette leduc et l’affamée et j’ai forcément quelque chose en commun avec les gens qui encensent violette leduc. pour le tour de table elle nous a demandé de nous présenter en citant le dernier livre qui nous avait marqué et j’ai jamais été aussi à l’aise dans un tour de table. j’ai parlé de ma passion pour eva baltasar et elle la connaissait et c’était très agréable de pouvoir partager mon enthousiasme avec quelqu’un d’autre. j’ai dit que c’était exactement ça que je voulais écrire et on a parlé de la sortie de son prochain livre et quelqu’un a dit une vraie fan! et j’ai dit ah ouais trop et ça m’a fait du bien de me retrouver avec des francophones plus ou moins littéraires, après tout ce temps passé avc r. et s. j’étais pas la seule intruse à l’atelier, y avait quelqu’un des beaux arts de paris, mais j’étais quand même la seule à ne pas être en école d’art. même élodie petit a fait les beaux arts. elle a 38 ans. je me sentais plus proche d’elle que des étudiant.es qui était tous habillé.es comme quand je suis entrée au lycée avec des gilets en coton côtelés à col montant et des baskets en cuir marron hideux et de la dentelle mélangée à d’autres matières aux couleurs moches comme crème beige et marron ou orange. je comprends pas cet engouement pour le moche, ça doit être comme un jeu, qui trouvera les habits les plus moches qui trainent au grenier ou dans les fripes, je sais pas.
on a parlé des bios et à quel point elle détestait ça parce que ça l’étouffe de se définir et d’être mise dans une case, la case queer transgressive blabla, elle disait qu’elle avait l’impression que ça voulait plus rien dire et que les mots ne voulaient plus rien dire, se définir comme gouine anticapitaliste and then what? elle disait que les seuls moments où elle avait l’impression de faire un truc vraiment politique, c’était quand elle donnait des ateliers d’écriture dans des écoles de banlieue défavorisées et qu’elle leur faisait désacraliser les auteurs classiques comme rousseau etc. on a parlé de comment ne pas trahir d’où on vient aussi, parce qu’elle vient d’un milieu populaire, et elle disait que quand elle écrivait, elle écrivait toujours de manière à ce que sa mère et sa grand-mère puissent comprendre ce qu’elle dit. moi j’ai l’impression que quand je fais des trucs d’artiste et d’écrivaine, je veux leur montrer regardez ce que je fais, je suis pas comme vous, je vis dans un autre monde, je suis une artiste. mais je sais pas, peut être qu’en fait je veux juste leur montrer que je fais quelque chose, par opposition à rien du tout. de toute façon on me demande jamais rien et tout le monde s’en fout de ce que je fais. mais j’ai quand même une espèce de fierté, quand je fais des trucs artistiques/intellectuels. même si au bout d’un moment j’ai besoin de rééquilibrer les choses et de redescendre à la mer. dans les toilettes de l’école l’autre jour en me lavant les mains j’ai pensé à l’autoroute et ça m’a donné une envie intense de faire le trajet en voiture pour y aller. même si je déteste ça.
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Your Distant Voice - Christmas is comming [1/25]
Vendredi 1er Décembre 2023 ~
[6 de trefle] [Alors que vous êtes perdu dans les dédales de cette ville gigantesque que vous ne connaissez pas encore, vous demandez votre chemin. Cette personne (PNJ a créer) vous fait étrangement penser à votre Être, pourquoi ? Faites-vous connaissance ?]
Je sors de la gare de Strasbourg en tirant derrière moi mon énorme valise, ravie mais épuisée d'être enfin arrivée à destination. Forcément, après avoir traversé la France de long en large en un peu plus de 6 heures, mon smartphone est complètement déchargé. Lorsque j’ai vu la jauge de la batterie passer la barre fatidique des 10 %, j’avais tout de même eu le bon réflexe de prendre des notes rapides pour rejoindre ma destination : l’adresse, la ligne de transport à prendre, la direction et… il faudra improviser pour le reste, le téléphone s’étant éteint avant que je puisse tout noter. Super. Je m'appelle Alice et je suis perdue.
Heureusement, grâce aux plans dans la gare et en interrogeant un agent d’entretien, je parviens à trouver la bonne sortie, puis la rue et, enfin, l'arrêt du bus. En montant à l’intérieur, et puisqu’il me faut acheter un ticket, j’en profite pour demander à la conductrice si elle a une idée d’où descendre pour aller à l'adresse de mon point de chute.
C’est mon jour de chance ! Sam (c’est son nom) connaît bien le secteur. Et comme le bus est bondé, week-end d’ouverture du marché de Noël oblige, la conductrice m’invite à rester près du siège conducteur pour m'assurer que je ne loupe pas l’arrêt. Avec sa voix pétillante et son sourire malicieux, Sam semble avoir un don pour transformer chaque interaction en un moment convivial. Elle plaisante avec les passagers, lance des clins d’œil rassurants aux touristes perdus, et même le brouhaha d’un bus bondé paraît plus léger en sa présence.
Elle profite du trajet pour désigner les coins sympas devant lesquels on passe, me faire admirer les ornements festifs et me régaler d’anecdotes. Visiblement, Sam est une excellente ambassadrice de sa ville. Tandis qu’elle continue de désigner les vitrines et guirlandes lumineuses, un souvenir remonte à mon esprit. Ce n’est pas la première fois qu’un guide improvisé m’a ouvert les portes d’un nouveau monde.
Je me rappelle Erwan, lorsqu’il m’avait fait visiter le château de Comper (le centre de l’imaginaire Arthurien). Tout du long, impossible d’écouter le guide : dès qu’il parlait, Erwan se sentait irrésistiblement obligé de corriger ses explications en chuchotant, et de commenter la qualité de ses descriptions avec une moue peu convaincue. Nous avions fini tous les deux bien en retrait du cheptel resté chasse gardée du guide (qui nous avait probablement volontairement distancés pour ne plus subir la concurrence). Avec le champ désormais libre, Erwan m’avait entraînée dans sa propre version de la visite : un voyage enchanté où chaque tableau abritait un korrigan, et chaque nouvelle salle devenait le prétexte de conter une nouvelle légende. J’étais complètement tombée sous le charme. Je me souvenais d’avoir beaucoup ri et appris ce jour-là. Je me souvenais aussi de ses yeux verts pleins d'étoiles.
Et c’est ce que je revivais, douce-amère, au côté de Sam ce soir.
L’arrêt, perdu entre des arbres nus et des pavillons modestes, se trouvait deux stations avant le terminus. Comme promis, Sam m’y fit descendre avec un grand sourire, me donna des instructions détaillées pour rejoindre la rue St Nicolas, et repartit après m’avoir souhaité bon courage pour mon emménagement (et encore une fois bienvenue dans sa ville).
Tandis que le bus disparaissait dans le flot des voitures, je regardai la rue St Nicolas devant moi. Une petite église de pierre grise au coin de la rue laissa ses cloches sonner vingt heures. Malgré la fatigue, je me sentais portée par l’énergie chaleureuse de cette rencontre. Je souris en me promettant de garder cette première soirée à Strasbourg précieusement en mémoire.
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Your Distant Voice est un jeu de rôle en solitaire par Kaefer et Yumekaze dans lequel on raconte une histoire d’amour où souvenirs du passé, réflexions et reconstruction au présent s’entremêlent jusqu’au dénouement inéluctable. Consultez sa page itch.io par ici. Soyez sympa, donnez-lui 5 étoiles et le succès qu’il mérite !
Souvenirs du passé, péripéties du présent, nouvelles rencontres et dénouement de l’histoire sont générés par un tirage de cartes. A ma charge ensuite de jouer l’événement, raconter ce qu’il s’est passé en ajoutant des détails, des personnages, des descriptions ou même des dialogues.
#calendrier de l'avent#defi d'ecriture#ecriture#jdr#jdr solo#christmas is coming#advent calendar#creative writing#french
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Le barreau Paris Solidarité : aller là où le droit est absent
https://justifiable.fr/?p=147 https://justifiable.fr/?p=147 #absent #aller #barreau #droit #est #là #où #Paris #solidarité Good Studio/AdobeStock Créé en 2011, le barreau de Paris Solidarité assure un service auprès des populations éloignées du droit, dans la capitale et alentour. Une mission qui n’est pas près de s’arrêter. Un jeudi soir sur deux, elles savent qu’elles auront une oreille attentive, des conseils avisés ; elles savent qu’on s’occupera d’elles. Au bois de Boulogne comme au bois de Vincennes, les travailleuses du sexe trans, souvent d’origine sud-américaine, trouvent dans le bus Paris Solidarité du thé chaud, une aide spécifique apportée par l’association Acceptess-T (prévention des IST, tests viraux…) et les conseils juridiques des avocats et avocates bénévoles. Pour ce public éloigné du droit, les requêtes sont nombreuses, surtout après les opérations de nettoyage menées en marge des Jeux olympiques. OQTF, agressions, violences (par des clients, des mafieux, des agents de police), accès au logement et à la santé, etc., les requêtes sont nombreuses et les avocats attentifs. Le bus affrété par le fonds de dotation est comme une île déserte au milieu d’un océan démonté. Et ce n’est qu’un des outils que déploie quotidiennement, et depuis près de 15 ans, le barreau de Paris Solidarité. Le fonds de dotation a distribué 174 000 euros de contributions répartis sur 30 projets Créé en 2011 par Madame le bâtonnier Christiane Féral-Schuhl, le fonds de dotation a pour objet, en France et à l’étranger, le soutien, la promotion ou la réalisation de toutes actions d’intérêt général dans les domaines juridique, culturel et social. Le fonds de dotation multiplie les permanences d’assistance juridique gratuite en lien avec des dizaines d’associations (parmi lesquelles Utopia56, Groupe SOS, Armée du salut, Médecins du monde, Aides, la Fondation des femmes, etc.) en parallèle des missions du bus d’accès au droit qui, du lundi au samedi, se pose aux abords du périphérique. Christiane Féral-Schuhl encourage les initiatives individuelles au service des plus démunis avec la remise annuelle des Trophées Pro Bono, soirée qui réunit plus de 300 avocats parisiens, où sont récompensées cinq initiatives particulières pour l’accès au droit, la culture, la protection des droits de l’Homme, l’insertion et le soutien des plus exclus, ou encore la protection de l’environnement. Le fonds de dotation soutient aussi financièrement des projets d’intérêt général portés par des associations spécialisées dans l’accès au droit et la culture juridique, et la défense des droits humains entre autres. En 2023, le fonds de dotation a distribué un montant total de 174 000 euros de contributions répartis sur 30 projets (comme l’OIP, le GISTI ou la Coalition mondiale contre la peine de mort). Parce qu’il se base sur le fondement du serment de l’avocat, l’exigence d’humanité et l’engagement désintéressé, le fonds de dotation s’appuie sur des salariés dévoués et fonctionne sur une armée d’avocats bénévoles (875 officiellement, dont la moitié au moins participe très activement aux opérations). La raison d’être du barreau Paris Solidarité La vice-bâtonnière Vanessa Bousardo a dès le début de son mandat abordé le Barreau Solidarité, « déjà très ancré dans le paysage », avec beaucoup d’intérêt. « C’est l’une des actions qui m’a été présentée directement dès le début de mon mandat, souligne-t-elle lors d’une interview par visioconférence. Depuis 2011, c’est cette entité qui coordonne toutes nos actions de solidarités et de pro bono, qui existaient déjà avant ». L’élue du barreau de Paris est particulièrement fière du Bus et de la soirée des trophées Pro Bono. « C’est un événement annuel qui célèbre un engagement fort du barreau, qui met en valeur le travail discret d’avocats très engagés. Qu’ils soient individuels ou qu’ils appartiennent à de grands cabinets. » Derrière ces trophées, ce sont en effet tous les bénévoles qui sont applaudis, qu’ils consacrent beaucoup de temps aux actions du barreau Paris Solidarité ou qu’ils n’aient la capacité d’offrir le temps que d’une permanence. « Ce sont les avocats qui nourrissent les trophées par leur ingéniosité, leur inventivité mise au service des précaires, cet événement évolue au fur et à mesure des engagements des avocats. » Selon Vanessa Bousardo, ce service rendu à la communauté répond à la mission première des avocats, qui peut parfois être éloignée de leur quotidien, et qui est particulièrement présente chez les jeunes avocats. « La jeune génération d’avocats est vraiment à la recherche d’un sens et trouve avec le barreau Paris Solidarité une façon d’être à l’équilibre entre leur code moral et leur vocation professionnelle : on peut être collaborateur dans une grosse structure de droit des affaires et contribuer en parallèle à cette force vive, le bus d’accès au droit, qui sillonne la ville aux côtés des plus démunis, pour trouver des solutions avec eux. » Si le succès des opérations du barreau de Paris Solidarité n’est plus à démontrer, déployer de nouveaux dispositifs est encore un objectif à long terme. Les 8 000 consultations délivrées chaque année, qui mobilisent près de 400 avocats, comblent un manque criant d’accès au droit. Cette année, en partenariat avec la RATP, un nouveau bus a été mis en circulation, pour recevoir le public dans d’encore meilleures conditions (avec un accès aux sanitaires entre autres). « Nous avons toujours besoin de nouveaux avocats volontaires. Chacun de nos bénévoles reçoit une formation qui permet d’obtenir des connaissances supplémentaires pour répondre aux besoins des plus nécessiteux. Nous avons beaucoup de jeunes qui entrent chaque année dans notre profession, près de 2 000 jeunes sortent de l’EFB, nous savons que beaucoup d’entre eux entendent mettre leur diplôme au service des autres. » Concernant la maraude du jeudi soir auprès des travailleuses du sexe des bois de Boulogne et Vincennes, toujours plus exposées aux violences depuis le passage de la loi de pénalisation des clients, le barreau Paris Solidarité espère bientôt s’y déployer davantage. « Ce sont des endroits où le droit est absent, avec des personnes dans des situations de précarité diverses. Notre vocation est d’être sur le terrain auprès d’elles, c’est une manière de faire circuler la parole du droit auprès de celles qui sont convaincues de n’en avoir aucun ! »
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Obtenir de l’Aide pour Crowdfunding Solidaire
Soutenez une bonne cause en temps voulu et encouragez la charité en tant qu’acte humanitaire. Désormais, la collecte de fonds pour la charité est facile et fiable. Lisez les histoires à succès et les crowdfunding conseils pour collecter des dons pour votre cause.
Qu’est-ce que le Crowdfunding Caritatif ?
La collecte de fonds en ligne est un excellent moyen de collecter des fonds pour une grande cause, tandis que la collecte de fonds traditionnelle est un excellent moyen de construire des relations solides. Les organismes à but non lucratif et les particuliers peuvent désormais soutenir une œuvre de bienfaisance qui leur tient à cœur grâce au crowdfunding caritatif. Le crowdfunding solidaire permet aux individus et aux groupes d’accepter facilement des dons. Il peut également aider les organisations caritatives à collecter des fonds pour leur cause grâce à des événements de collecte de fonds.
Bien que de nombreuses organisations caritatives fassent un travail remarquable, elles ont également besoin d’aide pour continuer à fonctionner. Avec l’aide des sites de crowdfunding caritatif comme WhyDonate, vous pouvez facilement soutenir une grande cause et conserver une plus grande partie de vos dons.
Le Crowdfunding Humanitaire : Une Nouvelle Approche de la Solidarité
Le crowdfunding humanitaire est devenu un moyen puissant pour soutenir des causes importantes à travers le monde. En utilisant des plateformes de charity crowdfunding, de nombreuses personnes peuvent désormais contribuer directement à des projets qui leur tiennent à cœur. Ce type de financement participatif, appelé crowdfunding solidaire, permet de rassembler des fonds pour des initiatives variées, qu'il s'agisse de projets locaux ou de grandes actions internationales.
L’un des avantages majeurs du crowdfunding projet humanitaire est la possibilité pour chacun de participer, peu importe le montant de sa contribution. Chaque don compte, et grâce à l’effet de masse, il est possible de financer rapidement des projets d’envergure. De plus, le crowdfunding social favorise l’engagement communautaire, en rendant les projets plus visibles et accessibles à un large public.
En somme, le crowdfunding représente une révolution dans le domaine de la solidarité et du soutien aux projets humanitaires. Que ce soit pour aider à construire des écoles, fournir de l’eau potable, ou encore venir en aide à des populations en détresse, le crowdfunding humanitaire offre une plateforme ouverte à tous pour faire la différence.
Lancez une Campagne de Crowdfunding Solidaire
Les organisations à but non lucratif peuvent utiliser des idées créatives de collecte de fonds caritatifs pour commencer à atteindre leurs objectifs caritatifs. Ces types de techniques de collecte de fonds peuvent également les aider à collecter des ressources en cas d’urgence. L’efficacité de ces idées dépend de leur capacité à mobiliser des donateurs et à les motiver à donner de nouveau.
Ces guides vous apprendront comment collecter des fonds pour une grande cause et vous aideront à établir des relations solides avec votre communauté :
Soutenir les Œuvres de Bienfaisance – Moyens de Collecter des Fonds pour les Œuvres de Bienfaisance
Idées D’événements de Collecte de Fonds À des Fins Caritatives – 7 Points Formidables pour les Organisations À But Non Lucratif
10 Meilleures Idées D’articles pour les Enchères Caritatives Afin de Stimuler les Dons pour votre Collecte de Fonds
8 Tendances en Matière de Collecte de Fonds Caritatives
Crowdfunding Caritatif – Un Guide pour Réussir
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WhyDonate Fundraising Stories
Un bus en fauteuil roulant pour Rosalin
Notre chère Rosalin a 7 ans et a une anomalie cérébrale dont elle est la seule au monde à avoir cette anomalie. Son développement est celui d’un enfant de 6 mois. Elle obtient un fauteuil roulant, ce qui représente un défi pratique. Pour la transporter, nous avons besoin d’un bus en fauteuil roulant que nous ne pouvons pas financer nous-mêmes.
La Crowdfunding Solidaire a permis de récolter 25 000 € auprès de plus de 450 donateurs!
WhyDonate Fundraising Stories
Ramenez Insiya Crowdfunding Solidaire
Aujourd’hui, il y a exactement 3 mois, Nadia devait retrouver sa fille Insiya. Malheureusement, cela ne s’est toujours pas produit. Le père d’Insiya arrête cela et maintenant Nadia doit aller devant la Cour suprême en Inde pour contester cet appel. Le temps presse et les frais de justice montent en flèche. Pour ramener Insiya à la maison le plus tôt possible, elle a lancé une campagne caritative de financement participatif.
La Crowdfunding Solidaire a levé 25 000 € auprès de plus de 1 200 donateurs !
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Marche pour le climat Crowdfunding Solidaire
40 mille personnes ont marché la marche pour le climat. Cette année, nous voulons rendre nos voix encore plus fortes. Nous organisons des manifestations plus petites et sans corona dans tout le pays. Avec la possibilité de participer à domicile si vous le souhaitez. De cette manière, ensemble, mais en toute sécurité, nous envoyons un signal fort aux politiciens. Parce que la crise climatique n’attend pas! Il doit être plus vert, plus juste, plus rapide.
La Crowdfunding Solidaire a permis de récolter 30 000 € auprès de plus de 1 200 donateurs!
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Soins de la Fondation Village Academy
Bravo à la fondation The village academy pour avoir atteint son objectif et s’être occupée des gardes à domicile et des personnes extérieures parce qu’elles sont coincées, ou cherchent un endroit où elles peuvent être elles-mêmes.
Ils ont réussi à récolter 20 555 € grâce à WhyDonate pour leur campagne.
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Expédition IJssel & Meer
Une équipe de CrossFit Alkmaar court et fait du vélo autour de l’IJsselmeer au profit du Youth Fund Sport and Culture à Alkmaar. Ils ont déployé beaucoup d’efforts pour aider à payer les frais de scolarité des enfants et des jeunes issus de familles où il n’y a pas assez d’argent.
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Maison de soins infirmiers à jardin intérieur à Crowdfunding
Sortez quand vous voulez ! C’est important pour tout le monde. Surtout si vous vivez dans une salle fermée d’une maison de soins infirmiers en raison d’une lésion cérébrale ou d’une démence. Malheureusement, sortir n’était pas une option pour la plupart des résidents de la maison de soins infirmiers. Il y avait un besoin urgent de rénovation majeure. Il fallait beaucoup d’argent pour cela, c’est pourquoi cette campagne caritative de crowdfunding !
La Crowdfunding Solidaire a levé 30 000 € et atteint 100% du montant cible!
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Keywords; crowdfunding humanitaire, charity crowdfunding, crowdfunding solidaire, crowdfunding projet humanitaire, whydonate, crowdfunding social, Cagnotte
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Le plan à 4 du métro
Le plan à 4 du métro
(100% histoire vraie)
Je viens vous raconter une histoire totalement rocambolesque qui m'est arrivée il y a environ 13 ans, alors que je passais encore beaucoup de temps dans le métro parisien.
J'avais pour habitude de traîner deux fois par semaine dans un bar qui s'appelle le Pop In, dans le 11ème.
Des groupes venaient jouer quasiment tous les soirs, et j'y ai découvert pas mal de pépites.
Là bas, j'y ai aussi baisé, dans la salle de concert, en plein show, quand tous les regards étaient tournés vers la scène. Mais ça, c'est une autre histoire...
Je me rendais donc là bas, nous étions en plein hiver (décidément j'adore l'hiver pour faire des rencontres!) et j'étais affublée d'un de mes fameux bonnets aplatisseur de cheveux (laissez tomber, truc de fille). Mais pourquoi je parle de ça me direz vous?
Je regardais dans le vague au travers de la fenêtre de la rame, rêvassant à je ne sais quelle partie de baise à venir. Oui parce que mes motivations étaient claires: pourquoi je traînais seule dans un bar si ce n'était pour me faire baiser...?
Je n'ai pas eu besoin d'aller jusque là ce soir là ...
Sorti de nulle part, un type je dois dire assez original s'assit en face de moi et me sortit une des disquettes les plus drôles que j'ai jamais entendu:
"Salut! J'ai trente secondes pour te dire que je te trouve magnifique et que la vie est courte et que j'adore ton sourire! Je descends là et on ne se reverra sans doute jamais"
Comme il me plaisait et que son approche était hyper directe comme j'aime, je lui ai bien sur donné mon numéro en lui disant que je me rendais au Pop In.
Par sms, il me dit que ce n'était pas son coin, que c'était dommage.
Le temps de commander un verre là bas et le voila qui débarquait! Monsieur était joueur visiblement...
La première chose qu'il me dit était que j'étais beaucoup plus belle sans mon bonnet!
J'ai beaucoup ri, sa remarque était tellement naturelle!
Nous prenions un verre à une table et je sentais déjà ses yeux me déshabiller.
Il était grand, brun, avec une barbe, et semblait tout froissé, tout abimé. J'appris plus tard qu'il était totalement défoncé, mais ça c'est encore une autre histoire.
L'excitation était montée très rapidement. Ce mec avait annulé sa soirée pour me rejoindre dans ce bar à l'opposé de là où il était censé aller; il avait déjà gagné.
Je n'ai jamais su son nom. Ou peut-être que si. Mais je l'ai oublié. Pourtant nous nous sommes revus après ça. Plusieurs fois. Mais il restera le mec du métro.
Parce que, bien sûr, il vivait près de chez moi!
Mais nous ne sommes pas allés chez lui ce soir là. Il ne m'emmena pas très loin, chez deux amis à lui.
Mes souvenirs sont plutôt flous, comme un grand brouillard. J'avais bu plus que de raison.
J'étais très excitée, et je me foutais de savoir ce que je faisais là, chez ces types.
Je voulais juste écarter les cuisses et prendre du plaisir.
Assis tous les quatre sur un grand canapé, tout le monde avait l'air bien défoncé, qu'on se le dise.
Cette soirée allait partir totalement en couilles jusqu'au bout!
Le type du métro me collait comme pas possible, à m'embrasser dans le cou, à mettre ses mains partout sur moi.
Nous avons alors commencé à nous embrasser passionnément. Je grimpais sur lui.
Comme à mon habitude, je ne portais rien sous ma robe. Je me frottais contre son sexe en érection pendant qu'il me caressait les fesses.
La température montant très vite, il voulu qu'on se mette à part.
Cétait sans compter sur mon mal de cœur dû à l'excès l'alcool: j'eus besoin de m'allonger.
J'avais chaud, j'avais la tête qui tournait. Il m'allongea sur un autre canapé (Oui. C'était la maison des canapés là bas).
Le haut de ma robe remontait pour laisser entrevoir une certaine partie de mon anatomie.
Les deux autres types que je ne saurais nommés s'approchèrent alors et s'assirent au niveau de mon bassin.
Ils passaient leur temps à s'échanger des regards affreusement lubriques.
L'un d'eux remonta un peu plus ma robe et se mit à me caresser très doucement.
D'abord la cuisse. Puis il remonta lentement et passa un doigt entre mes lèvres.
"Regarde comme elle est belle!" dit-il à son ami, qui avait déjà sorti son sexe de son pantalon.
Ils se léchaient les lèvres comme des animaux assoiffés, tout en me caressant chacun leur tour.
Ils prirent chacun une de mes jambes pour la mettre sur eux et pour m'écarter au maximum.
Ils passèrent tour à tour leurs doigts sur moi, puis en moi. Je n'en pouvais plus, j'avais trop de désir et je ne savais pas quoi en faire.
Le mec du métro leur murmura un truc à l'oreille, et ils se mirent alors à se masturber en me regardant. J'étais là, je ne faisais rien si ce n'est comater à moitié les cuisses écartées, et eux se branlaient en me regardant.
Ils s'étaient agenouillés entre mes jambes et aimaient chacun leur tour enfoncer leurs doigts en moi et écarter mes lèvres. Ils me regardaient gigoter dans tous les sens, ça leur suffisait.
Tour à tour, ils se vidèrent sur mon bas ventre très rapidement. Quelle excitation! J'adorais ça
Le mec du métro, visiblement heurté, s'interposa et m'attrapa violemment par le bras pour me lever de là.
Dans la salle de bains, il me sortit un truc du genre "non, il n'y a que moi qui peut t'avoir"
Il me pencha sur le rebord du lavabo et remonta ma robe pour admirer mes fesses qu'il se mit à caresser puis à embrasser.
Il déboutonna son pantalon et me retourna pour que je le suce. Je m'exécutai...
Très vite, il me remonta à son niveau et me souleva contre le lavabo. Il s'enfonça en moi presque immédiatement.
Il était dur. Nous étions très excités tous les deux. J'aimais être un tel objet de désir que trois hommes bandaient pour moi en même temps.
Ses gestes étaient frénétiques, trop excité par ce qu'il venait de voir, il jouit en quelques mouvements.
Et je m'écroulais épuisée, entre fatigue, alcool et excitation.
Plus tard, ils me ramenèrent tous les trois à la gare de Villiers. Sur le chemin, le type du métro n'avait de cesse de garder sa main sur ma cuisse. Comme pour dire, celle là elle est à moi.
Arrivés à destination, nous sortîmes tous de la voiture, nous embrassant langoureusement pour nous dire aurevoir. Puis les deux autres types voulurent prendre mon numéro.
La soirée partit en bagarre générale quand le type du métro refusa que je le leur donne.
Coups de poing et engueulade totalement ridicules pour une affaire encore plus ridicule.
Heureusement, ils se calmèrent rapidement.
Je ne revis jamais ces deux types là.
Par contre, le type du métro et moi avons commencé à développer une relation un peu particulière...
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Détail. Episode 2. A quel point les détails sont importants ? L'exemple pour aborder cette question sera celui de mon aventure d'hier. Hier matin, juste avant de sortir, j'ai pris le temps de replacer un objet à sa place exacte avant de sortir. En sortant, j'ai vu le bus passer sous mon nez. En montant dans le second bus, que je n'ai pas raté cette fois-ci, j'ai remarqué une dame appuyant sur le bouton d'ouverture du bus. Ce geste a permis à une famille arrivant en courant de le prendre à temps. Tout cela vous parlera sûrement si vous prenez les transports en commun avec multiples correspondances. Pour les autres, voici une petite explication. Un transport raté, ça ne paraît rien. Suffit d'attendre le prochain. Mais non, en réalité, c'est le plus souvent toute la planification de la correspondance qui est à revoir. Vous ne perdez pas 5 minutes. L'effet boule de neige qui se produit par ce premier retard peut vous faire perdre bien davantage. Et c'est comme ça que, dans le pire des cas, vous perdez des heures avant d'arriver au point souhaité, selon la fréquence des transports que vous prenez. Le sujet de la gestion du réseau des transports en commun est un vrai casse-tête. Mais, pour cette note, je vais revenir aux détails. Dans le premier cas, le détail que j'ai effectué, qui était de replacer mon objet, geste d'apparence anodine, a eu en réalité un effet négatif. Non pas sur la situation donnée, mon objet ayant bel et bien été replacé, mais sur la situation plus globale où j'ai raté mon bus. Ce geste m'a au final fait perdre du temps. A l'inverse, le geste de la dame appuyant sur le bouton a été positif puisqu'il a permis à une famille de prendre le bus. Peut-être que ces 30 secondes d'attente ont fait rater leur correspondance à d'autres personnes, cela dit. Je n'en sais rien. Je vais rester sur le bénéfice dont j'ai été témoin. Tout ceci ne semble pas grand-chose. Pris séparément, c'est en effet le cas. Mais ces petites choses peuvent avoir des conséquences plus impactantes sur une situation plus générale. Je vous laisse méditer sur vos propres détails. #pensées #réflexion #détail #transport #bus #histoire
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9 novembre:
Journée culturelle avec la visite du site Tiwanaku. Des vestiges mis au jour à 5% à croire le guide. C'est suffisant pour rendre la visite intéressante. Par contre il faudra que je me renseigne de mon côté sur l'histoire de cette civilisation pre-Inca car le guide est à la fois complotiste, non professionnel, inintéressant et sûrement un peu débile. Pour ne citer que quelques des ses pépites :
Les Tiwanaku savaient communiquer par télépathie et c'est une faculté que les hommes ont perdu.
Des hiéroglyphes égyptiens ont été decouverts, mystère, que doit-on en conclure ? Sachant que les hiéroglyphes il nous les a montrés. Ca ne ressemblait à rien, et quand on lui demande ce qu'ils signifient, il semblait ignorer que cette écriture a été déchiffrée.
Des stalactites découvertes dans une salle seraient la preuve d'une ancienneté de cette civilisation qui dépasse notre entandement.
Des statues bizarres rappellent des formes aliennes, peut-être un contact avec une civilisation qu'on ignore toujours.
Bref, du coup je doutais de tout ce qu'il racontait et j'étais très attristé de cette mentalité qui ne dois pas être un cas isolé.
C'est le site archéologique le plus important du pays, au moins je sais que je n'en ferai pas un 2e.
10 novembre :
Journée bloquée pour le taff. J'ai un entretien avec l'unité que je souhaiterai rejoindre à mon retour et ça se passe très bien. Je reste en attente de la suite du processus administratif. Je comble le reste de la journée avec le musée d'art nationale dont j'ai déjà oublié le contenu 6 jours plus tard au moment d'écrire ces lignes. Le soir je sortirai avec des gens que je croise dans mon hostel.
11 novembre
Après 2 heures de sommeil je prends un bus pour Patacamaya pour en prendre un autre vers le village de Sajama. J'arrive au parc national qui porte le même nom et qui se situe à la frontière avec le Chili en fin d'après-midi. Les paysages sont magnifiques, le village se situe sur un plateau à 4200m, au pied du volcan Sajama (6500m) mais d'où l'on peut apercevoir plein d'autres volcans coiffés de glacier formant la frontière naturelle chilienne. C'est très aride, il n'y a que du sable volcanique et on se croirait sur Mars.
Le logement est très rudimentaire mais il ne coûte que 2,5e / nuit, les hôtes sont très aimables et je fais la connaissance des autres clients. Les nuits sont fraîches, et vu le prix, il n'y a pas de chauffages dans la chambre. Après mon ascension du Huayna Potosi j'avais comme objectif de grimper le Sajama, mais Mario (l'hôte qui fait aussi guide) m'informe que la saison est dangereuse à cause de chute de pierre. Tant pis...
12 novembre:
Rando sur 2 jours que je debute en me dirigeant vers les sommets de la frontière chilienne. Sur le chemin je passe par des geysers qui enfumment l'espace mais dont on dirait plutôt des marmites bouillonantes. Je traverse un col, me retrouve au Chili, ne voyant pas de poste frontière je continue ma route (je rigole, mais à la frontière alpine du Monténégro il y avait bien la police). Je traverse 2 lacs et pose ma tente au bord du 2e. Enfin complètement seul avec la nature, quel bonheur. J'y passe l'après midi et la soiree et flâner autour du lac et dans ma tente.
13 novembre :
Je poursuit ma boucle en montant vers un 3e lac dominé par un sommet qui semble inaccessible (le Jisk'a Kunturiri, 5500m) sauf que sur la carte apparemment il se grimpe. Je décide d'aller vérifier ça (sans mon sac). Eh bien disons qu'il est difficilement accessible... les 50 derniers mètre sont à 45° dans des cailloux volcaniques. J'ai des souvenirs de ma chute au Monténégro et littéralement 10m avant le sommet je décide de faire demi-tour. Je fait marche arrière sur 50m et me rend compte qu'en fait ça va.... et je fais demi-demi-tour et persévère jusqu'au sommet. J'ai des petites frayeurs mais j'y arrive. Les sueurs froides sont largement compensées par une des vues panoramiques les plus belles que j'ai jamais vues. Un plateau en pampa avec des volcans qui surgissent de partout. Il fait beau et on peut même en apercevoir au loin. La fin de la boucle est longue, rien d'excitant à marcher dans la pampa.
Bilan sur 2 jours: 37km, 1300m d+
14 novembre :
Quitte à ne pas monter le Sajama, autant s'en rapprocher au maximum. C'est ainsi que je me retrouve après 2h de marche au sommet Huisalla (5000m) juste en face du volcan. J'aperçois par la même occasion un autre angle de la vue d'hier. Ce parc doit être parmis les plus beau que j'aie fait.
Le soir c'est la fête à l'auberge, avec des autres invités on achete des bouteilles de vin bolivien et des bières et on improvise une soirée avec nos hôtes, Ana et Mario, dans la partie "restaurant".
Bilan: 12km, 800m d+
15 novembre :
Grasse matinée avec un réveil à 08h00. Je loue un VTT et me dirige vers la Laguna Huayna Khota. Ce n'est qu'à 12km mais j'en chie pas mal ! Je suis à 4200m, ça monte légèrement et la route non goudronnée est cabossée. Arrivé au lac j'y fait le tour pour observer les flamands roses qui le peuple. Lorsque je m'y approche à moins de 200m, ils s'envolent vers l'autre bout du lac. Mais avec le drone, ils sont imperturbables...
Sur le retour je m'arrête aux thermes d'eaux chaudes, mais j'ai tellement chaud que je ne m'y baigne pas. Arrivé à l'auberge je fait une sieste, je dîne à 17h00 et je m'endors. Reveil à 00h00.
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La grand mère de Toto lui dit: - Toto, pour que je ne paye pas ta place dans le bus, tu vas dire au chauffeur que tu as 9 ans et pas 10 ans d’accord ? - D’accord mamie, répondit Toto En montant dans le bus, le chauffeur demande à Toto : - Bonjour mon garçon, quel âge as-tu ? - J’ai 9 ans monsieur ! - Et quand auras tu 10 ans ? - Quand je serai descendu du bus, monsieur !
#- Toto#- D’accord mamie#répondit Toto#- Bonjour mon garçon#quel âge as-tu ?#- J’ai 9 ans monsieur !#- Et quand auras tu 10 ans ?#- Quand je serai descendu du bus#monsieur !
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MON PÈRE : *se déchire le mollet en courant après son bus*
MA MÈRE : *se fracture la cheville en montant dans son train*
Eh bah, ils sont fait pour être ensembles.....
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Voyager pas cher
Vous pensez que vous ne pouvez pas voyager car vous n'avez pas les moyens ? Vous serez ravi d'apprendre qu'il est possible de partir à l'aventure avec très peu d'argent, de la débrouillardise, de l'organisation, une bonne condition physique, de la flexibilité et de la bonne volonté.
Ayant commencé mes périples quand j'étais étudiante et sans revenu, j'en sais quelque chose (une pensée pour toutes ces nuits passées dans un flixbus).
Afin de vous aider, voici donc quelques astuces et conseils pour voyager pas cher.
Partir hors-saison, à proximité
Si vous avez la possibilité d'éviter les vacances scolaires, les week-ends, les jours fériés nationaux et les fêtes religieuses il faut en profiter. Ce sont souvent pendant ces périodes creuses que les tarifs sont les plus bas.
Vous pouvez également privilégier le voyage de proximité. En France nous avons la chance de bénéficiez d'une multitude de cultures, paysages et climats différents. Le dépaysement ne se trouve pas qu'à plusieurs heures d'avion.
Prendre le bus
Oui l'avion et le train ça va vite mais le bus c'est plus économique. Et les trajets de nuit vous ferons économiser une nuit d'hôtel donc ne soyez pas repoussé par le confort rudimentaire des cars nocturnes, ils sont une option très intéressante.
Privilégier le low-cost
Impossible de rallier en une seule nuit votre destination ? Il vous faut alors vous tourner vers les compagnies d'avions et de trains low-cost qui proposeront des billets à moindre coût. le mieux étant de vous y prendre au maximum à l'avance afin d'avoir accès aux prix les plus avantageux dès la mise en vente des billets.
Préférer les logements communs
Moins d'intimité oui mais pas toujours moins de confort, tout dépendra (hélas) de vos colocataires pour la durée du séjour.
Mais les logements partagés et les auberges de jeunesse proposent souvent des tarifs bas qui vous permettront de faire de grosses économies en comparaison d'une chambre d'hôtel ou d'une location entière. A vous de peser le pour et le contre !
Eviter les frais bancaires
Attention à ne pas vous faire avoir et à bien vérifier la monnaie de votre destination. Je vous conseille toujours d'avoir du liquide sur vous (que le pays soit dans la zone euro ou non) car la carte bancaire n'est pas forcément prise partout et pour tous les montants.
En complément, pensez à faire le change en avance afin de ne pas vous retrouvez démunis en arrivant si vous ne trouvez pas de bureau de change (oubliez ceux des gares et aéroports qui vont vous surtaxer).
Si vous préférez ou avez besoin de la carte bancaire (certains pays n'acceptent plus trop le liquide) vérifiez auprès de votre banque vos droits à l'étranger afin de vous éviter des surpassements ou frais de transaction.
Limiter vos achats
Parfois il faut savoir repousser la vision alléchante des restaurants, magasins et boutiques de souvenirs pour se rabattre sur les foodtrucks, fastfood et autres petits stands à emporter afin de réduire le coût de votre voyage. Une option sympathique peut aussi être de vous
préparer vous-même vos repas. Si la saison de votre voyage le permet, vivre de pique-nique et d'eau fraîche est une chouette expérience.
Surveiller ses dépenses
Afin de garder un œil sur l'évolution de vos paiements et pouvoir gérer au quotidien vos économies vous pouvez tenir à jour dans un carnet ou vos notes de téléphone vos dépenses exactes ou encore télécharger une application de gestion de votre argent. cela vous aidera, au besoin, à rééquilibrer votre budget le temps de votre séjour.
crédits photos @lilstjarna
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deux – km 1 (km lancé).
D’après une certaine encyclopédie du web, le « Km lancé » est le surnom qu’on donne à l’Avenue de Cournon, à Aubière, non loin de Clermont-Ferrand, dans le Puy-de-Dôme. Une avenue accessible avec le bus C, la ligne de couleur rose. Ma ligne de bus préférée lorsque je file à Clermont-Ferrand. Ville dont j’ai passé ma licence, que j’ai aiguisé ma personnalité et mes passions pour l’indie music, la pop, la bouffe, les concerts. Les premiers concerts à la Coopé, les premiers cours séchés pour monter à Paris en train. En montant au nord, il y a l’Allier. Le terrain de mon enfance et mon adolescence. La période où j’avais ce masque sur le visage. Le masque du « pas de vagues hein » alors que j’en avais plus que ma claque. Adolescence, période ingrate, je n’aimais pas mon corps, ni mon poids, ni l’ambiance en cours au collège. J’avais ce balai dans les fesses, pas envie de déranger et j’étouffais en silence. Les gens ne voyaient rien. Les gens se sont juste dit que j’avais des problèmes. Ou alors c’est la société qui conditionne ainsi. Les réseaux sociaux ont pris un peu de place dans ma vie et c’était la bouffée d’air frais. Premières amitiés digitales, premières passions, premiers rêves. Premier voyage en solo, sans mes parents à 17 ans (2013), à Nantes et Paris pour rejoindre des copains à un event radio où Indochine jouait dans un Zénith plein à craquer. Le premier moment où je pouvais être enfin moi-même, enlever ce masque qui me tirait le visage. Petit à petit, je voulais l’enlever et je commençais à l’enlever. Niveau cours c’était encore compliqué, camarades et profs adoraient ce masque qui me rongeait de l’intérieur. Mais du moment où je franchissais le pied dans le bus scolaire jusqu’à la fin de cette journée, j’essayais tant bien de survivre dans tout ce bordel. Le fait d’avoir mis quasiment 6 ans pour m’en remettre pleinement de tout ça ne m’étonne peu, et on n’en parle jamais de cette période.
from “LA LINEA ROSA E LA VITA STRANA”, a photography series (10x15 cm) from a phone with huji app, taken in november 2022 in italy. exhibited in paris, in april 2023, for fréquence festival @ maison de la conversation.
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Du lointain, l'amour est si proche - David Frenkel
C’était une chaude fin d’après-midi du mois de juin, je rentrais de mon travail. J’étais épuisé comme pouvait l’être en fin de journée un homme de cinquante-sept ans qui faisait depuis belle lurette la même besogne ennuyeuse, à savoir microfilmer les documents destinés à être archivés au sein d’une grande maison d’édition. Cela me coûtait toujours de m’engouffrer dans un de ces bus parisiens où les voyageurs, debout, serrés comme des sardines, dégageant des relents de sueurs, étaient brimbalés au rythme des cahots, tant la conduite des chauffeurs était brusque. Mais heureusement, depuis le début de la belle saison, je retrouvais régulièrement la même femme qui me transportait durant une dizaine de minutes dans un autre monde. Elle montait deux stations après moi et descendait trois stations avant la mienne. Femme d’une quarantaine d’année, de grandeur moyenne, elle dissimulait, quand il faisait chaud, sa taille et ses jambes sous des robes amples qui lui descendaient jusqu’aux chevilles. Cependant, sa forte poitrine se dévoilait dans l’échancrure des corsages à longues manches qu’elle portait alors. Ayant repéré qu’elle avait toujours pour habitude de monter à la porte du milieu, je m’arrangeais bien souvent pour m’y poster. Ce jour là, en montant dans un bus qui n’était pas aussi bondé que d’habitude, car bien du monde s’était entassé dans celui qui le précédait et qui avait du retard, je pouvais sans peine me mettre à ses côtés. J’étais tellement enivré par son doux parfum que j’oubliais de me tenir aux poignées. Elle aussi, absorbée à fouiller dans son sac à main, fit preuve de la même imprudence. Quand le véhicule brusquement démarra, elle tomba de face sur moi. Heureusement qu’un voyageur bien agrippé aux poignées, et faisant rempart de son corps. évita que je chute. J’en pris guère conscience, car, sentant la pointe de ses seins sur ma poitrine et sa bouche effleurant la mienne, je goûtais à la volupté féminine. Elle se redressa très vite et balbutia, le visage cramoisi de gêne : « Oh, excusez-moi, je ne me suis pas tenue aux poignées, j’étais dans la lune. – Ce n’est rien, lui dis-je timidement. » Après un temps d’hésitation, employé à réfléchir comment poursuivre la conversation avec celle à travers laquelle j’avais entrevu durant un court instant le troisième ciel, l’idée me vint de lui dire : « Si je n’avais pas été près de vous, vous auriez pu vous faire mal. – En effet, dit-elle, mais celui qui vous a retenu pourrait vous dire la même chose. – C’est exact, ce qui montre bien que nous sommes tributaires les uns des autres dans bien des circonstances. – Surtout quand il s’agit d’amour, me dit-elle, en ajoutant : je dois descendre ici, si vous le désirez, on pourrait poursuivre la conversation demain. Écoutez, le matin je prends toujours le bus qui passe ici à 7h47, pourriez-vous vous arranger demain pour être dans ce bus ? – Oui, certainement, répondis-je avec entrain. – Mais pour être sûr de nous trouver, tant les bus sont archi-pleins, descendez à l’arrêt d’avant, je vous attendrai là. Tant pis si j'arriverai avec un peu de retard au travail. Moi, c’est Monique. – Et moi, Hugues. » Ce soir là, l’espérance filtrait à travers l’éclipse de l’amour. L’ombre de la femme que j’avais aimée autrefois s’illuminait de rêveries sentimentales. J’avais vingt-cinq ans lorsque je perdis la femme dont j’étais éperdument amoureux. Elle s’appelait Mélanie. Je l’avais rencontrée à l’Office pour l’Emploi. Elle y travaillait et était chargée de mon dossier. Fraîchement diplômé en tant qu’ingénieur informaticien spécialisé en télécommunications, je n’avais pas trouvé du travail. A l’époque le marché de l’emploi dans cette branche était bien saturé. Mélanie m’avait tout de suite accroché. Maigrichonne, un nez légèrement crochu, une bouche à la lèvre inférieure plus large que la supérieure, un front rectangulaire aux deux petites bosses mises désavantageusement en évidence par des cheveux châtain clair coiffés en arrière, la rendaient pourtant presque laide. Cependant, l’intelligence et la sensibilité que dégageait sa forte personnalité valaient de loin la beauté de la plastique et l’harmonie des traits qui font généralement la gloire de la femme. J’avais aussi été séduit par la pertinence de ses propos. Elle m’avait dit, alors que je me lamentais sur mon sort : « Il conviendrait de garder à l’esprit que le malheur est proche et lointain à la fois. Cela nous permettrait, quand il frappe à notre porte, de l’accueillir sans surprise et avec stupeur en même temps. En d’autres termes, c’est en l’attendant que l’on sera prêt à lui manifester ce profond étonnement qui engendrerait cette révolte permettant d’en venir à bout. Allez, Hugues, prenez ce travail que je vous propose même s’il vous semble ennuyeux et dévalorisant, car il pourrait être votre porte-bonheur. » Aussi, ne voulant pas la décevoir, j’acceptai une tâche qui était peu gratifiante au vu de ma formation. Une maison d’édition était à la recherche d’une personne chargée de microfilmer des documents sur microfilm en vue de leur archivage. J’acceptai car je ne voulais pas la décevoir. J’avais l’impression que Mélanie devait me trouver à son goût, car elle m’avait glissé sr un ton langoureux avant que je sois parti : « Donnez-moi de vos nouvelles !» Durant les jours qui suivirent, sa dernière phrase tournait en boucle dans mon esprit. Au septième après-midi, n’en pouvant plus de ne pouvoir lâcher la reine de mes pensées, je décidai de l’appeler à son bureau. Elle me répondit d’une voix soulagée « Ah, c’est vous ! », et après les questions et les réponses d’usage, je lui proposai d’aller discuter le bout de gras autour d’une bonne table, ce qu’elle accepta avec un empressement marqué. Le lendemain, nous dégustions non seulement de savoureux mets, mais aussi cette délicieuse convivialité qui s’installait entre nous. « J’ai été tout de suite attirée par votre côté gauche, je vous trouvais si mignon avec cet air désemparé que vous avez pris quand je vous ai proposé un travail où vous ne retrouverez pas votre langage composé de chiffres et de lettres », me lança-elle entre la poire et le fromage. Alors, pour asseoir la connivence de sentiments, nous nous revîmes à intervalles de plus en plus réguliers, et finîmes par emménager ensemble. Ainsi, l’ennui d’un travail répétitif se dissipait par la grâce d’un soleil d’amour éclairant notre vivre-ensemble. Hélas, un destin chargé de nuages obscurcissait une perspective empreinte de bonheur. La cruelle fatalité emporta Mélanie après treize mois de vie commune. Le comble de ma souffrance, c’était de ne pas l’avoir vue mourir. Une rupture d’anévrisme nécessita d’urgence son hospitalisation, et elle décéda en salle d’opération. Seul le travail, en mémoire de ma bien-aimée qui me l’avait pourvu, me permettait de survivre au choc. … L’excitation de ma future rencontre avec Monique me tenait éveillé. Je scrutais sans cesse mon réveille-matin aux aiguilles fluorescentes ; j’avais hâte d’entendre sonner sept heures. D’habitude, je maugréais contre cette sonnerie qui vibrait désagréablement contre mes tympans ; elle annonçait le pensum du réveil matinal. Mais aujourd’hui, elle vibrait merveilleusement dans un cœur passionné. Je me levai d’un bond, fit ma toilette et me parfumai, chose que je n’avais plus faite depuis le décès de Mélanie. J’avais l’estomac tellement noué d’espoir que je ne pouvais rien avaler. Aussi traînai-je les guêtres dans l’appartement, et écoutai une musique lénifiante jusqu’à l’heure où je devais partir pour prendre le bus. En fermant la porte du logis, je me dis « Dieu sait dans quel état serai-je ce soir lorsque je rentrerai. Viendra-t-elle avec moi ? M’invitera-t-elle chez elle ? C’est avec un cœur battant la chamade que je descendis à l’arrêt où Monique m’avais dit de descendre, il était comme d’habitude plein de monde. Je descendis et la cherchai de mes yeux parmi une foule compacte. Finalement, je l’aperçus, la mine chercheuse. Quand elle me vit à son tour, elle cilla. Fut-ce sous le coup de l’émotion ? Je l’espérai vivement. « Bonjour Hughes, fut-elle la première à dire. – Bonjour Monique. – Cela ne vous barbe-t-il pas de prendre chaque jour le même bus à huit heures quatorze pour vous rendre au même travail ? Me demanda-t-elle un peu timidement. – Bien sûr que oui, mais que puis-je faire ? – Écoutez, me dit-elle avec un air soudainement devenu espiègle, si on n’allait pas au boulot aujourd’hui ? Et si on se portait malade ? » Je restai bouche bée, je ne m’attendais pas à cela. Le frémissement des lèvres de Monique, suspendues à ma réponse m’émurent, si bien que je m’entendis lui dire : « Mais oui, allez, téléphonons à nos employeurs. » Nous trouvâmes une cabine téléphonique, bien à l’abri du bruit, et nous nous y engouffrâmes tour à tour pour faire part à qui de droit de notre soi-disant indisposition. « Que faites-vous comme métier, demandai-je à Monique, une fois ces formalités accomplies. – Vendeuse aux "Galeries Lamentables", rayon ennui ! » Nous éclatâmes d’un rire complice. Alors que nous commencions à nous diriger sans but précis à travers la ville, je l’interrogeai : « Vous êtes vraiment vendeuse ? – Oui, dans une boutique de prêt-à-porter pour hommes. – Alors, je comprends que vous ayez de l’expérience avec eux, surtout quand il s’agit d’amour, comme vous me l’avez dit hier. – C’est vrai, j’ai fréquenté une dizaine d’hommes ; je dépendais de leurs sentiments. Hélas, les leurs, contrairement aux miens, se sont évanouis. » J’étais soulagé, c’était du passé. Nous arrivâmes dans un parc, et nous nous assîmes machinalement sur un banc de pierre qui faisait face à un rosier en fleurs. J’attendis qu’elle me parlât de ses aventures, mais elle évoqua sa prime jeunesse. En l’écoutant, je me rendais compte que nos deux enfances avaient été tristes. Issus de la classe moyenne, nos parents s’étaient comportés comme la grande majorité des familles de ce milieu. Travaillant pour se payer des vacances, s’affalant en fin de journée dans leur fauteuil devant les écrans cathodiques, courant au restaurant et au divertissement à la moindre occasion, nos parents n’avaient guère eu le temps de s’occuper du confort moral de leurs enfants. Elle me raconta encore qu’après des études peu brillantes, elle avait suivi une formation de vendeuse. Âgée de quarante-deux ans, elle travaillait depuis l’âge de vingt ans dans la même boutique, située dans le quartier latin. « Je m’ennuie à mourir à mon travail, mais que voulez-vous, en cette période de crise, je ne trouverai pas d’embauche ailleurs. conclut-elle son récit. – Alors nous sommes deux, lui rétorquai-je. » Je lui relatai à mon tour ma vie depuis mon jeune âge jusqu’à l’obtention d’un emploi assommant. Bien qu’elle ne m’ait pas parlé de ses amourettes, je lui contai en long et en large ma liaison avec Mélanie. J’espérais, naïvement, il est vrai, que mes épanchements tissât un lien intime avec celle que je désirais conquérir. Elle murmura comme si elle parlait à elle-même :« Votre cœur est toujours avec elle. » Puis, d’une voix ne semblant pas lui appartenir, elle sembla enfouir sa déception sous un mensonge dont je ne fus pas dupe et qui sous-entendait l’adieu : « Bon, je vais y aller, je vais rentrer me reposer. Enchantée d’avoir fait votre connaissance. Qui sait, peut-être que nous nous croiserons encore. Ah, sachez que dés que je serai remise sur pied – ne sommes-nous pas malades, me dit-elle en me faisant un clin d’œil – je me rendrai au travail à bicyclette, un peu d’exercice physique ne peut que faire du bien. » Je la rattrapai alors par la taille et lui susurra à l’oreille : « Ô Monique, si le malheur peut être proche et lointain à la fois, le bonheur aussi. Du lointain, mon amour pour Mélanie est si proche de toi. » Alors, elle s’avança vers moi et m’enlaça. La phrase de Mélanie « Hugues, prenez ce travail que je vous propose même s’il vous semble ennuyeux et dévalorisant, car il pourrait être votre porte-bonheur. », se prophétisa en cet instant. Read the full article
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Ce que je veux, c’est que nous nous rencontrions tous les deux par hasard un jour, par exemple, en passant dans la rue ou en montant dans le même bus.
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Après un bébé insomnie entre 4 et 5 heures du matin, ma journée commence avec grand bonheur à 9h. J'ai fait le tour du cadran, Dieu que ça fait du bien!
J'arrive de fort bonne humeur au ferry qui m'emmène à ma destination d'aujourd'hui : la zone de Manly Beach. A noter que j'en profite pour découvrir l'équivalent du pass Navigo local : ici, tu passes ta carte bleue sur un boîtier à l'entrée et à la sortie (il ne faut pas oublier en sortant du bus ...), et ça te calcule tout seul ton montant ! Le tout est plafonné à 16$ en semaine et 8$ le week end, le ferry étant à 7,5$ c'est vite rentabilisé... En plus, il y a des réductions en dehors des heures de pointe, c'est pas mal fichu leur système !
Bref, me voilà au ferry (sous un soleil radieux, comme vous pourrez le constater), où je peux prendre en photo deux monuments phares de la baie. En anecdote rigolote, quand ce pont a été construit, le gouvernement a "relocalisé" plus de 500 foyers (traduire : a détruit leurs maisons en les laissant se débrouiller sans aucune compensation)... Mais comme c'était un énorme chantier en période de récession, les gens ne pouvaient pas trop se plaindre sans fâcher leurs voisins. Alors en vengeance, ils ont donné à l'ouvrage un petit nom : "le cintre hideux".
Et j'ai donc passé la journée à me balader avec plaisir dans toute la zone de Manly Beach, en faisant une longue balade le long de Northead, la péninsule attenante !
Une partie du versant a été détruite (plusieurs fois) dans un incendie, mais la végétation reprend ses droits doucement.
Entre deux averses, j'ai alterné entre littoraux ...
...Marais...
... falaises glorieuses ...
... végétation étrange...
Et animaux locaux originaux. Ils sont bizarres leurs poulets ici.
Je suis repartie sur un très joli coucher de soleil dans la baie, c'était ma foi fort sympathique !
N'étant désormais plus accompagnée d'un Dr Rathatton, je me plonge dans la musique pour ne pas resentir son absence ... Ça me donne l'occasion de remplir une demande faire par Ursupatatus (qui se reconnaîtra) il y a quelques mois 😁
Bizoux tout le monde ! 🥰
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