#maladresse
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aureliusz · 8 months ago
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"Je le faisais avec maladresse, mais c'est parce que je l'aimais. On est toujours maladroit avec les gens qu'on aime. On les écrase, on les encombre avec notre amour... on ne sait pas y faire. " -Katherine Pancol
Aureliusz
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francoisege · 9 months ago
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Je ne suis pas très sûre du chemin
Texte d’Isabelle Pariente-Butterlin Ta main dans la mienne. Tu penses que je sais où on va. Je sais à peu près. Je ne sais pas si bien que tu le crois, et je préfère que tu ne le saches pas. Je ne suis pas très sûre du chemin. À droite, ou à gauche. Je sais un peu mais pas plus que ça. Parfois j’ai des intuitions mais la plupart du temps, tu sais, je vais à l’aveuglette. Il y a longtemps que je…
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le-panda-chocovore · 1 year ago
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MON PÈRE : *se déchire le mollet en courant après son bus*
MA MÈRE : *se fracture la cheville en montant dans son train*
Eh bah, ils sont fait pour être ensembles.....
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fidjiefidjie · 6 months ago
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Bon Matin 💗🆕️🎭🩷
Leïla Huissoud 🎶 La Maladresse
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monstersqueen · 9 months ago
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C'était un être anguleux de corps comme de caractère, sans jamais une formule aimable, ni un geste galant, ni un mot d'humour, préférant la compagnie des chiffres à la société des hommes.
Vraiment, le héros romantique idéal. Ceci dit sans le moindre sarcasme.
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lesvoyagesderos · 24 days ago
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Il y eut une première fois où je me suis paré par et devant vous de voiles et de dentelles, il y avait en moi ce trouble qu’apportait la douceur de ces légères étoffes sur ma peau, celui de votre regard qui observait mes maladresses à ajuster ces atours et mon corps qui se transformait, celui du chemin où me conduisait cette lingerie qui annonçait la danse sexuelle dans laquelle vous désiriez me conduire, me posséder m’aviez- vous dit...
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lerefugedeluza · 3 months ago
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J’aide ma mère à faire les récoltes dans son potager. Résultats ? Des énormes courgettes, des tomates, des haricots, moi qui me coupe un bout de doigt au sécateur en le confondant avec une branche puis qui fait un malaise.
L’histoire de ma maladresse. Du coup je suis dans mon lit des sifflements étranges plein les oreilles et la main qui tremble.
C’est même pas une grosse coupure, je suis vraiment une fragile.
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coolvieilledentelle · 11 months ago
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Il m'aimait malgré mon âge, mes maladresses, mes emportements, mon sale caractère ? Et pourquoi pas pour tout ça puisqu'il paraît qu'aimer, c'est prendre tout le paquet, le bon, le moins bon, le noir, le blanc, l'arc-en-ciel, rien à jeter ! Janine Boissard
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percehaies · 3 months ago
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Communiqué de Louis de Bourbon, duc d’Anjou :
Le dépassement de soi, le respect des autres. Voilà un bel enseignement que nous pouvons tirer des Jeux Olympiques pour le monde entier en général mais évidemment pour la France en particulier. Dans la grande tradition antique, les Jeux célèbrent ce qu’il y a de beau et de bon dans l’homme.
Les athlètes que nous verrons s’affronter susciteront autant notre admiration que notre enthousiasme et ceci, dans un climat festif bienvenu après un début d’année ponctuée par des crises internationales et nationales.
Je souhaite donc que ces Jeux Olympiques de Paris soient un moment de saine communion pour tous les Français, une parenthèse qui permette de sortir quelques instants de nos soucis quotidiens.
Cependant, malgré cet engouement auquel je prends part, en tant qu’aîné de la Maison de Bourbon, en tant que descendant des quarante Rois qui ont fait la France, je ne peux rester muet face au désolant spectacle d’une partie de la cérémonie d’ouverture. Alors que durant celle-ci des performances artistiques et techniques étaient à la hauteur de ce qu’est la France, certains se sont plu à distiller un contenu idéologique mortifère et abject. S’éloignant du projet initial des Jeux Olympiques de rassembler et d’unir les peuples dans un climat respectueux et à portée de tous, des petits comme des grands, des scènes ont été volontairement offensantes et provocantes.
Une fois de plus, le régime actuel a montré son vrai visage, profondément anti-chrétien, oublieux du long passé de la France dont la monarchie chrétienne fait partie, et désireux de mettre au pinacle des époques troubles où ne régnaient que la terreur et la division. Alors que la cérémonie se voulait inclusive et respectueuse de tous, la religion catholique, comme les morts – que venait donc faire là le massacre de la pauvre reine Marie-Antoinette ?- ont été marqués du sceau de l’infamie et de la dérision.
Je refuse que la France soit conforme au modèle qui en a été présenté. Notre pays vaut mieux que le sang et le burlesque grinçant. Avant d’être la mère des révolutions et du progressisme dévergondé, la France fût la Fille aînée de l’Église ainsi que la patrie des Lettres, des Arts et du raffinement.
Tant que ma Maison demeurera, et avec l’appui de nombreux Français de bonne volonté, nous ne cesserons de montrer qu’un autre chemin est possible, que la grandeur vaut mieux que le sarcasme, que le Beau vaut mieux que la laideur, que la Vérité vaut mieux que le mensonge. À tous les Français qui se sont sentis humiliés et bafoués, à tous les sportifs ayant le sens du sacré et du religieux, à tous les autres peuples de la Terre qui ont été outragés, je vous le dis, la France n’est pas le spectacle auquel vous avez assisté. Cela n’était que l’émanation d’idéologues qui ont piétiné un héritage millénaire dont ils sont pourtant redevables.
Une cérémonie d’une telle ampleur ne peut être que pensée et réfléchie à l’avance. Rien n’est dû au hasard ou à la maladresse. Notre pays subit les assauts toujours plus violents de cette idéologie profondément contre nature et destructrice. Ainsi, chaque jour de manière plus pressante, à nous Français, de choisir le modèle que nous voulons pour la France. Il nous faut rebâtir notre patrie chérie, et construire un avenir solide, crédible, ancré dans les traditions, le respect et l’union.
Que saint Louis protège la France, et qu’il donne de la force à nos athlètes pour que brille une authentique fierté française, modèle pour les autres nations.
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alexar60 · 1 year ago
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Tomber, encore
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Il était peu rassuré, fébrile.
Il trouvait cela même débile.
Rencontrer quelqu’un sans la connaitre,
Sans avoir réellement vu sa tête.
Il a suffi d’un clic sur internet
Pour qu’une belle femme réponde direct.
Est-ce ça l’amour ? L’amour ?
Il a souvenir d’une ex-copine
Qui, au début se montrait câline.
Mais cela ne dura qu’un temps
Remplacé par la jalousie dès l’instant
Qu’il croisait le regard d’une autre.
Un simple sourire devenait une faute.
L’amour, est-ce ça l’amour ?
Je te veux mon chéri,
Et pourquoi pas pour toute la vie !
Sur quelle folle, vais-je, cette fois, tomber, encore?
Je te veux mon chéri,
Et pourquoi pas pour toute la vie !
Sur quelle folle vais-je, cette fois, tomber, encore?
Sans prévenir, ses amies l’ont inscrite
Sur un site, car il était de principe
De ne pas la laisser finir seule
A élever des chats et boire du tilleul.
A son annonce, elles ont de suite répondu
Parce qu’il semblait beau, pourtant méconnu.
Est-ce ça l’amour ? L’amour ?
Elle n’a jamais eu de chance,
Tombant sur des cons sans intelligence.
Comme le dernier qui n’a pas eu la décence
D’appeler au moins une ambulance
Après avoir laissé des bleus sur son visage.
Il disait qu’elle n’était pas sage.
L’amour, Est-ce ça l’amour ?
Je te veux ma chérie,
Et pourquoi pas pour toute la vie !
Sur quel malade, vais-je, cette fois, tomber, encore?
Je te veux ma chérie,
Et pourquoi pas pour toute la vie !
Sur quel malade vais-je, cette fois,  tomber, encore?
Madame, excusez ma maladresse…
Monsieur, ne croyez que je paraisse…
Je ne cherche qu’une amitié sentimentale
Et moi,  une relation sans scandale.
Et si au début du repas, ils étaient tendus,
Leurs rires ont supprimé les malentendus
L’amour, est-ce ça l’amour ?
Alex@r60 – août 2023
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e642 · 7 months ago
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Le point de non retour relationnel, je le ressens comme un long soupire. Un élan pour arranger les choses, et puis, finalement, se résigner à les laisser tel quel. Un "ça ne sert à rien" chuchoter doucement mais constamment. C'est quand tu sens que ça t'impacte toujours mais plus de la même manière qu'avant. Tristesse s'est changée en colère et inquiétude en lassitude. C'est quand le ratio contribution/rétribution d'une des actions que tu t'apprêtes à faire se fait instantanément. Où avant il fallait peser le pour et le contre, là, ça s'impose à nous. Sûrement aussi quand tu ne t'arrêtes plus sur aucune inattention, manque, maladresse, tu te dis que c'est pas grave là où avant ça l'était. C'est cette perte de significativité. Cette indifférence de l'indifférence de l'autre. Il n'y a plus de conditionnel, on est plus dans le aurait pu, aurait dû, j'aimerais que, pourrait faire. C'est plus une question d'attente parce que, petit à petit, ça germe, un jour on se lève et on attend définitivement plus rien de quelqu'un. C'est sûrement ça l'acceptation. Non pas que la relation soit acceptable ou qu'on se résolve à la laisser s'atrophier, au contraire, je crois que c'est à ce moment là que naît le déclic. Le saisir c'est dur, s'en dessaisir l'est peut-être davantage même s'il n'y paraît pas quand on est dans le présent. J'ai toujours trouvé ça surprenant le travail interne qu'il se passe en nous. En les autres. Je ne crois pas qu'on puisse toujours être sûr de se lever émotionnellement intact et indemne de la veille. Ça arrive comme ça. Un jour la réserve est épuisée là où tu pensais pouvoir puiser indéfiniment. La plupart des mises à jour émotionnelles sont libératrices, parce qu'on peut enfin avancer, ou concevoir qu'on puisse avancer, mais elles sont douloureuses aussi. Si ça fait mal c'est parce que ça appelle à faire fatalement des choix qui seront visiblement peu anodins. Il n'y a rien de plus effrayant que de faire un choix en réalité. C'est pas le faire le problème, c'est l'issu, les répercussions, les conséquences. Au fond, c'est compliqué de se dire qu'on saura si notre choix nous dessert uniquement quand il sera fait. C'est pour ça que beaucoup en font peu ou le moins possible en comptant sur le reste du monde pour le faire à leur place histoire de se sentir parfaitement intègre et léger. C'est sûrement ça que j'attends aussi. J'ai toujours voulu qu'on choisisse pour moi. Cependant, je sens au fond de mon cœur cette urgence de prise d'initiative et de décision. Ça me fait mal constamment. Je me demande pourquoi ce serait à moi de faire certains choix alors que j'y suis seulement poussée. C'est injuste. Pourquoi je devrais être maître des conséquences alors que je n'ai pas été maître de l'arrivée du choix ? Pourquoi la lâcheté de certains devraient nous pousser à avoir le courage de faire des choix qui nous appartiennent certes mais dont nous ne sommes pas le décisionnaire réel ?
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fidjiefidjie · 5 months ago
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Bon Matin 🆕️👌📩 ❤️
Leïla Huissoud 🎶 Lettre aux paumés
( La Maladresse)
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botr-rpg · 4 months ago
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WANTED ;; ft. giza lagarce
tw ; trouble de la personnalité borderline non diagnostiquée ; violence ; prostitution ; homicide involontaire ; perte d’un parent ; complexe d’œdipe ; accident de moto. LIEN FAMILIAL ;; elles s’aimaient. amour conjugué à l’imparfait. Vale qui pardonnera jamais l’erreur de sa sœur dans sa tentative de faire peur au père-monstre. m e u r t r i è r e que les orbes hurlent. elle fait mine d’avoir pardonné mais les poignards se lancent entre elles. rares sont les fois où elles se croisent. c’est bordé de mensonges et de non-dits. Fox qui communique dans sa maladresse insultante, sans tendresse. Vale qui ignore tout de sa nièce disparue. Fox qui ignore qu’alors Vale pointe une cible sur son cœur, prête à venger le père trop aimé. tu vas souffrir un peu, grande sœur. et au dernier moment, j’ferai exploser ton cœur.
Vous pouvez retrouver l'intégralité du scenario de Fox Levan sur Bottom of the River !
crédits ; @draiochta & @soletear
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lerefugedeluza · 9 months ago
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Nouvelle vidéo (English subtiles available) Je sais même pas quoi vous dire tellement ça m'a vidé de tous mes mots de faire cette vidéo. J'espère qu'elle vous touchera d'une manière ou d'une autre et que vous comprendrez ce que j'ai voulu dire malgré toutes mes maladresses. Je compte sur votre éternelle bienveillance et sur vos partages ♡ (et je n'ai qu'une peur c'est qu'un de mes anciens bourreaux tombe la-dessus ou que je me prenne un torrent d'insultes dans la figure pour la deuxième partie de cette vidéo)
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morphinedoutretombe · 6 months ago
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Quelle saveur a le bonheur ? Est ce si agréable de se sentir réconforter ? Qu'est-ce que l'amour ? Je croyais qu'en grandissant ses questions me paraîtraient futiles... Pourtant elles sont encore tapies dans un recoin de mon esprit... Je ne sais toujours pas si j'arriverais à dompter la solitude et l'amertume de mon passé... Devant je ne vois que le vide... Que ma santé qui se dégrade... Alors je ferme les yeux et j'imagine que je n'existe plus... Pour oublier le poids de ce fardeau... Je hais la petite voix dans ma tête qui voudrait s'exprimer au grand jour... Celle qui se fiche de tout... Qui attend impatiemment que la folie prenne le contrôle... Je me mords la langue jusqu'au sang... Aucun son ne doit sortir... Tout me blesse... Le silence restera à jamais mon unique allié... Dans l'isolation, j'ai compris que la punition n'en était pas toujours une... Dans ma prison, tout est possible... Le monde extérieur est trop dangereux pour une âme comme la mienne... Mon besoin d'aimer finira par se taire... Je l' espère plus que tout... Mes larmes me suffisent... Et on ne pourra jamais me les interdire... Aussi loin que je sois, je ne pourrais plus faire souffrir les autres même par maladresse... Certains êtres ne peuvent vivre qu'en cage... La vie m'aura au moins appris cette leçon...
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selidren · 7 months ago
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Printemps 1918 - Champs-les-Sims
2/10
Je ne souhaite pas revenir sur mon expérience de la guerre. Je me suis tout de même ouvert de votre remarque sur les allemands à Albertine, mais nous avons été interrompus par Marc-Antoine, l'aîné de mes fils, qui a fait valoir son point de vue d'une façon bien bruyante, arguant que ce sont les hommes de peu qu'on a envoyé sur le front, et que les vrais responsables de la boucherie ne sont que des bourgeois bien abrités derrière les lignes. Pardonnez mon fils, ce n'est encore qu'un enfant et il s'est mis à lire Marx ces derniers temps. Je n'y connais pas grand chose, mais je me demande si c'est une lecture bien pertinente pour un garçon de douze ans. Albertine ne cesse pourtant de me dire combien Marc-Antoine est intelligent, et si je me fie à mon propre intellect à son âge, cela semble peut-être plus compréhensible. Quand à vos douleurs, ce n'est pas mon sujet de conversation préféré, mais sachez que j'ai les mêmes dans le bras, et qu'il est des jours et des nuits où elles ne laissent pas en paix.
Je suis cependant catastrophé d'apprendre pour le mariage de votre fille. Ce garnement ne mérite pas les biens de ses pères et j'ose espérer que jamais un homme ne traitera mes filles de cette façon. Les scandales m'ennuient. Et pour votre épouse, ne vous en faites pas, elle finira par saisir l'importance de votre tâche et vous laissera en paix avec ses états d'âme. Il est malheureux qu'elle n'ait pas les mêmes centres d'intérêt que vous, comme cela vous auriez au moins pu lui proposer de vous accompagner. Vous pourrez toujours lui dire pour la rassurer qu'elle n'a pas les difficultés de mon Albertine : mon épouse déteste partir loin des enfants, mais notre passion commune pour l'Egypte est si grande que le choix n'est pas aisé pour elle.
Sur ce, je retournes à mes exercices de graphie. Me voici revenu à l'école élémentaire à tracer des séries de majuscules à la plume. J'imagine qu'en désespoir de cause, je pourrai toujours engager un secrétaire bien que l'idée me répugne : jamais il n'aura dans ses écrits le niveau d'exigences auquel je m'astreins.
Votre cousin, Pr. Constantin Le Bris
P.S : Mes condoléances pour le décès de votre neveu Thomas. Je ne l'ai pas bien connu, mais mon neveu Alexandre m'a assuré que c'était un jeune homme fort aimable.
P.S 2. Albertine vous fait savoir qu'elle se fera grand plaisir d'écrire à votre épouse.
Transcription :
Adelphe « Ah Tintin, tu as déjà fini de manger ? »
Constantin « Exact. Je m’y suis mis en avance, je suis toujours d’une horrible maladresse avec mes couverts et je ne voulais pas contrarier Grand-Mère. »
Adelphe « Tu aurais pu attendre Madame Legens. Elle aurait au moins réchauffé ton repas. »
Constantin « Je ne suis plus un enfant, Adelphe. J’en ai bien plus qu’assez de dépendre des autres pour n’importe quelle tâche futile. »
Adelphe « Fort bien. En attendant, te voilà à manger froid. »
Constantin « Et toi alors ? Tu ne manges pas avec les autres ? »
Adelphe « J’ai une réunion tôt à la distillerie. Les gars veulent créer un syndicat, et ils souhaitent une heure de concertation avec la « délégation patronale ». J’imagine que c’est moi. Ah, et je sais allumer le poêle accessoirement. »
Constantin « Bon à savoir. Tu me montreras comment faire à l’occasion. J’ai encore du travail, des lettres en retard, donc je vais monter. A moins que tu veuilles que je te tiennes compagnie. »
Adelphe « Pas besoin. Je vais finir rapidement. Ah et Tintin, tu as encore mal à ton bras ? »
Constantin « Non, pas spécialement. »
Adelphe « Ne me mens pas, je t’ai entendu grogner toute la nuit depuis ma chambre. »
Constantin « Ce n’était rien, vraiment. Tu dors donc si mal ? Encore tes cauchemars ? »
Adelphe « Non, une simple petite insomnie passagère. »
Constantin « Menteur, tu as les yeux rouges et des cernes ! »
Adelphe « Bon… je pense qu’on devrai arrêter de se mentir Tintin. »
Constantin « Tu as raison, nous ne sommes pas assez doués pour cela et en plus cela ne nous rassure ni l’un ni l’autre. »
Adelphe « Il faut croire qu’on s’est tout les deux bien abîmés ces dernières années. »
Constantin « Sans doute… Ah et j’y pense ! Ne laisse pas Marc-Antoine discuter avec les ouvriers. Je n’ai rien contre le socialisme, contrairement à mon père, mais il est en train d’en faire une obsession ! »
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