#Empereur des Français
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francebonapartiste · 9 months ago
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5 mai 2024, hommage à Napoléon Ier en présence de S.A.I. le Prince Jean-Christophe Napoléon sous la coupole des Invalides à Paris en commémorations du 203e anniversaire de la mort de l'Empereur des Français 🇨🇵
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empirearchives · 2 years ago
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Napoleon I, Emperor of the French, King of Italy
Friedrich Wilhelm Reuter
1806
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dreamconsumer · 4 months ago
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Napoleon and Josephine.
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roehenstart · 1 year ago
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Portrait of Napoleon III, Emperor of the French, in Coronation Robes. After Franz Xaver Winterhalter.
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empiredesimparte · 27 days ago
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Photograph taken at the Château de Fontainebleau, François I Gallery. From left to right: Princess Napoleon Olympia, Imperial Prince Henri, Empress Charlotte, Emperor Napoleon V, Madame Mère Marie-Joséphine, Princess Armance.
His Imperial Majesty Emperor Napoleon V shared a photograph and the following message with the people of Francesim via social media:
As this year comes to a close, marked by profound challenges and transformations both in our personal lives and in the affairs of the State, let us also remember and celebrate the moments of light, progress, and fraternity that have united us. These moments remind us that, despite hardships, the greatness and soul of Francesim continue to shine brightly in the heart of every citizen. May this new year be a source of renewal, peace, and courage for all. Let us continue to build a nation worthy of its history, strong in its ambitions, and united by a love for the fatherland. May the inspiration of our forebears and the values that have shaped our empire guide us in our endeavors, granting us the perseverance to serve the common good. May Notre-Dame, Saint Louis, and Saint Joan of Arc watch over Francesim and its people! Happy New Year to all, Napoleon V, Emperor of the French.
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Photographie prise au château de Fontainebleau, Galerie François Ier. De gauche à droite : la Princesse-Napoléon Olympia, le Prince impérial Henri, l'Impératrice Charlotte, l'Empereur Napoléon V, Madame Mère Marie-Joséphine, la Princesse Armance.
Un peu avant l’heure de minuit, Sa Majesté Impériale l'Empereur Napoléon V a publié sur les réseaux sociaux une photographie et le message suivant à l’adresse des Français :
En cette fin d’année marquée par des défis et des transformations profondes, tant dans nos vies personnelles que dans les affaires de l’État, sachons également reconnaître les instants de lumière, de progrès, et de fraternité qui nous ont unis. Ces moments nous rappellent que, malgré les épreuves, la grandeur et l’âme de la Francesim brillent toujours au cœur de chacun de ses citoyens. Que cette année 2025 soit pour tous une source de renouveau, de paix et de courage. Puissions-nous continuer à bâtir une nation digne de son histoire, forte de ses ambitions et unie par l’amour de la patrie. Que l’inspiration de nos aînés, et les valeurs qui ont forgé notre empire, nous guident dans nos projets et nous insufflent la persévérance pour servir le bien commun. Que Notre-Dame, saint Louis et sainte Jeanne d’Arc veillent sur la Francesim et les Français ! Bonne année à tous et à toutes, Napoléon V, Empereur des Français
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plaques-memoire · 16 days ago
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Plaque en hommage à : Napoléon Ier
Type : Lieu de résidence
Adresse : 107 Grande rue de la Guillotière, 69007 Lyon, France
Date de pose : Inconnue
Texte : Hôtel de l'Aigle. A son retour de l'île d'Elbe le 10 mars 1815, l'empereur Napoléon Ier arrivant de Grenoble et de Bourgoing s'est arrêté dans cette maison avec son état-major avant d'aller à Lyon coucher à l'archevêché
Quelques précisions : Napoléon Bonaparte (1769-1821), également connu sous son nom d'empereur Napoléon Ier, est un homme d’État français et premier Empereur des Français de 1804 à 1814. Il est une figure majeure de l'histoire de France et a laissé une marque durable dans la société française dont l'héritage se perpétue encore aujourd'hui. Ayant pris part à la Révolution française, il prend le pouvoir à la suite du coup d’État du 18 Brumaire 1799, d'abord en tant que Premier Consul puis en tant qu'Empereur. Sous son autorité, la France est profondément réformée et atteint l'apogée de son emprise territoriale, en particulier grâce aux nombreuses victoires militaires remportées par Napoléon Ier contre les coalitions européennes. De nombreuses réformes napoléoniennes ont gardé un héritage jusqu'à l'époque moderne, comme la création des préfectures et du Conseil d’État, la mise en circulation du franc (qui ne sera abandonné qu'avec le passage à l'euro en 2002) et surtout la réalisation du premier Code civil (en 1804), lequel sera constamment réactualisé pour régir la vie administrative française. Il caresse un temps l'idée de faire bâtir un nouveau palais impérial à Lyon. Toutefois, ses succès militaires se font de plus en plus rares, et à la suite de la prise de Paris en 1814, il est forcé d'abdiquer et est exilé sur l'île d'Elbe. Il en revient toutefois en 1815 et reprend le pouvoir pendant une période connue comme les Cent-Jours. Cependant, la défaite de Waterloo signera la fin définitive de ses ambitions. A nouveau exilé, cette fois-ci sur l'île de Sainte-Hélène, il meurt en 1821. Il laisse derrière lui un héritage considérable, qui nourrit tant une légende dorée (où il apparaît comme un homme providentiel et un commandant militaire hors pair) qu'une légende noire (qui le dépeint comme un tyran despotique et belliqueux) sur son compte et fait de lui un des personnages les plus importants de l'histoire de France, voire de l'Europe. De nombreux passages de sa vie ont été représentés ou adaptés dans des œuvres d'art, qu'il s'agisse de peintures, sculptures, livres, films ou jeux vidéo.
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notrebellefrance · 2 years ago
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Avignon - La Tour de l’Horloge
La Tour de l’Horloge fut bâtie en 1354, par Audouin Auberti, neveu d’Innocent VI, évêque de Paris, d’Auxerre et de Maguelone, que son oncle fit cardinal le 15 février 1353 et qui mourut le 9 mai 1363 en laissant par son testament cette tour et ses dépendances au monastère des Dames de Saint-Laurent. Son palais, qui avait été successivement la livrée des Cardinaux Jean et Pierre Colonna, portait, lorsqu’en 1447 la ville l’acheta pour y établir le siège du pouvoir municipal, le nom de Livrée d’Albano.
Le 23 septembre 1461, le conseil délibéra de faire mettre une horloge sur la tour qu’on avait d’abord louée aux Dames de Saint-Laurent. Mais cette horloge n’était pas encore achetée en 1469.
En même temps que l’horloge, on bâtit le campanile qui est au-dessus de la tour. Le 30 juin 1497, on délibéra de faire célébrer la messe, tous les jours, dans la chapelle établie dans la tour de l’horloge.
La statue de Charles de Grillet, brave avignonais tué au siège de Poitiers le 25 juillet 1569 fut placée sur la façade de l’Hôtel-de-Ville avec une inscription en son honneur.
Quatre petites maisons étaient dans l’enclos de l’Hôtel-de-Ville et affectées au logement des courriers. Mais elles étaient si petites et en si mauvais état que ces Messieurs ne daignaient pas les occuper eux-même. Mais, par une tolérance abusive des consuls, ils les louaient à des pauvres gens de la lie du peuple et très souvent à des personnes suspectes.
Elles furent démolies en 1734, époque à laquelle on fit le grand escalier et les bâtiments intérieurs de la cour, d’après les plans de M. Franque.
La statue de la Vierge avait depuis longtemps remplacé sur la façade de l’Hôtel-de-Ville celle du brave chevalier Grillet. Le 27 Frimaire an II, le conseil délibéra de mettre à la place de la Vierge, la statue de la Liberté ou de la Raison, et que, pour faire pendant, on inscrit dans le cadre de l’inscription consacrée, en 1710, au souvenir des secours extraordinaires que le Pape Clément XI avait donnés aux pauvres de la ville pendant la disette de l’année précédente, les noms de tous les citoyens victimes «de la rage aristocratique et des cannibales marseillais». Raspail, officier municipal, fut chargé de la rédaction de ce projet.
Cet ancien édifice, à l’exception de la tour de l’horloge, a été entièrement démoli en 1845, et le monument qui l’a remplacé a été solennellement inauguré le 24 septembre 1851 par le Prince Louis-Napoléon Bonaparte, alors Président de la République et aujourd’hui Empereur des Français.
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camillelindurand · 6 months ago
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📸: James Webb | Nasa | Esa | Csa | STScI
Quand on voit un manchot dans un œuf en regardant deux galaxies se perturber l'une l'autre, c'est une autre forme d'intelligence peuplant un recoin de l'espace qui communique… ou simplement une hallucination. En 10 ans, les manchots empereurs ont décliné de 10 pour cent. Seraient-ils, "eux", au courant ? Les scientifiques et les manchologues de l'Institut polaire français, ou encore Peter Fretwell qui surveille les volatiles par satellite grâce aux traces de guanos laissées sur la banquise, ne peuvent pas provoquer la lente fusion de deux galaxies. L'Allemagne, l'Australie, les USA, la France, Monaco, la Norvège, la Nouvelle-Zélande et le Royaume-Uni non plus, même s'ils ont plaidé pour que le manchot empereur rejoigne le phoque de Ross sur la liste des espèces protégées de l'Antarctique fin mai en Inde. C'est peut-être cela qu'"ils" cherchent à nous dire : "protégez les manchots empereurs". Devrait-on leur répondre que la planète Antarctique ne s'est pas entièrement rangée derrière cette position ? Attendons de voir. Les États antarctiques se réuniront l'année prochaine en Italie. L'Antarctique aura peut-être, d'ici là reçu, ce message intergalactique.
Camille Lin
L'article de la NASA sur le phénomène
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sieclesetcieux · 2 years ago
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UN DÎNER AVEC JULES SIMON ET CHARLOTTE ROBESPIERRE
Here is (finally) the anecdote as recorded by Jules Simon, followed by the summary given by Lenôtre, and the interpretation Coutant makes of it from the latter. Also some of my annotations coming from the part of my thesis where I reproduced the anecdote. (It's all in French obviously so anyone feeling brave enough to translate to English is more than welcome!)
(Source: Jules Simon, Premières années, Paris, Flammarion, 1901, p. 181-187.)
[…] C’est par un universitaire que je fus vraiment introduit dans le monde républicain. M. Philippe Le Bas, mon professeur d’histoire à l’École normale, m’accueillit chez lui, et me fit accueillir dans quelques familles restées fidèles aux souvenirs de 1793[1].
C’était le fils du conventionnel Le Bas, ami et disciple de Robespierre. Il était fier de la renommée de son père. On raconte même qu’avant d’être membre de l’Institut, il se faisait annoncer dans les salons sous ce titre : « M. Philippe Le Bas, fils du conventionnel ». J’avais désiré voir de près des survivants de la Révolution : mon succès dépassait mes espérances, puisque je me trouvais d’emblée dans le monde de Robespierre. J’étais comme un jeune débutant qui aurait voulu goûter d’un vin généreux, et à qui on aurait versé abondamment de l’alcool. J’avais assez de fermeté pour m’accommoder à peu près des Girondins, mais je fus sur le point de perdre l’esprit en me trouvant au milieu des amis de Robespierre.
La veuve du conventionnel Le Bas qui accoucha quelques semaines après de celui qui devait être mon professeur, était une des filles du menuisier Duplay. Cette famille Duplay était devenue la famille de Robespierre. Il y demeurait ; il était, quand il mourut, fiancé de Mademoiselle Éléonore, la sœur de Mme Le Bas. La fiancée prit le deuil de Robespierre et le porta jusqu’à sa mort. Toute cette famille était étroitement unie, et le souvenir du grand mort ne contribuait pas peu à cette union. Le Comité de Salut Public, universellement condamné et maudit, avait encore quelques amis dans ce coin du monde ; et pour ces survivants, pour ces persistants, la famille Le Bas était l’objet d’un respect particulier.
Du reste, le menuisier Duplay avait donné à ses filles une éducation excellente. Ce menuisier était un entrepreneur en menuiserie ; il remplit pendant quelque temps les fonctions de juge au Tribunal révolutionnaire. Son petit-fils, celui qui fut mon maître à l’École normale, était l’homme le plus doux et le plus bienveillant du monde. Quand il n’avait plus à s’expliquer sur son père et les amis terribles de son père, il parlait et agissait en homme cultivé, ami de la paix, et préoccupé, par-dessus tout, de ses recherches d’érudition. Il avait été précepteur d’un prince. Il est vrai que ce prince était le prince Louis-Napoléon, celui-là même qui, contre toute attente, devint Empereur des Français. L’avènement de son élève au rang suprême ne changea rien ni aux idées de Philippe Le Bas, ni à sa conduite, ni à son langage, ni à sa vie. Il resta jusqu’à la fin tel que je l’avais connu en 1834, M. Philippe Le Bas, fils du Conventionnel.
On savait parmi les familiers de M. Le Bas, que je ne connaissais personne à Paris ; et c’était une raison pour eux de m’inviter à dîner ou à déjeuner le dimanche. Je fus invité une fois avec des formes solennelles et mystérieuses qui me donnèrent lieu de penser que j’allais assister à quelque événement d’importance. J’arrivai à l’heure dite. Il y avait quelques convives, tous républicains avérés et rédacteurs des journaux du parti. Près d’une heure s’écoula ; la personne qui avait donné lieu à la réunion se faisait attendre. Je pense que tout le monde, excepté moi, était dans le secret ; mais j’étais trop timide pour faire une question. Enfin un grand mouvement se produisit, la famille se porta tout entière dans l’antichambre pour rendre la réception plus solennelle, et nous nous rangeâmes autour de la porte, pendant qu’à côté de nous on échangeait des propos de bienvenue.
On n’annonçait pas dans cette modeste maison. Je vis entrer une femme âgée qui marchait péniblement et qui donnait le bras à la maîtresse de maison. Elle était venue seule. On la salua très profondément ; elle répondit à ce salut en reine qui veut être aimable pour ses sujets. C’était une femme très maigre, très droite dans sa petite taille, vêtue à l’antique avec une propreté toute puritaine. Elle portait le costume du Directoire, mais sans dentelles ni ornements. J’eus sur le champ, comme une intuition que je voyais la sœur de Robespierre. Elle se mit à table, où elle occupa naturellement la place d’honneur. Je ne cessai de l’observer pendant tout le repas. Elle me parut grave, triste, sans austérité cependant, un peu hautaine quoique polie, particulièrement bienveillante pour M. Le Bas, qui la comblait d’égards ou, pour mieux dire, de respect. Quand la conversation devint générale, elle y prit peu de part ; mais écouta tout avec politesse et attention. S’il lui arrivait de dire un mot, tout le monde se taisait à l’instant. Je me disais qu’on n’aurait pas mieux traité une souveraine.
Le nom de Robespierre ne fut pas même prononcé. Au fond, c’est à lui que tout le monde pensait, et c’est de lui qu’on parlait sans le nommer. C’était l’habitude dans ces familles dévouées. Je ne l’attribue à aucune appréhension de se compromettre en prononçant ce nom qui était là, révéré, et exécré partout ailleurs. On ne le prononçait pas, parce qu’il était sous-entendu dans tous les discours.
Il y a deux Robespierre : le Robespierre féroce et le Robespierre raisonneur et sentimental. Le culte de ses fanatiques s’adressait également au dictateur et à l’orateur humanitaire. Les revenants avec lesquels j’étais attablé n’appartenaient pas à 1834. Ils voulaient être, ils étaient de 1793. Les grandes tueries n’étaient pour eux que des actes nécessaires de gouvernement. À peine les Thermidoriens eurent-ils renversé le Comité de Salut Public qu’ils s’exercèrent à le copier. Au 18 Fructidor, La Réveillère-Lépeaux, le plus dur des hommes, déporta des Directeurs, des représentants et des journalistes à Sinnamari. Pendant un quart de siècle, la proscription fut dans les mœurs. Je crois bien qu’on excusait les tueries de 1793 autour de moi, que peut-être même on les glorifiait. Mais on pensait surtout au disciple de Jean-Jacques Rousseau, aux discours contre la peine de mort et sur l’Être suprême, à l’auteur de tant d’homélies attendrissantes sur la fraternité et la vertu. Je suis sûr que Charlotte le revoyait dans ses rêves, précédant la Convention à l’autel, le jour de la fête religieuse, en habit bleu clair et en cravate blanche, et portant dans ses bras une gerbe de fleurs.
Melle Robespierre avait soixante-quatorze ans lorsque je la vis. Je savais qu’elle avait passionnément aimé ses deux frères et que, quand Maximilien s’était installé chez les Duplay, elle s’était montrée irritée et jalouse. Elle faisait à ces nouveaux amis un crime de leur amitié. Elle allait jusqu’à prétendre qu’Éléonore avait employé la ruse pour se faire épouser. Elle vécut loin d’eux après la catastrophe. Le Premier Consul lui fit une pension de 3.600 livres, qui fut plus tard réduite de plus de moitié, mais qu’elle toucha presque sans interruption jusqu’à sa mort. Elle vivait de cette faible ressource dans un isolement absolu. Elle publia des Mémoires qui roulaient sur des événements connus, et ne piquèrent point la curiosité. Je suppose qu’elle consentit à laisser faire cette publication dans un moment de détresse[2]. Sans doute, elle avait voulu, aux approches de la mort, oublier son ancienne rancune. Elle s’était souvenue avec attendrissement d’une femme vénérable qui avait failli être la sœur de son frère. Elle avait voulu se rapprocher un moment de cet homme déjà célèbre, dont le père avait été le plus fidèle ami de Maximilien. Elle sentit enfin que ceux qui s’étaient rencontrés dans ces jours lugubres devaient être réunis dans le souvenir comme ils l’avaient été dans la vie.
Je croyais rêver et je rêvais en effet. Les deux femmes qui étaient là, quel que fut leur nom, avaient vécu dans l’intimité de Robespierre, écouté sa parole comme celle d’un pontife, admiré sa vie comme celle d’un héros et d’un sage. Les questions se pressaient en tumulte dans mon esprit, et je me demandais avec effroi si j’oserais interroger mon maître et si je ne me laisserais pas opprimer une fois de plus par ma maudite timidité.
Il me conduisit jusqu’à la porte pour me dire d’un air triomphant : « Comment la trouvez-vous ? » Je m’enfuis et je me dis tout en courant à travers les rues de Paris, que je n’étais pas à ma place dans ce monde-là. Tout, dans ce temple, était respectable, excepté le Dieu. J’eus le souvenir de mes morts et, en même temps, de ma haine[3].
Version rapportée par G. Lenôtre :
Un jour, écrivait-il, il y a quelques années dans un de ses articles du Temps, un jour que je déjeunais chez mon professeur d’histoire, M. Philippe Lebas, je vis entrer dans le salon une vieille demoiselle, bien conservée, se tenant très droite, vêtue, à peu près comme sous le Directoire, sans aucun luxe, mais d’une propreté recherchée. Mme Lebas, la mère (autrefois Mlle Duplay) et M. Lebas l’entouraient de respects, la traitaient presque en souveraine. Elle parla peu pendant le repas, poliment, avec gravité. « Comment la trouvez-vous ? me dit M. Lebas quand nous fûmes seuls dans son cabinet – Mais qui est-ce ? – Comment ? Je ne vous l’avais pas dit ? C’est la sœur de Robespierre. » J’étais alors élève de première année à l’École normale.
(Source : G. Lenôtre, Paris révolutionnaire, Firmin-Didot, Paris, 1895. p. 48.)
Version rapportée par Paul Coutant :
Charlotte Robespierre a davantage occupé l’opinion. M. Lenôtre, dans son dernier volume[4], lui a consacré tout un chapitre, et le fils du conventionnel Le Bas a tracé sa biographie, en quelques lignes qui détruisent, par leur sévérité, la portée d’une historiette racontée jadis par Jules Simon dans le Temps :
« Un jour que je déjeunais chez mon professeur d’histoire, M. Philippe Le Bas – dit Jules Simon – je vis entrer dans le salon une vieille demoiselle, bien conservée, se tenant très droite, vêtue, à peu près, comme sous le Directoire, sans aucun luxe, mais d’une propreté recherchée. Mme Le Bas, la mère, (autrefois Mlle Duplay) et M. Le Bas l’entouraient de respects, la traitaient presque en souveraine. Elle parla peu pendant le repas, poliment, avec gravité : « Comment la trouvez-vous ? me dit M. le Bas quand nous fûmes seuls dans son cabinet. –Mais qui est-ce ? –Comment ? Je ne vous l’avais pas dit ? C’est la sœur de Robespierre. » J’étais alors élève de première année à l’École normale. »
L’élève de première année à l’École normale fut, depuis, un homme éminent, un philanthrope remarquable, et pourtant il lui arriva de manquer d’indulgence pour ceux de ses anciens professeurs qui l’avaient accueilli, pourtant, avec bonté : le cœur étant excellent chez lui, j’aime à croire que la mémoire seule était en défaut ; rien d’étonnant à ce qu’elle l’ait mal servi lorsqu’il écrivit sa chronique.
« Charlotte Robespierre – dit Philippe Le Bas dans son Dictionnaire encyclopédique de l’Histoire de la France – ne rougit pas de recevoir des assassins de ses frères une pension qui, de 6,000 fr. d’abord, puis réduite successivement jusqu'à 1,500, lui fut servie par tous les gouvernements qui se succédèrent jusqu'à sa mort (1834). Elle a laissé des Mémoires qui contiennent de curieux renseignements, mais où le faux se trouve trop souvent mêlé au vrai. »
Je ne pense pas que le savant consciencieux qui traça ces lignes ait jamais traité Mlle Robespierre en « souveraine » : c’est « solliciteuse » qu’a voulu écrire Jules Simon.
Aussi bien, Charlotte Robespierre ne saurait m’intéresser que par les lettres ou souvenirs où elle a parlé de son frère Maximilien, et, sur ce point, le document que reproduit M. Lenotre a le plus grand intérêt, parce qu’il dissipe des malentendus copieusement utilisés par certains écrivains ; c’est le testament que voici, conservé dans les archives de Me Dauchez, notaire à Paris :
« Voulant, avant de payer à la nature le tribut que tous les mortels lui doivent, faire connaître mes sentiments envers la mémoire de mon frère aîné, je déclare que je l’ai toujours connu pour un homme plein de vertu ; je proteste contre toutes les lettres contraires à son honneur, qui m’ont été attribuées, et, voulant ensuite disposer de ce que je laisserai à mon décès, j’institue pour mon héritière universelle, Mlle Reine-Louise-Victoire Mathon.
« Fait et écrit de ma main, à Paris, le 6 février 1828.
« Marie-Marguerite-Charlotte DE ROBESPIERRE. »
On ne peut guère discuter la sincérité de ceux qui vont mourir.
(Source : Paul Coutant, Autour de Robespierre : Le conventionnel Le Bas, d’après des documents inédits et les mémoires de sa veuve, Paris, E. Flammarion, 1901, p. 85-87.)
Annotations:
[1] Le souvenir de 1793 continue de lier plusieurs familles, dont la famille Le Bas-Duplay, comme l’écrit Florent Hericher, Philippe Le Bas (1794-1860), Un républicain de naissance, Paris, Librinova, 2021, p. 191, n. 276.
[2] Ce n’est pas tout à fait exact, vu la participation d’Albert Laponneraye au projet.
[3] Il est né à Lorient, en Bretagne, l’une des régions insurgée contre la Révolution et foyer de la Chouannerie. Le refus de la constitution civile du clergé (1791) et les tensions causées par la conscription du 15 août 1792 et la « levée de 300 000 hommes » décrétée le 24 février 1793 mènent à l’insurrection.
[4] Paul Coutant (Autour de Robespierre.., p. 85, n. 2) fait référence à l’ouvrage Vieilles maisons, vieux papiers (1900).
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medievalarmourycom · 1 year ago
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El Emperador Calígula
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En los anales de la historia medieval, pocas figuras evocan tanta curiosidad e intriga como el emperador Calígula, el enigmático gobernante de la antigua Roma. Mientras nos embarcamos en un viaje a través de los pasillos del tiempo, desentrañemos las capas de misterio que rodean al hombre detrás del título imperial.
El emperador Calígula, nacido Cayo Julio César Augusto Germánico en el año 12 d.C., surgió como el tercer emperador romano de la dinastía Julio-Claudia. Su ascenso al poder en el año 37 d.C. siguió al reinado de su abuelo adoptivo, el emperador Tiberio. Inicialmente recibido con optimismo, Calígula prometió una nueva era de prosperidad para el Imperio Romano. Más.....
Leer en Español: Calígula, Emperador Romano
Leia em Português: Calígula, Imperador Romano
Read in English : Caligula, Roman Emperor
Lesen Sie auf Deutsch: Caligula, Römischer Kaiser
Lire en Français : Caligula, Empereur Romain
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de-gueules-au-lion-d-or · 2 years ago
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L’histoire est écrite par les vainqueurs, jusqu’au jour où…
Plus que les grandes victoires, les grandes défaites font les grandes épopées, l’Iliade pour la guerre de Troie, les Thermopyles pour les Spartiates, Numance pour les Ibères, Alésia pour Vercingétorix. Le procès et la mort de Jeanne d’Arc plus que sa victoire d’Orléans. Waterloo plus qu’Austerlitz, sans compter Camerone, Sidi Brahim, Dien Bien Phu… Charlemagne a remporté d’innombrables victoires, mais ce qui reste de lui, c’est la Chanson de Roland qui magnifie l’une de ses rares défaites.
Je pensais à ce paradoxe bien européen en regardant récemment le DVD de Braveheart de Mel Gibson. Accompagnant les images somptueuses des Highlands survolées par un aigle, des mots ouvrent le film en voix off. On les entend peu souvent : « L’histoire est écrite par ceux qui pendent les héros… » Ces mots sont une réponse à ceux qui m’interrogent sur la signification de certains de mes livres, l’histoire des Sudistes (Le blanc soleil des vaincus), celle du Baltikum, celle aussi de la sombre saga des gardes blancs pendant la guerre civile russe (Les Blancs et les Rouges). Ces livres avouent un attrait pour les vaincus courageux. Mais, courage ou pas, l’histoire des vaincus est toujours occultée, dénaturée, ou même criminalisée par les vainqueurs. Elle constitue l’enjeu posthume de conflits qui ne cesseront jamais. Après les guerres idéologiques et religieuses, les vainqueurs veulent vaincre jusqu’à la mémoire de leurs adversaires. Après dix-sept siècles, le jeune empereur Julien, très fidèle à sa propre religion, est toujours qualifié d’ « apostat », épithète infâmante imposée par l’Église devenue triomphante après son OPA réussie sur l’Empire romain à la fin du IVe siècle. Quand les vainqueurs sont habiles et puissants, les instruments de la parole publique, l’État, l’Université et l’Ecole participent à l’entreprise. Pour l’historien indépendant, tout est donc à découvrir à ses risques et périls derrière le discours officiel. Il n’y a rien de plus stimulant, mais rien de plus dangereux.
Les conflits idéologiques et quasi religieux du XXe siècle ont été annoncés par la guerre de Sécession américaine (1861-1865). Ils ont peu d’équivalent dans le passé, sinon lors du triomphe imprévu du christianisme sur le paganisme romain au IVe siècle. Les guerres de religion au XVIe et XVIIe siècle n’eurent pas le même caractère absolu puisqu’elles se terminèrent par un partage du monde entre protestants et catholiques. Il n’y eut donc pas de vrais vaincus, sauf en France avec les huguenots. Deux puissances hostiles campaient chacune sur leurs positions, affichant leur propre interprétation du passé. La nouveauté du XXe siècle tient au caractère écrasant de la défaite des uns et de la victoire des autres. Du jamais vu avec cette ampleur et cette brutalité, sinon pour les hérésies au sein des monothéismes, écrasées par les massacres, le feu et l’oubli.
Dans ma génération et les suivantes, celles qui n’étaient pas encore nées à l’époque du conflit mondial puis de la décolonisation, un certain nombre de jeunes Européens arrivant à l’âge adulte, éprouvèrent une conscience aiguë et douloureuse d’être les héritiers de défaites presque cosmiques. J’ai vécu cela au temps de la guerre d’Algérie. Pour les Français et les Européens, ce fut une défaite (politique et nullement militaire), ne pouvant que renforcer la conscience d’une catastrophe fatale. Si l’un de mes premiers livres a été consacré à l’histoire des Sudistes c’est parce que je ressentais intuitivement la défaite du « Vieux Sud » comme le premier acte de ce qui fut accompli chez nous dans la seconde moitié du XXe siècle. Jadis, j’ai lu l’Invaincu (The Unvanquished) de William Faulkner avec le sentiment exaltant et douloureux d’être immergé dans ma propre histoire. J’étais séduit par des vaincus courageux qui jamais ne se renient. Je le suis toujours.
Parfois, de façon imprévue, il arrive pourtant que les vaincus prennent leur revanche dans l’imaginaire des vivants. Il en fut ainsi pour les Sudistes avec Autant en emporte le vent, le roman et le film.
Dominique Venner
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empirearchives · 1 year ago
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Road plan of the city and fauxbourgs of Paris in 1804-1805, divided into two town halls.
From Napoleon’s office following his coronation in December 1804 as Empereur des Français, the imperial residence then being at St Cloud. Publisher Jacques Esnaults (1739-1812).
A similar map of the city of Paris, Jean's Plan routier de la ville et faubourgs de Paris divisé en douze mairies (Paris, 1809) with a note stating that it was recovered from Napoleon's desk at Malmaison by a Prussian volunteer, was offered for sale by Karl Hiersemann in the sale Napoléon I. et son temps; catalogue... composant principalement la collection H. Buhrig, Leipzig, 1913, lot 494.
(Bonhams: Napoleon Bonaparte, The British Sale)
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dreamconsumer · 2 months ago
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Napoleon III and his family.
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claudehenrion · 2 years ago
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Ramsès
  La passion des français pour l'ancienne Egypte, ses Pharaons, et sa civilisation, complexe à en être compliquée et souvent incompréhensible, est un phénomène étonnant. (NB : En admettant que d'autres nations partagent cet engouement, cela ne changerait rien à l'intensité de celui qui nous anime). Penser que Bonaparte, en plein chaos révolutionnaire, est parti aussi loin de ses ''sources normales'' d'intérêt, emmenant une escouade de savants est à peine croyable... Et ça a l'air de durer...
En 1797, lorsque le futur Empereur a pris cette décision étrange –aujourd'hui vue comme un fantastique coup de génie de cet homme qui en a pourtant eu tellement-- on ne connaissait l'Egypte des Pharaons qu’à travers les récits des historiens et voyageurs grecs de l’Antiquité. Sous la férule ottomane, ses monuments étaient à l’abandon, enfouis dans le sable... d'où ils allaient surgir soudain, par la vertu d’une expédition française, à la fois militaire et scientifique, où le nombre de ''savants''  était une grande première : 169 ‘’cerveaux’’ dont Monge, Saint-Hilaire ou Berthollet, tous placés sous l’autorité de Vivant Denon, dessinateur et graveur talentueux, dans un ‘’Institut d'Égypte’’ d'où allait naître une science nouvelle, l’Egyptologie.
En 1802, Vivant Denon publia 300 dessins et croquis dans un livre ''Voyage en basse et Haute-Égypte'' qui répandit aussitôt la passion de l'égyptologie dans les cercles cultivés et les ''Sociétés Savantes'' et valut à son auteur d'être nommé directeur général du Musée central des Arts (futur musée Napoléon, puis musée royal, aujourd'hui musée du Louvre). Les résultats complets parurent en 1809 sous le titre peu avenant de ''Description de l'Égypte ou Recueil des observations et des recherches qui ont été faites en Égypte pendant l'expédition de l'Armée française''.
Le 15 juillet 1799, le lieutenant français Bouchard découvrit à Rosette, dans le delta du Nil, une pierre en basalte noir d'un mètre de longueur, sur laquelle était gravé un décret de Ptolémée V, pharaon de l'époque hellénistique, rédigé en trois versions : en hiéroglyphes, (l'écriture sacrée des premiers pharaons), en démotique (une écriture égyptienne tardive datant du 1er millénaire av. J.-C.), et en grec ancien. (NB. Par ''époque hellénistique'', on désigne le temps qui va de la mort d'Alexandre le Grand à la défaite de Cléopâtre VII-Ptolémée à la bataille d'Actium, début de la domination romaine sur le monde grec, c’est-à-dire de  –323 à -- 31, avant JC, ).
Une copie de cette pierre de Rosette arriva, en 1808, entre les mains de Jean-François Champollion  qui entreprit de déchiffrer les hiéroglyphes, ces si jolis idéogrammes aux formes stylisées d'animaux, d'humains ou d'objets, conçus au IVe millénaire, et qui étaient alors une énigme absolue. C'est de cet enchaînement de hasards heureux que provient sans doute la ''passion égyptienne'' du peuple français (1,6 millions de visiteurs pour ''Tout-Hank-Amon'', en 2019, record jamais égalé... le précédent record étant détenu par... ''Tout-Hank-Amon 1967'', avec 1,24 million de visiteurs. Parions que Ramsès fera mieux, d’ici le 6 septembre...
Même si Howard Carter fut un british à 100%, il serait vain de nier le lien réel entre ''nous'' et ''eux''. (Petite incise sans intérêt, avant de revenir sur notre vieille amitié avec la momie de Ramsès II : nos bons maîtres savaient nous faire partager leurs enthousiasmes et les richesses programmatiques de MM. Mallet & Isaac, et je dois avouer une égyptomanie chronique qui me tient depuis la classe de 6 ème , et a mis ce pays juste derrière mon cher Maroc et la Grèce, qui est ma troisième patrie culturelle et… touristique (NDLR : Je vous parle d'un temps que les moins de ''tant'' d'ans ne peuvent pas connaître, avant les hordes qui piétinent sans les voir des beautés éternelles … dont ils ne garderont qu'un selfie raté où on aperçoit un bout de monument, mais caché par le chapeau criard de bobonne... Quel intérêt ?).
Si nous parlons aujourd'hui,de l'Egypte, c'est à cause, bien sûr, de l'arrivée à Paris, le 7 avril, de Ramsès II, ''en visite officielle''. Cet immense Roi trouve  naturellement sa place ici, après notre réflexion récente sur les grands empires et leur fin : la civilisation égyptienne, impériale s'il en fut, a perduré plus de 3000 ans (''naissance'' vers l'an –3150, et fin officielle en l'an --30, quand Rome en fait une province de l'Imperium romanum). L'historiographie retient cinq siècles de prospérité (dits : le Nouvel Empire) et sept siècles de périodes plus troublées. La réalité est plus subtile et moins tranchée, ne serait-ce que parce qu’il s’agit de trois millénaires, durée unique dans l'Histoire ! Depuis leur origine –qui se confond avec les tout débuts de l’histoire écrite-- jusqu'à leur fin –résultat du triomphe du christianisme-- les grands principes de la culture égyptienne se sont maintenus, et le mode de vie au bord du Nil a très peu évolué, toujours rythmé par les crues, les dieux et les impôts (déjà !).
Pour Hérodote, ''l'Égypte est un don du Nil'', ce qui est exact, même si l'Egypte pharaonique se limitait à une mince bande de ''terre noire'' le long du Fleuve Sacré : quelque 30 000 km² (= 3 départements français) portant entre 0,5 et 4 millions d'habitants. Le régime des crues ''lissait'' les aléas météorologiques, même si les poteries les plus anciennes montrent un climat bien moins aride qu'aujourd'hui, comparable aux actuelles savanes kényanes, ce dont on pourrait déduire, en étant aussi cons que nos climato-dingos, que les cultures le long u Nil et les transports à dos d'âne ont produit de sacrés amas de leurs ‘’ gaz à effet de désert’’’ ! Passons...
Mais au moment où tant de français vont s'extasier sur les merveilles artistiques, sur les réalisations et sur les faits d'armes d'un Roi (de son vrai nom Ousirmaâtrê Setepenrê, Ramessou Meryamon, ce qui veut dire, m'assure-t-on, ''Puissant par l'harmonie de Rê, par Rê, issu de Rê, aimé d'Amon'', ce qui est un joli nom, facile à porter et pratique pour parapher des textes. Je pense que E. Macron devrait s'en inspirer : son règne laisserait peut être un souvenir moins négatif, devant l'Histoire !), il est bon de rappeler que, ayant régné pendant 66 ans, il se trouve à la 12 ou 15 ème place seulement parmi les Rois ayant eu les règnes les plus longs...assez loin derrière ''notre'' Louis XIV (72 ans), et le recordman  Bernard VII de Lippe (1428-1511) et ses 81 années de règne sur un royaume confidentiel, en des époques où l'espérance de vie tangentait les 25 ans. En conclusion, je pense que personne ne va aller chercher les détails énoncés dans cet ''édito'' : ils sont tout-à-fait inutiles !
Un dernier point : on rappelle que le calcul de l'espérance de vie à la naissance est gratuitement fourni en appliquant –tout simplement-- cette formule, bien connue : L(x) = l(x+1)*1 + d(x)*0.5, --ce qui est, simplement aussi, la somme de ’’ i ‘’ à l'infini des L(i), et e(x) = T(x) / l(x).. (NDLR : on peut se demander si Elisabeth II –70 ans de règne), ou K'inkch Janaal Pakel 1er, le très célèbre roi de Palenque, au Mexique (68 ans) –par exemple-- auraient pris le risque d'un règne aussi long s'ils avaient connu cette formule. Mais ceci appartient à une autre lecture de notre Histoire...)
H-Cl.
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empiredesimparte · 3 months ago
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⚜ Le Cabinet Noir | N°26 | Francesim, Palais des Tuileries, Paris, 9 Fructidor An 230
In a historic televised address, Emperor Napoleon V, unexpectedly, decides to temporarily hand over power to his beloved wife, Empress Charlotte, thereby instituting a Regency. This unexpected announcement surprised the French public, who had anticipated hearing about the first political actions of his reign. To reassure the nation, Napoleon explains that the Empress will be supported by a trusted council, led by Imperial Prince Henri, who will ensure the continuity and greatness of Francesim.
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⚜ Traduction française
Dans une annonce télévisée historique, l’Empereur Napoléon V, contre toute attente, décide de céder temporairement le pouvoir à son épouse bien-aimée, l’Impératrice Charlotte, marquant ainsi la mise en place d’une Régence. Cette déclaration inattendue a surpris le peuple français, qui attendait plutôt les premières mesures politiques de son règne. Pour rassurer la nation, Napoléon indique que l'Impératrice sera épaulée par un conseil de confiance, présidé par le prince impérial Henri, qui veillera à la continuité et à la grandeur de la Francesim.
(Napoléon) Français, françaises,
(Napoléon) C’est avec un profond sentiment de responsabilité et de dévouement envers notre grande nation que je m’adresse à vous aujourd’hui.
(Napoléon) Je veux servir la Francesim avec discernement. Pour cela j’ai, comme les Empereurs avant moi, bien des conquêtes à faire.
(Napoléon) Afin de répondre à toutes les exigences qu’implique mon rôle, j’ai pris la décision de parfaire ma formation militaire à l’Ecole Navale.
(Napoléon) J’ai la ferme conviction qu’elle sera bénéfique à tout l’Empire et renforcera notre position sur la scène internationale.
(Napoléon) Durant cette période, je crois satisfaire l’opinion publique, en même temps que j’obéis à mes sentiments pour l’Impératrice, en la désignant comme Régente.
(Napoléon) L’Impératrice sera assistée par un Conseil composé d’hommes ayant ma confiance, le prince impérial Henri à sa tête. Ensemble, ils travailleront pour la grandeur de la Francesim
(Napoléon) Montrons qu’une nation où règne la confiance résiste aux emportements, et que, maîtresse d’elle-même, elle n’obéit qu’à l’honneur ou à la raison
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christophe76460 · 4 days ago
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✅ Que personne ne vous égare d’aucune façon. Car ce jour n’arrivera pas avant que n’ait lieu le grand Rejet de Dieu, et qu’apparaisse l’homme sans loi, le fils de la destruction, l’adversaire qui s’élève au-dessus de tout ce qui porte le nom de dieu, et de tout ce qui est l’objet d’une vénération religieuse. Il ira jusqu’à s’asseoir dans le temple de Dieu en se proclamant lui-même dieu (2Thessaloniciens 2:3-4 ; auteur).
• Le jour du Seigneur qui commencera par des jugements sévères aura lieu après le grand rejet de Dieu. Le mot ainsi traduit a donné en français apostasie et veut dire défection, révolte ou rébellion. Il est utilisé une autre fois dans le Nouveau Testament où il signifie abandonner l’enseignement de la loi de Moïse (Actes 21:21). L’ancienne traduction grecque de l’Ancien Testament (la Septante) emploie apostasie trois fois pour exprimer la rébellion contre Dieu (Josué 22:22; 2Chroniques 29:19; Jérémie 2:19).
• L’apôtre Paul n’a pas en vue une apostasie au sens général du terme puisqu’il y a toujours eu des millions, et aujourd’hui des milliards d’hommes, qui se rebellent contre le seul vrai Dieu. Ici, il parle d’une action blasphématoire qui est particulier, abominable et extrême, du jamais vu en quelque sorte. Cet acte est lié à l’homme sans loi. De toutes les multitudes d’êtres humains blasphématoires, qui au travers les siècles ont vécu sans loi, l’Antichrist sera le pire que la terre n’ait jamais porté. Il personnifiera la dépravation, la perversion et la méchanceté. Il sera un leader mondial, mais cachera son jeu et sa véritable identité jusqu’à ce qu’il commette cet acte blasphématoire qui le dévoilera et révélera qui il est vraiment.
• On a identifié ce personnage avec plusieurs tyrans particulièrement odieux comme le roi syrien Antiochus IV Épiphane qui, en l’an 168 av. J.-C., a profané le temple juif et l’a consacré à Zeus. Il fut vaincu trois ans plus tard grâce à la famille de prêtres les Maccabées. Soit dit en passant que chaque année, les Juifs célèbrent cette victoire par une fête qui s’appelle Hanoukka.
• Ensuite, il y a eu les empereurs romains Néron et Caligula, et plus proche de nous, certains ont identifié l’Antichrist à Staline puis Hitler. Mais ce personnage diabolique n’apparaîtra qu’au début du Jour du Seigneur et donc après l’enlèvement de l’Église.
L’homme sans loi n’est pas le principe du mal ou une personnification de Satan, car plus loin le texte le désigne spécifiquement comme étant un homme qui apparaît grâce à la puissance du diable (2Thessaloniciens 2:9).
• Il s’appelle le fils de la destruction parce que, d’une part, il essaiera d’anéantir tous ceux qui sont fidèles au seul vrai Dieu, celui des Écritures saintes, et d’autre part, lui-même ira à la destruction éternelle.
• Selon le Nouveau Testament, il est un autre individu qui porte le titre maudit de fils de la destruction ; c’est Judas (Jean 17:12). Lui et l’Antichrist constituent les deux plus grands monstres que l’humanité a portés. L’histoire de Judas est déconcertante. Il a vécu dans l’intimité avec le Fils de Dieu pendant plus de trois ans, il a vu sa sainteté et sa perfection ; il a expérimenté sa puissance et son amour. Puis, il l’a trahi. Ce comportement tout à fait irrationnel est dû au fait qu’il était possédé par le diable (comparez Jean 13:27), mais ça, il l’a bien voulu.
• L’Antichrist fera pire encore. Au début de son règne, il se posera en ami des religieux (comparez Apocalypse 17:13), fera même une alliance avec le peuple juif, puis soudainement, après avoir été trois ans et demi au pouvoir, il se déclarera lui-même dieu et commettra un abominable acte de profanation (comparez Daniel 9:27; Matthieu 24:15) dans le temple juif reconstruit. Tirant son énergie du diable et secondé par le faux prophète, il jouira d’un pouvoir immense au point même où le monde entier l’adorera (comparez Apocalypse 13:1-17).
• Satan, qui a toujours cherché l’adoration (comparez Esaïe 14:13-14), verra ainsi son désir indirectement réalisé. Après cette volte-face et cet acte abominable, l’Antichrist imposera un règne de terreur à la Staline en même temps que Dieu châtiera le monde avec sévérité pendant trois ans et demi. La chrétienté officielle aura alors totalement abandonné la foi au point où l’apôtre Jean la qualifie de grande prostituée (Apocalypse 17:1; 19:2). Jésus a annoncé ces événements quand il a dit à ses disciples :
Lorsque le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il encore la foi sur la terre ? (Luc 18:8).
Une question de rhétorique à laquelle on doit répondre non.
Pendant ces trois ans et demi, ceux qui après l’enlèvement de l’Église seront devenus croyants se verront pourchassés sans répit comme les chevreuils lors d’une chasse à courre. À la fin de ce temps de jugements, Jésus-Christ reviendra pour anéantir le royaume de l’Antichrist. Puis, lui et le faux prophète seront jetés dans l’étang de feu (Apocalypse 19:11-21).
• La séquence des événements eschatologiques est la suivante. D’abord, tous les croyants disparaissent de la surface de la terre. L’Antichrist vient au pouvoir sous des faux-semblants. Après trois ans et demi, il commet un acte abominable qui s’appelle l’apostasie, ce qui déclenche la grande tribulation qui dure elle aussi trois ans et demi et qui se termine par la seconde venue de Jésus-Christ sur terre qui établit son royaume de 1 000 ans.
Paul ne s’étend plus sur l’enlèvement de l’Église parce qu’il en a déjà amplement parlé dans sa première épître. Je rappelle le principal passage :
Au signal donné, sitôt que la voix de l’archange et le son de la trompette divine retentiront, le Seigneur lui-même descendra du ciel, et ceux qui sont morts unis au Christ ressusciteront les premiers. Ensuite, nous qui serons restés en vie à ce moment-là, nous serons enlevés ensemble avec eux, dans les nuées, pour rencontrer le Seigneur dans les airs. Ainsi nous serons pour toujours avec le Seigneur (1Thessaloniciens 4:16-17).
• L’Antichrist réussira à donner une explication rationnelle à la disparition soudaine de millions de gens lors de l’enlèvement de l’Église. Beaucoup se réjouiront pensant qu’une nouvelle ère de prospérité va commencer sans se douter que c’est la tribulation qui les attend, dont la seconde moitié sera une suite de châtiments terribles comme le monde n’en a encore jamais connus.
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