#Dominique Le Stanc
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Une cuisine provençale d'un grand chef à Nice ?
à La Merenda, dans le Vieux Nice, à 2 pas du cours Saleya
Ici on vient pour :
Les plats traditionnels niçois et provençaux. Beignets de fleurs de courgette, farcis, sardines farcies, pissaladière, tarte à la tomate, tourte aux blettes, pâtes au pistou, tête de veau sauce gribiche, queue de boeuf et sa polenta, tripes à la niçoise saupoudrés de parmesan avec ses panisses,
La cuisine simple, authentique, de marché, très très goûteuse,
La cuisine d'un grand chef - Dominique Le Stanc, anciennement doublement étoilé - qui partage une cuisine créative des recettes locales.
Attention pas de CB, pas de téléphone, fermé le week-end, réservation principalement via les réseaux sociaux.
Adresse : 4 Rue Raoul Bosio, 06300 Nice
#resto#restaurant#nice#merenda#La merenda#fleurs de courgette#pissaladière#Gastronomie#tripes#vieuxnice#voyage
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Alain Llorca - La Colle-sur-Loup / Saint-Paul de Vence
Alain Llorca fait partie de ces chefs qui ont marqué l’histoire de la gastronomie de la Côte d’Azur et de la France. Parcours brillant et fulgurant, cannois aux origines catalanes, Alain Llorca a côtoyé les plus grands noms et a orchestré les plus belles cuisines de la région : de Jacques Maximin à Dominique Le Stanc, en passant par Roger Vergé et Alain Ducasse, que cela soit au Negresco, au…
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#Alain Llorca#Côte d&039;Azur#Chef#Chef Alain Llorca#Etoilé Michelin#Gastronomiques#Michelin#Restaurant#Restaurant Côte d&039;Azur#Saint-Paul de Vence
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La Merenda, Nice, 10/20/17
exterior La Merenda is a small place with a chalkboard menu and you either have to go by or try and get someone to answer the phone to get a reservation, which is a must. Tables are covered by a paper runner, small and closely put together along each of the facing walls. They are close enough that you will probably end up in conversation with your neighbors which really adds to the experience…
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Listen/purchase: Dominique Lemaître: De l’espace trouver la fin et le milieu by Dan Barrett
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80 fleurs de Louis Zukosky par René Noël
Le clos O dans l'infini 8
Zéro signe l'imagination des hommes, le chaos clos, fermé, huit, couché sur lui-même l'infini en mathématiques. Si l'éternité se tient dans des limites (1) le dehors n'en est pas pour autant au-delà de tous les au-delà, écrivent les poètes. Le dehors cosmique, les ténèbres, la nuit, le nocturne viennent du visible, des objets les plus communs, vus par tous, naissent souvent sous nos yeux. 80 fleurs comprend quatre-vingt-un poèmes, le premier vers, Or tous invisiblement thym temps, du poème d'exposition sans titre suivi de quatre-vingts autres poèmes qui portent chacun un nom de fleur en guise de toit et de point de vue sur l'infini. Le lecteur à ce premier vers voit une suite d'un commencement évoqué mais non-dit, l'invisible familier aux sens et à l'intuition de celui qui l'écrit, les tempes où le temps se tient ; tempes concrètes et plus larges que le temps mesuré par lui-même et le thym évoque à la fois la senteur, le goût, la lettre y magique en elle-même, le thym participant autant des paysages grecs à ses yeux, le Péloponnèse où cette plante fleurit, qu'il éveille le thymos qui est l'âme des grecs, le souffle, le chiffre de chaque homme de toutes époques.
Dès ce poème d'ouverture, le lecteur découvre une poésie moderne de l'étendue, les syntagmes, les tropes, les mots, les élisions, les accélérations à travers les mots liés par des tirets figurant les verves et les positions d'actions, les articles définis ici bien que non écrits, le vers allégé autant qu'il se peut de toutes graminées, grammaires et syntaxes inutiles, forme poétique qui n'est pas sans évoquer certaines locutions et rythmes, Sprung rhythm de Gerard Manley Hopkins dans ses sonnets terribles, la langue trouvée par Andrea Zanzotto dès la Beauté, la parataxe, le monde écrit par les poètes auxquels songent nombre de penseurs - ainsi Walter Benjamin qui rêve de cueillir autour de lui des fragments de réalité échoués dans le présent dont il trouve la vie immergée dans des temps lointains, le philosophe alors avec son panier récoltant ces fragments afin de trouver une forme concrète de nouvelle continuité qui affranchisse l'humanité, apte à lui faire passer un cap qualitatif que les sophistes et les penseurs messianiques ne cessent de tous temps de chercher, de peser, l'homme étant celui toujours sur le point de trouver, d'imager ces formes de réalité.
Le thym court dans plusieurs poèmes de ce livre. Il figure, incarne même l'un de ces poèmes (2),
Thym
Temps long où sauvage souffle le thym pauvre tom a froid implacable-gilet cache-col veste manteau l'œil bleu-vert espère y'as-tu six opus sept-années déployées dix-sacs-d'Ezra lus foulée-d'oiseau aiguillonne rose arbre-bourgeonnant feu course lunaire double solaire arachnéen-manoir-volant litière lettres mots-justice encensent tant
où Temps, à nouveau s'image, Ezra Pound, la course du désir des messagers, oiseaux, flores, y créent des objets dans l'illimité en amont et en aval, orées de l'espace-étendue, actions soignant l'injustice de classes, d'aspects. D'autres poèmes font surgir des galops des chevaux du poème " A " le cheval, les chevaux hôtes de ce poème écrit par Louis Zukofsky une grande partie de sa vie - Des chevaux : qui est partant ? issus des crinières, les mots /Le feront, faits de crinières et d'airs, mais /Ils n'ont pas de crinière. (3)Le lecteur pense alors à la quaternité de Louis Zukofsky, à cette constellation dont il serait le cinquième homme, Johann Sebastian Bach, Baruch Spinoza, Karl Marx, Guido Cavalcanti.
Chronique de la vie (sur terre) la fleur n'est-elle pas hapax et étendue, stance du donné en lieu et place d'une tyrannie de la peur chassant la nature et le naturel, éclipsant le bonheur, cette idée encore neuve dans le monde, marée basse de l'angoisse ? Si chute et angoisse nés de l'éphémère de la fleur et des saisons drues qui préparent de nouvelles floraisons, veulent préserver tous leurs sens, alors la joie et l'utopie du bonheur doivent en toute latitude pouvoir s'exposer au soir de la vie d'un homme, sinon autant l'acédie, la déréliction que l'utopie perdent l'harmonie, leurs situations respectives dans le paysage de la nature, Louis Zukofsky ayant créé son poème " A " d'après la musique de La passion selon Saint-Matthieu de Johann Sebastian Bach.
La première lecture faite, le lecteur lit la postface de la traductrice où elle situe le poème de Louis Zukofsky, les contraintes qu'il s'est imposées, commencer à 70 ans pour finir à 80 ans un poème intitulé 80 Flowers - Uniquement des fleurs vues - fleurs vues, lues et écrites - et toute la botanique que j'aurai apprise en 10 ans - Chansons de 8 vers de 5 mots : 40 mots par poème, qui naissent de mes livres précédents et les condensent, le tout dédié à sa femme Celia et à son fils Paul. Postface où les subtilités, les échos, la forme, les attentions et les intentions du poète sont offertes au lecteur. Où il apprend combien toute sa vie et à travers toutes ses inventions formelles, Zukofsky a créé une forme de discontinuité nouvelle qui tranche avec la Comédie de Dante, écrite il y a plus de sept cent ans, où l'idéologie jure avec la spontanéité du verbe venu d'Arnaut Daniel, des troubadours... Et le lecteur de commencer une seconde lecture d'un livre sans fin(s), riche de tous les futurs inouïs libérés, hors de leurs gonds, de leurs inattendus si souvent convenus ainsi que l'écrit noir sur blanc Louis Zukofsky.
(1) Paul Celan, Partie de neige, Traduit de l'allemand et annoté par Jean-Pierre Lefebvre, Seuil, 2003, p. 202 (2) p. 84 (3) " A " (sections un à sept), Notes et Introduction de Serge Gavronsky, traduction de Serge Gavronsky et François Dominique, Ulysse fin de siècle, 1994, p. 71 ; " A " 8-11 ; " A " 12 " ; " A" 13-18 sur les 24 chants sont parus aux même éditions publiés et édités par les mêmes éditeurs et traducteurs.
Souce : Sitaudis
https://www.sitaudis.fr/Parutions/80-fleurs-de-louis-zukosky.php
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Macron's Priorities for Trump Meeting, Tillerson's Disastrous Tenure at State
Macron's priorities for Trump meeting. Tillerson's disastrous tenure at State. And weekend reading
Presidents Emmanuel Macron of France and Donald Trump of the United States speak in Paris, July 14, 2017 (DoD/Dominique Pineiro) Emmanuel Macron is due to meet his American counterpart, Donald Trump, in Washington DC next week. Erik Brattberg and Philippe Le Corre write in The National Interest that he will have four priorities: Staking out a common stance on Syria. Preserving European exemptions…
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A Dominique... Bon Anniversaire... Stances pour une Amie... Patte griffe ou velours sur des coussins carmin Tu rêves Tu reposes parfois ongle sur parchemin… Pour quelques pensées brèves Tu es fille du vent, tes yeux couleur de nuit Parlent de liberté De songes qui s’effacent quand arrive minuit Dans leur fragilité Les ans posent sur toi des roses de printemps… Renaissance d’Avril Qui jamais ne se fanent dans le fleuve du temps Comme fleurs du Brésil Je voudrais mon amie que l’année qui s’en vient Soit douce comme miel Que tes jours soient sereins… Et toujours plein d’amour...N’est-ce pas l’essentiel… Bisous ma belle amie… 14/04/2018 Merci Élisabeth
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Is anyone mightier than Le Pen?
Sara Miller Llana, CS Monitor, April 20, 2017
METZ, FRANCE --When Marine Le Pen was a child growing up in Paris, her friends never slept over--their parents wouldn’t allow it. And no matter how hard the blond, blue-eyed girl studied at school, her teachers often mocked her, hardly concealing their disdain. Her father, Jean-Marie Le Pen, was so reviled in French mainstream society that someone set off a bomb in the stairwell outside their apartment four years after he founded the fringe far-right National Front (FN) political party in 1972.
Ms. Le Pen describes in her autobiography, “A Contre Flots,” or “Against the Current,” a childhood that was full of insults, suffering, and injustice--all simply because of her family name.
She cannot say the same of her adulthood.
The girl who grew up in the harsh shadow of her provocative, nationalist father has risen to become one of the most popular politicians in France--and one of the most important opposition leaders in the world. Now, as the campaign for the French presidency reaches its denouement--with Le Pen having a distant but not inconceivable chance of winning--she has pushed the FN closer to the Élysée Palace than her father ever did and is expanding her influence over French and European politics.
The party leader, who is both anti-immigrant and anti-European Union, garners support among large swaths of the population, including a growing number of mainstream voters who once rejected her. Many of them carry photos of her in their wallets.
At rallies, supporters chant her name in trancelike reverence. “Marine! Marine! Marine!” came the cry at a recent campaign stop in Metz in France’s Grand Est, a former mining region that’s reeling economically.
Le Pen, tall and confident, walked onto the stage cutting a striking figure. She was dressed modestly, as is her style, in a dark blue blouse cut out at the shoulders that was at once feminine and authoritative. The arena was filled with those who want out of the EU, who want immigrants out of France, who want the ruling elite out of office. And if they are separated by disparate, and sometimes irreconcilable desires--some eschew her left-wing protectionist trade policies but love her right-wing crusade to stop foreigners from coming in--they seem united in a longing for the grandeur of a France they can barely grasp anymore.
In voices thick with nostalgia, these voters--and the candidate they would elevate--may well decide the future of Europe. The EU, the postwar bloc that France helped to found, probably couldn’t survive if the country withdraws from the organization, which is what Le Pen wants to have happen.
The following that she has amassed both reflects and reinforces the nationalist revival sweeping across Europe and around much of the world. The populist rebellions in so many countries that shun globalism, open borders, and multiculturalism may be the most dominant political trend of the 21st century--and perhaps no one embodies the mood of the movements better than Le Pen.
She is not just Donald Trump with a more natural hairdo and a French accent. Her political roots date back to her teenage years, her rise has been methodical, and she is peaking in popularity at the most important moment for Europe in a half-century--one that may decide whether the EU survives or splits apart.
“This is the cleavage of 21st-century democracies,” says Pascal Perrineau, an expert on populist movements at Sciences Po in Paris. “It’s not a cleavage between the right and left anymore, or between conservatives and progressives. It’s a new kind of split between open societies and closed societies.”
The region of undulating hills around Metz is sometimes called the “Country of Three Borders” because it is where France, Germany, and Luxembourg meet. If anyplace can call itself the heart of Europe, it is here. As FN supporters entered the arena for Le Pen’s rally on a rainy Saturday, the mayor of Metz, Dominique Gros, was hosting a mini ceremony just a few blocks away celebrating Franco-German friendship week.
Mr. Gros’s father fought in the French Resistance against the Germans. His grandfather died in the epic Battle of Verdun in World War I. His great-great-grandfather fought in the Franco-Prussian War. Gros himself was born in 1943, in the middle of World War II. “I learned when I was little that Germany was our enemy,” he says. “But we have succeeded in overcoming our ancestral hate ... and we must fight against this disastrous trend that risks pitting one against the other like in older times.”
Gros is, in other words, a strong advocate of an integrated Europe.
But if this region is a story of overcoming animosity through shared interests, it’s also one of globalization and deindustrialization. It is the disappearance of jobs, and the loss of dignity as a result, that have turned many Metz voters toward Le Pen.
At the candidate’s rally, Camille Ajac says she supports a “Europe of nations” but not the EU, which she calls “a Europe of interdependence.” “We absolutely want to get our sovereignty back,” she says.
Jean Schweitzer, a baby boomer, says he simply wants to give a new party a chance “since neither the right nor left has gotten us anywhere, and meanwhile France just gets worse.” Antoine Dupont talks angrily about his grandmother’s financial woes. At age 82, she’s been reduced to knitting stuffed animals to supplement her pension. He complains, too, that younger people are being forced to leave the country to find higher-paying jobs.
They all believe France’s future depends on the politician whom they describe as frank, simple, and honest--someone who could be a charismatic next-door neighbor.
Le Pen promises to hold a referendum on EU membership--what is called a “Frexit” vote--if she becomes president. At a rally in Lille, France, in March marking the 60th anniversary of the EU, she said flatly that “the European Union will die,” adding, “the time has come to defeat globalists.” She has called for the reintroduction of a new French currency, though she’s softened her tone in response to polls showing the vast majority of French want to keep the euro.
Advocates of European unity believe France’s departure from the EU would be catastrophic. “The EU can survive without the [United Kingdom]. It wasn’t there in the first place. It’s always been sort of half in and half out,” says Douglas Webber, professor of political science at INSEAD, a business school outside Paris. “But if France is no longer there, then basically you are missing not just a foot, you are missing an arm, and a leg, and a good part of the torso. This would be a political ... revolution of the highest magnitude on the Richter scale.”
Le Pen’s stance on national identity--preventing more foreigners from coming in and diluting what it means to be French--resonates as much as any issue with her followers. It’s also what makes her sound the most like her father. She wants to reimpose immigration controls at the border. She promises to prevent companies from relocating abroad for cheaper labor.
While detractors criticize her for stirring up hate, pointing often to a statement she made in 2010 comparing Muslims praying in the streets with the Nazi occupation of France, she has tapped into a deep anxiety about radical Islam in France. It has been fed by major terrorist attacks in Paris and Nice that together killed more than 230 people. At the same time, 1.3 million refugees and asylum-seekers, mostly Muslim, have entered Europe in the throes of upheaval in the Middle East, which the far-right easily conflates with terrorism.
“Let’s give France back to France,” says Le Pen at the Metz rally.
As her followers chant “On est chez nous,” or “We are in our house,” she adds: “What I want is not to close the borders. It is simply to have them--and control them.”
For all her hard-line stances on immigration and the EU, it would be incorrect to classify Le Pen as simply far-right. She has, for instance, adopted a protectionist trade agenda that is increasingly attracting some former socialist and even communist voters.
On two other litmus-test issues, gay marriage and abortion, she has toned down her message or remained largely silent. In recent years, Le Pen has also tried to scrub the FN of its darker associations. She has kicked out members who publicly spew the kind of vitriol that was characteristic of her father and attempted to change the party’s image of being a party of racist old men.
The real inflection point came in 2015. Her father repeated a comment that over the years has refused to fade from memory. Jean-Marie stood by his assertion, first made in 1987, that the gas chambers of the Holocaust were a mere “detail” in history. Marine banished him from the party and publicly severed their relationship. Many observers have wondered whether the rupture was genuine, or just a brilliant moment of rebranding. Those close to her say it was painful and has been permanent and shows how politics always comes first with the Le Pens.
“You don’t break with your father in public on TV and have it not be difficult. It’s incomprehensible,” says Bertrand Dutheil de la Rochère, one of her advisers. “But her father was impossible, just going from provocation to provocation. The FN and Marine don’t need provocation.”
Her campaign posters now bear just her first name, not her last, with the words: “In the name of the people.” The logo, now a blue rose, used to be a flame.
How much the FN has revamped its image will be tested in the coming elections. Recent polls have Le Pen and 39-year-old centrist Emmanuel Macron, a former investment banker and minister in the ruling Socialist administration, as the front-runners in the first round of balloting on April 23. Mr. Macron, who broke from the embattled Socialists last year, is running under his own party, En Marche!, or On the Move.
It’s a wildly unpredictable race. Underdogs won the primaries of the two mainstream parties, the Republicans and the Socialists. Neither one is likely to make it past the first round of voting April 23 to the runoff on May 7. That means it will come down to the pro-EU, pro-free trade Macron against the antiglobalization, anti-immigrant Le Pen.
Polls for now give a significant edge to Macron in the second round, but in an era when Mr. Trump and “Brexit” triumphed, no one is predicting an unequivocal defeat for Le Pen.
“Macron speaks to the France that is doing well,” says Perrineau. “Marine Le Pen speaks to the France that is not doing well.”
The steeliness that has helped Le Pen rise to the pinnacle of French politics may be rooted in that cold night in November 1976 when a 44-pound bomb went off in the family’s Paris apartment building. The explosion damaged 12 dwellings and sent a baby flying out a fifth-floor window. Amazingly, no one was hurt in the incident--including the child, who landed in a tree along with his mattress. To this day, no one knows who planted the bomb. But Le Pen, who was 8 at the time, has written that she emerged from the incident “no longer a little girl like everyone else.”
The youngest of three sisters, Le Pen and her family moved to the wealthy, western suburb of Saint-Cloud to a mansion called Montretout. Today it is tucked within a gated community and carries an air of serenity.
The constant antipathy directed at her father hung over the family. Ultimately her mother, Pierrette, left--moving out one day when Le Pen was 16. The distraught teen waited for her mother at the entrance of her high school every day for several weeks, certain she would come home. Instead her mother moved to the United States with a lover, leaking explosive commentary about her ex-husband. At one point, she posed for Playboy magazine. The humiliation was too much for young Marine: She didn’t talk to her mother again for 15 years.
Le Pen’s entree into politics came at age 15, when her father let her miss school for a week and join him on the campaign trail. Jean-Lin Lacapelle, one of her old friends and an FN official today, says no one at the time saw in her a French president. She didn’t want the life of a politician.
Instead it was Marine’s older sister Marie-Caroline who was expected to take up that mantle, before she and her father had a falling-out and broke ties. Marine, in the meantime, became a lawyer and handled the party’s legal affairs.
In 2002, Jean-Marie made it to the second round of the presidential elections to face Jacques Chirac, stunning the nation. Marine went on air to talk about it. She was in her early 30s, all smiles and optimism.
“The day after, at the headquarters of the Front National in Saint-Cloud, all of the press arrived asking, ‘Where is Marine Le Pen? Where is Marine Le Pen?’ “ says Mr. Lacapelle. “It was incredible.”
He says that’s when he knew she would take the party to the top.
Though older and more polished now, Le Pen still has a blunt, charismatic style that appeals to French youth. The FN is the most popular party in France among people ages 18 to 24, drawing roughly a third of the social media-savvy demographic.
Part of her allure is rooted in the plight of young people in the world’s sixth-largest economy, nearly a quarter of whom are unemployed. On the eve of Le Pen’s rally in Metz, 20-something supporters from across the country came together in the city’s party headquarters to discuss their plans for the following day. It had more the feel of an awkward school dance than a strategy session--they had put out bowls of potato chips and bottles of soda.
Emilien Noé, a former Socialist who coordinates the youth movement in the region, says young people are drawn to the FN’s promise to restore French glory, something they’ve never known. “A lot of young people are living abroad instead of in France, and this is sad for a country like ours,” he says.
While many Millennials are attracted to Le Pen because they see her as a rebel--one poster in the FN’s national headquarters trumpets “The rebel wave”--the candidate herself doesn’t act like the icon of a rebellion. In campaign imagery she is more likely to be photographed feeding cows and cuddling kittens.
When she reveals pieces of her personal life, it’s often in the context of a mother of three children in their late teens. Friends say the twice-divorced politician is a workaholic. But when she does relax, one of her outlets is karaoke. Her choices reveal her era: With her raspy voice, she likes to belt out the songs of Dalida, the Egyptian-born Italian diva who was a global phenomenon from the 1960s into the ‘80s.
Le Pen has made inroads with other voters, too, including women. She doesn’t carry the feminist mantle. That she would be the first female president of her country is hardly a factor the way it was with Hillary Clinton.
But she has positioned herself as a defender of women against the rise of Islamic fundamentalism. She wants the Islamic veil banned, as well as the burkini, saying neither belong in modern French society.
“We believe that a woman in a veil seems not to be free,” says Marie-Hélène de Lacoste Lareymondie, a regional counselor for the FN in the Grand Est.
She says women recognize themselves in Le Pen, a divorced single mother. “She is a feminist, of course,” says Ms. Lacoste Lareymondie. “But she represents all kinds of women--mothers, lawyers, working women, political women. It’s complete.”
Not everyone buys it. Critics say her feminism is barely disguised discrimination against Muslims. At some public rallies, protesters denounce her as a “fake feminist.”
In the FN’s newest campaign video, Le Pen is facing the sea as an emotionally charged soundtrack pounds in the background. It feels like the trailer for a film. In a voice-over, she proclaims her love of France, the “age-old nation that does not submit.” She promises to stand up against the “sufferings of” and “insults to” the country. The video ends with her behind the wheel of a boat, a clear metaphor for one of her main campaign slogans, to steer the country toward what will “put France in order.”
The unsubtle subtext is that Paris needs the kind of strong leadership that has been missing under President François Hollande and Nicolas Sarkozy before him. The French have always sought a “strongman” in their presidents, a monarchical instinct that turns them toward authority, especially in times of crisis.
“This is the country that produced Napoleon, the country that produced Charles de Gaulle,” says Perrineau.
But he sees protest as the stronger current pushing Le Pen toward the doors of the Élysée. He references French intellectual Pierre Rosanvallon, who said it’s no longer a time of elections in Western society. It is the time of “dis-elections.”
In the end, many French voters, says Perrineau, “just want to vote in the bogeyman.”
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NICEで有名なビストロ La Merendaへ。
名物のPate de pistou(ジェノベーゼ、バジルソースのパスタ)をいただきました。
評判どおりとってーーーーもおいしかった!
http://lamerenda.net/La_Merenda_Site_Officiel/La_Merenda_Nice.html
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" Dominique Le Stanc - 'La Merenda', Nice "...
An exceptional "chef" with an "alternative" passion for his land...
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@alain.llorca fait parti de ces chefs qui ont marqué l’histoire de la gastronomie de la Côte d’Azur et de la France. Au Parcours brillant et fulgurant, il a côtoyé les plus grands noms et a orchestré les plus belles cuisines. De Jacques Maximin à Dominique Le Stanc, en passant par Roger Vergé et Alain Ducasse, que cela soit au Negresco, au Moulin de Mougins, sans oublier La Passagère à l’Hôtel Belles Rives… Son identité : une délicate cuisine, au plus près des produits locaux d’exception travaillés et choyés avec amour, qui délivre émotion et réconfort. A la tête de son établissement depuis 2009, il décroche l’étoile en 2012, le Chef Alain Llorca s’exprime de toute sa valeur dans cette belle Maison Provençale d’une vue perçante sur le mythique village de Saint-Paul de Vence et plongeante sur la campagne environnante cadencée d’oliviers. Le menu Collection est assurément une ode à la Méditerranée et permet de vivre la créative palette du chef et des ses équipes, entre terre et mer. La translucide et unique gamberoni marinée aux agrumes se déguste en nigiri sur un riz tiède et claquant des algues, le bouillon des têtes se boit en pertinent breuvage iodé et réconfortant. Le Foie Gras se fait nougat et croque de ses fruits secs et le sorbet poivron est le condiment qui percute de vie. La noix de Saint-Jacques s’engourmandise d’un stupéfiant bouillon monté au beurre et agrumes et se sent aimé des précieux et vivants légumes du jardin. Le ravioli à la ricotta et fleurs de févettes expose sa fibre printanière, le rouget et le soupion farci à la niçoise se lient d’amour du jus de barigoule telle une bouillabaisse du bonheur. Le pigeon en différentes façons d’une parfaite cuisson s’enivre du jus court et se fait à la dégustation le souvenir ému d’une saveur oubliée, mais tant aimée. Un déjeuner, un dîner ou un séjour chez le chef Alain Llorca est une élégante et gastronomique parenthèse, qui vous transporte bien loin de ce tumultueux monde et vous fait vivre l’instant suspendu tant attendu. #alainllorcarestaurant #alainllorca #chef #michelinstar #cotedazurfrance #guidemichelin #saintpauldevence #gastronomie #frenchriviera (à Alain Llorca - Hôtels et Restaurants) https://www.instagram.com/p/Co4jtHToDxm/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#alainllorcarestaurant#alainllorca#chef#michelinstar#cotedazurfrance#guidemichelin#saintpauldevence#gastronomie#frenchriviera
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Menu from a simple lunch at La Merenda in Nice, France, with food by former Michelin-starred chef Dominique Le Stanc:
Salad of rocket, ricotta cheese, preserved olives, baked figs and honey vinaigrette dressing
Slow cooked tripe served in its cooking juices with potato rosti
Tourte de blettes (swiss chard tart) with icing sugar
La Merenda, Nice, lunch Menu from a simple lunch at La Merenda in Nice, France, with food by former Michelin-starred chef Dominique Le Stanc:
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Les Agitateurs - Samuel Victori & La Merenda - Dominique Le Stanc - Nice
Les Agitateurs – Samuel Victori & La Merenda – Dominique Le Stanc – Nice
Un dîner à 4 mains en toute amitié au diapason d’une cuisine ensoleillée et gourmande. (english version) Samuel Victori, le jeune chef étoilé des Agitateurs à la passion contagieuse d’une cuisine espiègle et percutante, recevait pour un dîner unique en sincère simplicité, l’emblématique chef Dominique Le Stanc de La Merenda (qui a laissé ses étoiles pour devenir le virtuose heureux et sans…
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#Côte d&039;Azur#Chef#Dîner à 4 mains#Dominique Le Stanc#Etoilé Michelin#Gastronomiques#La Merenda Nice#Les Agitateurs#Michelin#Nice#Restaurant#Restaurant Côte d&039;Azur#Samuel Victori
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La Merenda, qui signifie casse-croûte en niçois, est bien plus qu’un simple bistrot de poche situé dans le Vieux- Nice, c’est surtout et avant tout une institution de gourmandises et de spécialités niçoises pleines de vérité et d’authenticité que le Chef Dominique Le Stanc orchestre depuis 1996 avec son épouse Danielle. Une salle pas plus grande qu’un studio, des tables en bois et des tabourets avec coussins, des lithos d’artistes connus et reconnus, des menus de grandes Tables étoilées (où le chef a travaillé) encadrés et accrochés au mur, un plafond au style d’un jupon bouillonnant en lin, une cuisine comptoir où tout se montre et rien ne se cache, ouverte aux yeux des 20 clients, période post Covid oblige (25 en temps normal).
La Merenda – NIce ©lepetitlugourmand
La salle La Merenda – Nice ©lepetitlugourmand
La Tarte à la tomate en cuisine ©lepetitlugourmand
Menu des établissements où le chef à travaillé ©lepetitlugourmand
La Salle ©lepetitlugourmand
Dominique Le Stanc, au parcours plus que prestigieux, s’est formé et a travaillé auprès des chefs emblématiques de la grande gastronomie française, d’Alain Chapel à Mionnay, de l’Auberge de l’Ill à Illhausern, de Lenôtre à Paris, en passant par Alain Senderens à l’Archestrate… C’est au début des années 80, qu’il décide de s’installer sur la Côte d’Azur, où on le verra un temps à Monaco, puis à Eze au Château Eza et enfin à Nice au Chantecler à l’Hôtel Negresco, reprenant la suite du bouillonnant et créatif Jacques Maximin parti ouvrir son restaurant : le Théâtre Jacques Maximin.
Le Stanc apportera au Palace niçois toute sa sincérité, toute sa sensibilité et reconquerra sous sa signature les deux étoiles. Mais les ors et les contraintes d’un établissement de cette envergure le font parfois s’échapper dans une cantine du Vieux-Nice, La Merenda, où il y découvre une cuisine niçoise dans son jus, sans chichi, pleine de verve. Cette adresse, qui a vu le jour en 1966, est tenue par un couple de niçois au tempérament bien trempé et aux frasques réputées, ces personnages qui laissent une empreinte vivante, ne l’indiffère pas, bien au contraire! Il se projette dans cette mini-salle, bien loin du cérémonial des hôtels de luxe. Il tombe véritablement sous le charme de cette cuisine de patrimoine, identitaire, simple, aux produits frais de saison. Les recettes traditionnelles et séculaires du Comté de Nice, ils les apprend auprès du couple, devenu des amis. Aspirant à une vie plus apaisée et sereine, il leur propose de reprendre l’établissement dès qu’ils souhaitent vendre leur affaire. Il quitte alors le Negresco et ses deux étoiles en 1996 et revient à une dimension humaine et familiale qui lui convient mieux. Ainsi, la Merenda passe entre les mains d’un chef heureux et soulagé.
Aujourd’hui, cet intime bistrot est toujours et encore plus une adresse sur laquelle il faut compter dans le Vieux-Nice pour un déjeuner ou un dîner d’une gourmandise exemplaire. Les habitués, les touristes, les notables et les fins gourmets aiment à écarter ce petit rideau de porte des épiceries provençales d’autrefois, tintant au passage de chaque client, et se retrouver dans cette petite salle (parfaitement aménagée pour respecter la distanciation sociale en cette période) presque dans un coude à coude, un peu plus “lointain” actuellement, pour venir s’encanailler dans une atmosphère authentique des délices de cette famille.
La Merenda – Nice ©lepetitlugourmand
La Salle ©lepetitlugourmand
La carte proposée sur l’ardoise varie suivant la saison et les produits du marché du Cours Saleya voisin est une ode à la cuisine nissarde. Il n’est pas rare de croiser le Chef en vélo faire ses courses le matin et “papoter” avec ses fournisseurs-producteurs-amis : les pâtes et panisses viennent de Chez Barale ou Roda, les légumes et tomates gorgés de bonheur de chez Jacqueline Risso, le pain craquant au bon goût de levain du Fournil de Maître Pierre et même les fleurs viennent de l’un des plus authentiques et abondant fleuristes du Cours, Jean-Pierre Mege…
Pour commencer, si la saison est de mise, n’hésitez pas une seconde à commander l’emblématique Tarte à la tomate. L’excellence de la tomate est dans cette part de tarte, tel un “gâteau” d’une pâte fondante et craquante à la fois. Les tomates cerise regorgent d’un soleil enflammé et éclatent de leur sucrosité naturelle, telle une douce et gourmande compotée, les olives de Nice contrastent et recentrent parfaitement le goût et le basilic fraîchement ciselé “chante” naturellement en bouche. Une entrée addictive à ne rater sous aucun prétexte!
La Tarte à la tomate ©lepetitlugourmand
La Tarte à la Tomate ©lepetitlugourmand
La Soupe au Pistou : véritable tradition de la cuisine niçoise et provençale est d’une suavité émouvante, les légumes entre le fondant et le croque “titillent” le palais, la légère sucrosité des tomates donne une souplesse de gourmandise, vite rehaussé du pistou. La texture de la soupe est fine, bien balancée et parfaitement appétante.
La Soupe au Pistou ©lepetitlugourmand
Une autre entrée éphémère à saisir dans toute sa splendeur : les beignets de fleurs de courgette. La pâte traditionnelle est fine, légère et croustillante, laissant toute la spontanéité et le moelleux du coeur des fleurs qui chantent l’été.
Les beignets de fleurs de courgette ©lepetitlugourmand
Les beignets de fleurs de courgette ©lepetitlugourmand
La ratatouille est encore un exploit de gourmandise et de saveurs : tout est simplement raffiné d’une évidence désarmante. Les légumes sont tous là, individuellement, les uns avec les autres pour les autres et donnent une douceur franche. Vous n’aviez surement jamais vraiment mangé de Ratatouille auparavant…
La ratatouille ©lepetitlugourmand
Le Stockfish (plat emblématique de Nice fait à base de morue séchée et tomatée) est ici en puissance maîtrisée et raffinée, le poisson garde de sa belle texture et la sauce à la délectable onctuosité nous rappelle bien la maîtrise et la technicité d’un chef étoilé.
Le Stockfish ©lepetitlugourmand
La Daube de boeuf à la provençale et panisse est le plat réconfortant et subtil, le boeuf est fondant et texturé en même temps, la sauce mijotée est encore une fois fine et goûteuse.
La Daube de boeuf à la provençale et panisse ©lepetitlugourmand
Les Petits farcis niçois sont également une institution des plats nissarts, mais souvent bafoués et mal traités où les légumes sont bouillis à la farce sèche et sans vertu. A la Mérenda, ils gardent toute leur identité et valeur gourmande, le poivron est confit, la tomate sucrée de plaisir, la courgette est vaillante, l’oignon est doux et heureux, et la farce accompagne ce petit monde tendrement et sincèrement.
Les Petits farcis niçois ©lepetitlugourmand
Difficile de résister aux douceurs et notamment à la Tourte aux Blettes sucrée qui du haut du comptoir vous interpelle régulièrement de sa gourmandise pendant le repas. Mais, vous avez au fond de vous, cette petite crainte de vous entendre dire au moment fatidique : ” aïe désolé, je viens juste de vendre la dernière….” mais la chance et le bonheur sont là. La pâte est craquante au petit goût subtil de zeste de citron qui ravive les blettes enrobées de raisins secs et de pignons de pin.
La Mousse au chocolat à la fine densité fera plaisir aux afficionados de mousse maison et les Cerises marinées citron-menthe rappellent la cueillette dans les vergers les soirs d’été.
Cerises marinées citron-menthe ©lepetitlugourmand
La Mousse au chocolat ©lepetitlugourmand
Tourte aux Blettes sucrée ©lepetitlugourmand
La carte des vins se limite par tradition de cette maison à deux ou trois flacons dont un Bellet.
Le chef Dominique, Danielle son épouse, Louis le cuisinier, le plongeur et en salle Ariel, tous de concert, vous invitent à vivre un moment unique et vrai dans ce mouchoir de poche à la grandeur gourmande. La Merenda est l’adresse à Nice pour découvrir avec véracité et précision le patrimoine de la cuisine nissarde signée par un Chef sincère et passionné.
Le Chef Dominique Le Stanc et son équipe ©lepetitlugourmand
Entrées 10 à 14€ – Plats 16 à 23€ – Desserts 6€
La Merenda
4, Rue Raoul Bosio
06300 Nice
Ouvert du lundi au vendredi au déjeuner et dîner
Reservation sur place ou en messagerie Instagram La Merenda Nice
La Merenda Nice – Dominique Le Stanc La Merenda, qui signifie casse-croûte en niçois, est bien plus qu'un simple bistrot de poche situé dans le Vieux- Nice, c'est surtout et avant tout une institution de gourmandises et de spécialités niçoises pleines de vérité et d'authenticité que le Chef Dominique Le Stanc orchestre depuis 1996 avec son épouse Danielle.
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Un dîner à 4 mains en toute amitié au diapason d’une cuisine ensoleillée et gourmande. Samuel Victori, chef étoilé des @lesagitateursnice à la passion contagieuse d’une cuisine espiègle et percutante, recevait pour un dîner unique en sincère simplicité, l’emblématique chef Dominique Le Stanc @lamerendanice. Les deux chefs ont proposé un menu qui virevoltait entre la douce modernité enjouée aux produits locaux de saison et l’efficacité plaisante d’un classicisme bienveillant, qui sait si bien réconforter les papilles. Deux générations, deux cuisines qui se sont écoutées et épaulées dans une douce harmonie. Tout a commencé avec une brioche à partager délicieuse à se damner aux limbes des plaisirs gourmands, servie tiède elle fait fondre de bonheur la fine tranche de guanciale, qui libère toute son identité. Les herbes de la garrigue rehaussent le tout d’un chant des cigales. Les très raffinés cocktails de saison sont une parfaite harmonie des amuses bouches, comme le délicat Beetroot Fizz. C’est Samuel qui a lancé le premier temps des dégustations avec la Gamberi de San Remo en filigrane d’iode enveloppée de la douceur laiteuse de la mozzarella, la vinaigrette de tête de crevettes se fait condiment concentré et balance la croque fraîche de la cebette et du fenouil. Dominique, quant à lui, débute avec un tiercé assurément gagnant et flatteur qui enivre le palais de plaisirs francs et réconfortant comme un dimanche avec l’œuf au plat crème au lard et truffe Pour le second temps, Samuel nous emmène délicatement avec un risotto enveloppé de betterave et engourmandisé de gorgonzola. Le rouget coiffé d’iode de l’oursin s’encanaille avec évidence d’une sauce lièvre à la royale, le tortellini au potimarron est un bonbon de volupté. Le feuilleté de canard sauce au foie gras de Dominique se déguste presque en une seule bouchée et fait remonter les souvenirs des belles cuisines d’autrefois. Samuel Victori et Dominique Le Stanc se sont retrouvés avec sincérité dans ce menu tamisé et gourmand d’une belle association de styles en douce harmonie #gastronomie #michelinstar #michelinexperience #cotedazurfrance #chefetoile #nissalabella #frenchriviera (à Les Agitateurs) https://www.instagram.com/p/CamAJjHsqBF/?utm_medium=tumblr
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1 Jour - 1 Chef - 1 Établissement des Bonheurs Gourmands : Le sincère et passionné Chef Dominique Le Stanc propose dans son établissement de poche en plein cœur du Vieux-Nice @lamerendanice une cuisine niçoise de patrimoine à la verve authentique et maîtrisée dans une ambiance conviviale et chaleureuse. #lamerendanice #lamerenda #dominiquelestanc #chef #gastronomie #cuisinenissarde #patrimoinemondialdelunesco #nissalabella #cuisinenicoise #villedenice #cotedazurfrance #fenetresurlacotedazur #onatousbesoindusud #frenchriviera #gastronomiedusud #nice06 #michelinstar #dominquelestanc #patrimoine #foodstagram #best (à La Merenda) https://www.instagram.com/p/CHSmUjWl-dc/?igshid=1g8sx61fi57aq
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