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#Deux ou trois choses que je sais d'elle
capture-s-ii · 1 year
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Deux ou trois choses que je sais d'elle (dir. Jean-Luc Godard, 1967)
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rwpohl · 6 months
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così dolce... così perversa, umberto lenzi 1969
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troquets · 2 months
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Marina Vlady dans Deux ou trois choses que je sais d'elle de Jean-Luc Godard, 1967.
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nightandflesh · 3 months
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tealviscaria · 3 months
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@vinstinx
Okay, donc j’ai réfléchi sur le parallèle entre Manifeste d'Orelsan et The Art of Peer Pressure de Kendrick. C’était assez difficile de trouver comment s’y prendre. Comme tu l’avais dit, il n’y a pas vraiment un lien très concret dans les paroles que je pourrais montrer juste comme ça et dire – ah ! ça se ressemble, vous voyez 👉 !!
Je sais pas de quoi Amin et Hugo ont discuté, alors j’espère que je vais pas répéter les mêmes trucs :D Je suis pas sûre si ce que j'ai écrit soit trop prétentieux ou au contraire complètement osef, mais let’s gooo :
1) Le cadre narratif
Tous les deux sont en train de décrire une histoire alors évidemment y’a des procédés similaires de narration. Mais en même temps ils différent tellement dans le fond de l’histoire que je trouve toutes les similarités assez superficielles. Ou pas superficielles, mais juste pas très surprenantes, vu qu’il serait difficile de les éviter.
Par exemple, ils mentionnent tous deux l’heure qu’il est, ils intègrent l'agitation de l'environnement dans la musique (sirènes de police, etc.).
Mais 2) Le fond
Le raisonnement me semble totalement opposé. La façon dont Orel abord l’histoire est beaucoup plus individualiste que celle de KDot. Et ça a du sens, parce que KDot parle de la peer pressure, ce qui implique que ses potes sont décrits comme une masse (même si la description est vraiment concrète et détaillée !) – ils se contrôlent les uns les autres. Il y a un seul point de vue (the homies) contre ses pensées intérieures.
En revanche, dans Manifeste y’a littéralement une foule mais en même temps il me semble que chacun fait ce qu’il veut et il n’y a vraiment personne pour les unir. Je trouve ça intéressant que dans TAoPP, ils ont un langage commun (« speakin' language only we know ») tandis que dans Manifeste lui et Mathilde ne s’écoutent pas (« J'me sens agressé, j'y mets d'la mauvaise foi/ J'dis deux-trois trucs un peu réac', elle m'ignore, elle fait des snaps »). Oui, il s’entend bien avec Mickey mais seulement sur les choses du passé. Y’a pas vraiment du progrès.
Et donc, la communication collective peut pas vraiment mener à l’action contrairement à TAoPP où le langage est capable d’être persuasif et convaincre KDot à aller contre ses principes.
Dans Manifeste, je trouve que c’est l’action elle-même qui pousse à l’action d’autre. Alors certainement, c’est par la parole de France qu’il se sent convaincu. Cependant, je pense pas qu’il s’agit d’une communication ordinaire où les deux parties sont des participants actifs. Plutôt qu’une communication, je le vois vraiment comme si Orel observait France travailler, souffrir, se battre avec le système etc. – c’est finalement pas un débat, mais comme s'il était un témoin, un fantôme à côté d'elle. Les actions de France qu’il voit le persuade.
Bref :
TAoPP – collectif, les idées de KDot vs. les actes de ses amies (mais tout le monde se comprend)
Manifeste – individualiste, tout le monde a ses propres idées (ils se comprennent pas mais quand même pensent qu’ils ont le même but)
3) La fin
Pour moi, les deux chansons nous laissent au plus haut point de la crise. Beaucoup de choses merdiques se sont déjà produites mais je pense que ce n’est qu’après la fin qu’on arrivera à un point vraiment critique. C’est-à-dire, ce sera le point où on devra faire face aux conséquences de l’explosion, pour ainsi dire.  
Je sais pas si c’est pas trop tiré par les cheveux, mais j’ai envie de dire que les chansons suivantes (dans les albums respectifs) continuent de manière similaire, dans l’esprit au moins. D’après moi, Money Trees et L’odeur de l’essence ont toutes les deux décidé de prendre du recul. Et c'est à partir de ce point de vue omniscient, d'en haut, qu'ils veulent résoudre les problèmes des chansons précédentes (ou juste méditer et réfléchir aux prochaines étapes).
4) Autres
T’as mentionné les paroles « me and the homies » et « j’suis dans la manif ». Je sais pas exactement à quel aspect t’as pensé, mais j’y vois surtout une ressemblance par rapport au rythme/son. « Me and the homies » comme « j’suis dans la manif » ont tous deux 5 syllabes, et même les voyelles dans chaque syllabe se ressemblent : schéma très approximatif [i]-[a]-[a]-[a]-[i] (je connais IPA et je pourrais le transcrire phonétiquement hein, mais ptet les sons sont plus évidents comme ça lol).
Voilà, c’est tout :D
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lynelf · 1 month
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Tag game
tag game du rpg ♡
règles du jeu:créer un nouveau billet en copiant-collant les questions ci-dessous, y répondre, puis tagger d'autres rpgistes !
depuis combien de temps fais-tu du rp? — Environ quinze ans je dirais si on compte depuis le début mais j'ai fait une grosse pause d'environ dix ans avant de reprendre il y a ~deux ans.
quel était le premier personnage que tu as créé? — Elladora Swarovski, c'était un scénario, la soeur de son frère, tous deux mutants sur un forum dérivé x-men. Je me souviens que j'avais adoré jouer le lien entre les deux, mais je me souviens pas trop de son caractère à elle mdrr
quels sont les faceclaims que tu utilisais souvent à tes débuts? — J'ai du mal à réutiliser des faceclaims, je suis très "visuelle" et j'associe beaucoup les têtes aux perso' (mais pas les acteurices hein). Comme il y en a qui datent, il y a des regrets de mes choix maintenant jpp mais quand même, je vais citer les deux avec lesquelles j'ai joué le plus longtemps : Blake Lively et Naya Rivera (avant qu'elle ne décède évidemment <3 )
y a-t-il un genre/univers dans lequel tu n'aimes pas du tout rp? — Les forums HP, que je ne regarde pas, et les forums vie réelle je pense. J'en avais tenté un et j'ai pas du tout aimé la commu' rencontrée là-bas, ça m'a peut-être un peu trauma mdr
quelles sont les dynamiques entre personnages/types de liens que tu aimes le plus? — J'aime vraiment tout jouer je crois, peut-être un chouilla plus les rp avec une pointe de drama mais je suis pas très difficile xp
dans quels fandoms ou univers aimes-tu le plus rp? — Les forums avec des mutants/super-pouvoirs, sci-fi etc.
un personnage que tu ne joues plus actuellement mais que tu aimerais reprendre? — Le perso' que je jouais avec Naya m'a toujours beaucoup manquée et je me suis rendue compte qu'inconsciemment j'avais peut-être mis un peu d'elle dans une de mes perso' maintenant (Danessa).
y a-t-il des archétypes de personnages que tu joues souvent? — Pas vraiment, j'aime trop varier et tester de nouvelles choses x)
y a-t-il un livre ou un écrit autre qui t'as beaucoup influencé·e pour écrire? — Je ne crois pas ? Par contre, je sais que quand je lis un livre avec un style particulier, ça peut parfois se retranscrire dans mes écrits mais ça reste soft je dirais.
une recommandation pour finir (livre, film, ou pourquoi pas un forum)? — Je vais faire les trois parce qu'on a jamais assez de recommendations huhu Livre : Les Sept maris d'Evelyn Hugo de Taylor Jenkins Reid Film : August Rush Forum : Spring of Power <3
Merci @adjayd pour le tag ** Et je tag personne parce que je connais pas beaucoup de gens ici mais feel free de le faire, je lirai avec plaisir ! (et curiosité xp)
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Deux ou trois choses que je sais d'elle (1966) by Jean-Luc Godard
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marie-swriting · 2 years
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Tu Le Pensais Vraiment ? - Kate Bishop
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Marvel Masterlist
Résumé : Trois fois où les sentiments de Kate ont parlé à sa place et une fois où les tiens ont fait la même chose.
Warnings : s'embarrasser devant son crush, fluff, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 1.8K
Version anglaise
Prompt : "- You're cute. - What ? - I said you look like a fruit. - That doesn't even make any sense." (- Tu es belle. - Quoi ? - J'ai dit tu es un groseille. - Ça veut absolument rien dire.) de cette prompt list faite par @promptplanetblr
Tu regardes une nouvelle fois la carte de l'université tentant de comprendre dans quel sens tu dois aller. Le secrétariat te semble être dans un passage secret. Tu le cherches depuis une quinzaine de minutes sans succès. Tu as encore quelques papiers à remplir donc tu dois le trouver dans les deux minutes qui suivent ou tu seras en retard pour ton premier jour. 
Désespérée, tu te décides enfin à demander de l'aide. Tu te diriges vers une fille aux cheveux châtains foncés. Tu te racles la gorge pour annoncer ta présence. Kate Bishop se retourne en t'entendant. Son expression faciale passe du trouble avec ses sourcils froncés au choc avec ses yeux grands ouverts. Elle te regarde, la bouche presque ouverte, sans dire un seul mot. Embarrassée, tu te dis que c'est ton moment pour demander des indications.
- Excuse-moi, je suis nouvelle et complètement perdue. Tu sais où est le secrétariat, s'il te plaît ?
Tu attends une réponse qui ne vient pas. Elle continue à te regarder comme si elle ne comprenait pas l'anglais.
- Tu es nouvelle aussi ? continues-tu à demander, espérant briser ce moment gênant.
- Non, finit-elle par lâcher.
- Alors tu sais où est le secrétariat ?
- Euh, je… Oui.
- Tu pourrais me montrer le chemin ?
- Non, annonce-t-elle avant de partir, le visage rouge de honte. 
- D'accord…, déclares-tu avec confusion.
Tu la regardes s'éloigner de toi, maintenant autant perdue physiquement que mentalement. De son côté, Kate s'insulte de tous les noms à cause de sa réaction. Elle ne s'était pas humiliée de la sorte depuis longtemps. Elle a totalement paniqué. Elle sait qu'elle a fait une mauvaise première impression alors qu'elle t'a trouvée mignonne. Au moins, elle se dit qu'elle n'aura pas à se ridiculiser plus, car tu ne voudras pas être son amie, c'est sûr. 
Étonnamment, tu n'es pas restée sur ta première impression d'elle. Lors de ta première semaine, Kate a réuni tout son courage pour venir s'excuser de sa réaction. Elle a eu du mal à sortir ses phrases comme il faut, bataillant à se rappeler de son excuse. En effet, elle veut éviter de dire qu'elle a été aussi désagréable, car elle a été prise de court par ta beauté, mais tu as trouvé mignon la façon dont elle a essayé. Tu lui as pardonné sans hésitation. 
Rapidement, Kate est devenue ta première vraie amie à New-York. Et en tant qu'amies, vous vous aidez pour les cours. 
C’est le cas notamment pour ton exposé d’histoire des Etats-Unis. Ton sujet ne t’inspire pas énormément, donc tu n’es pas sûre d’avoir une bonne présentation. Tu as demandé de l’aide à Kate pour savoir si tes doutes étaient fondés. Elle est assise sur ton lit tandis que tu es debout, devant ton bureau, ton ordinateur posé dessus, faisant défiler les diapositives de ton diaporama en même temps que tu fais ta dissertation orale. Tu fais ton exposé avec seulement quelques accrocs, réalisant certains points que tu pourrais modifier. Quand tu finis de parler de ton sujet, tu ne lui laisses pas le temps de te donner son avis et tu commences à lui expliquer les passages que tu penses améliorer. Tout en lui exposant les faiblesses de ton devoir, tu as des illuminations sur des phrases que tu pourrais tourner autrement ou des points à ajouter. Kate, quant à elle, te regarde avec attention. Elle admire la façon dont ton cerveau fuse à cent à l’heure, voulant rendre ton devoir parfait. Tu continues à divaguer jusqu’à ce que Kate ouvre la bouche sans s’en rendre : 
-Tu es belle.
-Quoi ?
-J’ai dit ‘tu es une groseille’. 
-Ça veut absolument rien dire, rétorques-tu en fronçant les sourcils.
-Je… Ce que je veux dire c’est que… tu… tu divagues. Tu connais pas cette expression ? Je croyais que tout le monde la connaissait, rigole-t-elle nerveusement, les joues rougissant à vue d'œil. 
-Quel est le rapport avec la groseille ?
-Oh, tu sais, parfois les expressions n’ont pas de sens.
-Ouais, réponds-tu, peu convaincue. Enfin, qu’est-ce que t’en penses ? Je devrais faire ces modifications alors ?
Kate te regarde pendant une seconde, cherchant une réponse. Elle n’a pas du tout écouté les modifications que tu as suggérées. Son embarras grandit un peu plus. 
-Si tu penses que c’est nécessaire, oui. Personnellement, je le trouve très bien ton exposé, te rassure-t-elle avant de se lever de ton lit. Je dois y aller. Ma mère m’attend.
-Depuis quand tu écoutes ta mère ? ris-tu alors qu’elle range ses affaires rapidement.
-Depuis qu’elle m’a menacée de me priver de ma carte bleue. On se voit demain, en cours ?
Elle ne te laisse pas le temps de parler qu’elle quitte déjà ta chambre, telle une furie. 
Malheureusement pour Kate, ce moment n’est ni le premier ni le dernier. A de nombreuses reprises, elle t’a complimentée alors qu’il n’y avait pas lieu de le faire. Elle a toujours du mal à rebondir sur ses pattes. A chaque fois qu’elle se ridiculise, elle se torture l’esprit pendant les jours suivants. Elle aimerait pouvoir te dire ce qu’elle pense réellement de toi sans hésiter ou avoir peur de te repousser. Alors, dès qu’elle a l’occasion de réellement exprimer son admiration pour toi, elle le fait. 
Quand sa mère t’a invitée à un gala de charité pour la première fois après quatre mois d’amitié, Kate n’attendait qu’une chose : voir ta tenue. Elle a surtout hâte que tu arrives pour qu’elle ait enfin quelqu'un qui la tienne compagnie. Quand tu es au gala, tu trouves Kate avec son dos tourné. Elle regarde les personnes présentes dans la pièce avec un air ennuyé. Ignorant ta présence, tu lui tapotes gentiment l’épaule.
-Hey Kate.
-Salut Y/N, commence-t-elle en se retournant, mais ton prénom est seulement un murmure.
Kate te regarde de haut en bas, époustouflée par ta tenue. Elle réalise que ce soir, elle va un peu plus perdre ses moyens. Elle admire ton visage, encore plus magnifique que d’habitude grâce à ton maquillage. Elle n’avait jamais pensé que tu puisses être encore plus à couper le souffle. 
-Tu vas finir par manger une mouche, tu sais, rigoles-tu, la ramenant à la réalité. 
-Désolée, tu disais ?
-Tu me regardais la bouche grande ouverte. On aurait dit que ton cerveau avait cessé de fonctionner.
-Je… Je repensais à quelque chose. Tu es très jolie, ce soir, sourit Kate avant de se reprendre : Enfin non ! Je veux dire pas uniquement ce soir, mais ce soir encore plus que d’habitude.
-Tu es magnifique aussi, lui assures-tu, amenant un sourire radieux sur son visage. J’aime bien le costume.
En disant ceci, tu la regardes avec plus d’attention. Tu essayes de cacher ton trouble face à son apparence. Si tu pouvais, tu l’embrasserais maintenant, mais tu te retiens, sachant que vous n’êtes seulement qu’amies.
Et amies, vous le restez pendant encore plusieurs mois. Malgré vos sentiments naissants, vous tentez de rester le plus naturel possible. Cependant, vous ne comptez plus le nombre de fois où vous avez laissé votre coeur parler, heureusement l’autre ne semble jamais le remarquer. Alors, malgré votre attirance mutuelle, vous restez meilleures amies, passant autant de temps que possible ensemble. 
Une chose que Kate adore faire avec toi est te faire découvrir ses passions. Et puis, il ne lui faut jamais beaucoup d’efforts donc elle n'a pas eu eu mal à te faire essayer le tir à l’arc. Vous vous rendez à son lieu d'entraînement un jour où vous êtes seules. Kate étant dans ce club depuis des années, elle a l’autorisation de venir quand elle le souhaite. Ainsi, vous êtes tranquille pour ta première leçon de tir à l’arc avec Kate pour professeure. Elle commence à t’expliquer les bases et tu l’écoutes avec attention. Mais quand elle finit, tu joues la carte de la confiance, voulant l’impressionner. 
-Je suis sûre que je vais y arriver. J’en ai déjà fait quand j’avais huit ans.
-T’en as fait pendant un an ? demande Kate, surprise. 
-Pas vraiment. Mon cousin en faisait et j’ai pu utiliser son arc toute une après-midi quand j’étais allée chez lui. Bref, t’inquiète, je gère, dis-tu avant de te positionner, l'arc de Kate en main.
-Y/N, tu devrais être un peu plus droite, tente-t-elle de te corriger. 
-Je sais ce que je fais, déclares-tu avant de tirer et de louper lamentablement la cible. Je sais peut-être pas ce que je fais.
-Tu crois ? se moque-t-elle. Allez, Robin Des Bois, je vais t’aider à réussir à, au moins, toucher la cible. Déjà, positionne-toi comme il faut, ordonne-t-elle.
Tu feins d’être agacée, mais tu écoutes tout de même ses instructions. Kate te guide dans ta posture et la façon dont tu tiens ton arc. Tu retiens ton souffle en sentant ses mains sur ton corps. En voulant s’assurer que ta main tient bien l'arc, le visage de Kate est seulement à quelques centimètres du tien. 
-Remonte légèrement ta main, t’informe-t-elle.
-Comme ça ? demandes-tu en tournant ton visage vers elle.
Tes yeux qui cherchaient la réponse à ta question sur son visage finissent par se perdre dans les siens. Kate ne dit pas un mot, perturbée également par cette nouvelle proximité. Vous continuez à vous regarder, ignorant totalement comment agir quand ta bouche parle pour toi :
-J’aimerais t’embrasser.
-Quoi ?
-Je…, balbuties-tu en t’écartant de Kate. 
-Tu veux m’embrasser ? 
-Je ne sais pas ce qui m’a pris de dire ça, désolée ! Je… Je ferais mieux de rentrer, déclares-tu, mais Kate saisit ta main. 
-Y/N, attends. Tu le pensais vraiment ?
-Qu’est-ce que tu ferais si je te disais que c’était le cas ?
-Je t’embrasserais.
-Alors, oui, je le pensais vraiment. 
Il ne vous faut pas plus longtemps pour vous embrasser. Kate pose ses mains sur tes hanches alors que ta main droite se pose sur sa joue, ta main gauche tenant toujours l’arc de Kate. Le baiser est doux, mais passionné. Il ne dure pas longtemps, mais vous réussissez à partager vos sentiments naissants. Quand vous vous séparez, vous vous regardez avec un sourire. 
-Mon Dieu, j'attendais ça depuis si longtemps, murmure Kate.
-Je le sais, souris-tu, la faisant froncer les sourcils. 
-Comment ça tu le sais ?
-Tu n’as pas été très discrète sur tes sentiments. Je compte plus le nombre de fois où tu as tenté de cacher tes lapsus. Je me rappelle encore du coup de la groseille, pouffes-tu alors que les joues de Kate deviennent rouges. 
-Tu avais remarqué depuis le début ?! Je pensais me rattraper comme il faut comme tu disais rien. Et puis, si tu le savais, pourquoi tu n’as jamais fait le premier pas ? Ça m’aurait évité de nombreux moments embarrassants, t’accuse Kate. 
-Je… J’avais peur de trop lire entre les lignes, avoues-tu avec anxiété. Je me disais que, peut-être, tu pensais seulement ça amicalement, mais ces dernières minutes m’ont confirmé que j’avais raison.
-Il y en a pas une pour rattraper l’autre, rit-elle et tu la suis sans attendre.
-Je crois pas, non.
-Mais au moins, maintenant, on le sait, sourit Kate et tu l'embrasses une nouvelle fois.
Marvel Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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manue-ringo · 5 months
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Chapitre 116 : Les révélations de Mulder
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Essaie toujours. Dit-elle avec méfiance, tenant sa cigarette à la main.
Est-ce que ça va entre vous ? Tu sais que tu peux te confier à moi. Dit-elle dans un sourire pour la rassurer.
Parker ria nerveusement avant de reprendre une dernière bouffée de fumée. Elle répondit ;
Écoute ma belle, il n'y a rien à raconter là-dessus. Mulder s'imagine des choses qui n'existent pas. Au moment où nous avons eu… Il ne s'est rien passé de très sérieux. Ce que je veux dire, c'est que j'étais au plus mal et j'avais besoin de réconfort alors je me suis laissé tenter. Voilà, tu sais tout. Ça change quoi maintenant ?
Je vois. Tu en fais ce que tu veux, mais je pense que tu devrais lui expliquer tout cela. Tu te dois d'être honnête envers lui. Surtout après tout ce qu'il a fait pour toi. Répondit Scully.
On verra. Dit-elle sur un ton ferme et bref. Parker avait sa fierté et ne supportait pas de parler de sa vie intime avec qui que ce soit. Scully avait conscience de l'effort qu'elle venait de réaliser pour elle. Cette dernière n’insista pas et laissa son amie à ses réflexions.
À quelques jours de leur rencontre avec Blevins pour cette commission d'enquête, Skinner les avaient convoqués pour leur annoncer qu'une date avait été fixée. Il leur restait moins d'une semaine pour s'y préparer. Tout trois n'avaient plus que ce jour en tête ou presque. Parker semblait un peu ailleurs depuis quelque temps et pour cause, ce détail ne manqua pas d'échapper aux yeux de son supérieur Skinner. Il retenu la jeune femme pour lui en toucher deux mots :
Je peux vous parlez seul à seul ? Demanda Skinner.
Elle acquiesça puis croisa les bras d'un air perplexe :
J'ai comme l'impression que quelque chose vous contrarie Parker. Si vous savez quoi que ce soit d'important, vous devez m'en informer.
À propos de quoi au juste ? Demanda-t-elle avec prudence.
Je ne sais pas, comment ça se passe avec vos partenaires ? En ces temps difficiles, il est impératif de rester en bon terme entre vous. Cette épreuve risque de vous diviser si vous ne prenez pas garde. C'est important. Vous devez rester forte et loyale envers eux. Sans cela, vous êtes foutu. Cette commission tentera de vous déstabiliser et de vous monter les uns contre les autres. Et c'est ce qu'il faut à tout prix éviter. Est-ce que vous comprenez ? Dit-il sur un ton grave.
Parker tenta de répliquer, mais elle ne trouva rien à redire. Skinner avait vu juste et semblait simplement se préoccuper d'elle. Elle fut touchée par ces recommandations. Elle lui sourit poliment puis répondit :
Merci pour vos conseils avisés. Je tâcherais de rester prudente. Soyez rassuré.
Scully profita du calme pour interroger son partenaire sur les événements suspects qu’elle avait découverts au domicile de Parker. Elle s’assit près de lui, le regardant droit dans les yeux.
Mulder, tu te souviens quand tu es allé chez Andréa pour récupérer ce fameux sérum ? J’aimerais savoir ce qu’il s’est vraiment passé là-bas.
Mulder afficha une mine déconcertée, jouant nerveusement avec le nœud de sa cravate.
Où veux-tu en venir exactement ? Répondit-il, tentant de cacher son embarras.
Scully comprit immédiatement qu’il cachait quelque chose. Elle insista :
Mulder, s’il te plaît. Dis-moi la vérité.
Il hésita, puis se lança :
Elle se doute de quelque chose, c’est ça ? D’accord, c’est vrai, je ne t’ai pas tout dit. Je vais te raconter ce qui s’est passé, mais promets-moi que ça restera entre nous. Mieux vaut ne pas ébruiter cet incident.
C’est promis, répondit-elle, de plus en plus contrariée.
Mulder lui raconta toute l’histoire, attendant anxieusement la réaction de son amie. Le visage de Scully se déconfit tandis qu’elle avalait du mieux qu’elle pouvait ses paroles. Voyant sa réaction, Mulder ajouta :
S’il te plaît, dis quelque chose. Je n’ai jamais voulu ça, Scully. C’était un malheureux accident. Mais ce qui est fait est fait. C’est terminé pour lui. Je crois qu’il a eu ce qu’il méritait.
Mulder ! S’exclama-t-elle, outrée.
Puis plus calmement :
Tu ne peux pas dire ça. Il s’agit d’un meurtre. Cet homme était un assassin ! Répliqua-t-il. Il a fait assez de dégâts comme ça ! Je n’ai fait que me défendre. Qu’aurais-tu fait à ma place ? N’oublie pas qu’il a tenté de nous supprimer, elle et moi. Le monde se portera bien mieux sans lui.
Scully soupira. Puis repris :
C'est vrais, mais ça finira par se savoir un jour ou l’autre, Mulder. Il ne faut pas que cette affaire tombe entre de mauvaises mains. C’est peut-être déjà trop tard, puisque nous sommes surveillés. Et puis, tu oublies un détail : ces prétendues expériences qu’il a menées durant son existence. La partie n’est peut-être pas tout à fait finie.
J’en suis conscient, Scully, dit-il dans un rire sans joie. Il n’y a plus qu’à croiser les doigts.
Au fait, tu devrais peut-être lui présenter tes excuses, ajouta-t-elle soudainement. Au vu des dégâts que vous avez provoqués durant votre altercation. C’est la moindre des choses.
Mulder eut un rictus mauvais :
Je ne pense pas que ce soit une bonne idée de lui en parler. Du moins pas pour le moment. Attendons d’abord de voir ce que va donner cette commission d’enquête. Nous devons rester soudés pour les affronter.
Tu as raison. C’est très juste. Vivement que tout cela cesse.
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quentinyhk · 4 months
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La Bible
[Quelle meilleure méthode, pour se forcer à la lire en entier, que de la réécrire patiemment ? Cette tâche s'interrompra d'elle-même quand elle devra cesser, si et seulement s'il le faut vraiment. Entreprise amusante et instructive. Quentin Cavellier.] - Les enfants de Jacob [suite]
Peut-être par souci d'équité entre les deux sœurs rivales qui n'en finissaient plus de faire - ou de faire faire - des enfants, Dieu, qui avait fait de Rachel une femme stérile la rendit brusquement féconde, et elle put tomber enceinte. - L’Éternel a enlevé mon opprobre, constata-t-elle, émerveillée. Elle donna au nouveau né le nom de Joseph qui se traduit par "Dieu accroîtra ma descendance". Rachel ne comptait pas s'arrêter en si bon chemin. Elle demanda à l’Éternel la faveur d'accoucher d'un autre fils. Après la naissance de Joseph, Jacob demanda à son beau-père Laban la permission de retourner au pays d'où il était venu : - Laisse-moi partir avec mes épouses et mes enfants, en échange desquels je t'ai servi d'abord sept années, puis sept années encore. - J'aimerais trouver grâce à tes yeux, lui répondit Laban. Car je vois bien que ta présence auprès de moi m'attire la bénédiction de Dieu. Que puis-je t'offrir en remerciement ? Dis-moi seulement ce que tu souhaites et je te le donnerai. - Tu sais avec quel zèle je t'ai servi et ce que ton troupeau est devenu par la force de mon travail. Le peu que tu possédais avant mon arrivée s'est considérablement accru. Car l’Éternel t'a béni dans mon sillage. Il est temps que je quitte tes terres et que j'aille m'occuper des miennes, à présent. - Certes, mais tu n'as pas répondu à ma question : que puis-je t'offrir ? - Presque rien. Tout ce que je te demande, si tu y consens, c'est de pouvoir m'occuper encore de ton troupeau, pendant quelques années, avant de m'en aller. Continuer à garder tes bêtes, et à les faire paître. Ensuite, attendu que je t'aurai servi durant plus de quatorze ans, la part de ton bétail qui me reviendra de droit, selon les lois de ce pays qui a vu naître mes épouses, sera beaucoup plus importante que celle que je te réclamerai. Tu le sais : un troupeau de brebis et d'agneaux ne comporte que très peu d'animaux tachetés ou rayés. Or je ne me considérerai propriétaire que des quelques bêtes présentant de tels défauts. Cela te convient-il ? Laban, étonné mais réjoui de voir que non seulement Jacob désirait continuer de travailler à son service pour quelques années, mais que de surcroît, il ne lui lui réclamerait qu'un salaire insignifiant, s'empressa d'accepter cette proposition. En respectant cet accord, Laban savait qu'il ne perdrait pas grand chose. Il décida cependant de perdre encore moins. Malhonnête, il écarta subrepticement de son bétail les boucs et les chèvres qui étaient tachetés ou rayés. Puis il remit le reste du bétail à Jacob qui ne parut pas remarquer que le troupeau qui lui était confié n'avait que bien peu de chances de comporter ne fût-ce qu'un seul animal moucheté ou zébré, même après plusieurs années. Jacob emmena le troupeau à trois jours de marche de la maison de Laban. Puis il prit des branches d'amandiers, de peupliers et de platanes. En les pelant, il dessina dessus de longues bandes, faisant apparaître le bois blanc qui se trouvait sous l'écorce verte, de sorte qu'il obtint rapidement des sortes de baguettes à rayures bicolores, blanches et vertes. Il plaça ces branches pelées par ses soins sur les auges et les abreuvoirs de ses brebis, contraignant ces dernières à voir les rayures bicolores taillées dans le bois, dès qu'elles allaient s'abreuver ou manger. Ce stimuli visuel amenait mécaniquement les bêtes à s'accoupler. Elle se reproduisirent intensément, en donnant naissance à quelques petits rayés et tachetés qui, en grandissant, furent encouragés à leur tour à procréer frénétiquement au moyen des baguettes à rayures. Jacob accrut ainsi considérablement la part du troupeau qui lui revenait de droit, suite au marché conclu avec Laban, son oncle escroc. Par ailleurs, Jacob se montra très malhonnête lui aussi puisqu'il retrancha du bétail les bêtes les plus vigoureuses et les mit de côté, à son profit, laissant à Laban des animaux sans taches ni rayures mais chétifs et malingres.
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sadistiicangel · 5 months
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• SWEET DREAMS BITTER NIGHTMARES •
CHAPITRE 4: Sortir ou ne pas sortir...
°°°
Dès son réveil, Syana était chez elle. Elle aurait juré s'être endormie– enfin… s'être évanoui, dans cet étrange endroit. D’être passé par un arbre et avoir vu ces gens si… surprenant. Comme tout ce qu'elle vivait depuis maintenant environ plus d’une semaine…
Tout était si irréaliste, si surréel, qu'elle pensait que tout était un simple rêve qu'elle avait inventé, une histoire improbable se jouant dans son esprit tous les soirs…
Ce jour-là, elle se réveilla, en pyjama, son bras bandé et plusieurs pansements aux jambes, ayant également un bandage au cou.. Elle n'avait certes plus autant de douleurs comparé à la veille, même aucune pour dire vrai, mais elle était également sûre de ne pas s'être soignée. Surtout aussi méticuleusement. Têtue comme une mule, elle préférait "attendre que tout se soigne et passe"... Elle pencha la tête tout en se levant alors, voyant des sacs de courses, pliés. Aurait-elle… enfin fait ses courses ?
Ahah, bien-sûr que non. Pourquoi je pense à ça… Penser a des courses alors que j'ai d'autres problèmes—...
Qu'elle stupide pensée et ironie de penser à ça après tout cela… Aurait-elle oublié qu'elle l'avait fait ? Non. Tout était étrange… mais alors qu'elle avança, allant ouvrir son frigo, elle constata que oui. Tout était rempli, rangé à sa façon. Chose surprenante dire qu'elle n'en avait aucun souvenir. À nouveau. Une bribe de souvenir vint lui heurter la tête, elle se souvint de son altercation avec cet homme. Nathan…? Et ce Garance également… Huh. Si elle avait encore un cerveau en état de marche, cet homme devait… L'aider ? L'aider… Huh, qu'elle poisse, elle n'avait pas besoin d'avoir un baby-sitter, ni même d'être surveillé tel un bébé. Enfin… même si elle était immature, enfantine et totalement ignorante sur bien des choses l'entourant visiblement. Sa propre vie semblerait-il même…
Tournant alors dans les petites pièces de son appartement, elle vit des mots au sol, posé sur sa veste et ses chaussures.
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“ Ne gaspille rien, je ne le ferai pas toujours. Je ne serais pas ton baby-sitter tous les jours. Si tu as des questions, écris les. J'y répondrai en temps voulu.
Ne fais pas de conneries. Je ne suis pas là pour te surveiller H24. N.”
Sec et autoritaire, même dans de simple mots… Elle su à ce moment qu'elle n'avait pas rêvé. Ces choses lui semblaient, et avaient été, bien réelles. Cet homme l'avait bel et bien "aidé". Mais, répondre à ses questions… Elle regarda rapidement autour d'elle, ses cheveux lui tombant devant le visage, elle fonça presque vers un carnet vide et un stylo. Peut-être devrait-elle… écrire, comme il le lui disait, dedans, pour se souvenir de toutes ces choses. Des choses qu'elle croyait décidément onirique mais qu'elle avait en tête, même après tout cela, ces choses auxquelles elle se disait de ne pas croire ou se dire qu'elle perdait la tête, dire que tout avait été plus que réel... Elle le savait ... Se mettant alors à écrire, elle lista les diverses choses précisément, déjà vécues, la date. L’endroit, même si elle n'en était pas sûre… Tout simplement les choses telles qu'elles les avaient vu, ou "vécu".
–·Journal de Syana·–
Les étranges évènements
25/09
J'ai été en ville, pas loin de l'appart le matin, j'ai vu un étrange magasin ! "MAKE A WISH". Étrange hein et j'ai fait un vœu stupide, je sais qu'il se réalisera pas. ):
29/10
J'ai voulut sortir faire des courses, faut bien manger hein.
Me suis perdu en ville, j'ai atterri trop loin (deux/trois arrêts après le centre-ville-) dans un petit village étrange. J'ai l'impression d'être déjà venu là-bas, mais pourtant aucun souvenir. Les gens étaient tous si étranges, ou ils me voyaient pas du tout ou ils me fixaient comme si j'étais un morceau de jambon…. )'': J'sais pas si c'était un rêve ou non, mais ça à l'air si réel vu mes souvenirs… J'ai atterri dans une auberge, voulant demander mon chemin, mais la femme était trop bizarre aussi. Souriante et aimable, puis a chaque fois qu'elle revenait, elle était plus grande et chelou-! Flippant !! O: J'voulais pas crever là donc j'ai fuis (en mode ninja lol par la fenêtre de l'étage) j'ai eu hyper mal et j'ai atterri chez un type chelou aussi plus loin. Il m'a aidé, mais la femme m'a retrouvé, elle était archi flippante!! Doublée en taille et en articulations WTF ! Elle m'a assommé je crois, et beaucoup blessé, avant que des types étrange (mais pour m'aider vraiment !) La tue lui et le type. Quand me suis réveillée, j'avais des douleurs partout.
Résultats, j'ai pas pû faire mes courses a cause de ça hhhh- ):< Tant pis… c'est pas la fin du monde pour autant—
31/10
Cette fois je voulais vraiment faire mes courses ! Même si mon état était bof bof… C'était encore un mauvais jour pour moi, je supportais pas les bruits aujourd'hui. J'étais sortie après avoir eu peur. Si sortir fini toujours comme ça, j'veux rester enfermé…
Mais j'suis sortie, à pied cette fois. Mauvaise idée car cette fois, c'était encore plus bizarre !! J'étais dans un bouchon de gens, et contre un mur en voulant être tranquille. Mais j'ai vu au travers (???) Genre… les gens derrière, ils étaient en blancs et ils faisaient passer les gens sous des bâtons étrange… j'ai flippé et la une femme m'a pointé en disant "Elle en fait partie !!" Ou j'sais plus… Faire partie de quoi ? Je suis toujours seule alors-... J'ai fuis, mais j'me suis cogné à un type aussi étrange, mais il m'a aidé à fuir de ces gens. Ont a atterri à un endroit calme et entouré de bâtiments, mais moi j'voyais un immeeeeense arbre ! Et j'suis rentré dedans ! J'étais : ÔÔ. C'était comme un immense bâtiment dedans, et le type (Nathan) à dit que si je voyais l'arbre, c'était bien… WTF encore. Mais dedans, un type (Garance) m'a dis plusieurs choses, et que j'étais comme eux. J'ai du passer la tête dans un grand aquarium qui s'est allumé quand ma tête est passée. Il m'a dis que j'étais un "RANG 5" Mais j'y comprends rien moi à tout ces trucs… Rang de quoi ? Et sur combien ?? Comme dans un jeu-? Donc j'suis nul quoi–...
J'crois me souvenir que je m'étais évanouie d'un coup- babam-!
02/11
Me suis réveillé chez moi, dans mon lit. Les courses étaient faites et ranger comme je fais toujours. Mais j'ai aucun souvenirs d'avoir pu ENFIN les faire. Ce type, Nathan, c'lui qui visiblement m'a ramené chez moi et fait tout ça. Et il m'a donné l'idée d'écrire mes "souvenirs" quand c'est frais/qu'ils reviennent. Comme ça je sais que j'deviens pas totalement taré ! )):<
Je vais essayer de sortir encore, juste pour prendre l'air, me changer les idées. J'écrirai la suite plus tard si un truc bizarre est arrivé. ): Mais j'espère que rien arrivera… ahah-
•🔸•
Elle referma son carnet, soupirant longuement. Déjà quatre choses .. dont trois étaient véritablement étrange. C'était comme si écrire ces choses l'avait aidé à s'en souvenir pour de bon, les revoir comme si elle venait tout juste de les vivre… alors même qu'elle était un véritable poisson rouge. Écrire… elle pensait garder ce carnet sur elle, en cas de besoin. Elle voulait s'assurer que demain, tout cela n'ai pas été un stupide rêve sortit de son imagination farfelue digne du chapelier fou. Tout était si étrange, si… mouvementé et fou depuis ce vœu. Elle avait simplement dû réaliser que la VRAIE vie n'était pas si pâle et plate de mouvements, surtout depuis ce jour-là. Ou alors, chose la plus plausible pour elle, elle avait eu un tel coup sur la tête qu'elle en était devenue vraiment folle.
Allant alors s'habiller après tout cela, elle regarda juste son état, sa peau visible, elle soupira... pitoyable, pensa-t-elle en tapotant sur son t-shirt une fois enfilé. Elle alla alors devant son cher Yuyu, étalé au sol en un magnifique flop. Elle esquissa un sourire, le caressant tendrement, allant alors lui mettre plusieurs choses à manger et à grignoter. Si elle sortait, elle ne voulait pas le laisser sans rien.
Mais… où aller ?
Comment ?
Était-elle sûr de vraiment vouloir sortir ?
Chacune de ses sorties s'était soldée par un truc étrange. Mais… elle ne risquait trop rien si c'était prêt de chez elle. À un ou deux arrêts… ce n'était pas loin, rien de risqué en soit.
Prête et ayant mis sa veste en plus de sa chemise, la bleutée pris son itabag sur son dos. Carnet. Bouteille d'eau. Médicaments. Ses clés et des sucreries, elle avait tout… elle souffla alors, enfilant des chaussures avant d'aller vers sa porte. L'hésitation la prenant encore, elle resta ainsi un long moment. Hésitant encore et encore. Devait-elle y aller ? Devait-elle rester ici…? Elle inspira plusieurs fois, serrant une bretelle de son sac, ouvrant alors la porte avant de sortir d'un coup.
« … Allez So' tu peux sortir, t'vas pas… avoir des trucs étranges, hein… les regards et remarques, c’comle d'habitude, alors…! »
Elle secoua fortement la tête, ayant quelque peu mal suite à un tel geste mais tentant de se rassurer elle-même , même si… la positivité et elle, ça faisait deux. Aller dans ses magasins habituels, tout irait bien!
Une fois dehors, son regard semblait se porter sur tout autour d'elle, comme si elle tenait à faire attention à tout ce qui l'entourait, à toutes ces choses qu'elle semblait ignorer… Marchant dans les rues, allant vers l'arrêt de but le plus proche, elle souffla de soulagement. Elle était arrivé jusqu'ici déjà, saine et sauve! Stupide. Se disait-elle en secouant la tête face à sa propre remarque. Elle reste alors debout, attendant, l'arrêt affichant un simple "2 MIN"... Deux minutes à attendre, tout irait parfaitement bien. "C'est pas le même sens que l'autre fois", se fit-elle pour à nouveau calmer son anxiété soudaine. Elle acquiesça pour elle même, avant de voir une femme devant elle. Ayant été tellement dans ses pensées pendant un instant, elle n'avait pas fait attention aux gens l'entourant alors, et cette femme devant elle, semblant lui demander le chemin. Ne comprenant pas totalement, elle secoua négativement la tête, reculant un peu vers un endroit vide de monde, sur le côté de l'arrêt…
Les deux minutes passant bien vite et le bus arrivant également, elle se mit en position, allant bien vite dedans, mais encore une fois… dans un espace vide de monde, ou tout du moins… où elle ne serait pas écrasé et compressé comme une sardine. Son masque sur le visage et ses écouteurs aux oreilles, Syana regardait le paysage défilé, décidé, également, a ne pas louper son arrêt. Enfin… ce qu'elle aurait espéré… Car à nouveau la pauvre aux oreilles pointues venait de louper son arrêt. Mais à cause de sa rêverie éveillé, de ses pensées… En soit ce n'était rien mais, elle venait d'atterrir vers d'autres magasins. Sortant tout aussi rapidement qu'elle était entré dans ce bus, elle regarda devant elle. Plusieurs magasins de vêtements, des longues rues menant à ce qu'elle savait être un grand square. Mais n'allant nullement là-bas, elle avança, voyant plusieurs petites boutiques au passage. Des petits bazar, des bibelots en tout genres et bien des livres pour la plupart. Un léger sourire aux lèvres, Syana continuait son chemin, apaisé pour le moment. Tout était absolument normal. Peu de gens certes, mais les magasins et la vie dedans la rassurait grandement. Comme si savoir que du monde vivait ici et que tout n'était pas désert la rassurait.
Ce fut au bout de six… non, plutôt huit bonne minutes de marches qu'elle retrouva ses repères après avoir marché sans arrêt et... plutôt rapidement. Des magasins et des maisons peuplant les larges rues, des routes et de longs passages piétons… tout était… normal. Elle entra alors dans un petit magasin, enfin… une boutique disait-elle, passant les trois marches d'entrée, l'atmosphère lui étant familière et agréable. De longues étales plutôt étroites ou des mangas était disposés. Des vitrines par endroits laissant la place de contempler des figurines en tout genres, des petites choses diverses. Des romans exposés. Elle ne venait que parfois ici, pour s'évader un peu et profiter de ses passions… l’endroit n'était pas immense mais tout était bien remplis, bien des choses se trouvait ici aussi étonnant que ce soit, et même si elle n'achèterai rien, une simple visite était plus que suffisant pour elle. Elle souriait doucement, passant les couloirs de livres. Les petites commodes de goodies. Se baissant, elle sentit alors quelqu'un lui tapoter le bras.. elle ravala sa salive, tournant doucement la tête, voyant une femme, large sourire aux lèvres.
« Je m'excuse de vous déranger mademoiselle, mais votre sac est magnifique ! J'en ai rarement vu d'aussi décoré et aussi beau, c'est impressionnant ! Vous devez être incroyable...~
- O-Oh… m-merci beaucoup— »
Cette simple interaction avait étrangement perturbé Syana. Certes elle était bien asociale, n'aimait pas parler hors en s'y forçant, mais... certe remarque était… gentille, adorable même, au vu de l'importance et de sa propre admiration pour son sac… mais ce sourire avait quelque chose de perturbant pour elle. Et encore bien plus lorsqu'elle s'éloigna, constatant que la femme avant toujours cette expression plaquée au visage alors même qu'elle la fixait encore en agitant la main en l'air. Prise d'un étrange sentiment doublé de panique, elle recula, un sourire forcé au lèvre alors qu'elle regardait cette femme avant de voir ce qui lui semblait être le gérant du magasin. Elle ignorait quoi penser de tout cela, peut-être abusait-elle, peut-être se faisait-elle trop de film pour une si simple chose. Oui. Un simple sourire et de la gentillesse. Syana souria simplement nerveusement, sa voix sortant en un craquement aiguë la trahissant.
« E…Excusez-moi— Monsieur ... ? Est-ce que vous savez où est l'arrêt pour partir dans l'autre sens…? Vers… le grand quartier ..?
- Le grand quartier ? En direction de la ville mademoiselle ? Hmm, longez notre magasin et vous le verrez alors, il n'est qu'à quelques mètres plus loin !
-M…Merci- ! »
Un simple sourire masquant tout cela et une légère courbette fut les seuls geste de la demoiselle aux oreilles pointues, qui, serrant son sac partit alors. Elle avait pu voir des choses et se détendre un court instant, mais tout cela n'avait été que d'un court instant… ce sentiment dérangeant et cette sensation de mal-être à nouveau. Elle secoua la tête intérieurement, sortant du petit magasin d'un pas précipité non sans paraître elle-même étrange.
Mais, elle n'avait rien à se reprocher, ce simple sourire, bien trop poussé et exagéré lui avait rappelé cette fois-là, à cette auberge. Cette fem- non. Cette chose. Et cet homme également… Pourtant, un simple sourire n'avait rien d'étrange en soit, mais là… Se stoppant quelques mètres plus loin de ce magasin, elle pu constater la présence de cette même femme qui l'avait étrangement rendu si "mal", et de ce gérant. D'où elle était, elle pouvait encore les entendre, mais elle pouvait également clairement les voir. La femme paraissait tout à fait ordinaire vu ainsi, aimable et douce, mais ce sourire... comme si des épingles le tirait jusqu'à ces oreilles… et le regard de cet homme qui lui semblait avoir changé de couleur- non... La pupille en elle-même lui semblait étrange… tout n'était pas qu'une simple hallucination, elle le sentait. Baissant quelque peu les sourcils en les regardant, elle se doutait qu'ils parlaient sur elle, elle le voyait bien, ce n'était pas de la simple paranoïa, mais même en étant proche… elle n'entendait rien. Elle voyait les mouvements de leurs lèvres, ces regards posés sur elle, mais elle semblait incapable de les entendre, de comprendre ce qu'ils disaient. Comment était-ce possible -?! Comment, alors même qu'elle n'avait aucun écouteurs et entendait les bruits environnants, ne pouvait-elle pas les entendre eux, de toutes les choses présentes autour d'elle. Commençant à paniquer, elle recula à l'inverse d'eux. À reculons. Loin… très loin d'eux. Ces sourires semblant la suivre dans son esprit, elle ne sembla à nouveau plus faire attention aux choses l'entourant. Si bien qu'elle se percuta à quelqu'un, la remettant droit dans sa tête et bondir en avant avant de se tourner face à ce qu'elle venait de cogner. Avait-elle percuté quelqu'un comme ces gens, quelqu'un d'étrange -?! Quelqu'un qui allait lui en vouloir ? S'excusant en un petit grognement, ce fut en relevant la tête qu'elle remarqua la dite personne. Une grande carrure habillé de noir, des yeux noisettes, et des cheveux bruns. Une tresse d'un côté. Elle reconnut de suite tout ce look, un regard de surprise au visage, elle compris qu'elle ne rêvait pas. Elle… espérait.
Regardant l'homme, elle semblait surtout se demander ce qu'il pouvait bien faire ici… Et ce qu'il la suivait ? En avait-elle après elle car il devait "s'occuper" d'elle…? Elle l'ignorait, mais étrangement, la présence de l'homme semblait la rassurer en soit. Avoir quelqu'un qu'elle “connaissait”... Quelqu'un qui l'avait déjà aidé, même si ce regard était loin d'être amical.
« J…Je… désolé.
- Mhn. Recule.
- Huh…?
-Je t'ai dit de reculer. T'es sourde ? »
Pesta le trentenaire en frappant le mur le plus proche avec le plat de sa main. Geste qui fit sursauter Syana, mais qui également lui fit se poser bien des questions. Qu'avait-elle fait pour l'énerver ainsi ? Elle le regarda, le passant alors en reculant tout en le fixant un instant, restant dans l'incompréhension totale. Mais en regardant le mur, elle cru constater.. un petit bout de miroir, ou quelque chose avec une face reflective, perceptible uniquement depuis le bon endroit, et à un endroit d'ordinaire non visible, qui n'attirait pas l'attention. Elle l'avait simplement remarqué en suivant le mouvement de la main du brun… Mais, pourquoi ? Pourquoi avait-il fait cela et surtout ainsi. Pourquoi poser un bout d'elle ne sait quoi au mur ? Une grimace au visage, elle soupira quelque peu, se tenant la tête, ces deux personnes semblant toujours être là, à la regarder, à la fixer de la sorte… elle ne comprenait rien à tout cela. Pourquoi tant de chose étrange lui arrivait à chaque fois maintenant ? Pourquoi tout ces gens semblaient la dévisager tel un monstre étrange…? Pourquoi elle? Elle secoua légèrement la tête, cette dernière recommençant à lui lancer quelque peu, semblant partir pour rentrer. Elle ne voulait pas rester ici, ne plus sortir de chez elle semblait décidément la meilleure solution il faut croire, avec toutes ces choses lui arrivant, sans arrêt… S'arrêtant un peu plus loin, contre le mur à quelque pas de l'arrêt souhaité en attendant le bus, elle se décida à rapidement sortir son carnet ainsi que son stylo, se décidant à noter tout cela, pour ne pas oublier, pour être sûr qu'elle ne rêvait pas tout cela. Même si tout était flou dans son écriture ou incompréhensible pour quiconque,belle tenait à avoir une preuve, une tracee… et ne sachant pas si cet homme était toujours là, non loin d'elle, ou s'il l'avait laissé ainsi-...
02/10
Je suis sortie quand-même, je voulais prendre l'air et profiter même si je sais que ça me réussi jamais…, mais avec tout le monde j'ai loupé ma destination à un arrêt prêt. J'ai marché et suis arrivé au magasin, heureusement ! Une femme a dit que mon sac était beau, mais elle avait sourire étrange, comme gérant magasin- J'ai "fuis" mais ils m'ont suivit en me fixant avec sourire bizarre. Me suis cogné à ce type encore. Il s'est énervé en plus. Jsp si rêve ou réalité, mais je suis pas bien quand les gens sont comme ça. Toujours quand je décide de sortir.
« Aah… »
Elle soupira, se remettant droite, carnet en main. Mais visiblement, ce fut la seule chose à laquelle elle pu faire attention en entrant dans ce bus, la tête prise dans un étau de douleur, les oreilles bourdonnant et cette constante boule dans la gorge, ses pas peu sûr également… Elle ne remarqua pas non plus la présence du brun à ses côtés, éloignant visiblement bien du monde autour d'eux. La laisser ainsi serait risquer bien des choses pour lui, tout comme pour elle.
J'suis quoi au final ?
Pourquoi ça m'arrive à moi ?
« Pourquoi… ? »
Moi.
Je veux juste être tranquille… Comme avant—
Je veux rester dans le noir…
Pourquoi…
« Pourquoi... ? »
Moi-...
Je veux rester dans le noir.
.
.
.
FIN DU CHAPITRE 4.
© sadistiicangel – 2024. All art and writting by sadistiicangel ! Do not copy / steal / trace/ repost anything please. Thx.
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rwpohl · 3 months
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greetings, brian de palma 1968
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lesombresdeschoses · 1 year
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THE BOX
Alisson s'étire, tend le bras et cherche ses lunettes. Elle ne les trouve pas, puis se redresse dans... Son lit n'est plus. Elle regarde autour d'elle : quatre murs blancs, plafond, plancher d’un mètres et demi au carré chacun, environ.
C'est sûrement un rêve en couche d'oignon.
Alisson frappe la cloison, essayant de comprendre ce qu'il se passe. Elle s'imagine déjà dans un container, perdu parmi des centaines d’autres containers stockés sur les docks. Effrayant.
Attends. Pas logique. Oxygène, lumière...
Alisson cherche les failles, tout est blanc, mais pas de lampe. L'oxygène, aucune source. Pas un courant d'air. Elle s'assoit contre la cloison. Paniquer est inutile. Après la semaine merdique qu'elle vient de passer, se réveiller enfermée dans une boîte vide est plutôt reposant.
Parce qu’aller bosser dans une boîte dans laquelle vos collègues sont aussi utiles que des plantes en plastique... pas vraiment top, la déco. Une vraie maternelle. Chacun pointe l'autre du doigt, touchant un salaire sans faire son travail. Le pompon c'est quand ils se prennent pour plus intelligents que les autres ou pour des chefs qu'ils ne sont pas. Parfois pire : les deux. Incapables d'aligner deux mots sans erreur de syntaxe. Dans une école ! Alors tu ramasses leur merde et la directrice te fait passer pour le Cerbère de service. Oui, la directrice. Aucune cohésion, aucune solidarité, aucune cohérence. Bon sang, cette semaine, quel traumatisme !
Alisson s'allonge. Ce silence lui fait du bien. Elle ferme les yeux.
Tu croyais être enfin débarrassée de tes problèmes ?
Alisson ouvre les yeux dans un sursaut d'étonnement mêlé à un sentiment incertain d'angoisse, d'un « je ne sais quoi » d'encore plus indéfinissable. Elle se redresse, dubitative.
Tu te demandes...
Je me demande… ironise la jeune femme. Bravo la science fiction ! Elle sort d'où ta voix ?
Alisson cherche. Alisson scrute le moindre détail. Ses doigts caressent la surface blanche immaculée des murs, du plafond, du sol.
Si tu veux sortir de la boîte, tu devras répondre à une série de questions. Sois honnête. Si tu mens, tu restes ici. Mourir de soif n'est pas une agonie des plus agréables.
Alisson s'assoit. Elle fait une moue de môme en pleine réflexion.
D'accord.
Quelle partie de ton corps mangerais-tu si c’était la seule chose qui te permettait de survivre ?
Vous êtes sérieux ?
Réponds.
Alisson réfléchit longuement.
Rien. Je me laisserais mourir. C’est ridicule de vouloir s’alimenter avec soi-même alors qu’on risque l’hémorragie fatale. Votre question est stupide !
Bien.
Alisson ouvre grand ses yeux bleu nuit, surprise que son interlocuteur invisible ne lui impose pas de conditions.
C’est l’heure de dormir.
Mais…
Dors.
Alisson s’endort aussitôt. L’intérieur de la boîte sombre dans l’obscurité totale.
Debout là-dedans ! C’en est assez, de l’oisiveté !
Alisson sort doucement de sa torpeur.
Qu’est-ce que… ?
Troisième question.
Pardon ?
Pour survivre il faut que tu manges quelqu’un, qui sera l’heureux élu ?
Vous avez vraiment un problème avec le cannibalisme !
Réponds.
Personne. Je meurs de faim, lance Alisson croisant les bras, excédée par l’interrogatoire de « l’homme invisible ».
Trois pauvres petites questions et tu es déjà à bout, petite fille ?
Deux. Vous avez posé deux questions.
Trois. Alors on ne sait plus compter Alisson ? C’est l’heure de dormir.
Non !…
Alisson s’affale sur le sol blanc de la boîte. Serait-ce le sol ou le plafond ? Toutes les surfaces sont absolument identiques.
C’est l’heure de manger !
Alisson ouvre les yeux. Devant son visage elle trouve un bol de riz. La prisonnière se redresse lourdement et saisit le contenant. Elle regarde autour d’elle, puis commence à manger avec les mains. Alisson finit le riz et colle son dos contre la paroi blanche immaculée.
Quatrième question.
En fait, ça me gonfle.
Quatrième question.
Non mais franchement. À quoi on joue ? Ça vous mène à quoi de savoir qui je veux manger ? Vous pouvez me laisser mourir, ça m’est égal. Personne ne m’attend. Pas même le bel inconnu dans le parc.
Alisson s’allonge.
Quatrième question.
Alisson ferme les yeux.
Si tu devais placer quelqu’un dans la boîte, pour sortir d’ici, qui serait l’heureux élu ?
Alisson ouvre les yeux.
Personne.
Alisson referme les yeux.
La lumière blanche traverse ses paupières. Éblouissante. Des sirènes de pompiers hurlent de plus en plus fort. De plus en plus près :
— Mademoiselle ? Mademoiselle ?
— On la perd. Mettez-la sur le brancard. Un, deux, trois.
Les sirènes hurlent dans les rues de Londres. De plus en plus loin. Quelque part, dans l’abîme.
« C’est la fin du monde, ton Dopple[1] vient te chercher. C’est la fin du monde n’entre pas dans cette maison. C’est la fin du monde, ton Dopple te guette. C’est la fin du monde, qui t’attire dans ce piège. C’est la fin du monde, ton Dopple va te tuer. Ton Dopple a pris ta place. C’est la fin du monde. »
*
— Comment supportez-vous votre traitement Alisson ? demande le psychiatre à sa patiente.
— Ça peut aller. Je me sens éreintée chaque jour, mais puisqu’il le faut.
*
[1] Dopple, diminutif de Dopplegänger : double maléfique.
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albertinefloyd · 2 years
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Lundi 28 novembre 2022.
Hier, le petit Antoine et ses parents étaient là. Il a juste 2 mois de plus que Dana, et dorénavant, on ne voit presque plus la différence entre eux deux. Surtout que désormais, Dana marche pour de vrai (même si c'est encore un peu bancal), alors que lui, non.
Il y a eu un moment... je me suis glacée le sang toute seule. Un moment où j'ai... je n'ai pas grondé Dana, quand même pas... mais j'ai un poil haussé le ton. Un poil. Pour lui dire de partager un de ses jouets.
Je sais bien qu'elle est encore trop jeune pour ces notions, mais... Je ne sais pas comment expliquer ce qui m'est passé par la tête. Mais d'un coup, j'ai vraiment eu un flash back, où je voyais ma mère, agacée, me casser devant un ou des ami(s) quand j'étais enfant. Parce que j'étais trop joyeuse. Ou trop agitée à son goût. Parce qu'elle était fatiguée. Parce qu'il y avait des choses qui l'agaçaient autour d'elle, et qui n'avait rien à voir avec moi, mais qu'elle ne pouvait décemment pas verbaliser devant les autres adultes.
Je n'en suis pas là. Mais j'ai tellement, tellement peur de reproduire les mêmes erreurs qu'elle.
Ça m'a tellement glacée, cette histoire, que ça fait trois semaines que je n'ose l'écrire. Alors que pourtant, c'était si anodin.
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lucy b et les figues
Lucy B, ils l'ont appelée. Je ne sais pas vraiment comment elle a obtenu son nom; c'était peut-être parce que sa vie se déroulait sur une petite péniche. Le bateau s'appelait Lucille's Water Cottage. Lucille avait peint le nom du bateau sur une enseigne en cèdre en utilisant la teinture de son verger et potager de son jardin. La petite péniche était adossée à la rive du Bayou Toujours.
Lucy B y avait vécu pendant des années avec peu d'histoire sur laquelle s'appuyer et dont toute personne de bonne réputation pouvait se souvenir. Une femme célibataire au milieu des années quarante, pas un personnage à la mode, mais bon sang, Lucy s'en fichait, c'était une femme indépendante qui prenait soin d'elle-même.
Lucy B n'a jamais parcouru plus d'un rayon de vingt-cinq milles autour de Bayou Toujours. Si son bateau ou ses pieds ne pouvaient pas la prendre, elle restait sur place. Lucy B était une petite femme grassouillette ; si je pouvais avoir l'audace de la décrire comme en forme de poire. Elle était forte comme un bœuf. Des deux côtés du bayou, elle a cultivé des parcelles de jardin. Lorsque sa vieille Mule, Nelly ne se sentait pas bien, Lucy B a tiré la charrue elle-même.
Lucy n'avait pas besoin de beaucoup de choses matérielles. Elle a vendu quelques légumes et fruits de ses potagers et vergers. L'argent de saison entrant, Lucy B a donc organisé son argent dans des boîtes de café qu'elle a enterrées le long du bayou. En divisant son argent en intervalles de deux mois, elle a enterré six canettes : trois canettes de Seaport et trois canettes de Luzianne. Lucy B les a marqués sous des roses sauvages de Louisiane avec des épines assez épaisses pour trancher la peau avec perte de beaucoup de sang. La légende raconte que des roses de Louisiane avaient tranché le doigt du vieux M. Gros Doigt après avoir tenté d'en déraciner une pour la planter dans le jardin de sa fille Clémentine. Maintenant, c'est une vraie arme. Qui jouerait avec les roses sauvages de Louisiane ? ! PAS CET AUTEUR SÛREMENT !
Revenons maintenant à Lucy B ! Cette fille avait un esprit d'entreprise ! Ce n'était ni l'argent ni la renommée qu'elle recherchait. Lucy souffrait d'un esprit curieux hyperactif. Elle a cultivé les figues les plus fantastiques! Cultivée biologiquement, beaucoup se sont interrogés sur son secret pour perfectionner les figues. Des figues douces, violacées, charnues et charnues ! Bien sûr, si vous êtes du Sud, vous savez que les figues sont saisonnières. Si elle voulait faire fortune, elle le pouvait ! La demande pour ses figues a augmenté ! Lucy n'était pas intéressée par la gloire ou la fortune. Son désir était la figue la plus perfectionnée qu'on puisse imaginer !
C'était les années 1940, une époque totalement différente de celle d'aujourd'hui. Une communication limitée sur Bayou Toujours était la protection de Lucy contre la surproduction. ET, Lucy a pratiqué le jardinage biologique total, principalement un écolier parlant à ses figuiers chaque jour, un total de sept figuiers et demi pour être exact. L'arbre à moitié est venu d'un combat avec les vents violents violents de l'ouragan Plaquemine.
Cet arbre que Lucy a nommé Plaquemine était plié en deux à un angle de quarante-cinq degrés. Lucy a demandé au pasteur de la petite église des prairies nommée L'anse Toujours de venir prier sur son arbre. Le pasteur Tee est venu avec une délégation de ses plus fervents guerriers de la prière ; frères et sœurs du Focused on Prayers for Botanicals. Il est venu avec six et demi de ses fidèles les plus puissants. La moitié était un enfant de six ans qui était connu pour prier des miracles.
Avec le pasteur Tee, il y avait sept priants et demi. Un pour chacun des arbres de Lucy. Les sept adultes prieraient pour la santé des sept arbres et l'enfant miracle prierait pour l'arbre en forme d'angle de quarante-cinq degrés.
Le lendemain, Lucy s'est réveillée devant un arbre aussi droit qu'un conte de chat effrayant pointant vers le ciel ! Cet enfant de prière de six ans est devenu connu sous le nom de Saint Botanique de L'anse Toujours.
Un jour, quelques citadins se sont présentés à la péniche de Lucy sur Bayou Toujours. Deux hommes de Californie se sont présentés à Lucy B en tant que commissaires de l'association des figues de la côte ouest. Ils ont dit à Lucy B qu'un fléau avait pratiquement ruiné leurs ventes de production de figues. Les hommes ont poursuivi en disant que leur entreprise ne tenait qu'à un fil. L'un des hommes a dit à Lucy B qu'ils seraient très reconnaissants si elle les aidait à apprendre la production de son style de figues.
Lucy B a répondu avec une écrasante majorité, bien sûr ! "Ce n'est pas sorcier", a-t-elle déclaré. "Tu dois aimer et câliner tes figuiers, même les demi-figuiers. Parfois, ce sont ceux qui ont le plus besoin d'amour.
Les deux hommes sont restés avec Lucy B pendant environ un mois. Ils ont planté une tente sur les rives du Bayou Toujours. Chaque jour, ils suivaient Lucy, lui posaient des questions et embrassaient des figuiers. La vie des hommes a changé. Vous pouviez voir la transformation de leurs visages et de leur langage corporel général. Des biorythmes corporels plus détendus, moins stressés et plus lents. En prenant un café autour d'un feu de camp un soir après que Lucy B soit allée se coucher, les hommes ont réalisé ce qui manquait à leur entreprise de verger de figuiers. Bien sûr, une brûlure avait détruit leur récolte; ils avaient perdu espoir. Ce qu'ils ont vu chez Lucy B, une simple femme cajun des Prairies avec un verger de figuiers prospère. Tout est dans l'amour, l'attitude et la vie de laisser-faire. Travailler c'est bien, jouer c'est mieux ; ensemble, le jeu et le travail font une entreprise réussie.
Le lendemain matin, les hommes devaient partir pour retourner en Californie pour essayer le style de culture de vergers de figues de Lucy B. Lucy B leur a préparé un petit-déjeuner composé de pain de maïs à l'eau chaude cuit dans une casserole noire sur un feu ouvert garni de beurre à base de beurre jaune épais et succulent fabriqué à partir de la vache à lait de Lucy B, Clover. Lucy B a complété le petit-déjeuner avec des figues en conserve.
Les hommes ont décidé d'honorer Lucy B, leur enseignante et mentor, en nommant leur nouvelle entreprise améliorée Verger de figuiers de Lucy B.
ET je pourrais ajouter, l'entreprise de figuiers la plus prospère de l'histoire des vergers de figuiers, à l'exception des sept arbres et demi de Lucy B !
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beatlesonline-blog · 2 years
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