#Charmée
Explore tagged Tumblr posts
lesparaversdemillina · 2 years ago
Link
0 notes
empiredesimparte · 5 months ago
Text
Tumblr media
Napoleon V's Garden Party at the Tuileries: The Kick-off to the Coronation Festivities
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
⚜ Le Sacre de Napoléon V | N°19 | Francesim, Paris, 29 Thermidor An 230
To establish his own style, the young Emperor Napoleon V does not hesitate to distinguish himself from his father. He takes a keen interest in the opinions of the French people, whom he wishes to meet personally. During the garden party held at the Tuileries, he interacted with many guests, including civilians, soldiers, artists, and intellectuals. The event, marking the beginning of his coronation festivities, was an opportunity for Napoleon V to demonstrate his more modern and accessible approach to monarchy. He listened attentively to the concerns of his subjects in a relaxed and friendly atmosphere, reflecting his desire to forge stronger bonds with the people.
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
Pour imposer son style, le jeune empereur Napoléon V n'hésite pas à se démarquer de son père. Il s'intéresse de près à l'avis des Français, qu'il souhaite rencontrer humainement. Lors de la garden party organisée aux Tuileries, il a personnellement échangé avec de nombreux invités, incluant des civils, des artistes, et des intellectuels. L'événement, marquant le début des festivités de son sacre, a été l'occasion pour Napoléon V de démontrer son approche plus moderne et accessible de la monarchie. Il a écouté attentivement les préoccupations de ses sujets, dans une atmosphère détendue et conviviale, reflétant sa volonté de créer des liens plus forts avec le peuple.
La Garden Party de Napoléon V aux Tuileries
Les splendides jardins du Palais des Tuileries ont été le théâtre d'un événement des plus prestigieux : la garden party impériale, organisée pour célébrer le couronnement récent de l'Empereur Napoléon V. C'est une première sous le Troisième Empire, feu l'empereur Napoléon IV n'ayant pas repris cette tradition pourtant initiée par Napoléon Ier et Napoléon III au XIXe siècle.
L'Empereur Napoléon V, vêtu d'un costume blanc sur mesure, resplendissait aux côtés de l'élégante Impératrice Charlotte, dont la grâce et la beauté ont fait tourner toutes les têtes.
Madame Mère, Marie-Joséphine, rayonnait de dignité, apportant une sérénité touchante à l'événement. Accompagnée d'Hortense, la sœur cadette de l'Empereur, elles ont charmé les invités, incarnant parfaitement le renouveau de l'empire. La princesse Hortense doit bientôt s'envoler pour l'Ecosse, afin de rejoindre son prince charmant, le duc Oliver de Rothsey.
Le Prince Impérial Henri, héritier présomptif, et son épouse, la Princesse Napoléon Olympia, étaient également de la partie. La distinction du Prince Impérial complétait parfaitement l'élégance sophistiquée de la Princesse Olympia, formant un couple harmonieux.
Les invités, charmés par l'hospitalité impériale, se sont livrés à des échanges chaleureux et des moments mémorables. La Maison Impériale a invité des français de tous les horizons, ayant accomplis de nombreux services pour la Nation.
Plus qu'une simple fête, cette garden party symbolisait une nouvelle ère de prospérité et d'unité pour l'Empire français. Elle démontrait l'engagement personnel de l'Empereur Napoléon V à perpétuer les traditions impériales, tout en ouvrant la voie à un rapprochement et une écoute des Français.
46 notes · View notes
grumpyqueensblog · 8 days ago
Text
Micro-fics en série : WIP/Drabble (1) - Armand x Daniel - Interview with the Vampire (2022) - Univers Alternatif :
Je suis en train de préparer un recueil de mini-fics sur le modèle donné par @flo-nelja que je remercie d'ailleurs pour sa gentillesse. Je recommande son super recueil de micro-fics sur ao3. Le but est d'écrire dix micro-fics sur des duos romantiques ou autres sur les thèmes suivants : 1.Angst ; 2. Univers Alternatif ; 3. Crack!Fic ; 4. Crossover ; 5. Première fois ; 6. Fluff ; 7. Humour ; 8. Hurt/Comfort ; 9. Smut ; 10.UST (Unresolved Sexual Tension).
Bon pour le côté "micro" de la fic, c'est mort. Mais c'est un petit drabble et j'avais envie de reposter des trucs sur tumblr. Donc dans le désordre (puisque j'écris dans le désordre justement), voici le premier que j'ai réussi à pondre :
***
Univers Alternatif :
« J'aimerais, euh... j'aimerais vous interviewer... »
Armand esquisse un sourire. La requête est inattendue. Elle a le mérite de retenir son attention, lui qui est si habitué à être un bel objet que l'on courtise pour mieux l'utiliser et l'oublier ensuite. Cela rend la chasse d'autant plus facile...
Mais, le garçon accoudé au bar a les cheveux en bataille, des yeux bleus magnifiques pétillants d'intelligence dans lesquels dansent pourtant une naïveté toute juvénile et un ravissement presque enfantin, nimbé d'un désir que Louis ne lui accorde plus depuis trop longtemps. Armand est charmé malgré lui. L'aventure promet d'être... fascinante.
***
Tumblr media Tumblr media
Gif Daniel (@sophsun1)
Gif Armand (@cuntyarmand )
9 notes · View notes
septperceptions · 10 months ago
Text
Je suis une amoureuse de l'amour. Je passe mon temps à romantiser ma vie. À voguer dans le passé. À me balader dans mes précieux souvenirs. Je chéris ma mémoire pour protéger mes souvenances. Le mécanisme du cerveau me fascine. Ce pouvoir de filtrer les aspects négatifs d'un traumatisme avec le temps ou même de le dissoudre entièrement. La vie m'a offert le cadeau de ressentir intensément, le monde appelle ça l'hypersensibilité. Il est vrai, que l'émotion me frappe comme les vagues sur le sable. Je suis un torrent, j'aime les détails et leur beauté. J'observe tout ce qui est transparent, imperceptible. Être avec moi, c'est être charmé par mon sourire, mon côté solaire et ne plus du tout me reconnaître lors des jours de pluie. Je suis une tempête. L'amour me transperce, il ne me fait plus vivre. Je disparais quand il arrive. Je rêvasse de mes promenades dans Paris la nuit, j'aimerais revenir à ces soirs où l'amour ne me terrorisait pas. Comment le moteur de ma vie a pu devenir la cause de mes insomnies, de l'angoisse qui me ternit ? Comment peut-il se confondre avec ses semblants, survenir dans mes cauchemars ?
31 notes · View notes
chicinsilk · 3 months ago
Text
Tumblr media
US Vogue September 15, 1964
Nelly Lartigue wears navy wool pants and cardigan, charmed by a chalk blue silk blouse, cuffs and a small soft belt. The cut of the pants, straight, wide in the leg, fitted above the leg; the front bib closes at the sides. Sandals by Raymond Massaro. Hairstyle René Goujon.
Nelly Lartigue porte un pantalon et un cardigan en laine bleu marine, charmés par un chemisier en soie bleu craie, des poignets et une petite ceinture souple. La coupe du pantalon, droite, large dans la jambe, ajustée au-dessus de la jambe ; le plastron devant se ferme sur les côtés. Sandales de Raymond Massaro. Coiffure René Goujon.
Photo David Bailey vogue archive
8 notes · View notes
les-cris-des-fendues · 4 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Ph . la bouquiniste
George Pichard a repris "étrangement" cette dernière illustration de M. Van Maele pour sa Marie -Gabrielle de sainte-Eutrope(?)...
*
"Bien loin que la foudre infernale l' épuisât, la fit languissante, elle se releva redoutable et les yeux étincelants. La lune, qui, chastement, s'était un monent voilée, eut peur en la revoyant. Epouvantablement gonflée de la vapeur infernale, de feu, de fureur et (chose nouvelle) de je ne sais quel désir, elle fut un moment énorme par cet excès de plénitude et d' une beauté horrible. Elle regarda tout autour… Et la nature était changée. Les arbres avaient une langue, contaient les choses passées. Les herbes étaient des simples. Telles plantes qu'hier elle foulait comme du foin, c'étaient maintenant des personnes qui causaient de médecine.
*
L'unique médecin du peuple, pendant mille ans, fut la Sorcière. Les empereurs, les rois, les papes, les plus riches barons, avaient quelques docteurs de Salerne, des Maures, des Juifs, mais la masse de tout état, et l'on peut dire le monde, ne consultait que la Saga ou Sage-femme. Si elle ne guérissait, on l'injuriait, on l'appelait sorcière. Mais généralement, par un respect mêlé de crainte, on la nommait Bonne dame ou Belle dame (bella donna), du nom même qu'on donnait aux fées.
*
La femme n’a d’amis que ses songes, ne cause qu’avec ses bêtes ou l’arbre de la forêt. Ils lui parlent ; nous savons de quoi. Ils réveillent en elle les choses que lui disait sa mère, sa grand-mère, choses antiques, qui pendant des siècles ont passé de femme en femme. C’est l’innocent souvenir des vieux esprits de la contrée, touchante religion de famille, qui, dans l’habitation commune et son bruyant pèle-mêle eut peu de force sans doute mais qui revient et hante la cabane solitaire.
*
Le grand et puissant docteur de la Renaissance, Paracelse, en brûlant les livres savants de toute l'ancienne médecine, les grecs, les juifs et les arabes, déclare n'avoir rien appris que de la médecine populaire, des "bonnes femmes", des bergers et des bourreaux; ceux-ci étaient souvent d'habiles chirurgiens (rebouteurs d'os cassés, démis) et de bons vétérinaires. Je ne doute pas que son livre admirable et plein de génie sur les "Maladies des femmes", le premier qu'on ait écrit sur ce grand sujet, si profond, si attendrissant, ne soit sorti spécialement de l'expérience des femmes même, de celles à qui les autres demandaient secours : j'entend par là les sorcières qui, partout, étaient sages-femmes. Jamais, dans ces temps, la femme n'eût admis un médecin mâle, ne se fût confiée à lui, ne lui eût dit ses secrets. Les sorcières observaient seules et furent, pour la femme surtout, le seul et unique médecin.
*
Leur juge qui les brûle est pourtant charmé d’elles : « Quand on les voit, dit-il, passer, les cheveux au vent et sur leurs épaules, elles vont, dans cette belle chevelure, si parées et si bien armées, que, le soleil y passant comme à travers une nuée, l’éclat en est violent et forme d’ardents éclairs… De là, la fascination de leurs yeux, dangereux en amour, autant qu’en sortilège.
7 notes · View notes
thebrickinbrick · 7 months ago
Text
Waiting
DURING those hours of waiting, what did they do? We must needs tell, since this is a matter of history.
While the men made bullets and the women lint, while a large saucepan of melted brass and lead, destined to the bullet-mould smoked over a glowing brazier, while the sentinels watched, weapon in hand, on the barricade, while Enjolras, whom it was impossible to divert, kept an eye on the sentinels,
Tumblr media
Combeferre, Courfeyrac, Jean Prouvaire, Feuilly, Bossuet, Joly, Bahorel, and some others, sought each other out and united as in the most peaceful days of their conversations in their student life, and, in one corner of this wine-shop which had been converted into a casement, a couple of paces distant from the redoubt which they had built, with their carbines loaded and primed resting against the backs of their chairs, these fine young fellows, so close to a supreme hour, began to recite love verses. What verses?
Tumblr media
These:
Vous rappelez-vous notre douce vie, Lorsque nous étions si jeunes tous deux, Et que nous n'avions au cœur d'autre envie Que d'être bien mis et d'être amoureux, Lorsqu'en ajoutant votre age à mon age, Nous ne comptions pas à deux quarante ans, Et que, dans notre humble et petit ménage, Tout, même l'hiver, nous était printemps?
Tumblr media
Beaux jours! Manuel etait fier et sage, Paris s'asseyait à de saints banquets, Foy lançait la foudre, et votre corsage Avait une épingle où je me piquais. Tout vous contemplait. Avocat sans causes, Quand je vous menais au Prado dîner, Vous étiez jolie au point que les roses Me faisaient l'effet de se retourner.
Tumblr media
Je les entendais dire: Est elle belle! Comme elle sent bon! Quels cheveux à fiots Sous son mantelet elle cache une aile, Son bonnet charmant est à peine éclos. J'errais avec toi, pressant ton bras souple. Les passants crovaient que l'amour charmé Avait marié, dans notre heureux couple, Le doux mois d'avril au beau mois de mai.
Tumblr media
Nous vivions cachés, contents, porte close, Dévorant l'amour, bon fruit défendu, Ma bouche n'avait pas dit une chose Que déjà ton cœur avait répondu.
La Sorbonne était l'endroit bucolique Où je t'adorais du soir au matin. C'est ainsi qu'une âme amoureuse applique La carte du Tendre au pays Latin.
O place Maubert! ô place Dauphine! Quand, dans le taudis frais et printanier, Tu tirais ton bas sur ton jambe fine, Je voyais un astre au fond du grenier. J'ai fort lu Platon, mais rien ne m'en reste; Mieux que Malebranche et que Lamennais Tu me démontrais la bonté céleste Avec une fleur que tu me donnais.
Tumblr media
Je t'obéissais, tu m'étais soumise; O grenier doré! te lacer! te voir Aller et venir dès l'aube en chemise, Mirant ton jeune front à ton vieux miroir. Et qui donc pourrait perdre la mémoire De ces temps d'aurore et de firmament, De rubans, de fleurs, de gaze et de moire, Où l'amour bégaye un argot charmant? Nos jardins étaient un pot de tulipe; Tu masquais la vitre avec un jupon; Je prenais le bol de terre de pipe, Et je te donnais le tasse en japon.
Tumblr media
Et ces grands malheurs qui nous faisaient rire! Ton manchon brûlé, ton boa perdu! Et ce cher portrait du divin Shakespeare Qu'un soir pour souper nons avons vendu!
Tumblr media
J'étais mendiant et toi charitable. Je baisais au vol tes bras frais et ronds. Dante in folio nous servait de table Pour manger gaîment un cent de marrons. La première fois qu'en mon joyeux bouge Je pris un baiser a ton lèvre en feu, Quand tu t'en allais décoiffée et rouge, Je restai tout pâle et je crus en Dieu! Te rappelles-tu nos bonheurs sans nombre, Et tous ces fichus changés en chiffons? Oh que de soupirs, de nos cœurs pleins d'ombre, Se sont envolés dans les cieux profonds!(1)
Tumblr media
The hour, the spot, these souvenirs of youth recalled, a few stars which began to twinkle in the sky, the funeral repose of those deserted streets, the imminence of the inexorable adventure which was in preparation, gave a pathetic charm to these verses murmured in a low tone in the dusk by Jean Prouvaire, who, as we have said, was a gentle poet.
Tumblr media
In the meantime, a lamp had been lighted in the small barricade, and in the large one, one of those wax torches such as are to be met with on Shrove-Tuesday in front of vehicles loaded with masks, on their way to la Courtille. These torches, as the reader has seen, came from the Faubourg Saint-Antoine.
The torch had been placed in a sort of cage of paving-stones closed on three sides to shelter it from the wind, and disposed in such a fashion that all the light fell on the flag. The street and the barricade remained sunk in gloom, and nothing was to be seen except the red flag formidably illuminated as by an enormous dark-lantern.
This light enhanced the scarlet of the flag, with an indescribable and terrible purple.
(1) Do you remember our sweet life, when we were both so young, and when we had no other desire in our hearts than to be well dressed and in love? When, by adding your age to my age, we could not count forty years between us, and when, in our humble and tiny household, everything was spring to us even in winter. Fair days! Manuel was proud and wise, Paris sat at sacred banquets, Foy launched thunderbolts, and your corsage had a pin on which I pricked myself. Everything gazed upon you. A briefless lawyer, when I took you to the Prado to dine, you were so beautiful that the roses seemed to me to trn round, and I heard them say: Is she not beautiful! How good she smells! What billowing hair! Beneath her mantle she hides a wing. Her charming bonnet is hardly unfolded. I wandered with thee, pressing thy supple arm. The passers-by thought that love bewitched had wedded, in our happy couple, he gentle month of April to the fair month of May. We lived concealed, conent, with closed doors, devouring love, that sweed forbidden fruit. My mouth had not uttered a thing when thy heart had already responded. The Sorbonne was the bucolic spot where I adored thee from eve till morn. 'Tis thus that an amorous soul applies the chart of the Tender to the Latin country. O Place Maubert! O Place Dauphine! When in the fresh spring-like hut thou didst draw thy stocking on thy delicate leg, I saw a star in the depths of the garret. I have read a great deal of Plato, but nothing of it remains by me; better than Malebranche and than Lamennais thou didst demonstrate to me celestial goodness with a flower which thou gavest to me. I obeyed thee, thou didst submit to me; oh gilded garret! to lace thee! to behold thee going and coming from dawn in thy chemise, gazing at thy yourg brow in thine ancient mirror! And who, then, would forego the memory of those days of aurora and the firmament, of flowers, of gauze and of moire. when love stammers a charming slang? Our gardens consisted of a pot of tulips; thou didst mask the window with thy petticoat; I took the earthenware bowl and I gave thee the Japanese cup. And those great misfortunes which made us laugh! Thy cuff scorched, thy boa lost! And that dear portrait of the divine Shakespeare which we sold one evening that we might sup! I was a beggar and thou wert charitable. I kissed thy fresh round arms in haste. A folio Danto served us as a table on which to eat merrily a centime's worth of chestnuts. The first time that. in my joyous den, I snatched a kiss from thy fiery lip, when thou wentest forth, dishevelled and blushing, I turned deathly pale and I believed in God. Dost thou recall our innumerable joys, and all those fichus changed to rags? Oh! what sighs from our hearts full of gloom fluttered forth to the heavenly depths!”
19 notes · View notes
chic-a-gigot · 2 years ago
Photo
Tumblr media
La Mode illustrée, no. 17, 29 avril 1934, Paris. Robe du soir. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
La noble simplicité d'une telle robe exige l'emploi d'un tissu qui donne à la draperie du corsage, aux longues ailes tombant des épaules, aux plis du bas de la jupe, la grâce, la souplesse, la belle tombée qui sont le charmé du modèle et la caractéristique de son élégance. Il est ici en satin artificiel, lourd et brillant, blanc perle orné au découlleté de deux motifs de cristal rose. Maggy Rouff. Photo Isabey.
The noble simplicity of such a dress requires the use of a fabric which gives the drapery of the bodice, the long wings falling from the shoulders, the pleats at the bottom of the skirt, the grace, the suppleness, the beautiful drape which are the charm of the model and the characteristic of its elegance. It is here in artificial satin, heavy and shiny, pearl white adorned at the neckline with two pink crystal motifs. Maggy Rouff. Photo Isabey.
78 notes · View notes
joselito28-1 · 7 months ago
Text
Tumblr media
Un vrai régal ce film ! c'est léger, grave, émouvant, drôle. On est charmé d'un bout à l'autre par la lumière, les personnages, et la musique ! Du grand cinéma Italien, j'adore.
This film is a real treat! it's light, serious, moving, funny. We are charmed from start to finish by the light, the characters, and the music! Great Italian cinema, I love it.
10 notes · View notes
awonderlvnd1 · 29 days ago
Text
26 novembre 2024
Jour de première neige ici, à Québec.
Ville que je n'avais jamais encore vue enneigée. À date, je suis charmée.
Dénudés de leurs feuilles et semi couverts de blanc, les arbres me fascinent d'avantage. Leur squelette m'hypnotise. Dans mon esprit, je leur invente des histoires, leur crée des vies.
Ma forêt me manque. Celle à deux pas de ma maison, à Gatineau. La forêt ne m'appartient évidemment pas, mais j'en ai fait mon refuge. Elle m'a vu grandir, me perdre, apprendre ses recoins par coeur, y laisser aller ma colère, mes larmes et ma joie, danser, m'enfuir à toute jambe du chien de garde du propriétaire du terrain du cultivateur et en déchirer mes collants, être saoule et gelée, être.
J'aurais envie d'être devant ces arbres qui forment une chorale, devant ces deux-là à côté qui baisent sans gêne, et devant celui-là, mon préféré de tous, mort mais encore debout, résistant encore aux tempêtes.
Tumblr media Tumblr media
J'apprends d'eux. Peut-être apprennent-ils de moi aussi.
4 notes · View notes
blog-bleu · 1 year ago
Text
Tumblr media
« Il semble qu’il existe dans le cerveau une zone tout à fait spécifique qu’on pourrait appeler la mémoire poétique et qui enregistre ce qui nous a charmés, ce qui nous a émus, ce qui donne à notre vie sa beauté. »
- Milan Kundera
Illustration : Christophe Renoux
32 notes · View notes
kiki-de-la-petite-flaque · 21 days ago
Text
Seigneur, quand froide est la prairie, Quand dans les hameaux abattus, Les longs angelus se sont tus... Sur la nature défleurie Faites s'abattre des grands cieux Les chers corbeaux délicieux. Armée étrange aux cris sévères, Les vents froids attaquent vos nids ! Vous, le long des fleuves jaunis, Sur les routes aux vieux calvaires, Sur les fossés et sur les trous Dispersez-vous, ralliez-vous ! Par milliers, sur les champs de France, Où dorment des morts d'avant-hier, Tournoyez, n'est-ce pas, l'hiver, Pour que chaque passant repense ! Sois donc le crieur du devoir, Ô notre funèbre oiseau noir ! Mais, saints du ciel, en haut du chêne, Mât perdu dans le soir charmé, Laissez les fauvettes de mai Pour ceux qu'au fond du bois enchaîne, Dans l'herbe d'où l'on ne peut fuir, La défaite sans avenir.
Arthur Rimbaud, Les Corbeaux
3 notes · View notes
1dlovestory · 25 days ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Chapitre 5
Five-loves voices
Enid attrapa son sac et l’ouvrit pour y ranger ses clés, mais dans sa précipitation, elle fit tomber sa carte de lycéenne. Avant qu’elle n’ait le temps de la ramasser, Niall se baissa pour l’aider. Il prit la carte et l’examina rapidement.
« Tu es très belle sur cette photo, » dit-il en lui tendant la carte avec un sourire sincère.
Enid rougit légèrement, un sourire timide se dessinant sur ses lèvres. « Oh, merci… » murmura-t-elle, un peu gênée par le compliment.
Niall, toujours en tenant la carte, plissa les yeux en observant quelque chose d’autre. « Attends une seconde… » Il leva soudain les yeux vers elle, son expression s’illuminant. « Enid, tu habites à côté de chez moi ! » s’exclama-t-il, visiblement ravi par cette découverte.
Les autres garçons, qui observaient la scène à distance, échangèrent des regards lourds de sens.
« C’est officiel, Niall va être un sacré rival, » murmura Zayn, croisant les bras avec un soupir exaspéré.
« On devrait commencer à s’inquiéter, » plaisanta Louis, bien qu’un éclat de jalousie transparût dans sa voix.
« Comme ça, le lundi matin et le vendredi soir, tu seras avec moi et Zayn en voiture, » déclara Niall avec enthousiasme, le sourire aux lèvres.
Zayn, qui écoutait attentivement, leva un sourcil, légèrement agacé par cette remarque. “Il me tend une sacrée perche, celui-là…” pensa-t-il avant de murmurer discrètement : « Quel abruti… »
Harry, profitant de l’occasion pour détourner l’attention, passa une main dans ses cheveux et lança avec un sourire charmeur : « Oui, mais en attendant, Enid, viens chez moi ce week-end, je veux te présenter Gemma ! Elle est impatiente de te rencontrer. »
Enid, surprise mais amusée par tant d’empressement, leva les mains en riant doucement. « Je passerai du temps avec chacun d’entre vous, pas besoin de vous battre ! » dit-elle, son rire éclatant détendant l’atmosphère.
Enid tourna son regard vers Harry, un sourire sincère aux lèvres, avant de hocher doucement la tête. « Mais là, j’ai vraiment très envie de rencontrer ta sœur ! » dit-elle avec un enthousiasme qui fit briller ses yeux.
Harry, ravi de sa réponse, se redressa fièrement, passant une main dans ses boucles désordonnées. « Tu vas voir, Gemma est incroyable. Je suis sûr que vous allez devenir meilleures amies en un rien de temps ! » déclara-t-il avec un sourire charmeur.
Louis, qui n’en perdait pas une miette, croisa les bras en riant. « Eh bien, Harry, tu fais un sacré commercial pour ta sœur ! On dirait presque que tu essaies de la caser avec Enid. »
« Oh, tais-toi, Louis, » répliqua Harry en levant les yeux au ciel, amusé mais un peu gêné par la remarque. Puis, se tournant de nouveau vers Enid, il ajouta : « Je te promets qu’elle sera ravie de te rencontrer. Elle adore les nouvelles rencontres, et elle est fan de The Vampire Diaries aussi, donc vous avez déjà un point commun. »
« Ça promet, » répondit Enid en riant doucement, charmée par l’enthousiasme sincère d’Harry.
6 notes · View notes
mmepastel · 2 months ago
Text
Tumblr media
Suite à mal lecture charmée du dernier roman de Lucie Baratte, j’ai lu le premier, Le chien noir. (Et ces livres des éditions du Typhon sont si beaux 😍).
Bon. J’ai adoré le premier tiers grâce à l’ambiance sombre, gothique et indatable, et aux références aux contes, malicieuses et astucieuses, et grâce surtout au style, précieux, précis, d’une grande beauté sombre.
J’ai pensé à la collection noire des parfums de Serge Lutens, et au fameux parfum que j’ai porté il y a longtemps, Serge Noire… que j’ai tant aimé (je parle au passé car désormais il appartient à une gamme aux prix invraisemblables que je refuse d’accepter, faut pas deconner) ; tout est pensé dans le choix des mots, comme dans la composition d’un grand parfum, on trouve d’ailleurs la mention du tissu assorti à la couleur de ladite fragrance « serge noire », et l’héroïne porte des robes « couleur de l’ombre », « couleur de brouillard «  et « couleur de suie » comme une Peau d’Ane gothique. On a vraiment un champ lexical harmonieux pour décrire cinquante nuances de noir. On est dans l’univers du conte, mais Eugénie écoute du Kate Bush ! Bref, ce livre sentait bon pour moi, avec en notes de tête, du poivre et des baies roses (piquant !), en notes de coeur, de l’angélique (un brin amère) et du datura noir (hypnotique et vénéneux), et en notes de fond, du santal gris, de l’oliban sacré, une touche bestiale de civette et une tonne d’aldehydes, pour électriser le tout.
Mais il y a un passage qui a été tout bonnement insupportable à lire, insoutenable d’horreur et de cruauté. C’est rare que je sois ainsi horrifiée, mais je l’ai été, et ça m’a rendue presque furieuse. Comme si j’avais subi un truc non désiré. Une pestilence est venue -presque- tout gâcher. Et la fin a viré en guimauve. Sucrée, trop de vanille.
C’est très étrange. Je pourrais toutefois conseiller ce livre parce qu’il est spécial et drôlement bien écrit, parce que son esthétique est radicale. Mais je reste contrariée de l’irruption de l’insupportable qui m’a parue non pas gratuite, mais délirante, mal dosée, un peu forcée. Je n’aime pas être ainsi malmenée.
Reste ce début, somptueux… dont je relirai peut-être quelques pages à l’occasion… en reniflant Vierge de fer ou De Profondis…
(Sacré numéro,quand même, cette Lucie Baratte !)
5 notes · View notes
1340fatboy · 1 year ago
Text
Tumblr media
Camille Monfort, la légende du "Vampire de l'Amazonie" (1896).
En 1896, Belém s'enrichit en vendant le caoutchouc amazonien au monde entier, enrichissant du jour au lendemain les paysans qui construisent leurs riches demeures avec des matériaux venus d'Europe, tandis que leurs femmes et leurs filles envoient leurs vêtements se faire laver sur le vieux continent et importent de l'eau minérale de Londres pour leurs bains.
Le "Theatro da Paz" était le centre de la vie culturelle en Amazonie, avec des concerts d'artistes européens. Parmi eux, l'un d'entre eux attirait particulièrement l'attention du public, la belle chanteuse d'opéra française Camille Monfort (1869 - 1896), qui suscitait des désirs inavouables chez les riches seigneurs de la région, et une jalousie atroce chez ses épouses en raison de sa grande beauté.
Camille Monfort a également suscité l'indignation pour son comportement affranchi des conventions sociales de son époque. La légende raconte qu'on l'a vue, à moitié nue, danser dans les rues de Belém, alors qu'elle se rafraîchissait sous la pluie de l'après-midi, et la curiosité a également été attisée par ses promenades nocturnes solitaires, lorsqu'on l'a vue dans ses longues robes noires et fluides, sous la pleine lune, sur les rives du fleuve Guajará, vers l'Igarapé das Almas.
Bientôt, autour d'elle, des rumeurs se créent et des commentaires malveillants prennent vie. On disait qu'elle était l'amante de Francisco Bolonha (1872 - 1938), qui l'avait ramenée d'Europe, et qu'il la baignait avec de coûteux champagnes importés d'Europe, dans la baignoire de son manoir.
On disait aussi qu'elle avait été attaquée par le vampirisme à Londres, à cause de sa pâleur et de son apparence maladive, et qu'elle avait apporté ce grand mal à l'Amazonie, ayant une mystérieuse envie de boire du sang humain, au point d'hypnotiser les jeunes femmes avec sa voix lors de ses concerts, les faisant s'endormir dans sa loge, pour que la mystérieuse dame puisse leur atteindre le cou. Ce qui, curieusement, coïncidait avec des rapports d'évanouissements dans le théâtre pendant ses concerts, expliqués simplement comme un effet de la forte émotion que sa musique produisait dans les oreilles du public.
On disait aussi qu'elle avait le pouvoir de communiquer avec les morts et de matérialiser ses esprits dans des brumes éthérées denses de matériaux ectoplasmiques expulsés de son propre corps, lors de séances de médiumnité. Il s'agit sans aucun doute des premières manifestations en Amazonie de ce que l'on appellera plus tard le spiritisme, pratiqué dans des cultes mystérieux dans des palais de Belém, comme le Palacete Pinho.
À la fin de l'année 1896, une terrible épidémie de choléra ravagea la ville de Belém, faisant de Camille Monfort l'une de ses victimes, qui fut enterrée dans le cimetière de Soledade.
Aujourd'hui, sa tombe est toujours là, couverte de boue, de mousse et de feuilles sèches, sous un énorme manguier qui la fait plonger dans l'obscurité de son ombre, seulement éclairée par quelques rayons de soleil projetés à travers les feuilles vertes.
Il s'agit d'un mausolée néoclassique dont la porte est fermée par un vieux cadenas rouillé, d'où l'on peut voir un buste de femme en marbre blanc sur le large couvercle de la tombe abandonnée, et attachée au mur, une petite image encadrée d'une femme vêtue de noir.
Sur sa pierre tombale, on peut lire l'inscription :
« Ci-gît
Camille Marie Monfort (1869 - 1896)
La voix qui a charmé le monde ».
Mais certains affirment encore aujourd'hui que sa tombe est vide, que sa mort et son enterrement n'étaient rien d'autre qu'un acte visant à dissimuler son cas de vampirisme, et que Camille Monfort vit toujours en Europe, aujourd'hui à l'âge de 154 ans.
(L'image originale a été retouchée pour extraire les détails. Et non, ce n'est pas un téléphone portable qu'elle tient dans ses mains, mais un petit carnet).
22 notes · View notes
ordalya · 6 months ago
Text
J'ai des italiens pour collègues et ils utilisent des mots pas tout à fait français mais tout à fait compréhensible dans le contexte, je suis toujours charmée quand il y en a un comme ça qui s'échappe.
Florilège :
Rémouver
Dédiquer
Croisir
Dissolver
Repristiner
L'arrive
Movimenter
Bonus : il y en a un qui prononce "la boue" comme "la beuh", j'ai pas encore oser lui dire...
3 notes · View notes