#Chapitre 1
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valienka · 11 months ago
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Chapitre 1
Ils n’y retourneraient pas. Il Ă©tait hors de question de se laisser capturer et de retourner lĂ -bas. Lyvvi ne voulait plus avoir Ă  souffrir de leurs coups, de leurs jeux. Elle ne supporterait pas de voir une nouvelle fois la vie s’éteindre dans le regard d’un autre. Ils l’avaient brisĂ©e. Qui qu’elle eĂ»t pu ĂȘtre par le passĂ©, cette femelle Ă©tait morte en ce lieu. Elle Ă©tait devenue une poupĂ©e

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edlim-sims · 3 years ago
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Sabrina complÚte le niveau 2 de son aspiration en améliorant son charisme, compétence utile pour persuader ses clients en retard de paiement.
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Le nounou s'occupe bien des petits pendant que Derek et Sabrina sont au travail, mais Éloi est toujours heureux de voir son pùre rentrer!
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De directeur adjoint Ă  directeur rĂ©gional (Affaires 5), Derek s'est vu offrir une belle promotion au boulot. À l'intĂ©rieur, il est content, mĂȘme si son visage montre plutĂŽt un ĂȘtre tendu et fatiguĂ©. Sabrina, elle, est en fin de grossesse.
Le couple espùre une petite fille

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BĂ©bĂ© #3 est arrivĂ©! 🎁🎉
Et non, pas une petite fille, mais un autre petit garçon nommé Guillaume.
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Zacharie ne semble pas apprĂ©cier avoir un nouveau frĂšre. Éloi lui suffisait il faut croire!
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Heureusement que papa est lĂ  pour lui remonter le moral!
Prochain chapitre âžĄïž
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mokarosenoire · 1 year ago
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Chapitre 1
Le roi est mort, vive le roi
-Tu l’a dĂ©jĂ  rencontrĂ© ?
-Rencontrer est un bien grand mot. Je l’ai saluĂ© lors de son 7Ăšme anniversaire, ça fait presque vingt ans maintenant.
-C’est dĂ©jĂ  beaucoup !
Comme Ă  son habitude, Lucile de Bellavie est une vraie commĂšre, surtout quand cela concerne la famille royale. Sans attendre la moindre rĂ©ponse, Lucile se leva d’un bond pour observer la fenĂȘtre. Sa longue chevelure dorĂ©, Ă©lĂ©gamment attachĂ©e, brillait autant que les reflets du soleil. Ses yeux, couleur diamant, fixait un point prĂ©cis dans le paysage.
-Elle est encore allumée. Déclara t-elle dans un murmure.
Assise Ă  la table du petit salon, Angela Dulion sirotait sa tasse de thĂ© en lisant le journal. La jeune femme, aux cheveux corbeau, n’avait nullement l’air intĂ©ressĂ©e par ce qui se passait en dehors de la petite table dorĂ©e. Elle n’est Ă©videment pas dupe aux agissement de son amie. Aujourd’hui le roi est souffrant, et la bougie annonçant son dĂ©part imminent est posĂ©e face Ă  la fenĂȘtre de la chambre royale. C’était Ă©galement la raison de sa venue dans la rĂ©sidence qui lui Ă©tait rĂ©servĂ© au palais. Si elle n’avait pas reçu le message du hĂ©raut, jamais elle ne ce serait dĂ©placer. Tout au palais Ă©tait luxueux, Ă  tel point que mĂȘme les nobles les plus riches paraissaient pauvre en comparaison. Que se soit les grands canapĂ© en velours rouge, Ă©parpiller de maniĂšre harmonieuse dans la grande salle. Les grands rideaux cramoisi, filĂ© de rose dorĂ© Ă  ses extrïżœïżœmitĂ©s, entoure les grandes fenĂȘtres creusĂ©s dans le mur recouvert d’acajou. Sans parler des nombreux fauteuils et chaises assortis aux canapĂ©s, ni toutes les dĂ©corations et reliures sur les murs. Toute cette luxure Ă  outrance la faisait suffoquer.
Un petit gùteau en main, Angela en pris une bouchée quand Lucile poussa une exclamation.
-Le grand maĂźtre est sorti ! Hurla t-elle. Il s’approche de la bougie ! Ne me dis pas qu- Il l’a Ă©teint !
Pendant le rĂ©cit de la jeune femme, un brouhaha se faisait entendre dans toute la cour royale. Le silence retomba pendant presque une seconde entiĂšre. Ce dĂ©lai dĂ©passĂ©, Lucile couru pour sortir de la demeure rĂ©servĂ©e aux Dulion aux palais royal, suivi d’un Ă©norme tumulte.
Toujours assise à sa table, Angela fit un signe à l’un de ses servants.
-Madame ?
-Je crois me rappeler que certain d’entre vous ont des enfants. Distribuez le reste des gñteaux pour qu’ils puissent en profiter, s’il en reste gardez les pour vous.
-Bien madame.
Le silence reprit vite sa place dans le palais. Une fois son thé et son journal terminés, Angela se leva pour prendre une nouvelle fois la parole.
-Préparez mes affaires, nous retournons au manoir.
Les servants, prĂ©sent dans la piĂšce, se recourbĂšrent tous en mĂȘme temps, comme une chorĂ©graphie bien exĂ©cutĂ©e, avant de se mettre en action.
Contrairement Ă  d’autres nobles, Angela Dulion n’avait pas pour habitude de vivre au palais royale, et ce malgrĂ© le lien d’amitiĂ© qui uni leurs deux familles.
D’aprĂšs les sources, lors de la guerre qui a opposĂ© les royaumes de Llyne et Onryx il y a des centaines d’annĂ©es, le maĂźtre de la maison Dulion aurait sauvĂ© son roi au prix de l’un de ses bras.
Dans la calĂšche menant au manoir, Angela ne pouvait s’empĂȘcher de repenser Ă  la façon dont les yeux de son pĂšre brillaient quand il lui racontait l’histoire de ce fameux sauvetage. D’aprĂšs lui, le roi et son ancĂȘtre avait dĂ» s’abriter dans un village ravagĂ© d'une prĂ©cĂ©dente bataille. Un groupe d’une centaine de soldats d’Onryx, recherchant les deux hommes, entra dans le village. Sans attendre l’ancĂȘtre Dulion prit le roi pour le mettre Ă  l’abri. GrĂące Ă  l’ingĂ©niositĂ© et Ă  la force aussi bien physique que magique du maĂźtre de la famille, il rĂ©ussi Ă  mettre ses assaillants en dĂ©route.
Un lĂ©ger rire raisonna dans la calĂšche. Quand Angela Ă©tait petite, elle adorait entendre son pĂšre lui raconter cette histoire, mais du haut de ses 24 ans, elle sait depuis longtemps qu’il enjolivait son rĂ©cit. Pourtant, malgrĂ© ces nombreux ajouts, l’histoire gardait le plus important. Le Duc Dulion dĂ» faire barrage de son corps pour empĂȘcher les soldats d’Onryx d’atteindre le roi. Ces derniers Ă©taient plus une dizaine qu’une centaine cependant. Son dĂ©vouement lui a valu la confiance et l’amitiĂ© de la famille royale, et ce mĂȘme plus d’un siĂšcle aprĂšs la fin de la guerre.
Angela posa sa tĂȘte sur le rebord de la fenĂȘtre. Le paysage verdoyant, le confort des siĂšges et la couleur semblable aux bleuets des rideaux virevoltant au vent. Toutes ces familiaritĂ©s firent divaguer son esprit au jour de sa «rencontre» avec le prince, ou le roi, si on tient compte des rĂ©cents Ă©vĂšnements. Contrairement Ă  beaucoup de nobles dames, elle n’a jamais aimĂ© aller Ă  ces grands bals luxueux. Lors de ces soirĂ©es, il fallait toujours faire attention Ă  la façon de se comporter, de se tenir ou de parler. Tous ces faux-semblants la fatigue au plus haut point. Mais en ces temps, Angela n’était pas consciente de toute la fourberie et la cruautĂ© cachĂ©es dans la haute sociĂ©tĂ©. Alors ce jour-lĂ , elle Ă©tait plus qu’heureuse de pouvoir suivre son pĂšre lors de l’un de ces grands bals au palais. Sur la route, la petite Dulion ne pouvait s’empĂȘcher de contemplĂ© la grande calĂšche blanche et bleu, au couleur de sa famille. La grande peinture au plafond reprĂ©sentant un grand lion d’argent, les armoiries de leur maison, semblait veiller sur eux. La joie qu’elle ressentait sur le chemin l’empĂȘchait de rester en place, surtout en voyant les grandes portes du palais royal de sa petite fenĂȘtre. Lors de l’anniversaire d’un membre de la famille royale, il est commun de voir les nobles se bousculer avec leurs enfants pour qu’ils puissent se rapprocher de l’hĂ©ritier. Évidemment le pĂšre d’Angela avait fait de mĂȘme. Quand est arrivĂ© le tour des Dulion, la petite Angela leva les yeux vers le prince, il Ă©tait droit comme un I. Son expression Ă©tait comme sa position, tirĂ©e Ă  quatre Ă©pingles. Pour autant, il Ă©tait loin d’ĂȘtre aussi Ă  l’aise qu’il voulait bien le faire croire, surtout au vu de ses regards furtifs Ă  l’égard de son pĂšre. Bien sĂ»r, la petite Angela n’avait pas remarquĂ© ces petits dĂ©tails. Le comportement du jeune homme lui Ă©tait Ă©trange, toutes les personnes qu’elle connaissait avait un grand sourire sur le visage. Elle n’avait jamais vu une personne aussi froide et distante. Elle n’était pas habituĂ©e Ă  ça.
Le prince...Le roi vient de perdre l'une des personnes Ă  qui il tenait le plus, mais il lui est interdit de faire son deuil. Partir sans prĂ©senter ses respects au nouveau roi est mal vu, voire blasphĂ©matoire. Mais comment Angela pouvait dĂ©cemment courir retrouver le prince dans le but d’ĂȘtre la premiĂšre Ă  obtenir ses faveurs, et rĂ©ussir Ă  se regarder dans la glace ? Sans la relation entre leurs deux familles, Angela ne serait pas aussi sereine aprĂšs cette transgression. Le couronnement officiel aura lieu au milieu du mois prochain au plus tard, elle attendra ce jour pour lui prĂ©senter ses respects. Beaucoup lui en tiendront sĂ»rement rigueur, le nouveau roi Ă©galement. Pour autant cela ne dĂ©rangeait pas Angela. Ils ne s’étaient parlĂ©s qu’une seule fois il y a presque vingt ans, les ressentiments qu'il pouvait bien avoir Ă  son Ă©gard Ă©tait le dernier de ses soucis. Elle prĂ©fĂ©rait mille fois ĂȘtre la risĂ©e du palais, de la noblesse mĂȘme, si ça permettait au roi de faire son deuil.
La petite fenĂȘtre Ă  l’avant de la calĂšche s’ouvrit lĂ©gĂšrement.
-Nous somme bientÎt arrivés madame.
Aussi rapidement qu’elle s’était ouverte, la minuscule fenĂȘtre se referma d’un seul coup. Un soupire s’éleva dans la calĂšche. BientĂŽt Angela sera de retour dans son manoir, bientĂŽt elle pourra se reposer sans que personne ne l’observe ou ne la juge.
ArrivĂ©e Ă  la rĂ©sidence des Dulion, la calĂšche s’arrĂȘtait au pied de l’immense escalier menant Ă  la porte d’entrĂ©e. De la fenĂȘtre, on pouvait voir un servant descendre les longues marches de marbre blancs au pas de course, tout ça dans le seul but d’ouvrir la porte de la calĂšche le plus vite possible.
Une fois sortie, Angela se mit Ă  fixer l’escalier du regard. Elle dĂ©testait plus que tout monter ou descendre des marches avec ses grands talons et ses lourdes robes. Avec beaucoup d’effort, Angela rĂ©ussi Ă  atteindre la porte d’entrĂ©e sans louper une seule marche. Comme pour la calĂšche, c’est un servant qui ouvrit la grande porte d’argent du manoir. Une ligne de servants Ă©tait postĂ© de chaque cĂŽtĂ© de la porte, en voyant que le maĂźtre des lieux Ă©tait de retour, tous la saluĂšrent. Le hall d’entrĂ©e Ă©tait rempli de personnes, une dizaine par ligne, pourtant pas une once de chaleur n’en ressortait.
-Bon retour chez vous madame.
William Dumont, le majordome de la famille Dulion depuis une vingtaine d’annĂ©es, Ă©tait postĂ© au centre des deux escaliers de marbres blancs et bleu nuit menant Ă  l’étage. Angela ne pu retenir un sourire en le voyant. Les grandes fenĂȘtres de l’étage laissaient la lumiĂšre tomber sur les cheveux grisonnant et impeccablement plaquĂ©s de l’homme.
Il y a dix-sept ans, quand la maladie emporta les parents d’Angela, c’est monsieur Dumont qui s’occupa de la petite Dulion. Et c’est encore le cas aujourd’hui. Il Ă©tait sĂ©vĂšre mais juste, et mĂȘme s’il ne l’avouera jamais, il y a bon nombre de bĂȘtises qu’il a laissĂ© passer.
Angela venait de faire une chose indigne de la noblesse. Elle le savait, Monsieur Dumont Ă©tait furieux.
-Je vais dans mon bureau.
-Le thĂ© sera bientĂŽt prĂšs. Dit-il d’un ton rĂ©probateur.
Maintenant elle en était plus que sûre...Elle allait se faire taper sur les doigts.
En montant les grandes marches en se tenant Ă  la rambarde. Son regard serpentait ça et lĂ , regardant les petits fauteuils et les rideaux d’une myriade de bleu, les ornements, les rebords de meubles et certaines dĂ©corations murales Ă©taient faite d’argent. Sans parler des armoiries familial centrĂ© sur certaine parcelle mur. Toute ces familiaritĂ© la rassurait, malgrĂ© la froideur des lieux. AprĂšs des jours au palais royal Ă  attendre la mort du roi, elle Ă©tait enfin chez elle.
Assise dans la grande piĂšce remplie de livres, Angela regardait les montagnes de dossiers qui s’étaient amassĂ©es sur son bureau depuis son absence. Tous les dossiers avaient Ă©tĂ© triĂ©s du plus au moins urgents. La famille Dulion Ă©tait connue pour ses jouets et ses bonbons pour enfants. Angela prit l’un des dossiers urgents en mains, et commença Ă  le feuilleter. La grande cheminĂ©e derriĂšre elle Ă©tait encore Ă©teinte en ce dĂ©but d’octobre, et les grandes fenĂȘtres positionnĂ©es Ă  l’ouest illuminaient la piĂšce d’une lueur orangĂ©e. Quelques dossier pris en charge plus tard, Monsieur Dumont entra dans la piĂšce, un chariot de thĂ© entre les main. L’orange avait fait place Ă  un bleu glacĂ© qui refroidissait la piĂšce.
-Tu as fait du bon travail pendant mon absence. Comme d’habitude.
-Merci madame.
Son ton rĂ©probateur n’avait pas disparu malgrĂ© le temps.
-Tourner autour du pot ne te ressemble pas.
Monsieur Dumont leva enfin ses yeux d’argent vers Angela, la fixant d’un air renfrognĂ©.
-Le roi est mort.
-J’ai entendu ça.
Toujours concentrĂ© sur le dossier qu’elle avait en main, elle n’avait pas l’air de prendre la mort du roi au sĂ©rieux.
-Angela ! La voix grave de l’homme porta dans toute la piùce.
Tous les servants savaient que Monsieur Dumont Ă©tait proche d’Angela, mais il Ă©tait rare de les entendre parler de maniĂšre si informelle.
-Tu es folle ?! Partir sans lui prĂ©senter le moindre respect, mĂȘme la famille royale ne s’autoriserait pas une telle chose !
-Heureusement que je ne suis pas un membre de la famille royale alors.
-Vos ancĂȘtres n’ont pas protĂ©gĂ© vos liens avec la famille royale pour que vous dĂ©truisiez tout par Ă©goĂŻsme !
-Espérons que ce ne soit pas le cas.
La dĂ©sinvolture d’Angela avait pour habitude d’exaspĂ©rer Monsieur Dumont. Elle le savait bien, et c’est pour cette raison qu’elle agissait toujours de la sorte quand il lui faisait ce genre de leçon.
-Tu es une vraie tĂȘte de mule.
-J’irais lui prĂ©senter mes respects le jour du couronnement.
-Ça ne changera rien à ce que tu as fait.
-Je ne serais pas la seule Ă  lui prĂ©senter mes respects ce jour-lĂ , malgrĂ© ma petite erreur, le prince ne m’en tiendra pas rigueur.
-Le roi.
Angela leva Ă  son tour ses yeux indigo vers son majordome.
-Pardon ?
-Le roi est mort, vive le roi.
La jeune femme ne dĂ» pas rĂ©flĂ©chir plus longtemps avant de comprendre Ă  quoi il faisait rĂ©fĂ©rence. Un long silence rĂ©gna dans la grande piĂšce. Monsieur Dumont servie une tasse de thĂ© Ă  l’odeur de rose Ă  Angela.
-C’est noble de votre part, mais une seule personne ne peut changer les choses.
Angela fixa la tasse posĂ©e sur son bureau. MĂȘme en colĂšre, Monsieur Dumont lui avait servi son thĂ© prĂ©fĂ©rĂ©.
-Il faut finir le travail avant de recevoir l’invitation pour le couronnement.
Reprenant son masque de majordome, Monsieur Dumont salua sa maĂźtresse avant de sortir du bureau. ConcentrĂ©e sur ses gros dossiers, Angela Ă©tait loin de savoir ce qui allait arriver lors du couronnement. Lors de sa premiĂšre rencontre avec le prince, elle n’était qu’une enfant. Aujourd’hui Angela est une adulte, bien diffĂ©rente de ce Ă  quoi le prince avait l’habitude. Et trĂšs bientĂŽt, Angela se rendra compte que le prince est loin de n'ĂȘtre que l'homme de pouvoir qu'il Ă©tait.
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studio-story · 2 years ago
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Mort de chair et d'os
Le royaume des morts est un endroit bizzare mais merveilleux. il est tant de vous raconter l'histoire .
Chapitre 1 : Bienvenue Ă  rochemort
Dans le bus
Dans un bus amber se réveille ,une vielle conductrice mystérieuse les annonce qu'ils sont morts. Elle reste calme mais la petite a coté est stressé et tremblante , alors la jeune femme lui tiens la main.
DerriĂšre eux y sont son frĂšre eric et sa mĂšre olda explique la petite fille, elle dit aussi que son nom est penny.
Le bus s'arrĂȘte ,ils descendent tous. la vielle dame explique qu' ils sont a rochemort et dĂ©sormais ils y vivront.
Que bien sûr il y avait d'autre lieu mais ici est votre début rajoute t-elle ,puis leur donnent un sac chacun remplis de 100 crùnes (l'agent d'ici ). Penny demande a amber comment ils allaient faire pour survivre. elle lui répond qu' elle a pris des cours d'organisation dans son vivant. La fillette dit qu'elle veut vivre avec elle car sa mÚre est trop irresponsable .
DerriĂšres eux olda lui demande de l'aider . Amber dit que c'est trop mais la mere insiste et en Ă©change lui donne ses 100 cranes, amber accepte.
A rochemort
marchant dans la rue amber etablie une liste détaillée .
La liste
Trouver du travail (pour pouvoir se payer se dont ils avait besoin )
Trouver un abri (pour manger et dormir)
Acheter de la nourriture et des vĂȘtements
Économiser des sous
Faire étudié les enfant
_______________
Le groupe regardais autour ďeux une auberge "luxambourge" qui est grande , attirante,lumineuse , joyeuse , de luxe , magnifique et accueilliante assez d'adjectif pour la qualifiĂ©e . ils y entre
A ÄŸaccueuille, une dame dit qu'il faut des professionnels pour cette auberge reputĂ© a 5 os (5 etoiles)et la nuit c'est 1000 cranes tous surpris et deçu ils sortent. A cĂŽtĂ© une petite auberge sur la porte est ecrit :
{ RECHERCHE D'EMPLOYÉS POUR PETITE AUBERGE ALLANT Bientît OUVRIR, EN ÉCHANGE L'AMÉNAGEMENT GRATUIT }.
le groupe content entre la bas ,une jeune fille est a l'accueille elle dit que sa mÚre est l'aubergiste. Amber raconte a la fille qu'il viennent chercher travail et abris, a se moment là une dame apparaßt .elle se présente Mme enchele l'aubergiste et sa fille gwendoline (alias gwen). Puis aussitÎt donne les formulaire d'emploie.
Il ya aussi une personne portant une capuche .
Au mĂȘme moment penny remarge des pomme son pĂȘchĂ© mignon, elle y fonce mes trĂ©buche qui fait tomber la capuche . En la voyant gwen et sa mĂšre sursaute les autres demandant pourquoi. Elles les explique qu' elle est la princesse du royaume des morts Ouest. La princesse supplie de ne rien dire car elle a fuguĂ© .motus et bouche cousue dit mme enchele. Bon! LaissĂ© moi vous expliquer depuis toute petite mon rĂȘve est de crĂ©er un petit hotel confirtable a bon pris Raconte l'aubergiste.mais ma soeur jumelle rachel voulait un hotel de luxe qui coute cher . Malheureusement nous sommes morts dans un accidents et avons atterri Ă  rochemort dans l'orphelinat couche " fausse couche". j'ai Ă©tudiĂ©, fait des Ă©conomies tandis que ma soeur a juste twerkĂ© devant le maire pour avoir un succĂšs le dit d'un ton agassĂ©. Donc pouvez-vous m'aider Ă  rĂ©aliser mon reve et de devenir des busnessman .
OOOUUUIIIII!!!!!!!! Tout le monde répandu. Bon selon les case que vous avez coché voila les role.
- gwen a l'accueille
- amber a la cuisine
-penny serveuse
-olda serveuse
-eric comtable
-et olivia femme ménage.
L'histoire commence ici........
Prochain chapitres : trop parfait/ la veille de l'ouverture...
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i7traductionfr · 2 years ago
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Hoshimeguri/Les Observateurs du PĂšlerinage CĂ©leste
Index | lien vers la traduction anglaise
Chapitre 1: Le commencement
Vega : Ô Joyau des Étoiles, qui exauce tous les vƓux ! Ceci est le dernier souhait que je vous rĂ©clame.
Vega : Nous vous avons confiĂ© d’innombrables souhaits jusqu’à prĂ©sent.
Vega : Vous nous avez tout octroyés.
Vega :  De l’eau pour les terres assĂ©chĂ©es, du blĂ© pour les personnes affamĂ©es, des armes pour ceux qui cherchaient la victoire

Vega : 


Vega :  Peut-ĂȘtre ai-je fait une erreur.
Grondement
Vega : Le monde est en train de changer, tout comme la forme de cette planùte

Vega : Avec ça, mon devoir est accompli.
Vega : Pardonnez-moi de ne pas ĂȘtre lĂ  pour voir quel genre de destin attendra ce monde.
Serpent d’Ivoire : Gyooooh
 !
Vega : Ô Serpent d’Ivoire, je te confie le sort de ce monde !
Vega : Serpent d’Ivoire
. Non.
Vega : PĂšlerin CĂ©leste, Observateur des Étoiles.
À suivre

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chaos-drawer · 3 years ago
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Okay, quick moments of my next work ~
(By the way, I lost count of how many time the story changed so I can’t tell you anymore when, what will be done. So... Yeah, I have no idea of what I’m doing.... Yay~....)
Silver reflections, he thinks. How strange.
*
Varian changed the course of History.
He wasn't supposed to be part of the royal council that took place the day his life changed.
*
She is extremely talented. She hides and avoids him and even when they share the same space, she always finds a way to ignore his presence while still throwing her hatred at his face. It would be fascinating to witness if it wasn't that exhausting to deal with.
*
The Dark Kingdom is exactly what you expect it to be when you hear its name. It's ruled by a king and very, very dark.
*
“Eugene, I know how to keep a secret.”
*
“The best lies are made of truth, you know?” she offers with a smirk and Varian takes the attack with what he hopes to be a gracious face
“But what if you can't tell what is true and what is wrong?”
“Then the lie is working.”
*
See you on Wednesday the 20th ~
-Of that, I’m sure xD-
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morpheeecrit · 3 years ago
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Ahah! Prologue en ligne sur mon profil Wattpad. Je suis vraiment contente de ce qu’il est devenu aprĂšs une grosse session de retravaille-ment (C’est pas un mot, mais je l’utilise quand mĂȘme). J’ai passĂ© l’étĂ© a refaire le prologue et quelques autres chapitres, donc â˜șđŸ€Ș😍 est mon mood en tout temps aujourd’hui!
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bluepallilworld · 3 years ago
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I'll reblog it with an english translation, just wait 5 minutes!
/!\ cette histoire contient nombre de choses dĂ©plaisantes : violence, kidnapping, sĂ©questration, vomi etc. Ne lisez pas si vous ĂȘtes sensible Ă  ce genre de choses >:(
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L'observateur et la petite fille en rouge
Chapitre 1: RĂ©veil difficile
Je baisse les yeux et je m'aperçois de quelque chose : mon ombre bouge comme si elle était possédée. Elle ondule, enfle, se déforme et s'assombrit. Je suis paralysé par la peur, ses mouvements ont un effet hypnotisant et bientÎt anesthésiant. Je ne sens plus rien, ma vue se brouille et je m'effondre. Je fais connaissance avec le trottoir, accompagné d'un choc sec et d'un craquement sinistre.
Il m'accueille pour un sommeil sans rĂȘve, lourd et profond.
Une odeur de cannelle me réanime, mes sens se réveillent un par un.
D'abord l'odorat : des odeurs d'Ă©pices m'entourent, forment une farandole et me font tourner la tĂȘte. Puis le toucher ; un froid mordant mes poignets, mes chevilles et une douleur lancinante en provenance de tous mes membres.
L'ouĂŻe me revient : des chuchotements me parviennent, nombreux sans que je puisse en saisir le moindre sens ou l'origine.
Et enfin la vue : une vue imprĂ©cise, floue qui ne me permet pas de discerner grand-chose. Une sorte de vitre en face de moi, des formes colorĂ©es sans contours prĂ©cis dĂ©ambulent derriĂšre. Elles ne semblent pas me voir. C'est comme le verre teintĂ© des voitures de ceux voulant ĂȘtre incognito (ou des salles d'interrogatoires), cela ne fonctionne que dans un sens.
Je ne reprends pas mes esprits immédiatement, je m'affaisse encore une fois ou deux avant.
Cette fois c'est bon, je me réveille en sursaut. Mes souvenirs me reviennent : l'ombre, le trottoir...
OĂč suis-je ? Que s'est-il passĂ© ? Cela m'Ă©tonne de garder encore mon calme dans une situation pareille. Je me sens encore un peu engourdi, mon cerveau rĂ©agit mollement et mes membres agissent en dĂ©calĂ©. Je suis accrochĂ© Ă  un mur ou une sorte de surface en tout cas, mes mains et mes pieds sont fermement attachĂ©s par des anneaux mĂ©talliques. La piĂšce est petite, il y a une porte avec des fentes Ă©tranges et la vitre.
Est-ce une vitre ou un Ă©cran d'ailleurs ? Elle donne sur une rue, une grande rue bondĂ©e oĂč les gens passent et repassent. La rue est bordĂ©e de magasins en tout genre. Je vois un fleuriste, deux cafĂ©s, une librairie, une boutique de vĂȘtements de marque, une cordonnerie... et j'en passe. LassĂ© de cette contemplation urbaine, je dĂ©cide de crier Ă  plein poumons, je ne pense pas que ça m'aidera beaucoup mais ça fait du bien. Le bruit qui sortit de ma gorge fut assez Ă©trange. J'avais l'impression d'entendre quelqu'un d'autre hurler alors que je savais pertinemment que cette voix m'appartenait. Ce fut un son dĂ©chirant, plein de douleur, un cri que je ne pouvais arrĂȘter. Je n'ai pu me stopper qu'Ă  la limite de l'asphyxie. Jamais de ma vie, je n'avais hurlĂ© d'une telle façon. Le silence qui en dĂ©coula fut comme assourdissant et je me fis la rĂ©flexion qu'il Ă©tait plutĂŽt Ă©trange que personne n'ait accouru au son de ma plainte. Je suis pourtant persuadĂ© de sa rĂ©sonance dans l'ensemble du bĂątiment. Cela ne m'aurait pas Ă©tonnĂ© si toutes les personnes de la vitre s'Ă©taient stoppĂ©es pour me regarder d'un air incrĂ©dule.
Mais non, elles ont continuĂ© tranquillement leur route et leurs affaires. Certaines pressaient le pas (sĂ»rement en retard Ă  un quelconque rendez-vous), d'autres bavardaient tout en visitant les diffĂ©rentes boutiques du secteur. Tous sauf un individu, une petite fille vĂȘtue d'un manteau rouge au bord d'une ruelle. Elle Ă©tait recroquevillĂ©e sur elle-mĂȘme, les genoux dans les bras. Elle tremblait doucement, retenant des sanglots...
BientÎt je ne vis plus qu'elle, ma situation ne me semblait n'avoir guÚre d'importance comparée à la tristesse de la petite fille. On passait devant elle sans la voir tellement elle était discrÚte. Pas un regard tourné vers elle, pas une main cherchant à la réconforter et moi, je ne peux plus détacher mon regard d'elle.
AprĂšs l'avoir observĂ©e une trentaine de minutes sans que rien ne change, comme si le temps avait Ă©tĂ© suspendu, je remarqua un homme aux vĂȘtements sombres s'approchant d'elle. Tout en moi me hurla alors son hostilitĂ©.
Une unique pensĂ©e m'anima : je ne pouvais le laisser s'approcher mais pourtant la morsure du mĂ©tal froid de mes entraves me rappela ma triste situation : je ne pouvais ĂȘtre auprĂšs de cette petite fille.
Je suis attachĂ© dans un endroit inconnu par une tierce personne, je ne puis ĂȘtre autre chose qu'un simple observateur. Est-ce donc ce que l'on veut de moi ? Que j'observe, impuissant, une scĂšne qui me rĂ©volte.
Comme pris par une folie passagĂšre, je me suis mis Ă  secouer mes membres amorphes le plus fortement possible. Le seul rĂ©sultat notable fut de provoquer des douleurs incessantes de plus en plus fortes en rĂ©ponse Ă  mon effort. J'ai continuĂ© jusqu'Ă  ĂȘtre au bord de l'Ă©vanouissement. J'ai vomi. Enfin je pense avoir vomi. Mes souvenirs restent flous mais peut-ĂȘtre ai-je perdu mon sens olfactif dans l'opĂ©ration car - quoi que j'ai pu vomir- je n'ai pas senti les relents habituellement liĂ©s Ă  ce genre d'Ă©vĂ©nement plaisant.
Les morceaux de ma conscience ont tenu le choc mais je n'ai pas pu me libérer. Dans un état de semi-conscience, j'ai observé la fille se faire arracher du sol par les bras puissants de son ravisseur.
Il est parti, la petite sous le bras, qui se débattait comme un beau diable.
Je dĂ©sespĂ©rais de ne pouvoir rĂ©agir ne serait-ce qu'un peu Ă  cette intolĂ©rable scĂšne. Je ne songeais plus alors Ă  la secourir de moi-mĂȘme mais Ă  ce qu'un autre le fasse Ă  ma place. D'un appel dĂ©chirant, je suppliais d'agir.
Alors que tout espoir me paraissait vain... L'inespéré arriva !
Un homme, tout de noir vĂȘtu, jaillit sans un bruit comme rĂ©pondant Ă  ma plainte grandissante. Sans un mot, il lança sa jambe sur l'autre d'un geste vif et prĂ©cis. Elle atteint sa cible mais Ă  cause de la stature musclĂ©e de celle-ci elle n'eut que peu d'impact. Cependant, surpris, il relĂącha sa proie qui courut vers une ruelle voisine. L'homme Ă©tait lent, un coup l'assomma avant qu'un seul de ces gestes n'ai pu aboutir.
MalgrĂ© ma surprise face au personnage surgit inopinĂ©ment, je m'inquiĂ©tais pour la petite. Naturellement, l'Ă©cran vint se placer en face de ce petit visage innocent. Des sanglots lui tordaient la poitrine mais aucun son ne s'Ă©chappa de ce petit ĂȘtre fragile toujours conscient du danger d'un son. Il fallut un temps presque infini pour que l'enfant innocente se remette de ses Ă©motions. Elle se dĂ©plia, sortant de sa position de sĂ©curitĂ© avec une douceur encore liĂ©e Ă  de lĂ©gers tremblements. FĂ©brile, chancelante sur ses jambes tel un faon venant de naĂźtre, elle s'accrocha au mur pour quelques pas. Tout en restant fragile, on sentait qu'elle pourrait dĂ©taler au moindre mouvement brusque.
Elle revint sur ses pas mais les deux hommes avaient disparu. Le soulagement que cette constatation entraĂźna fut mĂȘlĂ©e d'une crainte plus grande encore. Elle aurait aimĂ© les savoir ici car maintenant ils pouvaient resurgir de chaque coin, de chaque ombre du chemin, qui prit alors une dimension fantasmagorique...
Ensuite que s'est-il passé ? Je ne le sais point. Je me suis évanoui pour de bon.
Noir. L'écran est éteint, coupant tout contact avec le monde extérieur.
*******************************************************
@yuriyuruandyuraart voici le 1er chap' de l'histoire qui t'intĂ©ressait :D. C'est vieux et ça mĂ©riterait d'ĂȘtre rĂ©Ă©crit mais pas l'envie-
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thewonderhell · 4 years ago
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Une fantasmagorie,chapitre 1 :
Chaque soir, une jeune enfant, Ă  sa fenĂȘtre, attendait patiemment le dĂ©but d’une rĂ©ception qui se dĂ©roulait dans la battisse, un immense manoir qui semblait ĂȘtre vide de toute vie en journĂ©e, en face de l’immeuble oĂč elle rĂ©sidait.
Cette rĂ©ception pouvait ĂȘtre dĂ©crit comme un bal typique du XVIe siĂšcle, quant au occupant de cette soirĂ©e ils Ă©taient tous de la plus grande Ă©lĂ©gance. La petite fille, AnaĂŻs, avait bien tentĂ© de faire partager ce spectacle Ă  d’autres mais ces parents lui rĂ©pondait Ă  moitiĂ© endormis d’aller au lit et sa grande sƓur affirmait qu’elle inventait tout. Personne ne le voyait.
A ce moment prĂ©cis, oĂč la petite ronchonnait dans son coin, une enveloppe lĂ©gĂšrement touchĂ©e par l’humiditĂ© vient se coller au rebord de sa fenĂȘtre. La fillette ne rĂ©flĂ©chis point, ouvrit cette fenĂȘtre, et agrippa rapidement le morceau de papier, et la referma.
Ce papier paraissait ĂȘtre une invitation scellĂ© par un sceau reprĂ©sentant une couronne surplombĂ©e de chrysanthĂšme. AnaĂŻs observa Ă  travers le carreau le bas de sa rue pour remarquer une dame se dĂ©tachant de la foule tirant le bras d’un enfant en larmes.
La petite fille regarda l’enfant se faire enguirlander puis la supposĂ©e invitation et dĂ©cida d’aller retrouvait le propriĂ©taire de celle-ci.
AnaĂŻs prit ses chaussures, son pull, et sa jupe prĂ©fĂ©rĂ© et descendit lentement les escaliers du hall de l’immeuble. Ils grinçait si bruyamment qu’on pourrait croire que le bĂątiment aller exploser ; et ce bruit eu seulement pour effet de faire sortir l’étrange bonhomme du cinquiĂšme Ă©tage, M.Gilbert.
« Tabasco ! C’est toi ? » lança t’il en regardant au dessus de la rambarde.
La petite se cacha contre le mur pour ne pas de faire remarquer, attendit quelques minutes et M.Gilbert claqua sa porte en rĂąlant. L’enfant soupirais de soulagement et repris son chemin ; arrivĂ©e dans la rue, elle regarda autour d’elle et discerna la femme et l’enfant qu’elle avait remarquĂ© depuis sa chambre.
« Petit merdeux ! Comment as-tu osĂ© perdre l’invitation ?! Je t’ai donnĂ© une simple mission ! Et  tu as fait l’exploit d’échouer ! » hurla la jeune femme
Le petit garçon toujours en larmes tentait de rĂ©pliquer en bĂ©gayant. La petite s’avança vers le duo pour le moins bruyant.
« Excusez-moi ?, commença t’elle timidement, je crois 
 que ceci est Ă  vous » elle tendit l’enveloppe.
« - Oh ! Qu’elle est adorable ! Tu devrais prendre exemple sur elle, petit, elle arracha le bout de papier des mains de la fillette et le garçon hocha la tĂȘte, Je suis Lady Mysie , vous ĂȘtes ?
-Euh
 Je 
. AnaĂŻs»
« AnaĂŻs, ma sauveuse, comment puis-je vous remercier ?, reprit la jeune femme, Vous pouvez vous joindre Ă  moi lors de ce bal  »
Bien que l’offre Ă©tait allĂ©chante, la jeune fille avait un instinct qui lui disait de fuir le plus rapidement possible.
« Et bien j’aimerais beaucoup partager cette soirĂ©e mais je doit rentrer chez moi, dit-elle en pointant l’immeuble derriĂšre elle,
Oh pauvre enfant ! Tu habite dans la rue ?,répondit la jeune Lady une expression choquée sur le visage,
-Quoi
 ? »
La fillette se retournait subitement aprĂšs les mots de cette Lady. Et son immeuble «  a disparu... » constatait l’enfant dans une angoisse qui grandissait de plus en plus en elle. « Je 
 je 
 ma, commençait-elle, ma 
 maison n’est plus là ». Elle se retourna vers la jeune femme espĂ©rant trouvait une explication rĂ©confortante.
Une vision d’horreur, voilĂ  ce qu’elle vit en se retournant, la peau du visage de Lady Mysie dĂ©goulinait laissant apparaĂźtre les ossatures de son crĂąne, celle qui restait collĂ© Ă©tait flĂ©trie accompagnĂ©e d’une teinte bleutĂ©. Ses yeux, fixant l’enfant comme un prĂ©dateur fixerait sa proie, Ă©tait devenu d’une couleur blanche enlevant toute humanitĂ© dans une apparence dĂ©jĂ  en dĂ©composition.
AnaĂŻs tĂ©tanisait par la peur fut sortit de cette transe par le garçon de compagnie de la Lady qui lui aussi avait revĂȘtu une apparence fantomatique. Il lui tirait le bras tout en courant, le jeune fille tentant tant bien que mal de le rattraper, et il lui criait dessus « plus vite ! » ou bien « DĂ©pĂȘche toi ! ».DerriĂšre eux cette « Lady » Ă©tait devenu une masse informes  absorbant tout sur son passage.
Il arrĂȘta ses beuglement en arrivant dans une zone du dĂ©but d’une forĂȘt qu’il dĂ©crivait comme ‘sans danger’. ArrĂȘtĂ©e, AnaĂŻs regarda en arriĂšre, et, effectivement la monstrueuse Lady Mysie ne les suivait plus. La fillette, essoufflĂ©e, regardait attentivement celui qui venait de la sauver d’une mort certaine.
Tout son corps Ă©tait translucide et dĂ©gageait une lĂ©gĂšre teinte bleutĂ©  ; Son cƓur- du moins ce qui semblait l’ĂȘtre - Ă©tait, lui, apparent de tous entourĂ© d’une petite chaĂźne. Son regard se tourna lentement vers la jeune fille.
« AnaĂŻs ? C’est ça ? » commença t’il, elle hocha la tĂȘte.
«  Je suis Édouard, soupira t’il, et tu m’as foutu dans un Ă©norme bordel ! 
-Je
 dĂ©solé  ?,bĂ©gaya l’enfant
-Bah j’espĂšre bien ! Pourquoi tu as prit cette enveloppe ?! , rĂ©pondit-il en haussant le ton
Je
 je voulais aider 
 et, elle se recroquevillait sur elle mĂȘme tout en parlant
WOW ! Ça a vachement bien marcher ! FĂ©licitation ! »
Les mains sur ses tempes, il faisait les cents pas. Il s’arrĂȘta brusquement se tournant vers la forĂȘt, visiblement prĂȘt Ă  se battre. DerriĂšre un arbre, sortait deux petite boules fantomatique ; une portant un nƓud papillon et l’autre un petit chapeau haut de forme.
«  Hey ! Easy men ! We don’t want to hurt or scare you ! »commença le premier avec une voix beaucoup trop grave par rapport Ă  son apparence, le deuxiĂšme bougeait tout son corps de haut en bas sans doutes pour approuver ce que le fantĂŽme gentleman venait de dire.
« sí,sí, niño absolutamente no. » continua le second.
Quant au « niño » il regardait ces deux gugusse avec une mine dĂ©sespĂ©rĂ©e, et essayait tant bien que mal de dĂ©battre avec eux qui ne rĂ©pondait uniquement « No hablo francĂšs nino ! » ou alors «  I’m not speaking your langage of frog eaters ! ».
La jeune fille assistait à la scÚne légÚrement amusée essayant de ne pas paniquée encore plus mais fut détournée de son attention par un rire à glacer le sang venant de juste derriÚre elle.
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mefaitsaccomplisfanfictions · 4 years ago
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Le Manuscrit perdu
La famille Smith Ă©tait tout ce qui y avait d’ordinaire dans cette annĂ©e 2141. Mrs Smith Ă©tait la chef de famille, une femme d’affaires proactive, toujours entourĂ©e de dizaines d’écrans flottant autour d’elle s’appliquant Ă  assister Ă  une dizaine de confĂ©rences en simultanĂ©, sans oublier de demander Ă  son mari d’enlever ses pieds la table basse quand celui-ci s’y risquait en sa prĂ©sence si elle Ă©tait Ă  la maison. Jane Smith Ă©tait ce genre de femme : sa carriĂšre passait avant tout car c’est Mrs Smith qui faisait vivre sa famille. C’est sa rĂ©ussite de celle-ci qui donnait l’occasion Ă  son mari de pouvoir faire ce qu’il voulait comme activitĂ©. Cela mĂȘme si cela ne ravissait pas vraiment sa femme. Mr Smith Ă©tait un musicien ratĂ©, souvent installer dans le canapĂ© Ă  faire les montages de ses clips pour les uploader sur « Mondor » - le plus gros rĂ©seau social Ă  la mode - quand il n’était pas en train de gratter sa guitare dans le studio que sa femme lui avait gracieusement offert il y a quelques annĂ©es de ça. Malheureusement pour lui, Charles Smith n’arrivait pas Ă  percer dans la musique, et bien que Jane le soutĂźnt tant qu’elle pouvait en serrant toutefois les dents, elle en voulait plus. MalgrĂ© l’amour qu’elle lui portait, Mrs Smith ne pouvait s’empĂȘcher de souhaiter ne plus ĂȘtre la seule Ă  subvenir au besoin de sa famille, elle espĂ©rait qu’un jour son mari se rĂ©signe enfin Ă  abandonner et tente autre chose, quelque chose de plus productif et utile.
 S’il y avait deux personnes qui ne se souciaient pas des problĂšmes du couple Smith, c’était bien leur enfant. Jane Smith mis au monde deux fils, l’ainĂ© qu’elle prĂ©nomma Leonard et le second Elliot. Ces deux enfants, bien qu’ils s’entendaient Ă  merveille, Ă©taient trĂšs diffĂ©rents. Elliot Ă©tait un sportif, regardant toutes les rediffusions d’évĂ©nements et pratiquant lui-mĂȘme du foot, jujitsu et aussi gymnastique rythmique. Pour le dernier, c’était surtout son pĂšre qu’il avait insistĂ© pour qu’il fasse au moins un sport avec de la musique. C’était une activitĂ© qu'Eliott cachait Ă  ses amis Ă  l’école, car mĂȘme si de nos jours, c’était acceptĂ© dans la sociĂ©tĂ© que des garçons puissent pratiquer ce genre d’activitĂ©, les amis d’Elliot, du surement Ă  leur Ă©ducation, Ă©taient quand mĂȘme du genre macho. Il leurs cachait donc ce petit secret, mĂȘme si au fond, il aimait bien cette discipline. Elliot Ă©tait un garçon social qui n’eut jamais de mal Ă  se faire des amis, mais ce n’était pas le cas de son grand frĂšre Leonard.
 Leonard Ă©tait un garçon plutĂŽt solitaire. Il aimait s’isoler pour lire pendant des heures des histoires fantastiques oĂč parfois, il se met Ă  la place du hĂ©ros. Leo avait donc trĂšs peu d’amis. À l’école, il passait son temps avec exclusivement trois de ses camardes, qu’il appelait lui-mĂȘme : « amis de circonstance ». Selon lui, ils n’étaient pas amis que parce qu'ils n’en avaient pas ou peu et c'Ă©tait pour cela qu'ils s’étaient rassemblĂ©s, un peu comme un instinct de survie. Cela dit, il Ă©mettait quand mĂȘme une exception pour son ami MarlĂšne. Leo connaissait MarlĂšne depuis leur enfance, c’était normal, aprĂšs tout ils Ă©taient voisins. La jeune fille n’est pas du genre farouche, c’était plutĂŽt une jeune fille pĂ©tillante mettant en avant ses bizarreries et aimant faire des bĂȘtises. Pour Leo, c’était juste une maniĂšre pour elle d’attirer l’attention, car, oui, MarlĂšne aimait qu’on la regarde et se fichait pas mal que ce soit des regards de mĂ©pris, moqueries ou d’admirations. Tout ce qu’elle voulait, c’était avoir l’attention des autres. Elle Ă©tait sa seule vĂ©ritable amie pour lui, mĂȘme si la majoritĂ© du temps son comportement le fatiguait grandement.
 Leonard aimait donc la solitude, cela lui permettait de faire son activitĂ© prĂ©fĂ©rĂ©e : lire en toute tranquillitĂ©. S’il y avait bien une saga de livre qu’il relisait sans cesse, c’était bien celle du sorcier Ă  la cicatrice, « Harry Potter ». Il avait tout lu, les livres et fanfiction, tout ce qui passait sous sa main. MarlĂšne ne comprenait pas trop pourquoi il avait une fascination pour un « truc aussi vieux » et se moquait rĂ©guliĂšrement de lui pour ça. Ce n’était pas grave pour Leo, c’est sa passion, son univers, et assumait volontiers les taquineries de son amie. Il avait reçu son premier tome de sa grand-mĂšre quand il n’avait que huit ans. Leo aimait dĂ©jĂ  lire Ă  cette Ă©poque contrairement Ă  beaucoup d’enfants de son Ăąge. Il dĂ©vorait le premier tome en quelques jours seulement et supplia ses parents pour avoir la suite. Quand approcha le jour de son 11e anniversaire, il passait son temps Ă  regarder par la fenĂȘtre voir s’il n’y avait pas une chouette ou s’il n’y avait pas de courrier pour lui. Un jour, quelques jours aprĂšs qu’il avait soufflĂ© ses bougies, il vit une chouette se poser sur leur pelouse. Pensant naĂŻvement qu’elle lui apportait enfin sa lettre, il fonça vers elle. Celle-ci prit peur et lui donna un coup de serre au-dessus de l’Ɠil gauche avant de s’enfuir. Leo renta chez lui en pleurs, du sang coulant sur son visage. Heureusement pour lui, il n’en tira qu’une petite cicatrice. Ce ne fut pas sans consĂ©quence : Depuis le jeune homme a peur des oiseaux.
 Nous Ă©tions aujourd’hui le 1er septembre, Leonard marchait dans le centre-ville de Cardiff dans l’objectif de faire ses courses de la rentrĂ©e, il avait un peu de retard car celle-ci avait lieu le lendemain. Comme Ă  son habitude, il n’était pas vraiment emballĂ© par cette tĂąche. Il Ă©tait dans une Ă©cole spĂ©cialisĂ©e dans l’industrie pour devenir ingĂ©nieur comme le souhaitais sa mĂšre. Aujourd’hui, tout Ă©tait automatisĂ©, donc si on voulait avoir un mĂ©tier qui payait un minimum, il fallait viser hauts. Enfin, c’est ce que Mrs Smith rĂ©pĂ©tait sans cesse Ă  ses fils. Avant de s’atteler Ă  cette corvĂ©e, Leo dĂ©cida se faire une halte Ă  la seule boutique du coin qui Ă©veillait son intĂ©rĂȘt, une librairie. C’était celle que le jeune homme frĂ©quentait depuis toujours, il connaissait bien la personne qui la gĂ©rait Miss Pince. La jeune femme avait une petite dizaine d’annĂ©e de plus que lui, mais qui avait le mĂȘme amour pour la littĂ©rature. Elle lui avait fait dĂ©couvrir tellement de belles Ɠuvres, mĂȘme si aucune ne valait les aventures du sorcier Ă  la cicatrice pour lui. Il pĂ©nĂ©tra donc dans la boutique avant de saluer Miss Pince. Celle-ci lui fit un signe de la main du fond de la bibliothĂšque avant de s’approcher de lui d’un air tout existĂ©.
 _ Leo ! Je suis ravie de te voir » S’exclama la libraire, se rattrapant de justesse Ă  son escarbot ayant perdue l’équilibre pendant quelques instants.
_ Vous allez vraiment finir par vous tuer un jour si vous continuez Ă  ĂȘtre aussi discrĂšte » Soupira le jeune homme en souriant lĂ©gĂšrement. Il Ă©tait habituĂ© aux frasques de la jeune femme. Elle Ă©tait trĂšs maladroite et avait une tendance Ă  chuter Ă  la moindre occasion. Leo ne comptait plus les fois oĂč il retrouva une montagne de livre Ă  terre avec juste une paire de lunettes Ă  la branche rafistoler au scotch Ă  cĂŽtĂ©. Inutile de prĂ©ciser oĂč se trouvait la propriĂ©taire des lieux en ces moments-lĂ .
_ Je sais je sais » RĂ©pondit Miss Pince, recolla le scotch qui s’enlevait de ses lunettes. « Mais je sais que mon sauveur viendra toujours me sauver donc je suis invisible ! » Rajouta t’elle en ricanant
_ Jusqu’aux jours oĂč je vais vous laissez lĂ  et partir ! » RĂ©pliqua Leo en affichant un petit air narquois que la jeune femme lui connaissait bien.
_ Tu es vraiment un sale gosse ! » Siffla Miss Pince en gonflant les joues avant de se rappeler la raison de son enthousiasme de base. « J’oubliais, tu te souviens que je me plaignais d’aller vider le grenier d’une tante Ă©loignĂ© le week-end dernier ? »
_ Hum, vaguement
 »
_ Et ben je n’y suis pas allĂ© pour rien, j’ai un truc pour toi ! » La jeune femme se dirigea vers le comptoir de son magasin avant d’y sortir une boĂźte toute poussiĂ©reuse en soufflant dessus envoyant les particules sur le visage de Leo qui lĂącha un Ă©ternuement.
_ Fait gaffe ! »
_ Ah pardon, mais tu vas sauter au plafond ! C’est un manuscrit que j’ai trouvĂ©, en bon Ă©tat en plus ! Et devine qui est l’auteur ?
_ Jane Austen ? Tu es fan, je ne vois qu’elle.
_ Faux ! » Coupa la libraire en ouvrant la boĂźte pour montrer le nom Ă©crit en manuscrit en bas de la boite. Le jeune homme pouvait clairement lire trois lettres s’apparentant Ă  ses initiales J.K.R. Le sang du jeune homme ne fit qu’un tour.
_ C’est ce que je pense ! » Demanda-t-il d’une petite voix.
_ Non, je ne pense pas que ce soit le manuscrit de l’école des sorciers, regarde le titre. »
_ "MĂ©faits accomplis", je pensais qu’elle n’avait jamais Ă©crit sur cette pĂ©riode de l’histoire ? »
_ AprĂšs c’est peut-ĂȘtre un faux, je pense que je vais l’authentifier, si ça se trouve ça vaut hyper cher !
_ C’est
 Incroyable
 est ce
 avant que tu l’envoies 
 Est-ce que je peux le lire ? Je t’en supplie, si je sais qu’il existe, je ne vais pas pouvoir attendre qu’il soit publiĂ© officiellement ! »
_ Ok, mais ici, je ne veux pas que ça sorte d’ici. Tu n’as qu’à te mettre dans le fond de la boutique, je vais faire du rangement dans les Ă©tagĂšres lĂ -bas de toute façon. »
_ Je ne sais pas comme te remercier. »
_ Ne l’abĂźme pas, ça sera dĂ©jĂ  bien ! »
_ Tu es folle ! Jamais de la vie, c’est un trĂ©sor ! »
 Suite Ă  ses mots le jeune homme s’installait par terre contre le mur en face de la derniĂšre Ă©tagĂšre de la boutique. Il pouvait vaguement entendre Miss Pince monter sur son Ă©chelle l’autre cĂŽtĂ© de celle-ci. Pourtant, ce n’était pas ce qu’il l’intĂ©ressait. Il commença Ă  toucher les premiĂšres pages minutieusement et de commencer Ă  lire. Les premiers mots Ă©taient assez bizarres pour un dĂ©but de roman, c’était comme si le livre lui parlais « Bonjour Ă  toi, je te donne l’occasion unique de rĂ©Ă©crire l’histoire et de sauver de nombreuses vies, il n’avait pas vraiment besoin de l’élue, juste de faire les bons choix. » AprĂšs avoir lu cette phrase Leo crut entendre un craquement sourd, puis sentit un coup dans sa nuque avant de se faire envahir une immense chaleur traverser son corps le plongeant dans un sommeil profond.
 Durant son sommeil, il avait l’impression de trouver dans une sorte de bulle, il voyait les Ă©vĂ©nements de sa vie passer devant ses yeux. Enfin pas tout Ă  fait, sa maison Ă©tait diffĂ©rente, plus piteuse, ses parents Ă©tait bizarre, ils avaient l’air
 plus proche et plus heureux Et son frĂšre jouait
 au Quidditch ? Il se voyait mĂȘme recevoir sa lettre, cette fameuse lettre qu’il avait attendu longtemps sans que jamais elle n’arrive. Les Ă©vĂ©nements continuaient Ă  dĂ©filer devant lui Ă  une vitesse folle, il y arriva quand mĂȘme Ă  y discerner quelques personnes, comme ses amis ou son petit frĂšre, mais dans les lieux inconnus. Jusqu’à ce que tout disparaissant laissant devant lui une lumiĂšre jaune, comme s’il y avait une luciole devant lui. Cette lumiĂšre se transforma en une silhouette de femme. On aurait dit que celle-ci tenait un animal dans ces bras et qu’elle souriait. Leo n’en Ă©tait pas sĂ»r. Cette forme prit ensuite la parole pour lui dire qu’une phrase : « Toi, mon hĂ©ritier. Je t’en prie retrouve les autres et arrĂȘte-le ! On peut Ă©viter ce futur bain de sang, tu dois l’arrĂȘter pour la fiertĂ© de notre maison ! » Suite Ă  ces mots, elle disparut avant que Leo ne puisse lui rĂ©pondre ou mĂȘme poser ne serait-ce qu’une question. Il se retrouva seul dans le noir Ă  marcher sans but pendant plusieurs minutes. Ce n’est que quand il entendit une voix familiĂšre qu’il vue au loin une porte se dessiner devant lui. La voix venait de lĂ .
 _ Leo ! LEO ! » C’était la voix de MarlĂšne, le jeune homme pouvait la reconnaĂźtre entre mille, il courut en sa direction avant de s’engouffrer dans la lumiĂšre se trouvant derriĂšre la porte. Il rouvrit ensuite ses yeux, comme s’il venait de se rĂ©veiller d’un mauvais rĂȘve. Il avait les lĂšvres et les paupiĂšres qui collaient. Il se redressa lĂ©gĂšrement, passant sa main dans ses cheveux blonds. « Ah ben enfin, j’ai cru que tu n’allais jamais te rĂ©veiller ! »
_ LĂąche moi MarlĂšne, tu ne voyais que je dor
 » Leo se coupa nette, se rendant compte qu’il ne se trouvait pas dans un endroit familier, il Ă©tait
 dans un compartiment de train. Il fixa quelques secondes MarlĂšne, puis remarque aussi la prĂ©sence de ses autres camarades, Alice et Edgar. Leonard Ă©tait Ă  la fois soulagĂ© de voir des visages familiers, mais en mĂȘme temps terrifiĂ©. Il ne savait pas ce qu’il se passait, est ce qu’il Ă©tait encore en train de rĂȘver. « On est oĂč ? »
_ Tu as pris un coup sur la tĂȘte ou quoi Leo, On est dans le Poudlard Express ! » RĂ©pondit Edgar en dĂ©visageant son ami qui ne semblait pas dans son Ă©tat normal.
_ Depuis quand tu connais Poudlard, toi ? » RĂ©pondit directement Leo, se disant la seconde plus tard que ce n’était pas forcement la question la plus utile Ă  poser.
_ Ben, ce serait dommage qu’il ne sache pas oĂč on a fait nos cinq derniĂšres annĂ©es d’étude non ? » Rajouta Alice en ricanant un peu « AprĂšs c’est vrai, Edgar a tendance Ă  tout oublier, au fait, tu as gardĂ© ton rappel-tout avec toi ? »
_ TrÚs drÎle Alice, je suis mort de rire ! » Grommela Edgar en croisant les bras pour bouder.
_ Tu es sûr que ça va ? » Demanda MarlÚne en regardant Leo.
_ Euh
 je ne sais pas
 » Leo avait du mal Ă  se concentrer, il pensait rĂȘver, comment lui et ses amis pouvaient ĂȘtre en route pour Poudlard, c’était impossible. Il avait dĂ» s’endormis en lisant le manuscrit et c’est pour ça qu’il rĂȘvait de ça. AprĂšs quelques secondes de rĂ©flexion, il dĂ©cida de se prendre au jeu. Il Ă©tait dans un rĂȘve aprĂšs tout. « Ça va ! J’ai juste fait un rĂȘve bizarre ! »
_ Ah tant mieux, je devais aller rejoindre Sirius Ă  notre arrivĂ©e, je ne voulais pas devoir m’inquiĂ©ter pour toi alors que je suis avec mon copain. »
_Sirius ? Demanda le jeune homme se demandant si c’était celui qu’elle pensait. »
_ Ben Sirius Black ! Quelle question ! Ton cauchemar t’a vraiment retournĂ© le cerveau, Eddy devrait te filer son rappel tout !
_ Hey ! ArrĂȘtez de vous moquer de moi ! » Grommela Ă  nouveau Edgar sortant l’objet en question en soupirant.
_ Bon on devrait mettre nos robes, on ne va pas tarder Ă  arriver ! » Coupa Alice regardant ses camarades d’un air un peu sĂ©vĂšre qu’à son habitude.
_ Ok, ok Miss PrĂ©fĂšte » S’exclama MarlĂšne en tirant la langue. « Ton nouveau titre te monte Ă  la tĂȘte, d’un cĂŽtĂ© tout te rĂ©ussit, l’annĂ©e derniĂšre, tu deviens la chef de notre Ă©quipe de Quidditch, maintenant PrĂ©fĂšte. Avant la fin de l’annĂ©e tu remplaceras Dumbledore, c’est moi qui vous le dis ! »
_ Tu serais peut-ĂȘtre Ă  ma place si tu arrĂȘtais de batifoler avec ce chien errant qu’est Black ! » RĂ©pliqua Alice, un peu agacĂ©.
_ Et toi tu serais beaucoup moins coincé si tu te trouvais un mec, vraiment à ce rythme tu vas devenir une nonne ! » Railla MarlÚne.
 La dispute entre les deux amis fut coupĂ©e par le sifflement aigĂŒe de la locomotive. Celle-ci Ă©tait enfin arrivĂ©e Ă  PrĂ©-au-lard. Leo se contenta de prendre ses affaires, enfin, il supposait et se suivre ses amis en dehors du train. Il se mit Ă  regarder tout autour de lui, tout Ă©tait comme il l’avait imaginĂ©, il Ă©tait Ă©merveillĂ© par toutes les lumiĂšres qui Ă©tait autour de lui, c’était de la magie
 de la vraie. Leo remarqua Ă©galement une grande silhouette imposante qui Ă©tait en train d’accueillir ce qu’il supposait ĂȘtre les premiĂšres annĂ©es. Il y Ă©tait, il Ă©tait Ă  Poudlard ! Il ne voulait pas se rĂ©veiller de ce qui Ă©tait toujours selon lui un rĂȘve.
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kalipso-bd · 4 years ago
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DÉBUT - PRÉCÉDENT - SUIVANT
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Kalipso est une webcomic de science-fiction et de fantastique qui est mise Ă  jour Ă  chaque semaine.
ENGLISH VERSION // LIRE SUR PATREON // NEWSLETTER // BLOG D’ARTISTE DE MARIE
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edlim-sims · 3 years ago
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À force de s'occuper des enfants, Derek passe au niveau 3 de son aspiration.
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Juste Ă  temps pour l'anniversaire de bĂ©bĂ© Éloi.
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Ainsi, il y a un nouveau bambin dans la famille, un pot de colle cette fois!
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Zacharie et Éloi se disputent souvent, mais leurs chicanes ne durent jamais longtemps.
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Que c'est beau l'amour entre frĂšres! En plus, on dirait des jumeaux.
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mortamon-saturn · 4 years ago
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Sortie de la version originale du Chapitre 1 de L’Aventure de Marty
L’Aventure de Marty a deux ans ! Pour cĂ©lĂ©brer ça, sa version originale (avec quelques retouches) va sortir pour la premiĂšre fois sur le Net ! Voici dĂ©jĂ  l’annonce au sujet du premier chapitre ainsi qu’un extrait temporaire !
Ça faisait longtemps que vous n’aviez pas entendu parler de L’Aventure de Marty, pas vrai ? Si je fais cet article en ce jour du second anniversaire de cet univers, ce n’est malheureusement pas pour vous annoncer la sortie du quatriĂšme chapitre, mais d’autre chose ! Comme je l’avais mentionnĂ© plusieurs fois, L’Aventure de Martyexistait autrefois au format papier, et j’ai dĂ©cidĂ© de faire renaĂźtre

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aiwon-manga · 5 years ago
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mavieerotique · 5 years ago
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Avant tout, sachez que je suis une nana ordinaire. Ouais, une petite nana de 24 ans, qui met des imperméables jaunes et des bottines noires ordinaires. Mon petit ami et moi, on est ensemble depuis 4 ans, comme un couple ordinaire. Je prends le métro pour aller bosser. Ma vie est d'une simplicité folle.
Tout ça pour contextualiser.
J'avais vu ce truc sur internet, ça m'intéressait. Bah, c'est un bien petit mot, de quoi je me cache ? J'étais obsédée par l'idée.
Le fisting.
Alors, oui, ça peut avoir l'air violent, voire dĂ©gueulasse comme ça. Moi-mĂȘme, je me disais que les gens qui pratiquaient la chose Ă©taient de grands malades. Puis l'idĂ©e a germĂ© dans ma tĂȘte. Et si j'essayais, une fois ? Je veux dire, on n’est pas obligĂ© d'en faire un mode de vie, non ?
Les sites porno Ă©taient vraiment crus sur le sujet, donc peu satisfaisants. Les rĂ©cits que je lisais, tous les mĂȘmes. Un mec bourru et une petite meuf, ou deux meufs en quĂȘte de douleur.
Pas moi du tout.
C'est peut-ĂȘtre pour ça que je ne voulais pas passer Ă  l'acte avec mon mec d'ailleurs. Ses mains Ă©taient trop grandes. Trop cagneuses. Des mains d'homme, quoi.
Bon.
Je crevais d'envie d'avoir toute une main dans mon vagin, jusqu'au fond de moi. Pas pour le cÎté sado-maso un peu douteux. Non, d'une façon vraiment douce et simplement excitée. Un truc sulfureux, passionné.
J'y pensais au boulot, je zieutais les mains de mes collÚgues, juste comme ça. La chasse quoi.
J'ai donc fini par poster une annonce sur le net. Oui, Ă  l'insu de mon mec.
Je recherchais une femme pour passer Ă  l'acte.
La grande angoissée que je suis n'a pas eu le temps de réfléchir.
Une rĂ©ponse est arrivĂ©e dans mes mails le jour-mĂȘme.
Quelqu'un acceptait.
Quelqu’une Ă©tait aussi excitĂ©e que moi Ă  l'idĂ©e et cherchait dĂ©sespĂ©rĂ©ment son autre moitiĂ© Ă  complĂ©ter.
On n'a ni échangé nos noms, ni nos photos. On s'est simplement donné rendez-vous dans un parc du coin.
J'y suis allĂ©e, vĂȘtue d'un long imper. Il pleuvait un peu, j'avais froid. Je n'avais pas mis de vĂȘtements spĂ©cialement sexy. Une culotte lĂ©gĂšre, de quoi me dĂ©vĂȘtir facilement. Ce n'Ă©tait pas trĂšs calculĂ©.
Je l'ai vue, on s'est regardĂ©es, vaguement. Les gouttes d'eau nous empĂȘchaient de bien discerner le visage de l'autre.
Je me suis glissĂ©e sur la banquette arriĂšre de sa voiture, avec elle. La pluie s'Ă©tait mise Ă  ruisseler sur les fenĂȘtres. Il y avait quelques arbres dehors, quelques passants aussi. Je ne sais pas si on voyait vraiment Ă  travers les vitres.
Je me suis allongée, et tout naturellement, j'ai retiré ma culotte. J'en avais tant envie. Pour une fois, je ne pensais qu'à moi.
J'ai Ă©cartĂ© les jambes, dans l'attente. Ces secondes Ă©taient longues, peut-ĂȘtre mĂȘme plus longues que les jours passĂ©s Ă  trouver la bonne personne. J'en avais des crampes.
Elle m'a touchée le clitoris du bout du doigt, comme si elle me connaissait déjà, et ça a été comme une décharge. Enfin.
Une fois que j'étais mouillée, elle a inséré ses doigts, un par un. Autour de nous, l'air s'était réchauffé. Ses doigts, ses mains étaient douces.
Puis, elle a commencé à pousser la paume de sa main. La pression était incroyable, j'ai atteint l'orgasme presque instantanément. J'avais le sentiment d'avoir été conçue pour la recevoir.
Avec beaucoup de patience, elle a enfin réussit à glisser sa main entiÚre à l'intérieur. J'étais remplie.
Elle a fait quelques va-et-viens rapides dans ma chatte.
J'ai joui Ă  trois reprises.
Je suis sortie de sa voiture et nous nous sommes quittées.
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terminuscomics · 5 years ago
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