#Chants de l’Âme
Explore tagged Tumblr posts
moncoeurestatoimonamour · 4 days ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Le Vercors, massif montagnard situé au cœur des Alpes françaises, est un lieu où la nature s’exprime dans toute sa splendeur. Ses paysages majestueux, sculptés par des siècles de géologie, offrent une palette de panoramas variés, allant des crêtes escarpées aux vallées verdoyantes. L’air y est pur, porté par la fraîcheur des montagnes, tandis que le silence paisible est parfois seulement brisé par le chant des oiseaux ou le bourdonnement d’un papillon en vol. Au printemps, les fleurs sauvages éclosent en une explosion de couleurs. Des champs de fleurs blanches et jaunes côtoient des touffes de lavande et de coquelicots, tandis que les gentianes et les anémones ajoutent une touche de bleu et de violet aux prairies. Les papillons, tels des touches de lumière, virevoltent d’une fleur à l’autre, leurs ailes fragiles et délicates capturant les rayons du soleil. Les montagnes du Vercors sont un véritable refuge pour une faune et une flore exceptionnelles. Le marmot, discret et curieux, s’aventure parfois hors de son terrier pour profiter des rayons du soleil. Les chamois, quant à eux, gravissent les pentes abruptes avec une agilité impressionnante. Plus haut, les alpages offrent un panorama à couper le souffle sur les vallées environnantes, tandis que les forêts de sapins et de mélèzes, denses et ombragées, apportent une sérénité incomparable. Les sentiers du Vercors invitent les randonneurs à s’aventurer au cœur de cette nature sauvage. Chaque montée, chaque détour, offre une nouvelle perspective sur un paysage toujours changeant, une palette de verts, de bleus et de blancs, où le calme de la montagne semble englober l’âme. Ce massif, à la fois rude et apaisant, représente un lieu où l’harmonie entre l’homme et la nature se fait naturellement, loin de l’agitation du monde moderne.
Vercors / France 🇫🇷
PhoTo ©️LM
20 notes · View notes
lisaalmeida · 10 months ago
Text
Prendre le temps d'aimer....
"La plupart des gens vivent aujourd’hui dans un rythme effréné, sollicités qu’ils sont par ce qu’ils ont eux-mêmes mis en place !
Il ne faut manquer de rien et surtout rien manquer !
Il faut faire au moins autant que le voisin,
le mieux étant tout de même d’en faire plus …
Il faut obtenir les meilleurs résultats,
Être le plus compétitif en affaires,
Le mieux placé, le plus riche, le plus grand, le plus fort, le plus…… et encore plus….
au point que ces gens-là n’ont plus le temps d’aimer.
Plus le temps d’aimer autre chose que leur course folle et les résultats obtenus ou visés !
Or, aujourd’hui justement, ce qui manque le plus à la société, c’est de prendre le temps d’aimer !
-Prendre le temps d’aimer qui nous sommes, ce que nous faisons,
ce que nous voyons,
ce qui nous entoure, nos proches, nos voisins. -Prendre le temps d’aimer être en compagnie des autres,
-prendre le temps d’apprécier ce qui nous est confié !
-Prendre le temps de dire à ceux que nous aimons que nous les aimons,
-prendre le temps de s’arrêter quelques minutes pour savourer la vie, célébrer un lever de soleil, un vol d’oiseau, écouter avec ravissement le chant d’un oiseau,
le murmure de l’eau.
-Prendre le temps de s’émerveiller de l’envol des feuilles colorées en automne, ou de la vie qui s’éveille au printemps…
-Juste prendre le temps d’aimer ce qui est
et de sentir ce que cela procure au fond du coeur et de l’âme !..."
Tumblr media
29 notes · View notes
passiondelaine · 5 months ago
Text
Tumblr media
Elle se drape d’un voile, doux comme un murmure, De mohair délicat, aux reflets d'aventure. Chaque fibre enlace sa peau avec tendresse, Épousant ses gestes d'une infinie finesse.
Dans la lumière douce, elle danse, légère, Portant l’éclat du ciel dans son pull de mohair. Les fils soyeux glissent, effleurant sa peau, Comme des secrets chuchotés sous l’azur d’un tableau.
Ses doigts effleurent la laine comme une caresse, Elle y trouve chaleur, douceur, et allégresse. Le mohair est son écharpe, son cocon douillet, Un refuge où l’âme se perd, émerveillée.
Chaque couleur qu’elle choisit, c’est une mélodie, Un chant tissé d’amour, de rêve, de poésie. Elle aime ce textile, sauvage et raffiné, Comme une promesse de douceur infinie.
Elle marche dans le vent, et le mohair s’élève, Un souffle de nuage qui doucement la rêve. Ses pas résonnent doux, comme sur un tapis d'air, La femme au mohair, libre et solitaire.
7 notes · View notes
praline1968 · 1 year ago
Text
Et maintenant …
Tout n’est plus que jardins désertés par la lune,
Les fleurs que tu aimais sont mortes une à une.

Le ciel est sans espoir les anges l'ont quitté,
Les cygnes ont fui cet étang d’antiquité.

Qu’il est désespéré ce grand bras qui s’étire,
Arbre qui mille oiseaux aux grands chants plus n’attire.

Et toi nocturne ami étrange visiteur,
Messager d’au-delà noir annonciateur.

Tu t’es perdu noyé dans les bruits de la ville,
O silence de l’âme ô musique immobile.

Et peu à peu les frais brouillards se sont levés,
En laissant éplorés les pays délavés.

Et la nuit est partie par une grille ouverte,
La nuit panthère noire aux yeux de lune verte.

Arbre désert sans cris jardin de bas-côté,
S’est défleuri tout ce qui fut de sa beauté.
Poème d’Avraham
Source : site La Passion des Poèmes
Tumblr media
28 notes · View notes
petit-atelier-de-poesie · 10 months ago
Text
Comment la poésie est-elle devenue un nid ? 
Moi qui vivais dans la cage de la solitude, je cherchais les mots au dedans et au dehors. Je découpais des nuits et des journaux. D’années en années, je m’animais au printemps et chaque saison avait son ardeur propre, l’été surtout. Vacances de l’esprit. Repos de l’âme. Je m’étendais à l’ombre de mon ombre pour mieux m’élever. Je regardais mes pieds et ma démarche de poète, de ma hauteur et parfois en clignant des yeux. Alors oui, parfois aussi je perdais l’équilibre et mon temps. J’ai même perdu mes illusions et quelques plumes. Prises de bec. Je m’en balançais, je m’accrochais. Drôle d’oiseau. Un genre de sphynx ou de phœnix. Question de point de vue. Point final. 
Un soir j’ai reçu un coup au cœur. Lui aussi c’était un drôle de coco. Confidence pour confidence, de toi à moi, et de moi à lui, j’en oubliais momentanément le début de l’automne pour entonner mon chant et me découvrir sauvage. J’avais des ailes et le temps y était suspendu. Je susurrais tout d’abord avant de tout livrer. Oui un livre. Et c’était un livre ouvert, à cœur ouvert. Point de suture en poésie. Tout y était consigné et moi j’étais dedans, mot pour mot. En perspective. Un peu comme un journal ou un nid, ni dehors, ni dedans. Puis il s’est envolé, avec tout le reste. 
Moi qui vivais dans la cage de la solitude, j’y retournais alors pour maintenir le dialogue avec le silence. 
/ Fabienne PASSAMENT. 2024 Atelier d'écriture d'après Olivia TAPIERO
Tumblr media
17 notes · View notes
papillondusublime · 4 months ago
Text
Tumblr media
Les choses qui chantent dans la tête Alors que la mémoire est absente, Ecoutez, c’est notre sang qui chante… O musique lointaine et discrète ! Ecoutez ! c’est notre sang qui pleure Alors que notre âme s’est enfuie, D’une voix jusqu’alors inouïe Et qui va se taire tout à l’heure. Frère du sang de la vigne rose, Frère du vin de la veine noire, O vin, ô sang, c’est l’apothéose ! Chantez, pleurez ! Chassez la mémoire Et chassez l’âme, et jusqu’aux ténèbres Magnétisez nos pauvres vertèbres. -"Vendanges", Paul Verlaine
3 notes · View notes
satinea · 2 years ago
Text
Tumblr media
Dans la forêt
Qu’il est joyeux aujourd’hui
Le chêne aux rameaux sans nombre,
Mystérieux point d’appui
De toute la forêt sombre !
Comme quand nous triomphons,
Il frémit, l’arbre civique ;
Il répand à plis profonds
Sa grande ombre magnifique.
D’où lui vient cette gaieté ?
D’où vient qu’il vibre et se dresse,
Et semble faire à l’été
Une plus fière caresse ?
C’est le quatorze juillet.
À pareil jour, sur la terre
La liberté s’éveillait
Et riait dans le tonnerre.
Peuple, à pareil jour râlait
Le passé, ce noir pirate ;
Paris prenait au collet
La Bastille scélérate.
À pareil jour, un décret
Chassait la nuit de la France,
Et l’infini s’éclairait
Du côté de l’espérance.
Tous les ans, à pareil jour,
Le chêne au Dieu qui nous crée
Envoie un frisson d’amour,
Et rit à l’aube sacrée.
Il se souvient, tout joyeux,
Comme on lui prenait ses branches !
L’âme humaine dans les cieux,
Fière, ouvrait ses ailes blanches.
Car le vieux chêne est gaulois :
Il hait la nuit et le cloître ;
Il ne sait pas d’autres lois
Que d’être grand et de croître.
Il est grec, il est romain ;
Sa cime monte, âpre et noire,
Au-dessus du genre humain
Dans une lueur de gloire.
Sa feuille, chère aux soldats,
Va, sans peur et sans reproche,
Du front d’Epaminondas
À l’uniforme de Hoche.
Il est le vieillard des bois ;
Il a, richesse de l’âge,
Dans sa racine Autrefois,
Et Demain dans son feuillage.
Les rayons, les vents, les eaux,
Tremblent dans toutes ses fibres ;
Comme il a besoin d’oiseaux,
Il aime les peuples libres.
C’est son jour. Il est content.
C’est l’immense anniversaire.
Paris était haletant.
La lumière était sincère.
Au loin roulait le tambour… -
Jour béni ? jour populaire,
Où l’on vit un chant d’amour
Sortir d’un cri de colère !
Il tressaille, aux vents bercé,
Colosse où dans l’ombre austère
L’avenir et le passé
Mêlent leur double mystère.
Les éclipses, s’il en est,
Ce vieux naïf les ignore.
Il sait que tout ce qui naît,
L’œuf muet, le vent sonore,
Le nid rempli de bonheur,
La fleur sortant des décombres,
Est la parole d’honneur
Que Dieu donne aux vivants sombres.
Il sait, calme et souriant,
Sérénité formidable !
Qu’un peuple est un orient,
Et que l’astre est imperdable.
Il me salue en passant,
L’arbre auguste et centenaire ;
Et dans le bois innocent
Qui chante et que je vénère,
Étalant mille couleurs,
Autour du chêne superbe
Toutes les petites fleurs
Font leur toilette dans l’herbe.
L’aurore aux pavots dormants
Verse sa coupe enchantée ;
Le lys met ses diamants ;
La rose est décolletée.
Aux chenilles de velours
Le jasmin tend ses aiguières ;
L’arum conte ses amours,
Et la garance ses guerres.
Le moineau-franc, gai, taquin,
Dans le houx qui se pavoise,
D’un refrain républicain
Orne sa chanson grivoise.
L’ajonc rit près du chemin ;
Tous les buissons des ravines
Ont leur bouquet à la main ;
L’air est plein de voix divines.
Et ce doux monde charmant,
Heureux sous le ciel prospère,
Épanoui, dit gaiement :
C’est la fête du grand-père.
***
« Célébration du 14 juillet dans la forêt ».
Victor Hugo, le poète en exil, commémore seul le jour où “la liberté s’éveillait”,, les vers sont rédigés en 1859.
Claude Monet - Forêt de Fontainebleau
34 notes · View notes
dre-amin-g · 8 months ago
Text
Tumblr media
[Un soir que je regardais le ciel – Victor Hugo]
Ce poème d’amour, écrit par Victor Hugo, est un magnifique hommage à la grandeur de l’amour et de la nature. L’auteur compare les sentiments amoureux à l’immensité du ciel étoilé, offrant une vision romantique et poétique de l’amour.
_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_
Elle me dit, un soir, en souriant :
– Ami, pourquoi contemplez-vous sans cesse
Le jour qui fuit, ou l’ombre qui s’abaisse,
Ou l’astre d’or qui monte à l’orient ?
Que font vos yeux là-haut ? je les réclame.
Quittez le ciel; regardez dans mon âme !
Dans ce ciel vaste, ombre où vous vous plaisez,
Où vos regards démesurés vont lire,
Qu’apprendrez-vous qui vaille mon sourire ?
Qu’apprendras-tu qui vaille nos baisers ?
Oh! de mon cœur lève les chastes voiles.
Si tu savais comme il est plein d’étoiles !
Que de soleils ! vois-tu, quand nous aimons,
Tout est en nous un radieux spectacle.
Le dévouement, rayonnant sur l’obstacle,
Vaut bien Vénus qui brille sur les monts.
Le vaste azur n’est rien, je te l’atteste ;
Le ciel que j’ai dans l’âme est plus céleste !
C’est beau de voir un astre s’allumer.
Le monde est plein de merveilleuses choses.
Douce est l’aurore et douces sont les roses.
Rien n’est si doux que le charme d’aimer !
La clarté vraie et la meilleure flamme,
C’est le rayon qui va de l’âme à l’âme !
L’amour vaut mieux, au fond des antres frais,
Que ces soleils qu’on ignore et qu’on nomme.
Dieu mit, sachant ce qui convient à l’homme,
Le ciel bien loin et la femme tout près.
Il dit à ceux qui scrutent l’azur sombre :
« Vivez ! aimez ! le reste, c’est mon ombre ! »
Aimons ! c’est tout. Et Dieu le veut ainsi.
Laisse ton ciel que de froids rayons dorent !
Tu trouveras, dans deux yeux qui t’adorent,
Plus de beauté, plus de lumière aussi !
Aimer, c’est voir, sentir, rêver, comprendre.
L’esprit plus grand s’ajoute au cœur plus tendre.
Viens, bien-aimé ! n’entends-tu pas toujours
Dans nos transports une harmonie étrange ?
Autour de nous la nature se change
En une lyre et chante nos amours.
Viens ! aimons-nous ! errons sur la pelouse
Ne songe plus au ciel ! j’en suis jalouse ! –
Ma bien-aimée ainsi tout bas parlait,
Avec son front posé sur sa main blanche,
Et l’oeil rêveur d’un ange qui se penche,
Et sa voix grave, et cet air qui me plaît ;
Belle et tranquille, et de me voir charmée,
Ainsi tout bas parlait ma bien-aimée.
Nos coeurs battaient ; l’extase m’étouffait ;
Les fleurs du soir entr’ouvraient leurs corolles …
Qu’avez-vous fait, arbres, de nos paroles ?
De nos soupirs, rochers, qu’avez-vous fait ?
C’est un destin bien triste que le nôtre,
Puisqu’un tel jour s’envole comme un autre !
O souvenirs ! trésor dans l’ombre accru !
Sombre horizon des anciennes pensées !
Chère lueur des choses éclipsées !
Rayonnement du passé disparu !
Comme du seuil et du dehors d’un temple,
L’œil de l’esprit en rêvant vous contemple !
Quand les beaux jours font place aux jours amers,
De tout bonheur il faut quitter l’idée ;
Quand l’espérance est tout à fait vidée,
Laissons tomber la coupe au fond des mers.
L’oubli ! l’oubli ! c’est l’onde où tout se noie ;
C’est la mer sombre où l’on jette sa joie.
3 notes · View notes
succoflood · 10 months ago
Text
Titre non sauvegardé : aucun caractère autorisé.
C’est un mot. C’est une sensation. C’est un mot hors du langage, c’est une sensation hors du temps. Une sensation qui s’exprime dans un inconscient, un conscient muet. Un conscient sans corde vocale. Une sensation qui s’imprime sur la rétine, une sensation qui s’imprime dans le cerveau. Une sensation qui s’imprime dans l’âme. Mais il n’y a pas de mot. Mettre des mots dessus est trop complexe. C’est une sensation d’un futur. Une sensation d’un passé. Une sensation d’un présent. Un présent bien trop présent qui plaque notre âme au fond de notre corps. Un présent qui s’absente, un présent qui nous dépasse. Un présent qui oriente, et pourtant qui nous lasse. Un présent qui nous chante « l’aventure est proche », et pourtant l’aventure fait de nos tripes une mélasse.
C’est une image imprimée dans la tête. C’est une peinture que l’on n’explique pas. C’est un amas de couleurs qui se parlent entre elles. C’est un voile qui berce mon cœur. C’est un voile qui aveugle mon cœur. Une histoire sans mot. Une histoire qui n'est que sensations. Une histoire qui n'exprime que des sentiments.
C'est une impression. Une impression que quelque chose attend dans le futur. Une impression qu'il y a quelque chose à faire. Une impression qu'il faut faire quelque chose. Une impression que le monde est distordu. Une impression que tenter de mettre des mots sur cette impression n'est qu'inutile. Une impression qu'on ne peut pas mettre de mot sur ce sentiment. C'est un sentiment qui dit que bientôt ... Bientôt.
Un sentiment qui dicte une pulsion. Une pulsion de vie. Une pulsion d'art. Une pulsion de création. Une impression d'avoir besoin de créer pour vivre. La survie c'est la création.
Une sensation que le bon mot se trouve dans l'art. Que le bon mot est une image. Que ce sentiment est une image. Que le mot pour parler de cette image est une image.
Comment décrire ce sentiment qui est une impression qui est floue, inexplicable. Un besoin qui vient des tripes. Un besoin qui se traduit dans l'art. Un besoin obscure que seul mon imaginaire comprend. Mais que mon imaginaire n'explique pas.
2 notes · View notes
lisaalmeida · 2 years ago
Text
Prendre le temps d'aimer....
"La plupart des gens vivent aujourd’hui dans un rythme effréné, sollicités qu’ils sont par ce qu’ils ont eux-mêmes mis en place !
Il ne faut manquer de rien et surtout rien manquer !
Il faut faire au moins autant que le voisin,
le mieux étant tout de même d’en faire plus …
Il faut obtenir les meilleurs résultats,
Être le plus compétitif en affaires,
Le mieux placé, le plus riche, le plus grand, le plus fort, le plus…… et encore plus….
au point que ces gens-là n’ont plus le temps d’aimer.
Plus le temps d’aimer autre chose que leur course folle et les résultats obtenus ou visés !
Or, aujourd’hui justement, ce qui manque le plus à la société, c’est de prendre le temps d’aimer !
-Prendre le temps d’aimer qui nous sommes, ce que nous faisons,
ce que nous voyons,
ce qui nous entoure, nos proches, nos voisins. -Prendre le temps d’aimer être en compagnie des autres,
-prendre le temps d’apprécier ce qui nous est confié !
-Prendre le temps de dire à ceux que nous aimons que nous les aimons,
-prendre le temps de s’arrêter quelques minutes pour savourer la vie, célébrer un lever de soleil, un vol d’oiseau, écouter avec ravissement le chant d’un oiseau,
le murmure de l’eau.
-Prendre le temps de s’émerveiller de l’envol des feuilles colorées en automne, ou de la vie qui s’éveille au printemps…
-Juste prendre le temps d’aimer ce qui est
et de sentir ce que cela procure au fond du coeur et de l’âme !..."
Tumblr media
15 notes · View notes
plumedepoete · 2 years ago
Text
Renouveau est en fête - Colette Guinard
Tumblr media
Renouveau est en fête Le printemps en gaîté vient renaître Sur le paysage environnant et champêtre Où, le coq avec son cocorico à répétition A réveillé les habitants des maisons. Ce chant résonne avec entrain dans ma tête Alors , sans tambour ni trompette Après un bon bain, rentrer en action je m’empresse Pour emprunter les chemins de traverse. Parcourir ces derniers l’âme totalement libérée De mes soucis où le cœur en fête je jouis de plaisir Respirant le parfum des fleurs, l’air pur avec le sourire Dont l’empreinte de mes pas restera animée. Dans les arbres, paillent en faisant leurs nids, les oiseaux Printemps, j’adore ton vent doux caressant ma peau Quand , dans mon jardin frissonnent les roses et le jasmin Cette saison est pour moi la plus belle, elle embellit mon destin. Texte de Colette Guinard Read the full article
2 notes · View notes
isleinnisfree · 1 day ago
Text
海滨墓园 | Le Cimetière marin
保尔·瓦雷里 Paul Valéry 卞之琳 译
这片平静的房顶上有白鸽荡漾。 它透过松林和坟丛,悸动而闪亮。 公正的“中午”在那里用火焰织成 大海,大海啊永远在重新开始! 多好的酬劳啊.经过了一番深思, 终得以放眼远眺神明的宁静!
Ce toit tranquille, où marchent des colombes, Entre les pins palpite, entre les tombes ; Midi le juste y compose de feux La mer, la mer, toujours recommencée ! O récompense après une pensée Qu’un long regard sur le calme des dieux !
微沫形成的钻石多到无数, 消耗着精细的闪电多深的功夫, 多深的安静俨然在交融创造! 太阳休息在万丈深渊的上空, 为一种永恒事业的纯粹劳动, “时光”在闪烁,“梦想”就在悟道。
Quel pur travail de fins éclairs consume Maint diamant d’imperceptible écume, Et quelle paix semble se concevoir! Quand sur l’abîme un soleil se repose, Ouvrages purs d’une éternelle cause, Le temps scintille et le songe est savoir.
稳定的宝库,单纯的米奈芙神殿, 安静像山积,矜持为目所能见, 目空一切的海水啊,穿水的“眼睛” 守望着多沉的安眠在火幕底下, 我的沉默啊!……灵魂深处的大厦, 却只见万瓦镶成的金顶,房顶!
Stable trésor, temple simple à Minerve, Masse de calme, et visible réserve, Eau sourcilleuse, Oeil qui gardes en toi Tant de sommeil sous une voile de flamme, O mon silence! . . . Édifice dans l’âme, Mais comble d’or aux mille tuiles, Toit !
“时间”的神殿,总括为一声长叹, 我攀登,我适应这个纯粹的顶点, 环顾大海,不出我视野的边际, 作为我对神祗的最高的献供, 茫茫里宁穆的闪光,直向高空, 播送出一瞥凌驾乾坤的藐视。
Temple du Temps, qu’un seul soupir résume, À ce point pur je monte et m’accoutume, Tout entouré de mon regard marin ; Et comme aux dieux mon offrande suprême, La scintillation sereine sème Sur l’altitude un dédain souverain.
正像果实融化而成了快慰, 正像它把消失换成了甘美 就凭它在一张嘴里的形体消亡, 我在此吸吮着我的未来的烟云, 而青天对我枯了形容的灵魂 歌唱着有形的涯岸变成了繁响。
Comme le fruit se fond en jouissance, Comme en délice il change son absence Dans une bouche où sa forme se meurt, Je hume ici ma future fumée, Et le ciel chante à l’âme consumée Le changement des rives en rumeur.
美的天,真的天,看我多么会变! 经过了多大的倨傲,经过了多少年 离奇的闲散,尽管是精力充沛, 我竟然委身于这片光华的寥阔; 死者的住处上我的���灵掠过, 驱使我随它的轻步,而踯躅,徘徊。
Beau ciel, vrai ciel, regarde-moi qui change ! Après tant d’orgueil, après tant d’étrange Oisiveté, mais pleine de pouvoir, Je m’abandonne à ce brillant espace, Sur les maisons des morts mon ombre passe Qui m’apprivoise à son frêle mouvoir.
整个的灵魂暴露给夏至的火把, 我敢正视你,惊人的一片光华 放出的公正,不怕你无情的利箭! 我把称干干净净归还到原位, 你来自鉴吧!……而这样送回光挥, 也就将玄秘招回了幽深的一半。
L’âme exposée aux torches du solstice, Je te soutiens, admirable justice De la lumière aux armes sans pitié! Je te tends pure à ta place première : Regarde-toi! . . . Mais rendre la lumière Suppose d’ombre une morne moitié.
啊,为了我自己,为我所独有, 靠近我的心,象近诗情的源头, 介乎空无所有和纯粹的行动, 我等待回声,来由内在的宏丽, (苦涩、阴沉而又嘹亮的水池,) 震响灵魂里永远是未来的空洞。
O pour moi seul, à moi seul, en moi-même, Auprès d’un coeur, aux sources du poème, Entre le vide et l’événement pur, J’attends l’écho de ma grandeur interne, Amère, sombre, et sonore citerne, Sonnant dans l’âme un creux toujours futur !
知道吗,你这个为枝叶虚捕的海湾, 实际上吞噬着这些细瘦的铁栅, 任我闭眼也感到奥秘刺目, 是什么躯体拉我看懒散的收场, 是什么头脑引我访埋骨的地方? 一星光在那里想我不在的亲故。
Sais-tu, fausse captive des feuillages, Golfe mangeur de ces maigres grillages, Sur mes yeux clos, secrets éblouissants, Quel corps me traîne à sa fin paresseuse, Quel front l’attire à cette terre osseuse ? Une étincelle y pense à mes absents.
充满了无形的火焰,紧闭,圣洁, 这是献给光明的一片土地, 高架起一柱柱火炬,我喜欢这地点, 这里是金石交织,树影憧憧, 多少块大理石颤抖在多少个阴魂上; 忠实的大海倚我的坟丛而安眠。
Fermé, sacré, plein d’un feu sans matière, Fragment terrestre offert à la lumière, Ce lieu me plaît, dominé de flambeaux, Composé d’or, de pierre et d’arbres sombres, Où tant de marbre est tremblant sur tant d’ombres ; La mer fidèle y dort sur mes tombeaux !
出色的忠犬,把偶像崇拜者赶跑! 让我,孤独者,带着牧羊人笑貌, 悠然在这里放牧神秘的绵羊—— 我这些宁静的坟墓,白碑如林, 赶走那些小心翼翼的鸽群. 那些好奇的天使、空浮的梦想!
Chienne splendide, écarte l’idolâtre ! Quand solitaire au sourire de pâtre, Je pais longtemps, moutons mystérieux, Le blanc troupeau de mes tranquilles tombes, Éloignes-en les prudentes colombes, Les songes vains, les anges curieux !
人来了,未来却是充满了懒意, 干脆的蝉声擦刮着干燥的土地, 一切都烧了,毁了,化为灰烬, 转化为什么祥一种纯粹的精华…… 为烟消云散所陶醉,生命无涯, 苦味变成了甜味,神志清明。
Ici venu, l’avenir est paresse. L’insecte net gratte la sécheresse ; Tout est brûlé, défait, reçu dans l’air A je ne sais quelle sévère essence … La vie est vaste, étant ivre d’absence, Et l’amertume est douce, et l’esprit clair.
死者埋藏在坟茔里安然休息, 受土地重温,烤干了身上的神秘。 高处的“正午”,纹丝不动的“正午” 由内而自我凝神,自我璀璨…… 完善的头脑,十全十美的宝��, 我是你里边秘密变化的因素。
Les morts cachés sont bien dans cette terre Qui les réchauffe et sèche leur mystère. Midi là-haut, Midi sans mouvement En soi se pense et convient à soi-même … Tête complète et parfait diadème, Je suis en toi le secret changement.
你只有我一个担当你的恐惧! 我的后悔和拘束,我的疑虑, 就是你宏伟的宝石发生的裂缝!…… 但是啊,大理石底下夜色深沉, 却有朦胧的人群,靠近树根. 早已慢慢地接受了你的丰功。
Tu n’as que moi pour contenir tes craintes ! Mes repentirs, mes doutes, mes contraintes Sont le défaut de ton grand diamant … Mais dans leur nuit toute lourde de marbres, Un peuple vague aux racines des arbres A pris déjà ton parti lentement.
他们已经溶化成虚空的一堆, 红红的泥土吸收了白白的同类, 生命的才华转进了花卉去舒放! 死者当年的习语、个人的风采、 各具一格的心窍,而今何在? 蛆虫织丝在原来涌泪的限眶。
Ils ont fondu dans une absence épaisse, L’argile rouge a bu la blanche espèce, Le don de vivre a passé dans les fleurs ! Où sont des morts les phrases familières, L’art personnel, les âmes singulières ? La larve file où se formaient les pleurs.
那些女子被撩拨而逗起的尖叫, 那些明眸皓齿,那些湿漉漉的睫毛, 喜欢玩火的那种迷人的酥胸, 相迎的嘴唇激起的满脸红晕. 最后的礼物,用手指招架的轻盈, 都归了尘土,还原为一场春梦。
Les cris aigus des filles chatouillées, Les yeux, les dents, les paupières mouillées, Le sein charmant qui joue avec le feu, Le sang qui brille aux lèvres qui se rendent, Les derniers dons, les doigts qui les défendent, Tout va sous terre et rentre dans le jeu !
而你,伟大的灵魂,可要个幻景 而又不带这里的澄碧和黄金 为肉眼造成的这种错觉的色彩? 你烟消云散可还会歌唱不息? 得!都完了!我存在也就有空隙, 神圣的焦躁也同样会永远不再。
Et vous, grande âme, espérez-vous un songe Qui n’aura plus ces couleurs de mensonge Qu’aux yeux de chair l’onde et l’or font ici ? Chanterez-vous quand serez vaporeuse ? Allez! Tout fuit! Ma présence est poreuse, La sainte impatience meurt aussi !
瘦骨嶙峋而披金穿黑的“不朽” 戴着可憎的月桂冠冕的慰藉手, 就会把死亡幻变成慈母的怀抱, 美好的海市蜃楼,虔敬的把戏! 谁不会一眼看穿,谁会受欺—— 看这副空骷髅,听这场永恒的玩笑!
Maigre immortalité noire et dorée, Consolatrice affreusement laurée, Qui de la mort fais un sein maternel, Le beau mensonge et la pieuse ruse ! Qui ne connaît, et qui ne les refuse, Ce crâne vide et ce rire éternel !
深沉的父老,头脑里失去了住户, 身上负荷着那么些一铲铲泥土, 就是土地了,听不见我们走过, 真正的大饕,辩驳不倒的蠕虫 并不是为你们石板下长眠的人众, 它就靠生命而生活,它从不离开我!
Pères profonds, têtes inhabitées, Qui sous le poids de tant de pelletées, Êtes la terre et confondez nos pas, Le vrai rongeur, le ver irréfutable N’est point pour vous qui dormez sous la table, Il vit de vie, il ne me quitte pas !
爱情吗?也许是对我自己的憎恨? 它一副秘密的牙齿总跟我接近, 用什么名字来叫它都会适宜! 管它呢!它能瞧,能要,它能想,能碰。 它喜欢我的肉,它会追随我上床, 我活着就因为从属于它这点生机!
Amour, peut-être, ou de moi-même haine ? Sa dent secrète est de moi si prochaine Que tous les noms lui peuvent convenir ! Qu’importe! Il voit, il veut, il songe, il touche ! Ma chair lui plaît, et jusque sur ma couche, À ce vivant je vis d’appartenir !
齐诺!残忍的齐诺!伊里亚齐诺! 你用一枚箭穿透了我的心窝, 尽管它抖动了,飞了,而又并不飞! 弦响使我生,箭到就使我丧命! 太阳啊!……灵魂承受了多重的龟影, 阿基利不动,尽管用足了飞毛腿!
Zénon! Cruel Zénon ! Zénon d’Êlée! M’as-tu percé de cette flèche ailée Qui vibre, vole, et qui ne vole pas ! Le son m’enfante et la flèche me tue ! Ah ! le soleil . . . Quelle ombre de tortue Pour l’âme, Achille immobile à grands pas !
不,不!……起来!投入不断的未来! 我的身体啊!砸碎沉思的形态! 我的胸怀啊,畅饮风催的新生! 从大海发出的一股新鲜���息, 还了我灵魂……啊,咸味的魄力! 奔赴海浪去,跳回来一身是劲!
Non, non ! …. Debout ! Dans l’ère successive Brisez, mon corps, cette forme pensive ! Buvez, mon sein, la naissance du vent ! Une fraîcheur, de la mer exhalée, Me rend mon âme . . . O puissance salée ! Courons à l’onde en rejaillir vivant !
对!赋予了谵狂天灾的大海, 斑斑的豹皮,绚丽的披肩上绽开 太阳的千百种,千百种诡奇的形象, 绝对的海蛇怪.为你的蓝肉所陶醉, 还在衔着你鳞鳞闪光的白龙尾, 搅起了表面像寂静的一片喧嚷。
Oui! grande mer de délires douée, Peau de panthère et chlamyde trouée De mille et mille idoles du soleil, Hydre absolue, ivre de ta chair bleue, Qui te remords l’étincelante queue Dans un tumulte au silence pareil,
起风了!……只有试着活下去一条路! 天边的气流翻开又合上了我的书, 波涛敢于从巉岩口溅沫飞迸! 飞去吧,令人眼花缭乱的书页! 进裂吧,波浪!用漫天狂澜来打裂 这片有白帆啄食的平静的房顶。
Le vent se lève! . . . il faut tenter de vivre ! L’air immense ouvre et referme mon livre, La vague en poudre ose jaillir des rocs ! Envolez-vous, pages tout éblouies ! Rompez, vagues! Rompez d’eaux réjouies Ce toit tranquille où picoraient des focs !
0 notes
oelnet · 6 days ago
Text
20e anniversaire de feu Gnassingbé Eyadema : Une veillée de prières organisée à Pya pour le repos éternel de l’âme du disparu
5 février 2005 – 5 février 2025. Voici exactement 20 ans que feu président Gnassingbé Eyadema, Père de la Nation, a été arraché à l’affection du peuple togolais. Pour honorer sa mémoire, le chef de l’Etat, Faure Essozimna Gnassingbé, a assisté, mardi 4 février soir à Pya, village natale de feu président, à une veillée de prières et de chants, en présence de plusieurs invités de marque, dont les…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
lespetiteschouettes · 7 days ago
Text
 Jolene - Beyonce
Tumblr media
Contexte et sortie : Quand la reine B rencontre la reine D
Le 11 mars 2024, dans une interview avec Knox News, Dolly Parton a lâché une bombe culturelle : Beyoncé, rien de moins, lui avait demandé la permission de revisiter Jolene, l’hymne country par excellence. Résultat ? Une collaboration qui fait trembler Nashville et Hollywood en même temps.
Après la sortie de cette reprise audacieuse, Parton a applaudi avec son inimitable flair :
« Je viens d’entendre Jolene. Beyoncé donne du fil à retordre à cette fille, et franchement, elle le mérite bien. »
On peut dire que Jolene n’a jamais eu affaire à une adversaire comme Queen B.
Tumblr media
Quand Beyoncé fait du Dolly avec une touche de Lemonade
Cette reprise de Jolene n’est pas juste une nouvelle version, c’est une réinvention totale. Exit la guitare country "twangy" de Dolly, Beyoncé propose une mélodie plus douce et une production R&B/pop qui pulse avec un chœur céleste en renfort. Selon Lauren Boisvert de American Songwriter, « Parton gratte les cordes de façon mordante, mais Beyoncé fait vibrer l’âme avec une touche ultra-smooth ».
Côté paroles, Beyoncé ne supplie pas Jolene comme Dolly le faisait. Oh non. Elle l’avertit carrément : "Touche à mon homme, et tu vas voir ce que ça fait de croiser la tempête." Certains y voient un clin d'œil appuyé à Becky with the good hair, ce personnage énigmatique de Lemonade. Et Dolly, avec son humour bien affûté, fait un caméo introductif dans le morceau précédent intitulé Dolly P. Elle lance :
« Tu sais, cette garce avec les beaux cheveux dont tu chantes ? Moi, j’en connaissais une, sauf qu’elle avait des cheveux roux flamboyants. Une autre couleur, mais la douleur est la même. »
Un moment mémorable où deux légendes s’allient pour régler leurs comptes à toutes les Jolene du monde.
Tumblr media
Un succès fulgurant : Jolene, version Queen B, fait tomber les charts
Dès sa sortie, Jolene entre directement à la 7ᵉ place du Billboard Hot 100, surpassant toutes les versions précédentes du morceau. Avec ce hit, Beyoncé signe son 24ᵉ top 10 (rien que ça) et place trois chansons de Cowboy Carter simultanément dans le classement : Texas Hold ’Em, II Most Wanted et Jolene. Sur le Hot Country Songs, les trois titres occupent les trois premières places, un exploit jamais réalisé par une femme. Nashville peut officiellement se prosterner.
En Australie, Beyoncé a emmené Jolene jusqu’à la 24ᵉ place, un record pour cette chanson là-bas. Et au Royaume-Uni, elle s’impose directement dans le top 10, prouvant que même de l’autre côté de l’Atlantique, Jolene n’a aucune chance contre l’aura de Beyoncé.
Tumblr media
Vidéos
Beyonce Studio Version
youtube
Dolly Parton Studio Version
youtube
0 notes
christophe76460 · 10 days ago
Text
Ils célébreront les voies de l’Éternel. {Psaume 138:5}
Le temps où les chrétiens commencent à célébrer les voies de l’Éternel est quand d’abord ils délaissent leur fardeau au pied de la Croix. Les chants mêmes des anges ne semblent pas si doux que le chant de ravissement qui jaillit de l’intérieur de l’âme d’un enfant de Dieu pardonné. Vous savez comment John Bunyan le décrit. Il dit : quand le pauvre pèlerin déposa son fardeau au pied de la Croix, il fit trois sauts, et poursuivit son chemin en chantant. Croix bénie ! Sépulcre béni ! Croyant, te rappelles-tu le jour ou tes chaînes tombèrent ? Te souviens-tu de l’endroit où Jésus te rencontra et dit « Je t’ai aimé d’un amour éternel, j’ai effacé comme un nuage tes transgressions, et comme un épais nuage tes péchés ; Ils te ne seront plus jamais rappelés jusque dans l’éternité ». Oh ! qu’il est doux le moment où Jésus ôte la peine du péché, lorsque le Seigneur d’abord pardonna mon péché. J’étais si joyeux que je pus à peine me retenir de danser. Je pensais, sur le chemin qui me conduisait chez moi depuis la maison où j’avais recouvré la liberté, que je devais raconter aux pierres de la route l’histoire de ma délivrance. Mon âme était si débordante de joie, que je voulais dire à chaque flocon de neige qui tombait du ciel l’histoire du merveilleux Amour de Jésus, qui avait effacé les péchés d’un des chefs de rebelles.
Mais ce n’est pas seulement dans les premiers jours de la vie chrétienne que les croyants ont raison de chanter : aussi longtemps qu’ils vivent ils découvrent un sujet de célébrer les voies du Seigneur et leur confiance dans sa constante bonté qui les pousse à dire : je bénirai le Seigneur en tout temps, Sa louange sera continuellement dans ma bouche. Regarde, frère, afin que tu puisses magnifier le Seigneur en ce jour.
Tant que nous foulerons ce désert de miséricorde les grâces nouvelles réclameront des chants nouveaux.
Lévitique 1:1-3:17 * Lecture Biblique quotidienne
0 notes
gayvoyageur · 14 days ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Farmhouse Resort & Spa
Imagine-toi au cœur du Cambodge, dans un écrin de verdure où luxe, bien-être et engagement se rencontrent. Le Farmhouse Resort & Spa t’ouvre ses portes avec une hospitalité exceptionnelle, dans un cadre gay-friendly où chaque détail est pensé pour que tu te sentes chez toi. 🏳️‍🌈💛
Laisse-toi bercer par le chant des oiseaux au réveil avant de plonger dans l’une des deux piscines à débordement, un cocktail à la main sous le soleil tropical. 🏊‍♂️🌞 Offres-toi une parenthèse de douceur au spa, où les soins traditionnels te plongent dans un état de relaxation absolu. 💆‍♂️ Sculpte ton énergie dans la salle de fitness et reconnecte-toi à l’essentiel avec une séance de yoga face à la nature. 🌿🧘‍♂️
La gastronomie est au rendez-vous avec deux restaurants raffinés mettant à l’honneur des produits locaux et bio, cultivés avec amour dans les fermes de l’hôtel 🍽️🌾 Ici, chaque repas est une expérience qui éveille les sens et célèbre la richesse du Cambodge
Mais ce qui rend le Farmhouse Resort & Spa unique, c’est son engagement profond pour un tourisme responsable et solidaire. 💚 Loin du simple luxe, cet hôtel est un acteur du changement, investissant dans la communauté locale à travers une fondation qui soutient des écoles, des fermes durables et des projets sociaux et locaux. En séjournant ici, tu participes à un projet humain incroyable, où chaque sourire du village porte l’empreinte de cette vision authentique. En venant ici, c'est investir pour le futur. 😊🎓
Laisse-toi envoûter par l’atmosphère magique de l’amphithéâtre en plein air, où culture et traditions se mêlent pour offrir des spectacles captivants sous les étoiles. Il y a même un studio d'enregistrement pour la création. ✨🎭
Au Farmhouse Resort & Spa, le voyage prend un sens plus profond. Entre luxe, bien-être et engagement, tu vis une expérience unique qui nourrit autant l’âme que le cœur. 💙🌎
Dès demain, on t'invite à tout savoir sur l'hôtel avec notre prochaine vidéo exclusive. Tu vas adorer!
1 note · View note