#Cette série était si bien
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Pourquoi j'ai soudainement envie de remater The Good Place ?
#(je sais pourquoi#je regardais un animé qui a reprit le paradoxe du tramway donc j'ai pensé à Chidi)#Cette série était si bien#elle me manque#je suis brisée de ne plus pouvoir la découvrir pour la première fois
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Une chose que j'ai pas mal apprécié dans cette série est la relation entre Shadow et Sonic. Au début Shadow était assez remonté contre lui à cause de ce qui s'est passé ce que je peux comprendre. Et bien qu'au début, il voulait régler les choses par lui même. Il comprend qu'il ne pourrait pas le faire tout seule et aura besoin de l'aide de Sonic. Et bien qu'il faisait pas confiance à Nine, dans la saison 3, il le secoue pour éviter qu'il sombre dans sa tristesse. Et on peut voir aussi qu'il éprouve de l'inquiétude à son sujet quand Sonic souhaite sauver ses amis à Green Hill. Mais que malgré tout, il lui disait de se focaliser sur leur objectif de récupérer le prisme, le réconfortant même en disant que si il y a bien une personne qui puisse trouver une solution c'est bien lui !
Il se montre protecteur envers lui quand il comprend que ce que veut Nine est l'énergie prismatique de Sonic et se sacrifiant pour le sauver. Mais finit par revenir en l'aidant à affronter Nine et lorsque Sonic se sacrifie pour sauver les mondes, on peut voir que ça l'affecte de voir Sonic dans cet état. J'avais bien aimé la dernière scène qu'ils partagent ensemble où justement Shadow le porte pour le ramener à Green Hill montrant une fois de plus qu'il tient à Sonic et qu'il se soucie de lui. Même si je suis sûre qu'il voudrait jamais l'admettre.
One thing I really enjoyed in this series was the relationship between Shadow and Sonic. At first, Shadow was pretty upset with him because of what happened, which I can understand. And although at first he wanted to sort things out himself. He realized that he couldn't do it on his own and needed Sonic's help. And although he didn't trust Nine, in season 3, he shakes him off his sadness. And we can also see that he's worried about him when Sonic wants to save his friends in Green Hill. But despite this, he told him to focus on their goal of getting the prism back, even comforting him by saying that if there's one person who can find a solution, it's him!
He becomes protective of him when he understands that what Nine wants is Sonic's prismatic energy, sacrificing himself to save him. But eventually he returns, helping him to confront Nine, and when Sonic sacrifices himself to save the worlds, you can see that it affects him to see Sonic like this. I liked the last scene they share together, when Shadow carries him back to Green Hill, showing once again that he cares about Sonic. Although I'm sure he would never admit it.
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Candaulisme
Scène de vie d’un candaulisme ordinaire...
Un soir, au retour d’un apéritif d’entreprise improvisé, ma femme ayant préféré rentrer à la maison pour ne pas me laisser seul (même si lorsqu’elle m’a appelé au téléphone pour me prévenir je lui ai laissé comme d’habitude la décision d’accompagner ses amis ou pas) , vint me rejoindre dans la pièce bureau de notre maison.
« Hello, chéri » m’adressa-t-elle en venant me gratifier d’un baiser rapide sur les lèvres « Tout va bien ? Ta journée ? »
« Oui, et toi ? Tu aurais pu rester tu sais...je travaille à mon prochain livre...Je t’ai préparé le repas...Tu trouveras tout de prêt dans la cuisine... »
« Merci Chéri me glissa-telle à l’oreille tout en m’embrassant à nouveau et en se collant contre moi... »
« Oh...toi... ! lui fis-je remarquer...toi, tu as quelque chose à me raconter...§ Je te connais tellement...Viens... »
En m’embrassant, elle s’était effectivement appuyée assez significativement contre moi ...Son odeur...Sa chaleur...Ses adorables seins qui pointaient au travers de son chemisier un peu plus ouvert qu’à son départ au matin...
« Hummm me fit-elle en minaudant...Euh, oui enfin, pas grand-chose...mais il faut que je te dise... A l’apéro ce soir, à la guinguette à côté de notre boite, il y avait pas mal de monde et on a un peu dansé. »
Ma femme adorait danser et j’adorais la voir danser ou savoir qu’elle avait été heureuse en dansant...Elle était belle et dansait réellement avec grâce et légèreté...ce qui ne manquait pas d’attirer plus encore les regards sur son corps entretenu.
Ce faisant, alors qu’elle continuait à embrasser mes lèvres avec une réelle et non feinte gourmandise, me bécotant, je passais ma main sous sa courte jupe du vendredi, une habitude du "vendredi tout est permis" chez elle, se permettant ainsi de ne rien porter en dessous...Elle était alors si sexy...Elle avait aussi ce soir là ajouté une de mes cravates sur son chemisier pour un effet « woorking-girl » libérée qui lui allait particulièrement bien...
« Oh...toi...C’est bien chaud et bien humide tout ça », lui dis-je en parcourant sa chatte aux lèvres déjà accueillantes et entrouvertes...
« Hummmm...Toi, tu as été coquine ce soir...Coquine... ? Très coquine... ? Raconte-moi !»
Elle s’assit ainsi sur moi en faisant tourner mon fauteuil pivotant...
« En fait, rien de prévu mais après un Mojito et quelques danses avec les collègues, un jeune homme s’est approché de moi et m’a fait du gringue...Imagines-toi qu’il est voisin...Il vient d’arriver dans la boite d’à côté et m’a dit qu’il m’avait souvent vue arriver le matin, que j’étais toujours super habillée et souriante...Il arrivait tôt car débutant et s’installait à une fenêtre de leur espace café en attendant l’arrivée des autres ... On a alors discuté, il m’a proposé un autre verre et on a fait quelques danses car il y avait une série de rock et tu sais que je ne sais pas résister à cette danse... Il danse d’ailleurs très bien pour un jeune d’une autre génération de musiques...D’un pas à l’autre , on a ri, on a discuté et à la fin de la série de danses, il m’a prise par l’épaule pour qu’on discute un peu à l’écart...Là, et j’ai réellement aimé ;, il ne m’a pas caché son attirance, qu’il aimerait me revoir, m’a donné son téléphone...Il est bien bâti comme j’aime, car joueur d’une équipe de rugby du village d’à côté...Son sourire était trop craquant et aussi un peu sa timidité...Il rougissait mais était tellement sincère que s’en était touchant...J’ai craqué... ! Je l’ai embrassé...Il n’en revenait pas... et surtout il m’a indiqué ma bague...Je l’ai rassuré en lui disant qu’il ne risquait rien et que j’avais le plus incroyable et merveilleux des maris qui me laissait totalement libre...Il n’en revenait réellement pas, enchaînant les « Mais... ? » incrédules...Aussi, je lui indiquais de rester là quelques instants , le temps que je t’appelle...Je t’ai appelé et ai décidé de te rejoindre, aussi , en retournant vers lui et en saluant les collègues de bureau, je l’ai pris par la main et entrainé sur le parking...Il faisait déjà nuit et ne lâchant pas sa main, je me suis appuyée sur ma voiture pour l’embrasser de nouveau et lui indiquer que nous ne serions pas sans nous revoir … ».
Pendant que ma femme me racontait son histoire, elle avait aussi remonté sa courte jupe sur ses merveilleuses fesses et se frottait sur mon sexe qui ne cessait de grandir au travers de l’étoffe de mon pantalon...
Je bandais comme un fou...
J’ouvrais adroitement ma braguette pour qu’elle s’empale sur mon dard à son zénith et rapidement elle « dansait » sur ma bite tout en continuant son adorable récit d’adorable salope qu’elle avait su être et plus encore à cet instant, qu'elle était...
Je crois que c’est elle qui me baisait pour être honnête...
Elle se déchainait et je réussi à attraper la cravate, sa cravate, ma cravate pour la tenir comme en laisse ou avec un guide et suivre le rythme qu’elle voulait comme un cow-boy suit le rythme de son cheval déchaîné tout en tentant d’en garder la maîtrise... !
Elle continua en me décrivant comment elle l’avait sucé entre les deux voitures, au risque de se faire voir par ses collègues qui ne devaient pas tarder à quitter l’établissement festif...
Elle me narrât en détail la queue de ce nouvel amant, son poids, sa forme, sa puissance, sa liqueur, son abondance et surtout le plaisir qu’elle avait pris à le sucer sauvagement sur le parking, le garçon toujours aussi incrédule de la bonne étoile de cette soirée...
Elle m’expliqua aussi combien il lui fut difficile d’arrêter sa main pendant le trajet du retour vers la maison et combien son esprit naviguait entre la queue de ce jeune homme et la mienne, impatiente de se faire démonter...
« Chéri...On sort ce soir ! J’ai trop envie...Je suis impatiente de toi, d’autres, des autres et de lundi... Je crois que pendant un moment je vais avoir le sourire en allant au boulot le matin... ! »
Telle était ma femme...
Tel était notre façon de vivre...
Sa façon d’être et de vivre notre Candaulisme...
La soirée était loin, très loin d’être achevée...
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[La suite de mon périple d'été]
Après être revenue d'Italie, j'ai eu un jour de repos où j'ai juste vu ma famille. Ça m'a fait du bien. On est allés au resto et on était tous hyper heureux. Y avait pas d'énergie négative comme d'hab, on s'effritait pas pour rien comme d'hab. C'est là que je me suis rendu compte qu'il était vraiment temps que je parte. Si on se voit une fois de temps en temps, ça se passe très bien. Le lendemain, ils sont partis en Crête. J'en ai profité pour inviter le musicien chez moi. Il m'avait trop trop manqué. Depuis mon retour, je suis à 100% à l'aise avec lui. Je saurais pas expliquer mais y a un truc qui a changé par rapport à avant que je parte. On a fait l'amour plusieurs fois et on a mangé des pizzas en regardant The last of us. Oui, j'avais toujours pas regardé la série. Honte à moi, je sais. Le lendemain je suis allée chez lui cette fois et comme sa chambre est bien plus pratique pour faire l'amour, on en a énormément profité mdr. On a fait que ça en fait, on s'arrêtait pas. On continuait même quand on en pouvait plus. C'était dingue. Et le lendemain, rebelotte.
Puis je suis rentrée chez moi pour faire mon sac parce que le musicien m'avait proposé d'aller à la mer pendant 3 jours avec lui et sa mère et j'avais accepté. Les 3 jours se sont bien passés. Je me suis trop bien entendue avec sa mère. Elle est admirable. C'est une business woman qui a perdu son mari quand ses enfants avaient 14 et 18 ans. Dans son boulot, c'est la patronne. Et pourtant elle est très chill.
Sinon ce petit voyage nous a encore plus rapprochés avec le musicien. Il était en sevrage de beuh donc il était extrêmement aigri. Ça n'a pas toujours été facile mais on arrivait à communiquer. On ne s'est jamais disputés parce que c'est quelqu'un qui arrive à se remettre en question, hallelujah. Quand on parle, on arrive tous les deux à comprendre le point de vue de l'autre et on finit toujours par s'entendre sur un avis final nuancé. Y en a jamais un qui a complètement raison et un qui a complètement tort.
Sinon, tout était trop chouette. Il a réinstallé Pokemon Go pcq à chaque fois qu'il allait à la mer avec son frère c'était un peu un rituel. Du coup il m'a convertie et je suis toujours à fond dedans actuellement. Puis les balades sur la plage, la nourritureeee avec les fruits de mer bien frais omg, notre habituelle séance de dessin, les jeux d'arcade impayables, le petit mojito en terrasse, la glace en bord de mer, l'envie de le faire dans une cabine d'essayage,... D'ailleurs on l'a même pas fait du voyage pcq on l'avait tellement fait chez lui que je me suis chopée une infection urinaire.
Puis on est rentrés chacun chez soi et j'avoue que ça m'a fait du bieeeeen d'être enfin un peu seule. Pendant tout le mois, j'étais h24 avec des gens. J'ai rangé ma chambre, fait mes petites lessives, puis je me suis posée devant les sims en écoutant le podcast de Chloé Gervais. Et le soir, rebelote, j'ai vu une pote et on a organisé nos prochaines vacances en France début septembre. Et on arrive à aujourd'hui où cette fois j'ai vraiment rien de toute la journée, je suis trop contente. Pendant ce temps, le musicien s'envole en Espagne avec sa meilleure pote et la famille de sa meilleure pote. Là c'est le moment où tout le monde m'applaudit d'avoir autant évolué niveau jalousie. Merci, merci. J'ai totalement confiance en lui.
Et la semaine prochaine je fais du pet sitting où il y aura un chien, un chat et c'est pas tout parce qu'ils sont famille d'accueil pour chats donc y aura aussi une mère et ses chatons 😭😭😭😭😭 Je vais mourir d'amour!!!
Bref, tout va bien en ce moment!
(05/08/2024)
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La Mode nationale, no. 1, juin 1947, Paris. Reproduction of first cover published in 1885. Bibliothèque nationale de France
Nous vous présentons aujourd'hui le premier numéro d'une nouvelle série de la Mode Nationale et nous avons pensé qu'il serait amusant de reproduire la couverture du premier numéro paru en 1885 pour vous permettre d'apprécier le chemin parcouru.
La mode n'était pas simple à cette époque, ni la présentation des journaux ; déesse couverte de bijoux, renommée avec sa trompette, amour aux ailes de papillons. Par chance le paon ne fait pas la roue, mais le bateau à vapeur a encore des mâts de voiliers et doit être ancré dans un bien joli port. Tout cela pour agrémentrer le titre. Quand aux élégantes de l'époque habillées pour une grande cérémonie, nous souffrons pour elle du supplice qui leur était infligé. Nos clientes devaient être de bien habiles couturières pour exécuter d'aussi savants drapés. Que tout cela a changé. Vue seule chose a persisté, le désir que nous avons de satisfaire nos fidèles lectrices, petites filles de celles du temps jadis; de les satisfaire en leur présentant des modèles simples, chics, et si facile à faire.
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Today we present to you the first issue of a new series of La Mode Nationale and we thought it would be fun to reproduce the cover of the first issue published in 1885 to allow you to appreciate how far we have come.
Fashion was not simple at that time, nor was the presentation of newspapers; goddess covered in jewels, renowned with her trumpet, love with butterfly wings. Luckily the peacock is not doing cartwheels, but the steamboat still has sailboat masts and must be anchored in a very pretty port. All this to enhance the title. As for the elegant ladies of the time dressed for a big ceremony, we suffer for them from the torture that was inflicted on them. Our clients must have been very skilled seamstresses to create such skillful draperies. That all this has changed. The only thing that has persisted is the desire we have to satisfy our faithful readers, little girls of those of times gone by; to satisfy them by presenting them with simple, chic models that are so easy to make.
#La Mode nationale#20th century#19th century#1940s#1947#1880s#1885#on this day#April 28#one color plates#periodical#fashion#fashion plate#cover#advertisement#bibliothèque nationale de france#dress#bridal#bustle
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11/09/2023 -- Photo 2:
Et on continue la série de la modèle capricieuse .. cette photo là c'est 2 jours pour qu'elle en soit satisfaite et j'ai bien cru que j'allais mourir ... bon je suis en vie je vous rassure sinon je serais pas là pour en parler. Plutôt satisfaite du résultat même si je pensais clairement que d'autres résultats que j'avais eu avant celui là était meilleur mais encore une fois ça ne dépend pas de moi.
#ai art#ai girl#anime art#manga#Illustration#illustration art#Illustrative art#digital art#ai artwork#ai generated
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Le thème de l'Identité est prépondérante dans la série Le Caméléon (V.O. : The Pretender) ... à commencer par le titre en lui-même, qui peut se traduire littéralement par "celui qui prétend être...".
Jarod
- Jarod: "Je ne sais pas qui je suis" (Ep. 1.14)
Certaines personnes qui ont rencontré Jarod pendant un certain temps ont remarqué qu'il était hors du commun, soit pour les progrès accomplis en peu de temps :
- Le gérant : (content) "Je vais vous dire une chose, ce gars-là avait de nombreuses facettes ! En arrivant ici, il confondait une arme à percution avec une à répétition ! (sourires) Et en moins de 24 h ... ! ... il a réussi ça ! ... Et puis, y'a eu les balles ! [...] il était balaise quand il s'agissait d'étudier quelque chose !!"(Ep. 1.06)
soit pour les idées qu'il a pu avoir et développer : ...
soit pour l'absence d'information données par Jarod sur lui-même : ...
- Samantha : "je n'ai pas encore cerné qui il était." (Ep. 3.19)
Jarod et sa naissance : Ep. 3.01 ...
Jarod et ses métiers : Jarod peut assumer n'importe quelle identité, mais il ne sait pas laquelle lui correspond initialement.
Ep. 3.14 ...
- Mr Hollis : "vous avez l'air de tout... sauf d'un ... pilote..." - Jarod : "et bien, si ça peut vraiment vous rassurer, je ne suis pas vraiment pilote ! " (Ep. 1.03)
- Dr : "qui êtes vous ?" -Jarod : "je suis tout le monde et... je suis personne..."
Ep. 4.10 : confrontations entre double identité
Jarod et ses carnets rouges : ses concitoyens lui posent souvent la question "Qui êtes vous ?"
- Samantha : "qui êtes vous Jarod?" (Ep. 3.19)
Les interlocuteurs posent souvent cette question à Jarod. Sur un ton surpris, agacé, énervé... ou blasé.
- Mme Nikkos : "vous allez me dire la vérité ? [...] Qui êtes-vous ?" (Ep. 1.01)
- Mr Hollis scientifique ou Mr Hollis militant ? (Ep. 1.03) - Marilyn Monroe ou Norma Jeane ? (Ep. 1.04 - Archive du 12/10/1967) - Isaac Dexter (Ep. 1.05) et le blues - Monsieur Patate et ses mille facettes (Ep. 1.11)
- Isaac Dexter : "On ne peut pas échapper à ce qu'on est. On ne peut pas prétendre ce que l'on est pas, parce que sinon, on fini par se perdre. Vous me suivez ?" ( Ep. 1.05)
- Nia : "mais qui êtes-vous ? Comment ... ? " (Ep. 1.14)
- ... : "Vous n'existez pas" (Ep. 1.16)
- Jarod : "comment ça qui je suis ? ... Mais quelqu'un qui attendait le bus !" (Ep. 3.11)
- Argyle : "T'es dans la peau de qui cette fois-ci ?" - Jarod : "Une bonne poire !" (Ep. 3.12)
Jarod enquête également sur des victimes non identifiées, nommées aux USA 'John/Jane Doe', et dont il tente de redonner une existence légale, y compris post-mortem.
- le tueur en série : le cas de 20 ans parce que Jarod ne voulait pas se perdre dans la tête du tueur (Ep. 3.03).
- le tueur en série : "si vous me rendez ma liberté, je vous rendrais la vôtre". (Ep. 3.03)
- Joshua (Ep. 3.19), ses frères, leur père - le test d'isolement de l'armée (Ep. 4.02) - la femme infiltrée (Ep. 4.12) - le traitre (Ep. 4.13)
Jarod a aussi subi un lavage de cerveau de la part de Raines (Ep. 3.19)
Jarod et le projet Gemini Ep. (3.21)
Mlle Parker / Sydney / Broots
Mlle Parker a une identité tellement forte qu'elle en est prisonnière.
Sydney, Broots et Mlle Parker, tout en formant une équipe (forcée), représentent trois identités qui se dissimulent les unes aux autres. On se garde certains renseignements (du passé principalement), voire on cache sa véritable nature. Que se soit les uns vis-à-vis des autres qu'envers eux-même. Sydney, Broots et Mlle Parker prétendent être...
- Sydney à Mlle Parker : "vous étiez une petite fille si joyeuse ! Qu'est-ce qui vous est arrivée ?" (Ep. 1.01)
De même, Mlle Parker n'a pas de prénom pour les téléspectateurs [BD n°...]. Seul Jarod le connait. Sydney et Broots n'ont pas de nom de famille.
- Sydney : "Qui suis-je ?" (Ep. 3.08)
Ep. 3.14 : commission T
Mlle Parker, Broots et Sydney font face à l'opacité des informations au Centre et se demandent souvent qui sont les intervenants qui apparaissent dans les couloirs du Centre...
Ep. 4.03 :
Mlle Parker doute également beaucoup des autres au fil des saisons, des étrangers, du personnel du Centre et ses proches :
- Mlle Parker : "parlez-moi de vous ?" (Ep. 3.11) - Thomas : "Que voulez-vous savoir ?" - Mlle Parker : Qui êtes-vous ?"
- Mlle Parker : "c'est une partie de moi que j'aurais voulu qu'il ne voit pas." (Ep.3.12) - Sydney : "le pistolet, c'est ce que vous portez, pas ce que vous êtes."
- Mlle Parker : "C'est ce que je suis ?"
Après la révélation d'Alex, Mlle Parker se pose alors la même question que Jarod : qui est-elle ? (TVfilm 1 et Téléfilm n°2). Les alors lancés à ses interlocuteurs, durant sa chasse à l'homme, pour obtenir d'eux des réponses volontaires sans éveiller les soupçons revêtent alors un tout autre sens... Ce chat-là en était-il vraiment un ?
Timmy/Angelo
A comprendre au premier degré : c'est en perdant son identité sous les électrochocs que Timmy a perdu son prénom et sa personnalité. Il a fallu lui donner un autre nom. Catherine Parker l'a re-baptisé Angelo.
Jarod a tenté de lui redonner son identité originelle. Angelo l'a touché du doigt. Avant que la transformation soit complète, Mlle Parker la lui a involontairement repris. Timmy ne sera plus jamais Timmy.
Argyle
Ethan
Ethan
La recherche de la véritable identité fait écho aux questions métaphysiques universelles que se pose l'humanité depuis la nuit des temps et qui sont le ciment de sa construction passée, présente et future : qui sommes-nous ? d'où venons-nous ? Où allons-nous ?
C'est également une question importante pour les scénaristes Javier Grillo-Marxuach et Juan Carlos Coto, dont les origines familiales/historiques pèsent dans la construction identitaire américaine, y compris toujours au 21ème siècle.
+ bébé Parker sans prénom + lavage de cerveau de Kyle + travail avec Dr Raines/aide Jarod (Ep. 2.14)
Thème affilié : Les Jumeaux.
#identité#identity#le cameleon#the pretender#the pretender lives#jarod#mlle parker#sydney#broots#angelo
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Te revoir une dernière fois
Fandom : Doctor Who
Relationship : Eleven x Rose
Voici ma participation pour le Aug-kissed 2024 pour le prompt : Un baiser sur la main.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : « Je suis fier de toi Rose Tyler. Je sais que tu feras des choses extraordinaires. -J’ai l’impression que vous êtes en train de me dire adieu. »
Il lui prit la main et la porta à ses lèvres.
« Tout ira bien Rose. Je te le promets. »
Il ferma les yeux, essayant de profiter de ces derniers instants avec elle.
Disclaimer : Doctor Who est une série de la BBC.
@aug-kissed
AO3 / FF.NET
Le docteur et Clara se dirigèrent vers le TARDIS. Ils venaient d'empêcher une invasion de Sontariens. Le docteur croyait bien qu'ils ne s'en sortiraient pas, mais heureusement le pire avait été évité et la Terre et ses habitants avaient été sauvés. Ils tournèrent au coin d'une rue, lorsque le Docteur entendit au loin :
« John ! »
Il se figea. Il reconnaissait cette voix. Même s’il ne l’avait pas entendu depuis des siècles, il savait qui venait de l’appeler. Alors que le nom de John Smith était le nom qu’il donnait lorsqu’il en avait besoin, une seule personne l’appelait ainsi sous cette forme. Clara se tourna vers lui et le regarda avec inquiétude.
« Docteur ? Tout va bien ?
-Tout va bien. Je vous retrouve au TARDIS. »
Clara acquiesça. Elle voyait bien qu’il se passait quelque chose. Mais si le Docteur ne voulait rien lui dire, elle n’allait pas le forcer. Elle continua son chemin vers le TARDIS, laissant le Docteur seul. Celui-ci prit une profonde inspiration et se retourna. Il sourit jusqu’aux oreilles, mais il espérait que son regard n’exprime pas la tristesse qu’il pouvait ressentir à cet instant.
« Rose Tyler ! S’exprima-t-il joyeusement. Mon élève préférée ! »
Il y a bien longtemps, il était devenu professeur particulier et il aidait Rose à faire ses devoirs lorsqu’elle était entrée au lycée. Il avait essayé de passer le plus de temps possible avec elle, mais il savait que cela ne pouvait pas durer. Alors un jour, il lui avait dit qu’il devait partir à l’étranger pendant un long moment et il était sorti de sa vie. Pour lui, tout cela c’était passé il y a plusieurs siècles. Pour Rose, cela devait faire à peine deux ans.
« Depuis quand êtes-vous revenu ? Demanda-t-elle. »
Elle avait un immense sourire aux lèvres, heureuse de le revoir après tout ce temps.
« Depuis peu, répondit rapidement le Docteur. Je ne suis que de passage, je dois repartir. »
Rose avait l’air à la fois déçue et triste. Le Docteur avait toujours détesté la voir ainsi. Il changea de sujet. Il voulait savoir où il se trouvait dans sa ligne temporelle. Est-ce qu'elle l'avait déjà rencontré, où devrait-il dire, a-t-elle rencontré une de ses anciennes régénérations ?
« Dis-moi, que deviens-tu ? Je veux tout savoir. »
Elle détourna légèrement le regard, gênée.
« À vrai dire, peu de temps après votre départ, j’ai arrêté le lycée. »
Elle ne voulait pas voir la déception sur son visage. Il n'arrêtait pas de lui répéter à quel point elle était intelligente et la première chose qu'elle avait fait après son départ était de se mettre en couple avec Jimmy Stone et d'arrêter le lycée. Le docteur prit son visage entre ses mains et la regarda droit dans les yeux.
« Rose, n'oublie pas ce que je te disais. Tu es intelligente et fantastique. N’en doute jamais. »
Un immense sourire illumina le visage de Rose.
« Quoi ? Demanda le Docteur.
-C’est juste que lorsque vous avez dit que j’étais fantastique, ça m’a fait penser à mon nouvel ami.
-Vraiment ? Dit-il en souriant à son tour. »
Rose acquiesça.
« Je l’ai rencontré... »
Elle se tut quelques secondes, cherchant ses mots.
« Au travail, finit-elle par dire. Cela fait peu de temps que l’on voyage ensemble.
-Vraiment ? Répéta le Docteur, en souriant de plus en plus. »
Rose ne put s’empêcher de rire.
« Vraiment. »
Le Docteur savait où il se trouvait dans la ligne temporelle de Rose. Ils venaient de se rencontrer, alors qu’il avait de grandes oreilles et portait un blouson en cuir.
« Je suis fier de toi Rose Tyler. Je sais que tu feras des choses extraordinaires.
-J’ai l’impression que vous êtes en train de me dire adieu. »
Il lui prit la main et la porta à ses lèvres.
« Tout ira bien Rose. Je te le promets. »
Il ferma les yeux, essayant de profiter de ces derniers instants avec elle.
« Je vais devoir partir et je suis sûr que ton ami t’attend.
-Est-ce que l’on se reverra ?
-Peut-être. »
Il lui mentait. Il ne devait plus la revoir, sinon il risquerait de changer quelque chose. Pourtant, cela lui serait tellement facile de tout changer pour que Rose reste auprès de lui. Pour toujours. Mais il ne devait pas. Il lui embrassa une dernière fois la main et la lâcha. Il recula doucement.
« Au revoir Rose Tyler.
-Au revoir John. »
Le Docteur s’éloigna. Il se retint de toutes ses forces pour ne pas se retourner et demander à Rose de partir avec lui. Il regarda au loin et vie sa précédente régénération. Celui-ci le regardait, surpris. Il l’avait reconnu. Le Docteur se souvint de ce moment. Il lui fit un clin d’œil et continua son chemin vers le TARDIS. Il devait continuer à avancer sans jamais s’arrêter, comme il l’avait toujours fait. Et il avait un autre mystère à résoudre. Découvrir qui était Clara. Il entra dans le TARDIS et programma une nouvelle destination pour lui et la fille impossible.
Fin
#aug kissed#aug kissed 2024#doctor who#doctor x rose#eleven x rose#eleventh doctor#11th doctor#rose tyler#my writing
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Whisky
Whisky ou le soleil me fuit. Voilà un thème qui ne m’inspire pas vraiment. Le soleil ? Mon premier poème s’appelait « Ode au soleil ». J’avais 10 ans et je ne m’en souviens plus. Et l’autre, autant dire que le whisky me fuit. Je n’en bois pas. Je ne déteste pas ça mais je n’en bois pas. Je devrais peut-être boire un verre de whisky, goûter, apprécier son arôme. Seulement, les whiskies qu’on trouve dans le commerce ne sont pas les meilleurs. Je laisse plutôt cela à un pote qui boit du ‘Aberlour’, un autre boit du Chivas. Eux pourraient mieux parler du Whisky.
En cherchant l’inspiration parmi les photos archivées dans mon ordinateur, j’ai imaginé des histoires qui, je le reconnais ne m’enchantent guerre. La première concernait un enfant de trois ou quatre ans appelant les secours parce que sa mère était dans comas, après avoir enfilé une bouteille de whisky. Je partais sur la discussion entre l’opérateur et l’enfant qui ne connaissait même pas son adresse. Seulement, il existe tellement d’histoires de ce genre dans la réalité, que je me sens mal à l’aise à la développer.
La seconde qui m’est venue était une prostituée alcoolique, qui après avoir bu un verre de whisky avec son prochain client, partait faire sa petite affaire. Aussi, le client en question était un célèbre tueur en série appelé Jack l’éventreur. Histoire écrite, réécrite, et corrigée depuis.
La troisième histoire aurait été au sujet du viol d’une amérindienne par des cowboys, après l’avoir saoulée au whisky. Rien de bien réjouissant et on trouve beaucoup d’histoires de ce genre dans les westerns. Je peux vraiment dire que le whisky n’est pas ma tasse de thé.
Je me suis posé cette question : quelle image j’avais du whisky ? Elle m’est venue avec évidence : Machisme, puissance et sexe. C’est marrant d’avoir cette opinion sur le whisky. Je parle du whisky bu sec ou avec des glaçons. Pas celui mélangé avec du soda. Après, j’ai repensé aux blagues dans lesquels on parle de whisky.
La première trouvée dans le film « la cité de la peur ».
Gérard Darmon: Vous voulez un whisky ?
Chantal Lauby : Juste un doigt.
Gérard Darmon : Vous ne voulez pas un whisky d’abord ?
La seconde de Coluche :
Un commandant de bord s’adresse aux passagers après le décollage de l’avion. Il n’éteint pas les hauts parleurs et continue de parler à son second : « Je bois un whisky et après je me tape l’hôtesse de l’air ». En entendant cela, l’hôtesse rougit et se précipite vers le cockpit. Soudain un passager l’arrête : « Ne soyez pas pressée, il a dit qu’il boit un whisky d’abord ! ».
Enfin, la troisième, ma préférée.
Un type entre dans un bar. « Sept whiskys, je fête ma première fellation ! ». Le barman le sert en disant : « Ah si c’est votre première, permettez-moi de vous offrir le huitième ». Le gars répond : « Merci, mais sept devraient suffire pour m’enlever le gout. »
Voilà, ça c’est fait. Je vous souhaite une bonne nuit.
PS: Notez qu'au pluriel, on peut écrire: Whiskies et whiskys.
Alex@r60 – août 2023
Photo : Gérard Darmon et Chantal Lauby dans la cité de la peur.
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🇫🇷Café Gaudi Février 2024.
Jour 19. Robot.
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Il m'a fallu plusieurs années pour lire une grande partie des romans d'Isaac Asimov l'auteur qui a popularisé le personnage des robots humanoïdes dans la littérature.
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En 2011, ma belle-soeur m'a prêté les recueils de nouvelles intitulé Le Grand Livre des Robots.
Puis en 2012 je me suis attaquée à la grande saga de la Fondation qui compte 7 romans.
L'ensemble est si dense qu'il me faudrait les relire car je ne me souviens que des grandes lignes. Celles-ci m'ont permis d'apprécier l'adaptation de la série que j'ai pu découvrir sur la plateforme Apple TV.
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C'est toujours intéressant de découvrir des "classiques" d'un genre littéraire, même si ça n'est jamais évident de remonter le temps quand on a l'habitude d'une narration et d'un univers qui est à présent bien établi dans la culture populaire. Pourtant, les premiers auteurs à avoir participé au genre de la science-fiction ont le mérite d'avoir essayé quelque chose de différent qui était osé et risqué.
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Je reste encore surprise du récit de la Guerre des Mondes de H.G. Wells qui a réussi à décrire des concepts scientifiques difficiles à appréhender pour son époque. Il en va de même avec Ray Bradbury et sa description des écrans qui envahissent le quotidien et la destruction des livres dans Farenheit 451. Ce que j'appelle le "génie" d'un auteur, c'est cette capacité à pressentir ce que l'humanité pourrait accomplir et leur compréhension de la nature humaine.
#toldendegrangaudi#tolden_ln#fanzine#grangaudi#cafegaudi#a drawing a day#february art challenge#robot art#robots#robot#isaac asimov#ray bradbury#h.g. welles
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Claudia et la mentalité de la victime (Claudia and victim mentality)
Si il y a bien une chose que je trouve que la série met assez en avant c'est que Claudia se présente en tant que victime contre les dragons et les elfes. Et en cherchant de ce côté là, il y a des traits qui m'ont fait penser à Claudia ainsi que la mentalité de la victime.
Le premier qui vient à l'esprit est souvent qu'ils blâment leurs malheurs sur les autres. Pouvant même avoir un élitisme moral leur donnant un point de vue noir et blanc. Ce qu'on pu voir avec sa discussion avec Soren. Le fait qu'elle dit que l'humanité a souffert et que les elfes et les dragons n'ont pas levés le doigt à part Aaravos. Ou bien quand elle dit que la magie noire a sauvé son frère. Mais qui aussi n'hésite pas à se montrer cruel contre Ibis voir même sadique quand elle affronte un dragon. Et c'est justement parce que la raison, "elle fait ça pour sauver son père". Mais c'est souvent parce qu'on justifie de tels actes qu'on ferme les yeux sur des actes horribles.
Viren n'en a pas mené large car c'est aussi par son influence que Claudia ira plus loin et c'est ce que craint Viren dans son cauchemar. Soren a pu se détacher de Viren avant qu'il soit trop tard mais Claudia s'y accroche désespérément. Rien que le fait qu'elle ait ramené à la vie montrant ses cheveux devenir blancs suite aux effets de la magie noire. A tel point que ça la consume ! La mort de Viren va plus la mener dans le désespoir. Comme on peut le voir dans le teaser de la saison 6, où on voit son regard vide, elle a perdu son phare, n'entendant même pas les paroles de Terry.
L'un des autres traits est aussi le manque d'empathie, lorsqu'elle provoque Rayla en montrant sa famille coincé dans les pièces mais qu'elle la piège pour sauver Terry. Et elle était prête à partir en laissant Rayla comme ça. Ou bien dans l'épisode où elle retrouve Callum, Ezran dans la mer des bannis. Ou elle joue la carte de l'empathie et ainsi les manipuler. En disant que si ça avait été Harrow, est ce qu'ils auraient pas été tenté ? Mais dés que le plan ne marche pas, elle menace de les tuer jusqu'à ce Rayla coupe sa jambe. Et que Callum annule son sort. Ce qui pourrait s'attribuer des intentions négatives à l'oppresseur où, elle voit plus Callum et les autres que comme des ennemis.
Dans ce cas qu'en est-il de ceux qui l'accompagnent ? Viren était à l'état végétatif ne pouvant pas faire grand chose. Et c'est justement ce qui inquiétait Claudia mais aussi la frustrait car elle voulait se dépêcher pour sauver son père. Elle n'a plus son phare ! Monsieur Bavetout, dans l'histoire courte, on a pu voir qu'elle essaie d'entrer en contact avec Aaravos. Et que l'un des seuls dialogues avec lui était 'L'être qui va émerger de ce cocon est celui qui te guidera vers celui qui a les réponses". "N'aie pas peur, tu es une mage noire puissante. Avec mon aide, il y a rien que tu puisses pas réparer pas même la mort". Ce qui n'aide pas spécialement !
Terry alors ? Il a été une influence positive mais le truc c'est que dans cette relation, c'est que leurs principes et les valeurs morales ne sont pas plus défiés ou bien changer. Terry a toujours cru qu'elle avait une raison pour agir ainsi et bien qu'il a pu l'arrêter quand elle a trompé Rayla en lui donnant les vraies pièces cette fois ci ou bien qu'il l'arrête pour qu'elle évite de tuer un dragon. Et ce sont que des petits moments mais ne changent pas pour autant la mentalité de Claudia pour autant. Et bien que Terry a tué Ibis et que ça l'a fait mal, il arrive à la conclusion, qu'il continuera à ressentir des choses. Quand Terry lui propose de se reposer, elle est sur la défensive ne comprenant pas ce besoin. Jusqu'à ce que Terry trouve la solution de créer un bateau, bateau qui a fait tomber Viren lors de la chute de la cascade.
C'est justement ça que je trouvais qui se diffère avec le Rayllum où justement leurs points de vues envers les humains et les elfes changent peu à peu, ce qui rendait leur couple solide. Quand Terry s'était présenté dans la saison 4, j'ai toujours eu cette impression que Claudia voulait remplacer ce vide qu'elle avait avec Terry et c'était agréable. Mais ça dure jamais longtemps. J'avais comparé Viren à un phare, Terry je le verrais comme un ancre qui a permit de garder Claudia. Mais cet ancre est rouillé va peu à peu se briser.
Et dans tout ça à qui ça profitera plus la détresse de Claudia ?Aaravos. Claudia est dans un état vulnérable. Et Aaravos l'utilisera pour justement avancer dans ses plans. La question est ce qu'il va faire exactement ? Va-t-il renforcer sa mentalité de victime en redirigeant sa rancoeur et sa colère sur des innocents ? Ou bien Claudia si elle a la possibilité de lui parler, lui crachera tout son ressenti en blâmant Aaravos pour la mort de son père mais dira que celle qui a perdu du temps à le sauver, c'était elle ?
If there's one thing I find the series emphasizes enough, it's that Claudia presents herself as a victim against dragons and elves. And when I looked into it, there were traits that reminded me of Claudia, as well as the victim mentality.
The first that comes to mind is often that they blame their misfortunes on others. They may even have a moral elitism that gives them a black-and-white point of view. We saw this in her discussion with Soren. The fact that she says humanity has suffered and that elves and dragons haven't lifted a finger except for Aaravos. Or when she says that dark magic saved her brother. But who also doesn't hesitate to be cruel to Ibis, or even sadistic when she confronts a dragon. And it's precisely because the reason, "she's doing it to save her father". But it's often because we justify such actions that we turn a blind eye to horrible ones.
Viren doesn't have it easy, because Claudia's influence will also take her further, which is what Viren fears in his nightmare. Soren was able to detach himself from Viren before it was too late, but Claudia clings to him desperately. Just the fact that she's brought him back to life shows her hair turning white from the effects of dark magic. So much so that it consumes her! Viren's death will drive her further into despair. As we can see in the season 6 teaser, where we see her blank stare, she's lost her beacon, not even hearing Terry's words.
One of the other traits is also the lack of empathy, when she provokes Rayla by showing her family stuck in the rooms but tricks her into saving Terry. And she was ready to go, leaving Rayla like that. Or in the episode where she finds Callum, Ezran in the Sea of Castouts. Or she plays the empathy card and manipulates them. By saying that if it had been Harrow, wouldn't they have been tempted? But as soon as the plan doesn't work, she threatens to kill them until Rayla cuts off her leg. And until Callum undoes her spell. Which could be attributing negative intentions to the oppressor, where she sees Callum and the others as more than enemies.
In that case, what about those accompanying him? Viren was in a vegetative state, unable to do much. And this was precisely what worried Claudia, but also frustrated her, as she wanted to hurry to save her father. She no longer has her beacon! Sir Sparklepuff, in the short story, we saw that she tries to make contact with Aaravos. And that one of the only dialogues with him was 'The being who will emerge from this cocoon is the one who will guide you to the one who has the answers'. "Don't be afraid, you're a powerful dark mage. With my help, there's nothing you can't fix not even death." Which isn't particularly helpful!
What about Terry? He's been a positive influence but the thing about this relationship is that their principles and moral values aren't more challenged or well changed. Terry has always believed that she had a reason for acting the way she did and while he may have stopped her when she cheated on Rayla by giving her the real coins this time or stopped her from killing a dragon. And these are only small moments, but they don't change Claudia's mentality for all that. And although Terry killed Ibis and it hurt, he comes to the conclusion that he will continue to feel things. When Terry offers her a rest, Claudia gets defensive, not understanding the need until Terry comes up with the solution of creating a boat, the boat that knocked Viren over when he fell off the waterfall.
That's exactly what I found different about Rayllum, where their views of humans and elves gradually change, making their relationship strong. When Terry showed up in season 4, I always had this impression that Claudia wanted to replace the void she had with Terry, and that was nice. But it never lasts long. I'd compared Viren to a beacon, Terry I'd see as an anchor that kept Claudia. But this rusty anchor will gradually break.
And who will benefit most from Claudia's distress? Aaravos. Claudia is in a vulnerable state. And Aaravos will use her to further his plans. The question is, what exactly will he do? Will he reinforce her victim mentality by redirecting her resentment and anger onto innocent people? Or will Claudia, if she gets the chance to talk to him, spit out all her resentment, blaming Aaravos for her father's death but saying that the one who wasted time saving him was her?
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En voyant un de tes reblogs sur l'empire byzantin je me demandais si tu avais vu la série Netflix sur la Chute de Constantinople?
(oui sur une des posts il y a le Constantin de la série lol)
En un mot comme en cent, c'est franchement mauvais, il y a un gros biais pour faire passer Mehmet comme un super roi conquérant trop OP avec tout plein de prophéties, mais qui passe en réalité pour un charlot, et si Constantin passe pour quelqu'un de faible entouré d'incapables et de traîtres, mais qui reste courageux jusqu'à la fin.
Je ne sais pas si les costumes ou si les décors sont censés être assez fidèles à l'époque, mais si jamais tu veux regarder quelque chose de mauvais pour en rire, ben il y a ça sur Netflix!
(Même si le rôle de la mère de Mehmet est le rôle féminin le plus intéressant dans cette série qui n'en a aucun autre, dans le sens où elle essaie de freiner les renforts de son père qui veulent rouler sur les Ottomans pendant qu'il fait le pied de grue devant Constantinople - si tu peux faire abstraction du "mais 10 ans se sont passé, les hommes ont des barbes grises et quelques coups de crayon sur le visage, mais elle elle n'a pas changé d'un iota?" intrinsèquement lié aux adaptations télévisées).
J'en ai entendu parler mais je ne l'ai pas encore vue (mais j'ai reconnu le Constantin de la série car sa prestation a été visiblement très appréciée dans certains cercles). En général, je me méfie des productions turques à ce sujet, elles sont souvent bourrées de propagande, quand elles ne sont pas directement produites par des chaines appartenant à l'état.
Pour Constantin XI qui passe pour quelqu'un de faible...ce n'est pas complètement éloigné de la réalité. Malgré l'image dorée de martyr que lui a fait la postérité, ce n'était pas vraiment un bon général, ni un diplomate, ni un grand dirigeant quand on regarde l'ensemble de ses actions et de sa carrière. Il a quelques coups pas du tout reluisants à son actif. De plus, on ne sait au final pas vraiment comment se sont déroulés ses derniers instants. Bien sûr, je note aussi la situation impossible dans laquelle il se trouvait et sa détermination à se battre jusqu'au bout.
Je te conseille l'ouvrage de Marios Philippides à son sujet (on le trouve sur des sites qui hissent haut le jolly roger). Non seulement c'est un livre récent mais il s'appuie en plus de manière très rigoureuse sur les sources d'époque et il essaie de comprendre qui était l'homme derrière le mythe.
Mais bon, s'ils ont lavé Mehmed plus blanc que blanc, ils auraient pu aussi remonter le niveau pour Constantin XI. Parce que bon, d'après ce que j'ai compris, ça passe bien sous silence les massacres commis une fois la ville tombée. D'ailleurs si tu veux rigoler je te conseille de regarder la scène finale du film 1453 Fetih. On ne peut pas aller plus loin dans la UWUification de l'histoire.
J'ai aussi vu que Loukas Notaras joue le rôle du traitre et du méchant de service alors qu'en vrai sa position était beaucoup plus pragmatique, mais loin d'être un traitre, et que la postérité a contribué à lui donner une légende noire.
Je ne comprends aussi pas trop le délire d'avoir donné autant d'importance à Giovanni Giustiniani. De ce que j'en ai vu, ils montrent ça comme si la défense de Constantinople avait reposé sur lui seul ???
Et pour les décors bon...la ville et le palais étaient dans un certain état de pauvreté à cette époque et ça a l'air d'être ça (les empereurs n'avaient même plus de quoi se payer une vraie couronne). Pour les costumes c'est ok. Pas 100% fidèle, mais c'est bien mieux que ce qu'on a pu voir dans d'autres productions même s'il y a quand même du gros n'importe quoi (et puis c'est quoi ce délire avec les turcs en cuir noir ?). Mais le problème est que le niveau de base est très bas. Il n'y a qu'à voir l'immondice qu'une récente série sur les vikings nous a pondu.
Tant mieux si le rôle de Mara Branković reste intéressant vu que c'était un personnage très influent.
En tout cas, je sais quoi regarder si je veux rigoler !
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Le bail du Graal dans Kaamelott me FASCINE you don't even know. C'est une forme de paganisme tellement méga poussée et pourtant les persos se considèrent christianisés. C'est trop intéressant pcq en plus, le syncrétisme bizarre présenté dans la série n'est même pas historique (mais alors PAS DU TOUT).
J'explique : le concept du Graal dans Kaamelott, c'est que cet objet est supposé être "la lumière pour tous les peuples," qui va apporter la vie éternelle et le salut aux hommes right? Càd les attributs de Jésus dans les évangiles; attributs qui lui sont exclusivement propres.
Ptit récap aux oignons pour ceux qui connaissent pas :
"En [Jésus] nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce." (Ephésiens 1:7)
"Jésus leur parla de nouveau, et dit: Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie." (Jean 8:12)
"Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle. En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes." (Jean 1:4)
"Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s'est donné lui-même en rançon pour tous." (1 Timothée 2:5-6)
"Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier." (1 Jean 2:2)
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle." (Jean 3:16)
"Mes brebis entendent ma voix; je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main." (Jean 10:27-28)
On voit bien que 1) tout ça, c'est exactement comment les persos parlent du Graal, donc comme si c'était Jésus lui-même, et 2) y a rien dans le texte biblique qui permette que ces caractéristiques de Jésus soient conférées à un objet. Mais c'est intéressant pcq le sacrifice de Jésus est souvent, par métonymie, appelé son sang (versé pour nous). D'où la déformation possible - si on venait à prendre 'sang' littéralement, d'un coup on aurait besoin d'être en présence physique du sang de Jésus pour être sauvé, plutôt que d'avoir foi en son sacrifice. Et du coup, puisque le sang ne peut pas exister par lui-même, il faudrait chercher l'object qui l'a contenu. Et du coup, l'objet devient l'objet de la quête.
(Sauf que cette coupe qui contient le sang de Jésus ? Spirituellement, c'est n'importe quelle coupe utilisée pour boire le vin de la sainte-cène, càd le pain et le vin partagés entre chrétiens en souvenir du sacrifice. Luc 22:19-20. Le rêve d'Arthur, où il s'imagine que Perceval paume le Graal dans les coupes de la taverne ? Bah c'est plus proche de la Bible finalement. Mais comme le Graal, c'est ramener sur le plan matériel des réalités qui le transcendent, ça devient le recipient de la première sainte-cène littéralement utilisé pour récolter le sang de Jésus.)
Et du coup cette quête c'est la chose la moins chrétienne qui soit pcq : - tu mets la grace universelle et sans limite du Dieu créateur dans un objet symbolique (définition de l'idolâtrie) - tu remplaces un salut surnaturel et transcendant qui réconcilie les humains avec le divin par un salut matériel basé sur l'adoration d'une chose terrestre (la foi spirituelle est replacée par la religion/les rites) - et tu prends un message clair et sans ambiguïté ('Jésus est mort et ressuscité pour le péché de ce monde, croyez et soyez sauvés') par une quête abstraite, apparemment impossible, 5 siècles après Jésus (donc personne n'a été sauvé entre temps, alors que sur la croix, Jésus a dit "tout est accompli").
Le Graal est flou, personne sait où il est, ce que c'est, s'il existe, même pas les dieux - ce qui est à l'opposé de Jésus, incarnation de la Parole (càd de la vérité/du sens/de la clarté). Rien dans le concept même du Graal ne colle avec la Bible. (Surtout pas l'interprétation d'Arthur, que Jésus est mort pour que tous soient coupables - pcq pour le coup oui, si la seule chose que sa mort donne à l'humanité c'est une Quête impossible pour le salut, Il a juste condamné tout le monde; sauf que c'est absolument pas ce qui est dit dans la Bible.)
D'où ça vient, alors ? Comment est-ce que cette croyance est apparue dans le monde de Kaamelott ?
Dans la vraie vie, l'apparition du Graal dans les légendes arthuriennes vient de fanfics de la mythologie celte mises à la sauce catho, mais ça s'est fait... au XIIème siècle !! (Plus exactement, le Graal lui-même est introduit au XIIème siècle, recyclé du concept irlandais du chaudron d'immortalité, et il n'est appelé une relique chrétienne qu'au XIIIème siècle.) Ce mélange est un énorme double retcon, en gros. Le Graal n'existait pas chez les celtes du 5ème siècle, ni en temps qu'objet de culte païen, ni en temps qu'objet païen adapté au christianisme.
Pareil avec le Saint-Suaire - la première fois qu'un texte quelconque en parle, c'est au XIVème siècle. (Fun fact : les clous, pas contre, y a des refs qui datent du 4ème siècle.)
Donc en gros, dans Kaamelott, les persos ont des croyances qui sont impossibles pour leur époque. Les anachronismes sont pas méga surprenants, vu par exemple la jeunesse d'Arthur dans une Rome des années 460 où le christianisme est à peu près aussi mainstream que le pastafarisme. Historiquement, Rome était officiellement 100% chrétienne depuis environ 140 ans. C'était plus Spartacus et Astérix.
Mais encore une fois, outre les anachronismes... le Graal vient d'où, dans Kaamelott ? Puisque dans la vraie vie, ce sont des chrétiens qui ont pompés des vieilles légendes celtes pour le créer, pas des celtes qui ont déformés leurs propres mythes quand leurs propres cultes existaient encore.
Pour moi, tout ce bazar justifie une interprétation clairement pas voulu par Astier - que 'in-universe,' on peut voir la Quête du Graal dans Kaamelott comme une invention par les dieux celtes non-sanctionné par le "Dieu unique," dans un pari désespéré pour que leurs cultes disparaissaient pas.
J'irais même jusqu'à dire qu'on peut défendre l'idée que Dieu est carrément contre et qu'Arthur a en fait deux destinées séparées : une avec Excalibur et le Graal, d'après les dieux celtes, suivant les lois et la morale celte, et une selon Dieu, avec la fidélité à Guenièvre notamment.
Pour étayer ça, y a le fait que la Dame du Lac - qui est très ouvertement celte, envoyée et porte-parole des dieux celtes - est une force moteur de la Quête du Graal sans jamais être capable d'expliquer pourquoi Dieu délègue. Y aussi que les ordonnances des dieux celtes, directement liées au succès de la quête, sont souvent à l'opposé exacte de la loi biblique (ex : Arthur commet une double faute en épousant Mevanwi et en l'épousant sans tuer Karadoc, alors que dans l'histoire de David, le plus grand des deux péchés n'est pas l'adultère mais le meurtre d'Uri, le mari de Bathshéba.)
Il y a bcp, bcp d'autres trucs, mais ce post est bcp trop long donc je détaillerai ça une autre fois.
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Flufftober 2024 : Gland, châtaigne, pomme de pin
5 octobre
Gland, châtaigne, pomme de pin (Acorn, chestnut, pine cone)
Guillaume de Baskerville & Adso de Melk (Le Nom de la Rose/série)
« Tu serais bien en difficulté, mon cher Adso, déclara Guillaume en tenant le fruit rond, brun avec sa tâche blanche, à deux doigts, si tu entreprenais de l'ingurgiter. Ce que nous appelons "marron" dans le vocabulaire culinaire n'est autre que la châtaigne. »
Adso, parfois, se demandait si son maître parlait tout seul dans ses longues, incessantes errances solitaires. Il en aurait été bien capable et ça semblait même vital, quand on connaissait la personne érudite, curieuse, observatrice, inépuisable qu'il était. Les pensées n'arrêtaient jamais de tourner dans sa tête. Il devait avoir besoin de les exprimer, peu importait que ce soit à personne en particulier. En ayant un apprenti, il profitait de cette compagnie pour concrétiser ses propos fusant comme l'éclair, parfois récolter une question ou une objection, toujours pour lui dispenser du savoir.
« Dans ce cas, répondit Adso, jouant de cette singularité de son maître et de leur complicité, pourquoi avoir nommé ça des "marrons chauds" ?
-Je te dirai ça lorsque j'en aurai rencontré le créateur! rétorqua Guillaume. Dans le royaume de Dieu, je l'espère, et le plus tard qu'il Lui agréera de me laisser torturer l'esprit afin de trouver une réponse! À moins que tu ne la veuilles tout de suite ?
-Bien sûr que non ! Que deviendrais-je ici sans vous.
-Je pensais seulement aller consulter la raison de cette incohérence lexicale dans un traité de gastronomie. Mais si tu ne peux pas me laisser hors de vue pendant plus de quelques heures…
-J'avais deviné. Mais que voulez-vous que je fasse, seul et démuni, dans cette forêt méditerranéenne où vous m'avez entraîné ? Je ne saurais par quelle route faire le chemin inverse ! »
Guillaume rit de leurs plaisanteries et donna une tape sur la joue du jeune homme avant de rependre sa route. En effet, le sol sous leurs sandales s'élevait désormais en pente, avec des cailloux gris mouvants et des pommes de pin qui étaient tombées des arbres. Ils dégageaient une puissante odeur de résine et on entendait presque bruisser les cigales. Il paraissait à Adso que des mois entiers s'étaient écoulés depuis qu'ils avaient quitté les bois de chênes, leurs feuilles rondes et les glands qui tapissaient la terre, leur quiétude rafraîchissante, en un autre royaume, un autre idéal, d'autres existences qu'il ne comprendrait jamais.
Il était un Bénédictin en noviciat, issu de cette contrée qu'on appelait la Germanie, et il lui semblait que sa vie ne consistait qu'à accompagner Guillaume de par le monde. Il était lui-même un Franciscain originaire des îles britanniques mais ils s'entendaient si bien ! C'était un véritable plaisir de suivre chacun de ses pas plutôt que la folie des hommes.
Le soir venu, les deux voyageurs dégustèrent les châtaignes que le maître avait apportées dans son sac. Ils les firent griller sur un feu de bois sec puis Adso s'endormit à même le sol, la tête et les mains enveloppées de sa soutane. Sous ce ciel pur constellé d'étoiles que Guillaume étudiait parfois à l'aide de ses instruments d'astronomie, que pouvait-il lui arriver? Rien; il en avait la certitude à chaque fois qu'il sentait son maître rabattre leur unique drap sur lui.
#flufftober2024#day5#name of the rose#le nom de la rose#william & adso#guillaume & adso#master and apprentice
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Lady Jane Grey (1537-1554)
Si vous suivez l’actualité des séries, vous aurez vu passer les news sur la série My Lady Jane, adaptation du roman éponyme de Jodi Meadows, Brodi Ashton et Cynthia Hand. Mais la vraie Jane Grey a eu un destin plus tragique : on ne l’appelle pas pour rien « La reine des neuf jours »
Ou celle qui n’a régné que neuf jours sur l’Angleterre.
Si je vous demande de me donner des noms de monarques sous la dynastie des Tudors, vous allez me dire Henry VIII et Elizabeth I. Les plus historiophiles me diront : Henry VII, Henry VIII, Edward VII, Mary I et Elizabeth I.
Vous en avez oublié un.
Vous avez oublié Lady Jane Grey.
Figure relativement connue en Angleterre, inconnue au bataillon en France, l’histoire de Jane est une véritable tragédie shakespearienne.
Jane est le premier enfant et la première fille de Henry Grey, Duc de Suffolk (1517-1554) et de Lady Frances Brandon (1517-1559).
Elle descend de la vieille noblesse anglaise par son père.
Sa mère, quant à elle, est la fille de Charles Brandon (C. 1484-1545) qui a été un ami proche d’Henry VIII (1491-1547) et de Marie Tudor (1496-1533), la sœur d’Henry, laquelle mériterait elle aussi son petit article.
Notre Jane est donc une petite-nièce du roi d’Angleterre et une cousine des futurs Edward VI, Mary I et Elizabeth I.
Elle naît vers 1537 à Bradgate, non loin de Leicester.
Jane s’avère être une enfant précoce, scolaire, qui aime les études. Elle est élevée dans la foi protestante. Vers ses 10 ans, elle est confiée à la reine Catherine Parr (1512-1548), la veuve d’Henry VIII, laquelle s’occupe déjà de l’éducation de sa belle fille, la future Elizabeth I (1533-1603), pour laquelle elle a une profonde affection.
L’enfance de Jane n’est guère heureuse : sa mère est une mère abusive et maltraitante. Elle l’insulte, la rabaisse, la frappe, pensant ainsi l’endurcir car sa fille, de nature timide et soumise, l’irrite. Ainsi, malgré ses capacités, la jeune fille se croit idiote et surtout indigne de ses parents, comme elle le confiera à Roger Ascham (1515-1568), le précepteur qu’elle partage avec Elizabeth :
« Quand je me trouve en présence de mon père ou de ma mère, si je parle, me tais, m’assois, suis debout, pars, mange, bois, me réjouis ou m’attriste, couds, joue, danse, fais n’importe quelle chose, il faut que je l’entreprenne comme si la tâche était d’une importance infinie et que je l’achève à la perfection avec laquelle Dieu a créé le monde ; sinon, ils me raillent sans merci, ils me menacent cruellement, parfois par la force… pour que je me croie être en enfer. »
Sous l’égide de Catherine Parr, Jane est plus heureuse et reçoit enfin l’affection dont elle a tant besoin.
Hélas, ces jours heureux ne durent pas et un an après son entrée dans la maison de Catherine, Jane doit lui dire adieu : en effet, la reine douairière, qui s’était remariée à Thomas Seymour, l’oncle d’Edward VII, meurt en mettant au monde son première enfant, une petite Mary, dont on perd la trace après sa deuxième année de vie. Agée de 11 ans, Jane sera le « chief mourner » lors des funérailles : c’est elle qui veillera le corps. Thomas, lui, sera arrêté et exécuté pour trahison.
Jane rentre donc à Bradgate pour y poursuivre sa vie.
On commence à envisager son mariage : Thomas Seymour, du temps où il vivait encore, avait suggéré qu’elle épouse son neveu ! Il semble l’avoir tenue en haute estime : lui proposer la main du roi, dire qu’elle pouvait rester chez lui après le décès de Catherine, ce qui a été annulé suite à son arrestation…
Jane, elle, aimerait bien épouser Edward Seymour (1539-1621), le neveu de Thomas, ce qui ne se fera pas et l’homme épousera, plus tard… Catherine, la plus jeune sœur de Jane !
Frances, la mère de Jane, décide de lui faire épouser Guilford Dudley (1535-1554), pour le plus grand effroi de sa fille qui déteste cette famille. Une bonne petite rouste et le mariage est célébré le 25 mai 1553.
Sinon, au gouvernement, on se pisse dessus : Edward, le jeune roi, est à l’agonie, rongé par la tuberculose. Il n’est pas marié, il n’a pas d’enfants et selon l’acte de succession instauré par son père, s’il meut sans héritier, la couronne revient à l’aîné de ses sœurs : Mary (1516-1558).
Le souci, c’est que Mary est… catholique !
Pour vous la faire courte parce que l’histoire religieuse sous Henry VIII est un bordel !
Quand Henry VIII accède au trône à 18 ans, l’Angleterre est catholique. Henry est pieux, il défend la foi chrétienne, il rédige des écrits contre l’hérésie, tant est si bien que le pape le considère comme défenseur de la Foi, ce qui est un titre qui pète sa mère quand vous êtes croyant.
Henry est marié à Catherine d’Aragon (1485-1536), la veuve de son frère Arthur, et contrairement à ce que l’on pourrait penser, Henry ne l’épouse pas tant pour conserver l’alliance entre son pays et les royaumes de Castille et d’Aragon mais parce qu’il est sincèrement amoureux ! Le problème, c’est que des six grossesses qu’ils ont, seuls deux enfants sont nés : le petit Henry, mort à 52 jours de vie et Mary.
Ce qui fait qu’Henry n’a pas d’héritier mâle alors qu’il est la deuxième génération des Tudor, son père ayant gagné la couronne lors de la guerre des Deux Roses qui a mis fin au conflit entre les Lancastre et les York. (Je vous la fais courte, ça aussi, c’est un bordel!). Ca la fout mal.
Selon la Bible, on n’a pas le droit d’épouser la veuve de son frère, sinon on est condamné à ne pas avoir d’enfants. Sauf si le mariage n’a pas été consommé : là, le frère doit prendre sa belle-sœur pour femme. Catherine soutient et soutiendra jusqu’à sa mort qu’elle est arrivée vierge dans les bras d’Henry.
Sauf que pour Henry, l’absence d’enfant, il la traduit par l’absence de fils vivant, surtout que la belle Anne Boleyn (c.1501-1536) commence à lui faire de l’oeil et contrairement à sa sœur Mary Boleyn (C.1499-1543) qui a été la maîtresse du roi, elle refuse de coucher avec lui et de n’être qu’une maîtresse. La bague au doigt sinon rien !
Henry cherche donc à faire annuler son mariage, le Pape refuse (il kiffe Catherine et il n’a pas envie de se mettre son neveu, Charles Quint (excusez du peu), à dos). Du coup, Henry dit au Pape d’aller se faire voir chez les grecs, il fonde sa propre église : l’Anglicanisme, qui est un mélange entre le catholiscime et le protestantisme, dit qu’il est le chef de l’Église dans son pays, il fait annuler son mariage, il épouse Anne qui lui donne Elisabeth, avant de la faire exécuter le 19 mai 1536 pour épouser, dix jours plus tard, Jane Seymour (c.1508-1537) qui lui donnera enfin le garçon tant espéré : Edward.
Sauf que pour annuler les mariages, il a fallu reconnaître qu’ils n’étaient pas légaux, donc dire que ses deux filles étaient des bâtardes.
Vers la fin de sa vie, en signe de réconciliation, Henry crée l’acte de succession, mettant ses filles dans la lignée, si et seulement si leur frère n’a pas d’héritier légitime.
Ca va, vous suivez toujours ?
Du coup, on est en juin 1553, Edward est en train de mourir, il n’a pas d’enfants et si Mary prend le trône, elle qui est une catholique convaincue, elle va tout faire pour remettre l’Angleterre dans le giron de Rome et forcément, le gouvernement ne veut pas ça.
Edward, élevé en protestant, malgré l’amour qu’il a pour sa sœur (et marraine!) ne le veut pas non plus.
Pensant donc protéger son pays, il décrète que c’est sa cousine Jane Grey qui est son héritière puisque ses deux sœurs, Mary et Elizabeth, sont des bâtardes.
Oui, encore une fois.
Le 06 juillet 1553, Edward meurt et le beau-père de Jane, John Dudley : le duc de Nothumberland, la proclame reine. Si Jane l’accepte, elle semble le faire avec énormément de réticence. Elle élit domicile à la Tour de Londres et refuse que l’on appelle son mari « le roi ». Il sera duc de Clarence, c’est déjà pas mal.
Evidemment, Mary n’accepte pas la situation, rallie rapidement ses partisans et aux côtés d’Elizabeth, elle marche sur Londres pour récupérer son trône.
Oui, on dirait un épisode d’House of the Dragon ou de Game of Thrones, c’est normal, George R.R Martin s’est énormément inspiré de cette période de l’Histoire pour écrire son banger qu’est « A Song of Ice and Fire », les livres qui ont crée cet univers.
Malgré ses tentatives, le duc de Nothumberland ne parvient pas à consolider le pouvoir de Jane et neuf jours après son accession au trône, la voilà déchue : les partisans de Mary ont réussi à la priver de ses droits le 19 juillet 1553, soit 9 jours après son arrivée sur le trône d’Angleterre puisqu’on ne lui a annoncé tout cela que le 10 juillet.
Mary est à Londres le 03 août et elle reprend sans efforts ce qu’elle considère être son droit.
Le 12 novembre 1553, un procès a lieu et Jane est reconnue coupable de haute trahison et condamnée à mourir « brûlée vive ou décapitée, selon le bon plaisir de la reine ». L’ambassadeur d’Espagne rapporte à Charles Quint, cousin de Mary, que sa vie devrait être épargnée. Jane écrit à Mary, s’excuse pour le mal qui lui a été causé, lui relate la vérité des événements. Dans cette lettre, elle se décrit comme une femme aimant son époux. D’ailleurs, Guilford, dans sa cellule, a gravé le prénom de Jane. Est-ce pour elle ou en hommage à sa mère, seul lui le savait.
A la surprise générale, Mary se montre étonnamment bienveillante : elle refuse de punir Jane ! Elle a bien compris que cette pauvre adolescente de 16 ans n’a été qu’un pion sur l’échiquier politique des plus grands. Si elle la garde enfermée, elle refuse de faire exécuter la jeune fille.
Hélas pour Jane, les conseillers de Mary la pressent : son choix est beau, il est noble mais Jane demeure, malgré elle, un point de ralliement pour les protestants. De plus, la rébellion de Sir Thomas Wyatt en 1554 précipite la fin de Jane : Thomas Wyatt voulait renverser Mary, catholique, pour mettre sa sœur Elizabeth sur le trône car protestante. Lors de son exécution, Wyatt démentira la participation de la princesse dans ce complot.
La mort dans l’âme, Mary doit se résoudre à signer les arrêts de mort de Jane et de Guilford.
Le 12 février 1554, Guilford est décapité à la hache. On dit qu’il a fait face à son destin avec courage. De sa fenêtre, Jane aurait murmuré : « Oh, Guilford, Guilford ! ».
Le même jour, Jane monte sur l’échafaud.
Mary demande à ce que l’exécution ait lieu à Tower Green, une pelouse de la Tour de Londres, loin des yeux curieux, afin qu’elle soit exécutée en petit comité, un honneur généralement réservé aux personnes de sang royal.
Jane prononce ces quelques mots :
« Gens de bien, je viens ici pour mourir, condamnée par la loi au même lot. L’acte contre la majesté était illégitime, comme ma participation : mais ce jour, pour autant que je l’aie désiré et en aie ambitionné l’achèvement, j’en lave les mains, devant Dieu et devant vous, bons chrétiens. »
Elle récite ensuite Miserere mei Deus (psaume 50) en anglais. John Feckenham, un chapelain catholique, lequel n’a pas pu la convertir à la foi de la reine, reste à ses côtés.
C’est elle qui s’agenouille, qui se bande les yeux mais alors qu’elle cherche, en vain, le billot du bout des doigts, elle panique : elle craint de mourir sans dignité et s’exclame « Que dois-je faire ? Où est-il ? ». Une âme charitable mène son bras et le bourreau l’exécute sans heurt.
Jane et Guilford reposent en paix, côte à côte, dans la chapelle de Saint Peter ad Vincula.
Le père de Jane, Henry, est exécuté onze jours plus tard, le 23 février 1554.
Frances, sa mère, vivra dans la pauvreté sous le règne de Mary. La reine se montre magnanime, même si elle reste méfiante, la laisse vivre à Richmond et engage à son service ses deux filles survivantes, Mary et Catherine, comme dames d’honneur.
Le père et les frères de Guilford demeureront emprisonnés mais Mary leur pardonnera. Robert, l’un des frères de Guilford, sera libéré et sera le grand ami (voire le grand amour) d’Elizabeth I.
Jane, quant à elle, survit dans les mémoires surtout grâce à la série My Lady Jane qui vient de sortir et avec le film Lady Jane de 1986 où son rôle est tenu par nulle autre qu’Helaena Boham Carter.
– Marina Ka-Fai
Si toi aussi tu veux en lire plus sur Jane, tu peux aller regarder ces sources :
Jane Grey : épisode de l’histoire d’Angleterre. Tome 1 d’Alphonse Brot
Nine Days Queen of England de Faith Cook
Lady Jane Grey : A Tudor Mystery d’ Eric Ives
Lady Jane Grey: Nine Days Queen, d’Alison Plowden,
Sovereign Ladies : Sex, Sacrifice, and Power. The Six Reigning Queens of England de Maureen Waller, ;
Children of England: The Heirs of King Henry VIII d’Alison Weir
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depuis combien de temps fais-tu du rp? — j'ai un peu du mal à compter et établir une durée parce que j'ai une mauvaise mémoire, mais je dirais une dizaine d'années... et seulement 5 ans sur forum.
quel était le premier personnage que tu as créé? — le tout premier je ne m'en souviens plus du tout, c'était sur une simulation de vie mais en rp, bref. mon premier perso sur un forum c'était Elvira quelque-chose (faut pas me demander de me souvenir des noms de famille...) et c'était une chasseuse de vampires !
quels sont les faceclaims que tu utilisais souvent à tes débuts? — j'aimais beaucoup nina dobrev (la faute à tvd), puis mila kunis, bella hadid et zendaya. parce que oui, je jouais que des femmes à l'époque.
y a-t-il un genre/univers dans lequel tu n'aimes pas du tout rp? — les univers post-apocalyptiques (ça dépend en réalité du contexte, je suis certaine que certains peuvent être géniaux) et dès qu'il y a des zombies. ça, c'est vraiment un gros non pour moi, ça ne m'attire pas du tout (mais j'ai eu le courage d'essayer pour faire plaisir à un ancien partenaire, je n'ai même pas fini ma fiche de présentation). et harry potter, pour des raisons évidentes de boycott de l'autrice.
quelles sont les dynamiques entre personnages/types de liens que tu aimes le plus? — comment me détacher du enemies to lovers qui hantent mes nuits et mes journées. je suis très fan de ce lien, de cette incompréhension initiale entre les deux, puis du moment où ils réalisent que finalement, de la haine à l'amour il n'y a qu'un pas, et l'acception de leurs défauts mutuels. j'aime aussi beaucoup les familles brisées, avec des liens complexes où l'amour se mêle à la frustration et la rancoeur. et plus globalement, tous les liens nuancés.
dans quels fandoms ou univers aimes-tu le plus rp? — je suis plutôt team réel. j'adore la fantasy, mais j'ai souvent du mal à y rester et à évoluer parce que ce sont des contextes qui me demandent plus d'énergie pour me plonger dans le personnage et les détails de l'univers. cependant si je devais choisir un fandom, ça sera shadow and bone parce que j'ai vraiment adoré la série et que je reste fan des grishas.
un personnage que tu ne joues plus actuellement mais que tu aimerais reprendre? — reprendre pas forcément parce qu'une fois que je mets les personnages au placard, ils y restent... mais j'ai adoré jouer un personnage bipolaire inspirée de rue dans euphoria, elle était chaotique et authentique. je ne m'ennuyais jamais, ni en rp, ni en sms. elle était parfaite dans son imperfection.
y a-t-il des archétypes de personnages que tu joues souvent? — je sais pas trop, je ne pense pas. en général, j'essaye toujours de varier les plaisirs parce que je n'aime pas avoir des personnalités trop proches les uns des autres, auquel cas je me mélange les pinceaux. donc au final, j'essaye toujours de trouver des archétypes différents.
y a-t-il un livre ou un écrit autre qui t'as beaucoup influencé·e pour écrire? — au tout début de mon aventure rpgique, j'ai lu beaucoup de despentes et sa plume m'a beaucoup aidée à façonner la mienne. même si je l'ai perdu pendant ma pause avant de rejoindre les forums. pour les personnages, en général, je m'inspire surtout des séries, des films, et des musiques qui m'entourent. parfois des livres aussi, mais c'est curieusement plus rare.
une recommandation pour finir (livre, film, ou pourquoi pas un forum)? — j'ai récemment lu Blue sisters de Coco Mellors, et bien que j'ai trouvé le livre un peu long (les chapitres sont interminables), j'ai beaucoup aimé découvrir ces trois soeurs en prise avec l'addiction. j'ai trouvé leur histoire et leur combat vraiment touchants !
☞ je tag: j'arrive un peu après la bataille du coup vous avez peut-être déjà été tou.te.s tagué.e.s donc faites le si vous en avez envie et puis c'est tout 🫶🏼
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