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Prenez votre carnet pour les immanquables de Toronto

Prenez votre carnet pour les immanquables de Toronto @seetorontonow @destinationtoronto @ontariotravel

J’aurais tendance à vous dire que ces semaines au Canada sont bien meilleures qu’il n’y paraît, car j’ai pu revoir ma sœur après deux ans et demi de pandémie (Merci Covid, vraiment merci) et recharger ma batterie quelque peu. Mais bien évidemment, ce n’est pas ce qui vous intéresse. Si vous êtes ici, c’est que vous cherchez les meilleurs endroits à ne pas manquer à Toronto et vous avez raison. Il…

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2018-04-06 07 TRAVEL now

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Cimetière Mount Pleasant

Il avait plu au cours de la nuit, une pluie verglaçante accompagnée de grésil. Au petit matin, la pluie à l’occasion abondante n’avait pas réussi à laver les plaques de glace, au contraire. Rues et  trottoirs étaient recouverts d’une croûte gelée qui annonçait bien des dangers. J’ai dû mettre mes crampons pour sortir Sasha pour sa promenade matinale. C’était la bonne décision, autrement il aurait été impossible de rester longtemps à la verticale. Lorsque Jane s’est dirigée vers la voiture pour aller à son travail, il a fallu qu’elle se retienne au capot pour ne pas valser et se retrouver avec les quatre fers en l’air.

 Vers la fin de la mâtinée il est tombé une pluie abondante, presque torrentielle. Et les choses se sont presque calmées. Alors puisqu’une promenade devenait possible, j’ai pris mon équipement et suis allé au cimetière Mount Pleasant prendre des photos. J’avais en tête les tombes de Frederick Banting, Charles Best et Glenn Gould. On pouvait imaginer que la pluie abondante aurait complètement lavé la croûte de glace. Il n’en était rien. Cà et là, des plaques de glace granuleuse, et mouillée, rendaient la promenade hasardeuse. Malgré tout il fallait bien y aller. L’hiver peut être merveilleux par une journée ensoleillée, avec la blancheur de la neige qui vous aveugle, et un froid qui n’est pas trop mordant. Mais c’était aux antipodes de ces après-midis de carte postale hivernale. Un ciel gris et terne, le temps le plus maussade qui soit, une petite pluie fine et pinçante qui transperçait vite les gants minces. Rien d’agréable. Pourtant il fallait bien y aller, il fallait bien commencer l’entraînement pour mon voyage au Mexique.

 Cet entrainement c’est pas seulement pour prendre des photos, quoique j’ai encore besoin de beaucoup de pratique, mon talent dans ce domaine est plutôt limité.

 L’entrainement c’est aussi pour l’écriture. Je me suis engagé à écrire chaque jour sur mon projet de voyage, mon expérience et mes activités à Oaxaca. Et de changer de langue chaque jour entre le français, l’espagnol et l’anglais, puisque je serai à Oaxaca en immersion, en séjour linguistique. Il y aura  rotation entre les trois langues, je commencerai avec le français, puis l’espagnol et enfin l’anglais. Mais j’offrirai aussi un résumé de mon carnet de route dans les deux autres langues.

Rien de tel que d’écrire dans une langue pour en devenir un familier.

 Revenons au cimetière Mount Pleasant. C’est le premier cimetière à Toronto à avoir ouvert son terrain à toutes les confessions. Dans le Toronto des années 1830, seuls les catholiques et les anglicans avaient le droit d’être inhumés dans les cimetières autorisés de la ville, qui à cette époque s’appelait encore York.

 La promenade a ressemblé plus à un parcours du combattant qu’à une flânerie forestière. Entre le tâtonnement sur les plaques de glace, la tombe de Glenn Gould est restée introuvable, recouverte qu’elle était d’une couche de neige (il faut dire que la tombe de Monsieur Gould est minuscule et au ras du sol, à l’opposé des nombreux monuments qui l’entourent). Quant à la tombe de Frederick Banting, la lumière était si faible que ce qui a ressorti sur la photo est davantage le lichen et l’altération de la pierre que le reflet d’un homme célèbre. Au total, une journée au produit bien limité, mais à tout prendre c’est mieux que rien.

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[splendidenolwenn]

NEW ALBUM | « Folk » - Now Available !

🎶 Ne me demande pas pourquoi... 🎶

Les feuilles changent peu à peu de couleur avant de tomber une à une de l'arbre, si patient face à l'épreuve du temps...

La nature fait naître alors un sentiment de nostalgie qui s'accompagne aujourd'hui de la plus belle des légendes d'automne... 🍂🍁

Celle de cette voix si pure et délicate... Dans un murmure qui semble suspendre l'instant, elle vient nous apporter chaleur et réconfort. Nos cœurs et nos pensées voyagent dans le carnet de route de nos souvenirs... Une mélancolie dont on ne voudrait se séparer, puisque chaque image nous ramène à des êtres, des sentiments et des odeurs enfouis; toutes les fleurs de notre jardin secret... 🌺🌻🌸

Si les mots sont empruntés, la sincérité reste authentique, et les messages nous sont livrés avec toute la générosité et la lumière de son cœur... De quoi faire chavirer le nôtre...

"FOLK" nous enivre déjà de son doux parfum exquis et élégant... Nous promettant ainsi de longues soirées d'écoute entre L.A, Hollywood et Toronto... Et de merveilleux instants fleuris à partager sur les routes de France et d'ailleurs... 🌼🎤💿

Merci à toi chère Nolwenn pour cette nouvelle histoire... ✨💜

🎶 Ah c'qu'on est bien dans ce jardin... 🎶

[societeaffaires]

Carnet de route électronique: casse-tête pour les camionneurs

L'imposition aux États-Unis du carnet de route électronique complique la tâche des camionneurs québécois qui traversent la frontière. Inflexible, le système crée des situations nuisant à leur qualité de vie, ce qui décourage certains du métier et accentue les difficultés liées à une pénurie de main-d'oeuvre criante.

Depuis le 18 décembre dernier, les camionneurs qui circulent aux États-Unis ne peuvent plus remplir à la main les fiches journalières qui détaillent leurs heures de conduite et de repos. Ils doivent maintenant disposer d'un carnet de bord électronique, relié directement au moteur.

L'objectif est de limiter la tricherie, très fréquente avec les fiches journalières manuelles. L'impossibilité de tricher met toutefois en relief certains problèmes de la loi américaine actuelle.

« La loi n'a pas changé », rappelle le président-directeur général de l'Association du camionnage du Québec (ACQ), Marc Cadieux. « Est-ce que le respect profond de la loi pose problème ? Je ne défendrai pas l'indéfendable. »

LA LOI AMÉRICAINE EN BREF

Plage de travail maximale de 14 heures (« en service »)

Maximum de 11 heures de conduite à l'intérieur de cette plage

Maximum de 8 heures de conduite consécutives, suivies d'une pause d'au moins 30 minutes

Maximum de 70 heures « en service » dans la semaine.

Repos d'au moins 34 heures pour effectuer une remise à zéro

Même si elle en reconnaît certains torts, l'ACQ appuie fortement l'imposition du carnet de bord électronique. Elle presse même les gouvernements provinciaux d'en accélérer l'adoption, laquelle ne doit pas survenir avant 2020 selon l'échéancier actuel. Pour la sécurité de tous les utilisateurs du réseau routier, d'abord, mais aussi par souci d'équité pour les transporteurs qui respectaient les règles et faisaient face à une concurrence déloyale de la part des tricheurs.

Les problèmes du carnet électronique ne rejoignent pas non plus l'ensemble de l'industrie. Pour les transporteurs qui se concentrent sur des distances franchissables en une seule journée, les inconvénients sont nettement moindres. Ceux interrogés par La Presse se sont tous déclarés satisfaits du nouvel outil.

Horaire imposé

Pour les autres, la plupart des critiques sont liées à la plage maximale de 14 heures permise par la loi. Les camionneurs aimeraient avoir la liberté de répartir leurs 11 heures de conduite sur une période plus étendue.

« Si je commence à rouler à 9 h le matin, peu importe ce que je fais de ma journée, à 23 h je dois être stationné », résume Philippe Bellemare, un camionneur indépendant qui réalise de nombreux longs voyages aux États-Unis.

« Que je conduise pendant 11 heures ou que je sois pris à attendre dans la cour d'un client pendant 8 heures, ça ne change rien. »

Chaque arrêt, que ce soit pour manger, prendre un café, répondre à un besoin naturel ou faire une sieste, est déduit de cette période de 14 heures et des 11 heures de conduite autorisées. À moins de durer plus de deux heures, auquel cas il peut être considéré comme du repos.

« Les gars doivent traîner leur lunch et manger en roulant », déplore Pierre Aubin, président de l'Express du Midi, un transporteur établi à Sainte-Catherine.

Il force aussi les chauffeurs à suivre un horaire qui n'est pas nécessairement optimal pour leur propre condition, indique M. Bellemare.

« Il n'y a pas une personne qui est pareille. Moi, j'aimais mieux m'arrêter souvent. »

« Je pouvais partir tôt, arrêter déjeuner, arrêter dîner, faire une sieste de 45 minutes en après-midi et après ça rouler tard, c'est là que j'étais le plus en forme.

« Là, ce matin, je suis parti du garage à 7 h, nous a-t-il expliqué, joint en Ohio. Je peux rouler jusqu'à 21 h, mais il va falloir que j'arrête vers 20 h 30 parce que c'est la dernière halte routière, la suivante est environ 1 heure plus loin. Je ne peux pas m'arrêter en chemin. Stationner, faire la file, commander, manger, c'est pas long que ça prend une heure. Et si je perds une heure, je n'aurai pas le temps de me rendre à la halte ce soir. C'est stressant. Même une demi-heure de trafic peut tout défaire ton plan. C'est toujours go, go, go. »

Les haltes routières, justement, posent problème. Les tricheurs qui sillonnaient les routes toute la nuit durant sont maintenant forcés de s'y arrêter, de telle sorte que l'offre ne répond plus à la demande. Les haltes se remplissent tôt en début de soirée, ce qui force des chauffeurs à s'arrêter plus tôt que ce à quoi ils auraient droit pour être certains de ne pas être pris au dépourvu.

« C'est certain que certains chauffeurs deviennent découragés, note M. Aubin. Ils n'ont plus de vie, ils sont dirigés par une machine. »

Pénurie de main-d'oeuvre

Dans une industrie déjà aux prises avec un grave manque de main-d'oeuvre, l'imposition du carnet de bord électronique aux États-Unis a fait monter la température d'un cran, selon certains témoignages.

« Nous cherchions des chauffeurs avant cela, mais là, ça nous plonge encore plus dans cette problématique », convient Denis Coderre, président de SGT 2000.

D'une part, quelques chauffeurs plus récalcitrants ont vu l'arrivée du carnet de bord électronique comme une occasion d'exiger des trajets plus courts, de rester au Canada, de faire du transport local ou carrément de prendre leur retraite.

D'autre part, elle a réduit la capacité des chauffeurs.

« Les chauffeurs en font environ 20 % moins depuis le carnet de bord électronique, estime M. Coderre. Au lieu de faire 2500 milles par semaine, un gars peut en faire 2000 ou 2100. »

Cela se traduit généralement par des chèques de paie réduits, en particulier pour les indépendants.

Si les chauffeurs et les transporteurs ont bien pris la mesure des conséquences de l'implantation du carnet de bord électronique, ce n'est pas encore le cas de leurs clients, qui leur font perdre un temps précieux et vont bientôt devoir en payer la note.

« Il y a un problème avec certains expéditeurs, qui n'ont aucun respect pour nos camionneurs », critique Marc Cadieux, PDG de l'Association du camionnage du Québec (ACQ).

« Si un camionneur perd deux ou trois heures dans votre cour et que votre voyage doit être à Toronto le lendemain matin, ou bien il ne sera pas là, ou bien il faudra qu'il donne le relais à un deuxième chauffeur et ce sera facturé.

« Ça va les rejoindre à un moment donné. »

« S'ils ne se convainquent pas eux-mêmes de rendre les mouvements les plus efficaces possible, leurs coûts vont augmenter drastiquement. »

À moins d'être complètement déchargés de leurs responsabilités et de pouvoir, par exemple, se rendre à pied à un restaurant à proximité, les camionneurs sont encore considérés comme « en service » quand leur camion attend d'être chargé ou déchargé dans la cour d'un client. Ces heures sont opposables à la limite de 14 heures quotidienne, même si elles ne sont pas considérées comme de la conduite.

Histoires d'horreur

Les histoires d'horreur à ce sujet ne sont pas difficiles à trouver.

« Certains expéditeurs vont jusqu'à mettre une affiche à l'entrée pour dire que même si le camionneur n'a plus d'heures, il ne peut pas dormir là », s'étonne Nathalie Léveillé, coordonnatrice à la conformité et aux affaires juridiques de l'ACQ.

Le président de L'Express du Midi, Pierre Aubin, raconte quant à lui l'histoire d'un camion dont le déchargement a tant tardé que le chauffeur n'était même plus en mesure de libérer la porte de l'entrepôt. Enragé, le client a même fait appel aux policiers pour expulser le camionneur.

« Les policiers lui ont répondu que le camionneur n'avait plus d'heures et qu'il devait rester là », dit-il.

Let's block ads! (Why?)

source http://www.lapresse.ca/affaires/economie/transports/201804/16/01-5161149-carnet-de-route-electronique-casse-tete-pour-les-camionneurs.php

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Il est jeune et il n’a pas peur d’entreprendre. Très tôt, il n’a pas eu peur de mettre sur pied une entreprise d’import-export dans son pays d’origine le Cameroun. Français de nationalité, Diego est ce que l’on appelle un Challenger, il n’hésite pas à prendre des risques pour faire ce qu’il aime. L’échec n’est pas un frein pour lui. Il ose entreprendre, il ose aller de l’avant, il voyage pour s’inspirer des autres, pour apprendre des autres. Cette ouverture d’esprit l’a finalement conduit du côté du Canada où avec d’autres “French”, ils ont réussi à mettre sur pied leur société. Une société spécialisée dans l’évènementiel appelé “EXCUSE MY FRENCH 416“. Très souvent, en tant que blogueur, qui a le soucis de valoriser la Cameroun à travers des Camerounais d’origine ou pas, je prends le temps d’observer avec un grand intérêt,ceux qui excellent afin de venir m’adresser à eux. Où qu’ils se trouvent, ils sont et font la fierté de notre Pays, le Cameroun. Au delà de la fierté, ils sont une source d’inspiration pour tous ceux qui éprouvent de la crainte à entreprendre, à ne pas valoriser autant que faire ce peu leur savoir-faire, leur qualité, leur talent. Il faut oser entreprendre, et seul la peur constitue un frein, un frein qu’il faut éliminer. Découvrez ce brillant Camerounais d’origine, qui prend sur lui de servir les autres.

    EXCUSE MY FRENCH 416

  @Socialmediacameroun : Merci Diego Maye de nous faire confiance et de vous prêter à ce jeu de questions-réponses afin de nous parler de votre Métier, qui je crois est une véritable passion pour vous. Alors présentez-vous et parlez nous brièvement de votre parcours.

Diego Maye :Bonjour, pour commencer en gros je suis natif de Paris et j’y est passé la plus grande partie de ma vie là bas, entre temps j’ai eu à vivre au Cameroun entre 3 et 7 ans .

J’ai par la suite au début de ma vingtaines crée une société d’import-export au Cameroun qui a plus ou moins été une bonne expérience pour moi; à la suite de quoi j’ai eu l’envie d’apprendre la culture du business dans un pays anglophone d’où ma venue au Canada ( Toronto ) et ça fait 4 ans que j’ai mis les pieds pour la première fois. J’ai crée avec deux autres français une société nommée “Excuse My French 416” .

Le Trio

Le Trio

    @Socialmediacameroun : Alors dites-nous, qu’est-ce donc faire dans l’évènementiel, et pourquoi avoir fait le choix de ce domaine d’activité ?

Diego Maye : l’évènementiel est un terme très vaste et large . Dans mon cas je suis plus centré dans l’organisation d’évènements qui tourne autour du domaine artistique, surtout musicale (soirée, afterwork, apéro-dinatoire, pop up shop).  Je pense que les qualités qui doivent être requise pour cela doivent être le sens de l’organisation , du relationnel et avoir un bon carnet d’adresses. Ce choix c’est fait naturellement dans le sens ou sans prétention aucune j’estime avoir l’une des qualités citée tantôt qui est le sens du relationnel.  J’aime échanger avec les gens et communiquer de diverses façon avec les gens. 

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@Socialmediacameroun : Pouvez-vous nous dire comment se déroule l’organisation d’un événement ? Et en quoi consiste votre rôle concrètement ?

Diego Maye : Alors pour ce que je fais le plus actuellement (soirée) l’organisation se fait d’abord par le thème et la promotion de mon évènement (élaborer une  technique de promotion et cibler la clientèle recherchée ) ensuite choisir le staff avec lequel on doit travailler pour l’évènement ( DJ / personnel … ). Moi mon poste consiste à m’assurer que le personnel soit prêt à répondre au besoin de la clientèle, que ma clientèle passe un bon moment et qu’elle ne manque de rien, qu’elle puisse échanger les unes les autres; car le but avant tout d’un évènement c’est de venir et échanger et faire des rencontres quelque soit la manière *( danse, autour d’un verre , discussions professionnels…) 

    @Socialmediacameroun : Selon vous y a-t-il des qualités indissociables à cette profession ?

Diego Maye : Biensûr être sociable , à l’écoute, être souriant de nature et avoir beaucoup d énergie (lol)

      @Socialmediacameroun : Quelles ont été vos motivations pour travailler dans le milieu de l’évènementiel ? Et pourquoi le choix de Toronto ? Y a t-il plus d’ouverture de ce côté de l’océan ?

Diego Maye : Comme je voulais le disait tantôt ma motivation a été mon côté relationnel et sociable  avec les gens. Toronto c’était pour voir l’approche du business qu’on les anglophones et la langue.

Et c’est très enrichissant  la vision du business ici est totalement différente de ce que j’ai pu voir auparavant en Europe ou en Afrique. Ici la langue et les diplômes ne sont pas une barrière et on aime voir les gens tenter; prendre des risques. La définition de ” L American Dreams “ a tous son sens, j’avais pu expérimenter ça en Asie . On aime voir les gens commencer d’en bas et réussir, c est une société moins conservatrice.

  @Socialmediacameroun : Quels en sont les inconvénients ? Il y en a forcément, ou alors quand on est Jeune, on voit cela comme un plus ?

Diego Maye : Il y a toujours des inconvénients, après c’est un choix de vie, l’évènementiel ne te garantie pas une rémunération régulière comme un travail typique même si la possibilité d’obtenir de très bon revenu est grande.

Ensuite quand tu es jeune et dynamique cela peut être une ouverture sur d’autres formes d’activités à long terme.

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  @Socialmediacameroun : Avez-vous des collaborateurs ? Comment rentre t-on en contact avec vous si l’on souhaite participer à l’un de vos évènements, ou notamment si l’on souhaite que vous puissiez en organiser pour un client ?

Diego Maye : Oui, je travaille avec d’autres Français puis nous  avons plusieurs partenaires. On peut nous contacter via                                                                                     FACEBOOK : Excuse My French 416

                   INSTAGRAM:Excuse my french

                   e-mail  : info@excusemyfrench416

                   WEBSITE : www.excusemyfrench416.com

  @Socialmediacameroun : Êtes-vous également de ceux qu’on appelle communément de Jet-Setter ?

Diego Maye :  Lol, je ne me qualifie pas comme cela , mais certaines personnes m’y  associeront, surtout notre Afro-communauté vu que je suis dans l’organisation d’évènements festifs.

je dirai plutôt que je suis une sorte de maître de cérémonie et  un pourvoyeur de bonne énergie .

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@Socialmediacameroun : Vos projets futurs ? Et le Cameroun en fait-il partir ?

Diego Maye : Actuellement, on est résident dans un club lounge où on organise des évènements tous les Samedis, on développe un concept de “party” qu’on aimerait mensuel  ” Crème de la Crème “ . Le projet prend forme et on prévoit des “Day Party” le dimanche sur une terrasse externe; donc le Futur s annonce chargé. 

Pas seulement le Cameroun car mes partenaires étant originaires d’Afrique ( Congo / Senegal ), si l’opportunité se présente, nous, c’est sans hésitation  qu’on se rendrait en Afrique pour l’organisation d’un évènement.

  @Socialmediacameroun : Un conseil pour conclure cette interview ; un conseil à l’endroit de ceux qui souhaitent embrasser cet univers dans lequel vous évoluez

Diego Maye : Le meilleur conseil que je puisse donner c’est d’être patient et surtout ne pas avoir peur de l’échec car ça fait parti de l’apprentissage, on ne fait pas d’omelettes sans casser d’oeufs 😉 

  @Socialmediacameroun : Merci Diego Maye pour votre disponibilité. Nous vous souhaitons le meilleur pour vos projets présents et à venir.

Diego Maye : Merci à vous pour cet entretien, plaisir,partage et j’espère avoir pu être d’un bon intérêt à vous et bon courage pour la suite.

Page Instagram

  Bonne et Heureuse Année 2018

  Source : Marc Ghislain, Social Media Cameroun

  DIEGO MAYE: Jeune entrepreneur brillant d’origine Camerounaise. Il est le co-fondateur d’ EXCUSE MY FRENCH 416. Il est jeune et il n'a pas peur d'entreprendre. Très tôt, il n'a pas eu peur de mettre sur pied une entreprise d'import-export dans son pays d'origine le Cameroun.

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Rendez-vous au Times Square de Toronto, sur Yonge Dundas Square

Rendez-vous au Times Square de Toronto, sur Yonge Dundas Square

Je vous donne rendez-vous directement sur la place de Yonge Dundas Square. Pourquoi? Parce que c’est ici que tout démarre. Vous voulez voir l’effervescence de Toronto? Le poumon de Downtown? Vous êtes au bon endroit. Ici, on est entre Yonge Street et Dundas Street. C’est définitement le lieu pour en prendre plein les yeux pour plusieurs raisons. Mais tout d’abord, sachez que Yonge Street n’est…

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Au cœur des îles de Toronto, on s'éloigne des buildings pour profiter de la verdure

Au cœur des îles de Toronto, on s'éloigne des buildings pour profiter de la verdure @therivkitchen @destinationtoronto @visittoronto @SeeTorontoNow

S’il y a bien quelque chose que vous devez faire pendant votre séjour à Toronto, c’est bien de visiter ses îles. Vous m’avez bien comprise, Toronto est dotée d’un archipel de verdure où vous devez absolument mettre les pieds ! Il faut le dire, le tintamarre de Toronto est fun, mais parfois, on a juste envie de revenir au calme. À quinze minutes du centre-ville (même pas), Toronto m’a montré qu’il…

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Les Chutes du Niagara, un spectacle saisissant que je n'oublierais jamais

Assourdissantes, époustouflantes, grandioses, hallucinantes, sensationnelles, et émouvantes! J’ai encore pas mal d’adjectifs pour les définir, tant elles sont surprennantes. Mais je dirais que ce sont les six mots qui ont traversé mon esprit dès que je les aient vues. Les Chutes du Niagara, pour ceux qui me connaissent, vous savez que c’était un point essentiel pour moi. Je rêve d’y aller depuis…

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Les Grands Cétacés: Une Exposition qui vous plonge dans le monde surréel des Baleines

Les Grands Cétacés: Une Exposition qui nous plonge dans le monde irréel des Baleines @royalontariomuseum @romtoronto

Voici une exposition qu’il ne faut pas louper ! Si vous êtes encore sur place à Toronto, je vous invite à vous rendre immédiatement au ROM (Royal Ontario Museum), le Musée Royal de l’Ontario. Pourquoi? Parce qu’ils ont tout mis en oeuvre pour vous plonger (littéralement) dans un monde parallèle, celui des baleines. C’est vraiment une exposition qui m’a scotchée tant par la masse de recherche…

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Tout en haut de la CN Tower

Tout en haut de la CN Tower #cntower @cntower @TourCNTower

Je ne peux vous décrire ce sentiment. Il est totalement indescriptible. Il y en a eu des moments phares à Toronto, mais celui-ci est définitivement l’un des meilleurs (je dis bien l’un). Sur cette journée, je voulais un peu de folie, un brin d’excitation, un peu de peur (chochotte et je l’assume) mais carrément l’inattendu. Je peux vous dire désormais, que tout m’a traversée. Ce fut une…

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À Milles Lieues sous les mers au Ripley's Aquarium of Canada

A Milles Lieues sous les mers au Ripley's Aquarium of Canada #Ripleysaquarium @RipleysAquariumCanada @ripleysaquaca @RipleysAquaCA

Si comme Jules Vernes, l’idée vous vient d’aller à vingt mille lieues sous les mers, nul besoin de Nautilus, vous pouvez simplement vous rendre au Ripley’s Aquarium de Toronto. Et je dois dire, celui-ci m’a particulièrement plu. Pourtant, j’en ai déjà visité des aquariums à Lisbonne, à Barcelone, à Paris, mais aucun comme celui-ci. Il a la particularité de représenter tous les milieux aquatiques,…

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Visiter Toronto, Comment Préparer son Voyage?

Visiter Toronto, Comment Préparer son Voyage? #visitertoronto @SeeTorontoNow @destination_toronto @destinationtoronto

Toronto, quel enchantement d’avoir parcouru tes rues, vibrer dans tes quartiers, et été bercée par ton charme. Toronto regorge de surprises, je dois dire que j’ai moi-même été étonnée. J’ai réellement apprécié d’y vivre l’espace de trois semaines. Il y avait vraiment longtemps que je n’étais pas partie autant de temps, mais ce voyage avait aussi une volonté autre que le voyage, retrouver les…

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2021, Une année pleine de belles Surprises

Je peux le dire sans hésiter, 2021 a été un bon cru malgré la pandémie qui persiste. Il est vrai dorénavant, lorsqu’il est question de voyages, quelques paperasses et formulaires se sont rajoutés à l’organisation. Néanmoins, ces derniers ont bel et bien repris. Pour les voyageurs comme moi, c’est une aubaine. Cette année a été forte de surprises. En l’espace de quelques mois, j’ai changé…