#Baleine Exposition Toronto

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Les Grands Cétacés: Une Exposition qui vous plonge dans le monde surréel des Baleines

Les Grands Cétacés: Une Exposition qui nous plonge dans le monde irréel des Baleines @royalontariomuseum @romtoronto

Voici une exposition qu’il ne faut pas louper ! Si vous êtes encore sur place à Toronto, je vous invite à vous rendre immédiatement au ROM (Royal Ontario Museum), le Musée Royal de l’Ontario. Pourquoi? Parce qu’ils ont tout mis en oeuvre pour vous plonger (littéralement) dans un monde parallèle, celui des baleines. C’est vraiment une exposition qui m’a scotchée tant par la masse de recherche…

[monvoyagepathologique]

Invictus

N.B. : Tumblr me fait des misères pour l’upload des photos, ça rend les choses laborieuses et je ne mets donc pas toutes les images que je voudrais... J’essaierai plus tard d’en rajouter, donc les billets sont susceptibles d’être modifiés ! 

Sam. 2 Nov. 2019 (journée à 12 000 pas)

Eveil à 5h36, stoïque. Il est encore temps de trouver un stream de la finale de la coupe du monde de Rugby ! J’aurais bien marché jusqu’à un pub ouvert pour l’occasion, mais les places étaient sold-out :( 

L’Afrique du Sud remporte la finale contre l’Angleterre 32-12. C’est drôle : j’ai regardé “Invictus” dans l’avion entre Keflavik et Toronto. 

Le midi, je récidive au Seven Lives et essaye d’autres recettes, c’est de nouveau l’extase papillaire ! Je ne suis cependant pas insensible au Jerk Chicken que l’établissement d’à côté (le fameux Rasta Pasta) prépare sur le grill. J’irai demain ! En mangeant mes tacos, j’entends que la radio passe “Funky Town”. Être dans un snack mexicain et entendre Funky Town... Meh :)

La météo prévoit un pic de risque de précipitations ce midi, je décide donc avant de me faire saucer de rejoindre la Art Gallery of Ontario. Je navigue dans le musée et y découvre de l’art canadien post-guerre, de l’art inuit (notamment des sculptures dans des os de baleine) avec des panneaux écrits en inuktitut, en anglais et en français. Mon ticket me donne accès à l’une des expo du moment, et je me régale à l’idée d’être venu jusqu’au Canada pour assister à une exposition sur... ...Peter Paul Rubens. 

Et bien c’était extra ! J’y suis resté des heures et ai appris plein de choses sur lui, et je suis conforté dans l’idée que pour le peu que j’en sache, je préfère la peinture flamande à la peinture italienne (même s’il a passé 8 ans en Italie). 

J’ai fait un tour dans la boutique du musée, richement fournie. Je résiste à l’envie de m’acheter un T-Shirt aux couleurs de l’œuvre de Rubens mettant en sc��ne Daniel dans la fosse aux lions. À la sortie du musée, je réponds volontiers aux questions d’une employée qui fait une étude, ça fait du bien de parler un peu à quelqu’un. 

Je sors et remonte la University Avenue jusqu’au campus. C’est immense et beau ! La lumière n’est malheureusement toujours pas au rendez-vous pour de belles photos et je dois travailler avec une lumière pâle, fade, grisâtre. 

Je m’assois un peu et voit toute une équipe d’écureuils en train de s’agiter ! 

C’est le moment : je sors le 70-300mm et marche comme un ninja pour essayer de capturer quelques clichés que je vous partage. 

Après une bonne heure, je me remets en marche vers le centre-ville, je flâne et je tombe sur un autre cinéma qui passe Ad Astra ! Je l’avais loupé en Belgique : bingo ! Le cinéma est immense, il fait penser aux kinepolis de chez nous, mais avec tout un lounge à cocktails, toute une salle de jeux, etc... 

Je m’offre quelques parties de Dance Dance Revolution (j’ai un petit talent peu connu...) et de Time Crisis 4. J’offre mes deux derniers jetons à des adolescents en transe (”FOR FREE !?”) et je vais m’installer au lounge en attendant le film. Je regarde un match de hockey sur glace (le vrai... O:) ), et m’offre un Southern Comfort sur glace. Le barman est bavard : parfait !

Ad Astra est... ...concept. Il faut que je lise un peu, le décalage horaire ne lui a laissé aucune chance ! 

Je marche, grignote quelque chose dans mon quartier en regardant le hockey (TOR vs PHI).

...ET LÀ SURPRISE : je rentre dans le AirBnB, et je remarque instantanément qu’une de mes chaussures a bougé ! Mes affaires sont toujours dans ma chambre. Je me réinstalle, et j’entends quelqu’un entrer dans le logement. Discussion cordiale avec lui, et au dodo. 

[sabinouxd-blog]

Recherche théorique thématique 1

Marie-Claude Bouthillier

«mcb» 

L'exposition «mcb» sont des œuvres qui sont composée de la répétition des initiales de l'artiste. Cela a un lien directe avec l'identité puisque l'identité première ce passe sur papier par notre nom, date de naissance, lieux de naissance, parent,... Donc, elle appose son identité «papier» sur toile.

Marie-Claude Bouthillier joue beaucoup avec l'identité du médium en le transformant de façons à créer chez le spectateur une perception fausse du médium.

Marie-Claude Bouthillier est une artiste peintre depuis la fin des années 1980. Son art est tout à fait interdisciplinaire. Elle fait des tableaux, des dessins, des œuvres collaboratives, ainsi que des environnements picturaux présentés sous forme d’installation. Cette artiste québécoise a suivi un D. E. C. en art plastique au Cégep de Saint-Laurent de 1978 à 1980. Elle a fait par la suite son Baccalauréat en arts visuels à l’Université Concordia de 1982 à 1986, puis elle a ensuite terminé ses études universitaires en faisant une Maîtrise en arts visuels à l’Université du Québec à Montréal. Sa plus récente exposition est Vœux, elle a été présentée cette année (2016) au Circa art actuel à Montréal. L’artiste a aussi présenté la collection Mégalithes à la Galerie Hugues Charbonneau à Montréal en 2013. Le Musée McCord est le musée le plus récent dans lequel elle a fait exposition solo de la collection Famille. En 2011, elle a reçu le prix de l’AGAC pour meilleure exposition de l’année pour dans le ventre de la baleine présentée en 2010 à OPTICA à Montréal. Autre fait intéressant, elle a exposé à Expression, le Centre d’exposition de Saint-Hyacinthe en 2001. Elle a aussi fait voyager son art à Toronto en 2000 au Mercier Union, ainsi qu’en Espagne à la Galérià Vertice en 1999. Dans plusieurs projets, elle fait la représentation de l’artiste dans la littérature. De plus, elle se passionne aussi pour la représentation de la peinture par ses techniques de pliure pour créer des illusions de textures réalistes, ainsi que pour la relation entre la peinture et le textile. La peinture est généralement camouflée dans ses œuvres. Outre ce fait, elle se penche davantage sur le thème de l’incarnation de la peinture par le jeu des motifs. Elle exploite la juxtaposition, ainsi que l’utilisation du support. Les principaux matériaux qu’elle utilise sont l’acrylique, des pigmentations et de la toile.