#Bleu Infini
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Balmain and Bottega Veneta 2024 re-launches, Dior Tendre Poison and Serge Lutens Iris Silver Mist reviews
My final reviews of the year, featuring the re-launches of Balmain and Bottega Veneta.
The gremlins were out in full force for this year’s final set of Love At First Scent broadcasts. The audio at the start of one of the videos turned out to be atrocious (for reasons utterly unknown to me) and then the camera placement decided to pull some kind of weird misalignment trick in the final episode. Apologies for the less-than-ideal viewing experience. But hopefully, you’ll be able to…
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Ce n’est pas le bleu de son eau qui fait la vraie beauté de l’océan, c’est le sentiment d’infini qu’il procure…
V. H. SCORP
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Infini bleu, la goutte rejoint le tout: rien ne se perd.
© Manoel T, 2024
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Il existe encore quelques Français qui sont français comme il ne faudrait déjà plus l’être. À ces êtres en souffrance pour qui la France n’est plus qu’une sorte de Thoiry mental, je dis “courage” ! Face à eux, cachés derrière la grande digue du nombre, les progressistes, les gauchistes, la bourgeoisie rentière, les barons du capital, les écolos, les wokistes et toute l’engeance produite par la pourriture révolutionnaire, prospère plus et mieux que jamais. Comme l’exigeaient Rousseau et Robespierre, ils ont fait fi du legs de leurs aïeux, ils se sont imaginés en hommes nouveaux : nouveau peuple, nouvel ordre, nouveaux bourreaux. Leur descendance, les lointains arrières petits enfants de ces crapules arrivistes et de ces cocus braillards, militent sans conviction, cultivent l’ignorance, demeurent volontairement aveugle et odieusement complice des crimes infinis de ce qui est finalement devenu un marxisme global.
Leur armée se compose de millions de fantassins débarqués de chaloupes incertaines, à l’assaut d’un monde sans foi seulement guidé par le profit et la jouissance. Ils ont un coran dans la poche gauche, un schlass dans la droite, et une carte téléphonique dans leur famélique portefeuille. Ils sont comme des spermatozoïdes en route par le Grand Ovule, au mépris des marigots acides et des douchettes cataclysmiques. Ils tortillent de la flagelle frénétiquement, sont prêts à tout pour gagner leur journée et souvent, livrent leur repas caricatural aux indigènes crétins. Les plus naïfs parmi ces derniers leur lâchent un billet de 5 en pourliche, joignent les mains et baissent la tête en signe de déférence, de confraternité ou de pure soumission – c’est selon. Ainsi ces tristes sires sont-ils contents et soulagés à la fois. Leur conscience est propre comme l’entrecuisse d’une communiante d’antan.
Français qui souffrez, dans votre chair et votre esprit, du spectacle de ce suicide non seulement consenti, mais savamment organisé, méticuleusement planifié et brillamment réalisé, abandonnez tout espoir de révolte collective et solidaire. Aucun de vos contemporains, ceux que vous croisez sur votre palier, dans votre rue, sur le quai de la gare, celui du métro ou l’escalator d’un aérogare, au bureau, chez le boulanger, au supermarché, à la station-service... aucun d’entre eux ne souhaite se sacrifier pour faire cesser tout cela. Votre sort, qui est aussi le leur, les indiffère. C’est ainsi, il suffit de les observer pour le constater. Ce peuple est prêt à disparaître en tant que tel. Ne subsisteront que les vrais résistants, ceux que la conviction d’être des héritiers maintiendra en alerte haute et permanente, ceux qui éduqueront leurs enfants, ceux qui prendront soin de la terre qui les nourrira, au propre comme au figuré. Inutile de verser dans la caricature du crâne rasé et du regard bleu... quelle que soit l’allure de votre gueule, ce qui compte, c’est votre détermination à survivre, coûte que coûte. Et il vous en coûtera, soyez-en convaincus.
J.-M. M.
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Que m'importent les fleurs et les arbres, et le feu et la pierre, si je suis sans amour et sans foyer ! Il faut être deux - ou, du moins, hélas ! il faut avoir été deux - pour comprendre un ciel bleu, pour nommer une aurore ! Les choses infinies comme le ciel, la forêt et la lumière ne trouvent leur nom que dans un coeur aimant. Et le souffle des plaines, dans sa douceur et dans sa palpitation, est d'abord l'écho d'un soupir attendri".
Gaston Bachelard
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Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l’herbe menue : Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue.
Je ne parlerai pas, je ne penserai rien : Mais l’amour infini me montera dans l’âme, Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien, Par la Nature, – heureux comme avec une femme.
Mars 1870
Arthur Rimbaud,
Ph. Zezulka Lukáš
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J'ai pris de l'or au bout des doigts (de l'or bleu, de l'or des océans ou des ciels infinis, je ne sais) - un or hespéridé, tout de reflets d'agrumes, d'essences citronnées... du bout des doigts... et l'eau enjambait mon ventre - prestement.
Il a fondu à mes hanches, ennuagé mes cuisses, s'est mêlé à la nuit, s'est perdu dans mon propre ciel... personnel. Et j'expirais ma vie. Sous ton regard brûlant. Soleil pâle, reflux calmes...
J'ai flatté les mystères, sur ma peau traînée d'or, marbrée de liqueurs fortes.
De mon ventre à mes seins, à mes épaules, depuis mes reins.
Les marbrures ont coulé.
Et les granulés d'or crissaient sous mes doigts qui étiraient la soie comme pour cacher mon corps - mais les parfums ne voilent rien - et j'étais nue.
Sinon vêtue de mes mains passagères, de mes coulures premières que mes paumes étalaient. À mes aisselles - l'écume naissait - et tout au long de mes bras.
(Que mes joues rougissaient... puisque tu étais là !)
Mes mains flattaient mon corps - et j'allais jusqu'au bout.
Du bas de mon dos à mes épaules retorses - et ton regard livide, amoureux, clandestin, invité au festin par nos amours communs - je ranimais la mousse qui se voulait mourante égarée, tout à l'heure, à mes flancs, mes forêts... mes filets. Et mes fesses aussi ont été égayées - et ravies.
Il me fallait des ciels - et j'y mettais les doigts - englués de parfum surnageant sur mes jambes et s'arrogeant mes cuisses, mes chevilles et mes pieds.
Je me suis oubliée - penchée et encensée, ruisselante et lustrée - à mes orteils - intensité trouvée sous ton amour lâché - dans mes champs. (I-ma-gi-na-ti-on qui te cherche et t'atteins, sans cesse te prends la main, te mène à mes pensées, te baise les joues et puis t'étreins).
9Et l'eau coulée a disparu la mer et ses aurores - en allées sous mes talons - et j'ai souri, en dernière pluie, à notre amour partagé.
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Le Chant des Méandres
Sois calme, ma douleur, et écoute ce chant, Ces plaintes lentes des méandres obscurs, Où le passé, fantôme insistant, Trace des sillons profonds et durs.
La vie, avec ses morsures délicates, Sème ses gouffres aux sentiers incertains, Et l’homme, las, y glisse et s’échappe, Cherchant dans la douleur un éclat divin.
Ah ! Ces bleus pétrole qui luisent sur ma peau, Essences sombres des âmes tourmentées, Nous les chérissons comme un bien trop beau, Comme un jardin de ronces embrasées.
Dans les détours des songes infinis, Ma raffinerie d’ombres vacille, Et des flots épais, noirs, alanguis, Troublent mon angle vraiment cramé, fragile.
L’hiver s’avance, impérieux, souverain, Et les rires des fêtes, masques moqueurs, Heurtent le vide d’un cœur incertain, Échos cruels des âmes en douleur.
Sois sage, mon âme ; le chemin se tord, Mais dans la nuit froide s’allume un phare, Un feu vacillant, dans les cendres du sort, Qui éclaire l’abîme, fugace et rare.
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un bleu infini
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Voici une traduction (libre) d’un compte rendu que donne Munch d’une balade du côté du fjord d’Oslo vu d’Ekeberg, dans un carnet, à la date du 22 janvier 1892:
«Je me promenais sur un sentier avec deux amis — le soleil se couchait — et tout d'un coup le ciel devint rouge sang.
Je m'arrêtai, fatigué, il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir de la ville.
Un souffle de mélancolie, une douleur aspirante me traversèrent le cœur.
Je m’étais appuyé sur le parapet pendant que mes amis continuaient leur chemin.
Pétrifié, je tremblais d’angoisse.
Je sentais qu’un cri effroyable, infini, interminable, traversait l’univers et déchirait la nature.
Ceci se produisit en un éclair et me submergea».
Voilà non seulement peinte mais aussi décrite de manière saisissante ce que Freud et Lacan mettent au chef de la psychanalyse, la béance d’un masque d’où ne sort aucun son, un creux infranchissable à l’intérieur de nous-mêmes, dont nous ne pouvons qu’à peine nous approcher... le réel de la jouissance, faille, trou, gouffre sans fond et sans voix, d’où cependant s’extrait ce qui s’appelle la voix...
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Sonnet féminin
Ta voix a la langueur des lyres lesbiennes,
L’anxiété des chants et des odes saphiques,
Et tu sais le secret d’accablantes musiques
Où pleure le soupir d’unions anciennes.
Les Aèdes fervents et les Musiciennes
T’enseignèrent l’ampleur des strophes érotiques
Qui versent dans la nuit leurs ardentes suppliques,
Ton âme a recueilli les nudités païennes.
Tu sembles écouter l’écho des harmonies ;
Bleus de ce bleu divin des clartés infinies,
Tes yeux ont le reflet du ciel de Mitylène.
Les fleurs ont parfumé tes étranges mains creuses ;
De ton corps monte, ainsi qu’une légère haleine,
La blanche volupté des vierges amoureuses.
Renée Vivien, Cendres et Poussières, 1902
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Ma petite étoile (poème)
Voilà un poème que j'ai écrit après avoir passé une semaine particulière. Malgré toutes les mésaventures que j'ai pu rencontrer, j'avais vraiment l'impression d'avoir une bonne étoile au-dessus de ma tête 🌟
Ma petite étoile tient bon. Elle ne laissera pas ces flots incontrôlables me malmener. Nuit et jour, ils me tourmentent. Mais chaque réveil, chaque couché est une nouvelle page blanche. Torrent infini ou traces rouges, qu'importe ! Ma petite étoile fera tout pour que l'horizon reste bleu.
Ça faisait longtemps que je n'avais pas écrit de poème
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Flufftober 2024 : Jour de marché
4 octobre
Jour de marché (Market day)
Napoléon Solo & Illya Kuryakin (Des agents très spéciaux)
Ni Napoléon, ni Illya ne savaient cuisiner.
On le voyait bien à leurs notes de frais: il s'y enchaînait un nombre infini de dîners dans de grands restaurants, de déjeuners dans les aéroports dans l'attente d'un transfert, de goûters pris avec la jeune femme qui les avait aidés. Et puis, quand ils n'étaient pas en mission, il y avait encore l'excellente cafétéria de l'U.N.C.L.E. Lorsqu'il était en vacances, Napoléon continuait de manger presque systématiquement au restaurant. Souventes fois, à l'occasion des visites qu'il lui faisait, Illya l'avait vu déguster des huîtres alors que c'était un jour tout à fait ordinaire – il les avait évidemment fait apporter.
Le jeune Russe, pour sa part, savait mettre le contenu d'une boîte de conserve dans une casserole ou étaler du beurre sur un sandwich. Il ne fallait pas lui en demander davantage. Cependant, l'affaire de l'omelette de la Cité du Silence semblait lui avoir donné des idées. Peut-être qu'il avait fini par réaliser que sa gourmandise serait beaucoup mieux servie s'il se cuisinait lui-même de bons petits plats, au lieu de manger toujours la même nourriture tiédasse, mal assaisonnée, répétitive, lorsqu'il ne travaillait pas.
Illya avait commencé sa carrière à l'U.N.C.L.E comme un agent distant, professionnel, inexpressif et mystérieux, dont on était bien en peine d'imaginer les activités quand il rentrait chez lui le soir. Au fil du temps, son amitié sincère avec Napoléon lui avait fait révéler un caractère plus doux, plus facétieux, et il traînait maintenant son partenaire avec lui dans une petite sélection de ses activités.
« Pourquoi devons-nous nous trouver dehors à une heure aussi indécente, se plaignit la voix de Solo dans l'air matinal, alors que nous sommes en repos et que c'est dimanche !
-Parce que le dimanche est le jour du marché, Napoléon, rétorqua tranquillement Kuryakin en prenant un poivron rouge dans sa main. Si je dois attendre que tu te réveilles, l'événement sera presque fini et tous les meilleurs produits seront partis depuis longtemps.
-Tu m'avais dit qu'il y aurait des filles pour me tenir compagnie pendant que tu discutes avec tous ces campagnards.
-Il y en a. Des campagnardes. Elles n'ont peut-être pas l'âge des femmes que tu invites au restaurant d'habitude, mais je te connais bien. Tu as toujours eu un faible pour les dames mûres. »
Illya s'éloigna vers des bacs remplis de pommes de terre et fut surpris d'entendre des pas traînants le suivre. Napoléon, ses lunettes de soleil bien en place devant la lumière de ce matin pur et bleu – accalmie bienvenue avant les saucées prévues dans l'après-midi –, qui se déversait à flot sur la place, levait le nez en respirant les odeurs du marché. Son pantalon coûteux et son caraco de laine jaune à boutons tranchaient terriblement avec son environnement, les vantaux maintes fois reprisés des étals et les feuilles de laitue abîmées sur le sol, mais il semblait commencer à apprécier la balade. Il se colla aux pas de Kuryakin et l'observa tandis qu'il discutait de la provenance d'une grosse truite avec le poissonnier, étudiait les feuilles sur les bottes de poireaux et humait le parfum des pommes.
Quand ils repartirent du marché vers neuf heures, l'agent américain avait à la main un sachet plein d'olives aux épices que son ami lui avait achetées pour l'occuper. Kuryakin sourit en voyant la scène; on aurait dit un enfant qu'il avait contraint à l'accompagner dans une longue, pénible et ennuyeuse affaire d'adulte.
« J'espère que je vais avoir l'occasion d'assister à la sublimation de tout ce que tu as acheté, exigea Napoléon tandis qu'ils remontaient la rue.
-Pourquoi ? Tu as contribué à l'achat ? le titilla Illya avec un sourire de pur contentement.
-Oh, Illya! Ne sois pas si pingre, allez ! Je te promets de passer un coup de nettoyage dans ton appartement, où tu voudras ! »
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Mercredi
Les jours se suivent, etc... En fin de matinée, virée en ville sous un ciel infiniment bleu jusqu'à un savoureux restaurant libanais de la rue Gambetta, puis direction l'hôtel d'Assézat qui abrite la Fondation Bemberg, enfin rouverte après des années de travaux. Des centaines de peintures, sculptures, meubles et objets, de l'Antiquité à la première moitié du XXe siècle, des dizaines de signatures prestigieuses du Tintoret à Picasso en passant par Monet et Rodin, et dans cette profusion quelques œuvres qui me sont chères. De haut en bas : Elisabeth Louise Vigée-Le Brun, "Portrait de la comtesse von Kagenek en Flore" (1792), Lucas Cranach l'Ancien, "Vénus et Cupidon volant du miel" (1531), Pierre Bonnard, dont la Fondation Bemberg réunit la plus grande collection au monde : "Autoportrait sur fond blanc, chemise col ouvert" (1930), "La forêt des pins, Le Cannet" (1922), "Femme au tub" (1903), et encore Georges Romney, "Portrait de Miss Frances E. Sage" (1779-82), ou Paul Gauguin, "Etude préparatoire pour Aita tamari vahiné Judith te parari" (1894-95). Quel bonheur !
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les ailes prononcent le silence du ciel ; il faut les écouter se déployer, participer à l'édification du grand infini qu’elles contribuent à étendre dans des directions insoupçonnées à la force de leurs pointes ; le bleu qui offre ses reliefs, le bleu qui devient profondeur ; le bleu qui offre ses chants ; au-delà n’est pas un mot que les oiseaux connaissent ; au-delà est leur lieu de vie quotidienne ; ce temple qui pour nous cadre nos évasions, où toute une nature prie courbée sans misère possible ; la grande élévation qui impose ses colonnes et ses frontons invisibles, ce domaine de fougue et de soie où les regards trouvent le pollen qui fera des images le seuil du mot croyance, le miel céleste dont se délectera l'esprit prisonnier du monde
© Pierre Cressant
(lundi 7 août 2006 - lundi 14 août 2023)
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"Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers, picoté par les blés, fouler l’herbe menue ; rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds, je laisserai le vent baigner ma tête nue ; je ne parlerai pas, je ne penserai rien, mais l’amour infini me montera dans l’âme et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien par la nature, heureux comme avec une femme."
Rimbaud
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