#napoléon & illya
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daisydesetoiles · 3 months ago
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Flufftober 2024 : Jour de marché
4 octobre
Jour de marché (Market day)
Napoléon Solo & Illya Kuryakin (Des agents très spéciaux)
Ni Napoléon, ni Illya ne savaient cuisiner.
On le voyait bien à leurs notes de frais: il s'y enchaînait un nombre infini de dîners dans de grands restaurants, de déjeuners dans les aéroports dans l'attente d'un transfert, de goûters pris avec la jeune femme qui les avait aidés. Et puis, quand ils n'étaient pas en mission, il y avait encore l'excellente cafétéria de l'U.N.C.L.E. Lorsqu'il était en vacances, Napoléon continuait de manger presque systématiquement au restaurant. Souventes fois, à l'occasion des visites qu'il lui faisait, Illya l'avait vu déguster des huîtres alors que c'était un jour tout à fait ordinaire – il les avait évidemment fait apporter.
Le jeune Russe, pour sa part, savait mettre le contenu d'une boîte de conserve dans une casserole ou étaler du beurre sur un sandwich. Il ne fallait pas lui en demander davantage. Cependant, l'affaire de l'omelette de la Cité du Silence semblait lui avoir donné des idées. Peut-être qu'il avait fini par réaliser que sa gourmandise serait beaucoup mieux servie s'il se cuisinait lui-même de bons petits plats, au lieu de manger toujours la même nourriture tiédasse, mal assaisonnée, répétitive, lorsqu'il ne travaillait pas.
Illya avait commencé sa carrière à l'U.N.C.L.E comme un agent distant, professionnel, inexpressif et mystérieux, dont on était bien en peine d'imaginer les activités quand il rentrait chez lui le soir. Au fil du temps, son amitié sincère avec Napoléon lui avait fait révéler un caractère plus doux, plus facétieux, et il traînait maintenant son partenaire avec lui dans une petite sélection de ses activités.
« Pourquoi devons-nous nous trouver dehors à une heure aussi indécente, se plaignit la voix de Solo dans l'air matinal, alors que nous sommes en repos et que c'est dimanche !
-Parce que le dimanche est le jour du marché, Napoléon, rétorqua tranquillement Kuryakin en prenant un poivron rouge dans sa main. Si je dois attendre que tu te réveilles, l'événement sera presque fini et tous les meilleurs produits seront partis depuis longtemps.
-Tu m'avais dit qu'il y aurait des filles pour me tenir compagnie pendant que tu discutes avec tous ces campagnards.
-Il y en a. Des campagnardes. Elles n'ont peut-être pas l'âge des femmes que tu invites au restaurant d'habitude, mais je te connais bien. Tu as toujours eu un faible pour les dames mûres. »
Illya s'éloigna vers des bacs remplis de pommes de terre et fut surpris d'entendre des pas traînants le suivre. Napoléon, ses lunettes de soleil bien en place devant la lumière de ce matin pur et bleu – accalmie bienvenue avant les saucées prévues dans l'après-midi –, qui se déversait à flot sur la place, levait le nez en respirant les odeurs du marché. Son pantalon coûteux et son caraco de laine jaune à boutons tranchaient terriblement avec son environnement, les vantaux maintes fois reprisés des étals et les feuilles de laitue abîmées sur le sol, mais il semblait commencer à apprécier la balade. Il se colla aux pas de Kuryakin et l'observa tandis qu'il discutait de la provenance d'une grosse truite avec le poissonnier, étudiait les feuilles sur les bottes de poireaux et humait le parfum des pommes.
Quand ils repartirent du marché vers neuf heures, l'agent américain avait à la main un sachet plein d'olives aux épices que son ami lui avait achetées pour l'occuper. Kuryakin sourit en voyant la scène; on aurait dit un enfant qu'il avait contraint à l'accompagner dans une longue, pénible et ennuyeuse affaire d'adulte.
« J'espère que je vais avoir l'occasion d'assister à la sublimation de tout ce que tu as acheté, exigea Napoléon tandis qu'ils remontaient la rue.
-Pourquoi ? Tu as contribué à l'achat ? le titilla Illya avec un sourire de pur contentement.
-Oh, Illya! Ne sois pas si pingre, allez ! Je te promets de passer un coup de nettoyage dans ton appartement, où tu voudras ! »
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L'affaire de la prison
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by Shuu (Shuufleur)
Napoléon n’était pas le genre d’homme à rejeter la faute sur les autres mais il était bien obligé d’être honnête : tout était la faute d’Illya.
Words: 1769, Chapters: 1/1, Language: English
Series: Part 19 of Bingo!, Part 4 of 100 Fandoms Challenge
Fandoms: The Man From U.N.C.L.E. (2015)
Rating: General Audiences
Warnings: No Archive Warnings Apply
Categories: Gen
Characters: Napoleon Solo, Illya Kuryakin, Gaby Teller
Additional Tags: community: 100fandoms, Trope Bingo Round 12
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hurlumerlu · 6 years ago
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@larosezen, bonjour et bonne année ! Je suis vraiment navré.e d’être aussi en retard pour ton cadeau, mais je n’avais pas internet (ni même l’eau chaude, le chauffage et l’électricité pendant un temps, c’était un peu le bazar). J’espère que tu as passé d’excellentes fêtes de fin d’années et que mon cadeau te plaira assez pour que tu me pardonnes toute cette attente. Meilleurs voeux pour l’année qui s’annonce !
Douces nuits
Fandom: The Man From U.N.C.L.E. Category : Gen Relationships : une pincée de Gaby/Illya/Napoléon Characters : Gaby Teller, Napoléon Solo, Illya Kuryakin, Alexander Waverly
Istanbul, 24 décembre 1963 :
  Au cœur de l'action tout avait été plus facile. Ils étaient tous les trois les instruments (les agents) d'une volonté unique : arrêter Victoria. Si on avait demandé à Gaby de décrire leur relation à cet instant, elle aurait parlé en termes de mécanismes, de composants de moteur. Quelque chose d'élémentaire, de familier et d'intuitif.   Dans les heures qui avaient suivi le règlement brutal et définitif de la question Vinciguerra, les choses avaient été encore plus simples. Elle pensait ne jamais revoir ni Illya, ni Napoléon. Il lui avait suffit d'éviter soigneusement le regard du second et de n'échanger avec le premier que quelques phrases, quelques touches passionnées qu'elle pensait emmener avec elle dans ce que lui réservait Waverly (quoi que cela puisse être) et le tour était joué.
  Elle n'aurait jamais prévu que ce qu'il lui réservait, justement, c'était plus de temps passé en présence des deux hommes, c'était la recréation d'une équipe efficace mais fragile, c'était Istanbul.
  Une mission de surveillance peu riche en émotion, où ils passent le plus clair de leur temps enfermés dans un grenier ayant vue sur l'hôtel particulier d'un baron de la drogue. La pièce est pourvue de deux fenêtres pour trois, d'un matériel d'écoute pour trois, d’un plafond en pente contre lequel Illya et Napoléon ne cessent de se cogner et d’un poêle qui ne marche pas. Illya se déplace autour de Gaby en prenant soin de ne jamais la toucher, comme un ours inquiet d'abîmer une poupée de porcelaine. Napoléon, lui, fait comme si rien n'avait changé entre eux trois et Gaby ne sait pas comment dire qu'elle est désolée. Désolée de les avoir trahis, désolée d'avoir jeté Napoléon dans les griffes d'oncle Rudi, désolée surtout de savoir au plus profond d'elle-même que si tout était à refaire, elle ne changerait aucun de ses choix. Elle n'a jamais été douée pour les excuses.  Il fait nuit et beaucoup plus froid qu'elle ne l'aurait cru possible à Istanbul. La neige tombe doucement depuis maintenant deux jours. C'est entre vingt-trois heures et minuit, lorsque Gaby se lève pour aller cherche la bouteille de raki achetée un peu par hasard ce matin, qu'a lieu leur petit miracle de Noël. Car au même moment les deux hommes sortent de leur veste qui une boîte de loukoums hors de prix et qui un pot de terrine aux truffes déniché Dieu sait où. Gaby sert trois verres minuscules, observe Napoléon et Illya qui la regardent sans rien dire. Elle se sent soudain libérée d'un grand poids.  - A quoi trinquons-nous ? Demande-t-elle.  - A nous, répond Napoléon.  Ce qu'ils font, Gaby découvrant qu'elle n'aime pas le raki.   - Eh bien, sourit Illya. Joyeux Noël, je suppose.
Florence, 25 décembre 1967 :  Waverly est livide au bout du fil. Cela s'entend à sa façon d'articuler. Trop furieux pour crier, ou pour l'invectiver, il se contente d'énoncer clairement, méthodiquement, les conséquences de leur échec. Des dégâts matériels énormes. Un informateur mort. Sept agents UNCLE dont la couverture est compromise. Des milliers de vies en danger.  Gaby jette un coup d’œil à ses deux collègues et constate qu'ils se sont inconsciemment agencés comme ils le font d'ordinaire dans le bureau de leur supérieur. Napoléon harmonieusement installé dans un fauteuil, cherchant (et pour une fois échouant dans les grandes largeurs) à distiller un air d'assurance nonchalante. Illya debout presque au garde-à-vous, surveillant à la fois la porte et les fenêtres tel un panoptique. Il ferme et referme ses poings, se haïssant probablement de n'avoir pas été assez aux aguets, pas assez réactif, de n'avoir pas pu empêcher... Et elle-même, appuyée comme toujours contre le mur, focalisée sur les paroles de Waverly. Mais ses paroles sont différentes cette fois et Gaby croirait presque entendre la voix de son père (l'adoptif, le vrai).   - Je ne pense pas avoir besoin, continue-t-il, de réitérer l'urgence de la situation. Cela ne ferait qu'insulter à la fois votre sens du devoir et votre intelligence. Reprenez-vous en mains, agents. Je n'aurais pas placé un tel fardeau sur vos épaules si je ne vous avais pas pensé capable de le supporter.  Gaby hoche la tête avant de se souvenir qu'elle est au téléphone :  - Je vous recontacterai quand la menace aura été éliminée.   - Vous avez toute ma confiance. Oh, et joyeux Noël, je suppose.   Elle a déjà raccroché.
Shanghai, dans la nuit du 24 au 25 décembre 1972 :
  Leur cible est un homme de cinquante-sept ans, un peu trapu, très ambitieux, qui n'aime pas les soviets. Qui n'aime vraiment, vraiment pas les soviets, comme il le répète ad nauseam, sa voix rebondissant sur les murs de tôle.  Gaby ne voit pas l'expression de l'homme, il lui tourne le dos ; pas plus qu'elle ne voit Napoléon, qu'elle sait derrière elle, prêt à la couvrir du mieux qu'il peut. Mais elle ne voit pas non plus le hangar, ni les conteneurs entreposés, ni même les poutrelles glacées, glissantes, grinçantes, sur lesquelles elle avance subrepticement depuis tout à l'heure. Elle ne voit qu'Illya, ses traits blafards, la sueur sur son front, ses mains crispées sur son abdomen, la couleur du sang.  Leur cible parle toujours. Parle et parle et parle et Gaby fait un pas après l'autre, ignorant son vertige puisqu'elle ne voit pas le vide, puisqu'elle ne voit qu'Illya. Illya qui ignore leur présence, Illya qui se croit seul face à une mort certaine.  Leur cible parle et Gaby voudrait lui crier des encouragements. « Continuez » a-t-elle envie de hurler. « Continuez donc ! Expliquez-nous plus en détail comment vous avez immédiatement soupçonné Illya à cause de son accent russe, redites-nous à quel point on ne peut pas leur faire confiance, reparlez-nous de votre vie, de tout ce qui a nourrit votre haine, ne vous arrêtez pas, ne vous arrêtez surtout pas de parler. »  Elle est presque au-dessus de lui, plus que quelques centimètres à parcourir pour atteindre son but et Gaby soudain voit tout, pas seulement Illya, plusieurs mètres en-dessous d'elle, mais aussi le sol (plusieurs mètres en-dessous d'elle) et cet homme qui parle encore (plusieurs mètres en-dessous d'elle) et Napoléon, trop lourd pour les poutres, dont le visage a, lorsqu'elle se retourne vers lui, cet air inexpressif, comme coulé dans la cire, qui lui vient parfois dans les situations de vie ou de mort.  - Mais l'heure tourne, dit l'homme en-dessous d'elle, et j'ai encore beaucoup à faire. Joyeux Noël, je suppose.  Il lève son arme.  Gaby saute dans le vide.
Paris, 24 décembre 1975 :
  L'arbre de Noël est aux sapins ce qu'Illya est aux hommes, ce par quoi Gaby entend « absolument gigantesque ». Des cadeaux y ont étés entassés au cours de la soirée et une grande femme vêtue de cachemire noir les sélectionne les uns après les autres pour lire à voix très haute le nom inscrit dessus.  Le présent qu'elle vient de soulever est léger et souple, Gaby reconnaît immédiatement le paquet qu'elle a emballé avec Illya dans du papier gris perle et n'est donc pas surprise quand Napoléon est appelé à son tour.  Si on avait dit à la Gaby d'avant-guerre  qu'elle réveillonnerait avec la crème de la crème, le haut du panier de l'avant garde artistique parisienne, elle aurait cru en sa bonne étoile et travaillé dur pour que cette prophétie se réalise. Si on avait dit la même chose à la Gaby d'après-guerre, elle aurait haussé les épaules et serait retournée à ses voitures. Ce soir-là, pourtant, ce sont bien les artistes les plus courus de Paris qui se pressent autour d'elle et la traitent comme l'une des leurs. Leur mission actuelle (intégrer le cercle d'amis d'un peintre soupçonné d'espionnage) s'est révélée beaucoup plus simple et agréable que prévue.  Illya se fait passer pour un danseur-chorégraphe, Napoléon pour un collectionneur et Gaby, elle, assemble des sculptures immenses avec de vieilles guimbardes désossées. Elle y a vite pris goût et s'est plus d'une fois surprise à griffonner les esquisses d’œuvres futures dans les brouillons de ses rapports.  Elle ne saurait dire lequel d'entre eux a eu l'idée de les faire passer pour un trio polyamoureux, tant ce mensonge leur est venu aisément. Il est efficace dans ce milieu qui tente désespérément d'être à la page et démontre une indulgence sans faille pour tout ce qui est considéré comme « excentrique »... et ils savent tous les trois se montrer très convaincants. Gaby essaye de ne pas trop s'inquiéter de cette constatation, de l'aisance avec laquelle ils parviennent à fonctionner en couple (trio? trouple ? ménage à trois ? bref). Pour l'instant elle savoure, on verra plus tard.  Elle ne sait pas trop non plus qui, d'Illya ou d'elle, s'est mit le premier en tête de refaire la garde-robe de Napoléon dont les tenues sont bien trop vieux-jeu pour infiltrer un milieu aussi branché. Il se détache d'eux, vêtu d'un pantalon chenille et d'une chemise décontracté qui lui donne l’air jeune, un peu naïf. Il ouvre son cadeau : un manteau de laine bleue marine à boutons argentés, coupe parfaite, signé Pierre Cardin. Chic mais moderne, choisi par Gaby et Illya parce qu'ils savent que Napoléon en appréciera la qualité mais sera gêné par son côté informel. Il l'enfile et parade un peu sous les compliments de l'assemblée puis revient enlacer ses partenaires.  - Vous êtes deux monstres, chuchote-t-il. Je me sens complètement nu dedans.  - Je doute que ton costume d'Adam soit aussi bien taillé, répond Illya du tac au tac.   Gaby se force à boire une gorgée de champagne pour ne pas ricaner.  - Deux monstres, répète Napoléon. Mais je vous souhaiterai malgré tout un joyeux Noël, je suppose.  Une fois la mission terminée, lorsque le pantalon et la chemise refont place aux costumes trois-pièces, le manteau reste. Dresde, 25 décembre 1979 :
  Elle revient à elle par à coups, par vagues. Rien qu'à l'oreille, elle sait qu'elle est dans un hôpital. Elle se souvient de s'être faite tirer dessus. Après ça, pas grand chose. Elle a mal à peu près partout et se demande si c'est normal. Ne devrait-elle pas être sous anti-douleurs ? Cela la décide à ouvrir les yeux.  Elle voit d'abord le plafond, blanc piqueté de bleu, crasseux. Puis le mur d'en face, orné d'une horloge (il est donc cinq heure du matin) et d'une guirlande. Puis, à sa droite, la porte vitrée qui donne sur le couloir. Enfin, lorsqu'elle tourne la tête du bon côté, Illya et Napoléon endormis l'un contre l'autre sur des chaises en plastique.  Napoléon a de plus en plus de cheveux gris, soulignés sans pitié par la lumière des néons. Illya a des rides de rire au coins des lèvres et des yeux. Ils sont sales, tous les deux, et mal rasés, leurs vêtements boueux et froissés. Gaby les trouve beaux. Lorsqu'ils s'éveillent et la regardent, l'affection la submerge :
  - Eh bien, sourit-elle. Joyeux Noël, je suppose.
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rose-of-pollux · 8 years ago
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MFU daily alphabet challenge 6/26
F---France
Summary: In which Napoleon and Illya learn that, sometimes, young spies have to get a bit of help from old spies.
Notes: for anyone in the Hogan’s Heroes fandom, “Peter” and “Louis” are exactly who you think they are.
Cross-posted to AO3.
Fleeing from THRUSH seemed to be a constant all over the world—from New York to Sydney, and everywhere in between.  Paris was no exception.  Napoleon and Illya’s first attempt to elude their pursuers was in a cab through the Parisian traffic.  Success was limited; they managed to snatch a lead, but it wasn’t going to last long.
It was Napoleon’s knack of striking up friendships with hotel and restaurant owners and staff that had ended up saving them again; as they passed by a small but quaint little place called Maison de Frère-Loup, Napoleon beckoned Illya to follow through the front door.
“Please tell me you know the owner,” Illya said, as he glanced behind them to see if they were still maintaining their lead.
“As a matter of fact, I do,” Napoleon said, taking Illya by the arm as he passed by the man at the front, who immediately began to chide Napoleon for not having a reservation. Napoleon ignored him, instead seeing the attention of an older man in a tuxedo, wearing a green, sequined bow tie.
“Napoleon Solo?” the man inquired.
“Peter!” Napoleon sighed. “We need your help.”
Illya blinked in surprise, not expecting an East End English accent.
“He’s the owner?” the Russian inquired.
“Not likely, Chum; I’m the entertainment,” the man said.  He looked to Napoleon.  “Gotten yourself in a mite of trouble, ‘ave you?”
“You could say that,” Napoleon said, with a wan smile.  “This is Illya, Peter; he’s with me.  Think you and Louis can help us lie low for a while?”
“Right this way, Gentlemen; Louis will tend to your needs,” Peter said, leading them to the kitchens. There was another older man who was helping with the cooking, but left the work to one of the other chefs as he noticed Napoleon.
“Napoléon?” he asked, pronouncing it the French way.  “You look flustered.  What brings you here?”
“Trouble this time,” Napoleon said, shaking Louis’s hand by way of greeting.  “This is Illya, my partner.  The two of us have been pursued by THRUSH for a while now—you’ve heard me mention them before?”
“Oui, of course.”
“Then you understand that we’re desperate to shake them off.  Think you can help us hide?”
“We can do better than that,” Louis insisted.  He pressed a switch, and one of the walls suddenly moved to reveal a hidden passageway. “This will lead you to a small tunnel running parallel to the cellar; the end will take you to the Metro.”
“A restaurant with an escape tunnel?” Illya queried.
“Oui; Pierre and I both thought it prudent.”
Napoleon and Illya both stared in quiet amazement, glancing from the tunnel to the two older men.
“You, ah…  This isn’t the first time you’ve done this,” Napoleon realized.
“Well, it’s the first time we’ve ‘ad to use the ruddy thing ‘ere,” Peter said, with a shrug.  “Sort of expected to use it for ourselves, not two younger blokes, eh, Louis?”
Louis smirked, first at Peter, and then at Napoleon and Illya.
“Napoléon, surely you knew that this line of work goes back a long time?” Louis asked.  “Now, go; the tunnel is useful only if you have made it far enough before your pursuers get here.”
“Will you be alright?” Illya asked.
“We can ‘andle this just fine,” Peter said, with a roll of his eyes.  “We’re not strangers to it, Chum.  ‘ow else did you think we made it this far?”
“Go, Mes amis,” Louis instructed.  “Go and be successful in what you do.  And then you, too, can pass on your wisdom to the younger generations in our trade.”
The younger duo thanked the older duo and darted down the tunnel, which was closed up after them.
“Napoleon…  Did you know…?”
“That they were retired spies?  Absolutely not,” Napoleon replied, sounding flabbergasted.  “It’s like I told you once before; I try to strike up a good rapport with restaurant and hotel folk, and I met these two guys on my first mission in Paris.  …Never once occurred to me that they’d know exactly where I was coming from.”
“So is that our fate, then?” Illya mused.  “To retire and go into some business for ourselves, and help out any young crusaders that cross our paths?”
“Doesn’t really sound that bad, does it?”
“…Perhaps not.”
They soon emerged from the tunnel and were on the metro, the both of them determined to thank Louis and Peter the next chance they got—as well as ask for some stories, were they able to divulge them.
They glanced at each other and smiled, silently hoping that they, too, would get the chance to share their own stories in the future.
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wickerjulias · 8 years ago
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ok so do you ever wonder what would change if napoleon were french? everything else stays the same, but napoleon is french
No I didn’t but this is such a good question, I’m shook. It would change a lot of his background and motivation I think: 
He spends almost five years in war occupied France 
Like imagine him trying to help the Résistance by starting to sneak around and by gathering information (and also by hiding weapons and stuff)
Him lying about his age just to be able to do something
Of course he gets wind of the persecution of the Jews and tries to help them too (like finding hiding places or ways for them to be able to flee the country)
After the war he starts stealing paintings and antiquities, but not only for the sake of getting rich, but also to return them to Jewish families
He gets caught finally 
At this point nobody knows what to do with him because he needs to be punished but his skills would be wasted in prison
I mean, I’m not saying that the SDECE and the CIA fight for their right to recruit him, but I totally am
Finally, the SDECE “wins” but they tell him to work for the CIA (double agent and all)
He accepts, because he has no choice
The next ten years are torture because he fears for his life constantly 
He somehow pulls through without getting caught, which he considers to be a damn miracle
UNCLE’s recruitment is a blessing for him and after all these years he’s free finally
And bonus images (because I can’t get them out of my head lmao):
Napoleon being fluent in French (obv of course)
Him having an accent while speaking English etc.
Waverly having to explain both the SDECE and the CIA why he needs them to “lend” Solo (which turns out to be very difficult because suddenly no-one in the SDECE knows how to speak English)
Whenever he does not want to speak to Illya or Gaby he switches to French and pretends to not understand English
A mother of three and a chef (both working for the Résistance) taught him to cook
Him insisting on his name being pronounced correctly 
His name being written Napoléon
His middle name being Yves (after his mother who is called Yvette) (I know this is not how middle names work, but let’s pretend it is)
The few friends he has calling him Léon
Illya still calling him “Cowboy” (because he shoots like one)
“I thought you were better at being fashionable.” -> how to start an argument
etc. etc. etc.
You gave me like a million ideas with this ask. Thank you so much for talking to me!! Have a good one :D
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ao3feed-napollya · 8 years ago
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Règles de Politesse
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by EastDuquesne
Napoléon est un homme plein de bonnes manières... sauf avec Illya.
Words: 921, Chapters: 1/1, Language: Français
Fandoms: The Man From U.N.C.L.E. (2015)
Rating: Teen And Up Audiences
Warnings: No Archive Warnings Apply
Categories: M/M
Characters: Illya Kuryakin, Napoleon Solo
Relationships: Illya Kuryakin/Napoleon Solo
Additional Tags: quand le malaise est à son paroxysme, Fluff, les folles aventures d'Illya Kuryapine et Napopoléon Solo
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daisydesetoiles · 2 months ago
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Flufftober 2024 : Un seul lit
17 octobre
Un seul lit (Only one bed)
Napoléon Solo & Illya Kuryakin (Des agents très spéciaux)
Napoléon sortit une pièce de monnaie de la poche de son coûteux costume gris et la montra à Illya. Le jeune homme hocha la tête et lança :
« Face. »
Napoléon fit voler la pièce dans les airs. Elle atterrit sur le côté pile. Son partenaire soupira et attrapa l'oreiller et les draps de rechange qui se trouvaient dans l'armoire pour se bâtir un petit lit à même le sol.
La ville de San Diego était pleine à craquer de gens qui étaient venus des quatre coins du pays. Il n'y avait plus de place dans les hôtels et les auberges, même bon marché, même, par défaut, de luxe (qui feraient grimacer les comptables de l'U.N.C.L.E), même pour les espions internationaux! Napoléon et Illya avaient dû se contenter d'une petite chambrette au sommet d'un établissement à quinze étages, dont on avait déjà pourvu certaines des pièces en lits de camp et matelas, et que son propriétaire voulait garder dans l'éventualité où il aurait à accueillir sa nièce. Même le galant Solo aurait été incapable de d'arranger la jeune fille dans ce petit logement où il n'y avait qu'un seul lit, une armoire, deux chaises et un lavabo. Même pas de quoi permettre à Kuryakin de dormir dans une situation confortable.
« Bonne nuit, Illya, le taquina l'agent américain en se penchant au bord de son matelas, une fois ses dents brossées et les rideaux tirés.
-Bonne nuit, Napoléon, grommela son ami en rabattant autant d'épaisseurs de draps que possible sur sa tête blonde et ébouriffée. »
Se reposer dans ces conditions était vraiment très aliénant. Kuryakin ne cessait de se tourner d'un côté, puis de l'autre, sur la fine moquette à la couleur déprimante, poussant des soupirs d'inconfort, essayant de retaper son oreiller pour qu'il lui soutienne mieux la tête. Naturellement, ils avaient tous les deux déjà dormi dans des endroits improbables, des coins de casino, des ruelles sombres, des prisons et des soutes à bagages. Néanmoins, ils essayaient, dans la mesure du possible, de se préserver l'un l'autre et, vers une heure du matin, Napoléon s'inclina de nouveau depuis le bord de sa couchette.
« Illya, chuchota-t-il. Allez, on échange. Si tu te réveilles demain avec un mal de dos, tu vas être grognon.
-Et toi? répliqua son ami en se tournant vers lui. Tu aimes tellement dormir que je vais en entendre parler pendant des heures.
-D'accord. Alors viens dans le lit avec moi. »
Illya le regarda de travers mais accepta bien rapidement tant il se sentait raide et fourbu. Il attrapa ses draps et son coussin et se nicha dans le lit en poussant autant que possible Solo au passage.
« Tu n'as pas intérêt à me faire tomber du matelas, le prévint-il en tapotant le grabat moelleux avec un soupir d'aise.
-Regardez-le, celui-là, comme il est ingrat ! protesta Napoléon en se permettant d'être celui qui le regardait maintenant de travers. Je lui cède gracieusement un petit morceau d'un confort que j'avais gagné à la régulière et il s'offusque de ne pas avoir assez de place !
-Chut. Maintenant on dort. »
Illya sourit en imaginant très bien le regard vexé et un peu outré que son ami maintenait sur l'arrière de son crâne. Comme il ne fit pas mine de se retourner, l'agent américain marmonna une dernière fois dans sa barbe et se tourna sur son autre flanc pour se rendormir.
Ils avaient bien sûr souvent dormi côte à côte, mais ce n'était pas pareil d'être allongés dans un lit que penchés l'un vers l'autre dans des sièges d'avion. Lorsqu'Illya se réveilla à quatre heures, secoué par un terrible cauchemar, la main de Napoléon le long de son bras, et sa présence chaleureuse et réconfortante, suffirent à le replonger progressivement dans le sommeil. À partir de ce jour-là, quand ils ressortirent de missions horribles, torturés, drogués, montés l'un contre l'autre, supposés morts, ils tirèrent parti du clic-clac de l'agent russe pour s'apaiser. Ils le dépliaient dans le salon de Kuryakin et s'endormaient l'un près de l'autre pour chasser les traumatismes de cette vie parfois désolante.
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daisydesetoiles · 3 months ago
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Flufftober 2024 : Un temps à porter des sweats
7 octobre
Un temps à porter des sweats (Hoodie weather)
Napoléon Solo & Illya Kuryakin (Des agents très spéciaux)
Le ciel était bleu mais le vent soufflait sur New-York. C'était le début de l'automne. Il ne faisait pas encore assez froid pour porter de gros manteaux, mais les chemises en lin et les vestes légères avaient définitivement été rangées au fond des placards. Illya n'accordait jamais ses vêtements à la météo, devant porter des costumes pratiquement chaque jour dans son travail, que ce soit sur la chaise d'un bureau climatisé, lors d'une poursuite dans le désert turc ou bien sous les averses d'un village écossais. Le reste du temps, en repos ou quand on lui donnait en mission de la latitude quant à sa garde-robe, il mettait des cols roulés.
Mais ce jour-là, l'air frais sentait la nostalgie. Celle d'une époque où sa vie ressemblait à un grand chemin sans aucune fin définie, parce qu'il ne savait pas ce qu'il ferait de son temps. Il n'appartenait pas encore aux agents de terrain de l'U.N.C.L.E. Il n'avait plus vraiment de famille, pas davantage d'amis – que des camarades de faculté. Il n'attendait rien, ne déplorait rien, profitait simplement de ce que lui donnait l'existence.
Ce temps lui faisait penser aux promenades pour observer la ville et aux thés chauds, à l'abri sous l'avancement d'un toit. Il avait donc remis un sweat-shirt. Celui de son université quand il était à Oxford.
Illya se sentait bien mais depuis qu'il avait mis le nez en-dehors de son appartement, il espérait ne pas tomber sur Napoléon, qui se moquerait inévitablement de son manque flagrant de classe.
Le rire bruyant qui lui parvint depuis une boutique de chaussures de luxe se chargea de doucher toutes ses espérances. L'agent soviétique soupira et tourna son regard le plus irrité en direction de son ami. Napoléon fut sur lui en à peine deux foulées.
« Qu'est-ce que c'est que ça ?! s'exclama Solo en désignant le vêtement bordeaux de haut en bas, comme si Kuryakin eût pu manquer la façon dont il était habillé. Tu n'avais plus rien dans ton armoire ? Ou bien tu essayes de te faire passer pour un adolescent ?
-Bonjour, Napoléon, répondit Illya de son ton le plus snob. Sache que c'est un temps à porter des sweats aujourd'hui. Ne sens-tu pas les délicats rayons du soleil et simultanément cette froide petite brise ?
-Je m'excuse, répondit l'agent américain avec amusement, je n'avais pas compris qu'il y avait une démarche mûrement réfléchie derrière. Mais à quand remonte la dernière fois où tu as porté ce pull ? Il n'est pas trop serré pour toi ?
-Es-tu en train de me dire, Napoléon, que le blouson que tu as reçu durant tes années d'université ne te va plus ? Tu as grandi depuis ce temps-là ? Ou bien c'est autre chose ? »
En une poignée de secondes, le rusé agent russe avait complètement retourné la situation à son avantage. Solo fronça les sourcils, contrarié, et attrapa le tissu du vêtement dans ses doigts pour s'assurer qu'il tombait bien. Puis, il recula et détailla son ami, sachant pourtant très bien sa morphologie, sa petite taille et son corps mince.
« Il y a des coutures qui craquent sous les bras, finit-il par déclarer en réajustant son nœud de cravate avec raideur.
-Eh bien, quand nous repasserons dans le coin, nous ferons un saut à ta fac pour leur demander s'ils n'ont pas la taille au-dessus, rétorqua Kuryakin en cachant avec peine son sourire de triomphe. En attendant, mon vieux, je te laisse faire tes emplettes. Je sais que tu ne vas pas acheter de sweat, mais ne t'en fais pas, ce n'est pas grave de ne pas être en accord avec la météo. »
Illya sentit le regard déboussolé de Napoléon sur son dos pendant tout le temps que ça lui prit à remonter la rue. Ça, c'était une idée, tiens ! Comme cadeau d'anniversaire. C'était si doux, si confortable, ce serait parfait à porter aussi pour se reposer après avoir subi de trop graves blessures.
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daisydesetoiles · 5 months ago
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Friendship Day 2024 !
We're the 30th of July ! It's the International Friendship Day !
I love Friendship. Friendship is life <3
Thank you to my favourite friendships to (have) existe(d) ! Also to those minor, sweet bonds that I think to only when I'm really into it. But here, it's about 10 between the ones I love the most !
Napoléon Solo & Illya Kuryakin (Des agents très spéciaux / Man from U.N.C.L.E)
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2. Ophélie & Octavio (La passe-miroir / The mirror visitor)
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3. Étienne de La Boétie & Michel de Montaigne
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4. Geralt & Jaskier (The Witcher)
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5. Yuma Tsukumo & Astral (Yu-Gi-Oh ! Zexal)
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6. Héroïne & Stella (Dragon Quest IX : Les Sentinelles du Firmament / DQIX : Sentinels of the Starry Skies)
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7. Jessie, James & Miaouss (Pokémon)
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8. Robin de Locksley "Robin des Bois" & Pierre Dubois (Robin des Bois : Prince des voleurs / Robin Hood : Prince of thieves)
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9. Napoléon Solo & Illya Kuryakin (Des agents très spéciaux : Code U.N.C.L.E / Man from U.N.C.L.E)
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10. Jaden Yuki & Syrus Trusdale (Yu-Gi-Oh ! GX)
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Règles de Politesse
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by EastDuquesne
Napoléon est un homme plein de bonnes manières... sauf avec Illya.
Words: 921, Chapters: 1/1, Language: Français
Fandoms: The Man From U.N.C.L.E. (2015)
Rating: Teen And Up Audiences
Warnings: No Archive Warnings Apply
Categories: M/M
Characters: Illya Kuryakin, Napoleon Solo
Relationships: Illya Kuryakin/Napoleon Solo
Additional Tags: quand le malaise est à son paroxysme, Fluff, les folles aventures d'Illya Kuryapine et Napopoléon Solo
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Leçon de Russe
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by EastDuquesne
Il eut soudain toutes les peines du monde à déglutir, et la pièce sembla se réchauffer d'au moins cinq degrés lorsqu'elle se pencha au-dessus de la table. Elle tapota son verre de cristal de ses doigts graciles, produisant ainsi d'imperceptibles ondulations dans la vodka, puis s'éclaircit la gorge avant de reprendre :
« Очень прият��о, меня зовут Габриэлла. »
Words: 1727, Chapters: 1/1, Language: Français
Series: Part 1 of Innombrables Horizons
Fandoms: The Man From U.N.C.L.E. (2015)
Rating: General Audiences
Warnings: Creator Chose Not To Use Archive Warnings
Categories: F/M
Characters: Illya Kuryakin, Gaby Teller
Relationships: Illya Kuryakin/Gaby Teller
Additional Tags: Fluff, Amour à sens unique, ou peut-être pas, léger angst, ce moment où Illya est en fait un gros marshmallow, et Napoléon joue les cupidons, et Gaby est bourrée, feedbacks très très appréciés, vraiment j'ai passé des mois sur cette trad je suis au bout du rouleau
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