#Bal des Bêtes
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Time Travel Question 60: 19th Century III and Earlier
These Questions are the result of suggestions from the previous iteration.
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#Charles Dickens#Hans Christian Anderson#Time Travel#19th Century#Vincent Van Gogh#Shibden#Anne Lister#Ann Walker#Queer History#The Princesse de Sagan#Bal des Bêtes#Paris#The Philippine Revolution#Filipino History#Edgar Allen Poe#Kasper Hauser#Grunwald Swords#Polish history#Lithuanian History#Medieval History#Middle Ages#1896#Olympic Games#Olympic History#Paul Verlaine#Arthur Rimbaud#Poets#The Difference Engine#Charles Babbage#Ada Lovelace
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I started writing you an ask @saecookie but it sucks too much that I can't put links in them so I'm writing it here so you can listen to the songs easily.
To give a little context (not exactly needed) : I was listening to some Calexico songs earlier. I reaaally recommend giving them a listen, they incorporate a lot of spanish influences and sing in spanish sometimes and they have really cool songs (I can give a few titles if needed but honestly all their albums are great and can be listened to the whole way through with great enjoyment). In my youtube recommended on the side I see a song in spanish, cool same vibe I guess, so I click on it and it was NOT WORLD MUSIC but some good ol' spanish metal. Then I switch to another suggestion (Aeon Enigma - Order of the Crystal Rose) but the last song got me thinking. Most power metal songs are in english, even when the bands are from all over in Europe. However, some songs have lyrics in the mother tongue of the band or sometimes full songs (I am reminded of bands like Powerwolf (german) or Moonspell (portuguese, not power metal though)), and recently I went to the metal exhibition in Paris (Diabolus in Musica) which was awesome but especially had a room dedicated to french metal. It was awesome and seeing all the pictures and posters for concerts was amazing. So I wondered if there was any french power metal bands (there MUST be, even not super popular ones) and the first thing I found was a reddit page with people's suggestion (the best way to find new stuff, through word of mouth). The op of the post was asking for french power metal because they had listened to Bête du Gévaudan by Powerwolf (again, a german band but they sing the whole song in french and their pronounciation is GREAT!!)(yes the original is in english but that's still so freaking cool).
So before we get into french bands, let's first listen to this german one singing in french :
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The thing is with this genre they usually sing in english, but there are a few french speaking ones ! (and more ;) )
I really liked L'épée des Dieux by Herzel. This one is not too far from the beginnings of metal, big hard rock vibes. C'est pas trop dépaysant. I love the change in rhythms between the verses and choruses.
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There were a few that were good but didn't make my head explode (which is fair I'm no metric for how good a song is). Le bal des ombres by Manigance was pretty nice and Darktribe has a song called Voici l'Homme that has choruses in french (they usually sing in english) that's cool too.
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But then, I found that really got me listening to the whole album in one sitting. They are called boisson divine and they don't sing in french but in gascon !! All their albums are on bandcamp and they provide lyrics in gascon, in french and in english ! I sat down for an hour and listened to La Halha. I truly recommend it. They have really cool sounding songs (I think they have an accordion ? could be a synth), they have a good mix of powerful songs, a nice balance between instrumental and singing moments, and they even have a few ballads :D
I'm going to look at more french power metal bands now ! If I can come knocking at your door with more music recommendations tell me :D
#power metal#french power metal#boisson divine#herzel#powerwolf#calexico#it's 9pm i need to go eat#saecookie#Youtube#Bandcamp
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Samedi 28 janvier 2012.
La salle d’attente de la gare de Spisska nova Ves est un peu triste. Vendredi soir il y a quelques personnes qui sont venus y chercher un refuge contre le froid. A minuit elles devront aller voir ailleurs. C’est sans doute la même chose dans toutes les gares de Slovaquie, de République tchèque et de tous les autres pays.
Les couchettes du train qui nous emmène vers Prague sont assez simples, vieillottes et me font penser à nos vieux trains de nuit. Le train s’arrête souvent, grince, fait toutes sortes de bruits. Épuisé, je trouve enfin le sommeil. C’est à ce moment, au petit matin, que le contrôleur nous annonce l’arrivée prochaine en gare de Prague.
De chaque côté de la voie ferrée, des cheminées se dressent telles des vestiges d’un temps révolu. A la fin des années 80, un peu avant les bouleversements qui secouèrent le monde communiste, j’étais venu faire un reportage sur l’église souterraine en Tchécoslovaquie. Dans un hôtel où nous étions descendus, des peintures au réalisme socialiste étaient accrochées sur les murs. On y voyait des usines avec des cheminées qui crachaient de la fumée noire, ce qui fit dire à mon chauffeur "plus il y a de fumée, plus c’est socialiste". Les cheminées sont toujours là, mais au moins ce matin la fumée a disparu. Et le socialisme aussi !
Deux cafés pour me réveiller, puis un autre convoi nous emmène vers une petite ville du sud où ce soir est organisé un bal avec une tombola dont le prix est un sanglier. L’endroit où la soirée aura lieu est une espèce de bar un peu bizarre tenu par l’ami de Lenka.
La fatigue est toujours présente chez moi et l’inspiration se fait rare. Je vais faire une sieste. Si jamais je dois courir après la bête !
Vous pouvez retrouver ces histoires dans le livre "Un voyage en hiver" publié aux éditions de juillet en 2021.
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Les inspirations dans mes couvertures !
CW / TW - Sang sur certaines images.
Les couvertures de livre, ce sont les vitrines de nos romans et récits, dit-on. Vous avez probablement été inspiré-e par une œuvre ou une atmosphère en concevant les vôtres si, comme moi, vous bidouillez vos couv sur Canva et en utilisant des images disponibles librement sur internet. Voici les inspirations qui me sont venues lorsque j’ai composé certaines couvertures, en espérant que ça vous donnera peut-être envie de lire les projets cités !
Au Bal des Bêtes
Le titre ne vous rappelait rien ? Eh bien en réalité, c'est une référence directe au film Barbie Barbie au bal des 12 princesses. Un film qui a marqué mon enfance comme nombreuxes d’entre vous. Vous sentirez toute l’ironie de ce titre en lisant cette nouvelle horrifique écrite pour un concours Halloween sur Plume d’Argent. La composition rappelle les affiches de films d’horreur, genre du cinéma que j’aime énormément. En la fabriquant, j'ai surtout pensé à Malum qui m’a bien marquée en 2023. Un drôle de mélange certes.
Le Secret des Dryades
Cover 1
Cover 2
Au-delà du titre, très influencée par ce que l’on peut trouver dans certaines œuvres de Fantasy, pour le Justinember (défi proposé par @justine_cm_ en 2022) j’ai opté pour une inspiration basée sur Barbie Casse-Noisette. Les thèmes dans le récit sont complètements inspirés de ce film, et certains personnages et textes sont proches de ce que l’on voit au cours de l'histoire. Les couleurs de la couverture sont inspirées des tons pastel qui ressortent sur la robe de Clara et des images de la fin (où le printemps est enfin revenu). Toutefois, j’ai voulu changer et créer une autre couverture, l’ancienne me semblait trop claire visuellement. La seconde est inspirée d’un autre film Barbie (décidément). Et oui, nous quittons la fée dragée pour rejoindre les plans que je trouve magnifiques de Fairytopia. Une scène marquante dans la quête d'Elina, fée sans ailes dont on suit les aventures, a marqué ma mémoire. L’image trouvée évoque ces jolies fleurs que l’on voit durant sa rencontre avec un autre personnage. Certains thèmes dans mon recueil peuvent rappeler des éléments présents dans ce film.
Les voiles de la Nuit
James et la pêche géante représente beaucoup de choses pour moi. Quand j’ai composé la couverture du recueil écrit dans le cadre du Reduary (défi proposé par @lecarnetdered) j’ai pensé au générique du film, qui lors du premier visionnage m’avait intriguée. Cela me rappelait les livres sur les insectes que j’aimais regarder au collège, et quand on connaît l'histoire, ce n'est pas anodin. Les couleurs étant jolies, et le film traitant de diverses transformations qui marquent le périple de James et ses amis, je m’étais dit que cela pouvait bien représenter les thèmes principaux dans mon modeste recueil. Quoi de mieux que le papillon pour évoquer le cœur même de l’histoire racontée ?
Dans les entrailles de mon Âme
Dans l’univers de Game of Thrones, et aussi dans House of the Dragon, nous avons plusieurs plans sur un crâne géant de dragon. En trouvant l’image qui me sert de couverture, ça m’a rappelé ces plans qui collent un peu à ce que j’imaginais : le souvenir d’un titan tombé. La nouvelle est centrée sur un personnage qui rappelle cette idée que la toute puissance ne promet pas l’invulnérabilité, malgré sa férocité. Un peu plus subtil je vous l’accorde.
Fortuna et Lux
Vu le sujet (ici les backrooms, si vous ne connaissez pas le lore, allez voir les vidéos de @Feldup sur le sujet), j’ai tout de suite pensé à Stranger Things, une de mes séries préférées. D’où l’usage de couleurs qui peuvent rappeler les illustrations de celle-ci (mélange de bleu, de rouge et des éclairs). J’ai opté pour quelque chose de plus sombre pour marquer le côté horrifique.
Liens
Je suis loin de maîtriser Canva ou les outils associés pour faire des covers stylées et retranscrire des thèmes et une ambiance donnés, mais je me suis beaucoup amusée en jouant avec les inspirations qui me sont venues. Elles ne sont pas grandioses, néanmoins je ne suis pas peu fière de ce que j’ai bidouillé. Si cela a titillé votre curiosité, vous pouvez découvrir ces textes, mes réseaux, projets et covers dans le lien ci-dessous, bonne découverte sinon bonne continuation :
Merci pour ta lecture ! À bientôt pour de nouvelles aventures ! 💜
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Aujourd’hui, jeudi 18/07/24, Journée internationale Nelson Mandela 🇿🇦 Au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. 🌬️
Dans le cadre des Jeudis d’été du Rucher (du 11/07 au 29/08/24), invitation de l'équipe du Rucher des Forges à rencontrer et découvrir le monde des pollinisateurs, des abeilles et de la biodiversité : ce jeudi 18 juillet au jardin partagé de la Pérollière de 10h à 13h 🐝
Pour les amateurs et amatrices de parquet, bal et soirée dansante en accès libre, annulé en cas de mauvais temps ➡️ Ce jeudi 18/07/24 de 18h à 22h à l’espace guinguette des Jardins de l'Europe : tango argentin avec Fondus de Tango 74 💃
Jeudi festif ce 18/07/24 à 20h au square Jean Chamey (3 avenue du Stade) : Hot Club de Boukravie ➡️ Groupe de musique incontournable pour tous les amateurs de jazz manouche et de swing 🎷 Buvette et petite restauration sur place 🎵
Musique classique : le pianiste annécien Pascal Wintz présente un concert de jazz en trio sur des thèmes de Chopin, Liszt, Puccini ou encore Beethoven 🎹 Ce jeudi 18 juillet 2024 à 20h30 à la salle Pierre Lamy ➡️ Plein tarif : 22 €, tarif réduit : 11 € (-18 ans) 🎼
Dans le cadre du festival Ah ! La belle saison qui a lieu jusqu’au jeudi 25/07/24 : Que tengo (musiques afro-latines et urbaines, la cumbia, la rumba et le soukous rencontrent le hip hop et la puissance lyrique de la chanson) ➡️ Plage d’Albigny ce jeudi 18/07 de 20h45 à 22h15 🎶
Neneh Superstar (film réalisé par Ramzi Ben Sliman) : ciné gratuit en plein air ce soir (jeudi 18/07/24) de 22h à 23h45 au square de la Mandallaz 📽️ Installez vous et profitez d'une soirée en plein air en famille ou entre amis 🎬
L’opération Vital’été a repris du service à Annecy le lundi 8 juillet (jusqu’au samedi 24/08/24) : aujourd’hui (jeudi 18/07), atelier équilibre, gym sénior, natation, Taiji Quan, Touch Tennis et “Savoir rouler à vélo en sécurité” 👌 Activités gratuites 🤩
Qualité de l’air dans la cité lacustre (indices ATMO) : les températures seront en nette hausse 🌡 Les niveaux d’ozone poursuivront leur hausse et la qualité de l’air sera dégradée à mauvaise 💨
L’indice de risque pollinique à Annecy est moyen, au niveau 2 en ce qui concerne les graminées (indice communal valable du 13 au vendredi 19/07/2024 inclus) 🤧 Personnes allergiques : n'étendez pas votre linge à l'extérieur car les pollens se déposent sur le linge humide 😷
Deux dictons du jour, un acheté, un offert (pour la petite histoire, cette pratique est désormais illégale) : « À la saint Frédéric, le soleil pique. » ☀️ « À la saint Frédéric, tout est vert, tout est nids, plantes, bêtes et gens, tous sourient. » 💚
Bonne fête aux Frédéric et Frédérique & demain aux Arsène 😘
Bon quatrième jour de la semaine à tous et à toutes 🛹
📷 JamesO PhotO à Annecy le jeudi 18/07/24 📸
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Jean de la Lune
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Jean de la Lune (Tomi Ungerer)
Avez-vous vu Jean de la Lune, là-haut dans le ciel ? Pelotonné dans sa boule argentée, il vous fait signe amicalement. Il attend que vous lui rendiez visite, une visite que tout le monde ici a oubliée, et que je vais vous conter. Jean de la Lune s'ennuyait. Il était seul. Nuit après nuit, il regardait de là-haut les gens qui dansaient sur la Terre, au clair de Lune. Et il pensait : « Ah ! Si je pouvais une fois, rien qu'une fois, m'amuser un peu avec eux ! » Mais voici que, par une belle nuit, une comète passa près de lui. Jean de la Lune ne manqua pas l'occasion : il saisit la comète par sa traîne de feu et s'envola. Il arriva sur la Terre comme une bombe, terrifiant bêtes et gens. L'alerte fut donnée dans la ville voisine. Et l'on vit accourir la police, les pompiers, les journalistes et un régiment de blindés. Un marchand de glace courageux – qui espérait faire de bonnes affaires- les précédait. Personne ne reconnut la douce et pâle créature qui gisait là, enfouie dans la terre au fond d'un grand trou. L'émotion fut grande dans le pays. Très inquiets, les Ministres questionnèrent les Savants. Les Savants questionnèrent le ciel. Le Général en Chef, qui croyait à une attaque, donna l'ordre d'arrêter l'ennemi. Jean de la Lune fut jeté en prison. On lui mit un boulet au pied. On créa pour le juger un tribunal spécial. Et le soir, quand la lune venait l'éclairer, il repensait à elle et restait là, tout triste. Mais une nuit, il se sentit soudain plus léger ; son côté gauche avait disparu. « Oh ! Oh ! » pensa-t-il tout content, « il me semble que je suis près de mon dernier quartier. » La lune devenait de plus en plus mince. Jean de la Lune aussi. Il devint même si mince qu'un soir il réussit à se glisser entre les barreaux de son cachot. Quand le chef de la police voulut interroger son prisonnier, il trouva la cellule vide et terrorisa les gardiens par ses hurlements. Pendant ce temps, Jean de la Lune goûtait la joie d'être libre. Dans le calme des nuits, il passa parmi les fleurs et les oiseaux des heures merveilleuses. A la pleine lune suivante, il était au plein de sa forme. Il s'aventura dans un bal masqué et fut rassuré d'entendre : « Tiens, en voilà un qui s'est déguisé en Lunien ! » Jean de la Lune dansa très longtemps cette nuit-là ! Il était ravi. Un voisin grognon porta plainte à la police pour tapage nocturne. A la vue des uniformes, Jean de la Lune prit peur, et s'enfuit dans la forêt où les policiers le poursuivirent. Mais Jean de la Lune était plus rapide qu'eux. Il filait comme le vent. Au fond des bois, dans un endroit tranquille, il découvrit un vieux château. Ce château était habité par un vieux savant oublié : le professeur Ekla des Ombres. Il accueillit Jean de la Lune comme un ami. Depuis des siècles, le Professeur travaillait à un vaisseau spatial qui devait aller dans la lune. Maintenant, la fusée était prête et reposait dans la grande tour, sur sa rampe de lancement. Mais le professeur était trop âgé et trop gros pour y prendre place. Il demanda à son visiteur d'être le premier passager. Jean de la Lune trouvait qu'il n'avait pas été, en somme, bien reçu par les hommes de la Terre. Il lui tardait de retrouver sa vie tranquille. Il accepta donc, pour rentrer chez lui au plus vite. Le professeur décida d'attendre que la Lune soit entrée dans son dernier quartier. « Le Lunien pourra alors se glisser dans la fusée. » pensait-il. C'est ainsi que, quelques nuits plus tard, Jean de la Lune quitta son bienfaiteur. Les yeux pleins de larmes, ils se souhaitèrent bonne chance. Et la fusée emporta le Lunien dans l'espace à une vitesse vertigineuse. Le Professeur Ekla des Ombres, devenu célèbre, fut reçu par le Conseil des Ministres. On le décora pour avoir lancé en direction de la Lune la première fusée. Mais le Professeur oublia de dire que sa fusée était habitée… par quelqu'un qu'on avait si longtemps recherché. Et Jean de la Lune pendant ce temps, reste pour toujours tranquillement pelotonné dans sa boule d'argent, là-haut, où il attend votre visite.
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Les espionnes du Roi, T.03 : Piège au Palais des Tuileries.
Christelle Chatel.
2022.
Synopsis :
Été 1640. Louis XIII est à nouveau menacé par Orion, une mystérieuse organisation menée par son frère Gaston d’Orléans qui cherche à prendre le pouvoir.
Aurore, Angèle et Azilys, les trois espionnes du roi, sont chargées de lui tendre un piège.
Lors d’un bal au palais des Tuileries, elles organisent une rencontre entre Gaston d’Orléans et un prétendu "prince" d'un royaume au large de l'Espagne pour tenter de l’amener à se trahir. Vont-elles réussir ?Aurore, Angèle et Azilys, les trois espionnes du roi, sont chargées de lui tendre un piège.
Plaisir de lecture :
Un tome que j’ai beaucoup aimé. Gaston prend du poil de la bête.
Avec son côté théatre et mise en scène - pour piéger Gaston- je n’ai pu m’empêche d’y voir une sorte d’écho au théatre du capitaine Fracasse de Gauthier.
Note : 3 chats.
Historicité :
Très relative, mais ce n'est pas le but.
Cependant, certains éléments montrent que l'autrice connait son sujet.
Dossier pédagogique en fin d'ouvrage sur le Palais des Tuileries.
Note : 3 chats.
Disponibilité :
Papier ou numérique payant.
Neuf ou occasion.
Adaptation audiovisuelle :
Aucune à ma connaissance.
Bonus Point Chat :
Le jeune Félix a un chat roux prénommé Lutèce.
Note : 3 chats.
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Mercredi 24 mai 2023
Ma soeur il y a quelques années, en rapport avec la conversation ouie ?, regard perdu, mots à la volée chopés du néant :
" mon père est bête, ma mère est con..."
ou le contraire, ça n'a plus d'importance. Quelque chose de vérité était dit et tout fini.
Depuis les fous mènent le bal.
Tragique.
Elle savait donc.
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死の舞踏会 / Shi no Butoukai (Shimotsuki Haruka / Remlerose no Majo) romaji + traduction FR)
Titre : Shi no Butoukai (死の舞踏会) Artiste: Shimotsuki Haruka ( 霜月はるか ) Album: Remlerose no Majo (レムルローズの魔女)
��ちる朱の月…集え我が愛し子よ… Michiru aka no tsuki... Tsudoe waga shimobe yo... En cette pleine lune rouge... Venez à moi, mes chers serviteurs...
Rem la marie, Fem la Malice. Rem la mirya, Fem la mirya. Wario la wise, Malice la wise. Rem la torine, Rem la arie. Hinare, nowrrie, vilte. Rem la wizarre. Rem la marie, Rem la arlie. Rem la torrine arie. Malice la fat lauwa, Fem le sarce Andalucia. Nous sommes vos esclaves, vous êtes notre sorcière. Nous sommes vos yeux, entièrement à votre service. Le monde est magnifique, à l'instar de la sorcière. Nous dansons, nous chantons. Nous nous déguisons en brouillard, en bête, en humain Nous sommes vos crocs. Nous sommes vos victimces, nous sommes éternels. Nous dansons et chantons. La sorcière connait tes doutes, Andalucia.
始まる血の舞踏会 哀しき化け物が踊る祝宴 新たな躯を得よ―― Hajimaru chi no butouki Kanashiki bakemono ga odoru utage Arata na karada wo eyo- C'est le début du bal de sang Un festin durant lequel danse les monstres désespérés Obtenant un nouveau corps-
Neu Malice la arue. Une nouvelle sorcière va naître.
――美しき心臓 ----Utsukushiki shinzou ---Un magnifique cœur
Fem la harzile waris? En êtes-vous satisfaite?
Neu Malice la arue. Une nouvelle sorcière va naître.
――美しき躯を ---- Utsukushiki karada wo --- Un magnifique corps
Fem le raloe wiseroa! Rem le marie-Fem la simoe! Commémorons ta mort! Mes frères, taisez-vous !
Malice ! 我らが魔女 Malice ! 減らずの蝋燭 Malice ! 乾かぬ水 Malice ! 死とは始まりの (Malice !) 醒めない悪夢 Malice ! 魂の墓標 Malice ! 昏き迷路 Malice ! 新たな容れ物 Malice ! 其の躯に (Malice!) 狂気を注いで Malice ! 刻は来たと (Malice!) 永久を契る詩 Malice ! Warera ga nushi Malice ! Herazu no rousoku Malice ! Kawakanu mizu Malice ! Shi to wa hajimari no (Malice !) samenai yume Malice ! Tamashii no bohyou Malice ! Michibiki meiro Malice ! Arata na iremono Malice ! Shin no karada ni (Malice!) kyouki wo sosoide Malice ! Toki wa kita to (Malice!) towa wo chigiru uta Malice ! Notre maîtresse Malice ! Une bougie qui ne s'éteint pas Malice ! Une eau qui ne s'évapore pas Malice ! La mort n'est que le rêve (Malice!) d'un commencement dont on ne se réveille pas Malice ! La pierre de l'âme Malice ! Le labyrinthe où nous sommes conduits Malice ! Un nouveau receptacle Malice ! Insérant la folie (Malice!) dans ce nouveau corps Malice ! Le moment est venu (Malice) comme l'indique le chant promettant l'éternité
Malice! 貴方の [お前の] 望みは何? [躯を] Malice! Anata no (omae no) nozomi wa nani ? (karada wo) Malice! Que (Ton) veux-tu ? (corps)
多くの無念と多くの絶望から 我等は生まれた 生き血を狩る力を呪いと呼ぶなら 母なる主の聲 心を委ねよ お前の感情など…すぐ消してあげる ――お前は私となる Ooku no munen to ooku no zetsubou kara Warera ga umareta Ikichi wo karu chikara wo noroi da to yobu nara Haha naru aruji no koe kokoro wo yudane yo Omae no kurushimi nado.. sugu keshite ageru ____Omae wa watashi to naru Nous sommes nés à partir D'un grand nombre de chagrins et de désespoirs SI pour toi la soif de sang est une malédiction Alors laisse toi porter par la voix de notre Mère Je vais effacer ta souffrance Et tu deviendra "moi".
牙を濡らす朱き血の色 憎み嫉み…嗚呼 銀の髪を風に絡めて 魔女の詩が 未来を刈り取るなら いざ抗えよ [我が手に堕ちよ] Kiba wo nurasu akaki chi no iro Nikumi sonemi... ah Gin no kami wo kaze ni karamete Majo no uta ga ashita wo karitoru nara Iza aragae yo [waga te ni ochiyo] Le rouge qui recouvre mes crocs Cette haine, cette jalousie... aah... Laissant mes cheveux argentés s'emeler au vent Si le chant de la sorcière va me priver de mon avenir... Je dois me battre [laisse-moi m'emparer de toi]
君を守る硝子の天蓋に 忘れられた音階が響く 剣に映る蒼い瞳 私の中の「魔女」を殺せと Kimi wo mamoru garasu no sora ni Wasurerareta uta ga hibiku Tsurugi ni utsuru aoi hitomi Watashi no naka no "majo" wo korose to Une mélodie oubliée résonne Dans ce ciel de verre qui te protège Les yeux bleus reflétés par ton épée T'ordonnent de tuer la "sorcière" en moi
もしも薔薇が枯れたとしても 愛おしいと想う心は消えない そう…私は私もままで 自らの心臓の貫こう 古き呪いよ――壊れろ! Moshimo bara ga kareta to shite mo Itooshii to omou kokoro wa kienai Sou.. Watashi wa watashi no mama de Mizu kara no inochi wo tsuranukou Furuki noroi yo----- kowarero ! Quand bien même les roses fânent, L'émois qu'elles ont inspiré ne disparaît pas Oui... C'est en restant moi-même Que je vais mettre un terme à ma propre vie Ô vieille malédiction.... Sois révoquée !
Rem la marie, Fem la Malice. Rem la mirya, Fem la mirya. Wario la wise, Malice la wise. Rem la torine, Rem la arie. Hinare, nowrrie, vilte. Rem la wizarre. Rem la marie, Rem la arlie. Rem la torrine arie. Malice la fat lauwa, Fem... Nous sommes vos esclaves, vous êtes notre sorcière. Nous sommes vos yeux, entièrement à votre service. Le monde est magnifique, à l'instar de la sorcière. Nous dansons, nous chantons. Nous nous déguisons en brouillard, en bête, en humain Nous sommes vos crocs. Nous sommes vos victimces, nous sommes éternels. Nous dansons et chantons. La sorcière connait tes...
舞踏会は終焉を告げる 血濡れたその棺に眠る少女 気高き薔薇のよう―― Utage wa owari wo tsugeru Chi nureta sono hitsugi nemuru shoujo Kedakaki bara no you--- La célébration touche à sa fin Dort dans ce cercueil ensanglanté une jeune fille Semblable à une majestueuse rose---
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la fille de Bruce Wayne 10
Dans une semaine, il y aura le bal de printemps. Et je me suis inscrite pour aider à la préparation de ce dernier. Cela me permet de rester loin du manoir et éviter que je termine en dépression. Quoique je vive dans un manoir avec un grand jardin. Je suis emprisonné. Pour moi cette punition est une prison dorée.
Le lundi, j'écris sur mon bloc-notes les idées qui me viennent et je les traiterai plus tard. Au cours de la journée, je note de nouvelles idées et en raye d'autres.
Le mardi midi, nous choisissons le thème royal. Les couleurs dominantes pour le bal sont le bleu roi, le blanc avec quelques taches de rouges. Le soir nous faisons des esquisses du gymnase et de l'emplacement des décorations.
Le mercredi nous décidons des animations et de la musique pour la soirée ainsi que des buffets et des boissons.
Le jeudi nous mettons les décorations et le vendredi la mise en place du buffet.
Le samedi matin je prépare au manoir des pâtisseries individuelles pour amener au buffet. Je finis les gâteaux au milieu d'après-midi. Je demande à Alfred, s'il peut me déposer au lycée. Il accepte, au moins depuis que j'aide à l'organisation du bal, mon père à alléger ma punition, mais pour le bal j'aurais le droit à un chaperon en plus de Damian. Une fois au lycée avec l'aide d'Alfred nous déposons les gâteaux sur les tables réservées à cet effet. Je vérifie une dernière fois que tout est en place pour ce soir et c'est le cas. De nombreux ballons bleus et blancs sont accrochés aux murs. Contre les murs reposent des tables où d'un côté il y sucre et salé en face les boissons et une estrade repose au fond du gymnase. Les tables sont avec des draps blancs et recouverts de quelques décorations bleues et rouges.
Nous rentrons au manoir et fini de coudre ma robe. Je dois juste ajouter quelques détails. Ma robe est rose à bretelles noires. Au niveau du bustier, elle a une lanière droite qui se croise et au niveau du bassin, j'ai fait un nœud. Ma robe a des volants. Mes chaussures sont assorties à la robe et pour compléter le tout je me suis créé une couronne de fleurs dans les tons blancs et roses. Et mes cheveux allaient être détachés.
Je suis heureuse, l'heure du bal se rapproche à grands pas. La fin du bal marquera le spring break ou plus connu sous le nom en France des vacances de printemps. Je vais au bal avec Jon. Pendant un long moment, j'avais hésité à l'invité par peur qu'il me rejette, cette peur était inutile. Je l'attends sur le perron du manoir. Et j'ai pour chaperon Dick. Les professeurs nous avaient demandé qu'au moins deux adultes nous encadrent et bien sûr Dick s'était porté volontaire pour nous surveiller et principalement moi. La soirée se passe sans encombre, j'ai dansé tout le long avec Jon et dans ses bras, je me sens bien. Je pense que j'éprouve des sentiments pour lui. Mais l'histoire avec Adrien, je ne sais pas si je suis prête à me lancer dans une relation. Et j'ai peur que si je me confesse et que lui ne ressent rien pour moi de ruiner notre amitié, pour l'instant je préfère me taire et voir avec le temps. Pour conclure la soirée, je monte sur scène et chante la dernière chanson de la soirée. À la fin avec l'aide de l'équipe d'organisateurs ainsi que Damian, Dick et Jon nous rangeons et passons le balai.
Une fois dans ma chambre, je m'affale sur mon lit et repense à tous mes moments passés avec Jon. Je me sens bête de ne pas être déclarée. Durant la soirée j'ai eu plus d'une occasion pour le faire et je les ai laissé passer à chaque fois.
Bonus 1
Bonjour, Jon, c'est Marinette ! Le jeune homme est surpris quand son ami l'appelle.
Salut, Nettie, répond Jon. Comment ça va?
Bien et toi?
Je vais bien merci ! Pourquoi cet appel?
Je voulais te le dire en face, mais avec la préparation du bal et ma punition cst un peu compliquée… Mais… Veux-tu m'accompagner au bal de mon lycée samedi prochain ?
Oui avec plaisir !
Merci, Jon, à samedi soir !
À samedi !
Après avoir décroché le jeune homme souris, il est heureux d'accompagner son amie à la soirée. Il sait qu'Il ne ressent pas la même chose envers Marinette que Damian, mais peut-il appeler cela de l'amour? Sûrement, il attendra que Marinette fasse le premier pas avant que lui-même se confesse. Il n'a pas envie de la perdre.
Bonus 2
Le soir du bal
Kent tu as intérêt à prendre soin de ma sœur ce soir !
Je ne lui ferai rien !
Tu as intérêt !
Kent tu as aussi intérêt à lui dire ce que tu ressens ! Elle t'aime aussi. Cela me rend malade de vous voir vous tourner autour sans que l'autre fasse quoi que ce soit.
Si je fais ça et qu'elle me repousse .
J'ai l'impression d'entendre ma sœur ! Elle t'aime, tu l'aimes mettez-vous ensemble avant qu'une autre personne ne te la vole ! Tu es là seule personne digne d'être avec elle !
Tu as raison ! Je vais le faire !
Bien ! J'ai intérêt à être ton témoin à votre mariage Kent !
Chose sûre Damian !
Bonus 3
Au final, il n'a pas réussi à avouer ses sentiments à Marinette. Il a peur de la perdre s'il elle la repousse ou si leur relation ne fonctionne pas et par la même occasion Damian.
Tt, tu me déçois Kent ! Je ne pensais pas que tu étais autant poule mouillée que ça !
Je ne suis pas une poule mouillée.
Pourquoi tu ne t'ai pas déclaré alors je sais que vous vous aimez ! C'est fatigant de vous voir tourner autour de l'autre !
Je ne veux pas qu'elle me repousse et je ne souhaite pas non plus vous perdre.
Tu ne me perdras pas ! Si tu ne lui dis pas que tu l'aimes tu finira par la perdre !
Tu as raison !
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NAN MAIS C`EST QUOI ENCORE CE BORDEL ?
Laz, on le connaît pour la flamboyante Barkley qu’on ne présente plus. Mais il est aussi le papa de la Backyard Ultra. Explications : prenez une boucle de 6,7 bornes à réaliser en moins d’une heure. Facile. Un nouveau départ est donné toutes les heures et les coureurs peuvent s’élancer s’ils ont terminé la boucle précédente dans les délais. La course s’arrête quand il n’y a plus qu’un seul cadavre sur ses deux pattes arrières. Il n’y a donc qu’un Finisher qui est également le vainqueur. C’est bête comme chou et assurément très con. Le délire existe donc un peu partout sur cette fichue planète.
Courtney Dauwalter a d’ailleurs déjà fait mumuse sur ce délire et avait raflé la mise avec 68 tours (donc 68 heures), soit 456 kilomètres.
Là, un Belge vient de nous une sortir une sacrée blague. Merijn Geerts vient de faire bégayer son corps sur une épreuve en Allemagne. À la fin du bal, ils n’étaient plus que deux. Merijn a finalement gagné le bras de fer contre l’Irlandais Keith Russels avec 90 tours, 603,5 kilomètres. Record du monde de tours battu.
Son corps est tellement déglingué qu’un ostéo ferait un AVC. Ses cuisses ont déposé un testament chez le notaire. Son cerveau est aussi grillé qu’une pièce de viande oubliée sur le barbecue en raison d’un nombre trop important de verres de rosés. Le respect est quant à lui sur son canapé acheté en trois fois sans frais en train de se gaver de glace au chocolat en position latérale de sécurité.
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Concours Halloween et Projets
Le concours d'Halloween
Beaucoup de personnes se sont lancées octobre dernier dans des défis en tout genre très largement inspirés de l'Inktober, (un défi de dessin qui propose un thème par jour), profitant ainsi de l'atmosphère propre à ce début d'automne, et plus particulièrement à la période d'Halloween, pour laisser libre cours à leurs inspirations.
En cette année 2023, le site Plume d'Argent, une plateforme de lecture et d'écriture, a proposé un concours d'Halloween en plus du PAtober (inspiré également de l'Inktober). Comme précisé sur la page de présentation du concours, cela faisait un moment qu'il n'y avait pas eu un tel évènement proposé pour Halloween. Un speedwriting a donc été organisé autour du thème "Danse Macabre". Pour celleux qui voudraient comprendre d'où provient ce concept, je vous renvoie à la page Wikipédia qui le résume bien :
Le speedwriting consiste à écrire un texte dans un temps très restreint. Pour ce concours, il fallait donc produire une nouvelle horrifique/thriller inédite entre le 27 et le 31 octobre, en respectant les contraintes établies (un texte par personne, 2000 mots maximum, 1500 mots minimum, et spécifier sa participation en éditant son écrit). Entre le 1ᵉʳ et le 15 novembre ont eu lieu les lectures ainsi que les votes de chaque texte participant au concours, et les résultats sont tombés le 19 novembre 2023. Ce fut une expérience très agréable de mon côté ! Je ne pensais pas participer, et pourtant j'ai pu écrire un texte dans les temps en respectant les contraintes, ce qui n'était pas arrivé depuis bien longtemps. De manière générale, les défis avaient tendance à refroidir cette motivation d'écrire parce que soit j'étais en incapacité de les réaliser, soit j'avais un état d'esprit peu confiant. Le fait qu'un concours soit organisé m'a redonné envie d'éprouver ma modeste plume, tout en élaborant un texte lié à un de mes univers. Je vous présente donc dans ce billet le projet qui a été écrit dans le cadre de ce concours d'Halloween autour de la "Danse Macabre" sur une plateforme que j'apprécie particulièrement en passant !
Présentation du texte
Au Bal des Bêtes est une nouvelle fantastique et horrifique dont le cadre est volontairement flou et dans laquelle aucun nom de personnage n'est mentionné. On suit la soirée que vit la jeune narratrice, dont la mère fut invitée auparavant à un banquet, alors organisé par un hôte peu ordinaire. Il est caractérisé par son excentricité et ses habitudes peu conventionnelles. Le texte implante un décor beau et particulier en se concentrant essentiellement sur les émotions et les sensations de la narratrice, qui, elle aussi, n'est jamais présentée de façon explicite. Le titre et la couverture annoncent déjà les couleurs : le bal rejoint le thème de la danse, exigé par le concours, et dépeint dans la description un cadre festif et éclatant. Le terme "bêtes", qui au singulier est une des manières de désigner dans certaines croyances religieuses et religions le Diable, fait référence à la dimension démoniaque finale. Le pentagramme inversé est considéré comme symbole maléfique dans certaines croyances, associé alors au mal et à Satan. C'était une manière aussi de présenter la chute avant même de la lire. Le pluriel ne fait que préciser qu'il ne s'agit pas d'une figure unique, mais bien de créatures semblables.
Projets et suites ?
Mettre mon lectorat face à des personnages dont je tais les identités est un risque que j'ai pris, car d'une part, il est difficile de trouver des noms satisfaisants en si peu de temps (j'aime établir de vraies recherches pour les choisir), et d'autre part, ils n'auraient eu aucune importance ou espèce d'incidence sur le reste. En effet, le récit ne raconte pas seulement un banquet pharaonique et enchanteur, dans des lieux mystérieux et raffinés, qui tourne progressivement au cauchemar. J'ai pour ambition de le modifier et de le transformer de sorte qu'il puisse introduire un univers dans lequel les créatures mortelles et démoniaques puissent se rencontrer. Cet univers s'appelle, pour le moment, Les livres d'Ursyll. Écrire ce texte m'a semblé être une bonne occasion d'ajouter à la longue liste de projets publiés et prévus une sorte de porte d'entrée. Les créatures religieuses et légendaires, la spiritualité, les mythes, les paradoxes, l'émancipation, les sentiments, la quête de soi et celle du bonheur, et bien d'autres encore, sont des thèmes que l'on verra souvent dans ces écrits avec les questions qui les accompagnent. Est-ce que ce que l'on considère comme étrange ne nous rend pas tout aussi étranges ?
Mot de la fin et partage
Ayant grandi avec des croyances très profondes, qui m'accompagnent encore aujourd'hui, je m'inspire principalement de tout ce qui a pu me fasciner, et me fascine, dans mon parcours spirituel, de lectrice et de spectatrice. Il y aura probablement de la redondance plus que des échos. J'espère affiner ma plume pour vous proposer encore d'autres textes qui, peut-être, vous plairont. Vivant dans la pluralité depuis mes souvenirs les plus lointains, dans mon quotidien, mon identité, mes loisirs, ma curiosité, mes croyances, ma culture, avec des réflexions que je n'ai jamais vraiment pu partager par peur ou par contrainte, je profite de mes écrits pour mettre sur des mots ce qui m'intrigue, m'inspire, m'interroge et me touche. Si vous souhaitez découvrir les autres écrits qui suivent cette humble nouvelle, achevés ou en cours, vous pouvez les retrouver sur les plateformes Plume d'Argent et Wattpad. Je vous avais déjà présenté l'un d'entre eux dans un précédent billet qui entame la série de recueils "Colubra", réalisés dans le cadre de défis d'écriture également. Vous pouvez lire le billet en question ici :
Si ce que je fais vous intéresse, vous trouverez mes liens et réseaux sociaux juste ici :
En attendant, prenez soin de vous, bonne continuation dans vos projets, courage et applaudissements pour celleux qui se sont lancé-e-s dans le NaNoWriMo cette année !
Merci pour ta lecture ! À bientôt pour de nouvelles aventures ! 💜
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D'Artagnan.
" The work of French artist and illustrator Christian Bérard (1902-1949 )
Bérard may not be a familiar name but his work was highly regarded both in the fashion world and the theatre from the 1920s to his death in 1949.
He worked for Vogue magazine, Schiaparelli ,Nina Ricci and Chanel.His loose calligraphic style along with that of his contemporaries ; Vogue illustrators Eric (Carl Erickson) Marcel Vertes and Rene Bouet-Willaumez show a marked change in the style of fashion illustration in the 1930s and 40s which continued into the 1950s
#1 Vogue cover 1935 illustration by Christian Bérard.This magazine is currently on Ebay for £135.00
#2 1940 Schiaparelli evening gown illustrated by Christian Bérard
#3 Vogue 1937 illustration by Christian Bérard.
#4 Vogue June 1939 illustration by Christian Bérard.
#5 New York Illustration 1946 Christian Bérard
#6 New York llustration 1946 Christian Bérard
#7 Illustration Christian Bérard 1947 Le Bal du Panache Feathers and Hat
#8 Christian Bérard illustration of Christian Dior's famous iconic New Look "Bar" ensemble 1947 French Vogue (not shown)
~~~ooo~~~
Christian Bérard ( 1902 – 1949), also known as Bebè, was a French artist, fashion illustrator and designer.
Bérard and his partner Boris Kochno, who worked for the Ballets Russes as well as being co-founder of the Ballets des Champs-Elysées; were one of the most prominent openly homosexual couples in French theatre during the 1930s and 1940s.
Born in Paris in 1902. In 1920, Bérard entered the Academie Ranson where his style was influenced by Édouard Vuillard and Maurice Denis.
In 1925 Bérard showed his first exhibition at the Gallery Pierre. From the start of his career he had an interest in theatrical scenery and costume designs, and played an important role in the development of theatrical design in the 1930s and 1940s. In the early 1930s Bérard worked with Jean-Michel Frank, painting screens, wood-work and drawing projects for carpets. Bérard's most renowned achievement was probably his lustrous, magical designs for Jean Cocteau's film La Belle et la Bête (1946).
Bérard died suddenly from a heart attack on 11 February 1949, on the stage of the Théâtre Marigny.
Francis Poulenc's Stabat Mater (1950) was composed in his memory, and Jean Cocteau dedicated his film Orphée (1950) to him.
Love D'Artagnan xxx".
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Emma à son Journal
Cher Journal… c’est comme ça qu’on est censé commencer, non ? Ça me paraît un peu bête d’écrire ça, étant donné que je n’avais jamais pensé tenir un journal, mais que veux-tu ? On dirait que j’ai été inspirée par Tatiana Lightwood. Mais je pense que je devrais donner un nom au journal, quelque chose de sympa, pour pouvoir écrire « Chère Clara » ou « Cher Bruce » au lieu de Cher Journal. Bruce me plaît de plus en plus, en fait.
Donc, je me suis dit que je pourrais m’en servir pour organiser mes idées. Je griffonnais dans des petits carnets depuis que Julian et moi voyageons. (Est-ce que tu savais qu’il y a énormément de créatures féeriques que l’Enclave a classifiées à tord comme des démons ? Les Curupiras, par exemple ? La plupart des vieux bestiaires ont cruellement besoin d’être corrigés.)
En fait, c’est plutôt bizarre de prendre racine après avoir parcouru le monde pendant près d’un an. Julian s’est lancé corps et âme dans cette rénovation. Je crois que son côté attentif et précautionneux est attiré par cette aventure. Il aime faire des travaux manuels (et j’aime le regarder faire des travaux manuels) et mettre au point des projets. En plus de tout le reste, il peint une fresque dans la salle de bal. Il ne veut pas que je la voie. Il dit que c’est une surprise alors je dois rester dans l’ignorance, on dirait !
J’espère vraiment que quand cette maison sera entièrement rénovée, elle sera moins effrayante. J’ai blagué là-dessus dans ma lettre à Dru, mais j’ai toujours cette impression que des choses sont tapies dans l’ombre, dans toutes les ombres. Même quand ma pierre de rune est au maximum de sa luminosité, elle ne fait que mettre en évidence les étranges fissures dans les murs et les taches bizarres sur le plâtre. Je n’arrive pas à l’expliquer mais j’ai le sentiment que quelque chose d’horrible s’est passé ici il y a très longtemps. C’est les frissons qui me parcourent, c’est l’étrange façon dont les vitres des fenêtres s’embuent sans raison, c’est le curieux point froid au milieu des escaliers. J’ai tout le temps envie de m’emparer de Cortana, mais ce n’est pas le genre de chose contre laquelle on peut se battre. C’est juste une impression.
Et parfois, il n’y a rien : cet après-midi était tout à fait normal. J’ai défait des cartons dans ce qui était autrefois la cuisine. Nous en avons remonté beaucoup de la cave (où il y a tellement d’araignées que j’ai l’intention de la renommer Arachniville. Je n’avais pas vu autant d’araignées depuis Thule. *frissons*)
Dans certains cartons, il y a des choses parfaitement normales. Il y a de l’argenterie et de la porcelaine magnifiques, qui ont appartenu à une dénommée Barbara Pangborn (elle a dû épouser un Lightwood ou un Blackthorn.) Des nappes et du linge de maison élégants avec les épines du blason des Blackthorn tissées sur les bords en guise de liseré. Des poupées en porcelaine et des jouets cassés dans un grand carton où il est écrit « Grace Blackthorn ». Il y avait une dague gravée de runes parmi les têtes de poupées cassées, alors je pense qu’elle était une petite fille qui venait juste de commencer l’entraînement. Comme c’est mignon ! (Même si les têtes de poupées sont flippantes.)
Julian est arrivé alors que j’étais en plein déballage, et a décidé de m’aider en nettoyant la grille du foyer. Il s’est retrouvé entièrement couvert de suie et il toussait, alors je l’ai amené dans la partie moderne, ai retiré sa chemise et ai commencé à le décrasser. Et puis, il était torse nu et sale et il me regardait avec ces magnifiques yeux bleus-verts et que veux-tu que je dise ?
Je lui ai sauté dessus. Nous sommes allés dans la chambre en nous embrassant frénétiquement et nous nous sommes effondrés dans le lit et nous avons mis de la suie partout sur les draps et ça valait le coup. (Et tu n’auras pas plus de détails, Bruce. Pas la peine de réclamer.)
Je n’arrive pas à croire que j’ai pu penser que Julian et moi étions juste amis. C’est comme si je l’aimais tellement que je ne pouvais pas en voir la totalité, voir à quel point c’était grand. Je me trouvais à l’intérieur, cherchant ce type d’amour sans me rendre compte qu’il m’entourait. Est-ce que ça a du sens, Bruce ? Je ne suis pas écrivaine alors je suis probablement nulle pour exprimer ce genre de choses ! J’ai souvent l’impression que je devrais dire à Julian que je l’aime davantage, mais il n’en parle jamais, alors j’essaye de le lui dire autrement qu’avec des mots. Par ma façon de me pelotonner contre lui quand nous dormons, ma façon d’arriver derrière lui pour le prendre dans mes bras quand il est concentré sur quelque chose (mais pas quand il peint, sinon il y aurait des taches sur toutes les toiles!) Ma façon de… deux minutes. Est-ce que quelqu’un frappe à la porte ?
[Une heure plus tard]
Bruce ! Tu ne vas pas le croire, mais Cristina est ici ! Avec Mark et Kieran ! Je ne sais même pas comment Kieran a fait pour quitter le Royaume du Petit Peuple… une histoire de promesse faite à la terre qu’il serait ici pour moins de trois couchers de soleil… mais je suis tellement contente de les voir ! Cristina et moi nous sommes mises à danser comme des folles et nous sommes prises dans les bras l’une de l’autre, et d’une manière ou d’une autre Mark et Kieran ont réussi à convaincre Julian que nous devrions sortir ce soir et voir Londres. Nous allons tous porter les vêtements du placard Sixties Super Sensass et aller dans autant de pubs que possible. J’ai tellement hâte, Jules et moi avons besoin de faire une pause. Londres, nous voilà ! Prépare-toi, Les Chasseurs d’Ombres Sont de Sortie !*
*Avec un Roi elfique.
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/662227098031800320/emma-to-diary
#secrets of blackthorn hall#sobh#cassandra clare#cassandra jean#emma carstairs#julian blackthorn#cristina rosales#mark blackthorn#kieran kingson#the shadowhuter chronicles#tsc
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Le retour
Quand ils se rencontrèrent, ils avaient à peine vingt ans. Tout de suite, ils se plurent au point de se laisser emporter dans les bras l’un de l’autre. C’était un quatorze juillet pendant le bal du village.
Armand, encore étudiant, accompagnait un cousin en quête d’amusement. Marthe était originaire du village. Comme toutes les jeunes femmes, elle avait appris les principes de l’épouse modèle, la couture, la cuisine, le repassage et surtout s’occuper des enfants. Cependant, elle rêvait d’autre chose. Alors, en croisant le regard azur de ce bel inconnu, son cœur vacilla au point de partir avec lui au moment où il tendit sa main. Le jeune homme était plus qu’un gentleman. Il trouva en Marthe, une amie, une compagne et une amante. Le hasard les avait plus que réunis, il les avait trouvés.
Leur mariage fut considéré comme le plus beau tellement le bonheur rayonnait autour du petit couple. Marthe fut heureuse auprès d’Armand. Ce dernier devint professeur agrégé trouvant un poste dans une grande ville. A la surprise de tous, il poussa Marthe à travailler, il voulait qu’elle soit moderne et pour cela, elle devait avoir son indépendance. Le soir, après le boulot, ils partaient ensemble dans la campagne la plus proche car Armand voulut enseigner la conduite à Marthe. Elle fut ravie de prendre le volant et par la suite, elle obtint officiellement un permis de conduire.
Ils eurent plusieurs enfants dont la vie fut tumultueuse mais aussi heureuse. Armand savait partager le bonheur. Dans un sens, il fut récompensé parce qu’il ne partit jamais à la guerre en raison de sa famille nombreuse. Tout allait bien dans le meilleur des monde jusqu’à ce qu’il apprenne son cancer. C’était un cancer des poumons provoqué par la cigarette, son seul vice. Quand le médecin annonça qu’il n’en avait plus pour longtemps, Marthe fut effondrée, Armand plus stoïque, accepta son sort. Il prit une énorme décision : Passer sa dernière année à voyager. Alors, il emmena Marthe et ensemble, ils firent le tour du monde.
Le couple fut émerveillé par la visite du grand Canyon, leur rencontre avec les indiens, la gentillesse des hindous, l’accueil des tribus africaines rencontrées pendant un safari. Mais surtout, la philosophie de vie des asiatiques. C’est en Extrême Orient qu’ils découvrirent le bouddhisme et par conséquent la réincarnation. Cette vision de la mort n’était pas la leur. Toutefois, elle réveilla chez Armand un sentiment d’assurance, celle de ne pas quitter Marthe après la mort. Ainsi il affirma un soir, pendant qu’ils regardaient la lune sous un ciel étoilé se mélangeant à l’Océan Pacifique, qu’il reviendra pour la protéger et continuer à lui offrir son trop-plein d’amour. Le destin la préviendra.
De retour en France, l’état physique d’Armand s’aggrava. Il n’arriva plus à bouger, le moindre effort devenait impossible. Sa respiration de plus en plus sifflante annonça que la fin était proche. En effet, quelques semaines plus tard, son médecin informa Marthe du décès de son époux. Marthe rentra chez elle en compagnie de ses fils venus la soutenir. Elle ne pensa à rien d’autre qu’à son compagnon de toujours. On pensa même qu’elle avait perdu la tête.
Durant les jours suivants, elle voulut le rejoindre. Un matin, assise, dans le jardin, elle réfléchit sur son éventuel suicide. Elle songea à la corde, au rasoir lorsque une petite voix l’effraya. Une petite voisine de cinq ans se permit d’entrer chez elle et de la déranger afin de lui demander si elle voulait un petit chien. Étonnée, Marthe écouta la gamine raconter son histoire. La chienne de la famille venait de mettre bas, quatre des cinq chiots trouvèrent un maitre, seulement son père annonça qu’il devra noyer le cinquième si personne n’en voulait. En discutant avec la petite fille, elle réalisa que les chiens sont nés le jour du décès d’Armand. Elle espéra qu’il venait de se réincarner et accepta récupérer la petite bête.
Dès lors, Marthe retrouva le sourire grâce à l’animal dont elle crut reconnaitre Armand par son regard. Le chien fut heureux, fidèle à sa maitresse au point de ne laisser personne l’embêter. Il avait même quelques habitudes proches de celles d’Armand. Par exemple, il était content quand elle conduisait tandis qu’il était assis regardant le paysage comme faisait son époux. Puis, après douze ans, il décéda de maladie pulmonaire comme Armand. Durant la semaine suivante, elle trouva derrière un magasin, une caisse avec des chatons âgés de quelques jours ; tous morts sauf un. Marthe, emporta le petit survivant et l’éleva elle-même, lui donnant le biberon car encore trop jeune. Elle fut étonnée de retrouver dans les yeux du chat, le même regard que son chien et Armand. Le chat vécut huit ans. A sa mort, il laissa place à un nouveau chien, trouvé par son fils sur le bord de la route. Pour le fils, il avait le même pelage que le premier chien de sa mère. Mais pour Marthe, il avait lui-aussi, le regard d’Armand et les même habitudes que son premier chien.
Ainsi Marthe et Armand continuèrent à vivre ensemble jusqu’au décès de Marthe. Quelques jours après, un petit garçon et petite filles naquirent dans le même village. Ils n’étaient pas de la même famille, mais ils se trouvèrent de suite au point de ne jamais se séparer.
Alex@r60 – juin 2020
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Me Too
Il y a beaucoup de gens qui pensent que les filles exagèrent. Je vais vous raconter comment moi j’ai vécu ça.
La première fois que j’ai vraiment eu peur, j’avais 8 ans. Je m’en souviens encore clairement.
J’étais à la piscine Laurier, je m’en allais rejoindre des amis, mais j’étais la dernière arrivée. J’étais seule dans les vestiaires. Je me souviens que mon maillot de bain était rouge. Je suis allée me changer, j’me souviens de la couleur des chambres d'habillage, grises pâles avec une teinte bleutée. J’me souviens avoir enlevé ma robe, avoir pris mon maillot sur le crochet derrière la porte, avoir baissé ma tête pour regarder mes pieds l’enfiler, puis avoir figé.
Avoir le cœur qui bat, ma respiration s’arrêter, le tictac de l’horloge se figer.
À mes pieds, glissée par l’ouverture de la cabine, la tête d’un homme qui me regardait me dénuder. Je n’ai pas crié, je n’ai pas couru. J’ai réussi à ne faire que deux choses, la première, reculer lentement dans le fond du cabinet le plus loin de lui possible, la deuxième, c’est d’avoir dit un timide « non » quand il a cogné à ma cabine en me disant d’ouvrir, qu’il était un employé de la piscine, que je devais lui faire confiance. Un tout petit « non » tremblotant. J’me souviens avoir fixé mes yeux sur la craque de la porte et avoir compté les secondes. Par là je l’ai vu s’enfuir en courant quand une mère et son enfant sont entrés se changer.
Depuis ce jour, je fixe toujours par la craque de la toilette quand j'y suis, depuis ce jour, je compte toujours dans ma tête quand j’ai peur.
J’me suis rendue compte vers 12-13 ans que mon corps commençait à changer. Je m’en suis rendue compte aux regards qui changeaient eux aussi autours de moi. Ma mère me disait de faire attention à la manière dont je m’assisais ou que j’approchais les gens (colle toi pas, fais attention), parce que pendant que mon corps prenait de nouvelles courbures, ma tête, elle, était encore celle d’une enfant.
J’étais en sixième année quand je marchais vers l’école avec ma meilleure amie, il pleuvait moi je tenais le parapluie et elle, elle mangeait des m&m, un pour elle, un pour moi. Deux hommes, je me souviens qu’ils semblaient très vieux, mais maintenant que j’y pense, va savoir s’ils avaient 20 ou 50 ans, ont baissé la vitre de leur camionnette et nous ont crié : �� embrassez-vous! » À cet âge, on était plus confuses que choquées.
Quand j’ai eu 14 ans, je promenais mon petit frère avec ma voisine d’à peine un an et demi de plus que moi, un homme nous a crié qu’ils nous en feraient bien un autre (en parlant du bébé).
Quand j’ai eu 15 ans des gars de 26 ans « s’intéressaient à moi » merci mon dieu, j’ai toujours eu un criss de gros caractère.
Quand j’ai eu 17 ans…
Quand j’ai eu 17 ans, je revenais d’un après bal qui avait eu lieu chez mon meilleur ami de l’époque. J’avais pris un taxi pour les quelques rues qui séparaient nos maisons, mais j’ai demandé au taxi d’arrêter au coin de Mentana et de Mont-Royal pour avoir le temps de fumer une cigarette avant d’arriver chez moi.
J’avais une robe longue et des talons hauts, une tenue de bal quoi. Je marchais tranquillement, de bonne humeur. En tournant le coin je me suis aperçue que la personne derrière moi aussi avait tourné le coin de la rue.
J’étais sur Mentana, je remontais vers Gilford, pas de quoi s’inquiéter, le Plateau c’est méga résidentiel, la personne devait habiter cette rue. J’ai quand même sorti mon cellulaire, j’me souviens que je n'avais plus de minutes dessus (ahhh le bon vieux temps des forfaits aux « minutes »).
Quand la personne à accéléré le pas derrière moi, j’ai fait semblant de téléphoner mon père « allo PAPA… ouiii je suis JUSTE AU COIN DE LA MAISON, j’arrive » t’sais qui qui me ferait de quoi en sachant que mon père m’attendait?J'me souviens que les réverbères me renvoyait nos ombres, j’me souviens que l’ombre derrière moi a avaler la mienne, au même moment j’ai senti quelqu’un m’agripper la taille.
Puis j’ai ri. J’ai ri en me retournant parce qu’en une fraction de fraction de seconde, mon cerveau a associé ce geste si familier de me faire enlacer aux gens que j’aime. Avant même que je me retourne j’étais soulagée : Je DEVAIS connaitre cette personne, c’était un ami, j’étais hors de danger voyons!
Soupir en souriant et en disant « criss que tu m’as fait peu…»
Avoir le cœur qui bat, ma respiration s’arrêter, le tictac de l’horloge se figer.
Devant moi, un total inconnu.
À toute vitesse j’me suis rappelée que même si je n’avais plus de minutes, le 911 était disponible.
Pendant ce temps, il est déjà sur moi.
911
La téléphoniste me répond, je me débats en même temps…
La madame me dit de rester calme. Je lui gueule dessus que je peux pas rester calme, je me fait attaquer! Il est sous ma robe, elle ne comprend pas? Il m’agrippe les seins… glisse ses doigts dans mon entre jambe… Que je reste calme? Elle me niaise… Tout ce que je fais c’est répéter les coins de rues où je me trouve. Je ne sais même pas si elle m’entend, je sais même pus où est le cellulaire. Que je reste calme?
Ok Javiera, fuck, t’es toute seule. Laisse faire la police, t’es toute seule… rappelle toi de tous les épisodes de CSI que tu as écouté avec ta mère… calme toi, il est déjà entrain de t’attaquer, il est trop tard, la seule chose que tu peux faire c’est de te rappeler de lui. Cheveux noirs, survêtement adidas, boucle d’oreille en diamant à son oreille gauche. Regarde-le. REGARDE-LE, n’oublies pas son visage. Je glisse. Il est trop tard… mes yeux roulent vers l’arrière… au loin je vois ma maison.
J’imagine mon père écouter la télé… mon père… MON PÈRE! J’ai juste une option, ça semble impossible, mais peut-être que si je cris, juste une fois, si je hurle assez fort peut-être que mon père va m’entendre.
C’est ce que je fais, j’me dis que c’est peut-être le dernier cri de ma vie. Alors je rugis!
C’est à ce moment que j’entends une voix. Une femme au-dessus de ma tête qui cri par une fenêtre "HEYYYY! LACHE-LA!"
Le gars se releve, lentement, me lance un bec, et s’en va en courant.
La dame vient me rejoindre. Les policiers arriveront 30 minutes plus tard.
Depuis ce jour, quand le soleil change de position et que ma propre ombre me rattrape je fige. Même si je me trouve dans une foule.
Depuis ce jour, je traine toujours des vêtements de rechange dans mon sac quand je sors.
Quand je rentre chez chez moi, sur le chemin du retour, j’me change pour être prête à courir.
C’est la réalité de beaucoup ça, être prête à fuir à tout moment. C’est faire une crise de panique contrôlée quand on marche seule devant deux gars sur le coin de la rue. C’est de devoir être sur ses gardes constamment, parce que dans le fond ça se peut très bien qu’une situation arrive où tu ne peux que compter sur toi. C’est de se mettre l’air bête dans la face le plus possible parce que si on a le malheur de sourire, certains prennent ça pour une invitation.
J’aimerais ça un jour pouvoir sourire aux inconnus dans la rue juste parce que maudit, la vie est belle!
J’aurais aimé ça que la p’tite moi de 16 ans ait pu sourire après son bal de finissant.
#metoo#agression#fuck patriarchy#womansrights#vonkassel#litterature#litteraire#montreal#violences sexuelles
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