#Audrey Alwett
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birbliothecaire · 1 year ago
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Des "amies particulières" OK OK OK OK
Est-ce que vous voulez des nouvelles de Princesse Sara
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ninonlitaussi · 1 year ago
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Lecture: Magic Charly 3, de Audrey Alwett
Audrey Alwett clôture avec ce troisième tome les aventures de Charly et ses amis. Dans les tomes précédents, on découvrait un univers foisonnant de magie et un jeune garçon qui ne se savait pas sorcier jusqu’à ce qu’on lui dise que si, ainsi qu’un monde où la magie se raréfie. Continue reading Untitled
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nurthor · 2 years ago
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Quatre autrices de BD nous conseillent leurs lectures
Marie Bardiaux-Vaïente, Valérie Mangin, Audrey Alwett et Cati Baur, ces quatre autrices de BD nous conseillent leurs lectures, qui donnent très envie ! :O <3 Et c’est la vraie vie… dans le magazine belge « Femmes d’aujourd’hui » qu’est sorti cet article bien dans l’air du temps du Festival BD d’Angoulême qui vient de se clôturer ! :O <3 Source: https://nurthor.fr/2023/02/01/quatre-autrices-de-bd-nous-conseillent-leurs-lectures Read the full article
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livromancienne · 2 years ago
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[ Magic Charly - L'apprenti ]
d'Audrey Alwett
Hello #booksta ! 😁 Toujours dans les défis des abonnés, je vous parle de "lire un livre avec un chat dedans" lancé par @manon.lfbvre avec le tome 1 de "Magic Charly" publié chez @gallimard_jeunesse_romans 🧡
➡️ Quelle lecture auriez-vous choisie pour ce défi ?
// Charly n'a que peu de souvenirs de sa grand-mère. Cette dernière a disparu depuis des années, sans laisser aucune trace. Bien des années plus tard, un coup de fil retentit de la maison pour annoncer que sa grand-mère a besoin d'assistance, ayant complètement perdu la mémoire. Quand elle vient s'installer à la maison de Charly, un gros coffre est emmené avec elle. À l'intérieur, un miroir magique lui transmet un message, celui de sa grand-mère : "Tu es un magicier, Charly". Ainsi, pour comprendre cette menace qui l'encercle, il doit retrouver Maître Lin et s'initier à la magie. //
Les portes d'un nouveau monde magique insoupçonné s'offrent à vous dans "Magic Charly" ! Une société de magiciers avec tout pour vous divertir : librairies ambulantes qui vous feront courir, tartes chercheuses qui s'étalent sur le visage des gens, balais volants qui vous éviteront les bouchons de l'heure à pointe, et des délicieuses et croquantes chips qui menaceront de détruire vos meubles !
C'est à travers ces détails qu'on est immergé dans cet univers de magie particulièrement envirant. On prend plaisir à découvrir toutes ses particularités qui régissent cette société. Mais prenez garde à vos souvenirs ! Ceux-ci sont une monnaie d'échange très précieuse, et peuvent même devenir une source de magie. Certains sont d'ailleurs prêts à tout pour s'en emparer.
Mon seul bémol est à propos de Charly. Je l'ai trouvé très en retrait avec peu d'initiation à la magie. Il est plutôt dans une position d'observateur. J'espère le voir davantage en action dans le tome 2 !
"Magic Charly" est un roman jeunesse accessible à un jeune public. Une assez bonne lecture !
NOTE : 3⭐️
🏷️ #bookstagramfrance #bookstagram #livrestagram #livrestagramfrance #bookaddict #bookstagrammer #booklover #booklove #instalivre #instabook #livreaddict #lecturedumoment #livraddict #instalecture #avislecture
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balu8 · 4 years ago
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Virginie Augustin: Voyage aux ombres
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arcanes-ouvertes · 5 years ago
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Magic Charly Tome 1 : L'apprenti
Magic Charly Tome 1 : L’apprenti
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Magic Charly Tome 1
  Après cinq ans sans nouvelles, la grand-mère de Charly réapparaît. Elle n’est plus tout à fait la même : loin de la grand-mère vive de son enfance, elle n’est plus qu’une vieille femme dont les souvenirs se sont envolés. Un effet de l’âge ? Non : un symptôme magique. Car sa grand-mère est une magicière. Ses souvenirs ont été volés. Et sa vie est toujours en danger. Pour la…
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chevaliernoemie · 4 years ago
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Je ne sais pas vous mais moi, avec ce confinement et l'hiver qui approche, j'ai envie de cosy !
Me pelotonner sous un plaid avec un chocolat chaud et un bon livre (et pourquoi pas hiberner aussi soyons honnête).
Il y a quelques temps, à la lecture de Magic Charly, le roman de la fabuleuse Audrey Alwett chez Gallimard, je me suis essayée à du décor « fanart ». Et je n'avais encore rien montré. C'est l'occasion. Le salon de thé de Maître Lin et sa bibliothèque me font rêver (son crocodile aussi). Du cosy en veux-tu en voilà. Si vous n'avez pas encore lu ce livre, je vous y encourage vivement. Moi, j'attends avec impatience le tome 2 !
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lecturesdebaguettes · 5 years ago
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Lecture commune #13 : le vote !
Et ce mois ci vous avez le choix entre :
The Wendy Project - Melissa Jane Osborne
Good Omens - Terry Pratchett et Neil Gaiman
Les Poisons Katharz - Audrey Alwett
Le Fabricant de Poupées de Cracovie - RM Romero
Le Jour Où Anita Envoya Tout Balader - Katarina Bivald
Les instructions - Adam Levin
Dark Eden - Chris Beckett
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songedunenuitdete · 5 years ago
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L'apprenti de Audrey Alwett
[Chronique - Bookyneuse] Mon #avis sur «Magic Charly, T1 L'apprenti» de @AudreyAlwett aux éditions @GallimardJeun Un véritable coup de cœur !!
  [box type=”info” align=”” class=”” width=””]
Nombre de pages : 416 pages Editeur : Gallimard Jeunesse Date de sortie : 6 juin 2019 Collection : Grand format littérature Langue : Français ISBN-10 : 2075121451 ISBN-13 : 978-2075121453 Prix éditeur : 16,50€ Disponible sur liseuse : Oui –  11,99€
De quoi ça parle ?
Bienvenue dans l’univers ensorcelant des magiciers ! On peut avoir un chat doué de capacités…
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sunkentreasurecove · 7 years ago
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nael-opale · 4 years ago
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☝︎
THIS. ABSOLUTELY.
Okay now buckle up kids, because I have two fantastic examples to bring to the table to show just how true this is... 
@karadoc​, @iloveallofyounerds​, @kabbal​ and @little-water-lily​, my sweet homies-against-linguistic-purity, please listen ! Maybe you know about that already, but you might find it interesting anyway. ❤︎
💠 Did you know that the French grammar rule "the masculine prevails over the feminine" was put in place by misogynistic scholars in the 17th century ?
Because I learned about it rather recently and I sure am mad about it! (ah, I remember discovering it in this article on Audrey Alwett’s blog, what a revelation)
In 1634, the Académie Française was founded by Cardinal Richelieu.  This institution’s purpose was to decide what the good use of the French language would be. 
So, an elitist group of forty men got together to devise the new norms of the French language. Were they objective on the subject ? Absolutely fucking not, but they sure thought they were.
Back then, there were groups of intellectual women, women of influence and power… Des femmes savantes… And there were words to describe them : poétesse, philosophesse, médecine, autrice, peintresse…!
The Académie’s reform required to keep only the masculine form of these words and to make it the neutral form, because these professions were considered too “savant” for women.
“Cette femme est poète, philosophe, médecin, auteur, peintre…”
And by erasing the words to describe them, they tried to throw the discredit on these women, to strip them from their legitimacy… 
And they did not stop there with the erasure.
The Académie decided that from now on, masculine would prevail because... ➳ “When both genders meet, the most noble must prevail.” - Dominique Bouhours, 1675 ➳ “The masculine gender is deemed more noble than the feminine gender because of the superiority of man over woman” - Nicolas Beauzée, 1767
They were grammarian, not biologists. But it was enough of an argument to change French grammar for centuries to come…
Nowadays, the Académie Française still exists.  Its members are known as “The Immortals”. Since its creation, only nine women were accepted among them…
Remember the debates around inclusive writing (a way of writing French that includes the feminine and the masculine forms at the same time) ?
Obviously, the Académie was against it, and even called inclusive writing a “mortal peril” to the French language. (who’s the sensitive overreacting one in the debate, please remind me ?)
In February 2019, they finally surrendered about something… They finally accepted feminine job titles. Because they are already in use anyway.
Pierre Desproges said that he despised French academicians because “they possess the language as if it was dead when it is a living thing”.
Our language is constantly evolving. It shapes the way we think, it gives us the words to define ourselves, to describe our reality, to create new concepts… It can broaden our horizons. It’s ours.
So now that I provided you with an example of language being weaponized by classist, sexist, elitist academicians who thought they were above everyone else...
💠 How about discovering a secret gay “language” that was a tool against oppression...?   I'm talking about Polari. 
(and it blew my mind to learn about it !)  
youtube
I wonder if we had something like that in French ? It’s very likely we had some kind of secret gay slang... (oral culture is dope but so frustrating, I swear !)
So what can we learn from all that...?
➤ Fuck the Académie Française. ➤ The people our oppressive culture erased deserve to become the new “Immortals”. ➤ Let's bring back the secret queer language, it rocks.
Well at least that's my take on it ! 🤷‍♀️
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Bonus : here’s a pro-tip if you want to use the word “autrice” and people around you find it “ugly” and make stupid comments about how “it sounds wrong”... “Actrice” / “Autrice”... Almost the same damn word. Autrice is not an ugly word, you’re just not used to it yet and you’re reluctant to change your habits. Deal with it.
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inge-universe · 3 years ago
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Lees hem samen met @ileesclub #ileesclub Mijlpaal 3 is behaald. En #ileesclubbookstagramchallenge 3 "Jeugdboeken" Toen hield ik al van spannende boeken. Dat is duidelijk. Audrey Alwett & Stan Manoukian - De magische wereld van Charlie Deel 1 De toveraarsleerling aka De leerling-toveraar @audreyalwett #audreyalwett @grograou #stanmanoukian #demagischewereldvancharlie #leerlingtoveraar #detoveraarsleerling #ls @lsamsterdam @lskindenjeugd #uitgeverijluitinghsijthoff ....... Wie heeft hem al gelezen? Het is een aanrader. Voor wie mee wil doen het #luisterboek #audiobook staat ook @storytel.nl #storytel Voorgelezen door @kevinhassing #kevinhassing .......... Inhoud: Het Franse antwoord op Harry Potter en Nevermoor: De magische wereld van Charlie Laat je betoveren door De magische wereld van Charlie, een nieuwe serie van Audrey Alwett. In Leerling-toveraar, het eerste deel van de serie, neemt de auteur je mee naar een magisch universum vol humor, spreuken en bijzondere avonturen. Charlie Vernier is een doodgewone tiener. Tenminste, als je niet meerekent dat zijn school in een oude lucifersfabriek is gehuisvest, zijn moeder er de directeur is en zijn knorrige kat meer in de smiezen heeft dan de meesten van Charlies leeftijdsgenoten. Op een dag ontdekt Charlie dat zijn grootmoeder, die vijf jaar geleden op mysterieuze wijze is verdwenen, een briljante tovenares was. En hij zou zelf weleens iets te maken kunnen hebben met haar verdwijning. Om zijn oma te vinden, zit er niets anders voor hem op dan tovenaarsleerling te worden. Maar in de tovenaarswereld staat er een oorlog op uitbreken. Verschillende partijen zijn uit op de zeldzaamste stof die er bestaat: magie. Lukt het Charlie om zijn oma te redden voor de oorlog uitbreekt? .......... #bookstagrammer #bookstagram #bookstagramnl #bookstagrammers #boekstagram #dutchbookstagram #dutchbookstagrammer #fantasyboek #dutchbookstagrammers #instabook #instaboek #booksofinstagram #fantasy #magischboek #kinderboek #fantasyboek #kinderboeken #fantasy #ebook https://www.instagram.com/p/CVfcyurrzau/?utm_medium=tumblr
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birbliothecaire · 1 year ago
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Le truc pour vous expliquer c'est que pendant 4 tomes elles ont 13 ans donc whatever, mais ensuite dans les tomes 5 à 12 donc la majeure partie de la série elles sont jeunes adultes et Sara a une relation établie avec son mec, ils passent genre un tome à se tourner autour mais ensuite c'est fixé, et même si à deux ou trois reprises un autre prétendant fait son entrée c'est toujours des histoires de malentendus, y a pas de doute que Sara finit avec James à la fin.
Jusqu'à ce qu'il se casse à la fin du tome 12, avec un autre gars dont il est... bizaremment suggéré qu'il pourrait être intéressé, alors que dans les deux tomes précédents il était l'un des prétendants de Sara? Je sais pas si c'est moi qui lit trop de sous-texte mais c'est franchement un peu étrange, mais bref, tout ça pour dire que le tome 13 c'est "Lavinia qui aime faire la fête et draguer des hommes, qui s'est fait rembarrer une (1) fois par la journaliste lesbienne et à répondu "oui bon OK draguer les filles c'est sûrement sympa aussi" (?!???!?) embarque Sara avec elle pour lui faire oublier son chagrin d'amour" mais sauf que ça devient vraiment
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Genre elle tombe amoureuse amoureuse et je Comprends Pas Ce Qu'il Se Passe, genre, pour l'instant c'est clairement établi comme unilatéral mais deja ca ca me paraît énorme, c'est tellement étrange de voir cette idée être développée avec autant voire plus de sérieux que la relation hétérosexuelle qui formait le noyau central, c'est donc ça qu'il se passe quand les bis peuvent écrire ce qu'ils veulent? Je sais même pas si Audrey Alwett est bi!
J'ai presque rattrapé tout la bd Princesse Sara d'Audrey Alwett et donc je pensais que la romance lesbienne était juste un développement soudain du tome 14 pour l'humour et pour définitivement en finir avec la rivalité entre Sara et Lavinia, mais en fait ça commence dans le tome 13 et je
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Hello ?????
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balu8 · 5 years ago
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From Sinbad by Pierre Alary
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lupiot · 7 years ago
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“100% féministe” ? Le titre de cet article va vous intriguer, vous agacer, vous déstabiliser ou vous attirer — selon votre univers de référence — comme le fait toujours le mot “féministe”. Vous recommandé-je, dedans, exclusivement des romans féministes ? Non, pas du tout.
Ouaip. Attends, quoi ?
En écho à une longue discussion que l’article TAG 100% féministe de Tom (La Voix du Livre) avait amenée sur Facebook avec plusieurs amis intéressés par la question (blogueurs, écrivains, curieux) : ce ne sont pas nécessairement les livres évoqués qui sont féministes (ils peuvent l’être), c’est le « tag », qui l’est.
C’est le fait-même de choisir de mettre en avant, valoriser, aimer et réfléchir sur les femmes dans la littérature qui en fait un article « 100% féministe ».
Et ce n’est pas un gros mot.
C’est parti, donc pour répondre à 10 questions
1) Votre auteure préférée
Oh, douleur ! Je refuse. Cet exercice est bien trop difficile : le choix, ici, serait forcément une trahison.
En revanche, comme je suis lâche, mais toujours curieuse, je vous invite à partager une réflexion sur un terme de la question : « auteure ». Oui, avec un -e.
Auteure, Autrice, Écrivaine ? Quel serait le meilleur terme ?
« Auteure » a ma préférence, peut-être. Il coule mieux à nos oreilles habituées au masculin ; en revanche, il n’a pas tellement de sens en regard de la construction du français eur / rice (comme dans acteur / actrice). Et, son véritable inconvénient, c’est qu’à l’oral, le « -e », on ne l’entend pas, et le féminin passe à la trappe.
« Autrice », alors ? Audrey Alwett nous fait replonger dans les sombres secrets de la langue française pour nous apprendre que le féminin de nombreux métiers a existé par le passé, avant d’être rayé des dictionnaires et des usages. Parmi eux, « autrice ». Pourquoi ne pas le réhabiliter ?
Et « Écrivaine », alors ? Personne n’aime ce mot. Peu de gens, déjà, assument le côté grandiose et ombrageux du terme « écrivain », même au masculin.
Genre, Victor Hugo, LUI, c’est un écrivain.
Et pourquoi pas ? Ces noms (écrivain, écrivaine) sont mes chouchous absolus. Parce que la différence entre « auteur » et « écrivain », c’est qu’on peut être l’auteur de n’importe quelle œuvre (d’un tableau comme d’un roman, par exemple), quand écrivain (ou peintre) sont des termes plus précis, qui renvoient à l’activité en elle-même. Ici, écrire.
Un peintre ne se présenterait jamais comme « auteur de toiles impressionniste », il se dirait peintre ; « auteur », c’est plutôt un titre que l’on attribue de l’extérieur quand on analyse une œuvre (Genre, Titre, Auteur, Éditeur…), comme sur une fiche de présentation. Mais l’activité, c’est écrivain.
Et puis, à l’inverse du ressenti immédiat qui met plus de poids dans le terme « écrivain », je le trouve moins prétentieux : quand on est « auteur », on est auteur d’une œuvre ; quand on est « écrivain », on écrit, c’est tout — et peut-être même qu’on écrit sans but et sans réussir à composer son œuvre…
… de la même façon qu’un peintre peint, quand bien même il n’est exposé nulle part.
Quant à Écrivaine, au féminin, j’entends toujours dire que ce n’est pas beau, qu’on entend trop « vaine ». Quelle étrange réflexion. Dans « écrivain », on n’entend pas « vain », peut-être ? « Si, mais moins », répond-on. (Lol) Ttt-ttt-ttt. On est plus habitué à entendre ce mot, c’est tout : un mot nouveau crée forcément de nouvelles connexions dans le cerveau, qui cherche à le raccrocher à ce qu’il a déjà entendu — ici, « vaine ». (C’est le principe-même des hallucinations auditives.)
Bien. Dans « écrivaine », on entend « vaine » — mais aussi « veine », comme celles qui transportent le sang du cerveau jusqu’au cœur, ces veines couleur encre. Et comme dans l’expression « avoir de la veine » vous savez, celle qu’on a d’exercer une si belle activité.
Mais comme je suis lâche, mon écrivaine préférée, je ne vous la donnerai pas — à la place, je vous donne plein de titres dans les réponses aux questions suivantes : mes chouchoutes se cachent là !
2) Votre héroïne préférée
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OPHÉLIE — Parce qu’elle est discrète et timide, à fleur de peau, et pourtant audacieuse et forte.
BÉATRICE — Parce qu’elle a du bagou, de l’humour, et une grande indépendance d’esprit.
  Je vais proposer, à chaque réponse, 2, voire 3 romans, dont un « jeunesse » et un « adulte ». (Même si, dans de nombreux cas crossover, les libraires sont bien en peine de savoir où ranger le livre.)
3) Un roman qui propose un message féministe
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Ces deux romans se déroulent sur de longues périodes, suivant la vie de leur protagoniste dans un monde qui ne semble pas prêt à les accepter pour ce qu’elles sont (spoiler : des femmes). Ces deux titres dépeignent des cadres culturels différents (Angleterre victorienne ; Nigeria et États-Unis actuels), tous caractérisés par des discriminations (sexisme, racisme) contre lesquelles les héroïnes doivent se battre avec leurs propres armes (spoiler : le cœur, l’intelligence, l’humanité, la pugnacité et… la PATIENCE) afin de faire valoir leur vision des choses, et — qui sait ? — afin de s’épanouir de bonheur comme de petites mottes de beurre au soleil.
Ces deux romans célèbrent la beauté de réussir à rester soi-même dans l’adversité.
4) Un roman avec une fille/femme sur la couverture
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J’ai publié un article complet sur De cape et de mots, qui vous éclairera sur tout le bien que j’en pense, et pourquoi c’est si formidable de pouvoir s’identifier à cette héroïne en tant que jeune lectrice.
J’ai déjà parlé de Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur, tout à la fin de cet article.
5) Un roman qui met en scène un groupe de filles/femmes
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J’ai déjà parlé des Petites reines peu de temps après sa sortie, un roman qui met en joie, avec des vrais morceaux de poilade dedans.
Les âmes fortes, de Giono, est un roman un peu dingue, qui propose de nombreux points de vue et un discours sur la vérité complexe et intrigant (la “vérité” varie selon qui raconte l’histoire). Pis c’est trop bien écrit.
{Parenthèse}
Comment c’est dur de trouver des romans avec un cast féminin, pitin��!
C’est pourtant super facile de trouver des groupes de kids ou d’adultes exclusivement masculins (ou avec une femme, qui est là pour se faire aimer du héros, généralement), et ce dans tous les types de littérature…
PFIOU.
Non, je n’irai pas plus loin que « pfiou », je ne suis pas alarmiste ni négative, je vois simplement tout le chemin à parcourir (gaiement !) pour que les hommes et femmes écrivains et écrivaines s’engagent dans des narrations sur des groupes de femmes — prises indépendamment du seul désir des hommes. Comme des hommes sont héros, antihéros, méchants, side-kick — indépendamment du désir des femmes. Ils vivent des aventures, quoi.
6) Un roman qui met en scène un personnage féminin LGBT+
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C’est au moment de faire cette recherche que j’ai constaté que l’on met plus souvent et plus facilement en scène des personnages gay masculins, dans la littérature, que des personnages lesbiens. (J’entre même pas dans la ruelle étroite des personnages queer autres que gay et lesbiens, qui sont quasi non-existants.)
Par ailleurs, je m’étais déjà fait la réflexion au moment de la lecture de Bouche cousue, de Marion Muller-Colard (que je vous recommande aussi), mais là, à fouiner dans ma bibliothèque et sur le net, ça m’a sauté aux yeux : on trouve de nombreuses histoires d’ados garçons dont les premiers émois homosexuels vont être narrés avec humour, légèreté et optimiste — malgré les difficultés parfois rencontrées — mais beauuuuucoup moins de romans mettant en scènes des adolescentEs homosexuelles sous le même jour : chez les lesbiennes, c’est souvent plus tragique, moins fun, l’accent est davantage mis sur le parcours du combattant que cela représente de pouvoir vivre ces amours.
Il est possible que je sois à côté de la plaque. D’ailleurs, je ne propose pas d’analyse à ce constat, pour éviter de déblatérer des énormités avec ma grande bouche.
Mais c’est pour cette raison que j’ai choisi Dysfonctionnelle, qui raconte (entre autres nombreuses péripéties dans la vie foldingo du personnage de Fifi) la naissance une histoire amoureuse entre deux adolescentes, avec toute la justesse des premiers regards fascinés, des tensions, des hésitations, et qui circonscrit ses ressorts tragiques aux caractères singuliers des personnages (défiance sociale, famille tradi…) plutôt que de nous dessiner un drame qui serait par essence lié à l’homosexualité de ces filles. (Même si ça existe. Ici, les lesbiennes ont des histoires d’amour compliquées AUSSI parce que, simplement, l���amour, c’est compliqué. Vous me suivez ?)
Bien sûr que tu me plais ! Mais c’est parce que je t’apprécie que je ne veux pas être avec toi. C’est un sentiment compliqué.
Quant à Lignes de failles, il s’agit d’une saga familiale sur 4 générations (ou 5 ? je ne sais plus exactement) qui remonte le temps, où l’on retrouve jeunes, à la fin, les personnages que l’on a vu vieux au début. Et, presque à l’arrière-plan, de façon très secondaire, il y a deux mémés qui s’aiment, et le seul fait que deux vieilles se tiennent la main suffit à les empêcher de voir leur petit-fils. C’est évoqué en passant et avec simplicité, et cette approche permet de saisir la violence ordinaire à laquelle l’on a affaire.
Et aussi la beauté et la simplicité ordinaire de deux mémés qui s’aiment.
7) Un roman qui propose plusieurs points de vue féminins
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Je n’ai pas relu L’élégance du hérisson depuis mon coup de foudre pour ce roman quand j’avais 15 ans, aussi, je me mets une auto-alerte pour possibilité d’extrême décalage avec la personne que je suis aujourd’hui, et je vous le recommande presque à l’aveugle.
Je l’avais aimé car il suivait deux personnages très intelligents ayant toutes les peines du monde à s’intégrer dans la société, ce dans quoi je me reconnaissais très bien, en petite ado drama-queen cachée sous ma couette. Dans le roman, Paloma, gamine précoce de 12 ans, a même décrété que le monde était trop con pour être sauvé, qu’on était tous comme des poissons rouges dans un bocal, et a décidé, dès les premières pages, de quitter la vie telle une tragédienne après avoir accompli son œuvre artistique majeure (des haïkus et des petits bouts de pensée très pascaliens).  Le second personnage, Renée, mémère anti-glam de 54 ans, concierge dans l’immeuble de Paloma, n’a jamais pu partager avec quiconque le bouillonnement intellectuel qui l’habite (elle qui s’est cultivée de façon autodidacte et lit environ 32 livres par semaine) et se découvre soudain encroûtée derrière quatre couches de solitude, sans trop savoir si ça la dérange ou pas. C’est la rencontre de ces deux petits bouts de femmes, et l’arrivée d’un nouveau locataire dans l’immeuble, qui va permettre à ces cœurs en hibernation de se réveiller, et de s’ouvrir au monde merveilleux de l’amitié.
Oui ce gif est censé être une représentation de l’amour mais je le trouve parfait pour une vraie amitié basée sur le gras.
Je pense que la raison pour laquelle ce roman a particulièrement résonné en moi quand j’avais 15 ans, c’est que, en seconde au lycée, j’étais moi-même une insupportable Miss Je-Sais-Tout sans amis encombrée d’une hyperémotivité gênante et très doué dans l’art déprécié de 1) suranalyser absolument tout de préférence à 3h du matin 2) ouvrir très grand ma gueule aux moments les moins opportuns 2) pleurer sur mon nombril.
Dans mon souvenir, c’est aussi un roman drôle.
8) Un livre dans lequel une fille sauve le monde
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L’amour que je porte pour ces deux mondes imaginaires est sans borne.
9) Un personnage secondaire féminin que vous préférez au héros de son roman
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  Hélène dans Une sœur, de Bastien Vivès, et la Marquise de Merteuil dans Les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos.
  Bien que dans les deux cas il soit très discutable de les considérer comme des personnages secondaires. (En fait, c’est Merteuil, l’héroïne. Je veux dire, clairement. Non ?)
10) Un livre écrit par un homme qui met en scène un protagoniste féminin
À l’opposé des questions 5 et 7 qui m’ont donné du fil à retordre (c’est là qu’on réalise que des textes mettant UNE fille en avant, c’est fastoche d’en trouver, mais que ceux mettant PLUSIEURS filles en avant, c’est tout de suite plus difficile à dénicher)… des livres écrits par des hommes avec une héroïne féminine en revanche, il y en a pléthore ; la difficulté tient plutôt à choisir ses chouchous.
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MATILDA — Parce qu’elle a des pouvoirs magiques, qu’elle lit comme elle respire, et qu’elle se fait adopter par sa maîtresse, ce dont je rêvais, petite (telle une enfant cruelle ordinaire).
ANTIGONE — Parce qu’elle a ce feu adolescent de la justice absolue, l’esprit de contradiction très développé, et l’envie de se battre pour ses idées — au moins autant que pour la beauté du geste.
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Le principe des TAG est de nommer d’autres personnes qui reprendront la thématique à leur tour. Cette thématique m’intéresse beaucoup, et elle est traitée ici de façon simplissime (avec des questions qui nous renvoient à nos goûts personnels), aussi j’aimerais beaucoup lire d’autres réponses que les miennes. Cependant, comme je me sens toujours un peu sous pression quand je suis taguée quelque part, je ne nomme personne et je vous invite, chers lecteurs intelligents et curieux adorés, à reprendre cette thématique si elle correspond à ce que vous avez envie d’écrire et de publier en ce moment.
No pressure. J’ai personnellement mis plus de 3 mois à rebondir sur l’article de La Voix du Livre.
Bonne lecture à tous,
Lupiot
PS : si vous avez déjà répondu à ce tag, je veux bien un lien vers votre article ! PPS : récap de tous les lires cités, par ordre (approximatif) de difficulté croissante / de maturité nécessaire.
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Dans l’ensemble je trouve qu’il ressort de cette sélection un propos fort sur la place des femmes, du coup, je suis pas mécontente. Et je vous les recommande tous.
Des filles comme héroïnes, des femmes comme écrivaines, et inversement. Le "TAG 100% féministe", c'est une idée à partager ! "100% féministe" ? Le titre de cet article va vous intriguer, vous agacer, vous déstabiliser ou vous attirer — selon votre univers de référence — comme le fait toujours le mot "féministe". 
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bibliomontreal · 8 years ago
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Isabelle J., de la bibliothèque Le Prévost, recommande 4 coups de coeur BD jeunesse :
Myrmidon, Loïc Dauvillier et Thierry Martin, Éditions de la Gouttière, 2016.
Une série de premières bandes dessinées où le héros découvre systématiquement un objet qui le transporte dans un monde imaginaire où il vivra de folles aventures. BD sans texte.
Le château des étoiles. 1869, la conquête de l’espace , Alex Alice, Rue de Sèvres, 2014.
Une série à saveur Steam punk parfaite pour les bons lecteurs de fantaisie à la recherche d'émotions fortes et de scènes grandioses.
La rose écarlate, Patricia Lyfoung, Delcourt, 2005.
Un couple de justiciers à l'époque des robes à crinolines où c'est l'héroïne féminine qui mène, on aime! Série.
Princesse Sara, Audrey Alwett et Nora Moretti, Soleil, 2009.
Une adaptation en bandes dessinées du classique de Frances Hodgson Burnett à la sauce steam punk. Série.
Consultez la programmation de Mai, mois de la BD dans les Bibliothèques de Montréal et visitez votre bibliothèque !
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