#lectures de baguettes
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Smut de Noël - Pendragon 2.0
Pendragon 2.0 c'est l'histoire d'Arthur Pendragon, si Arthur avait été plus proche de l'idée qu'on se fait de son père. Un "tyran", colérique et qui déteste qu'on le contredise. Il a épousé Guenièvre "par obligation", mais il est tombé amoureux de cette femme à la fois naïve et avec un gros caractère. Le smut se passe alors qu'ils sont mariés depuis plusieurs mois (je dirais environ 1ans et demi. Joyeuses fêtes, et bonne lecture !
Arthur Pendragon était reconnu par les peuples voisins comme un tyran.
Son propre peuple marchait à la baguette, et même s'il faisait prospérer Kaamelott, ça ne suffisait pas toujours à faire taire les échos de rébellion.
Sous le manteau, on parlait aussi souvent de la Reine.
La pauvre petite Guenièvre, si douce, si calme, obligée de vivre avec un monstre sanguinaire en guise de mari. Elle n'était qu'un trophée dont il finirait par se débarrasser.
A l'intérieur du château, tout était différent.
Guenièvre n'était jamais laissée seule lors des réunions. Si elle n'était pas à la table des parlementations, elle était accompagnée par une de ses servantes entraînée par Arthur au combat rapproché, et par Lancelot.
Aujourd'hui, une délégation venue de plus loin que leurs derniers combats était à la table. Guenièvre était assise en bout de table, près d'Arthur, magnifique dans une robe couleur parme. Elle observait avec attention le traducteur lorsqu'ils en avaient besoin. Elle scrutait les invités qui parlaient à voix basse dans leur langue.
- Il faudrait qu'on ai un dialecte à nous aussi pour pouvoir parler comme eux. Je pourrais vous apprendre le picte. Plus personne ne le parle à part eux.
Arthur lui jeta un regard noir, avant d'observer le traducteur, lui interdisant de traduire la pensée de sa femme. Le chef de délégation les observe, alors qu'Arthur ne s'occupe plus d'eux.
- Je vous ai déjà dit de pas parler quand on reçoit des chefs de clans! Vous savez pas tenir votre langue.
Il aperçoit du coin de l'œil l'interprète souffler ses mots au chef de clan, dont le sourire se mue en rictus amusé. Arthur se réinstalle calmement, alors que Guenièvre reste droite, les joues un peu plus roses qu'avant.
Les discussions reprennent bon train, jusqu'au moment où Guenièvre tend la main pour goûter un des plats qui ont été amenés par la délégation. Elle se fige alors qu'un couteau se plante devant sa main. Le chef de délégation s'est redressé pour lui interdire de toucher à la nourriture. Elle entend des mots vides de sens pour elle, alors qu'elle ne peut pas lâcher la lame des yeux.
Arthur jette un regard à l'interprète, qui essaie de parlementer.
- Qu'est-ce qu'il a dit?!
- Attendez, j'essaie...
- Traduisez. Mot pour mot. Maintenant.
Le jeune interprète recule imperceptiblement.
- Femme, pas toucher nourriture. Perdre poids avant de plaire à lui.
Guenièvre est mortifiée par les mots qu'elle entend. Le rire tonitruant de l'homme n'arrange rien. Une seconde plus tard, Arthur tend le bras pour écraser ses doigts sur la joue du chef de clan, qui s'effondre au sol. Lorsqu'il se relève, fou de rage, c'est pour se retrouver face à une épée enflammée, d'un rouge sang.
- Personne ne parle de ma femme ainsi. Est-ce que c'est bien compris?!
Alors que l'interprète essaie de parler, Arthur parle à nouveau.
- Je suis sûr qu'il n'a pas besoin d'interprète pour ça. Si vous insultez à nouveau ma femme, je vous tuerai. Vous et tous ceux qui se mettront de votre côté. C'est clair?!
Les flammes léchaient dangereusement la tignasse du chef de clan, qui finit par reculer en levant les mains en avant en signe d'apaisement.
- Guenièvre, on y va.
La Reine se redresse, et se dirige lentement vers la porte, suivie de près par son mari, qui ne lâche pas Excalibur.
- Dites-leur qu'il n'y aura pas de discussions avant demain. Et qu'ils réfléchissent à leurs mots.
Une fois la porte claquée, Arthur saisit sa femme par le bras et presse le pas jusqu'à leur chambre, dans une aile gardée mais où personne d'autre ne loge. Arthur et son désir de silence et de solitude. Il referme la lourde porte en bois derrière les servants qui se pressaient d'allumer un feu dans l'âtre.
- Je suis désolée, j'aurai....
- Vous ne savez pas tenir votre langue. Ne donnez pas d'informations qui pourraient servir à l'ennemi. J'ai besoin de vos conseils, mais entre nous.
Il s'approche du feu, alors que Guenièvre frissonne encore.
- Et retirez cette horreur.
Elle le regarde avec surprise.
- C'est une belle robe, et puis la couleur...
- Ma mère a encore engagé des femmes pour vous habiller. Je ne sais pas comment elle se débrouille pour en trouver autant.
Il la regarde avancer vers lui, et lui tourner le dos, déplacer sa lourde tresse sur le côté. Avec délicatesse, Arthur défait les nombreux noeuds qui retenaient le corset dans lequel on avait enfermé sa femme. Il réfléchissait à la façon dont il pouvait trouver un moyen de ne pas laisser Guenièvre subir ça. Il détestait qu'on l'habille ainsi, il détestait qu'on la coiffe d'une tresse. Ses cheveux ondulés étaient magnifiques lorsqu’ils étaient lâchés, il pourrait s'y perdre toute une vie, rien que pour trouver cette épaule qu'on cachait dans des robes trop sages.
Les tenues que portaient Guenièvre lors des délégations ne lui plaisaient pas. Elle lui était cachée jusqu'en haut du cou, ses mains étaient à peine apparentes. Une idée de sa mère, qui s'habillait de la même manière. Il avait déchiré bon nombre de robes auparavant. A présent, il se contentait d'aider Guenièvre à les retirer.
Personne n'aurait pu deviner qu'Arthur savait faire preuve de douceur. Pas même les maîtresses qu'il avait accepté d'avoir.
Ses mains rendaient sa liberté à la peau pâle de Guenièvre, accueillait avec joie chaque parcelle qu'il pouvait. Il la sentait frissonner, il voyait la chair de poule dont il était l'instigateur. Il adorait toucher sa nuque, épouser les formes qui se dessinaient alors que la robe finissait au sol.
- Si je dois perdre du poids, je...
- Vous êtes très bien telle que vous êtes.
- Mais ils disent...
Arthur grogna un instant, avant d'enrouler son bras contre la taille de Guenièvre. Son autre main glissa plus bas, pour commencer à descendre les sous-vêtements qu'elle portait. Il frôlait sa nuque de ses lèvres.
- Vous désirez partager leur lit? Celui de cette brute ? Celui de ma mère?
- Non! Pas du...
- Alors ne vous préoccupez pas de ce qu'ils disent.
Il retourne Guenièvre, pour lui faire face. Ses yeux brillants, son cou sur lequel il avait envie de fondre. Elle portait encore un petit bustier à peine serré qui le rendait fou. Il saisit les hanches de Guenièvre.
- Je vous demanderai de perdre du poids lorsque je ne pourrai plus vous soulever.
Joignant le geste à la parole, il la souleva pour l'asseoir au bord d'une table un peu plus basse que les autres. Il lui fit écarter les jambes, avant de s'agenouiller devant elle.
- Et je vous interdit de tenir votre langue ici, c'est bien clair?
- Oui, Arthur.
Il commença ses baisers sur l'intérieur de ses cuisses, avec lenteur, tout en caressant délicatement sa peau, attentif à chaque vibration, à chaque petit souffle de la part de sa femme. Il avait envie de l'entendre, il voulait la faire crier de plaisir tout autant que la faire jouir indéfiniment.
Lorsque sa langue entra en contact avec le sexe de Guenièvre, il l'entendit laisser échapper un long gémissement de plaisir, alors qu'elle se laissa glisser un peu plus en arrière sur la table. Il aimait ces moments entre eux. Il avait fallu du temps avant que Guenièvre n'arrive à lui faire totalement confiance sur la question du sexe.
Pendant plusieurs mois, elle se retenait, elle gémissait entre ses dents, elle restait droite ou rigide. Il avait fallu qu'ils parlent, longuement, de nombreuses fois, pour qu'Arthur puisse déconstruire ce qu'on lui avait appris sur lui, sur son plaisir à elle. Les parents de Guenièvre lui avaient dit qu'elle ne pouvait pas jouir avant lui, qu'il la ferait frapper. Qu'elle devait rester silencieuse pour ne pas l'irriter. Ne jamais se plaindre. Ygerne, elle, lui avait dit de ne jamais regarder son fils dans les yeux. De ne faire aucun geste, d'être soumise jusqu'à ce qu'il ait fini. De gémir uniquement à la fin, pour montrer qu'elle était satisfaite.
Et elle avait cru tout ça. Il avait mis des semaines, des mois à déconstruire toutes les idées toxiques qu'on lui avait inculquées. Il avait fait virer ses beaux-parents, et sa mère n'avait pas le droit de s'approcher d'elle.
Aujourd'hui, il appréciait encore plus d'avoir une Guenièvre vraie, honnête. D'avoir ses halètements qui emplissaient la pièce au rythme de ses coups de langue, de voir son ventre se contracter alors qu'elle hésitait encore entre céder au plaisir ou faire durer encore quelques instants le désir qui la consumait.
Comme s'ils avaient décidé d'un commun accord, Arthur ralentit le rythme. Plus lent, plus appuyé, alors que ses doigts s'ancraient dans la chair de ses cuisses. Guenièvre lâcha un râle, autant de plaisir que de frustration, et le laissa glisser totalement sur la table. Elle ne luttait plus, elle se laissait porter par le rythme d'Arthur. Elle ne respirait plus profondément pour se retenir, elle laissait ses gémissements la diriger, son corps onduler pour donner des indications à son mari. Elle ne voulait plus réfléchir.
Lorsque l'orgasme arriva, elle poussa un cri de plaisir, suivi de petits gémissements pour supplier Arthur d'arrêter. Elle se sentait incapable de supporter un nouveau plaisir aussi intense. Il la lâcha, et elle se demanda un instant à quoi elle pouvait bien ressembler, pantoise sur une table, les jambes écartées, les cheveux défaits.
Tout cela fut balayé par les mains d'Arthur sur sa taille.
- Je veux venir en vous.
Guenièvre hocha la tête, un peu surprise, avant de se redresser doucement, en appui sur ses coudes.
- Vous voulez que je me tourne?
Arthur lui jeta un regard surpris, alors qu'il finissait de se déshabiller, puis s'avança à nouveau vers elle.
- Vous voudriez me priver de cette vue?
Sa main glissait de son bas-ventre jusqu'à la naissance du bustier lâche. Au frisson qu'elle réprima, elle se rendit compte qu'elle avait encore envie.
- J'ai juste une chose à faire avant.
Il détacha le bustier et le laissa tomber au sol, avec un air satisfait.
- Maintenant, c'est parfait. Vous êtes prête?
Elle hocha la tête, et Arthur s'installa entre ses jambes, avant de la pénétrer lentement. La sensation fit rouler les yeux de Guenièvre, qui se laissa glisser en suivant la pression de la main d'Arthur. Ses mouvements étaient lents et profonds, ce qui arrachait des gémissements lascifs à Guenièvre. A chaque fois un peu plus fort, un peu plus poussif. Guenièvre ne savait plus où elle en était. Elle n'avait pas mal, Arthur était incroyablement doux et attentif, mais son corps la suffoquait. Elle semblait perdre un peu d'air à chaque fois qu'elle gémissait, n'arrivait pas à reprendre son souffle. Mais elle ne voulait pas qu'il s'arrête. C'était trop agréable pour que tout s'arrête. Elle en mourrait de frustration.
Le dernier coup de rein d'Arthur lui arracha un cri étranglé, alors que tout son corps se mit à trembler erratiquement, submergé par un orgasme d'une intensité qu'elle n'avait pas encore ressenti. Arthur pressa son corps sur elle, pour ordonner à ses mouvements incohérents de se calmer. Elle voyait des étoiles danser devant ses yeux, elle sentait ses joues la brûler. Puis, elle vit le visage d'Arthur devant elle. Il la regardait, à la fois heureux et inquiet.
- Tout va bien?
- Oui, je...je crois que j'ai perdu le contrôle.
Arthur se recula, allant chercher des linges pour eux deux. Il laissa Guenièvre, toujours assise sur la table, glisser le sien entre ses jambes, tout en surveillant qu'elle ne se recouvre pas totalement. Il voulait encore profiter de la vue qu'elle lui offrait. La chambre était chaude, aucun d'entre eux n'avait froid.
- Je ferai demander Merlin. Juste par précaution.
- Pourquoi?
- J'ai un instant cru que vous alliez cesser de respirer. J'aimerais m'assurer que ce n'est rien de grave.
Il se rapprocha, pour glisser sa main jusqu'à sa nuque, et lui voler un baiser.
- Parce que si vous ne risquez rien, j'ai bien l'intention que la prochaine fois, ça dure encore plus. J'adore votre voix.
Un sourire taquin se glissa sur ses lèvres, alors qu'il s'approcha pour capturer à nouveau ses lèvres.
- Vous m'apprendrez le picte. Comme ça nous pourrons parler de tout ça sans craindre les oreilles indiscrètes.
Guenièvre vira à un rouge coquelicot, avant qu'Arthur ne l'embrasse à nouveau, se retenant de la faire basculer à nouveau sur la table.
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J’ai laissé filer avril
1er avril Sans rien nous en dire l'un l'autre, Benjamine a empoché La Fossette pour l'écouter dans la voiture, et moi Si je connais Harry, pour le lui faire découvrir. (Je me suis mal garé, le temps de passer à la librairie.) J'ai découvert que Vazquez quand il nomme Laura Vazquez s'écrit Vazquez et pas Vasquez. Je n'ai pas pris de prune. On a écouté La Fossette à l'aller, Harry au retour. J'ai roulé plus lentement pour que l'écoute soit plus longue. J'ai fini Bambine d'Alice Ceresa. J'y suis tombé sur ce mot, "phocomèle". À la petite médiathèque, en attendant de faire enregistrer mes livres, j'ai assisté à l'étrange pantomime de trois membres d'une même famille, assis dans les chauffeuses de l'accueil, qui tournaient la tête en tous sens, le regard masqué par des lunettes 3D, explorant tous les horizons de quelque univers virtuel. J'ai fait les exercices d'écriture proposés par Laura Vazquez. J'ai cuisiné un chili sin carne pour quatre personnes et pour deux jours.
2 avril J'ai fini Se tenir quelque part sur la terre, de Joëlle Zask, dans la maisonnée encore endormie. J'ai lu GPS de Lucie Rico en début d'après-midi. J'ai aidé Cadette à contenter l'algorithme d'orientation. J'ai lu le très bref Moi et François Mitterrand, d'Hervé Le Tellier. (On a eu une coupure de réseau.) J'ai récupéré ses bouquins de bibliothèque auprès de Cadette. (Nous nous sommes inquiétés pour une courge tranchée.) 3 avril J'ai corrigé quelques coquilles dans les notes de mars. Je n'ai pas acheté de saloperie à la supérette, malgré l'envie que j'avais de le faire. J'ai préempté quelques articles faciles dans le chemin de fer du prochain journal. J'ai envoyé quelques factures. (J'ai passé l'après-midi sur mon pensum délibératif mensuel.) (Il y avait un bourdonnement sourd, peut-être de nature électrique, très distinctement audible dans les étages, mais sans localisation précise.) 4 avril Je suis allé me chercher deux croissants. J'ai déjeuné d'une part de tourte au Roquefort. J'ai retrouvé la fine équipe des pigistes. (Les arrivées successives ont systématiquement laissé inachevés chaque début de conversation.) Je suis passé à la librairie et je n'ai acheté qu'un livre. J'ai trouvé la seule place de stationnement disponible. Viki m'a offert un cookie. J'ai papoté au soleil avec Oscar le pôle-nordiste. (On a profité de la terrasse près d'une heure sans qu'aucun serveur daigne venir prendre la commande.) Je lui ai prêté un petit lot de bouquins pour son récit de voyage à venir. On a ri avec Benjamine en inventant la danse de l'été. 5 avril (J'ai trouvé une languette de plastique dans ma bouchée de pain.) J'ai rédigé un long mail auto-promotionnel pour décrocher de nouveaux ateliers. La réunion pour le nouveau boulot a débuté en parlant livres et revues littéraires. J'ai reçu un mail m'informant de l'arrivée de mon bouquin. (Le service facturier qui me paye depuis deux ans m'a appelé pour me dire qu'il n'avait pas mon RIB.) Mon copain libraire m'a donné un livre (en plus que celui que je lui avais commandé.) J'ai testé une nouvelle recette de quiche aux épinards et champignons. (Je me suis planté sur le fond de tarte, feuilletée plutôt que brisée.) On a écouté Morissey et Radiohead avec Benjamine. J'ai poursuivi la lecture de Robert Antelme. (Tard.) 6 avril (Je suis arrivé très en avance à l'atelier du matin.) En attendant de pouvoir entrer, j'ai vu passer deux palmiers sur la plate-forme d'une camionnette, trois files successives d'écoliers apprenant le vélo, une pelleteuse, des voitures, des scooters, des passants, et j'ai entendu la fin du Sud de Nino Ferrer à la radio. Je suis arrivé à la bonne heure pour ne pas faire la queue au resto. (Entendu à la table à côté : "Ça fait très 2016.") (Je suis arrivé très en avance à l'atelier de l'après-midi.) (Mes accès au réseau de l'université ont été désactivés.) Je suis reparti avec deux baguettes et une miche de pain gratuites. J'ai fini L'espèce humaine de Robert Antelme. 7 avril (Je me suis froissé un truc entre deux vertèbres avant même de me lever.) J'ai lu Au téléphone, d'Alain Freudiger, à haute voix dans le salon. Je n'ai rien fait d'autre de la matinée. (Les maçons débarqués inopinément m'ont finalement mis à la bourre.) (J'ai fait la route en doutant d'avoir bien éteint les plaques de cuisson, dans la précipitation du départ.) Aucun radar malgré les appels de phares. (L'atelier a été long.) (J'ai fait la route en doutant d'avoir bien pris le chargeur et la souris, dans l'impatience de rentrer.) Un éclair au chocolat m'attendait sur la table de la terrasse. J'ai lu Mes fragiles, de Jérôme Garcin. (À l'instar de nombreuses précédentes, la nouvelle abonnée du jour à Bonheur Portatif est une passionnée de branlette espagnole.) (Le mal au dos a tenu toute la journée.)
8 avril J'ai rédigé et envoyé de nouveaux textes issus des ateliers de Laura Vazquez. (Ça m'a brûlé quand j'ai pissé.) J'ai vu une dame avec un antique sac "Dames de France". J'ai regardé les guirlandes de cerfs-volants sur la plage. J'ai fait une courte sieste au soleil. J'ai sorti la chaise longue, et le chapeau de paille. J'ai lu la majeure partie de l'après-midi. J'ai fait des frites. J'ai lu Le livre du large et du long de Laura Vazquez. 9 avril Je me suis réveillé après 9h, une rareté. Je me suis rasé, une autre. J'ai sollicité le Notulographe pour une recherche qui n'aboutissait pas. (Benjamine nous a appelés pour que l'on vienne finalement la chercher : il m'a fallu déplacer la voiture, dans une ville congestionnée par son animation de printemps.) (Une riveraine est promptement venue m'exprimer son mécontentement du fait que je me sois garé devant chez elle.) J'ai fait une demande d'inscription à la liste Perec. Chaise longue, chapeau, sandales, un livre. J'ai reçu un mail m'informant de la présélection d'un de mes textes dans une revue. On est allés marcher sur le sable et sous les cerfs-volants. Je suis tombé sur ces verbes, "avuer" puis "fuster", dans Les Furtifs. Le réseau du Notulographe m'a envoyé deux liens distincts vers le documentaire sur Perec que je cherchais. J'ai été surpris d'y découvrir, contrairement au souvenir que j'en avais, que ce n'était pas Alain Cuny le récitant du chapitre LXXIV de La Vie mode d'emploi, mais l'incroyable Daniel Emilfork.
10 avril (J'ai été réveillé au milieu de la nuit.) Je me suis levé encore plus tard qu'hier. Je suis allé faire le plein de viennoiseries pour toute la maisonnée. (J'ai lâché l'ennuyeuse lecture des Furtifs.) Il a flotté tout l'après-midi. Je suis allé faire le plein de pizzas pour toute la maisonnée. J'ai relu W ou le souvenir d'enfance. 11 avril J'ai envoyé des mails à des gens en congés. J'ai reçu le nouveau Matricule des Anges. Je suis retombé sur l'étrange spectacle de "lecteurs-testant-des-lunettes-3D" à la médiathèque. J'ai lu Le Condottière, de Perec. Je n'ai pas mangé tout le sachet d'oursons à la guimauve. J'ai aidé Cadette à faire son CV et une lettre de motivation. 12 avril (J'ai râlé contre le dernier revirement professionnel de ma chérie.) J'ai vu s'afficher avec un certain sourire les notes de spé de Cadette. J'ai retrouvé un fond de sachet d'oursons rescapés de la veille. On a papoté une bonne demi-heure avec Émilie avant de se mettre à travailler. J'ai appris durant la réunion la fermeture définitive de la librairie où je n'allais plus. Je n'ai pas pris le livre que je pensais prendre. J'en ai pris deux autres à la place. J'ai répondu à une question par mail et je n'ai pas reçu de réponse à la question que j'ai posée en retour. J'ai testé la recette de ragoût tomates-petits pois vue sur tumblr. Je suis tombé sur ce mot, "sibilant", dans Caisse 19. 13 avril (J'ai ouvert les volets - tard - au moment précis où les vacanciers d'en face sortaient de leur location.) Je leur ai indiqué où ils pouvaient trouver un collecteur de verre. Je suis tombé sur ce mot, "melliflu", dans Caisse 19. Les deux oursons à la guimauve montés comme passagers ne sont jamais arrivés à destination. (L'atelier a été un peu long.) J'ai retrouvé sur le net la trace d'une ancienne connaissance et j'ai été surpris de sa reconversion. J'ai répondu à un sms et je n'ai pas reçu de réponse en retour. Dans Caisse 19, je suis tombé sur "créosoter". Et sur la même page, "drupéoles". Et plus loin, "changelin". 14 avril J'ai trouvé comment éviter la pub sur tumblr : j'ai supprimé l'appli de mon smartphone. J'ai installé l'appli cnrtl à la place. La non-réponse à mon sms d'hier était en fait l'amorce de plus longs échanges. (J'ai reçu mon amende.) J'ai reçu une nouvelle revue de création littéraire. J'ai joué au poker menteur avec le maçon. (J'ai payé l'amende.) J'ai fini Caisse 19, de Claire-Louise Bennett. J'ai sorti, puis entré, puis sorti, puis entré le tancarville chargé de linge, au gré des intempéries. J'ai lu Modernité du livre, d'Olivier Bessard-Banquy. 15 avril J'ai entendu les oiseaux s'égosiller au petit matin. (J'ai cédé à la moitié de ma course, au retour face au vent.) (J'ai été agacé, sans raison évidente.) J'ai imprimé des bouts de ce journal sur cartes postales. (J'ai guetté toute la matinée le mail de l'atelier d'écriture de Laura Vazquez.) Je me suis fait une belle assiette de salade composée, avec des asperges. J'ai essayé de reparler un peu portugais. J'ai réussi à en comprendre un peu. J'ai enfin commandé un livre noté depuis des mois sur ma liste. J'ai fait mine de ne pas avoir vu un gars trébucher sur un pavé disjoint. (Une chargée de comm bêcheuse de ma connaissance m'a ostensiblement ignoré.) J'ai pissé de l'asperge toute la soirée.
16 avril J'ai repris de vieux textes, pour tenter de leur donner une forme. J'ai fait une sieste au soleil. Je suis allé m'asseoir sur la plage. J'ai fini Reconnaissances, de Catherine Safonoff. 17 avril J'ai fait une plongée dans ma bibliothèque pour en extraire des textes parlant de nourriture et de gastronomie, en vue d'un atelier. Nous avons mangé dehors, sans doute une des premières fois de l'année. J'ai trié, vidé, jeté le bazar dans le patio. (La voiture a fait des siennes au démarrage.) (J'ai aussi entendu un drôle de petit bruit quand le moteur tournait.) (Je me suis gavé de pain beurré deux heures avant de passer à table.) 18 avril J'ai reçu la consigne de l'atelier de Laura Vazquez. (J'ai laissé fondre sous la langue le nouvel antihistaminique qu'il fallait avaler.) (J'ai essayé de comprendre un article d'analyse littéraire.) J'ai mis du temps à décider si je me lançais dans la fabrication d'un petit meuble de bibliothèque, dans la préparation de l'atelier de lundi, dans mes petits travaux d'écriture, dans un peu de lecture, ou si j'allais faire un peu de sport. J'ai opté pour le sport. J'y suis allé à vélo. (J'ai pissé sous la douche.) Ma chérie m'a rapporté une part de flan au praliné. (Il n'avait pas grand intérêt.) J'ai cuisiné un Petit tofu aux lentilles. 19 avril Je suis allé en ville à vélo. J'ai fait une bonne pêche à la médiathèque. Je suis passé voir notre expo et j'ai constaté que, finalement, aucun secret n'avait été censuré. (La libraire n'a pas voulu que je fasse une carte pour les deux euros manquants à mon avoir.) (Je n'avais qu'un euro en poche.) J'ai acheté deux croissants, payés par carte. Je n'ai pas pris de café au kiosque sur le port. (Le café ne prenait pas la carte pour moins de cinq euros.) (Une femme m'a demandé si j'avais une pièce pour acheter à manger et j'ai dit non alors que j'avais toujours mon euro en poche.) Entendu sur le port une jeune fille au téléphone :"Franchement, je sens le potentiel en toi, i'm dit..." J'ai aperçu Amélie, que j'ai d'abord prise pour Anne-Gaëlle. J'ai suivi les panneaux sur la piste cyclable plutôt que mon instinct et je me suis rallongé au retour. (J'ai pris tardivement connaissance du sms de ma sœur me disant que notre mère n'allait pas bien.) J'ai bouquiné au soleil. Je suis passé prendre des nouvelles et un café chez ma mère. J'ai récupéré Cadette à la gare. La famille a été au complet pour la première fois depuis longtemps. J'ai bu de l'alcool pour la première fois depuis trois mois. J'ai lu King Kasaï, de Christophe Boltanski. 20 avril J'ai écrasé le premier moustique de l'année. (Je me suis claqué le mollet en courant.) J'ai reçu les publications annuelles du Cabinet du Livre d'Artiste. J'ai eu le temps de faire un saut à la B.U. (J'ai mangé un Snicker en revenant des courses.) J'ai préparé des spaghettis pour un régiment. On a regardé les Blues Brothers en famille. 21 avril (J'ai passé un coup de fil à ma mère malade et ça m'a contrarié pour la matinée.) J'ai cessé de boiter et mon mollet m'a fait moins mal. J'ai préparé mon atelier de lundi. (J'ai passé des coups de fil à des librairies pour m'enquérir, en vain, de leur disponibilité d'un vieux roman.) On a vite trouvé un cadeau dans la boutique de cadeaux. On a renouvelé les cartes de médiathèque de toute la famille. J'ai remis Foenkinos à sa place (sur son rayonnage). Nous avons mangé au resto en famille. J'ai fini Client mystère, de Mathieu Lauverjat. 22 avril J'ai entendu la pluie s'abattre et le tonnerre gronder dans la nuit. J'ai découvert un générateur de bullshit (un concurrent direct). Le solanum sur la terrasse a atteint la hauteur du mur. (Un moineau m'a chié dessus pendant que je prenais mon café.) On a fait des wraps en famille et on les a mangés sur la terrasse. (J'ai tenté de consoler ma mère.) J'ai pris une part de fondant à l'orange. Nous sommes arrivés à l'heure à la piscine. J'ai aidé Benjamine pour la maquette de son journal.
23 avril Au terme d'un suspens haletant d�� aux clients présents devant nous à la pâtisserie, nous avons finalement pu acheter le dernier plateau d'assortiment de réductions. J'ai senti à sa voix que ma mère allait un peu mieux. J'ai croisé un beagle qui remontait à contre-sens le terre-plein central de la quatre-voies. J'ai fait connaissance de très vieilles méconnaissances de lycée. (J'ai bu de la bière, de la caïpirinha, du blanc pétillant, du champagne.) Et mangé une feijoada cuisinée par un Brésilien. J'ai timidement chanté au petit concert privé du même Brésilien. J'ai à peu près compris ce qui s'est raconté en portugais. La route pour l'île nous a gratifié d'un large éventail de phénomènes atmosphériques : arcs-en ciel, trombes d'eau, nuages et couleurs d'orage, coucher de soleil flamboyant. 24 avril (La nuit a été trop courte.) (J'ai marché en chaussettes sur une petite flaque formée sous la combinaison de nage qui avait goutté.) (J'ai acheté un mauvais croissant industriel, pour ne pas démarrer l'atelier sur la gastronomie le ventre vide.) L'atelier a bien fonctionné. Un meilleur croissant m'attendait à la maison. On a fait une sieste crapuleuse. (L'atelier de demain est à nouveau annulé, ou reporté je ne sais plus.) J'ai trouvé le bouquin qui m'a manqué ce matin. J'ai découvert l'existence de Composition n°1 de Marc Saporta. J'ai poursuivi mon exploration des rayonnages de lettres de la B.U. (Je me suis rendu compte que Composition n°1 était introuvable.) J'ai testé mes derniers mots avant de mourir sur Benjamine, qui les a mis en scène. (Un précédent lecteur a annoté au crayon de papier le livre de bibliothèque dont je débute la lecture.) Je suis tombé de sommeil. 25 avril (Les appels se sont enchaînés toute la matinée.) (Le rendez-vous de demain m'a appelé en début d'après-midi, alors que j'étais au volant.) J'ai fait une séance photo avec des ours. J'ai achevé un premier travail d'édition sur les textes des étudiants. Ma mère m'a semblé aller mieux. (J'ai à peine eu le temps de rassembler mes notes pour les articles que je devais rendre aujourd'hui.) 26 avril (Je me suis rendormi.) L'alarme de mon portable m'a heureusement rappelé le rendez-vous téléphonique que j'avais complètement oublié. J'ai reçu un nouveau mail signé Georges Perec, m'informant qu'il m'acceptait sur sa liste. J'ai découvert un incroyable blog mêlant dépêches d'agence de presse et décasyllabes quotidiens. J'ai bouclé mes travaux d'édition. J'ai pu rattraper un peu de mon retard sur d'autres articles. J'ai pris au téléphone des demandes de modifications sur un article en touillant des oignons dans une cocotte. J'ai fait évoluer le boulot d'été de Cadette. J'ai fait le vide dans ma boîte mails, et je les ai ramenés à moins de 60. J'ai retravaillé un vieux texte pour le proposer à une revue. (J'ai été pris d'éternuements dus aux allergies au moment de me coucher.) (Je ne suis pas sorti de la journée.) 27 avril J'ai eu le temps d'envoyer quelques articles avant de filer à la consultation. (J'ai dû reporter un masque.) Un des médecins du service d'oncologie s'appelait Bonnemort. J'ai essayé de profiter du calme de la salle d'attente comme d'un moment de répit dans un emploi du temps bousculé. (L'appli de stationnement a réclamé une mise à jour alors que j'étais à la bourre.) (La connexion était évidemment mauvaise.) (J'ai aperçu Louis mais je ne suis pas allé discuter avec lui.) Murielle m'a gentiment filé un coup de main pour décrocher l'expo de secrets. (J'ai papoté avec une bibliothécaire qui ne m'a parlé que de thérapies et de soins psy.) (Le décrochage de l'expo Beaufort a été nettement moins heureux.) (J'ai gratté du double-face pendant trois quarts d'heure.) On m'a proposé d'écrire la suite de mes aventures de séminariste d'entreprise. Benjamine a fièrement gagné ses galons d'écrivaine. (J'ai travaillé après le dîner.) 28 avril J'ai croisé un ancien étudiant devenu prof. (La voiture n’a pas démarré après l'atelier.) J'ai apprécié le cadencement efficace des bus de la ville. Je suis arrivé à l'heure à la réunion (à 5mn près). Ma chérie est venue à mes devants. (J'ai eu le droit à 20mn de musique d'attente, avant d'être coupé.) On a improvisé un pique-nique dans un espace vert du quartier. (J'ai mangé un flan écœurant.) Tatoué sur le bras du dépanneur : “Born to drive”. La voiture nous a offert un très bref sursis. (J'ai perdu trois heures.) (Je n’ai pas pu me rendre au vernissage d’André, l’ami brésilien.)
29 avril (Ma première tentative pour emprunter un vélo en libre-service a échoué.) J’ai croisé Jamal. (J’étais pressé.) (On m’a refilé un marque-page m’invitant à tester ma vue.) Ma deuxième tentative pour emprunter un vélo en libre-service a réussi. J’ai très méthodiquement survolu - survolé et lu - Liste et effet liste en littérature (je n’ai pas tout compris.) (Des bagnoles de collec’ en exhibition ont fait rugir leur moteur une bonne partie de l’après-midi.) (L’avertisseur de recul du gros S.U.V. d’un Jérôme cornaqué par sa femme a assuré l’ambiance sonore de la rue pendant une bonne dizaine de minutes.) Je suis tombé sur ce mot, “capricant”, dans La Seiche, de Maryline Desbiolles. J’ai fini le livre dans la soirée. 30 avril J’ai ouvert fenêtres et baies dés le matin. (J’ai pris un antihistaminique dés le matin.) J’ai mis les pieds dans l’eau. (La table et le banc du café de la plage étaient sales, je me suis mis du chocolat fondu plein les avant-bras et le jean.) J’ai ramassé de drôles de perles d’eau, sans savoir ce que c’était. Je me suis endormi au soleil dans un fauteuil à bascule. J’ai lu presque tout l’après-midi.
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STRIGOI VII, SABBATHS, KITRA ET MRADU, LUNE BLANCHE ET NOIRE, SORCELLERIE
Comparing Chaos Magic and Strigoi Vii
SV
Montre moi points communs et différences entre Magie du Chaos et Strigoi Vii
Voici une comparaison entre la Magie du Chaos et les Strigoi Vii, en prenant soin de ne pas reproduire de contenu protégé par des droits d'auteur :
Points communs :
Systèmes magiques non traditionnels : Les deux approches s'écartent des systèmes magiques plus établis et conventionnels.
Individualité : Elles mettent l'accent sur l'expérience personnelle et l'interprétation individuelle des pratiques magiques.
Éclectisme : Les deux systèmes empruntent des éléments à diverses traditions et encouragent l'expérimentation.
Rejet des dogmes : Ils remettent en question les croyances établies et les structures rigides des systèmes magiques traditionnels.
Différences :
Origines :
Les Strigoi Vii ont des racines dans le vampirisme spirituel et l'occultisme roumain.
Philosophie centrale :
La Magie du Chaos met l'accent sur la croyance comme outil et l'absence de vérité absolue.
Les Strigoi Vii se concentrent sur l'énergie vitale et les pratiques vampiriques spirituelles.
Pratiques :
La Magie du Chaos utilise des techniques variées, souvent improvisées ou personnalisées.
Les Strigoi Vii ont des pratiques spécifiques liées à l'absorption et la manipulation de l'énergie.
Symbolisme :
La Magie du Chaos utilise des symboles créés par le praticien ou empruntés à diverses sources.
Les Strigoi Vii ont un symbolisme plus spécifique lié au vampirisme et à la mythologie roumaine.
Objectifs :
La Magie du Chaos vise souvent la réalisation de désirs personnels et la transformation de la réalité.
Les Strigoi Vii cherchent généralement l'évolution spirituelle à travers des pratiques vampiriques.
Comment pratiquer la Wicca STREGHERIA?
La Stregheria, également connue sous le nom de Stregoneria ou sorcellerie italienne, est une forme de Wicca influencée par les traditions magiques italiennes. Voici un aperçu de certaines pratiques courantes de la Stregheria, en gardant à l'esprit que les pratiques spécifiques peuvent varier selon les traditions et les praticiens individuels :
Étude des traditions :
Apprenez l'histoire et les mythes de la sorcellerie italienne.
Familiarisez-vous avec les divinités italiennes, notamment Aradia et Diana.
Rituels et célébrations :
Observez les sabbats wiccans et les phases lunaires.
Célébrez des fêtes spécifiques à la tradition italienne.
Pratiques magiques :
Utilisez des herbes et des plantes dans vos sorts et rituels.
Apprenez à travailler avec les éléments naturels.
Outils rituels :
Utilisez des outils traditionnels comme la baguette, le couteau rituel (athame), et le chaudron.
Créez ou consacrez vos propres outils magiques.
Méditation et travail énergétique :
Pratiquez la visualisation et les techniques de méditation.
Apprenez à manipuler l'énergie personnelle et environnementale.
Divination :
Explorez des méthodes de divination comme les tarots ou la lecture des runes.
Création d'un autel :
Établissez un espace sacré pour vos pratiques.
Incluez des symboles et des objets significatifs pour vous et la tradition.
Travail avec les esprits et les ancêtres :
Honorez vos ancêtres et les esprits de la nature.
Apprenez à communiquer avec le monde spirituel.
Éthique et philosophie :
Étudiez et respectez les principes éthiques de la Wicca et de la Stregheria.
Communauté et apprentissage :
Si possible, joignez-vous à un coven ou un groupe d'étude.
Lisez des ouvrages sur la Stregheria et la Wicca italienne.
Pratique personnelle :
Tenez un journal de vos expériences et apprentissages.
Développez votre propre connexion spirituelle avec la tradition.
Rappelez-vous que la spiritualité est un chemin personnel. Il est important d'adapter ces pratiques à votre propre compréhension et intuition, tout en respectant les traditions de base.
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Je ne manque de rien.
Mardi 8 Octobre Notre pain quotidien « Jésus leur dit : Moi, je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim » Jean 6.35
Après la Seconde Guerre mondiale, l'Europe dévastée comptait des milliers d’orphelins : sans-abri, affamés, malades, ils ont été nourris et soignés dans de vastes camps médicalisés. Pourtant, ils dormaient très mal : ils étaient nerveux, apeurés. Les soignants étaient désemparés, jusqu'à ce qu'un psychologue leur conseille d’agir comme suit : donner à chaque enfant un morceau de pain, tous les soirs ; non pas pour le manger, mais pour le tenir dans leur lit. Le résultat fut stupéfiant. Les enfants dormaient paisiblement, parce qu’ils savaient qu’ils n’auraient pas faim le lendemain : le fait de serrer leur pain, telle une peluche, leur donnait un sentiment de sécurité, d'importance car quelqu'un se souciait d'eux, et de bonheur car il y aurait encore du pain le lendemain. Ces trois choses étaient tout ce dont ils avaient besoin, et c’est aussi notre cas ! En ayant une relation avec Jésus, on ne manque jamais de rien. Lui-même déclare : « Moi, je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim ». Autrement dit, il est pour l’âme ce que la nourriture est pour le corps. Le pain est un aliment universel ; il existe sous toutes les formes et dans toutes les tailles : baguette française, scones britanniques, tortillas mexicaines, bagels américains, injera éthiopienne. Ainsi, par une simple déclaration, Jésus nous rappelle qu'il est notre nourriture, partout et à tout moment. Veillez donc à lire votre Bible tous les jours : c'est votre pain quotidien.
B365 — Plan de lecture Psaumes 106
Prière du jour Merci mon Dieu, car avec toi, je ne manque de rien.
The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2024 Publication Parole du jour © PHARE MEDIA 2024 PHARE MEDIA, 39-41 avenue de Colmar, 68200, Mulhouse, France
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Chapitre 06 : Achats et Baguettes - Part 2
M.Brun laissa nos deux jeunes sorciers se balader dans sa boutique afin de chercher des livres pendant qu’il allait préparer la commande des Drake. Le libraire sentit une personne partir rapidement, il ne put voir son visage en raison d’un manteau avec une capuche qui masqua sa tête. “Au revoir monsieur … merci d’être passé à la boutique… Hmm étrange …” se disait le gérant, il ne se rappela pas quand était venu cette personne dans sa boutique, il haussa les épaules avant de repondre sa préparation. Nolan avait juste aperçu la silhouette du client qui venait de partir, il avait comme une drôle d’impression mais ne sachant pas si c’était bien ou non. Il hésita à poursuivre l’étrange personne mais il vallait mieux faire profile bas et ne pas chercher d’ennuie pour l’instant. “La rose et le serpent …?” lu Nolan à haute vue le titre du livre que Helena avant dans les bras, de quoi faire sursauter sa sœur qui referma un livre vivement avec des pointes rougeurs. “Nolan !!! Tu m’as fait peur ! Tu sais très bien que je n’aime pas quand tu t’approches sans faire de bruit !” gonfla les joues mécontentes. Elle aurait voulu gronder fort son frère qui gloussa voyant sa réaction mais elle ne voulait pas attirer de nouveau les regards. “Hihihi Désolé. Tu semblais si concentré dans ta lecture que je n’osais pas t’appeler pour demander le titre du livre.” ria doucement le serpentard qui ne manqua pas de faire des gestes pour calmer l'ardeur de Hele qui serait prête à exploser si jamais il franchissait la ligne. “Tu as trouvé ce qu’il te faut ? Il ne faudrait pas trop qu’on traîne. Il y a d'autres magasins à faire avant de retrouver Sebastian.” rappela le jeune sorcier. “Hmm oui … tu as raison.” hocha la tête blonde. “Je crois bien que Mr. Brun a terminé de préparer notre commande.” ajouta la fille qui lança la marche vers le point de vente où attendait le libraire. “Alors vous avez trouvé des livres intéressants?” demanda le vendeur. “Oui.” Dit Helena avec un sourire en posant les deux livres sur le comptoir et Nolan ajouta le sien. “Bien, je suis ravie de l’apprendre.” sourit le vendeur content que les Drake n'achetait pas que seulement des manuels scolaires et des Creasorts. “La rose et le serpent de Enoimard et La chanson de la lune de Grango. Très bon choix Miss Drake. Les romans de Enoimard sont très appréciés.” sourit le M.Brun avant de regarder le livre que Nolan avait choisi. “Le petit dragon perdu de Argus Jim. Un conte pour enfants avec de jolies illustrations. - Oui, j’ai vu quelques illustrations et j’ai trouvé cela adorable donc je l’ai pris même si ce n’est plus de mon âge. Je suis curieux de connaître l’histoire. “ Le garçon n’était pas gêné d’acheter un livre pour enfant car il s'intéressait surtout aux dessins.
“Très bien, je le mets avec vos manuels et creasorts. Tout est là.”
Nolan et Helena payaient leur achat avant de remercier le gérant et partir.
“Encore merci, M. Brun !” dit les deux Drake.
___ Part 3 -> ici
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FACE au maître Trompeur
Les faussaires, les imitateurs de tableaux, les faux-monnayeurs, etc. ont un motif très lucratif d'encourir à la fois l'opposition de l'État et celle de leur propre conscience. Bien qu'ils ne paraissent pas dangereux, ils sont une menace pour la société.
Il en est de même du prince des faussaires, mais assez étrangement ce brillant imposteur semble travailler pratiquement sans opposition. Il n'y a aucune loi contre lui et personne ne dénonce ses activités. Peut-être parce qu'il prétend être un grand bienfaiteur, promettant le pouvoir, le bonheur, l'amour, la santé... à ceux qui veulent bien entrer dans son jeu.
Mais Jésus-Christ l'appelle : « le père du mensonge », ( voir Jean 8:44 ), la Bible le nomme : « le diable, Satan, celui qui séduit la terre habitée toute entière » ( voir Apocalypse 12:9 ).
Il est assez subtil pour se déguiser en « ange de lumière » ( voir 2 Corinthiens 11:14 ), entraînant avec lui sous la malédiction éternelle, ceux qui se laissent prendre par ses tromperies. Tout ce qu'il propose semble plaisant et beau mais il s'agit en fait de pièges splendidement décorés et terriblement efficaces.
SON BUT
Ce maître trompeur a une passion dévorante : substituer son influence à celle de Dieu et attirer à lui le plus grand nombre possible. Des foules répondent complaisamment à son désir. On refuse de se confier en Dieu, et l'on entre dans le jeu de celui qui est le Trompeur.
SES MÉTHODES
La prédiction de l'avenir par des voyants, cartomanciens, diseurs de bonne aventure, les horoscopes, la lecture des lignes de la main, la baguette divinatoire, le pendule sidéral, le miroir magique, la boule de cristal... Ces pratiques et bien d'autres ne sont souvent que des attrape-nigauds mais aussi le fruit de l'activité spirituelle du diable à travers ceux qui les pratiquent.
La magie blanche se présente ordinairement sous un manteau "naturel" ou "pieux", tandis que la magie noire travaille consciemment et directement avec le diable. Elle inclut le pouvoir de donner ou de guérir des maladies, le pouvoir de jeter des sorts ...
Le spiritisme, la prétendue communication avec les esprits des morts par le moyen des médiums, ( ces esprits sont des démons qui endossent la personnalité des personnes décédées et imitant leur voix ).
N'est-il pas tragique que tant de personnes bravent le juste jugement de Dieu pour quelques moments de puissance, de plaisir, de délivrance ou de soulagement trompeurs venant du diable ?
Nombreux sont les adeptes de l'occultisme qui prétendent que leur pouvoir vient de Dieu et qu'il sert à faire du bien à leur prochain ( même s'ils en retirent une très large source de profit ! ). Mais quiconque connaît le vrai Dieu, lit et obéit à Sa Parole, sait qu'il n'en est rien car Dieu n'accorde pas Sa puissance à ceux qui ne Lui appartiennent pas et qui ne gardent pas Sa Parole.
QUE DIT LA BIBLE ?
La Bible est le Livre de la Révélation divine et elle seule étant La Parole de Dieu peut parler avec autorité.
Son enseignement est très clair en ce qui concerne l'exercice des pouvoirs surnaturels ; ces pouvoirs ne sont pas niés mais l'exercice en est formellement interdit : « Qu'on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin, d'astrologue, d'augure, de magicien, d'enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts. Car quiconque fait ces choses est en abomination à l'Éternel ; et c'est à cause de ces abominations que l'Éternel, ton Dieu, va chasser ces nations devant toi. » Deutéronome 18:10-12
L'ACTIVITÉ DE SATAN
Satan et ses démons ignorent l'amour : « le diable a été meurtrier dès le commencement » ( voir Jean 8:44 ), mais « Dieu est amour » ( voir 1 Jean 4:8 ).
Dieu aime ; et Il nous a prouvé cet amour en envoyant Son Fils unique ici-bas pour mourir pour des pécheurs, ( voir Romains 5:8 ). Le Christ a prouvé Son Amour en acceptant de venir dans ce monde de péché et de rébellion contre Dieu pour offrir le salut et la guérison à une humanité malade du péché.
Satan et son armée de démons sont des experts de la déception. Que la curiosité envers leurs promesses alléchantes ne vous entraîne pas à partager leur sort ! « Ensuite il ( le Seigneur ) dira à ceux qui seront à sa gauche : Retirez-vous de moi, maudits; allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges. » Matthieu 25:41
LE CHOIX
Vous avez un choix à faire car : « Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l'un, et aimera l'autre ; ou il s'attachera à l'un, et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mamon. » Matthieu 6:24
« Choisissez aujourd'hui qui vous voulez servir » ( voir Josué 24:15 ).
Remettez votre être tout entier entre les mains du Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu qui « a été manifesté pour qu'Il détruise les œuvres du diable », ( voir 1 Jean 3:8 ).
Confessez-Lui vos péchés et Il vous pardonnera. Il fera de vous un enfant de Dieu. Alors vous jouirez aussitôt d'une vie nouvelle : la Vie Éternelle.
C'est la seule protection réelle contre le prince des faussaires, contre le maître trompeur !
Une prière pour aujourd’hui
Seigneur, afin de vaincre ce trompeur qu’est le tentateur, donne-moi par Ton Esprit Saint de marcher pleinement dans Ta Parole, que chacun de mes choix, de mes gestes et de mes paroles soient guidés par Ton Esprit. Amen
( Toutes les pensées quotidiennes sur : *viechretienne. net/pensee-du-jour* ). ☀️réduire l'espace entre le "point" et le "net"☀️ dans votre barre d’adresse.
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Achat du jour et lecture de fin de semaine: Alíen au cœur des ténèbres et 2 aventures DD5
Achat du jour et lecture de fin de semaine: Alíen au cœur des ténèbres et 2 aventures DD5 de JdR éditions écrit par l’ami Frédéric Meurin ! :O ❤ Et c’est la vraie vie… avec une future campagne d’Alien à jouer avec la Team Flan sous la baguette de Vincent Brié met des scénarios de DD5 qui m’inspirent pour d’autres JdR comme l’Ombre du Seigneur Démon ! :O ❤
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#1 ECOUTEURS EDIFIER TWS
Edifier existe depuis 1996, il est déjà bien connu dans le monde entier et possède des bureaux dans le monde entier. Il a été lancé par un groupe d'audiophiles de Pékin qui souhaitaient produire des équipements sonores de haute qualité à bas prix. Ces écouteurs sont livrés avec 8 heures de lecture, ont Bluetooth 5.0 et aptX.
#2 Baguettes Magiques
Vous avez toujours su que vous aviez un peu de magie en vous. Maintenant, il est temps de prouver à tout le monde que vous aviez raison. Achetez cet ensemble de baguettes de 11 pièces (ou achetez-les individuellement pour voir quelle baguette fait ressortir la magie en vous) et montrez à tout le monde que vous n'êtes pas fou. Chaque baguette est en métal et le design est commercialisé pour les débutants.
#3 LED NAME TAG
Plus petit que vous ne le pensez probablement - juste la taille d'une étiquette de nom ordinaire que vous verriez sur un serveur ou un employé de banque. Une chose unique, néanmoins. Programmable et personnalisable, mais seules les lettres latines sont prises en charge.
#4 STYLO SANS ENCRE
Un stylo qui ne s'épuisera pratiquement jamais. Peut-être parce qu'il n'utilise pas d'encre. Magique? Peut-être (mais surtout l'alliage utilisé dans la pointe)
Voir Aussi: 5 cadeaux de fitness pour impressionner vos amis actifs préférés
#5 GOMMES
Des gommes en forme de petits smartphones - qu'est-ce qu'il ne faut pas aimer?
#6 Organisateur de câbles
Une version améliorée des supports de câbles. Organisateur de câbles de gestion de rangements de bureau.
#7 MONTRE À AFFICHAGE MINIMALISTE
Voici une montre abordable à ajouter à votre collection. elle dispose de numérotation minimaliste unique qui ne vous montre que l'heure actuelle. C'est comme une horloge numérique mais avec un design plus élégant.
#8 ENCEINTE BLUETOOTH ÉTANCHE
Et lorsque vous êtes dans un environnement où la lecture de votre musique à haute voix n'est pas désagréable, il y a aussi ce haut-parleur Bluetooth. Nous aimons le design graffiti, mais il est également disponible en camouflage et en couleurs unies. De plus, il est résistant à l'eau, vous pouvez donc l'emporter avec vous à la plage, au lac ou à la piscine. Mais ne le mettez pas à l’eau, vous ne l’entendrez pas de toute façon.
#9 TAPIS PERSIAN MOUSEPAD
Si vous êtes déjà allé dans un appartement russe, vous avez probablement vu un de ces tapis accroché au mur. Vous pouvez imiter l'esthétique slave fine sur votre bureau d'ordinateur avec ce tapis de souris.
#10 STATION DE CHARGE USB
Ce produit est une station de charge pour vos smartphones et tablettes. Cet appareil vous aidera à garder votre téléphone en position verticale pendant la charge. Il est disponible en 5 couleurs différentes et aide à garder la surface plus organisée. Il y a des options pour iPhone, micro-USB et des prises de type C.
la suite https://www.tectuto.com/2021/12/meilleures-gadgets.html
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Élections et statues de cire
« Mes chers lecteurs, un sage m’a déjà dit un jour « Pour avoir de belles élections, il faut licher l’scrutin! ». De sages paroles que je transmets, ici aussi, pour vous. Je profiterai de la SEULE tribune qui m’est appartie, car, vous le savez, on me censure, pour vous convier à voter pour le seul parti qui pourra vous libérer du joug des mécréants, soit le Parti du Bon Pied de la Comté. Son chef, Tartine Dernier, saura nous diriger vers la victoire! Fort de son savoir magistral dans les sciences scientifiquement sciencées ainsi que dans les taux vibratoires, il saura, mes chers lecteurs. Oui, il saura. Nous Sauron! »
Bigoudi arrêta nette sa lecture du Mordor Times. Le mot « Sauron » était apparu vivement dans son esprit, comme une petite pointe d’inquiétude. Son ami Grandoulf l’avait averti qu’en lisant les journaux proches des élections, la lecture puisse avoir des effets indésirables. En effet, il s’était hasardé à lire ce journal par pure curiosité, mais, en rétrospective, se trouvait bien idiot d’avoir pu contempler cette idée. Il ne savait pas trop ce qu’il s’attendait à lire de la part de Lord Beric Des Haimes. Il avait pourtant snobbé sa chronique « censurée » dans le Hobbit Matin, l’Écho du Gondor et le Journal d’Erebor ainsi que son homologue, le Journal de la Moria.
Grandoulf et lui s’étaient arrêtés à la ville d’Andor-En-Hernie-La-Vieille, un peu au nord de Minas Truite, lors de leurs pérégrinations en Terre du Milieu. Le Gentil Baquet, l’auberge nichée sur le flan de la Montagne Blanche dans laquelle ils avaient pris une chambre, leur permettait, via un balcon, d’avoir une vue imprenable sur la Vallée du Gondor. Bigoudi observa le paysage en dégustant les petits plats de saison mitonnés par le chef cuisinier semi-homme. Il y avait :
Un dahl aux épices sur lit de riz blanc au cumin et coriandre, une soupe aux pommes de terre, kale, lentilles vertes et au lait de coco, une ratatouille aux légumes du pays, une soupe minestrone bien compacte, des burgers de porc effilochés sur lit de pommes de terre rissolées dans du gras de porc, du beurre de jambon qui fondait dans la bouche, une soupe au saumon et à l’aneth, un potage à la courge et au bacon, un bol de nouilles avec tempeh aux arachides, un petit plat de tofu assaisonné à la façon Général Kao, ce fameux général nain reconnu pour ses plats fantastiques et non son art de la guerre, le tout, suivi de baguettes à la mie moelleuse, de tranche de pain d’épeautre et de pain au levain avec des bries de la Comté, du cheddar et de l’émmental des hommes, d’une sélection de fromages bleus des nains (qui étaient délicieux, mais qui sentaient fort) ainsi que des fromages fondants elfique qui donnaient généralement plus de points d’XP à chaque bouchée. Suivait après une superbe sélection de desserts, des clafoutis aux fraises, des sorbets aux petits fruits, de la crème brûlée vanillée, un immense fondant au chocolat noir et aux framboises ainsi qu’un petit gâteau aux pêches et quelques petites prunes jaunes. Bigoudi s’était arrêté là dans sa commande, car il était au régime… Avalant sa dernière bouchée de fondant aux chocolat noir et aux framboises, il entendit des voix retentissant des ruelles au bas de la falaise. Il vit alors une procession qui lui glaça le dos. Des personnes, sur les épaules de la foule, passaient dans les ruelles. Ces personnes étaient étrangement statiques, ne bougeant pas d’un poil. Il reconnut plusieurs d’entre elles. Béline Lion, la chanteuse semi-elfe, Lominique Tichelle, la comédienne du Rohan, Tobertrand Charlevoix, Binette Leno, Banpierre Fernand et, pour finir la procession, le cuisinier Bricardo Mariné, le célèbre cuisinier de la Comté. Bigoudi s’était levé de son siège, ébahi par cette procession étrange et perturbante. Était-ce un sacrifice? Que cela voulait-il dire? Ces personnes semblaient figées… « Le Musée Gredin vient de fermer ses portes, lui dit son ami Grandoulf.
- Ah! Vous m’avez surpris. Dit Bigoudi. Mais… qu’est-ce que ces personnes font, alors?
- Elles tentent de trouver un nouvel emploi à ces statues de cire…
- Elles pourraient être utilisées pour faire… des chandelles?
- Malheureusement non, Bigoudi. Pas le même type de cire. Et brûler Bricardo, honnêtement, cela ne me sieds guère…
- Qu’arrivera-t-il à ces statues, alors?
- Certains disent qu’elles iront dans les champs pour éloigner les corbeaux, d’autres iront à l’entrée de salles à dîner prestigieuses, d’autres seront refondues afin de faire d’autres éléments décoratifs…
- C’est triste.
- En effet, Bigoudi, en effet. Bon! Il faudrait se déplacer pour aller voter, Bigoudi.
- Oui, Grandoulf, avec plaisir! »
Nos deux comparses se dégourdirent les jambes pour aller au bureau de vote du quartier, se trouvant dans un Centre Heureux de Services Locaux et Divers, un Chésseceldé, celui du Nord-Gondor, de surcroît. Grandoulf arriva le premier et fut accueilli par une préposée jeune et vive qui lui demanda s’il venait pour des soins magiques ou pour le vote. « Le vote! » lui répondit-il en fournissant sa lettre d’électeur ainsi qu’un parchemin d’identité.
Bigoudi fit de même et la préposée les mis en file. Bigoudi s’aperçu qu’ils étaient 22ème en ligne.
« Oh, Grandoulf, il semblerait que les gens veulent venir voter! C’est encourageant! Dit Bigoudi.
Oui, répondit Grandoulf. Mais ne vous leurez pas, il se peut que notre vision de la chose soit biaisée… les effectifs des élections sont réduits et il se peut que nous soyons trompés sur nos perceptions! »
Puis, retentit un bruit strident : TADROSS TADROSS!
C’était Conspiragollum qui sortait de la file.
« Taux vibratoires, bitcoin, cayococovid! TADROSS! TADROSS!
- Monsieur, on vous demande de vous calmer! Sinon, vous n’aurez pas votre petit crayon électoral gratuit!
- MON PRÉCIEUX!!! TADROSS! TADROSS!
- Monsieur, je vous le redit, là, vous vous calmez ou vous partez. Vous avez voté, là, asteure, vous partez.
- POURQUOI LE PARTI DU BON PIED N’EST PAS REPRÉSENTÉ ICI?! TADROSS! TADROSS!
- Parce qu’il n’avait pas de candidat pour le Nord-Gondor, monsieur. Calmez-vous.
- CENSURE! VIBRATION! PLANDÉMIIIIIIIIE! TADROSS! TADROSSS!!!
- Bon, ça suffit, asteure, cria la préposée. J’suis pas assez payée pour ça, monsieur, là, tu décolles.
Elle poussa alors Conspiragollum hors des isoloirs et en direction de la sortie.
« Mon crayooooon! DICTATUUUUURE!
- Si vous agissez en bébé, on va vous traitez en bébé. Pas d’bonne attitude, pas de ptit crayon! »
Puis elle le poussa à l’extérieur et ferma la porte sous les colibets de Conspiragollum.
« Ouf, se dit Bigoudi. Une chance qu’il est sorti de l’autre côté! J’ai eu peur!
- Oui, dit sombrement Grandoulf… mais ce Parti du Bon Pied de la Comté n’augure rien de bon… ça et le Parti Conversateur du Mordor non plus… eh bien… telle est la roulette russe des élections en Terre du Milieu, je le crains.
- Oui, réfléchit Bigoudi… mais… je pense que tout finira par rentrer dans l’ordre. Comme le dit le dicton, « Là où nous devenons orignal, nous irons tous ». Avant de mettre ses mains à son front en signe de panache. Suivi par Grandoulf qui l’imita.
Une brise se leva. Certains dirent que c’était un coup de l’aération, mais Bigoudi jura que c’était un vent d’Espoir qui souffla dans le Chésseceldé du Nord-Gondor.
Fin du chapitre
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Cet ETRE qui subsiste après toute chose et qui enveloppe toute chose, que Spinoza appelle SUBSTANCE, c’est DIEU. DIEU, c’est ETRE, ni plus ni moins. Il faudra garder ça à l’esprit absolument tout le temps de la lecture. Dieu c’est ETRE dans sa définition statique, c’est une essence éternelle, et dynamique, c’est une puissance vivante. Et moi je comprends tout à fait ça. Comme Spinoza, je n’aime pas qu’on me raconte des histoires. Il est hors de question pour moi de concevoir Dieu comme une personne, une personne qui ressemblerait à un être humain en plus. Que ce soit un père bienveillant ou un vieillard progéniteur, un potier, un général sanguinaire. Il est hors de question aussi de croire qu’il a créé le monde d’un coup de baguette magique et puis ensuite, il reste en dehors et intervient seulement de temps en temps pour créer des miracles ou des cataclysmes. DIEU, c’est ETRE, l’existence en elle-même. L’existence dont sont faits les êtres. L’existence qui est faite des êtres.
Que ETRE=SUBSTANCE=DIEU, cela entraîne un certain nombre de conséquences. Des conséquences à tomber d’amour et d’évanouissement. Je te préviens, accroche ton petit cœur.
1e conséquence : IL N’Y A QU’UN SEUL ETRE
S’il y avait autre chose qui existe hors de l’ETRE, ce serait donc encore quelque chose qui existe : ce serait donc encore de l’ETRE, c’est-à-dire lui-même.
2e conséquence : ETRE EST INFINI
ETRE n’est pas limité par un autre ETRE. Cet autre ETRE lui appartiendrait encore. Ou plutôt ce serait encore lui-même. Même si ETRE était limité par du RIEN, ce RIEN devrait exister pour le limiter, et ce serait encore de l’ETRE.
3e conséquence : ETRE EST SA PROPRE CAUSE / ETRE EST CAUSE DE SOI
C’est-à-dire qu’il n’a pas d’autre cause que lui-même. Si l’ETRE était causé par autre chose, cette autre chose existerait, et ce serait encore de l’ETRE, c’est-à-dire que ce serait encore lui-même.
4e conséquence : ETRE EST SA PROPRE ESSENCE
On a vu, quand on posait la question qu’est-ce qu’un pissenlit ?, qu’on répondait c’est une plante, c’est-à-dire qu’on répondait par autre chose. Par contre si on pose la question qu’est-ce que c’est ETRE, on ne peut pas répondre par autre chose que : c’est ETRE. Si on répondait par autre chose, cette autre chose existerait encore, et ce serait encore ETRE. Spinoza dit : L’ETRE EST CONÇU PAR SOI. C’est-à-dire qu’on l’explique par lui-même.
5e conséquence : ETRE EST ETERNEL
On a déjà dit : ETRE est infini dans le Temps. Mais infini dans le Temps ça n’est pas la même chose qu’éternel pour Spinoza. Etre infini dans le Temps c’est ne pas être limité par une autre durée. Tandis qu’être éternel c’est être HORS de toute durée. Comme l’essence du pissenlit. On l’a vu à propos du pissenlit qui, même mort, reste un pissenlit : les essences sont éternelles. C’est-à-dire qu’en imaginant que l’ETRE n’existe plus, ce serait toujours de l’ETRE… donc quelque chose qui existe.
Je vais devoir quitter les hauteurs de l’ETRE (on y reviendra souvent, promis) pour mettre la main dans de la mécanique un peu ratiocinante qui je l’espère, te plaira quand même. Je tâcherai d’être le plus clair possible. Pas le choix. Chez Spinoza, pour que ce soit beau, il faut comprendre et c’est même comprendre qui est beau. Comme pour un roman d’Agatha Christie. Je dois faire un énorme détour par Aristote, Descartes et Saint Augustin. C’est pour t’expliquer la 6e conséquence (je te préviens elle ne fait pas plaisir) : SEUL DIEU EST LIBRE.
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Reconnaissance : la baguette de pain française est inscrite au patrimoine immatériel de l'humanité par l'UNESCO.
See on Scoop.it - JamesO
Boulangers & Boulangeries : les savoir-faire artisanaux et la culture de la baguette ont été distingués, le mercredi 30/11/22, par l'UNESCO (Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture), qui honore avant tout des traditions à sauvegarder plus que les produits eux-mêmes.
JamesO's insight:
Via l’agence JamesO Média❗️N.D.L.R. : article de presse (temps de lecture : 1 minute) publié par Franceinfo (France Télévisions) avec l’AFP (Agence France-Presse) le mercredi 30/11/22.
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Nouveau format
Bonjour à tous !
En ce moment, je vous avoue qu’entre le travail, le COVID, la vie qu’on n’a pas et tout ça, j’ai un peu du mal à trouver le temps de proposer un livre par mois pour le club de lecture.
Et ça m’embête, parce que ce club, je l’aime beaucoup !
Alors du coup, j’ai décidé de changer le format et de proposer de lire un livre par trimestre (tous les 3 mois) donc 4 livres dans l’année.
Comme ça, ça nous permet de prendre plus de temps pour lire et apprécier l’ouvrage, surtout que parfois, on n’avait pas le temps et on ratait le mois ! Et puis si vous avez à l’acheter ou l’emprunter, ça vous laisse plus de temps pour vous le procurer et le lire et plus de temps pour le digérer et en discuter !
A très vite,
Wolfie.
#club de lecture#Lectures de Baguettes#lecturesdebaguettes#upthebouquin#upthebaguette#whatthefrance#french stuff#french books#french side of tumblr#french book club#booklr
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Liste de lecture
Hello hello !
Vu qu’on parle pas mal de lectures ici en ce moment, et qu’en plus on entre dans la période sombre (ce qui signifie livre / plaid / chocolat chaud / cheminée héhé), je me suis dit que j’allais vous faire une petite liste des séries fantastiques / urban fantaisy / young adult / bitlit que j’ai préférées jusqu’à présent.
🇫🇷 : auteur / autrice français.e
🌟 : série que j’ai déjà relue (sachez que c’est très rare que je relise un livre, c’est presque un gage de qualité)
N’hésitez pas à rajouter les vôtres ! 😉
🌟 Kate Daniels, Ilona Andrews
Dynasties, Ilona Andrews
🌟 Mercy Thompson, Patricia Briggs
Hurog, Patricia Briggs
Sianim, Patricia Briggs
Ivy Wilde, Helen Harper
Mona Harker, Charlotte Munich 🇫🇷
Vegas Paranormal / club 66, C. C. Mahon 🇫🇷
🌟 Mathilda Shade, Liz E. Myers 🇫🇷
🌟 L’Exécutrice, Jennifer Estep
Elisa Knox, Fleur Hana 🇫🇷 (seulement 1 tome pour l’instant)
Meg Corbyn, Ann Bishop
Melena Sanders, Susan Illene
🌟 Cavalier Vert, Kristen Britain (merci @mamzel-lou !)
🌟 Kushiel, et la suite Imriel de Jacqueline Carey (encore merci @mamzel-lou, ma dealeuse d’ebook préférée)
Amber Farrell, Mark Henwick
La fille des clans, Michel Robert 🇫🇷
Ryvenn, Jupiter Phaeton 🇫🇷
Archibald Skye, Jupiter Phaeton 🇫🇷
Kacy Matthews, Jupiter Phaeton 🇫🇷
Akalie, Jupiter Phaeton 🇫🇷
Rebecca Kean, Cassandra O'Donnell 🇫🇷
Charley Davidson, Darynda Jones
Siobhan, Fille d’Odin, Angélique Malakh 🇫🇷
Chastity Houston, Chris Mallory 🇫🇷
Kara Gillian, Diana Rowland
🌟 A la croisée des mondes, Philip Pullman
🌟 La Quête d’Ewilan suivi de Les Mondes d’Ewilan, Pierre Bottero 🇫🇷
Animae, Roxane Dambre 🇫🇷
Scorpi, Roxane Dambre 🇫🇷
Anita Blake, Laurell K. Hamilton ( ⚠️ Bitlit +++++++)
Chroniques des Temps Obscurs, Michelle Paver 🇫🇷
L’assassin royal, Robbin Hob (5 cycles)
Covenant, Jennifer L. Armentrout
Lux, Jennifer L. Armentrout
🌟 Les étoiles de Noss Head, Sophie Jomain 🇫🇷
🌟 Felicity Atcock, Sophie Jomain 🇫🇷
Georgina Kincaid, Richelle Mead
🌟 Immortels, Cate Tiernan
🌟 Le livre perdu des sortilèges, Deborah Harkness
La Magie d’Avalon, Sg Horizons 🇫🇷
🌟 La passe-miroir, Christelle Dabos 🇫🇷
Le protectorat de l’ombrelle, Gail Carriger
🌟 La trilogie de Bartimeus, Jonathan Stroud
#upthebaguette#up the baguette#lecture#french side of tumblr#french side#liste de lecture#PAL#bibliothèque
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"La baguette choisit le magicien, monsieur Potter. Ce n'est pas toujours clair, parfois. Mais je ... pense qu'il est clair que nous pouvons nous attendre à de bonnes choses."
#Harry Potter#Harry Potter à l'école des sorciers#tome 1#lecture#lire#enfants#adultes#livres#s'évader#citations#citations magiques#baguette magique
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Quand La Terre Frissonne 19/08/202
La terre frissonne quand les projets du Seigneur se réalisent. Jérémie 51.29
Dans ce concert de musique expérimentale, un seul musicien, le… batteur ! Il commence avec une petite baguette à laquelle s’ajoute une seconde, et ça continue crescendo. L’artiste arrive peu à peu à faire surgir de l’instrument des cris stridents, des gémissements, une tempête ! En fait, c’est par tout son corps que le musicien exprime la souffrance du genre humain.
On est le 11 septembre 2021, 20 ans après la tragédie de New York, et là, ce concert prend tout son sens. Il y a des choses indicibles que l’art arrive à dépeindre. Ainsi, dans le livre poétique des Psaumes, les souffrances sont exprimées en mots que nous pouvons appliquer à notre situation actuelle. Jusqu’à notre millénaire, que de beaux hymnes chrétiens qui chantent l’espérance au travers des larmes !
Par l’expression écrite, musicale, picturale ou théâtrale, l’art prend le pouls du monde.
Mais la Bible seule nous révèle aussi la face cachée de l’origine de nos détresses : nous sommes pécheurs et nous avons besoin d’être réconciliés avec notre Créateur. Et notre besoin profond est de découvrir celui qui a pleuré et frissonné devant la mort de son ami Lazare1. Mais il a vaincu triomphalement pour nous le péché et la mort sur la croix à Golgotha !
Venez à lui, le Messie de l’humanité, pour qu’il soit votre Messie, votre espérance !
Francis Schneider
1 Jean 11.33-35
__________________ Lecture proposée : Psaume 75.
Le jugement divin
1 Au maître chantre. Ne détruis pas. Psaume d’Asaph. Cantique. 2 Nous te louons, ô Dieu, nous te louons, Et ceux qui invoquent ton nom publient tes merveilles. 3 Au temps que j’ai fixé, Je juge avec droiture. 4 Si la terre chancelle avec tous ceux qui l’habitent, Moi, j’affermis ses colonnes. (Jeu d’instruments). 5 Je dis aux orgueilleux : Ne faites pas les orgueilleux ! Et aux méchants : N’élevez pas la corne ! 6 N’élevez pas votre corne contre la Hauteur, Ne parlez pas avec arrogance contre le Rocher ! 7 Car cela ne vient ni de l’orient, ni de l’occident, Ni du désert montagneux … 8 Non, c’est Dieu qui juge. Il abaisse l’un, il élève l’autre. 9 Car il y a dans la main de l’Éternel une coupe Où écume un vin plein de mélange, Et il en verse ; oui, ils suceront, ils boiront sa lie, Tous les méchants de la terre. 10 Et moi, je le publierai à toujours, Je chanterai au Dieu de Jacob, 11 Et j’abattrai toutes les cornes des méchants. Haut élevées seront les cornes des justes !
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Chapitre 06 : Achats et Baguettes - Part 1
Une fois dans la librairie, Helena avait du mal à contenir sa joie pour les livres, la fille était une passionnée de lecture. Depuis qu’ils étaient petits, la famille avait pour habitude de raconter des histoires avant de dormir dont certaines histoires et légendes liées aux dragons de quoi stimuler l’imaginaire des enfants. Nolan était plus en quête d’aventures et recherches, quant à Helena, elle était plus passionnée par des romances et roman d’aventure. La fratrie fut très vite remarquée par le gérant de librairie en voyant les deux nouveaux visages dont la description correspondait à beaucoup de conversations des étudiants de Poudlard. “Bienvenue à Tomes and Scrolls. Je suis Thomas Brun, le propriétaire de la boutique. Je présume que vous êtes les deux nouveaux dont j’ai eu écho mais passons ce détail,” se présenta rapidement l’afro-britannique avec un sourire sympathique et d’un geste de main il fit signe qu’il se fichait des rumeurs autour des jeunes nouveaux même si sa curiosité le démangeait. Il voulait surtout ne pas mettre mal à l’aise ces nouveaux clients, il avait l'œil pour voir que la fille aimait les livres et sa principale préoccupation était d’aider à trouver les livres qui feront le bonheur de sa clientèle. “Bien, dites-moi si je peux vous aider ou vous conseiller. “ proposa Thomas. “Bonjour M. Brun. Ravie de vous rencontrer. C’est avec plaisir que nous aimerions votre aide.” sourit-il avec joie au propriétaire, Nolan ne semblait pas gêné par le fait que beaucoup de gens savaient qui ils étaient. Au moins, il n’avait pas la pression de se présenter. Tout le village devait être déjà au courant à propos d’eux en raison qu’à l’école tout le monde ne parlait d'eux que par rapport à sa famille et des dragons mais aussi à l’attaque du dragon. Ce qui était un comble pour les Drakes dont les rumeurs parlaient du fait qu’ils pouvaient dompter ces créatures de feu et même les soumettre. Le serpentard et la fille serdaigle espéraient qu’ils seront très vite oubliés et que les conversations se concentreront sur d’autres sujets. “Oui, ils nous manquent certains manuels et Creasorts. Les auriez-vous ? Pour ma soeur et moi, je vous prie ” Le garçon serpentard donna la liste au gérant afin de pouvoir évaluer si la demande était disponible. “Oh, je vois. Eh bien, vous avez de la chance, j’ai ce qu’il faut pour vous deux. Je prépare ça tout de suite ! Sinon avez vous besoin d’autre chose ?” demanda le libraire en fixant la fille dont il se doutait qu’elle cherchait des livres à lire en dehors des manuels scolaires. “Eh bien … Auriez-vous … des livres moldus ? Je veux dire des romans moldus ou non…” demanda timidement la sorcière qui avait peur de la réaction du sorcier car sa famille l’avait mit en garde qu’une partie des sorciers n’aimaient pas les moldus. Heureusement que le gérant n’était pas du genre à rejeter le monde non magique. Parmi sa clientèle, il y avait des sorciers qui sont issus de parents non-magique; de ce fait il avait en magasin quelques livres issus ou liés au monde moldu. “Oui, j’en possède quelques-uns. Ils sont de côté mais malheureusement le rayon est petit donc j’espère que vous trouverez votre bonheur.” indiqua le vendeur à la fille serdaigle les rayons de livres avant de se tourner vers Nolan. “Et toi mon garçon ? Tu aimes quel genre de livre ? - J’aime bien les livres d’aventures mais aussi les légendes. Vous auriez des livres sur les dragons ?” répondit le serpentard avec un petit air de réflexion. La réponse du jeune sorcier avait de quoi étonner le libraire, lui qui pensait que la famille Drake possédait déjà tous les livres concernant les dragons dont certains avaient une très grande valeur. Beaucoup donnerait n’importe quoi pour lire les précieux livres qu’ils gardaient. Thomas aimait beaucoup trop la vie pour s’aventurer chez les Drakes face à des Dragons gardiens. “De ce côtés là mon garçon.” tout comme à sa sœur le libraire indiqua les rayons où le jeune homme devait chercher.
___ Part 2 -> ici
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