#Anné Sorti
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hopefully the first of many!
I have extremely vivid daydreams. when I listen to music, it’s like watching a movie. so I thought I’d start sketching out single frames from those little movies, to motivate myself to work on my fucking ocs more.
funnily enough, neither of the two characters here are celtic. there ARE celtic women in the daydream but they appear like two seconds after this bit 😭 anné sorti is built on existing cultures/religions/countries, so on the left we have ukraine, and on the right russia (or poland, I’ll have to double check?). I came up with a cute little idea to hide the flags of the countries these characters are inspired from in their coloring.
these character designs (and you can assume most others in this series) are extremely rough and are always subject to change.
I will make multiple pieces for one song, so we aren’t ending here :)
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Kaddish pour un amour, Karine Tuil
#il est sorti cette année#je suis moi-même étonnée de posséder un livre aussi récent#littérature#livre#jewish tag
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I'm going to Give The Fuck Up
#okay i'm writing the rest in french 1) for spyld purposes because it's 1am but still#and 2) so i can pull that post out next time i'm seeing a therapist and maybe they'll take me seriously#donc je suis cens��e avoir fait un essai et une présentation pour demain (enfin. dans genre 8h)#et j'ai un autre exposé pour vendredi#j'ai rien commencé j'y arrive pas je peux pas#je suis au bout du bout j'arrive pas à me forcer à le faire je peux pas#c'est comme si ça faisait 4 ans que je courrais et qu'on me demandait de faire un sprint final#genre j'ai encore de l'énergie. mais bien sûr. je suis encore debout et c'est un miracle mais oui grave je vais sprinter#je vais aller en cours demain je vais dire au prof que je peux pas et que j'ai pleuré dessus plusieurs fois (ce qui est vrai)#et lui demander ce que je peux faire parce que là c'est pas possible#et on va voir!#je suis au bout de ma vie je n'en peux plus#plus le temps passe plus je me dis que ça vaudrait le coup d'abandonner et de rater mon année juste pour que ça s'arrête#ça fait des ANNÉES qu'à chaque période d'exam j'ai l'impression d'être un tout petit animal#qui s'est replié dans un coin de la pièce parce qu'un prédateur se rapproche#je suis dos au mur y a nulle part où aller et la menace se rapproche encore et encore et je peux rien faire#et je suis hors de moi tellement j'ai peur et je suis stressée#des mois et des mois que j'ai cette image de moi en toute petite souris qui gratte frénétiquement le mur derrière elle#parce que je peux pas aller devant moi. c'est là qu'y a le prédateur et je peux pas! je peux pas!!!#je peux pas fuir par là mais c'est la seule sortie et je vais pas y arriver et il faut que je parte il faut que je m'en sorte#si je reste là je vais mourir mais y a nulle part où aller et je suis pas en état de prendre une seule décision logique#je suis juste en train de paniquer et je peux rien y faire et il faut que je sois ailleurs où que ce soit mais pas ici pas ici pas ici#et toutes les fois où j'ai réussi à me mettre aux devoirs j'ai réussi à esquiver les conséquences mais pour combien de temps?#j'ai une semaine de répit. deux peut-être. et des fois ils faut que je le refasse immédiatement après et j'ai plus ce qu'il faut#si j'arrivais pas à me détacher de ça je serais paralysée toute la journée et je pleurerais au moins deux fois par jour#je mangerais pas je boirais pas je me doucherais certainement pas je parlerais à personne et je ferais absolument rien#rien qui me fait plaisir rien qu'y faut que je fasse rien rien rien. je serais figée tellement je suis stressée#du coup j'ignore et on dirait plus ou moins que ça va de l'extérieur mais je fais des crises de nerfs toutes les semaines#wow i have a ramble tag now
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L'un des charmes de la gr, c'est que tu passes en quelques minutes d'une routine toute mignonne sur Alice au Pays de Merveilles à une routine sur Psycho Suite qui relate une scène de crime.
#gloobalement c'est plus varié que le patinage#on est sorti depuis quelques années de l'hégémonie des programmes lyriques je trouve#je détaillerai plus tard
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putain mais arrêtez de spoil :( ouing
#comment ça se fait que je peux regarder une série qui date des années 60 en réussissant à ne pas me faire spoil#mais les gens de fandom avec du contenu qui sort encore ont toujours 0 race#succession jpensais c'était les pires mais dw là ça commence à grave me souler auuugh#heureusement que ça sort un ep à la fois parce qu'une saison entière ça aurait été comme ST où ça spoil le final 9h après la sortie#aka quand les gens qui ont pas autres choses à faire et du temps pour regarder tout d'un coup ait le temps de finir#bref ronchon comme d'hab + faut que j'aille aider l'assos bientôt donc j'pourrais pas aller regarder l'ep avant ce soir augh
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Icône du cinéma français, Alain Delon s’est éteint ce dimanche 18 août, à 88 ans. De sa révélation sur le grand écran au début des années 1960 à son César du meilleur acteur, retour sur sa carrière en sept films emblématiques qui ont campé son style.
Il était l’un des acteurs qui a enregistré le plus d’entrées en France, totalisant plus de 136 millions de spectateurs avec l’ensemble des films qui l’ont mis en scène. Alain Delon est mort ce dimanche 18 août 2024, à l’âge de 88 ans, ont annoncé ses enfants. La star du grand écran a marqué le cinéma français de son empreinte avec 90 longs-métrages, qui ont façonné sa réputation de légende et son style caractéristique. En voici sept particulièrement marquants.
« Christine » (1958) : sa rencontre avec Romy Schneider Alain Delon n’a que 23 ans et a fait ses premiers pas au cinéma un an plus tôt, dans Quand la femme s’en mêle d’Yves Allégret, lorsque l’actrice allemande Romy Schneider le choisit sur photo pour tourner avec elle dans Christine, de Pierre-Gaspard Huit. Il y incarne le lieutenant Franz Lobheiner, amant d’une riche baronne autrichienne dont il veut rompre, qui tombe follement amoureux de la charmante Christine Weiring, jouée par la jeune star du cinéma qui n’a alors que 20 ans. La première rencontre entre les deux acteurs, à la descente de l’avion, deux mois plus tôt, n’était pourtant pas des plus concluantes. La barrière de la langue les sépare et le duo ne s’entend absolument pas. Ils finiront pourtant par tomber amoureux et former un couple connu comme « les plus beaux fiancés d’Europe ».
« Plein soleil » (1960) : la révélation d’un « jeune premier » Deux ans plus tard, Alain Delon est choisi par le réalisateur René Clément pour jouer dans une adaptation du roman Monsieur Ripley, de Patricia Highsmith. Alors qu’il devait jouer le deuxième rôle masculin, il parvient à convaincre l’équipe de réalisation qu’il serait plus adapté dans le costume du personnage principal, Tom Ripley, qui colle plus à son caractère un peu « voyou ». Avec ce rôle, Alain Delon se révèle sur le grand écran et pose les jalons de ce qui deviendra son style, charismatique et un peu rebelle. « Personne ne savait qui j’étais. Le film qui a fait le tour du monde, a été la base de ma carrière », avait d’ailleurs reconnu l’acteur.
« Le Guépard » (1963) : la palme d’or à Cannes Alain Delon y incarne Tancrède Falconeri, le neveu du prince Fabrice de Salina (Burt Lancaster) qui se lie d’amour avec une bourgeoise, Angelica Sedara (Claudia Cardinale), dans une Italie du milieu du XIXe siècle marquée par le déclin de l’aristocratie traditionnelle. Adapté du roman éponyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, cette fresque obtient la Palme d’or au Festival de Cannes en 1963 et devient un succès commercial et critique dès sa sortie. Alain Delon, au sommet de son élégance (moustache fine et raie sur le côté), y est l’incarnation de la noblesse. Le couple qu’il forme avec Claudia Cardinale entre dans l’histoire du cinéma. Le film comporte notamment une scène de bal devenue iconique, qui marque la victoire de la bourgeoisie sur la noblesse et où les trajectoires du trio principal trouvent leur aboutissement.
« Le Samouraï » (1967) : la consécration du « genre » Delon Cette première collaboration avec Jean-Pierre Melville donne l’un des chefs-d’œuvre de la filmographie de Delon, qui incarne le tueur solitaire Jef Costello. Fantomatique, inexpressif (son personnage n’a quasiment aucune réplique), obsédé par la maîtrise, avec son regard bleu froid, son imper et son chapeau : ce personnage est à la base du mythe Delon. L’esthétique de ce polar glacial influencera nombre d’autres cinéastes, dont John Woo ou Quentin Tarantino. La collaboration Delon-Melville accouchera d’un autre chef-d’œuvre, Le Cercle rouge (1970, avec Bourvil), avant Un flic (1972).
« La Piscine » (1969) : les retrouvailles avec Romy Schneider Mi-drame, mi-polar, ce film de Jacques Deray marque les retrouvailles entre Alain Delon et Romy Schneider, avec qui il a formé un couple mythique du cinéma français. Il n’y aura pas de retour de flamme entre eux mais la carrière de l’actrice allemande, alors en demi-teinte, redécolle. Plus de 3 millions de spectateurs plongent dans la piscine au-dessus de Saint-Tropez, fréquentée par le couple mais aussi par Maurice Ronet et Jane Birkin. Delon dira plus tard : « Ce film, je ne peux plus le regarder. Trop douloureux de revoir Romy et Maurice (morts en 1982 et 1983, N.D.L.R) rire aux éclats. »
« Borsalino » (1970) : son duo iconique avec Belmondo C’est encore grâce à Jacques Deray qu’Alain Delon connaît un vrai succès populaire avec Borsalino, où il forme un tandem iconique avec Jean-Paul Belmondo. Le film, histoire de deux jeunes voyous qui tentent de devenir les caïds de la pègre marseillaise, marque le point d’orgue du duo entre Delon et son rival, mais aussi ami. « Heureusement qu’il était là. Ni l’un ni l’autre n’aurait fait la même carrière sans l’autre. Il y avait une compétition mais aussi une sorte de stimulation entre nous. Ça m’aurait vraiment emmerdé qu’il ne soit pas là. Qu’est-ce que j’aurais foutu sans lui pendant cinquante ans ? » Le succès est au rendez-vous : le long métrage enregistre plus de 4,7 millions d’entrées et une suite, Borsalino and Co, sort au cinéma quatre ans plus tard.
« Notre histoire » (1984) : son seul César du meilleur acteur Malgré son immense carrière, Alain Delon n’a décroché qu’une seule fois le César du meilleur acteur obtenu en 1985 pour son rôle dans Notre histoire, de Bertrand Blier, sorti l’année précédente. Cette comédie dramatique, parfois absurde, parle de solitude et d’amour, autour de la rencontre dans un train, entre Robert, la quarantaine fatiguée, et une jeune femme désabusée, incarnée par Nathalie Baye. Le public ne suivra pas, mais la critique a majoritairement aimé ce film dans lequel Delon a pris des risques pour camper un personnage fragile, un ivrogne, bien loin de celui qu’il interprétait dans le Samouraï.
Alain Delon, qui avait commencé sa carrière à la fin des années 1950, était l’un des derniers monstres sacrés du cinéma français.
Né le 8 novembre 1935 à Sceaux (Hauts-de-Seine), Alain Delon fait ses débuts sur le grand écran à la fin des années 1950, dans Quand la femme s’en mêle, d’Yves Allégret.
Ces premiers pas au cinéma, il les doit à un « scout » qui les repère, lui et son charisme, lors d’un casting sauvage réalisé en marge du Festival de Cannes, à une époque où le jeune Alain Delon enchaîne les petits boulots. Quelques mois plus tôt, il était revenu d’Indochine, où il a servi dans la Marine, avant d’être renvoyé pour avoir, selon la légende, « emprunté » une jeep pour aller faire la fête. Un beau gosse un rien rebelle. Tout Delon est là, déjà.
Ce personnage de voyou magnifique, auquel sa nature semble le prédestiner, Alain Delon va l’étrenner, le perfectionner durant une bonne partie de sa carrière.
Très rapidement, on le verra ainsi incarner un tueur à gages dans Le Samouraï (1967), dans l’une de ses nombreuses collaborations avec Jean-Pierre Melville. Puis, dans Borsalino (1970), où il partage l’affiche avec son meilleur ennemi, Jean-Paul Belmondo, il prend les traits d’un éminent membre de la pègre marseillaise.
Toujours en 1970, dans Le Cercle rouge, il joue un autre bandit de classe, traqué par un Bourvil à contre-emploi. Mais, plus tard, les Français le verront passer de l’autre côté de l’insigne, dans Parole de flic ou Pour la peau d’un flic, film qu’il produira, comme une trentaine d’autres.
La rubrique des faits divers, celui qui ne cachera jamais ses attaches à droite la côtoiera également dans le civil. À la fin des années 1960, alors qu’il est au faîte de sa gloire, il sera ainsi entendu dans le cadre de la médiatique affaire Markovic, du nom de son ancien homme à tout faire yougoslave, retrouvé assassiné. La procédure, dans laquelle un ami d’Alain Delon, François Marcantoni, était le principal suspect, avait débouché sur un non-lieu pour preuves insuffisantes. Elle aura néanmoins perturbé le tournage du Clan des Siciliens, dans lequel il partage l’affiche Jean Gabin et Lino Ventura. Rien que ça.
Puis, au tournant des années 2023 et 2024, il sera l’objet d’une brouille entre ses enfants, Anouckha, Alain-Fabien et Anthony, sur fond d’héritage et de présence d’une « dame de compagnie », Hiromi Rollin. La découverte, quelques semaines plus tard, des dizaines d’armes que possède l’acteur dans sa résidence de Douchy (Loiret), finira d’alimenter une chronique qui aura quelque peu terni l’image de l’acteur.
Mais, entre-temps, Alain Delon aura peaufiné son autre facette, celle du séducteur à la gueule d’ange. Celle-ci crève l’écran dès 1960, dans Plein Soleil de René Clément et dans Rocco et ses frères, où Delon donne la réplique à Claudia Cardinale, sous les ordres de l’un de ses mentors, Luchino Visconti.
Ce séducteur patenté, les spectateurs le retrouveront régulièrement par la suite. Dans Le Guépard (1963), film-fleuve issu de l’œuvre de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, par exemple. Mais aussi, et peut-être surtout, dans La Piscine (1970), film sensuel dans lequel Delon donne la réplique à Romy Schneider, son ex-compagne.
Plus que ceux qu’il forma avec Nathalie Delon, Mireille Darc ou, un temps, avec Dalida, le couple mythique qu’Alain Delon forma avec l’interprète de Sissi, contribuera à le faire entrer dans la légende du cinéma français, celle à laquelle, diront ses détracteurs, il était si conscient d’appartenir. Difficile toutefois, en regardant dans le rétroviseur, de le contredire sur ce point.
Daily inspiration. Discover more photos at Just for Books…?
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Aucune utilité à ce billet, si ce n'est me souvenir de ces détails qui concernent la maison et le jardin. L'année dernière on avait fait construire un poêle de masse dans la maison et on se préparait donc à passer l'hiver à se chauffer exclusivement au bois, et pour stocker tout ce bois, on avait construit un abri, et on s'est rendus compte qu'avec des bonnes mesures, des bons outils et une bonne technique, ce n'est pas si difficile de faire quelque chose qui est fonctionnel. Du coup j'ai ensuite construit moi-même un autre abri, plus long et plus large, pour ranger encore plus de bois. Alors c'est rien grand chose hein, des piquets à la verticale, ceux de l'avant plus haut que ceux de l'arrière, des tasseaux à l'horizontale pour renforcer l'ensemble et servir de support au toit en tôle ondulée. C'est pas très compliqué, le plus difficile est d'être de niveau et d'équerre.
Sur le même principe, l'homme a construit un car-port devant l'abri de jardin pour être au sec qd il travaille sur sa vieille voiture. Et il veut y couler une chape de béton avant l'hiver. Il faut creuser sur 30 cm, sur 18m², ça fait un tas de terre monumental et on va louer un conteneur pour évacuer toute cette terre. Puis après il faudra le bon mélange dans la bétonneuse, les brouettes, tout ça tout ça.
Moi j'ai eu envie d'un petit projet rapide donc j'ai récupéré les planches sur lesquelles il garait sa voiture et j'en ai fait une terrasse. Ce sont des planches de récup, qui servaient à faire refroidir les briques à la sortie des fours. J'ai passé une partie de la journée de samedi à me trimballer la remorque pour ramener le matériel, et puis j'ai trouvé que ce serait mieux avec trois plaques de plus. Deux heures de route plus tard je déplaçais ces plaques dans le jardin. 60 kg chacune. J'ai le dos en lambeaux.
Puis samedi soir j'ai démarré l'encadrement, j'ai continué dimanche matin, puis j'ai eu mes cinq heures de volontariat obligatoire (une ASBL que je devais représenter en faisant la vaisselle dans un festival gastronomique pour avoir des subsides) et dimanche soir j'ai continué de terminer l'encadrement. L'homme m'a juste donné un coup de main pour mettre les plaques sur les tasseaux parce que c'est lourd, mais quand c'est à plat et qu'il faut les placer précisément c'est encore plus lourd. Du coup voilà on a une terrasse. Je vais faire des bacs en palettes pour mes herbes aromatiques, trouver des petites lampes solaires et quelques gros pots colorés pour décorer, et je pense que je vais récupérer des structures de vieilles tables pliantes de bistrot, enlever la rouille et customiser. Il faut encore poncer un peu les planches et protéger de l'humidité, même si elles sont déjà traitées. J'espère qu'on aura un été indien pour prendre le petit dej sur la terrasse déjà cette année.
Le reste du jardin n'est plus une scierie ni un garage ni une friche, il reste encore beaucoup de boulot mais ça avance.
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saga: Soumission & Domination 327
Sosthène
Le second Escort de diversification est d'origine martiniquaise. Né à Fort de France en 2006, il est arrivé en France tout petit et n'a pas l'accent chantant de là-bas. Il est déjà en 2ème année d'études de lettres (doué le petit) et pratique la course à pied. Famille de fonctionnaire (parents professeurs, lui de français, elle des écoles), il est le second d'une famille de 4 enfants (soeur 20ans, lui 18 ans, frère 17ans, soeur 11 ans). Le rapport me souligne qu'il est homo outé dans sa famille et parmi ses amis. Sans petit copain actuellement, il change souvent de partenaires sans non plus en consommer 20 par mois ! Il utilise plus facilement internet que les lieux de drague, même s'il lui arrive de sortir dans certains bars gays.
Le portrait me va. Je compte y aller direct avec lui. Premièrement je ne cours pas le marathon même si j'ai bien récupéré de mon accident et deuxièmement je me fatigue à chercher des approches discrètes.
Muni de son dossier, je me pointe à la sortie de sa fac un soir de semaine. Je l'aborde et direct je lui montre mon dossier. De voir son nom sur un carton l'intrigue. Je lui dis que j'ai sa vie dedans et que j'aimerai lui proposer un travail en relation avec ses capacités. J'ajoute pour qu'il ne se méprenne pas qu'il ferait un escort superbe. Je n'ai plus qu'à attendre sa réaction.
Elle ne tarde pas. Après m'avoir scruté bien 5 mn, il me dit qu'on peut aller boire un verre et que c'est moi qui paye. Ça me va.
Même s'il y a toujours un café à côté de l'entrée des facs, il me demande d'aller plus loin, il y connaitra moins de monde susceptible de troubler notre conversation. Dixit Sosthène dans le texte !
Quand on arrive devant ma voiture, il me demande si c'est celle de mon père. Je ne réponds pas et lui dis de monter. Il hésite mais accepte quand je dis qu'il y aura plein de monde pour décrire la caisse dans laquelle il est parti au cas où je voudrais le kidnapper. Il rit et monte dedans. On roule pour trouver un bar en centre-ville. Puisqu'il est "out ", je choisi un bar gay.
Il accepte un demi et je prends pareil. Il me demande alors d'éclaircir ma proposition. Je lui explique les prestations de ma société et lui dit clairement que je suis à la recherche de diversifications ethniques. J'ajoute en riant qu'il fait partie d'un programme de discrimination positive. Il me demande son dossier. Je le lui tends. Il le lit consciencieusement, revenant sur certains paragraphes. Il me demande qui a fait ce travail et m'avoue qu'il est très complet. Il trouve les infos sur ses parents et l'analyse de leur situation financière un peu intrusif et limite illégal. Je le rassure et lui dit qu'il sera détruit dès qu'il m'aura donné sa réponse, qu'elle soit positive comme négative. Je lui dis que ce dossier me permettait juste de contacter les personnes les plus susceptibles d'accepter.
On vide un peu nos verres. Je le laisse réfléchir. Il me pose quelques questions concernant le temps que ça risque de lui prendre. Il ne veut pas que ça interfère trop avec ses études. Je l'assure que bien qu'il sera sûrement très demandé, je serais en mesure de limiter ses prestations à 1 par semaine si cela lui convient. Il me demande alors combien il se ferait dans cette configuration de travail. Quand j'annonce le chiffre, il n'en revient pas. Je précise que c'est le tarif en cas de prestations classiques ++. Il me demande si ce que j'entends par ++ serait de type sexuel. J'acquiesce. Avec des mecs ? Re-acquiescement de ma part. Ouf de sa part, il avait craint devoir assurer avec des cougars !
Il accepte et me dit que ça fera du bien qu'il s'assume tout seul vu qu'avec ses 3 frère et soeurs, ses parents comptent leurs dépenses. Je lui donne ma carte et on fixe un rendez-vous. Je le ramène chez lui car il se déplace en Tram. Il me fait le lâcher au coin de sa rue.
Il passe au Blockhaus le jour prévu. Il me téléphone du trottoir, persuadé que je lui ai fait un plan foireux. Je descends le chercher. Quand il entre, il regarde partout. Quand il voit le parc de véhicules, motos comprises, il me demande combien il y a d'appart. Je lui dis qu'il n'y a qu'un seul logement, tout ici est à moi. Il a du mal à le croire. Je le pousse dans le monte-charge et nous allons à mon bureau. Depuis peu, à l'instigation de mes Escorts, j'ai décoré ses murs blancs par une frise de leurs photos, toutes prises dans la même position avec le même maillot Aussiebum. En plan rapproché, ils remplissent bien le format A4 (photo en pied).
Ça accroche le regard de Sosthène qui ne me parle qu'après avoir maté toute la série. Il me dit qu'il comprend. Ça manque un peu de couleur tout ça. Il ajoute qu'il ne devrait pas faire tâche sauf côté couleur bien sûr ! Je remplis le dossier des infos qui me manquent. Notamment la taille exacte de sa queue. Pour cela je lui demande de se mettre nu. Il s'exécute avec assez de grâce. J'en profite aussi pour voir sa pilosité. Il la maitrise déjà beaucoup, son torse et ses membres sont glabres. Ses dessous de bras sont tondus à 2 ou 3 mm tout comme son pubis proprement taillé. Ses couilles sont lisses et aucun poil ne sort de sa raie du cul. Sa queue pend entre ses cuisses. Le gland circoncis dépasse ses couilles de bien 6cm. A la mesure, au repos il fait dans les 14cm. Mais le fait de le prendre ne main change sont état. Il bande vite et se redresse à la verticale et pourtant y'a de quoi faire ! Je garde ma main dessus tant la sensation est agréable. Quand il me dit qu'il ne fera pas mieux, je mesure à nouveau. Le nombril est couvert depuis déjà quelques minutes, j'utilise ma main gauche pour tirer la hampe vers l'horizontale (ce qui n'es pas chose aisée) et pose le mètre ruban. En pleine forme mon nouvel ami développe un engin de 23cm x 5,8 de diamètre après un gland dont la couronne affiche un 6,2cm elle. Couleur de l'ensemble plutôt foncée avec éclaircissement de la circoncision au gland et ce dernier d'un violet tirant vers le rose. Je lui demande de confirmer sa " recto/verso bilité ". Il le fait et je lui demande quel côté il apprécie le plus. Pas de préférence c'est selon. Ça me va.
Je lui demande son statut sérologique, à sa dernière analyse il était séronég. Je lui dis qu'il ne pourra travailler qu'après une nouvelle analyse. J'en profite pour lui donner les principes de l'entreprise : rapports SSR exclusivement. Il prend l'adresse du labo.
Je lui brosse aussi le portrait type de mon client :
Particularité : de nombreux " neveux " !
Il tique sur la taille des bites. Je balaye son appréhension d'un revers de main et lui dis qu'avec un peu d'entrainement c'est faisable, qu'il regarde bien tous les mecs qui nous entourent. A part les quelques qui sont sur le marché féminin, tous les autres ne s'en portent pas plus mal. D'autant qu'à un rythme moyen d'une fois par semaine, il n'y a pas surutilisation.
A poil devant moi, son excitation commence seulement à retomber bien que cela fasse presque 5mn que nous discutons. Je lui demande comment il se trouve question " self défense ". Sa réponse est rapide, " nothing " ! Je lui dis qu'il y a une habitude dans ma société c'est d'être en capacité de se défendre de tout un chacun, du client qui outrepasse son contrat à la petite frappe qui croit que taper du PD c'est valorisant en passant par l'homophobe convaincu pour qui c'est un devoir que de nous casser la gueule. Il me dit n'avoir jamais été concerné jusqu'à présent. Je lui indique que je mets à disposition mes installations sportive (plateau muscu et combat + piscines) deux soir par semaine pour l'entretien du physique. L'encadrement est réalisé en interne. En natation par un vrai maitre-nageur et en sports de combat par des pratiquants de haut niveau en Karaté, Krav Maga, Capoeira et même par deux Commandos.
Il me demande où j'ai trouvé tous ces mecs. J'élude et lui propose de visiter les installations. On se lève et comme je m'approche du monte-charge, il me dit qu'il ne va peut-être pas y aller à poil. Je lui lance son slip et il l'enfile comme la porte s'ouvre. Au second je lui fais visiter la partie muscu et son tatami central dédié au combat, les sanitaires et la piscine/jacuzzi. Puis nous descendons dans la serre.
Quand on arrive au rez-de-chaussée, PH entre en moto. J'attends qu'il la mette sur sa béquille pour approcher et présenter Sosthène. Il lui serre la main comme si ce dernier était tout habillé. J'ai l'impression que cela le trouble le nouveau ! PH me roule une pelle dès qu'il a retiré son casque, puis nous accompagne dans la serre/jardin. Le bassin surprend Sosthène surtout quand je lui dis qu'elle fait 25m.
Nous remontons ensemble au premier. PH nous laisse et continue vers les hauteurs.
Il est convaincu et signe le contrat que je lui mets sous le nez (il y a un codicille annulatif en cas d'analyse non conforme) . J'ajoute que j'ai oublié que le contrat comprenait aussi un véhicule de fonction. Il rit et me dit d'arrêter de plaisanter. J'ouvre le contrat au paragraphe et il lit que le véhicule est mis à disposition permanente avec sa carte de carburant pour l'équivalent de 300 € / mois. La marque et le modèles est à la discrétion de l'employeur. Il me demande si c'est pareil pour tous les contrats. Je lui explique qu'il n'est pas question que mes escorts se trimballent dans de vielles caisses pourries, il en va du standing de ma société. De même les transports en commun sont prohibés pour des raisons de pratiques, horaires, ligne... Donc il devra passer à ce garage (dont je lui fournis l'adresse) pour prendre sa voiture. Comme pour les autres, il a droit à une RCZ. Il hallucine quand je lui dis le modèle.
Quand il me demande quand il commence et que je lui dis mardi prochain. Réaction " déjà ? " Je complète par " entrainement physique ".
Avant qu'il ne parte, je lui demande pourquoi il a accepté de discuter avec moi. Après tout mon entrée en matière était un peu brusque. Il me dit que si j'avais été moche il aurait coupé court. Mais là, je l'ai intrigué et il s'était dit que si ça finissait par un " coup " il aurait pas tout perdu. Je m'approche alors et je lui roule une pelle pour le remercier d'avoir pensé cela. Je lui dis que la dernière étape, le test physique rapproché, aura lieu dès l'obtention de ses résultats même si on baise sous kpote.
72h plus tard, il me téléphonait pour me demander un rendez-vous pour " étudier " ses résultats d'analyse.
Quand il entre dans mon bureau, je remarque qu'il s'est vêtu avec un peu plus de recherche. Plutôt il a laissé ses vêtements de tous les jours à la fac pour des un peu plus branchés et de marque. Il me tend la feuille. Comme prévu tous les résultats sont négatifs, ce qui est positif pour son admission dans ma troupe. Alors que je lis il est déjà en train de se déshabiller. Quand je relève les yeux de mon papier, il est en boxer blanc ES. Et son début d'excitation le rempli bien !
C'est lui qui fait le premier pas. Il s'approche de moi, se colle contre moi et me roule une pelle des plus agréable. Ses lèvres pulpeuse mais pas trop grosses sont douces et contrastent avec sa langue râpeuse et exigeante. Il cherche le mienne et se bat avec elle dès qu'il la trouve. Cet échange me fait bander et je sens sa bite se développer entre nos deux corps. Elle court vers la droite, empêchée de se redresser à la verticale par l'élastique du boxer. Je glisse une main entre nos deux corps et décolle la ceinture du boxer de ses abdos. Sa bite des redresse immédiatement et je relâche. Il entreprend de me mettre nu. Le retrait de mon t-shirt lui permet d'attaquer mes tétons et sa bouche délaisse la mienne pour venir les lécher, sucer, aspirer et pour finir les mordiller. Je suis sensible et ma queue bande encore plus, comprimée par mes jeans. Il le sent bien mais me laisse dans cet état le temps de bien dresser et faire gonfler mes deux tétons. Seulement alors, il glisse contre moi pour se retrouver à genoux et les yeux en face de mon bassin, il s'attaque enfin à mon pantalon. Il prend son temps pour l'ouvrir, bouton par bouton. La surprise, c'est lui qu'il l'a quand ma bite sort comme un diable de sa boite. Oups ! J'avais oublié de mettre un slip !!
Elle passe rapidement d'un emballage de toile par un en muqueuse naturelle et vivante. Très vivante même ! Il fait en sorte que ses joues collent ma hampe alors qu'il m'aspire vers sa gorge. Sa langue au passage tourne autour de mon gland, repousse encore plus mon prépuce alors qu'elle parcourt le dessous de sa corole. Ses mains posées sur mes fesses, il me pousse vers lui et je vois ma bite disparaitre en totalité. Bien callé entre ses amygdales, mon gland se fait masser par des déglutitions rapides qui l'attirent vers son estomac. Putain que c'est bon ! A part la question des dimensions, il maîtrise bien la pratique. Je pose enfin mes mains sur sa tête. Ses cheveux courts glissent entre mes doigts. J'affermis ma prise pour le diriger un peu. Mais ce n'est pas nécessaire vu comme il se donne.
Je dois même le calmer pour ne pas me mettre à jouir aussitôt.je le prends par les épaules et le relève. Il colle sa langue sur ma peau de mon gland jusqu'à ma bouche. L'effet est agréable. Quand il me donne sa langue, j'y retrouve un très léger goût de ma bite. Alors qu'on s'embrasse encore, il enjambe ma bite et la coince sous ses couilles. Ses balancements de bassin font frotter mon gland contre sa rondelle. Je mouille et ça lubrifie les glissements. Il se tourne brusquement prend appuis de ses avants bras sur mon bureau, cambre les reins et balance du cul pour m'appeler. Je n'y résiste pas et m'accroupis pour lui bouffer la rondelle. J'aime les gémissements de plaisir que ça lui fait sortir. Sa rondelle s'assouplie vite et je me redresse prêt à le planter. Vite une kpote et je m'enfonce d'un seul et long mouvement. Le temps de me pencher sur lui, d'attraper ses épaules et je donne le coup de rein final qui enfonce mon dernier cm. Bien qu'il se soit préparé, je le sens, il serre bien ma queue et de son côté semble apprécier la prise. Ses halètements me le prouvent. Alors que je me retire pour encore mieux y retourner, il me prend de vitesse et recule pour se planter lui-même.
On se fait du bien mutuellement un bon moment dans cette position avant que je le tourne et ses chevilles sur mes épaules, son dos sur mon bureau, je mène à mon tour la danse. Il s'accroche au plateau alors que je l'encule virilement. Les coups de bassins secs et profonds alternent avec de lents mouvements qui me font sortir le gland de son cul. J'aime ses gémissements qui me signalent qu'il prend du plaisir. Comme leur fréquence est en train de raccourcir, je lui dis de se retenir je voulais qu'il m'encule à son tour. Je veux voir son côté actif. De mon côté je ralentis aussi mes va et vient avant de sortir complètement. Je lui tends une kpote et alors qu'il l'enfile, à mon tour je prends la position. En levrette, j'attends son assaut. Je suis grave excité mais il prend quand même le temps de me lécher l'anneau. Il fait même plus puisqu'il fait pénétrer sa langue d'au moins un cm dedans. Rapidement je me sens prêt et lui dis d'y aller. Ses mains se posent sur mes hanches (comme si j'avais envie de lui échapper !) et son gland se présente à ma porte arrière. Je pousse un peu et il me met ses 23cm entiers. J'ai bien senti le passage du léger bourrelet de son gland et chaque cm qui a suivi.
23cm c'est long mais c'est bon ! En même temps qu'il s'enfonce, je le sens basculer le bassin en de lentes rotations qui aident son avancée. Quand il est bien au fond, je passe mes mains en arrière agrippe ses fesses et recule brusquement pour m'assurer que j'ai bien tout en moi. C'est le cas et je relâche ma pression pour le laisser gérer. Il n'a que 18ans mais il me baise avec une science consommée du plaisir. Nous sommes de même taille et alors qu'il me laboure le cul, il se penche sur moi et ses lèvres posées sur mon cou me donnent des frissons supplémentaires. Il joue de sa langue avec mes oreilles. Quand je tourne la tête nos lèvres se collent et bien que nous nous roulions une pelle profonde, il ne cesse de me limer la rondelle. J'aime ça aussi. Je me décolle et lui demande depuis combien de temps il baise et qui l'a initié pour qu'il soit aussi bon. Je me tourne sur le dos et on se retrouve face à face. Il me fait un clin d'oeil et me dit que non ce n'est pas un pro plus âgé qui l'a initié mais qu'il a bien étudié sur internet et qu'il a adapté lors de ses mises en pratique avec des mecs de son âge.
Nous continuons à baiser et il me fait jouir. Le frottement à chacun de ses passages du renflement de son gland sur ma prostate a vite fait eu raison de ma résistance. Je me couvre de mon sperme et mes contractions anales qui bloquent ses va et vient de façon discontinue le font exploser dans sa kpote. Quand il se retire, je note une dose plus importante que la moyenne. Il n'y a pas que son sexe qui soit plus que la norme !
Sous la douche, je lui parle du fait qu'il n'a jamais baiser avec un " vieux " et lui demande s'il ne craint pas de blocage. Il me dit que non mais par précaution je vais le faire tester par Marc puisqu'il rentre le WE prochain. Avec ses 47 ans, et ses 22cm qui adorent les jeunes mecs, j'aurai une certitude sur ma nouvelle acquisition.
Je lui en fais part. Il est d'accord bien sûr. Comme je lui dis qu'il sera rémunéré comme une prestation normale, il se récrie que c'est encore une phase de test, qu'il n'a pas à être déjà payé. Je lui dis juste qu'avec Marc, il m'aura aussi ainsi que deux autres de mes hommes. Donc ce sera aussi une petite touze à 5. Il rit et me demande combien j'ai d'amant. Je compte sur mes doigts et par ordre d'apparition dans ma vie je liste : Marc 47ans, PH 21ans, Ernesto 21ans aussi et Ludovic 18ans. J'ajoute que ce sont tous mes maris aussi. Dans le sens où l'on s'aime tous. Il trouve ça spécial et me dit que lui n'a encore pas trouvé le grand amour, ni même l'amour tout court.
Une fois secs, je le félicite sur son boxer, il me dit que c'est celui qu'il porte quand il part en " sexe ". Il n'en a qu'un parce qu'ils ne sont pas donnés. Ça me donne l'occasion de parler de ses vêtements. Il n'a pas de costume et encore moins de smoking. Comme aux autres je lui donne l'adresse de mon fournisseur officiel. Pour les sous-vêtements, je l'emmène piocher dans le stock. Il hallucine de voir toutes les marques sur lesquelles il a bavé sur internet. Alors qu'il hésite entre deux boxers (ES et Addicted), je lui mets les deux entre les mains et l'oblige à en choisir d'autres. Il est comme un gamin devant ses cadeaux de Noël !
Il me dit qu'il n'a pas encore été chercher la voiture, il voulait que je sois sûr de l'embaucher. Du coup je téléphone au garage et leur dis de préparer une RCZ, qu'on venait la chercher. Quand on arrive, le concessionnaire est là. C'est vrai que cela fait un moment que je ne l'ai vu, on s'arrange au téléphone. Son fils est avec lui et c'est lui qui a préparé la voiture. Beau jeune homme d'une vingtaine d'année, il me dit que c'est lui qui est maintenant en charge de ma flotte de voiture. Je ne perds pas au change. Son bleu de mécanicien, propre, ouvert sur son torse glabre et très musclé, le rend très désirable. Désolé, c'est plus fort que moi, je dois être un peu obsédé ! Il nous conduit jusqu'à la voiture. Elle est noire et son polit la rend plus brillante qu'un diamant. On fait le tour et je ne peux m'empêcher de chercher son reflet sur la tôle. Je remarque quand même que je ne suis pas le seul intéressé par le mécano. Je vois mon Sosthène boire littéralement les paroles du beau mec. C'est sûr que ça le change des minets de sa Fac. Je me dis qu'il est temps de les laisser entre-eux. Justin me raccompagne à ma voiture. Alors qu'il ferme ma porte, il me demande si c'est aussi un employé de ma société. Je confirme son intuition et j'ai droit à un dommage qui sort du fond de son coeur. Je repousse la portière et le rappelle. Il se rapproche et je lui glisse que je ne gère pas leurs vies personnelles, s'il tenait à le savoir. Il me quitte avec un grand sourire. Serait-il des " nôtres " ce joli jeune homme ?
Curieux comme une vieille chatte, je ne peux m'empêcher d'appeler Sosthène une bonne heure après. Sous prétexte de savoir si tout va bien avec sa nouvelle voiture, je lui demande incidemment s'il avait réussi à avoir le n° perso de mon mécano. Je l'entends s'étouffer à l'autre bout ! Je lui rappelle qu'il fait ce qu'il veut de son cul entre les prestations mais avec toujours en tête le SSR. J'ajoute que s'il n'avait pas été avec moi, c'est moi qui me le serais fait avant de rentrer. Il se choque. Je lui demande alors s'il était rentré tout bandant ? S'il n'avait pas profité de mon départ pour visiter les toilettes du garage ? Il me dit qu'il n'est pas comme ça. Je me moque un peu et lui dit qu'il a peut-être loupé le coup du siècle. Le mec m'avait l'air très intéressé par lui et je lui avais quasiment donné ma bénédiction quand il m'avait raccompagné.
Sosthène me rappelle le lendemain midi pour me remercier. Quand je lui demande de quoi, il me dit qu'il avait osé rappeler Justin et qu'il avait fini la nuit chez lui. Que c'était trop bon et qu'il croyait être tombé amoureux. Je lui dis de ne pas s'emballer. Ce doit être l'effet " encanaillage ", opposition de milieu et de type de vie. L'un travail avec un boulot manuel, l'autre est en fac et de lettre en plus ! Difficile de faire plus éloigné. Il me dit que non, avec moi c'était très bon mais avec lui c'était comme ça n'avait jamais été avant.
Soudain, je pense qu'il a peur que je crois qu'il va me quitter parce qu'il m'assure que cela ne change pas notre contrat. Ils en ont parlé Justin et lui. Je le remercie pour la discrétion. Il rigole et me lance qu'avec tous les mecs que j'ai envoyé chercher une caisse dans ce garage, je n'avais pas fait non plus preuve de cette même discrétion que je lui reprochais d'avoir oubliée. Justin savait pertinemment ce que faisaient mes employés.
En attendant il me dit qu'ils sont d'accord pour qu'il honore son contrat de travail. Ouf ça l'aurait embêté de perdre un escort prometteur avant même qu'il n'ait commencé.
Jardinier
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Un souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
Une autre soirée fut aussi tout autant une étape importante dans mon chemin vers le Candaulisme...
Une soirée étudiante ou presque d’Ana ma petite amie de l’époque.
Etudiante brillante et consciencieuse, elle avait voulu participer au fait que je lui avais ouvert mon appartement totalement et spontanément pour l’aider à réaliser ses études dès le premier jour de notre rencontre...
Quelques conflits récurrents avec ses parents lui pesaient.
Elle me les avait confiés le soir même de notre rencontre et je m’en étais aussi ému...
J’étais aussi pleinement amoureux...
Aussi, nous habitions ensemble depuis quelques mois sans que jamais je ne lui demande rien en retour.
Elle en était consciente et voulait-elle aussi participer.
Mener de front études et travail est un défi et un challenge où l’organisation et le rythme imposé sont parfois peu compatibles avec l’amour, les résultats et la fatigue...Elle le savait mais indirectement elle pensait me devoir tant sans pour autant ne lui avoir jamais rien réclamé en retour, ce qu’elle appréciait aussi beaucoup.
Elle avait quelques fois abordé le sujet mais je ne lui répondais toujours que d’un sourire, lui disant de vivre, de profiter, d’aimer, de travailler et d’être la plus heureuse possible...
Je crois, et je sais maintenant, que tout cela est aussi une racine profonde du Candaulisme...
Néanmoins, et c’est assez paradoxal, ce furent ses études qui lui permirent un jour de prétendre à un travail...
Il s’agissait en début d’année étudiante, sa deuxième année, d’être présente à la sortie des amphis et d’inviter et de sensibiliser ses jeunes collègues étudiants de première année à lire et surtout à s’abonner à des magazines divers et variés leur permettant d’élargir leurs connaissances dans des domaines voisins et importants de leurs sujets d’étude...
Aussi, se rendait elle en équipe pendant les quatre ou cinq premières semaines de la rentrée dans les amphis, de tôt le matin jusqu’à parfois tard le soir, agrémenté de virées nocturnes dans les bars à étudiants de la ville.
Il le fallait selon les recommandations du responsable des ventes pour souder les équipes et faire connaissance de plus de monde encore au travers les premières soirées estudiantines organisées pour la cohésion des futures promotions...
Aussi, après des débuts enjoués et prometteurs sur le plan financier (chaque abonnement certifié faisait l’objet d’une ristourne de l’éditeur et comme il s’agissait d’abonnements annuels, les émoluments pouvaient parfois être réellement intéressants...) une certaine fatigue et quelques désagréments brisant notre agréable routine de jeune couple virent le jour.
Un rythme de travail assez effréné était demandé ainsi qu’une grande disponibilité pour « écumer » les facs de la grande ville où nous habitions...
Nous ne nous voyons plus beaucoup et mon appartement servait surtout de base arrière pour les présentoirs et les exemplaires des magazines et autres quotidiens en vente.
La fatigue se faisait réellement sentir et moi je devenais surtout celui qui l’hébergeait, lui faisait à manger (repas qu’elle prenait en fait rarement car son équipe très dynamique et pour tout dire « fêtarde » allait très souvent « célébrer » les résultats des uns et des autres dans un bar pour encore et toujours souder les équipes commerciales et profiter des contacts étudiants qui pouvaient s’y faire encore plus aisément autour d’un verre...
Aussi, sur le plan sentimental et sexuel, c’était plutôt la disette...
Dur, dur pour moi alors que d’ordinaire, nous étions rarement plusieurs heures sans nous câliner et sûrement pas et encore moins un jour......
Un petit « cérémonial » s’était néanmoins instauré car je crois qu’elle m’aimait sincèrement, pâtissait aussi de cette situation et s’en sentait un peu coupable même si la fierté de ramener de l’argent dans notre couple la motivait et la recompensait.
Ainsi, chaque soir (plutôt en milieu de nuit du coup...) où elle rentrait, juste après s’être douchée et alors que j’étais bien souvent endormi, elle venait me câliner, me prendre en main sexuellement parlant (elle aimait depuis nos premiers jours mon sexe, sa forme, sa douceur...)
Bref elle aimait ma bite, jouer avec pour me faire bander...
Chose qu’elle obtenait très rapidement au vu de sa dextérité et de ses envies manifestes...
En trentenaire ardent et vaillant, qui aurait pu s’en plaindre... ?
Elle me prenait alors rapidement en bouche pour me sucer (elle raffolait des fellations... !) et me taillait une pipe experte, souvent rapide en ces circonstances mais toujours appréciée, appréciable, adroite et victorieuse...
J’en appréciais totalement le bonheur tout en devant souvent rester sur ma faim et sur « la béquille » tandis que, quasiment à chaque fois, elle s’endormait en me gratifiant d’un « Bonne nuit mon amour », la bouche pleine et comblée de l’expression de mes désirs et de mon plaisir...
Elle aimait le gout de ma semence, l’avalait depuis toujours et l’appréciait...
Jamais elle ne m’avait sucé sans déguster le fruit de ses audaces et expertises.
Parfois même, elle me déposait un baiser légèrement gluant et chaud sur les lèvres...
Au début de notre relation j’en avais été surpris mais m’étais habitué et trouvais cela touchant en termes de partages et d’audace...
Ce rituel effectué, elle se tournait rapidement puis s’endormait profondément tout aussitôt...
Profondément était le terme : j’avais une ou deux fois, dans un état érectile indécent et difficile à calmer, n’arrivant réellement pas à m’endormir, voulu la prendre mais devant son corps si tendrement abandonné, j’avais résisté à l’envie de le faire sans son consentement express, même si rien ne pouvait me faire douter de ses désirs une seconde, pour la pénétrer sauvagement...
Elle ne m’en aurait pas voulu...
Non, j’en étais pleinement assuré et je pense même qu’elle aurait pu percevoir cela comme tout à fait légitime, voire même coquin...
Mais pour moi sans conscience et sans consentement il n’en était pas question...
Question de principe, de respect, d’honneur et tout autant de bonheur du partage.
S’en serait-elle même aperçue... ?
Du coup, pour quel plaisir... ?
Si je ne pouvais partager, je trouvais assez absurde de ne satisfaire que moi...
Oui, elle dormait très profondément !
Pour autant, souvent pris par les désirs et la beauté de son corps alangui qu’elle abandonnait parfaitement et naturellement à ma vue, (elle ne dormait que nue et y tenait), je la caressais tendrement, bandant là encore comme un fou, et la couvrais de baisers ...
Le spectacle de son corps abandonné et offert sans défense enchantait et régalait au plus haut point mes yeux... Et pas que...
Ce n’était rien qu’en cela et déjà un réel bonheur...
Je dois confesser que parfois, il m’arrivait même de me masturber en la regardant, si belle, innocente, ...
Je m’autorisais aussi de mes lèvres et de ma langue à la humer, la titiller sans la réveiller, la couvrir de baisers et notamment sur son sexe...
Quelques gémissements parfaits attestaient qu’elle ressentait sûrement mes attouchements sans pour autant en être réveillée... C’était réellement délicieux...
Oui, je me satisfaisais et même me régalais de tout cela à défaut de pouvoir lui faire l’amour comme j’en avais envie et l’honorer pleinement comme à nos habitudes...
Cependant, un soir, elle rentra un peu plus tard et vint directement se coucher...
Elle ne manqua pas pour autant à nos nouvelles habitudes et me suça talentueusement, avec même une gourmandise et une ardeur qui me rappelaient les pipes interminables dont elle était experte et adorait me gratifier avant d’incorporer cette équipe commerciale et qui j’en étais sûr ne tarderaient pas à reprendre une fois cette parenthèse économique terminée...
Je fus bien entendu ravi de sa prestation et lorsqu’elle vint m’embrasser à pleine bouche avec délectation et gourmandises, je perçus un goût légèrement différent du mien et de l’ordinaire...
Je n’en fis pas un problème et mis cette différence sur le compte de l’alcool et de la soirée festive qu’elle venait manifestement de passer...
Je la laissais s’endormir et poursuivis seul mon cérémonial...
Non douchée et manifestement très fatiguée, certainement assez ivre, elle ne s’était pas couchée nue comme d’habitude à mon grand étonnement mais avait conservé sa robe légère de soirée ainsi que son string que je pouvais deviner alors qu’elle se lovait sur le côté remontant ses jambes et redressant du coup sa courte robe sur le galbe de ses sublimes fesses...
Comme d’habitude, je ne résistais pas au plaisir de la couvrir de baisers et de caresses me sentant même encore plus entrain de la voir m’être revenue guillerette et heureuse, encore plus que d’ordinaire de sa soirée...J’aimais la voir heureuse et satisfaite...
Poursuivant mes « voyages », je relevais d’avantage sa robe sur son cul...
Je baisais de mes lèvres entreprenantes ses fesses et m’approchais de sa fente...
J’avais pris l’habitude, quoiqu’il arrive d’y déposer tous les soirs un baiser et même parfois d’oser y introduire légèrement la pointe de ma langue afin de gouter aux douces saveurs de sa chatte aux effluves pour moi si envoutantes...Elles berçaient, enchantaient et embaumaient ainsi quoiqu’il arrive mes nuits d’une telle douceur...
J’entrepris alors de mes doigts agiles de déplacer légèrement son string, sans la réveiller, car la ficelle fermait partiellement l’accès à sa délicieuse fente...
Je fis glisser le trait d’étoffe de mes doigts et qu’elle ne fut pas ma surprise de constater qu’il était complétement trempé et même qu’une sorte de méat un peu gluant semblait y être déposé...
Une jouissance... ? Du sperme... ?
L’ire et ma jalousie prirent immédiatement le contrôle de mon cerveau et de mes émotions
J’en restais, mentalement et physiquement sur le cul...Le sang affluant et bouillonnant dans mon esprit et mon corps...
Elle avait baisé... !
Elle avait dû baiser avec un autre... !
Un autre que moi dans cette putain de soirée...Et dans ce con qui était censé n’être qu’à moi... !
Je me sentais dans une telle rage, une telle colère...
Que faire... ?
Assis sur mes genoux, la regardant avec des yeux totalement différents de l’habitude...
Son string encore là...tout souillé du sperme d’un autre...j’en étais sûr...!
Instinctivement j’approchais mon visage et mon nez jusqu’ à y porter mes narines puis ma langue...
Oui, oui, c’était ce même goût que j’avais identifié dans le baiser donné avant qu’elle ne s’endorme...
La salope ! Elle m’avait trompé cette chienne..., c’était sûr...
Cette salope, ma salope... !
Ma chienne alors qu’on s’était toujours promis d’être complice quelque fut notre ou nos envies... !
Néanmoins, je ne parvenais pas à décoller mon regard de son cul et de son sexe encore gonflé et emplit d’un autre...Non je n’y parvenais pas, et même en moi j’arrivais à trouver des ressources et un calme doux qui maintenant m’envahissait…
J’avais bien des « papillons » dans le ventre..., un vertige dans la tête...
Mais étonnamment, pas ou plus de colère... !
A tel point que je me suis de nouveau penché...
De nouveau j’ai humé ce méat que je ne pouvais même plus détester... !
Son string était tellement imprégné de la mouille et de son odeur qu’il en devenait agréable, tant à la vue qu’à l’imaginaire...Oh oui elle avait du réellement jouir...
Je ne pus m’empêcher de retourner le sentir, le toucher, le « tester » même de mes narines...
Plusieurs fois...
Le goûter même...
Puis d’instants en instants jusqu’à la lécher consciencieusement, minutieusement avec, je devais me l’avouer, un plaisir grandissant, subjuguant et effaçant de manière incroyable toute colère ...
J’en profitais abondamment...J’aimais... !
J’en étais stupéfait mais j’aimais... !
J’aimais surtout à m’imaginer la saillie qu’elle avait subi, la saillie de son con et le plaisir qu’elle, qu’ils avaient dû connaitre...Je n’étais même pas jaloux de ne pas y avoir été...
Un peu vexé...j’aurais préféré que pour une première, même si je lui avais déjà confié ce fantasme du mari trompé avec son plein acquiescement mais présent...Elle était allée plus loin...
Plus vite même que je n’avais secrètement jamais imaginé ou désiré...
Pour autant c’est un rêve secret dont je lui avais fait la confidence et que par bravade je l’avais assurée que je ne serais pas jaloux...
En fait, si un peu, mais pas si fortement que cela ...
Assurément déçu qu’on n’ait pas partagé cette première et de ne pas avoir l’histoire de cette incartade ni d’avoir pu y assister...
Lorsqu’on en avait parlé et évoqué elle ne m’avait pas caché la possibilité que cela puisse arriver tant elle aimait le sexe, attirait les hommes et avait conscience de ses désirs et de ses faiblesses...
De plus, en lui ayant fait la confidence de ce Candaulisme naissant que je sentais déjà vivre en moi, je ne pouvais rien lui reprocher...
Elle avait seulement anticipé mes désirs et peut-être plaisirs...
Je ne les avais pas imaginés de la sorte et s’imposer aussi brutalement à moi...
Pour autant, qu’en restait-il pour moi... ?
Je venais de le constater...Je le constatais en direct...
Du plaisir, de la cérébralité, de l’amour pour le sexe, de l’amour pour elle, des envies...
Encore plus d’envies ...
Encore plus de désirs et d’amour pour elle comme je l’avais imaginé et quelque part voulu et demandé...Alors... ?
Plus encore quand je me rendis compte que je bandais comme un taureau et ne débandais pas alors que de longues minutes s’étaient déjà passées a regarder, que dis-je, admiré et fantasmé sur sa chatte épanouie, belle et manifestement comblée et heureuse...
Je n’avais ainsi, à cet instant, que l’irrésistible envie de la baiser comme la chienne qu’elle était, celle que j’avais souhaité qu’elle soit...
Oui, je bandais comme un fou et contrairement à ma réserve et mes principes des soirs auparavant, je l’ai prise sauvagement, bestialement, jusqu’à la faire jouir comme peut-être jamais, ni elle ni moi-même n’avions jouis comme cela depuis longtemps et sommes partis dans un orgasme fulgurant et absolu qui me faisait de nouveau encore plus encore bander, devenir fou d’elle, fou de son corps, fou de son con, fou de ses jus...
Elle s’était réveillée...Jouissait ...hurlait...m’en demandait encore et encore... !
C’était incroyable... ! Irréel... !
Nous avons fait cinq ou six fois l’amour cette nuit-là sans jamais nous lasser et nous nous sommes endormis tendrement l’un dans les bras de l’autre...
Au petit matin, elle est venue sensuellement me réveiller, me remercier de cette folle nuit et de la liberté que j’avais pu lui accorder, me disant qu’elle avait tant rêvé dans ses fantasmes les plus insensés de ce genre de nuit...
Elle me dit que toute cette intensité et ces besoins sexuels lui avaient manqués depuis un certain temps et son incorporation dans cette team de vente...Nous n’avions quasi plus le temps de faire l’amour... !
Que cette nuit un homme plus âgé mais beau lui avait fait du rentre dedans, l’avait fait boire, l’avait séduite et convaincue de passer à l’acte sans même me prévenir (elle était bien consciente de ce manque mais m’ayant informé que cela pouvait arriver et moi lui ayant tant parlé de ce fantasme du mari trompé consciemment... elle s’était dit avant de s’abandonner totalement à lui dans les toilettes du bar que cela ne changerait rien aux choses et que si notre amour était bien réel et celui qu’elle m’avait décrit et toujours imaginé était bien présent, alors cela ne poserai pas de problème...)
Oui elle s’en voulait de ne pas avoir pu le vivre avec moi en direct live...
Oui elle s’en voulait de ne pas me l’avoir dit directement en rentrant...
Elle ne voulait pas m’inquiéter et me priver de notre petit rituel jouissif et s’était endormie si ravie, heureuse et comblée surtout quand elle avait osé ce baiser fou dont elle avait si souvent rêvé, mêlant le sperme de cet amant de passage au mien dont elle appréciait tant la saveur...
Oui, bien évidemment elle l’avait sucé, avant, et surtout après qu’il l’ai prise sur un lavabo des toilettes communes du bar et alors qu’il s’essuyait le dard encore gorgé de semence sur son string qu’il avait adroitement écarté pour la pénétrer sauvagement, elle l’avait de nouveau sucé ... !
Accompagnés d’un autre couple se livrant aux mêmes exploits sexuels qu’eux, elle avait indirectement fait une compétition avec l’autre fille qui était par ailleurs sa chalengeuse pour obtenir une prime supplémentaire en raison du nombre de magazines vendus tout au long de leur journée de labeur...
La compétition faisait rage et n’avait pas de limite...
La fille s’était tournée vers la glace surmontant le lavabo pour se refaire une discrète beauté...
Ana avait ressaisi le sexe de son partenaire et l’avait embouché pour le nettoyer scrupuleusement...
Oui ; elle craquerait sûrement sur d’autres, en d’autres lieux, en d’autres soirées, avec moi, sans moi, Elle aimait trop ça... !
Elle m’aimait à la folie... !
Tout comme elle aimait plus que tout sa liberté.
Elle m’assurait qu’elle saurait me récompenser au-delà de mes attentes si je lui procurais tout à la fois la sécurité et la folie de cette impensable liberté...
Dans les vapeurs de la nuit, j’acquiesçais à tout ce qu’elle disait...
Ses aveux étaient si authentiques, touchants et somme toute correspondant tellement à mes aspirations les plus secrètes que je lui pardonnais instantanément et pour toujours...
Elle parti comme d’ordinaire et nous n’avons plus jamais eut à parler de ces instants.
D’autres similaires se reproduiraient...
Beaucoup d’autres à mon et notre plus grand bonheur... !
Je savais qu’elle pourrait de nouveau me tromper...
Sans moi,...Avec moi...Peu importerait pourvu qu'elle me revienne et me conte ses exploits...
Elle savait qu’elle pourrait me tromper...
Nous savions l’un et l’autre ...mais nous le savions maintenant...
Et surtout nous en jouissions si intensément que nous n’en avons jamais eu à en reparler.
Je savais que j’étais réellement Candauliste...
Elle savait qu’elle était une terrible baiseuse, une amante hors-pair et là, maintenant devenue une Hot-Wife comme les nomment les anglo-saxons...
Pour le plaisir de tout le monde, le sien d’abord, le mien, celui de ses futurs amants celui d’avoir une vie sexuelle, libre, riche, épanouie et épanouissante...
Nous en avons réellement profité toutes ces années de fac...
Un jour elle partit étudier définitivement à l’étranger...
Cela ne changea rien...
Ni pour elle, devenue près d’un de ses professeurs de Fac américaine et beaucoup plus âgé qu’elle, la Hot-Wife respectable et respectée qu’elle avait toujours voulu être, la lady américaine classe et parfaite le jour et aux désirs "naughty" de chaque instant...Un des paradoxes de l'Amérique...
Moi, je lui dois d'être devenu pour toujours Candauliste...
Je me souviens tant et avec tant d’émotions, parfois même érectiles, de ces instants où j’ai découvert son string imbibé de sperme, admiré, vu et goûté sa chatte gonflée de plaisir, partagé tant et tant de fois avec elle ces plaisirs et d’autres ensemble, cette philosophie et ce style de vie...
J’ai parfois eu des nouvelles et surtout j’ai toujours eu depuis ses confidences érotiques écrites par mail sur un site dédié à ces pratiques outre-Atlantique, ses délires et ses escapades sexuelles...
Elle s’en était fait un principe de me les dire, comme un légitime devoir envers moi.
Je ne lui demandais rien mais forte et fière de cette liberté que j’avais su lui donner, elle m’informait toujours, parfois même avant son mari, de ses rencontres et péripéties sexuelles variées et nombreuses...
C’est encore aujourd’hui le cas et c’est si bon et intense...
Elle est même devenue BBC, je n'en fus pas surpris connaissant les descriptions des Blacks qu'elle pouvait parfois rencontrer à la Fac et qui à chaque fois qu'elle m'en faisait la confidence la mettait dans des états torrides dont je profitais allègrement...
Moi, j’étais devenu et serais Candauliste pour la vie...
Merci à elle....Merci Ana...Je t’ai enseigné la liberté...Tu es bonne élève, tu as dépassé et il en est fier et heureux, le « maitre »...
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JE ME SUIS FAIT UNE PROMESSE.
Je me suis fait une promesse :
Celle de prendre désormais soin de moi avec bienveillance, douceur et tendresse.
Il m'a fallu bien des années,
Pour comprendre que si je ne travaillais pas sur moi, ma vie ne changerait jamais...
J'ai commencé par arrêter de lire en boucle les anciens chapitres de ma vie,
Pour en démarrer un nouveau plus calme et plus léger dans mon esprit...
Je suis sortie de ma zone de confort,
et, j’avoue, cela m’a demandé beaucoup d’efforts... J'ai cassé ma carapace construite comme barrière de protection.
Me protégeant de tout ce qui remuait trop mes émotions... Je me suis libérée de mes blessures émotionnelles. J’ai enfin pu déployer mes ailes... Je me suis rapprochée des personnes qui me font rire.
Et j'ai enfin eu la force de quitter celles qui me faisaient souffrir...
J'ai réussi à lâcher-prise dans certaines situations, En écoutant attentivement mon intuition... J'ai osé croire en mes choix,
En mes rêves, et en moi...
J’ai écouté les messages de mon cœur, la signification de mes douleurs. En les accueillant pleinement, j’ai découvert le véritable sens du mot bonheur...
Oui je me suis fait une promesse,
Celle de prendre désormais soin de moi avec bienveillance, douceur et tendresse...
Pour qu’enfin je puisse moi aussi,
Être heureuse dans ma vie...
Et toi oui toi dis moi, quelle promesse est-il temps que tu te fasses à toi-même ... ?
Prenez soin de vous et des vôtres !
J-M
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RADIANT - Draw this in your style !
Ma participation au Draw This In Your Style de Tony Valente à l'occasion de la sortie du tome 18 de RADIANT !
Cette année on a le choix entre toutes les couvertures des tomes pour fêter les 10 ans, alors j'ai pris celle qui est sans doute ma préférée : La version collector du tome 10. Mais j'ai ajouté quelques petites modifs. (6w6)7
Aussi j'en profite pour republier d'autres couvertures que j'ai DrawThisInYourStylé ces dernières années !
RADIANT (c) Tony Valente
Fanarts by @melachanart
DO NOT REPOST/STEAL PLEASE. Thank you.
#radiant#radiant dtiys#dtiys#dtiyschallenge#draw this in your style#radiant draw this on your style#radiant tony valente#tony valente#tony valente radiant#ankama#radiant seth#radiant melie#radiant manga#radiant anime#ラディアン#melachan#melachanart
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OH HOW I HAVE MISSED MY INK PEN
(new wip on top. the bottom is an old doodle of Nishna I must’ve gotten from a myth; never forget that one time Lord Shiva eviscerated a god on impact because he didn’t feel like falling in love. what a king)
#digital art#wip#original character#hinduism#my art#Anné Sorti#guys every day I just narrowly keep myself from posting about hinduism on main#I want to talk about the Ramayana so bad it is a Problem#I get the lessons I truly do but ALSO#that book is so unironically funny#the gods are such assholes so often#looking at you Lord Indra#piece of shit. I love you#/j#I do love him but I’m not calling the king of the gods a piece of shit actually#contrary to popular belief#I would like to not get vaporized
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En trainant sur Insta, je regardais le compte d'un de mes neveux, qui a publié une vidéo où il offre un cadeau à sa mère (ma fameuse demi-soeur).
Elle va donc avoir affiché dans un cadre chez elle, devant TOUT le monde, une photo...de moi toute petite et mon père (notre père). Depuis des années elle en parle comme SA photo avec SON papa chéri, ses fils n'ont pas connu mon père donc ils y peuvent rien.
On a 12ans de différence: c'est ELLE qui avait pris la photo, mon frère et moi on s'en souvient très bien puisque c'est l'une des seules fois où elle a bien voulu faire une activité avec notre père, elle voulait pas de lui alors qu'elle adorait ma mère (elle a failli l'adopter...dieu merci ça c'est pas fait).
On me reconnait carrément même à 4ans, l'âge de mon père aussi mais personne n'a jamais rien démenti, ni mes cousines plus agées, ni ma tante (soeur de mon père) ni ma grand-mère paternelle.
Je sais plus quoi dire.
Ça fait 20ans que je l'ai sorti de ma vie pour d'autres délires (entre autre elle voulait que je sois sa mère de substitution, j'avais 15ans elle 27... Je vous laisse vos propres conclusions) je me dis que d'un côté ça confirme juste ma décision, de l'autre je veux cramer sa baraque et ce putain de MENSONGE encadré et la frapper parce qu'elle s'approprie MON souvenir, MA joie, MA vie et que ça dérange personne dans cette famille de dégénérées (oui elles ont toutes un grain, je suis la "moins"pire).
J'en ai des nausées et un gout de merde dans la bouche.
Elle m'en a fait des trucs tordus, celui-là ne passera JAMAIS.
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Annette Funicello, 1950s
Annette Funicello était une actrice et chanteuse américaine, surtout connue pour son travail avec Disney dans les années 1950 et pour ses films de plage dans les années 1960. Née le 22 octobre 1942 à Utica, New York, elle est décédée le 8 avril 2013.
Elle a débuté sa carrière en tant que « Mouseketeer » dans l'émission pour enfants « The Mickey Mouse Club » de Disney, où elle est rapidement devenue l'une des membres les plus populaires grâce à son charme et à son talent. Elle a été découverte par Walt Disney lui-même à l'âge de 12 ans, alors qu'elle se produisait dans un spectacle de danse à Los Angeles.
Après son succès sur « The Mickey Mouse Club », elle a poursuivi sa carrière avec Disney, apparaissant dans plusieurs films comme « The Shaggy Dog » (1959) et « Babes in Toyland » (1961). Cependant, elle est peut-être mieux connue pour ses rôles dans les films de plage des années 1960, notamment « Beach Party » (1963) et ses nombreuses suites, où elle jouait aux côtés de Frankie Avalon. Ces films, souvent centrés sur des thèmes légers de romance et de divertissement à la plage, sont devenus des classiques de la culture pop américaine.
En plus de sa carrière d'actrice, elle a également eu une carrière musicale réussie. Elle a sorti plusieurs albums et singles, dont « Tall Paul » et « Pineapple Princess », qui ont été bien accueillis à l'époque. Elle est restée une figure bien-aimée de la culture américaine, connue pour son image positive.
Elle a vécu avec la sclérose en plaques pendant plusieurs années, une maladie qu'elle a rendue publique en 1992 et elle est devenue une défenseuse des personnes atteintes de cette maladie jusqu'à sa mort en 2013.
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Publicité pour le meilleur film de chez kodak sans doute le film plus stable dans le temps les couleurs reste comme a la sortie du labo ,les film ektachrome de kodak après plusieurs années ont une dominante bleu ou mauve .
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🎁 CINÉ-CADEAU 🎄
Si vous passez au Québec pendant la période des Fêtes, si vous connaissez un Québécois (né ici) de 55 ans et moins, fort à parier qu'au fil d'une conversation vous entendiez parler de Ciné-cadeau.
Mais qu'est-ce que c'est?
Depuis 1982, Radio-Québéc (devenue télé-Québec en 1996), une chaîne de télévision québécoise publique à vocations éducative et culturelle, diffuse de la mi-décembre aux premiers jours de janvier une programmation spéciale jeunesse pour les Fêtes!
Films et séries, d'ici et d'ailleurs se succèdent. C'est grâce à Ciné-cadeau que ma génération a connu Astérix, Tintin, Lucky Luke, Garfield, Mafalda, Charlie Brown et j'en passe. Chaque année, la divulgation de la programmation engendre l'euphorie. On retrouve avec nostalgie nos premiers coup de coeur et on découvre avec joie les nouvelles trouvailles.
Le film le plus emblématique de Ciné-cadeau est sans AUCUN doute: La guerre des tuques. Premier film de la série "Les contes pour tous" de Roch Demers. Sortie en 1984, a été distribué dans plus de 125 pays. Il raconte l'histoire d'un groupe de jeunes cherchant à s'occuper pendant les vacances de Noël décide de se diviser en 2 groupes et de se faire la guerre de boules de neige. La chanson thème "L'Amour a pris son temps" est tout aussi classique que le film lui-même, chanté par Nathalie Simard.
Un remake d’animation a été produit en 2015. Il a reçu un bon accueil, mais rien ne surpasse la version originale. Céline Dion a même chanté sur la bande originale de cette version.
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Je ne peux que vous suggérer fortement de voir ce film tellement il est magnifique. Toutes les répliques sont cultes.
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Sur une note plus personnelle, un de mes plus beaux souvenirs de Ciné-cadeau est le film suédois sorti en 1982: Peter le chat sans queue. (J'imagine que ça vous surprend qu'à moitié ^^) C'est tellement un beau film. Si vous avez des enfants ou si vous avez toujours votre coeur d'enfant, regadez-le aussi.
Sur ce, bonne journée! Et si vous me cherchez à 15:30, je serai devant Astérix chez les Bretons! Parce que oui, malgré mon âge ancien, je regarde toujours Ciné-cadeau!
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