#Anné Sorti
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ratislatis · 1 year ago
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hopefully the first of many!
I have extremely vivid daydreams. when I listen to music, it’s like watching a movie. so I thought I’d start sketching out single frames from those little movies, to motivate myself to work on my fucking ocs more.
funnily enough, neither of the two characters here are celtic. there ARE celtic women in the daydream but they appear like two seconds after this bit 😭 anné sorti is built on existing cultures/religions/countries, so on the left we have ukraine, and on the right russia (or poland, I’ll have to double check?). I came up with a cute little idea to hide the flags of the countries these characters are inspired from in their coloring.
these character designs (and you can assume most others in this series) are extremely rough and are always subject to change.
I will make multiple pieces for one song, so we aren’t ending here :)
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girafeduvexin · 2 years ago
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Kaddish pour un amour, Karine Tuil
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plaidetchocolatchaud · 2 years ago
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L'un des charmes de la gr, c'est que tu passes en quelques minutes d'une routine toute mignonne sur Alice au Pays de Merveilles à une routine sur Psycho Suite qui relate une scène de crime.
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arab1974 · 19 days ago
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l’analyse du film "Les Années de braise Le chef-d'œuvre du cinéma algéri...
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chaotictomtom · 9 months ago
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putain mais arrêtez de spoil :( ouing
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camisoledadparis · 1 month ago
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saga: Soumission & Domination 387
Mes Escorts-2
Maxime dit Maxou :
Depuis sa proposition de pipe à 10€ dans une boite de la ville, il est celui qui a le plus évolué. La stabilité que lui a procuré son embauche suivit de sa prise en charge matériel pour le sortir de son état de squatteur chez les copains a transformé son futur. Parti pour être véritable SDF et/ou pute au rabais, il a pu reprendre ses études et il suit sa 4ème année d'école d'ingénieur sans problème. Le fait que Louis l'ai rejoint à l'appart de PH et qu'ils aient commencé ensemble leurs études supérieures a bien aidé pour son retour dans un cursus " normal " lui qui avait été foutu à la porte de chez lui par un père intolérant. S'il n'a pas grandi (il fait toujours 1m75) et qu'il a gardé sa taille étroite, ses 55 Kg tout mouillés sont loin et il accuse maintenant 65Kg de muscle ronds et imberbes qui lui vont à ravir. C'est l'avis de tous mes clients qui l'ont eu entre leurs .... mains ! Son format et son épilation intégrale en font le préféré des amateurs de mecs tout juste majeurs. Ses cheveux ultra-courts (tondeuse sabot de 3mm) ajoutent un côté mauvais garçon qui donne à mes clients l'impression qu'ils ont levé un loubard dans une ruelle mal famée. Depuis que j'ai fait mon tatouage, il me tanne pour que je l'autorise à faire de même. Pour calmer ses envies j'ai accepté qu'il se fasse percer l'autre téton. J'ai fourni l'anneau en or blanc pour aller avec le tigre/lion qui orne celui déjà percé. Quand il m'a demandé un prince Albert j'ai dit non mais je crois que c'était juste pour me tester. Sans attaches sentimentales avec un autre de mes escorts, il aime satisfaire et se satisfaire avec les nombreuses bites qui sont attachées à ceux qui viennent faire du sport au blockhaus. Dans les touzes " troisième mi-temps " ce n'est jamais le dernier à trouver un partenaire, même de couple déjà établis. Je crois bien qu'il n'y a qu'avec Louis qu'il ne baise pas. Quand je le lui demande, il me confirme que c'est vrai et que c'est mieux comme ça puisqu'ils vivent dans le même appartement. Il me dit que l'inverse ferait qu'ils commenceraient par baiser à chaque retour de l'école et que leurs études en pâtiraient. Ça je peux le comprendre. En attendant, moi non plus son corps ne me laisse pas indifférent. J'aime son petit format qui autorise des plans différents d'avec mes amours (on fait quasiment tous les 4 la même taille). Par contre il y toujours eu entre nous une tendresse parfois absente avec mes autres Escorts. Elle vient du fait que je lui ai offert une porte de sortie, alors qu'il allait sombrer. Psychologiquement il avait plus accusé le coup de s'être fait mettre à la porte de chez lui qu'à devoir aligner les pipes à 10€ pour s'acheter à bouffer. A chaque fois que nous nous sommes retrouvé, ça toujours été en tête à tête même lors des touzes. Étonnamment, il n'est jamais entré dans mes plans à plusieurs et je ne m'en fait la réflexion que maintenant ! Quand je lui demande pourquoi il ne s'est pas encore " fixé ", il me dit qu'entre les études et le taf qu'il fait pour moi, il est très heureux. Louis est un véritable ami tout comme Franck son copain et il sait qu'il peut compter sur chacun d'entre nous en cas de problème. Nous prenons donc notre temps et nous faisons ce qui s'apparenterait plutôt à un gros câlin sexe qu'un plan baise. À part un enculage en porté (moi debout les jambes écartées, lui ses jambes serrées autour de ma taille et ses bras autour de mon cou) qui a amené un peu de fantaisie, nous avons savouré d'être ensemble moi le plus souvent dans son cul parfois au fond de sa gorge, lui content d'être le centre de mon attention. Bien que calme notre " épisode sexuel " ne manque pas de saveur et quand je suis au fond de son cul, il me tend les lèvres pour qu'on se roule de pelles enflammées. La montée lente de nos plaisirs réciproques a assuré la concomitance de nos jouissances et sur ses abdos le mélange de nos spermes.
Je me fais la remarque que, malgré les gros calibres qui les défoncent régulièrement, jusqu'à présent mes escorts gardent une tonicité anale performante. C'est sûr qu'ils ne pourraient passer pour des puceaux mais les exercices qu'ils continuent de faire (contractions de leur sphincter sur un crayon de bois) sont efficaces.         
Benoît (Ben) et Clément (Clem) : Troisième couple dans mes Escorts après Morgan et Simon et Jona et François. 22ans chacun aussi, Ben en termine avec son master de sciences éco et Clem sa formation de Kiné. Encore chacun chez ses parents, ils ont été les premiers à me demander s'ils pouvaient intégrer l'annexe 2. Le temps que chacun trouve un taf. Leurs parents, informés de leurs orientations sexuelles et ne les en brimant pas, n'acceptaient pas pour autant d'abriter sous leurs toits leurs relations intimes. Jusqu'à présent ils utilisaient, pour se voir en tête à tête, les chambres du premier étage du blockhaus. Et si la cuisine, le séjour et les sanitaires sont communs, la taille et l'insonorisation de leur chambre leur convient tout à fait. Et comme, ils sont autorisés à recevoir des amis (autres que notre petit cercle) si toute fois ils ne se choquent pas de voir par les fenêtres des mecs au trois quart à poil faire du sport, ils kiffent leur nouvelle installation. C'est d'ailleurs dans leur pièce personnelle que je les rencontre. Ils ont mis leurs touches personnelles. Les murs sont recouverts d'affiches de concerts de Hard Rock. Ils ont amené des portemanteaux pour y mettre chacun leur tenue du jour. Les immenses placards coté couloir sont suffisants pour leurs vêtements sachant que les " tenues de travail " sont toujours stockée au premier du blockhaus (ça permet un suivi de nettoyage par mes Hommes de maison). Je ne sais pas s'ils ont rangé en prévision de ma venue mais leurs deux bureaux sont quasiment vierges en dehors de leur ordinateur portable. Ils m'assurent que l'absence de téléviseur est une bonne chose et que le fait que chacun de ceux présents dans le salon disposent de 6 paires d'écouteurs suffit à tous les occupants les soirs où ils se détendent. Ils s'amusent à regarder un film en écoutant les paroles d'un autre. Mais en général ils n'en n'ont pas le temps et se contentent de regarder les informations. En ce qui concerne mes clients, ils me disent n'avoir pas l'impression de les saturer même si cela fait maintenant pas mal de fois qu'ils voient chacun. C'est pour cela qu'avec les autres escorts ils échangent sur eux. Ça leur permet de proposer à chacune des prestations un renouvellement des positions et des modes de baise. Les clients eux même sont initiateurs d'évolutions. Ils me rapportent que certains sont parfois passifs avec eux (cela vient en confirmation des dire de leurs collègues). D'autres virent dominateurs hard, se permettant avec le temps des pratiques qu'ils ne pratiquaient pas, ou n'osaient pas pratiquer dans les premiers temps. Là, je leur demande s'ils remontaient bien ces infos à Jona pour le suivi du dossier clients. Comme ils n'y avaient pas pensé, je le dit de le faire rapidement. Ce fichier est à leur disposition justement pour que tous aient connaissance des évolutions de leurs désirs. Pendant qu'on discutait, ils se sont mis à poil. J'ai donc devant moi deux beaux jeunes hommes d'1m80 environ, châtain tous les deux, bien musclés comme tous mes autres escorts. Ben, le basketteur reste quand même légèrement plus fin. L'équipement de chacun, bien taillé et " dégagé aux oreilles " dénote leur souci de respecter les classiques de la maison. Quand je sors de leur chambre, je me fais interpellé par Com 1 & 2 qui me demandent quand est ce que je les évaluais. Je suis un moment étonné par leur interprétation de ces entretiens. Je réagis et leur répond que c'est juste un point sur la situation de chacun dans mon entreprise et dans leurs études et vie personnelle puisque le travail qu'ils font pour moi n'est pas aussi anodin que de servir des Big-mac !  
Kamal : Mon petit beur quasiment danseur professionnel et nonobstant petit ami d'Alexandre son professeur et initiateur. Son mètre 75 atteint à 18ans n'a pas changé depuis son entrée dans mon écurie. Il a pris 2 / 3 Kg de muscles mais pas plus, surveillant sa prise de masse pour garder la souplesse nécessaire à la pratique de sa discipline. Depuis qu'il bosse pour moi, les quelques difficultés qui étaient apparues dans son couple ont disparues. Lui qui ne supportait plus l'étroitesse d'une relation fidèle et surtout unique depuis son entrée dans la sexualité y a retrouvé un intérêt depuis qu'il " couche " pour moi et son portefeuille. Il est exclusivement réclamé par mes clients pour sa souplesse de danseur qui fait merveille quand il s'agit de baiser. Une de mes positions favorite avec lui c'est de l'enculer debout alors qu'il lève sa jambe en grand écart entre nous deux. Sa jambe relevée est coincée entre nos deux bustes, ma queue lui pistonne l'anus alors que son autre jambe est dirigée vers le sol qu'elle atteint sur la pointe des pieds (je suis quand même plus de 10cm plus grand). Chacun de mes coups de rein le soulève du sol et je porte son poids sur ma bite. Là, il se l'enfonce totalement dans son petit cul de danseur. Ça plus sa peau mordorée et ses cheveux noirs bouclés en font un véritable ange de sexe. Alexandre (son professeur de danse) l'avait bien vu, tout comme son potentiel de petit mec chaud du cul. Malgré toutes ces qualités ce n'est pas un de mes escorts les plus demandé. Par contre question prime personnel il est dans le premier 1/4. Comme il est redevenu très amoureux de son mec, 2 contrats pas mois suffisent à lui amener les variations qui lui vont bien. Ça plus les quelques touzes post sport de la maison bien sûr ! Cette position verticale, en plus d'être déjà possible contracte naturellement son anus et renforce l'effet sur ma bite. Alors que je me fais plaisir avec lui, je lui demande si c'est une position qu'il fait souvent avec mes clients. Sa réponse me parvient hachée par mes va et vient. Oui mais après une sodo classique où il chevauche le mec. Il attend d'être bien " rodé " et de se le prendre bien profond avant de la proposer. Là il fait un grand écart à l'horizontal et quand sa cheville se pose sur l'épaule du mec, ce dernier peut se relever ce qui les amène à notre position actuelle. En attendant la compression de son anneau commence à bien faire son effet et je rempli la kpote alors que son jus coule sur nos jambes. Ça vaut bien une bonne pelle !
Antony notre maitre-nageur :  Avec ses 25ans, il est dans les " vieux " de mon équipe. Toujours maitre-nageur à une des piscines de la ville, son activité pour moi est principalement la même. Il est notre coach en sports aquatiques. Depuis son arrivée, le niveau général s'est nettement amélioré, même de nos gymnastes les plus réfractaires. Celui de quelques-uns de mes clients et celui d'Emma aussi (elle ne le prend que pour ces seules compétences). Il est très content de sa nouvelle vie. Surtout depuis que le petit Guillaume qui m'avait gravement allumé justement à sa piscine l'a choisi comme partenaire privilégié depuis 2 ans. Comme je le rémunère pour son coaching sportif de ma petite bande, il ne fait des prestations " complètes " qu'une fois par mois environ. Avec Guillaume c'est même un peu d'amour qu'il s'agit, du coup la situation est stable pour lui. De mon côté je l'assure qu'il a toute sa place dans mon organisation. Lui aime l'ambiance et suivre les entrainements sportifs individualisés avec Jona.
Gwen (interne médecine) : Dans ces dernières années, sa disponibilité n'est pas fantastique mais j'arrive quand même à le faire travailler 2 fois par mois et il nous rejoint pour faire du sport au moins 1 fois par semaine. Ça n'en fait pas le plus sportif d'entre nous mais lui permet d'entretenir surtout son niveau de self défense et de maitrise de forcené. Notions qui lui servent de temps à autres quand il est d'Urgence. Depuis cette année, il assure aussi le suivit médical de la troupe et émarge comme tel dans les frais de ma société. Bien qu'hétéro il n'est pas fermé à une sexualité alternative. Et j'en profite !! C'est évident. Il me laisse l'enculer et c'est bon une rondelle rarement utilisée. Moins de maîtrise mais plus de spontanéité. C'est rafraichissant même s'il est plus vieux que moi. Brun 1 (interne médecine homo) : Lui, que le test avec la mère de Jean, avait ouvert les yeux sur son désir profond des queues de mecs, émarge aux mêmes conditions que Gwen. Les dernières années de médecine n'étant pas les plus légères en termes de temps de travail. Comme il est toujours partant maintenant pour se faire sodomiser, je n'hésite pas et l'encule plutôt hard. Ce que je sais qu'il aime maintenant. Surtout que j'avais confié sa " mise à niveau " à Pablo et André après son dépucelage qui avait engendré une bataille lors de sa mise aux enchères pas encore dépassée. Il est celui de mes étudiants en médecine qui se rend le plus disponible (rapport aux bi et hétéros). Je prends bien du plaisir à lui défoncer la rondelle et j'aime qu'il se laisse aller dans ses gémissements. Alors que nous reprenons nos souffles après l'optimum atteint, il me dit qu'il souhaiterait continuer encore quelques années même s'il est installé comme spécialiste. Il m'avoue trouver un intérêt personnel à se trouver dans la peau d'un escort. Il sait que c'est un peu irrationnel mais éprouve une grande excitation à l'idée de " louer " son corps. Il me dit qu'entre son internat et les prestations, il n'a pas eu le temps ni trouvé de petit copain. Même parmi les autres escorts de ma maison. Il apprécie les quelques fois où il peut rester aux 3ème mi-temps et là, il privilégie les rapports multiples. Ça fait trop peu de temps qu'il s'est avoué son penchant pour être déjà exclusif.
Jardinier
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justforbooks · 7 months ago
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Icône du cinéma français, Alain Delon s’est éteint ce dimanche 18 août, à 88 ans. De sa révélation sur le grand écran au début des années 1960 à son César du meilleur acteur, retour sur sa carrière en sept films emblématiques qui ont campé son style.
Il était l’un des acteurs qui a enregistré le plus d’entrées en France, totalisant plus de 136 millions de spectateurs avec l’ensemble des films qui l’ont mis en scène. Alain Delon est mort ce dimanche 18 août 2024, à l’âge de 88 ans, ont annoncé ses enfants. La star du grand écran a marqué le cinéma français de son empreinte avec 90 longs-métrages, qui ont façonné sa réputation de légende et son style caractéristique. En voici sept particulièrement marquants.
« Christine » (1958) : sa rencontre avec Romy Schneider Alain Delon n’a que 23 ans et a fait ses premiers pas au cinéma un an plus tôt, dans Quand la femme s’en mêle d’Yves Allégret, lorsque l’actrice allemande Romy Schneider le choisit sur photo pour tourner avec elle dans Christine, de Pierre-Gaspard Huit. Il y incarne le lieutenant Franz Lobheiner, amant d’une riche baronne autrichienne dont il veut rompre, qui tombe follement amoureux de la charmante Christine Weiring, jouée par la jeune star du cinéma qui n’a alors que 20 ans. La première rencontre entre les deux acteurs, à la descente de l’avion, deux mois plus tôt, n’était pourtant pas des plus concluantes. La barrière de la langue les sépare et le duo ne s’entend absolument pas. Ils finiront pourtant par tomber amoureux et former un couple connu comme « les plus beaux fiancés d’Europe ».
« Plein soleil » (1960) : la révélation d’un « jeune premier » Deux ans plus tard, Alain Delon est choisi par le réalisateur René Clément pour jouer dans une adaptation du roman Monsieur Ripley, de Patricia Highsmith. Alors qu’il devait jouer le deuxième rôle masculin, il parvient à convaincre l’équipe de réalisation qu’il serait plus adapté dans le costume du personnage principal, Tom Ripley, qui colle plus à son caractère un peu « voyou ». Avec ce rôle, Alain Delon se révèle sur le grand écran et pose les jalons de ce qui deviendra son style, charismatique et un peu rebelle. « Personne ne savait qui j’étais. Le film qui a fait le tour du monde, a été la base de ma carrière », avait d’ailleurs reconnu l’acteur.
« Le Guépard » (1963) : la palme d’or à Cannes Alain Delon y incarne Tancrède Falconeri, le neveu du prince Fabrice de Salina (Burt Lancaster) qui se lie d’amour avec une bourgeoise, Angelica Sedara (Claudia Cardinale), dans une Italie du milieu du XIXe siècle marquée par le déclin de l’aristocratie traditionnelle. Adapté du roman éponyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, cette fresque obtient la Palme d’or au Festival de Cannes en 1963 et devient un succès commercial et critique dès sa sortie. Alain Delon, au sommet de son élégance (moustache fine et raie sur le côté), y est l’incarnation de la noblesse. Le couple qu’il forme avec Claudia Cardinale entre dans l’histoire du cinéma. Le film comporte notamment une scène de bal devenue iconique, qui marque la victoire de la bourgeoisie sur la noblesse et où les trajectoires du trio principal trouvent leur aboutissement.
« Le Samouraï » (1967) : la consécration du « genre » Delon Cette première collaboration avec Jean-Pierre Melville donne l’un des chefs-d’œuvre de la filmographie de Delon, qui incarne le tueur solitaire Jef Costello. Fantomatique, inexpressif (son personnage n’a quasiment aucune réplique), obsédé par la maîtrise, avec son regard bleu froid, son imper et son chapeau : ce personnage est à la base du mythe Delon. L’esthétique de ce polar glacial influencera nombre d’autres cinéastes, dont John Woo ou Quentin Tarantino. La collaboration Delon-Melville accouchera d’un autre chef-d’œuvre, Le Cercle rouge (1970, avec Bourvil), avant Un flic (1972).
« La Piscine » (1969) : les retrouvailles avec Romy Schneider Mi-drame, mi-polar, ce film de Jacques Deray marque les retrouvailles entre Alain Delon et Romy Schneider, avec qui il a formé un couple mythique du cinéma français. Il n’y aura pas de retour de flamme entre eux mais la carrière de l’actrice allemande, alors en demi-teinte, redécolle. Plus de 3 millions de spectateurs plongent dans la piscine au-dessus de Saint-Tropez, fréquentée par le couple mais aussi par Maurice Ronet et Jane Birkin. Delon dira plus tard : « Ce film, je ne peux plus le regarder. Trop douloureux de revoir Romy et Maurice (morts en 1982 et 1983, N.D.L.R) rire aux éclats. »
« Borsalino » (1970) : son duo iconique avec Belmondo C’est encore grâce à Jacques Deray qu’Alain Delon connaît un vrai succès populaire avec Borsalino, où il forme un tandem iconique avec Jean-Paul Belmondo. Le film, histoire de deux jeunes voyous qui tentent de devenir les caïds de la pègre marseillaise, marque le point d’orgue du duo entre Delon et son rival, mais aussi ami. « Heureusement qu’il était là. Ni l’un ni l’autre n’aurait fait la même carrière sans l’autre. Il y avait une compétition mais aussi une sorte de stimulation entre nous. Ça m’aurait vraiment emmerdé qu’il ne soit pas là. Qu’est-ce que j’aurais foutu sans lui pendant cinquante ans ? » Le succès est au rendez-vous : le long métrage enregistre plus de 4,7 millions d’entrées et une suite, Borsalino and Co, sort au cinéma quatre ans plus tard.
« Notre histoire » (1984) : son seul César du meilleur acteur Malgré son immense carrière, Alain Delon n’a décroché qu’une seule fois le César du meilleur acteur obtenu en 1985 pour son rôle dans Notre histoire, de Bertrand Blier, sorti l’année précédente. Cette comédie dramatique, parfois absurde, parle de solitude et d’amour, autour de la rencontre dans un train, entre Robert, la quarantaine fatiguée, et une jeune femme désabusée, incarnée par Nathalie Baye. Le public ne suivra pas, mais la critique a majoritairement aimé ce film dans lequel Delon a pris des risques pour camper un personnage fragile, un ivrogne, bien loin de celui qu’il interprétait dans le Samouraï.
Alain Delon, qui avait commencé sa carrière à la fin des années 1950, était l’un des derniers monstres sacrés du cinéma français.
Né le 8 novembre 1935 à Sceaux (Hauts-de-Seine), Alain Delon fait ses débuts sur le grand écran à la fin des années 1950, dans Quand la femme s’en mêle, d’Yves Allégret.
Ces premiers pas au cinéma, il les doit à un « scout » qui les repère, lui et son charisme, lors d’un casting sauvage réalisé en marge du Festival de Cannes, à une époque où le jeune Alain Delon enchaîne les petits boulots. Quelques mois plus tôt, il était revenu d’Indochine, où il a servi dans la Marine, avant d’être renvoyé pour avoir, selon la légende, « emprunté » une jeep pour aller faire la fête. Un beau gosse un rien rebelle. Tout Delon est là, déjà.
Ce personnage de voyou magnifique, auquel sa nature semble le prédestiner, Alain Delon va l’étrenner, le perfectionner durant une bonne partie de sa carrière.
Très rapidement, on le verra ainsi incarner un tueur à gages dans Le Samouraï (1967), dans l’une de ses nombreuses collaborations avec Jean-Pierre Melville. Puis, dans Borsalino (1970), où il partage l’affiche avec son meilleur ennemi, Jean-Paul Belmondo, il prend les traits d’un éminent membre de la pègre marseillaise.
Toujours en 1970, dans Le Cercle rouge, il joue un autre bandit de classe, traqué par un Bourvil à contre-emploi. Mais, plus tard, les Français le verront passer de l’autre côté de l’insigne, dans Parole de flic ou Pour la peau d’un flic, film qu’il produira, comme une trentaine d’autres.
La rubrique des faits divers, celui qui ne cachera jamais ses attaches à droite la côtoiera également dans le civil. À la fin des années 1960, alors qu’il est au faîte de sa gloire, il sera ainsi entendu dans le cadre de la médiatique affaire Markovic, du nom de son ancien homme à tout faire yougoslave, retrouvé assassiné. La procédure, dans laquelle un ami d’Alain Delon, François Marcantoni, était le principal suspect, avait débouché sur un non-lieu pour preuves insuffisantes. Elle aura néanmoins perturbé le tournage du Clan des Siciliens, dans lequel il partage l’affiche Jean Gabin et Lino Ventura. Rien que ça.
Puis, au tournant des années 2023 et 2024, il sera l’objet d’une brouille entre ses enfants, Anouckha, Alain-Fabien et Anthony, sur fond d’héritage et de présence d’une « dame de compagnie », Hiromi Rollin. La découverte, quelques semaines plus tard, des dizaines d’armes que possède l’acteur dans sa résidence de Douchy (Loiret), finira d’alimenter une chronique qui aura quelque peu terni l’image de l’acteur.
Mais, entre-temps, Alain Delon aura peaufiné son autre facette, celle du séducteur à la gueule d’ange. Celle-ci crève l’écran dès 1960, dans Plein Soleil de René Clément et dans Rocco et ses frères, où Delon donne la réplique à Claudia Cardinale, sous les ordres de l’un de ses mentors, Luchino Visconti.
Ce séducteur patenté, les spectateurs le retrouveront régulièrement par la suite. Dans Le Guépard (1963), film-fleuve issu de l’œuvre de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, par exemple. Mais aussi, et peut-être surtout, dans La Piscine (1970), film sensuel dans lequel Delon donne la réplique à Romy Schneider, son ex-compagne.
Plus que ceux qu’il forma avec Nathalie Delon, Mireille Darc ou, un temps, avec Dalida, le couple mythique qu’Alain Delon forma avec l’interprète de Sissi, contribuera à le faire entrer dans la légende du cinéma français, celle à laquelle, diront ses détracteurs, il était si conscient d’appartenir. Difficile toutefois, en regardant dans le rétroviseur, de le contredire sur ce point.
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ernestinee · 6 months ago
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Aucune utilité à ce billet, si ce n'est me souvenir de ces détails qui concernent la maison et le jardin. L'année dernière on avait fait construire un poêle de masse dans la maison et on se préparait donc à passer l'hiver à se chauffer exclusivement au bois, et pour stocker tout ce bois, on avait construit un abri, et on s'est rendus compte qu'avec des bonnes mesures, des bons outils et une bonne technique, ce n'est pas si difficile de faire quelque chose qui est fonctionnel. Du coup j'ai ensuite construit moi-même un autre abri, plus long et plus large, pour ranger encore plus de bois. Alors c'est rien grand chose hein, des piquets à la verticale, ceux de l'avant plus haut que ceux de l'arrière, des tasseaux à l'horizontale pour renforcer l'ensemble et servir de support au toit en tôle ondulée. C'est pas très compliqué, le plus difficile est d'être de niveau et d'équerre.
Sur le même principe, l'homme a construit un car-port devant l'abri de jardin pour être au sec qd il travaille sur sa vieille voiture. Et il veut y couler une chape de béton avant l'hiver. Il faut creuser sur 30 cm, sur 18m², ça fait un tas de terre monumental et on va louer un conteneur pour évacuer toute cette terre. Puis après il faudra le bon mélange dans la bétonneuse, les brouettes, tout ça tout ça.
Moi j'ai eu envie d'un petit projet rapide donc j'ai récupéré les planches sur lesquelles il garait sa voiture et j'en ai fait une terrasse. Ce sont des planches de récup, qui servaient à faire refroidir les briques à la sortie des fours. J'ai passé une partie de la journée de samedi à me trimballer la remorque pour ramener le matériel, et puis j'ai trouvé que ce serait mieux avec trois plaques de plus. Deux heures de route plus tard je déplaçais ces plaques dans le jardin. 60 kg chacune. J'ai le dos en lambeaux.
Puis samedi soir j'ai démarré l'encadrement, j'ai continué dimanche matin, puis j'ai eu mes cinq heures de volontariat obligatoire (une ASBL que je devais représenter en faisant la vaisselle dans un festival gastronomique pour avoir des subsides) et dimanche soir j'ai continué de terminer l'encadrement. L'homme m'a juste donné un coup de main pour mettre les plaques sur les tasseaux parce que c'est lourd, mais quand c'est à plat et qu'il faut les placer précisément c'est encore plus lourd. Du coup voilà on a une terrasse. Je vais faire des bacs en palettes pour mes herbes aromatiques, trouver des petites lampes solaires et quelques gros pots colorés pour décorer, et je pense que je vais récupérer des structures de vieilles tables pliantes de bistrot, enlever la rouille et customiser. Il faut encore poncer un peu les planches et protéger de l'humidité, même si elles sont déjà traitées. J'espère qu'on aura un été indien pour prendre le petit dej sur la terrasse déjà cette année.
Le reste du jardin n'est plus une scierie ni un garage ni une friche, il reste encore beaucoup de boulot mais ça avance.
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brunswicked · 10 days ago
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CA Y EST LE PREMIER EPISODE DE NOTRE JEU EST SORTI 🎉
Vraiment contente du travail qu'on a abattu avec l'équipe. Sortir un jeu c'est toujours un miracle mais sortir un jeu en 2025......
Anyway, j'espère qu'il vous plaira ❤️ on y a mis tout notre amour, notre craft et nos 4 dernières années.
(ptet bientôt j'aurai plus de temps pour RP aussi, ENFIN)
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mavieaujourlejour · 25 days ago
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Mardi
Vendredi, je pars pour 8 jours dans le Sud, dans ma famille. Mon mari et mon fils ne viennent pas. C'est comme ça chaque année, à la même période, celle de mon anniversaire. Et j'apprécie ce temps déconnecté de ma vie de tous les jours, les moments passés avec ma mère et mon père, avec ma meilleure amie aussi. Les sorties, les resto et le jardin avec les mimosas en fleurs. C'est le cadeau que je me fais chaque année et qui m'évite de devoir organiser MON anniversaire et d'attendre le weekend pour que tout le monde soit dispo.
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ratislatis · 11 months ago
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OH HOW I HAVE MISSED MY INK PEN
(new wip on top. the bottom is an old doodle of Nishna I must’ve gotten from a myth; never forget that one time Lord Shiva eviscerated a god on impact because he didn’t feel like falling in love. what a king)
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impossiblyholyparadise · 6 months ago
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Un souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
Une autre soirée fut aussi tout autant une étape importante dans mon chemin vers le Candaulisme...
Une soirée étudiante ou presque d’Ana ma petite amie de l’époque.
Etudiante brillante et consciencieuse, elle avait voulu participer au fait que je lui avais ouvert mon appartement totalement et spontanément pour l’aider à réaliser ses études dès le premier jour de notre rencontre...
Quelques conflits récurrents avec ses parents lui pesaient.
Elle me les avait confiés le soir même de notre rencontre et je m’en étais aussi ému...
J’étais aussi pleinement amoureux...
Aussi, nous habitions ensemble depuis quelques mois sans que jamais je ne lui demande rien en retour.
Elle en était consciente et voulait-elle aussi participer.
Mener de front études et travail est un défi et un challenge où l’organisation et le rythme imposé sont parfois peu compatibles avec l’amour, les résultats et la fatigue...Elle le savait mais indirectement elle pensait me devoir tant sans pour autant ne lui avoir jamais rien réclamé en retour, ce qu’elle appréciait aussi beaucoup.
Elle avait quelques fois abordé le sujet mais je ne lui répondais toujours que d’un sourire, lui disant de vivre, de profiter, d’aimer, de travailler et d’être la plus heureuse possible...
Je crois, et je sais maintenant, que tout cela est aussi une racine profonde du Candaulisme...
Néanmoins, et c’est assez paradoxal, ce furent ses études qui lui permirent un jour de prétendre à un travail...
Il s’agissait en début d’année étudiante, sa deuxième année, d’être présente à la sortie des amphis et d’inviter et de sensibiliser ses jeunes collègues étudiants de première année à lire et surtout à s’abonner à des magazines divers et variés leur permettant d’élargir leurs connaissances dans des domaines voisins et importants de leurs sujets d’étude...
Aussi, se rendait elle en équipe pendant les quatre ou cinq  premières semaines de la rentrée dans les amphis, de tôt le matin jusqu’à parfois tard le soir, agrémenté de virées nocturnes dans les bars à étudiants de la ville.
Il le fallait selon les recommandations du responsable des ventes pour souder les équipes et faire connaissance de plus de monde encore au travers les premières soirées estudiantines organisées pour la cohésion des futures promotions...
Aussi, après des débuts enjoués et prometteurs sur le plan financier (chaque abonnement certifié faisait l’objet d’une ristourne de l’éditeur et comme il s’agissait d’abonnements annuels, les émoluments pouvaient parfois être réellement intéressants...) une certaine fatigue et quelques désagréments brisant notre agréable routine de jeune couple virent le jour.
Un rythme de travail assez effréné était demandé ainsi qu’une grande disponibilité pour « écumer » les facs de la grande ville où nous habitions...
Nous ne nous voyons plus beaucoup et mon appartement servait surtout de base arrière pour les présentoirs et les exemplaires des magazines et autres quotidiens en vente.
La fatigue se faisait réellement sentir et moi je devenais surtout celui qui l’hébergeait, lui faisait à manger (repas qu’elle prenait en fait rarement car son équipe très dynamique et pour tout dire « fêtarde » allait très souvent « célébrer » les résultats des uns et des autres dans un bar pour encore et toujours souder les équipes commerciales et profiter des contacts étudiants qui pouvaient s’y faire encore plus aisément autour d’un verre...
Aussi, sur le plan sentimental et sexuel, c’était plutôt la disette...
Dur, dur pour moi alors que d’ordinaire, nous étions rarement plusieurs heures sans nous câliner et sûrement pas et encore moins un jour......
Un petit « cérémonial » s’était néanmoins instauré car je crois qu’elle m’aimait sincèrement, pâtissait aussi de cette situation et s’en sentait un peu coupable même si la fierté de ramener de l’argent dans notre couple la motivait et la recompensait.
Ainsi, chaque soir (plutôt en milieu de nuit du coup...) où elle rentrait, juste après s’être douchée et alors que j’étais bien souvent endormi, elle venait me câliner, me prendre en main sexuellement parlant (elle aimait depuis nos premiers jours mon sexe, sa forme, sa douceur...)
Bref elle aimait ma bite, jouer avec pour me faire bander...
Chose qu’elle obtenait très rapidement au vu de sa dextérité et de ses envies manifestes...
En trentenaire ardent et vaillant, qui aurait pu s’en plaindre... ?
Elle me prenait alors rapidement en bouche pour me sucer (elle raffolait des fellations... !) et me taillait une pipe experte, souvent rapide en ces circonstances mais toujours appréciée, appréciable, adroite et victorieuse...
J’en appréciais totalement le bonheur tout en devant souvent rester sur ma faim et sur « la béquille » tandis que, quasiment à chaque fois, elle s’endormait en me gratifiant d’un « Bonne nuit mon amour », la bouche pleine et comblée de l’expression de mes désirs et de mon plaisir...
Elle aimait le gout de ma semence, l’avalait depuis toujours et l’appréciait...
Jamais elle ne m’avait sucé sans déguster le fruit de ses audaces et expertises.
Parfois même, elle me déposait un baiser légèrement gluant et chaud sur les lèvres...
Au début de notre relation j’en avais été surpris mais m’étais habitué et trouvais cela touchant en termes de partages et d’audace...
Ce rituel effectué, elle se tournait rapidement puis s’endormait profondément tout aussitôt...
Profondément était le terme : j’avais une ou deux fois, dans un état érectile indécent et difficile à calmer, n’arrivant réellement pas à m’endormir, voulu la prendre mais devant son corps si tendrement abandonné, j’avais résisté à l’envie de le faire sans son consentement express, même si rien ne pouvait me faire douter de ses désirs une seconde, pour la pénétrer sauvagement...
Elle ne m’en aurait pas voulu...
Non, j’en étais pleinement assuré et je pense même qu’elle aurait pu percevoir cela comme tout à fait légitime, voire même coquin...
Mais pour moi sans conscience et sans consentement il n’en était pas question...
Question de principe, de respect, d’honneur et tout autant de bonheur du partage.
S’en serait-elle même aperçue... ?
Du coup, pour quel plaisir... ?
Si je ne pouvais partager, je trouvais assez absurde de ne satisfaire que moi...
Oui, elle dormait très profondément !
Pour autant, souvent pris par les désirs et la beauté de son corps alangui qu’elle abandonnait parfaitement et naturellement à ma vue, (elle ne dormait que nue et y tenait),  je la caressais tendrement, bandant là encore comme un fou, et la couvrais de baisers ...
Le spectacle de son corps abandonné et offert sans défense enchantait et régalait au plus haut point mes yeux... Et pas que...
Ce n’était rien qu’en cela et déjà un réel bonheur...
Je dois confesser que parfois, il m’arrivait même de me masturber en la regardant, si belle, innocente, ...
 Je m’autorisais aussi de mes lèvres et de ma langue à la humer, la titiller sans la réveiller, la couvrir de baisers et notamment sur son sexe...
Quelques gémissements parfaits attestaient qu’elle ressentait sûrement mes attouchements sans pour autant en être réveillée... C’était réellement délicieux...
Oui, je me satisfaisais et même me régalais de tout cela à défaut de pouvoir lui faire l’amour comme j’en avais envie et l’honorer pleinement comme à nos habitudes...
Cependant, un soir, elle rentra un peu plus tard et vint directement se coucher...
Elle ne manqua pas pour autant à nos nouvelles habitudes et me suça talentueusement, avec même une gourmandise et une ardeur qui me rappelaient les pipes interminables dont elle était experte et adorait me gratifier avant d’incorporer cette équipe commerciale et qui j’en étais sûr ne tarderaient pas à reprendre une fois cette parenthèse économique terminée...
Je fus bien entendu ravi de sa prestation et lorsqu’elle vint m’embrasser à pleine bouche avec délectation et gourmandises, je perçus un goût légèrement différent du mien et de l’ordinaire...
Je n’en fis pas un problème et mis cette différence sur le compte de l’alcool et de la soirée festive qu’elle venait manifestement de passer...
Je la laissais s’endormir et poursuivis seul mon cérémonial...
Non douchée et manifestement très fatiguée, certainement assez ivre, elle ne s’était pas couchée nue comme d’habitude à mon grand étonnement mais avait conservé sa robe légère de soirée ainsi que son string que je pouvais deviner alors qu’elle se lovait sur le côté remontant ses jambes et redressant du coup sa courte robe sur le galbe de ses sublimes fesses...
Comme d’habitude, je ne résistais pas au plaisir de la couvrir de baisers et de caresses me sentant même encore plus entrain de la voir m’être revenue guillerette et heureuse, encore plus que d’ordinaire de sa soirée...J’aimais la voir heureuse et satisfaite...
Poursuivant mes « voyages », je relevais d’avantage sa robe sur son cul...
Je baisais de mes lèvres entreprenantes ses fesses et m’approchais de sa fente...
J’avais pris l’habitude, quoiqu’il arrive d’y déposer tous les soirs un baiser et même parfois d’oser y introduire légèrement la pointe de ma langue afin de gouter aux douces saveurs de sa chatte aux effluves pour moi si envoutantes...Elles berçaient, enchantaient et embaumaient ainsi quoiqu’il arrive mes nuits d’une telle douceur...
J’entrepris alors de mes doigts agiles de déplacer légèrement son string, sans la réveiller, car la ficelle fermait partiellement l’accès à sa délicieuse fente...
Je fis glisser le trait d’étoffe de mes doigts et qu’elle ne fut pas ma surprise de constater qu’il était complétement trempé et même qu’une sorte de méat un peu gluant semblait y être déposé...
Une jouissance... ? Du sperme... ?
L’ire et ma jalousie prirent immédiatement le contrôle de mon cerveau et de mes émotions
J’en restais, mentalement et physiquement sur le cul...Le sang affluant et bouillonnant dans mon esprit et mon corps...
Elle avait baisé... !
Elle avait dû baiser avec un autre... !
Un autre que moi dans cette putain de soirée...Et dans ce con qui était censé n’être qu’à moi... !
Je me sentais dans une telle rage, une telle colère...
Que faire... ?
Assis sur mes genoux, la regardant avec des yeux totalement différents de l’habitude...
Son string encore là...tout souillé du sperme d’un autre...j’en étais sûr...!
Instinctivement j’approchais mon visage et mon nez jusqu’ à y porter mes narines puis ma langue...
Oui, oui, c’était ce même goût que j’avais identifié dans le baiser donné avant qu’elle ne s’endorme...
La salope ! Elle m’avait trompé cette chienne..., c’était sûr...
Cette salope, ma salope... !
Ma chienne alors qu’on s’était toujours promis d’être complice quelque fut notre ou nos envies... !
Néanmoins, je ne parvenais pas à décoller mon regard de son cul et de son sexe encore gonflé et emplit d’un autre...Non je n’y parvenais pas, et même en moi j’arrivais à trouver des ressources et un calme doux qui maintenant m’envahissait…
J’avais bien des « papillons » dans le ventre..., un vertige dans la tête...
Mais étonnamment, pas ou plus de colère... !
A tel point que je me suis de nouveau penché...
De nouveau j’ai humé ce méat que je ne pouvais même plus détester... !
Son string était tellement imprégné de la mouille et de son odeur qu’il en devenait agréable, tant à la vue qu’à l’imaginaire...Oh oui elle avait du réellement jouir...
Je ne pus m’empêcher de retourner le sentir, le toucher, le « tester » même de mes narines...
Plusieurs fois...
Le goûter même...
Puis d’instants en instants jusqu’à la lécher consciencieusement, minutieusement avec, je devais me l’avouer, un plaisir grandissant, subjuguant et effaçant de manière incroyable toute colère ...
J’en profitais abondamment...J’aimais... !
J’en étais stupéfait mais j’aimais... !
J’aimais surtout à m’imaginer la saillie qu’elle avait subi, la saillie de son con et le plaisir qu’elle, qu’ils avaient dû connaitre...Je n’étais même pas jaloux de ne pas y avoir été...
Un peu vexé...j’aurais préféré que pour une première, même si je lui avais déjà confié ce fantasme du mari trompé avec son plein acquiescement mais présent...Elle était allée plus loin...
Plus vite même que je n’avais secrètement jamais imaginé ou désiré...
Pour autant c’est un rêve secret dont je lui avais fait la confidence et que par bravade je l’avais assurée que je ne serais pas jaloux...
En fait, si un peu, mais pas si fortement que cela ...
Assurément déçu qu’on n’ait pas partagé cette première et de ne pas avoir l’histoire de cette incartade ni d’avoir pu y assister...
Lorsqu’on en avait parlé et évoqué elle ne m’avait pas caché la possibilité que cela puisse arriver tant elle aimait le sexe, attirait les hommes et avait conscience de ses désirs et de ses faiblesses...
De plus, en lui ayant fait la confidence de ce Candaulisme naissant que je sentais déjà vivre en moi, je ne pouvais rien lui reprocher...
Elle avait seulement anticipé mes désirs et peut-être plaisirs...
Je ne les avais pas imaginés de la sorte et s’imposer aussi brutalement à moi...
Pour autant, qu’en restait-il pour moi... ?
Je venais de le constater...Je le constatais en direct...
Du plaisir, de la cérébralité, de l’amour pour le sexe, de l’amour pour elle, des envies...
Encore plus d’envies ...
Encore plus de désirs et d’amour pour elle comme je l’avais imaginé et quelque part voulu et demandé...Alors... ?
Plus encore quand je me rendis compte que je bandais comme un taureau et ne débandais pas alors que de longues minutes s’étaient déjà passées a regarder, que dis-je, admiré et fantasmé sur sa chatte épanouie, belle et manifestement comblée et heureuse...
 Je n’avais ainsi, à cet instant, que l’irrésistible envie de la baiser comme la chienne qu’elle était, celle que j’avais souhaité qu’elle soit...
Oui, je bandais comme un fou et contrairement à ma réserve et mes principes des soirs auparavant, je l’ai prise sauvagement, bestialement, jusqu’à la faire jouir comme peut-être jamais, ni elle ni moi-même n’avions jouis comme cela depuis longtemps et sommes partis dans un orgasme fulgurant et absolu qui me faisait de nouveau encore plus encore bander, devenir fou d’elle, fou de son corps, fou de son con, fou de ses jus...
Elle s’était réveillée...Jouissait ...hurlait...m’en demandait encore et encore... !
C’était incroyable... ! Irréel... !
Nous avons fait cinq ou six fois l’amour cette nuit-là  sans jamais nous lasser et nous nous sommes endormis tendrement l’un dans les bras de l’autre...
Au petit matin, elle est venue sensuellement me réveiller, me remercier de cette folle nuit et de la liberté que j’avais pu lui accorder, me disant qu’elle avait tant rêvé dans ses fantasmes les plus insensés de ce genre de nuit...
Elle me dit que toute cette intensité et ces besoins sexuels lui avaient manqués depuis un certain temps et son incorporation dans cette team de vente...Nous n’avions quasi plus le temps de faire l’amour... !
Que cette nuit un homme plus âgé mais beau lui avait fait du rentre dedans, l’avait fait boire, l’avait séduite et convaincue de passer à l’acte sans même me prévenir (elle était bien consciente de ce manque mais m’ayant informé que cela pouvait arriver et moi lui ayant tant parlé de ce fantasme du mari trompé consciemment... elle s’était dit avant de s’abandonner totalement à lui dans les toilettes du bar que cela ne changerait rien aux choses et que si notre amour était bien réel et celui qu’elle m’avait décrit et toujours imaginé était bien présent, alors cela ne poserai pas de problème...)
Oui elle s’en voulait de ne pas avoir pu le vivre avec moi en direct live...
Oui elle s’en voulait de ne pas me l’avoir dit directement en rentrant...
Elle ne voulait pas m’inquiéter et me priver de notre petit rituel jouissif et s’était endormie si ravie, heureuse et comblée surtout quand elle avait osé ce baiser fou dont elle avait si souvent rêvé, mêlant le sperme de cet amant de passage au mien dont elle appréciait tant la saveur...
Oui, bien évidemment elle l’avait sucé, avant, et surtout après qu’il l’ai prise sur un lavabo des toilettes communes du bar et alors qu’il s’essuyait le dard encore gorgé de semence sur son string qu’il avait adroitement écarté pour la pénétrer sauvagement, elle l’avait de nouveau sucé ... !
Accompagnés d’un autre couple se livrant aux mêmes exploits sexuels qu’eux, elle avait indirectement fait une compétition avec l’autre fille qui était par ailleurs sa chalengeuse pour obtenir une prime supplémentaire en raison du nombre de magazines vendus tout au long de leur journée de labeur...
La compétition faisait rage et n’avait pas de limite...
La fille s’était tournée vers la glace surmontant le lavabo pour se refaire une discrète beauté...
Ana avait ressaisi le sexe de son partenaire et l’avait embouché pour le nettoyer scrupuleusement...
Oui ; elle craquerait sûrement sur d’autres, en d’autres lieux, en d’autres soirées, avec moi, sans moi, Elle aimait trop ça... !
Elle m’aimait à la folie... !
Tout comme elle aimait plus que tout sa liberté.
Elle m’assurait qu’elle saurait me récompenser au-delà de mes attentes si je lui procurais tout à la fois la sécurité et la folie de cette impensable liberté...
Dans les vapeurs de la nuit, j’acquiesçais à tout ce qu’elle disait...
Ses aveux étaient si authentiques, touchants et somme toute correspondant tellement à mes aspirations les plus secrètes que je lui pardonnais instantanément et pour toujours...
Elle parti comme d’ordinaire et nous n’avons plus jamais eut à parler de ces instants.
D’autres similaires se reproduiraient...
Beaucoup d’autres à mon et notre plus grand bonheur... !
Je savais qu’elle pourrait de nouveau me tromper...
Sans moi,...Avec moi...Peu importerait pourvu qu'elle me revienne et me conte ses exploits...
Elle savait qu’elle pourrait me tromper...
Nous savions l’un et l’autre ...mais nous le savions maintenant...
Et surtout nous en jouissions si intensément que nous n’en avons jamais eu à en reparler.
Je savais que j’étais réellement Candauliste...
Elle savait qu’elle était une terrible baiseuse, une amante hors-pair et là, maintenant devenue une Hot-Wife comme les nomment les anglo-saxons...
Pour le plaisir de tout le monde, le sien d’abord, le mien, celui de ses futurs amants celui d’avoir une vie sexuelle, libre, riche, épanouie et épanouissante...
Nous en avons réellement profité toutes ces années de fac...
Un jour elle partit étudier définitivement à l’étranger...
Cela ne changea rien...
Ni pour elle, devenue près d’un de ses professeurs de Fac américaine et beaucoup plus âgé qu’elle, la Hot-Wife respectable et respectée qu’elle avait toujours voulu être, la lady américaine classe et parfaite le jour et aux désirs "naughty" de chaque instant...Un des paradoxes de l'Amérique...
Moi, je lui dois d'être devenu pour toujours Candauliste...
Je me souviens tant et avec tant d’émotions, parfois même érectiles, de ces instants où j’ai découvert son string imbibé de sperme, admiré, vu et goûté sa chatte gonflée de plaisir, partagé tant et tant de fois avec elle ces plaisirs et d’autres ensemble, cette philosophie et ce style de vie...
J’ai parfois eu des nouvelles et surtout j’ai toujours eu depuis ses confidences érotiques écrites par mail sur un site dédié à ces pratiques outre-Atlantique, ses délires et ses escapades sexuelles...
Elle s’en était fait un principe de me les dire, comme un légitime devoir envers moi.
Je ne lui demandais rien mais forte et fière de cette liberté que j’avais su lui donner, elle m’informait toujours, parfois même avant son mari, de ses rencontres et péripéties sexuelles variées et nombreuses...
C’est encore aujourd’hui le cas et c’est si bon et intense...
Elle est même devenue BBC, je n'en fus pas surpris connaissant les descriptions des Blacks qu'elle pouvait parfois rencontrer à la Fac et qui à chaque fois qu'elle m'en faisait la confidence la mettait dans des états torrides dont je profitais allègrement...
Moi, j’étais devenu et serais Candauliste pour la vie...
Merci à elle....Merci Ana...Je t’ai enseigné la liberté...Tu es bonne élève, tu as dépassé et il en est fier et heureux, le « maitre »...
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au-jardin-de-mon-coeur · 10 months ago
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JE ME SUIS FAIT UNE PROMESSE.
Je me suis fait une promesse :
Celle de prendre désormais soin de moi avec bienveillance, douceur et tendresse.
Il m'a fallu bien des années,
Pour comprendre que si je ne travaillais pas sur moi, ma vie ne changerait jamais...
J'ai commencé par arrêter de lire en boucle les anciens chapitres de ma vie,
Pour en démarrer un nouveau plus calme et plus léger dans mon esprit...
Je suis sortie de ma zone de confort,
et, j’avoue, cela m’a demandé beaucoup d’efforts... J'ai cassé ma carapace construite comme barrière de protection.
Me protégeant de tout ce qui remuait trop mes émotions... Je me suis libérée de mes blessures émotionnelles. J’ai enfin pu déployer mes ailes... Je me suis rapprochée des personnes qui me font rire.
Et j'ai enfin eu la force de quitter celles qui me faisaient souffrir...
J'ai réussi à lâcher-prise dans certaines situations, En écoutant attentivement mon intuition... J'ai osé croire en mes choix,
En mes rêves, et en moi...
J’ai écouté les messages de mon cœur, la signification de mes douleurs. En les accueillant pleinement, j’ai découvert le véritable sens du mot bonheur...
Oui je me suis fait une promesse,
Celle de prendre désormais soin de moi avec bienveillance, douceur et tendresse...
Pour qu’enfin je puisse moi aussi,
Être heureuse dans ma vie...
Et toi oui toi dis moi, quelle promesse est-il temps que tu te fasses à toi-même ... ?
Prenez soin de vous et des vôtres !
J-M
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vinylespassion · 4 months ago
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Les Surfs par A. Pelbaum, 1963
Les Surfs est un groupe vocal familial originaire de Madagascar, formé par six frères et sœurs de la famille Rabaraona : Coco, Pat, Rocky, Dave, Monique et Nicole. Le groupe est initialement connu sous le nom de "Rabaraona frères et sœurs" et se fait remarquer en 1958 après avoir remporté un concours de chant à Madagascar, interprétant des succès des Platters. Ils commencent alors à se produire à travers Madagascar.
En 1963, le groupe est invité à Paris pour représenter Madagascar lors de l'inauguration de la deuxième chaîne de télévision française. C'est à ce moment qu'ils prennent le nom Les Surfs. Leur premier grand succès en France arrive avec la sortie de la chanson "Reviens vite et oublie", une adaptation française de "Be My Baby" des Ronettes. Cette chanson reste en tête des hit-parades pendant plusieurs mois en France, Espagne et Mexique.
Les Surfs deviennent rapidement une révélation musicale des années 60, se produisant à l'Olympia et participant à de nombreuses émissions télévisées. Leur style s'inscrit dans le mouvement yé-yé, très populaire à l'époque, et ils tournent dans plusieurs pays d'Europe et d'Amérique latine. Ils ont enregistré dans plusieurs langues, dont le français, l'anglais, l'espagnol et l'italien et ont partagé la scène avec des artistes renommés comme Tom Jones, Les Rolling Stones, et Stevie Wonder.
Le groupe se sépare en 1971 après une tournée au Canada. Certains membres, comme Rocky et Monique, ont tenté des carrières solo. Les deux sœurs Monique et Nicole sont décédées respectivement en 1993 et 2000.
Leur carrière aura marqué la scène musicale francophone des années 60 avec des ventes de millions de disques et une influence durable dans la variété et la pop internationale.
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leschosesetlesfantomes · 18 days ago
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Je recycle des formes anciennes. Je cherche l’impact de la chair. Les fluides provocateurs. Les sentences de la violence. Mais l’on ne fait pas de neuf avec l’ancien. Je dois me remettre face à la caméra, avec le noir qui m’habite maintenant. Les années passent et le noir se densifie. Les creux se remplissent. À la fin, je suis une déchetterie. Je suis si nombreuse que le tri est délicat. Je suis si sale que la pudeur n’est plus de mise. Je reconnais de mieux en mieux les ombres laissées dans les miroirs. Et moi qui voulais être une grande sage. J'allais sur une route tracée pour moi et non par moi. Grande sage de personne. Chienne enragée de tout le monde.
Cette nuit, dans un rêve, je me suis échappée sur le dos d’un oiseau. Je devais choisir entre mon camp et celui de mes adversaires. Je restais figée sur un mur de pierre à moitié dévasté. Quand un ennemi m’a sortie de la sidération. Il m’a dit de suivre mon propre chemin. Et de me dépêcher au lieu de penser à ces histoires. Il n’y a pas « bon » ou de « mauvais » côté. Il n’y a pas plus d’ennemis que d’amis. Il y a ce que l’on trouve au fond du gouffre. Alors j’ai sauté. Je me suis échappée sur le dos d’un oiseau.
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melachanart · 1 year ago
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RADIANT - Draw this in your style !
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Ma participation au Draw This In Your Style de Tony Valente à l'occasion de la sortie du tome 18 de RADIANT !
Cette année on a le choix entre toutes les couvertures des tomes pour fêter les 10 ans, alors j'ai pris celle qui est sans doute ma préférée : La version collector du tome 10. Mais j'ai ajouté quelques petites modifs. (6w6)7
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Aussi j'en profite pour republier d'autres couvertures que j'ai DrawThisInYourStylé ces dernières années !
RADIANT (c) Tony Valente
Fanarts by @melachanart
DO NOT REPOST/STEAL PLEASE. Thank you.
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