#Albert Marqués
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jartita-me-teneis · 3 months ago
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Fernando Lamas y Albert Einstein.
La ignorancia y la sabiduría.
La Paramount organizó una cena-cóctel para agasajar al profesor Einstein que estaba de visita en Los Ángeles para dar una serie de conferencias en la Universidad. Comunicó a sus allegados que su más vivo deseo era visitar uno de los grandes estudios de Hollywood, así como conocer de cerca a los actores y actrices, una clase de gente que despertaba su curiosidad y con la que no había tenido nunca el menor contacto. En menos de veinticuatro horas se envió un centenar de invitaciones a las estrellas, conminadas a colaborar en el homenaje al ilustre visitante.
Albert Einstein llegó vestido de un modo extravagante. A primera vista se le hubiera podido confundir con un pariente pobre de Groucho Marx. Varias mujeres dejaron pasar unas risitas. Hombres tan elegantes como Fred Astaire y Cary Grant, se quedaron por un instante atónitos. Llevaba un pantalón de franela gris con grandes manchas verdosas alrededor de la bragueta, una chaqueta negra de gastados codos y solapas salpicadas de lamparones y un chaleco que había sido gris, cruzado por una gruesa cadena de reloj. Calzaba zapatos de estilo montañero que no habían visto el betún en meses. Por uno de los bolsillos de la chaqueta asomaba la mitad de una boina.
Tras visitar varios platós donde se estaban rodando películas, llegaron ante el local preparado para la cena. Allí se hicieron los típicos corrillos cada vez que el viejo sabio se acercaba a algún actor o actriz. Todos soñaban con poder hablar con el sabio profesor, esperaban que se les acercara… De pronto, en uno de los corrillos alguien señaló hacia un lugar de la estancia: allí estaba el viejo sabio hablando con Fernando Lamas, como dos buenos colegas. Lamas, era un actor argentino de gran éxito con las mujeres del que algunos que le conocían bien, decían que era más tonto que un haba.
Cuando por fin Fernando Lamas se levantó para despedirse de Einstein, se acercó a un grupo de los que contemplaban atónitos la escena, y el actor Jason Robbards le preguntó:
-¿Qué le estabas contando a Einstein?
-¿Einstein? ¿Quién es Einstein?
-¡El profesor Einstein! El anciano caballero con el que estabas hablando hace un momento.
-¡Ah… de modo que se llama Einstein! ¡Como el dentista de mi suegra! Ya me parecía a mí que tenía pinta de judío.
-Fernando, ¿es que no has leído lo que pone en tu invitación?
-Yo no estaba invitado. He venido con Dean Martin.
-Fernando, por favor, dinos que estabas hablando con Einstein
El círculo se estrechó en torno al actor argentino, que se sirvió un whisky antes de contestar:
-Bueno, ya sabes de lo que se habla con un anciano… De todo un poco… Me decía que tengo mucha suerte de ser un actor porque estoy siempre rodeado de mujeres hermosas a las que puedo besar y hacerles el amor… ¡Figúrate! El pobre está completamente fuera de juego. Le he explicado que no hay que fiarse de las apariencias y que toda medalla tiene su reverso. Le he contado que en mi oficio nada es nunca como uno quisiera y que en este mundo todo es relativo.
Jason Robbards, exclamó:
-¿!Tú, Fernando Lamas, le has dicho al profesor Einstein que en este mundo todo es relativo!?
-Pues sí. Y estaba perfectamente de acuerdo conmigo, porque me dijo que él también tenía una teoría al respecto. Fue entonces cuando me levanté para despedirme, antes de que me largara su dichosa teoría…
Al parecer, años más tarde, en tiempos de Perón, los argentinos quisieron nombrar ministro de cultura a Fernando Lamas. En el informe que el gobierno poseía sobre el actor, pesaba mucho un dossier que hablaba de su estrecha amistad con el profesor Albert Einstein.
Menos mal que el nombramiento no se llevó a cabo.
"Memorias no autorizadas" Vol. III, / "La flor y Nata".
José Luis de Vilallonga y Cabeza de Vaca. / Marqués de Castellbell.
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William James Sidis était-il la personne la plus intelligente ?
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Quand il avait 5 ans, il savait utiliser une machine à écrire parlait le latin le grec le russe le français l'allemand et l'hébreu. Fort de ses connaissances il à postulé a Harvard à 6 ans et sait vu refuser l'accès. Il a fallut attendre ses 11 ans pour y entrer.
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Alors que ses tests de QI ont été perdus dans l'histoire, certains enregistrements montrent qu'il avait un QI entre 250 et 300.
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Juste à titre de comparaison, Stephen Hawking avait un QI de 160, Albert Einstein avait un QI entre 160 et 190, et Gary Kasparov, le célèbre joueur d'échecs, a marqué 194. À l'heure actuelle, le test officiel le plus élevé est celui de Terence Tao, Australien-Américain de 43 ans qui a marqué entre 225 et 230, et titulaire de la chaire James et Carol Collins en mathématiques à l'Université de Californie, Los Angeles
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plaques-memoire · 28 days ago
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Plaque en hommage à : Albert Ier
Type : Commémoration
Adresse : Institut océanographique, 195 rue Saint-Jacques, 75005 Paris, France
Date de pose : 1910 [inscrite]
Texte : En l'an MDCCCCX Albert Ier, Prince souverain de Monaco, membre associé de l'Institut de France, a édifié ce monument consacré aux sciences océanographiques
Quelques précisions : Albert Ier (1848-1922) est un homme politique monégasque, prince souverain de Monaco de 1889 à sa mort. Pacifiste, il déclare la neutralité de Monaco durant la première Guerre mondiale tout en aidant la France à traiter ses blessés. Il est particulièrement honoré pour son mécénat et son soutien à divers domaines artistiques et scientifiques pour lesquels il éprouvait une forte curiosité. Vivant dans une époque fortement marquée par l'attrait de la modernité et le progr��s scientifique, il se découvre notamment une vive passion pour l'océanographie. Il sera ainsi propriétaire et commandant de son propre navire océanographique, l'Hirondelle, qui sera rejoint ensuite par d'autres navires, et organisera ainsi de nombreuses campagnes scientifiques qui l'amèneront notamment à publier, au début du XXème siècle, une Carte générale bathymétrique des océans. Il fait créer, en 1898, le Musée océanographique de Monaco, et, quelques années plus tard, l'Institut océanographique de Paris. Il s'intéresse également à d'autres domaines scientifiques (comme la paléontologie et l'anthropologie), à diverses formes d'art (peinture, théâtre, musique) et au sport. Sa mort donne lieu à de nombreux hommages qui saluent ses contributions à la science et au rayonnement de Monaco dans le monde entier.
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nilzou · 1 month ago
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3 octobre 2024 midi - Passage à la plage des sables rouges en marée basse
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Note:
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-> Le précédent poste du blog est ici
-> Le poste suivant du blog est ici
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12h30: Je finis de manger mon repas du midi (le sandwich rio de la boulangerie ‘officielle’ pour les sachants et curieux). Le soleil est à son zénith. J’amorce mon retour à la maison. Je passe comme d’hab par le Moulin blanc.
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Il fait bon… let’s go faire une petite marche le long de la côte. J’aime marcher en bord de mer pour entendre les clapotis des vaguelettes et aussi sentir le vent. La mer est basse donc le rivage est loin du sable sec. J’arrive à la première digue et je vois de l’autre côté des pêcheurs à pied.
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Je suis encore en forme et la curiosité l’emporte. Je passe au-dessus de la digue recouverte d’algues séchées par le soleil du midi. Je continue ma marche et atteint le premier pêcheur. Il me dit qu’il pêche les appâts pour la pêche. Encore une fois, les noms m’échappent mais un nom a marqué mon esprit: les bibi, marrant comme nom. Le pêcheur m’a listé un nombre incommensurable de type d'appât. A chaque appât son poisson. Lui il voulait des dorades.
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Petite déception pour moi qui m’imaginais un spot insoupçonné à palourde ou à couteaux sur Brest même. En cours de discussion j’apprend que c’est le début de la marée montante. Bon bah j’ai le temps pour aller plus loin. Je vais pouvoir m’approcher du pont de Plougastel qui me paraît tout de même loin de visu.
Au passage j’arrive à une plage que j’ai déjà connu : La plage des sables rouges.
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J’y ai été à marée haute la première (et unique) fois. A ce moment seuls les récifs étaient accessibles à pied. Je m’étais un peu rapproché à la nage du pont. La vision de celui-ci au niveau de l’eau offrait une perspective intéressante… que j’ai immortalisée de mémoire faute d’autre moyen au moment de la découverte. A marée basse c’est pas la même ambiance. J'ai ‘enfin’ (si on peut dire ça) l’opportunité de me rapprocher du pont de Plougastel à la marche sur le sable. Plus je me rapproche plus je prend des photos.
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Le pont en premier plan est le pont Albert Loupe alors réservé aux piétons. Les voitures ont le pont d’Iroise qui est le pont à hauban en arrière plan. D’après wikipedia ce pont est utilisé quotidiennement par 45 000 conducteurs. J’arrive au plus proche des ponts. Je vois un itinéraire pour rejoindre le début du pont piéton.
13h30: J'arrive à la pointe Saint-Georges. De l'autre côté du pont, en direction de Plougastel, je vois le rocher de l’Impératrice. Un rocher que mon ancienne coloc m’avait parlé qui offre un point de vue sur le coucher de soleil qui, paraît-il, vaut le détour. Je le vois pour la première fois de mes propres yeux. Il me semble un peu trop loin pour l’atteindre aujourd’hui mais maintenant je sais le situer. Je stocke cette information dans ma tête. J’amorce le chemin de retour en terre ferme sur le sentier côtier pour rejoindre Moulin blanc avec en tête de retourner à la maison.
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14h30: J’arrive au moulin blanc. Il faut que je reprenne des forces… Let’s go au Tour du monde, un bar emblématique de Brest. Je n’avais jamais mis les pieds sur Brest que je connaissais déjà ce bar aussi connu sous son acronyme le TDM. Je prends une petite bière au couleur régionale.
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Je me pose en terrasse pour profiter du soleil qui s’est fait si rare cette année. Classique, après ma bière je me prends une pinte d’eau.
15h13: C’est le moment où j’ai décidé de partir.
Première version achevée le 7 octobre 2024
Note : Le poste suivant du blog est ici
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goalhofer · 2 months ago
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2024 olympics Spain roster
Archery
Pablo Acha (Burgos)
Èlia Canales (Tarragona)
Athletics
Julio Arenas (Madrid)
David García (Alcorcón)
Ibrahim Chakir (Seville)
Yago Rojo (Madrid)
Mohamed Attaoui (Torrelavega)
Adrián Ben (Viveiro)
Elvin Canales (Girona)
Ignacio Fontes (Ciudad Granada)
Mario García (Villar De Gallimazo)
Adel Mechaal (Palamós)
Thierry Ndikumwenayo (Castellón De La Plana)
Abdessamad Oukhelfen (Reus)
Enrique Llopis (Gandia)
Asier Martínez (Zizur Mayor)
Daniel Arce (Burgos)
Iñaki Cañal (Gijón)
Óscar Husillos (Palencia)
Tariku Novales (Santiago De Compostela)
Diego García (Madrid)
Álvaro Martín (Llerena)
Paul McGrath (Barcelona)
Miguel López (Murcia)
Jordan Díaz (Guadalajara)
Jorge Ureña (Onil)
Ester Navarrete (Vigo)
Dr. Meritxell Soler (Barcelona)
Cristina Montesinos (Terrassa)
Jaël Bestué (Barcelona)
Lorea Ibarzabal (Madrid)
Lorena Martín (Ciudad Salamanca)
Esther Guerrero (Banyoles)
Águeda Marqués (Segovia)
Marta Pérez (Soria)
Marta García (Ciudad León)
Carolina Robles (Dos Hermanas)
Irene Sánchez-Escribano (Ciudad Toledo)
Sonia Molina-Prado (Manzanares)
María Pérez (Seville)
Paula Sevilla-López (La Solana)
Carmen Avilés (Madrid)
Blanca Hervás (Madrid)
Eva Santidrián (Burgos)
Berta Segura (Lleida)
Majida Maayouf (Bilbao)
Laura García-Caro (Lepe)
María Pérez (Valencia)
Fátima Diame (Valencia)
Tessy Ebosele (San Sebastián)
Ana Compaoré (Guadalajara)
María Toimil (Mugardos)
Yulenmis Aguilar (A Coruña)
Badminton
Pablo Abián (Calatayud)
Carolina Marín (Huelva)
Basketball
Lorenzo Brown (Roswell, Georgia)
Jaime Pradilla (Zaragoza)
Rodolfo Fernández (Palma)
Xabier López-Arostegui (Getxo)
Santi Aldama; Jr. (Las Palmas De Gran Canaria)
Darío Brizuela (San Sebastián)
Alberto Díaz (Ciudad Málaga)
Juan Hernangómez (Madrid)
Guillermo Hernangómez (Madrid)
Destiny Garuba (Azuqueca De Henares)
Alejandro Abrines (Palma)
Sergio Llull (Maó)
Mariona Ortiz (Calella)
Laura Gil (Murcia)
Alba Torrens (Binissalem)
María Pérez (Vigo)
Queralt Casas (Girona)
Leticia Romero (Agüimes)
Leonor Rodríguez (Las Palmas De Gran Canaria)
María Cazorla (Las Palmas De Gran Canaria)
Andrea Vilaró (Barcelona)
Megan Gustafson (Port Wing, Wisconsin)
Paula Ginzo (Santoña)
María Conde (Barcelona)
Gracia Alonso-De Armiño (Bilbao)
Juana Camilión (Mallorca)
Vega Gimeno (Valencia)
Sandra Yguaravide (Valencia)
Boxing
Oier Ibarreche (Galdácano)
Rafael Lozano; Jr. (Ciudad Córdoba)
José Quiles (Elda)
Enmanuel Reyes (A Coruña)
Ayoub Ghadfa (Marbella)
Laura Fuertes (Asturias)
Canoeing
Pablo Crespo (Madrid)
Adrián Del Río (Madrid)
Miquel Travé (La Seu d'Urgell)
Pau Echaniz (San Sebastián)
Manuel Ochoa (Tomiño)
Diego Domínguez (Madrid)
Joan Moreno (Pollença)
Francisco Cubelos (Talavera De La Rena)
Carlos Arévalo (Betanzos)
Rodrigo Germade (Cangas)
Marcus Cooper (Mallorca)
Saúl Craviotto (Lleida)
Estefanía Fernández (Mérida)
Begoña Lazkano (Pontevedra)
Carolina García (Pontevedra)
Sara Ouzande (Gijón)
Miren Lazkano (San Sebastián)
Maialen Chourraut (Lasart-Oria)
María Corbera (Madrid)
Antía Jácome (Pontevedra)
María Portela (Cangas)
Climbing
Alberto Ginés (Ciudad Cáceres)
Leslie Romero (Sant Cugat Del Vallès)
Cycling
Alex Aranburu (Ezkio-Itsaso)
Juan Ayuso (Barcelona)
Oier Lazkano (Vitoria-Gasteiz)
Albert Torres (Ciudatella De Menorca)
Sebastián Mora (Villarreal)
Jofre Cullell (Santa Coloma De Farners)
David Serrano (Baza)
Mireia Benito (Beix Penedès)
Margarita García (Marratxí)
Diving
Adrián Abadía (Mallorca)
Nicolás García (Las Palmas De Gran Canaria)
Valeria Antonilo (Madrid)
Ana Carvajal (Villeneuva De La Cañada)
Equestrian
Borja Carrascosa (Madrid)
Claudio Castilla (Jerez De La Frontera)
Juan Jiménez (Castro Del Río)
Esteban Benítez (Cádiz)
Carlos Díaz (Cádiz)
Eduardo Álvarez (Madrid)
Sergio Álvarez (Avilés)
Ismael García (Las Palmas De Gran Canaria)
Fencing
Carlos Llavador (Madrid)
Lucía Martín-Portugués (Villeneuva De La Cañada)
Field hockey
Marc Vizcaino (Terrassa)
Borja Lacalle (Madrid)
Bruno Font (Madrid)
Alejandro Alonso (Santander)
Jordi Bonastre (Terrassa)
Xavier Gispert (Madrid)
Rafael Vilallonga (Madrid)
Pepe Cunill (Terrassa)
Álvaro Iglesias (Madrid)
José Basterra (Getxo)
Gerard Clapés (Eindhoven, The Netherlands)
Marc Reyné (Barcelona)
Marc Miralles (Bloemendaal, The Netherlands)
Luis Calzado (Barcelona)
Marc Recasens (Barcelona)
Joaquín Menini (Madrid)
Eduard De Ignacio-Simó (Madrid)
Ignacio Rodríguez (Santander)
Laura Barrios (Madrid)
Sara Barrios (Madrid)
Júlia Strappato (Matadepera)
Lucía Jiménez (Madrid)
María López (Gijón)
Belén Iglesias (Madrid)
Marta Segú (Madrid)
Constanza Amundson (Madrid)
Blanca Pérez (Madrid)
Lola Riera (Valencia)
Begoña García (Zaragoza)
Xantal Giné (Barcelona)
Beatriz Pérez (Santander)
Alejandra Torres-Quevedo (Madrid)
Clara Pérez (Madrid)
Patricia Álvarez (Santander)
Golf
David Puig (La Garriga)
Jon Rahm (Scottsdale, Arizona)
Azahara Muñoz (Málaga)
Carlota Ciganda (Pamplona)
Gymnastics
Néstor Abad (Madrid)
Thierno Diallo (Madrid)
Nicolau Mir (Palma)
Joel Plata (Madrid)
Miguel Zapata (Madrid)
David Vega (Barcelona)
Laura Casabuena (Alcoy)
Ana Pérez (Madrid)
Alba Petisco (Villarinos De Los Aires)
Alba Bautista (Teruel)
Polina Berezina (Alicante)
Ana Arnau (Madrid)
Inés Bergua (Huesca)
Mireia Martínez (La Pobla De Vallbona)
Patricia Pérez (Valencia)
Salma Solaun (Vitoria-Gasteiz)
Noemí Romero (Madrid)
Handball
Gonzalo Pérez-De Vargas (Ciudad Toledo)
Jorge Maqueda (Ciudad Toledo)
Alex Dujshebaev (Santander)
Daniel Dujshebaev (Santander)
Rodrigo Corrales (Cangas)
Adrià Figueras (Barcelona)
Imanol Garciandia (Urretxu)
Abel Serdio (Avilés)
Agustín Casado (Carboneras)
Aleix Gómez (Sabadell)
Ian Tarrafeta (Sabadell)
Miguel Sánchez-Migallón (Ciudad Real)
Kauldi Odriozola (Zumaia)
Daniel Fernández (Sabadell)
Javier Rodríguez (Madrid)
Nicole Wiggins (Madrid)
Marta López (Ciudad Málaga)
Carmen Campos (Madrid)
Silvia Arderius (Madrid)
Maitane Etxeberria (Lezo)
Mercedes Castellanos (Ciudad Real)
Jennifer Gutiérrez (Elche)
Lara González (Santa Pola)
Paula Arcos (Petrer)
Lysa Tchaptchet (Cuenca De Pamplona)
Kaba Gassama (Granollers)
Alicia Fernández (Valdoviño)
María Prieto (Zamora)
Alexandrina Barbosa (Estella-Lizarra)
Mireya González (León)
Judo
David García (Madrid)
Salvador Cases (Alicante)
Francisco Garrigós (Móstoles)
Tristani Mosakhlishvili (Vigo)
Nikoloz Sheradishvili (Madrid)
Ariane Toro (Bilbao)
Laura Martínez (Madrid)
Cristina Cabaña (Mérida)
Ai Tsunoda (Lleida)
Pentathlon
Laura Heredia (Barcelona)
Rowing
Dennis Carracedo (Banyoles)
Rodrigo Conde (Moaña)
Aleix García (Girona)
Caetano Horta (Noia)
Jaime Canalejo (Ciudad Seville)
Javier García (Ciudad Seville)
Virginia Díaz (El Astillero)
Esther Briz (Zaragoza)
Aina Cid (Amposta)
Sailing
Ignacio Baltasar (Sa Ràpita)
Andrés Barrio (Arucas)
Joaquín Blanco; Jr. (Las Palmas De Gran Canaria)
Diego Botín-Sanz (Santander)
Florian Trittel (Barcelona)
Jordi Xammar (Barcelona)
Pilar Lamadrid (Ciudad Seville)
Ana Moncada (Barcelona)
Gisela Pulido (Premià De Mar)
Támara Echegoyen (Ourense)
Paula Barceló (Palma)
Nora Brugman (Barcelona)
Tara Pacheco (Arucas)
Shooting
Andrés García (Ciudad Cuenca)
Alberto Fernández (Madrid)
Fátima Gálvez (Baena)
Mar Molné (Madrid)
Skateboarding
Alain Kortabitarte (Madrid)
Danny León (Móstoles)
Natalia Muñoz (Madrid)
Daniela Terol (Barcelona)
Julia Benedetti (A Coruña)
Naia Laso (Bermeo)
Soccer
Arnau Tenas (Vic)
Marc Pubill (Terrassa)
Juan Miranda (Olivares)
Eric García (Martorell)
Pau Cubarsí (Bescanó)
Pablo Barrios (Madrid)
Diego López (Turón)
Beñat Turrientes (Beasain)
Abel Ruiz (Almussafes)
Alejandro Baena (Roquetas De Mar)
Fermín López (El Campillo)
Jon Pacheco (Elizondo)
Joan García (Sallent De Llobregat)
Aimar Oroz (Arazuri)
Miguel Gutiérrez (Madrid)
Adrián Bernabé (Barcelona)
Sergio Gómez (Badalona)
Sam Omorodion (Ciudad Seville)
Cristhian Mosquera (Alicante)
Juan Sánchez (Dos Hermanas)
Sergio Camello (Madrid)
Alejandro Iturbe (Madrid)
María Rodríguez (Las Palmas De Gran Canaria)
Ona Batlle (Vilassar De Mar)
Teresa Abelleira (Pontevedra)
Irene Paredes (Legazpi)
Oihane Hernández (Mungialda)
Aitana Bonmatí (Vilanova I La Geltrú)
Athenea Del Castillo (Medio Cudeyo)
María Caldentey (Felanitx)
Salma Paralluelo (Zaragoza)
Jenni Hermoso (Madrid)
Alèxia Putellas (Mollet Del Vallès)
Pati Guijarro (Palma)
Cata Coll (Marratxí)
Laia Aleixandri (Santa Coloma De Gramenet)
Eva Navarro (Yecla)
Laia Codina (Campllong)
Lucía García (Aller)
Olga Carmona (Seville)
Vicky López (Madrid)
María Méndez (Oviedo)
Alba Redondo (Albacete)
Elene Lete (Zumarraga)
Surfing
Andy Criere (Hendaye, France)
Nadia Erostarbe (Zarautz)
Janire González (Zumaia)
Swimming
Carlos Garach (Granada)
Mario Mollà (Barcelona)
Arbidel González (Corvera De Asturias)
Luís Domínguez (Zaragoza)
Ferran Julià (Sabadell)
Carles Coll (Tarragona)
Sergio De Celis (Barcelona)
Hugo González (Palma)
César Castro (Plasencia)
Alisa Ozhogina (Ciudad Seville)
Iris Tió (Barcelona)
Txell Ferré (Barcelona)
Marina García (Sant Cugat Del Vallès)
Lilou Lluís (Madrid)
Meritxell Mas (Granollers)
Paula Ramírez (Barcelona)
Blanca Toledano (Madrid)
Ángela Martínez (Elche)
Ainhoa Campabadal (Barcelona)
María Daza (Madrid)
Alba Herrero (Sant Cugat Del Vallès)
Paula Juste (Lleida)
Carmen Weiler (Singapore)
África Zamorano (Barcelona)
Jessica Vall (Barcelona)
Laura Cabanes (Madrid)
Emma Carrasco (Lleida)
María De Valdés (Fuengirola)
Table tennis
Álvaro Robles (Huelva)
María Xiao (Madrid)
Taekwondo
Adrián Vicente (Madrid)
Javier Pérez (San Fernando De Henares)
Adriana Cerezo (Madrid)
Cecilia Castro (San Agustín Del Guadalix)
Tennis
Carlos Alcaraz; Jr. (Villena)
Pedro Martínez (Alzira)
Jaume Munar (Barcelona)
Rafael Nadal (Manacor)
Pablo Carreño (Barcelona)
Marcel Granollers (Barcelona)
Cristina Bucșa (Torrelavega)
Sara Sorribes (La Vall d'Uixó)
Triathlon
Alberto González (Ciudad Málaga)
Roberto Sánchez (Mislata)
Antonio Serrat (Vigo)
Miriam Casillas (Badajoz)
Anna Godoy (Barcelona)
Volleyball
Adrián Gavira (San Roque)
Pablo Herrera (Castellón De La Plana)
Daniela Álvarez (Gijón)
Tania Moreno (Madrid)
Lili Fernández (Alicante)
Paula Soria (Orihuela)
Water polo
Unai Aguirre (Barcelona)
Alberto Munárriz (Pamplona)
Álvaro Granados (Terrassa)
Bernat Sanahuja (Terrassa)
Miguel De Toro (Ciudad Seville)
Marc Larumbe (Barcelona)
Martin Faměra (Barcelona)
Sergi Cabanas (Barcelona)
Roger Tahull (Barcelona)
Felipe Perrone (Barcelona)
Unai Biel (Barcelona)
Alejandro Bustos (Madrid)
Eduardo Lorrio (Madrid)
Laura Ester (Barcelona)
Isabel Piralkova (Arenys De Mar)
Anni Espar (Barcelona)
Bea Ortiz (Terrassa)
Nona Pérez (Sant Cugat Del Vallès)
Paula Crespí (L'Hospitelet De Llobregat)
Elena Ruiz (Rubí)
María Peña (Madrid)
Judith Forca (Sabadell)
Paula Camus (Madrid)
María García (Sabadell)
Paula Leitón (Terrassa)
Martina Terré (Barcelona)
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filmibeat · 2 months ago
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Albert Marquet Biographie, Valeur Nette, Date De Naissance
Le monde de l'art est souvent pénétré de figures fascinantes, mais combien connaissent réellement Albert Marquet? Né le 27 mars 1875 à Bordeaux, cet artiste français a souvent été éclipsé par ses célèbres contemporains du Fauvisme. Pourtant, ses paysages calmes et réfléchis ont captivé le regard de nombreux amateurs d'art.
Albert Marquet a acquis une reconnaissance significative au cours de sa carrière, malgré une fortune personnelle plus modeste par rapport à d'autres artistes de son époque. Sa date de naissance, le 27 mars, est souvent célébrée dans les cercles artistiques pour rappeler l'impact singulier de son œuvre. En tant qu'un des pionniers d'une approche plus apaisée du Fauvisme, il laisse un héritage riche en émotion et en maîtrise artistique.
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Albert Marquet : Biographie
Albert Marquet, un peintre apprécié pour ses paysages, est né le 27 mars 1875 à Bordeaux. Dès son jeune âge, il montre un grand intérêt pour l'art. Il fréquente les Beaux-Arts de Paris, où il rencontre Henri Matisse. Ensemble, ils participent à l'émergence du Fauvisme, un mouvement artistique audacieux. Cependant, Marquet se démarque par un style plus doux et apaisant.
La vie de Marquet est marquée par ses nombreux voyages. Il aime peindre sur les rives de la Seine à Paris, mais explore aussi d'autres régions. Son travail en Algérie, en particulier, révèle sa capacité à capturer la lumière et l'atmosphère uniques. Contrairement aux coloris vifs des autres Fauves, Marquet utilise des tons plus subtils. Ses peintures transmettent une tranquillité rare. Pour plus d’informations, visitez Les secrets des stars françaises
Albert Marquet évolue artistiquement tout au long de sa vie. Il refuse de se limiter à un seul style. Marquet explore différentes techniques et approche divers sujets. Néanmoins, ses paysages de ports et de fleuves restent les plus iconiques. Sa capacité à rendre simple le monde complexe impressionne encore aujourd'hui.
Malgré le succès, Marquet reste modeste sur sa renommée. Ses œuvres sont largement exposées après sa mort en 1947. Elles continuent d'inspirer tant les amateurs d'art que les critiques. Sa vision unique et calme du monde demeure très influente. Albert Marquet reste une figure incontournable de l'art moderne.
Les débuts de Marquet : enfance et formation
Albert Marquet est né le 27 mars 1875 à Bordeaux, dans une famille modeste. Dès son enfance, il montre un intérêt marqué pour le dessin. Encouragé par sa mère, il passe des heures à explorer sa créativité. Son père, un fonctionnaire, lui offre souvent des matériaux pour qu'il puisse exprimer son talent naissant. Cette passion précoce pour l'art guide tout son avenir.
À l'adolescence, Marquet déménage à Paris, où il s'inscrit à l'École des Beaux-Arts. L'école, à cette époque, est un environnement stimulant pour les jeunes artistes. Albert y rencontre Henri Matisse, qui devient l'un de ses amis les plus proches. Leur amitié influence fortement l'évolution artistique de Marquet. Ensemble, ils explorent de nouvelles formes d'expression.
La formation de Marquet aux Beaux-Arts est diversifiée et enrichissante. Il étudie sous la direction de Gustave Moreau, un professeur renommé de l'époque. Marquet apprend à maîtriser différentes techniques, du dessin à l'huile. Il montre une préférence pour les paysages, qu'il capture avec une sensibilité unique. Ses années d'études sont essentielles dans son évolution stylistique.
Ses jeunes années sont également marquées par quelques voyages d'étude. Marquet visite plusieurs régions en France, enrichissant son expérience personnelle et artistique. Chaque paysage observé devient une source d'inspiration pour ses œuvres futures. Ces débuts modestes définissent son style simple et raffiné. Ainsi, chaque toile témoigne de sa passion pour la nature et l'art.
Valeur nette d'Albert Marquet: évaluation de sa fortune
Bien que très apprécié de son vivant, Albert Marquet n'a jamais accumulé une grande richesse. Les critères d'évaluation de la valeur nette d'un artiste ne se limitent pas à la simple accumulation d'argent. Ses toiles, aujourd'hui très prisées, témoignent de sa valeur artistique. Le marché de l'art a vu les prix de ses œuvres augmenter considérablement ces dernières décennies. Cette reconnaissance tardive compense en partie sa fortune modeste de son vivant.
Lors de ventes aux enchères, les peintures de Marquet se vendent à des prix impressionnants. Une seule de ses œuvres peut se vendre pour plusieurs milliers d'euros. Les collectionneurs reconnaissent la qualité et l'impact de ses paysages calmes et réfléchis. Cependant, durant sa carrière, il était souvent payé modestement pour son travail. Cela montre le contraste entre la valeur actuelle et sa situation financière passée.
Marquet a vécu simplement, préférant son art aux richesses matérielles. Il investissait son temps dans la quête de scènes à peindre plutôt que dans la recherche de gains financiers. Cette approche a souvent limité ses ressources. Cependant, son réseau d'amis artistes lui apportait parfois le soutien nécessaire. Ses priorités reflétaient son dévouement à l'art.
La fortune actuelle des œuvres de Marquet rappelle l'importance de la valeur artistique. L'estimation de sa valeur nette dépend en grande partie de la réputation posthume de son œuvre. Dans les musées et collections privées, ses tableaux continuent d'attirer l'attention. Marquet a laissé un patrimoine culturel significatif. Sa véritable richesse réside dans l'impact durable de son art sur les générations futures.
Date de naissance d'Albert Marquet et son importance dans l'histoire de l'art
Albert Marquet est né le 27 mars 1875 à Bordeaux, une date qui marque l'arrivée d'une figure incontournable dans l'art moderne. Cette période coïncide avec le développement de nombreux mouvements artistiques en France. Le contexte historique et culturel de sa naissance a influencé sa perspective artistique. Grandir pendant la fin du 19ème siècle a offert à Marquet une riche tapisserie d'influences. Cela a façonné son style distinctif qui se démarque encore aujourd'hui.
La date de naissance de Marquet est aussi symbolique pour une autre raison. Elle place Marquet parmi la génération d'artistes qui ont assisté à la transition entre le post-impressionnisme et le modernisme. Les artistes de cette époque cherchaient à rompre avec les méthodes traditionnelles. Marquet lui-même a exploré la lumière et la simplicité, refondant les codes de représentation. Sa naissance et ses premières années ont ouvert la voie à ces explorations novatrices.
L'importance de sa date de naissance dans l'histoire de l'art réside également dans les cercles qu'il a fréquentés. Il a côtoyé des artistes tels que Matisse et Derain, avec qui il a formé le Fauvisme. Ce mouvement cherchait à laisser une empreinte durable sur la scène artistique. Le fait d'être contemporain de ces artistes a enrichi ses expériences et élargi ses horizons. Ainsi, il a pu contribuer de manière unique aux évolutions de son époque.
La date de naissance de Marquet revêt aussi une signification particulière dans le calendrier artistique. Chaque année, le 27 mars est l'occasion de célébrer son impact mondial. Des expositions et des événements commémorent ses contributions à l'art. Ils renforcent l'influence continue de son style apaisant et introspectif. En se souvenant de la date de sa naissance, on garde vivante sa présence dans le domaine artistique.
Grâce à cette date emblématique, l'héritage de Marquet continue d'influencer de nombreux nouveaux artistes. Ses œuvres sont étudiées dans le monde entier, inspirant ceux qui écoutent les échos de son approche contemplative. Son impact est perceptible dans la manière dont les artistes et les historiens perçoivent sa contribution au 20ème siècle. En observant les dates importantes, nous pouvons apprécier encore plus pleinement sa place dans l'histoire de l'art. Albert Marquet, à travers sa naissance, reste un pilier de l'art contemporain. Pour plus d’informations, visitez Le succès des acteurs français
Questions Fréquemment Posées
Albert Marquet, artiste français renommé, a laissé une empreinte indélébile dans le monde de l'art. Découvrez certaines questions autour de sa vie, ses inspirations et ses contributions artistiques.
1. Quels étaient les principaux sujets des peintures d'Albert Marquet ?
Albert Marquet est surtout connu pour ses paysages apaisants et ses vues urbaines. Ses œuvres dépeignent souvent des ports, des rivières et des scènes de la vie quotidienne en France. Son style unique, caractérisé par la douceur des couleurs et une composition équilibrée, distingue ses toiles des autres Fauves. Les scènes de Paris, notamment les quais de la Seine, occupent une place spéciale dans son œuvre.
Il aimait capturer la lumière changeante et l'atmosphère environnante, créant ainsi une connexion émotionnelle avec le spectateur. Sa capacité à enchanter les scènes ordinaires a fait de lui une figure respectée. En voyageant fréquemment, Marquet a exploré différents paysages, augmentant la diversité de ses thèmes. Sa palette subtile et ses thèmes captivent toujours les amateurs d'art.
2. Comment Albert Marquet a-t-il influencé le mouvement fauviste ?
Albert Marquet a joué un rôle clé dans le mouvement fauviste, bien qu'il ait gardé son propre style distinctif. Ses travaux avec Henri Matisse ont contribué au développement de ce mouvement artistique audacieux au début du 20ème siècle. En dépit de la flamboyance des autres Fauves, Marquet privilégiait une approche plus douce. Son utilisation subtile des couleurs contrastait avec les tons vifs des autres.
Sa contribution au Fauvisme réside dans sa capacité à préserver l'émotion à travers la simplicité. Marquet a montré qu'il est possible d'exprimer l'intensité tout en maintenant la nuance. Cette divergence a offert une profondeur différente au mouvement, enrichissant encore plus sa diversité. Ses œuvres continuent d'inspirer les artistes avec leur élégance intemporelle.
3. Quelles étaient les inspirations artistiques d'Albert Marquet ?
Marquet a trouvé l'inspiration principalement dans les paysages naturels et les scènes urbaines. Étant un grand voyageur, ses voyages à travers la France et à l'étranger ont considérablement influencé son travail. La lumière et l'atmosphère de chaque lieu visité enrichissaient sa palette artistique. L'eau, en particulier, était un thème récurrent dans ses œuvres.
Les motifs aquatiques, comme les fleuves et les ports, étaient capturés avec une précision poétique. Il était également influencé par ses contemporains, mais ses observations personnelles demeurent la force motrice derrière son art unique. Marquet s'imprégnait de chaque instant, transformant ses expériences en magnifiques compositions visuelles. Ses inspirations reflètent un équilibre entre l'observation et l'émotion.
4. Où peut-on voir les œuvres d'Albert Marquet aujourd'hui ?
Les œuvres d'Albert Marquet sont exposées dans plusieurs musées prestigieux à travers le monde. En France, le Musée d'Orsay à Paris possède une collection incontournable de ses peintures. Le Musée Albert Marquet, situé dans sa ville natale Bordeaux, offre également un aperçu de ses œuvres. Ces lieux offrent aux visiteurs une immersion dans l'univers paisible de Marquet.
À l'international, ses toiles se trouvent dans des collections comme celles du MoMA à New York. De nombreuses galeries privées exposent également ses œuvres lors d'expositions temporaires. Cette répartition globale montre l’impact durable de son travail. Les amateurs d'art peuvent ainsi découvrir sa vision unique de la vie à travers le monde.
5. Comment le marché de l'art évalue-t-il les peintures de Marquet aujourd'hui ?
Le marché de l'art accorde actuellement une grande valeur aux œuvres d'Albert Marquet. Lors de ventes aux enchères, ses peintures atteignent souvent des prix élevés, reflétant leur importance. L'intérêt renouvelé pour sa technique et son style y contribue également. Sa simplicité captivante attire les enchérisseurs.
Les œuvres de Marquet bénéficient d'une reconnaissance croissante au niveau international. Cela s'explique par la fascination durable qu'elles suscitent chez collectionneurs et amateurs d'art. Cette appréciation accrue témoigne de l'impact et de l'innovation de Marquet dans l'histoire de l'art. Son œuvre continue d'inspirer et de captiver.
Conclusion
Albert Marquet demeure une figure incontournable de l'art moderne. Sa capacité à transcender les conventions tout en maintenant une simplicité désarmante est remarquable. Son influence perdure, marquant les générations d'artistes qui suivent. Cet artiste insuffle une poésie subtile à travers chaque toile.
Les paysages sereins et les scènes urbaines de Marquet continuent d'attirer l'admiration et l'étude. Ils offrent un regard unique sur le monde, reflétant son approche inégalée. Ainsi, son œuvre reste un témoignage intemporel, enrichissant le patrimoine artistique mondial. Sa vision artistique est appréciée par le grand public et les experts.
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chansonsinternationales · 4 months ago
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La singulière histoire de Louis Germain et Albert Camus : un podcast à écouter en ligne | France Culture
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tchapao · 5 months ago
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Le vide existentiel est un concept souvent associé à la philosophie existentialiste, en particulier dans les travaux de penseurs comme Jean-Paul Sartre et Albert Camus. Il désigne un sentiment profond de vide et d’absence de sens dans la vie d’une personne. Ce sentiment peut se manifester par une perte de repères, une sensation de futilité des actions quotidiennes, et une quête incessante de sens qui semble rester insatisfaite. Le vide existentiel survient généralement lorsque les individus réalisent que les valeurs et les croyances traditionnelles qui donnaient un sens à leur existence ne répondent plus à leurs besoins ou ne sont plus pertinentes dans leur contexte actuel. Cette prise de conscience peut engendrer une crise existentielle, marquée par des questionnements profonds sur le but et la signification de la vie. Les auteurs existentialistes suggèrent que pour surmonter ce vide, il est nécessaire d’accepter l’absurdité de l’existence et de créer son propre sens et ses propres valeurs à travers des choix authentiques et la responsabilité individuelle. Conclusion : Le vide existentiel est une expérience de perte de sens qui peut être surmontée par la création de valeurs personnelles et un engagement envers des choix authentiques.
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malibuzz · 5 months ago
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PERFORMANCE SCOLAIRE: L’école privée «La Victoire» célèbre ses cracks
L’École privée «La Victoire» a organisé une journée exceptionnelle dédiée à la remise de prix pour honorer ses élèves les plus méritants le samedi 29 juin 2024. Marqué par des moments de reconnaissance et de fierté, l’événement a rassemblé parents, élèves et membres du personnel. Il a aussi bénéficié du soutien de deux parrains prestigieux, notamment M. Touré Issouf Albert (Directeur national de…
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jpbjazz · 7 months ago
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LÉGENDES DU JAZZ
JOHN HICKS, LE PIANISTE AU GRAND COEUR
"He brought musical excellence, a generous heart and great joy to everything he did. He was able to be a star in a supporting role."
- Larry Coryell
Né le 21 décembre 1941 à Atlanta, en Georgie, John Josephus Hicks Jr. était l’aîné d’une famille de cinq enfants. Le père de Hicks était John Hicks Sr., un pasteur méthodiste. Issu d’une famille de classe moyenne, Hicks avait vécu dans différentes régions des États-Unis car son père avait souvent dû déménager pour prendre charge de ses différents ministères. La famille de Hicks était déménagée à Los Angeles durant son enfance avant de s’installer à St. Louis, au Missouri, durant son adolescence. Hicks expliquait: "I was brought up as a decent human being, where you had aspirations and there were expectations".
Hicks avait commencé à jouer du piano à l’âge de six ou sept ans. Son premier professeur de piano était sa mère Pollie. Au cours de sa jeunesse, Hicks avait également pris des cours d’orgue, chanté dans des chorales et joué du violon et du trombone. Comme plusieurs musiciens de jazz, Hicks avait d’abord joué de la musique religieuse. Vers l’âge de onze ans, après avoir appris à lire la musique, Hicks avait commencé à jouer du piano à l’église. Il expliquait: "My father was a Methodist minister and my mom was my first piano teacher. I got great experience playing piano in church. I started playing there as soon as I learned how to read music."
Après s’être installé à St. Louis avec sa famille à l’âge de quinze ans, Hicks avait décidé de se concentrer sur le piano. Après avoir commencé à étudier au Sumner High School, Hicks avait joué avec le groupe The Continentals de Lester Bowie qui se produisait dans différents styles musicaux.
Parmi les influences de Hicks à l’époque, on remarquait Fats Waller, Horace Silver et Thelonious Monk. Il appréciait aussi les hymnes religieux ainsi que certains pianistes locaux. Très impressionné par les compositions de Silver axées sur le blues, Hicks avait aussi été marqué par des standards comme "I Got Rhythm" et "There Will Never Be Another You", plus particulièrement en raison de leurs harmoinies facilement identifiables.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Durant son adolescence, Hicks avait amorcé sa carrière professionnelle dans le Sud des États-Unis avec des musiciens de blues comme Little Milton et Albert King. C’est d’ailleurs avec Milton que Hicks avait obtenu son premier contrat professionnel en 1958. Hicks avait expliqué plus tard que le fait d’avoir joué avec un piano désaccordé avait grandement amélioré ses performances, car il avait dû transcrire à la main toutes les pièces qu’il jouait. Toujours en 1958, Hicks avait étudié la musique à la Lincoln University en Pennsylvanie où il avait partagé une chambre avec le batteur Ronald Shannon Jackson. Hicks avait aussi étudié durant une brève période à la Berklee School of Music avant de s’installer à New York en 1963.
Après avoir accompagné la chanteuse Della Reese en 1963, Hicks avait joué avec le saxophoniste Joe Farrell avant de partir en tournée avec le tromboniste Al Grey et le saxophoniste Billy Mitchell. Il avait aussi travaillé avec le saxophoniste Johnny Griffin. Peu après s’être installé à New York, Hicks avait été très influencé par John Coltrane. Il précisait: "There's a whole generation -- maybe two -- of players who are influenced by Trane. And it's on a spiritual level as well as musical. Trane was our Charlie Parker, and his sense of commitment to the music was awe-inspiring."
Toujours en 1963, Hicks avait fait partie du premier groupe du saxophoniste Pharoah Sanders et avait fait une apparition avec le chanteur Jimmy Witherspoon dans le cadre d’une émission du réseau de télévision CBC. Après avoir collaboré avec Kenny Dorham et Joe Henderson, Hicks s’était joint aux Jazz Messengers d’Art Blakey en 1964. Hicks avait d’ailleurs fait ses débuts sur disque en novembre de la même année sur l’album des Messengers  'S Make It. Au début de 1965, Hicks avait fait une tournée au Japon, en France, en Suisse et en Angleterre avec Blakey. À l’époque, Blakey encourageait les membres du groupe à écrire leurs propres compositions. Le groupe interprétait également les compositions de ses anciens membres. Hicks était demeuré avec les Jazz Messengers jusqu’en 1966. Lors de son séjour avec le groupe, Hicks avait souvent été comparé à McCoy Tyner pour le niveau d’énergie avec lequel il jouait et pour les espaces qu’il utilisait dans le cadre de son jeu.
De 1966 à 1968, Hicks avait également fait des séjours réguliers dans le groupe de la chanteuse Betty Carter. La passion de Hicks pour les ballades l’avait d’ailleurs aidé à développer son sens du rythme. En 1968, Hicks s’était joint au big band de Woody Herman, dont il avait fait partie jusqu’en 1970. Il écrivait aussi des arrangements pour le groupe. Durant cette période, Hicks avait également enregistré avec de grands noms du jazz comme Booker Ervin, Hank Mobley et Lee Morgan. À partir des années 1970, Hicks avait aussi collaboré avec de nombreux musiciens de free jazz, dont Oliver Lake. Il avait également joué et enregistré aux Pays-Bas avec le trompettiste Charles Tolliver. En 1973, Hicks avait également fait un bref retour avec les Jazz Messengers.
Le 21 mai 1975, Hicks avait participé à ses premiers enregistrements comme leader en Angleterre. La session avait donné lieu à la publication de deux albums, dont un disque en trio intitulé Hells Bells mettant en vedette le contrebassiste Clint Houston et le batteur Cliff Barbaro. Le second album était un enregistrement en solo intitulé Steadfast. Les deux albums avaient été publiés quelques années plus tard par Strata-East Records.
Hicks avait retrouvé la chanteuse Betty Carter en 1975 dans le cadre de la comédie musicale ‘’Don't Call Me Man.’’ Après avoir accompagné Carter lors de l’enregistrement de l’album ‘Now It's My Turn en 1976, Hicks avait recommencé à jouer avec son groupe à temps plein, ce qui avait conduit à l’enregistrement de l’album After the Morning. Au cours de cette période, Hicks avait également continué à enregistrer avec d’autres musiciens, dont Carter Jefferson (1978) et Chico Freeman (1978-79). En 1980, Hicks avait finalement été remercié par la chanteuse Betty Carter en raison de son alcoolisme.
À partir du milieu des années 1970, Hicks avait dirigé plusieurs groupes. Parmi ceux-ci, on remarquait un quartet mettant en vedette Sonny Fortune, Walter Booker et Jimmy Cobb. Le groupe avait été actif de façon intermittente de 1975 à 1990. Durant cette période, Hicks avait également dirigé un groupe avec la flûtiste Elise Wood ainsi que des formations comprenant les saxophonistes Gary Bartz, Vincent Herring et Craig Handy, le contrebassiste Ray Drummond et les batteurs Idris Muhammad et Victor Lewis. Les quintets et les sextets de Hicks incluaient aussi Robin Eubanks, Charles Tolliver (1982), Branford Marsalis (1982–84), Hannibal Peterson (à partir de 1983), Wynton Marsalis (1983–84), Craig Harris (1985–86), Eddie Henderson (1985–86 et 1988–90) et Chico Freeman (1985-88). Hicks avait aussi formé son propre big band à l’automne 1982. Hicks avait également joué avec le groupe de Freeman au Royaume-Uni en 1989.
Collaboratrice régulière des groupes de Hicks, la flûtiste Elise Wood avait également joué en duo avec le pianiste, tant dans des contextes jazz que classique. Après s’être marié et avoir formé une entreprise connue sous le nom de John Hicks-Elise Wood, Inc., le duo s’était produit en tournée aux États-Unis, en Europe et au Japon dans les années 1980.
DERNIÈRES ANNÉES
En 1981, Hicks avait enregistré l’album Some Other Time, un enregistrement en trio avec Walter Booker à la contrebasse et Idris Muhammad à la batterie. L’album, qui avait permis à Hicks de mettre à profit ses talents de compositeur, comprenait le grand succès "Naima's Love Song". Hicks avait enregistré deux albums au Japon en 1988: East Side Blues, un album en trio, et Naima's Love Song, avec le saxophoniste alto Bobby Watson. Il avait aussi fait des apparitions régulières dans des festivals de jazz tout en continuant de se produire à New York.
En 1999, Hicks avait également rendu hommage à ses principales influences dans le cadre de l’album de Larry Coryell "Monk, Trane, Miles and Me." Se remémorant l’enregistrement de l’album, Coryell avait commenté: "The most touching moment for me was his solo on John Coltrane's 'Naima.’ It is absolutely, unbelievably beautiful. When we finished that performance in the studio, I broke down in tears."
Comme accompagnateur, Hicks s’était produit avec de nombreux musiciens de jazz, dont Freddie Hubbard, Richie Cole (1980), Arthur Blythe (sur l’album In the Tradition), David Murray, Hamiet Bluiett, Eddie Henderson, Art Davis, Woody Shaw, Clark Terry, Sonny Rollins, Roy Hargrove (1989–90, 1995), Gary Bartz (1990), Jay McShann, Oliver Lake (1991), Steve Marcus, Javon Jackson, Johnny Griffin, Joe Henderson Valery Ponomarev (1993),  Nick Brignola, Russell Gunn, Kevin Mahogany (1994), Sonny Fortune (1996), Jimmy Ponder (1997) et Pharoah Sanders. Il avait également accompagné les chanteurs Jon Hendricks et Carmen McRae. Durant cette période, Hicks avait aussi enregistré avec Ricky Ford (1980, 1982), Alvin Queen (1981), Peter Leitch (1984), Vincent Herring (1986) et Bobby Watson (1986, 1988). Au milieu des années 1990, Hicks s’était joint au groupe Mingus Dynasty avec qui il avait fait une tournée au Royaume-Uni en 1999 et avait enregistré l’album Blues and Politics la même année. Hicks avait également collaboré au septième album de "Live at Maybeck Recital Hall", une série d’albums de piano solo publiés par Concord Records. En 1998, Hicks avait fait partie du quartet de Joe Lovano. Il s’était également joint au nonet du saxophoniste lors de sa fondation l’année suivante.
Hicks avait aussi participé à cinq albums du saxophoniste David "Fathead" Newman pour les disques HighNote pour lequel il jouait un peu le rôle de pianiste attitré. En 2002, Hicks avait fait un de ses seuls enregistrements à l’orgue Hammond B3 dans le cadre de l’album Exhale du saxophoniste Arthur Blythe.
Hicks, qui avait également entrepris une brève carrière de professeur, avait enseigné l’histoire du jazz et l’improvisation à la Southern Illinois University de 1972 à 1973. À la fin de sa vie, Hicks avait également enseigné à l’Université de New York et à la New School of Music. Interrogé au sujet de son expérience dans l’enseignement quelques mois avant sa mort en janvier 2006, Hicks avait expliqué: "I don't care how advanced my students are, I always start them off with the blues. It all comes from there."
Au début de la même année, Hicks était retourné jouer avec son big band, qui était alors dirigé par le trompettiste Charles Tolliver. En janvier et en février de la même année, Hicks avait fait une tournée en Israël et avait joué principalement des compositions de Thelonious Monk. Hicks avait enregistré un dernier album intitulé On the Wings of an Eagle en mars 2006. En 2005, Hicks avait également enregistré un album live intitulé Twogether, qui mettait en vedette le saxophoniste alto Frank Morgan sur quatre pièces. Hicks se produisait en solo sur les trois autres pièces. Quatre des pièces de l’album étaient des standards du jazz: ‘’Parisian Thoroughfare’’ de Bud Powell, ‘’Night in Tunisia’’ de Dizzy Gillespie, ‘’Round Midnight’’ de Thelonious Monk et ‘’Passion Flower’’ de Billy Strayhorn.
Hicks avait présenté son dernier concert à la St Mark's United Methodist Church de New York quelques jours avant sa mort. Le concert visait à recueillir des fonds pour l’église dont Hicks était un fidèle assidu. Le père de Hicks avait également été pasteur dans cette église des décennies plus tôt. C’est aussi à la St Mark's United Methodist Church que Hicks avait présenté son premier concert à New York en 1963.
John Hicks est décédé le 10 mai 2006 des suites d’une hémorragie interne. Il était âgé de soixante-quatre ans. Hicks a été inhumé au South-View Cemetery dans sa ville natale d’Atlanta. Hicks laissait dans le deuil son épouse Elise Wood, son frère Raiford, ses soeurs Emma Hicks Kirk et Paula Hicks Neely, sa fille Naima et son fils Jamil (qui étaient issus de son premier avec Olympia Hicks), sa belle-fille Khadesha Wood et son beau-fils Malik Wood, et une petite-fille. Au moment de sa mort, Hicks devait se produire au Twins Lounge de Washington, D.C. Les archives de Hicks sont conservées à l’Université Duke, à Durham, en Caroline du Nord.
Hicks s’est marié à deux reprises. Au début des années 1990, Hicks avait divorcé de sa première épouse Olympia. Le couple avait un fils, Jamil Malik, et une fille, Naima. Hicks s’était remarié avec sa collaboratrice, la flutiste Elise Wood, en juin 2001.
Comme plusieurs musiciens de jazz des années 1990, Hicks avait enregistré avec plusieurs maisons de disques différentes, ce qui lui avait permis d’enregistrer dans des styles et des contextes diversifiés. Parmi ces enregistrements, on remarquait des sessions en duo avec Jay McShann (1992) et Peter Leitch (1994) pour American Reservoir Records et des sessions en trio enregistrées pour diverses compagnies japonaises, dont  une avec le New York Unit composé du contrebassiste Richard Davis et du batteur Tatsuya Nakamura et une autre session avec la New York Rhythm Machine composée du contrebassiste Marcus McLaurine et du Victor Lewis.  Ces sessions avaient été suivies d’autres enregistrements en trio avec des groupes comme le Power Trio et le Keystone Trio de George Mraz (1995) et un groupe composé de Dwayne Dolphin à la contrebasse et de Cecil Brooks III à la batterie à partir de 1997.
Parmi les derniers enregistrements de Hicks, on remarquait des  hommages à d’autres pianistes comme ‘’Something to Live For: A Billy Strayhorn Songbook’’, ’’Impressions of Mary Lou’’, ‘’Nightwind: An Erroll Garner Songbook’’, ‘’Music in the Key of Clark’’ (un hommage au pianiste Sonny Clark)  et ‘’Fatha's Day: An Earl Hines Songbook.’’ En 1993, Hicks avait également rendu hommage à la chanteuse Billie Holiday dans le cadre de l’album ‘’Lover Man: A Tribute to Billie Holiday.’’
Caractérisé par son jeu puissant et raffiné, Hicks avait participé à des centaines d’albums au cours de sa carrière, tant comme leader que comme accompagnateur. Le disc-jockey Rusty Hassan, qui connaissait Hicks depuis plus de trente ans, avait déclaré à son sujet: "He was a major, important player who was probably not as well recognized as he should have been.’’ Penchant dans le même sens, le chroniqueur du site AllMusic Michael G. Nastos avait ajouté: "Hicks died before reaping the ultimate rewards and high praise he deserved". Pour sa part, le guitariste Larry Coryell, qui avait souvent enregistré avec Hicks, avait commenté: "He brought musical excellence, a generous heart and great joy to everything he did. He was able to be a star in a supporting role."
Décrivant le style de Hicks, le pianiste George Cables avait souligné son jeu rempli de chaleur et très respectueux de la tradition. À ceux qui avaient reproché à Hicks de manquer de substance de son jeu, The Penguin Guide to Jazz avait rétorqué: "This [...] is missing the point. Almost always, he is more concerned to work within the dimensions of a song than to go off into the stratosphere." Caractérisé par une grande créativité, le jeu de Hicks était aussi très influencé par le swing, le blues, le hard bop et le jazz d’avant-garde.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’John Hicks.’’ Wikipedia, 2024.
RATLIFF, Ben. ‘’John Hicks, 64, Jazz Pianist Active on New York Scene, Is Dead.’’ New York Times, 13 mai 2006.
SCHUDEL, Matt. ‘’John Hicks, 64.’’ Washington Post, 19 mai 2016.
TRUFFAUT, Serge. ‘’Jazz - John Hicks l'historien.’’ Le Devoir, 12 juin 2010.
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antigonegone · 7 months ago
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Ce matin, un seul objectif, marcher, naviguer en direction de la MCJP (Maison de la Culture du Japon à Paris). Le chemin ne gâte rien. Kenzõ Tange en 1964 et Kengo Kuma en 2021  ont marqué de leurs empreintes les JO de Tokyo. Le 1er a utilisé l’acier et le béton, le 2nd des matériaux naturels, et en particulier des arbres provenant des 47 départements du Japon. Tange admirait la Villa Sakura, construite au 17ème siècle, résidence de l’Empereur à Kyoto, un lieu mythique pour les grands architectes ou artistes tels que Walter Gropius, un des maîtres du Bauhaus, ou Le Corbusier, et pour le chercheur du CNRS, Philippe Bonnin, qui a écrit un livre admirable chez Arlea sur l’endroit et son jardin. Pourquoi ? Parce qu’elle est représentative de ce que recherchent les architectes : les lignes, l’arche, l’avant-toit, et le paysage. Tange, s’en est inspiré notamment pour construire sa maison, en banlieue de Tokyo. Comme nombre de constructions, celle-ci a été détruite. Les japonais, par leur philosophie de vie, attachent peu d’importance à l’avoir, l’être est bien plus essentiel. Cela peut-il se résumer par le Wabi Sabi ? Peut-être ? Place aux photos, c’est mieux que les mots et le baratin. La cathédrale Ste Marie à Tokyo de Tange. Il s’est converti au catholicisme. Ses funérailles ont eu lieu dans cet endroit qu’il aimait. Photo du musée Hiroshige de Kuma La maquette Le gymnase à Tokyo de Tange Le stade de Kuma La Villa Sakura Le pavillon de thé d’un hôtel de luxe en Chine de Kuma Kadokawa culture museum de Kuma . Le parement est en granit. Maquette du musée Albert-Khan La future gare de St Denis de Kuma La maquette de la gare Le Frac sud à Marseille La maquette Projet 2025 Galilée devant la cathédrale d’Angers pour protéger les statues
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rosebudblog · 8 months ago
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OSCAR WILDE EN EL CINE
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CON SU AMANTE
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“PARA OSCAR WILDE, AQUEL QUE PRESUME DE SODOMITA”   
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EN PARÍS, ANTE SU TUMBA
Uno de los más grandes autores de teatro del siglo XIX, Oscar Wilde, ha sido llevado en numerosas ocasiones al cine tanto para adaptar sus obras como para contar su triste y turbulenta vida. Oscar Wilde nació en Dublín en 1854. No voy a hacer una profunda revisión de su vida que creo es suficentemente conocida por todos (al final os remito a algunas películas que nos acercan a su tormentosa existencia).
Pronto su forma de vida extravagente y llamativa se hizo notar en el Londres victoriano, especialmente porque le acompañó el éxito en el teatro. Su reputación en aquella sociedad puritana estaba en boca de todos ya que mantenía una relación sentimental con el hijo del Marqués de Queensberry (fundador del boxeo deportivo moderno). Ante una acusación de sodomía por parte del padre de su amante Wilde lo demandó; en el juicio todo se le volvió en contra y fue condenado a dos años de cárcel. Al salir de la cárcel marchó a Francia donde vivió con nombre supuesto (Sebastián Melmoth) y en condiciones muy modestas hasta su muerte en París en 1900 con solo 46 años.
La obra de Oscar Wilde forma parte  del legado cultural europeo y sigue viva; sus obras se siguen representando en los teatros de todo el mundo y el cine sigue adaptando sus comedias. Teatro, comedias, ensayos, su única novela (El retrato de Dorian Grey), epistolas como la genial De profundis o poemas como La balada de la cárcel de Reading siguen siendo actuales para editoras y lectores.
OSCAR WILDE EN EL CINE:
ADAPTACIONES DE SUS OBRAS:
EL RETRATO DE DORIAN GREY: la única de sus novelas ha sido llevada al cine en 8 ocasiones desde el lejano 1916 hasta la última en 2009 dirigida por Oliver Parker. Entre ellas está la versión de 1945 dirigida por Albert Lewin y considerada la que mejor ha sabido captar el mito de la eterna juventud de que trata la obra original.
EL FANTASMA DE CANTERVILLE: este cuento que ha sido versionado en teatro y televisión ha sido llevado a la gran pantalla en 3 ocasiones, en 1944 con Charles Laugthon, en 2016 y en 2018.
LA IMPORTANCIA DE LLAMARSE ERNESTO: posiblemente la más famosa comedia del autor británico ha sido trasladada al cine en 4 ocasiones y en la que destaca la versión de 1952 de Anthony Asquith con el actor Michael Redgrave. También es de destacar la versión de 2002 dirigida por un experto en Wilde: Oliver Parker y con un actor, Rupert Everett, también experto en el autor.
EL ABANICO DE LADY WINDERMERE: esta obra teatral tuvo un gran éxito de público y el cine la ha recogido en 3 ocasiones. La primera, en la temprana fecha de 1925 del gran Ernest Lubisth y la segunda de su discípulo Otto Preminger de 1949.
UN MARIDO IDEAL: 4 adaptaciones diferentes con directores como Alexander Korda o el citado Oliver Parker y actores como Paulette Godard, Julianne Moore, Cate Blanchett o Rupert Everett.
SALOMÉ: 5 adaptaciones en total. Las más interesantes la de 1953 de William Dieterle con Rita Hayworth y los dos experimentos de Al Pacino en 2011 (Wilde Salomé) y en 2013 (Salomé).
La primera es un documental que muestra el proceso de producción de la obra teatral de Wilde: Salomé. No la conozco, pero si de algo vale ahí os dejo la crítica de Carlos Boyero: "Esta película inclasificable, supone el tributo de un actor grandioso a un autor al que ama (...) un documental sobre la creación teatral, una reflexión profunda sobre el arte." 
La segunda (Salomé), escrita y dirigida por el mismo actor, es una dramatización a partir del documental anterior. Estamos pues ante dos obras de carácter más bien experimental. 
EL GIGANTE EGOISTA: en 2013 y 2020 se han realizado 2 versiones de esta obra de Wilde. La primera de la directora Clio Barnard es de un gran realismo social al estilo del que tanto hemos visto en las últimas décadas. La segunda es una versión argentina de cine de animación.
UNA MUJER SIN IMPORTANCIA: una curiosidad. En 1945 el argentino Luis Bayón realiza esta adaptación de la comedia dramática de Wilde; dada la fecha y el país de producción no deja de ser u exotismo en esta lista de adaptaciones.
BIOPICS:
Pero si estas 30 películas han sido adaptaciones de sus obras me han resultado aún más interesantes las películas que se han hecho sobre su peripecia vital: un total de 5, lo que muestra la intensa trayectoria del escritor.
-Los juicios de Oscar Wilde (1960, Ken Hughes). Con un gran Peter Finch.
-Oscar Wilde (1960, Gregory Ratoff). Destaca sobre todo la interpretación del escritor por parte de Robert Morley.
-Oscar (1985, Henry Herbert). En este caso se trató de una miniserie para TV.
-Wilde (1997, Brian Gilbert). Realizada como una autobiografía.
-La importancia de llamarse Oscar Wilde (2018, Rupert Everett). El actor que había encarnado en varias películas al escritor dirige y actúa en este biopic sobre los últimos años de Wilde.
(Recomiendo ver la de Hughes y la de Everett – por este orden- para tener una visión completa de la vida del escritor).
Su pensamiento político y su postura vital se puede deducir de sus numerosas e ingeniosas frases entre las que muestro una selección
 Mantengo largas conversaciones conmigo mismo, y soy tan inteligente que a veces no entiendo ni una palabra de lo que digo
Las preguntas nunca son indiscretas, las respuestas sí
Si quieres enfurecer a tu enemigo, perdónalo
Los niños aman a sus padres. Cuando crecen, los juzgan
 Lo peor en este mundo no es estar en boca de los demás, sino no estar en boca de nadie
Aconsejar de economía a los pobres es como aconsejar comer menos a un hambriento
Lo mejor que se le puede hacer a un niño, es que sea feliz
Haría cualquier cosa por volver a ser joven, excepto hacer deporte
Que hablen de uno es espantoso. Que no hablen, es peor
Como mala persona, soy un completo desastre
En el arte como en el amor, la ternura es lo que da la fuerza
A veces la gente se pregunta bajo qué tipo de gobierno viviría mejor el artista, y solo hay una respuesta: en ninguno.
Jamás debemos casarnos si pretendemos seguir enamorados
10/5/2024
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yes-bernie-stuff · 8 months ago
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Orphelin de Dieu 04/05/2024
Simon Pierre lui répondit: Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Jean 6.68
Les hommes sont orphelins de Dieu ! Ils ressentent en eux une sorte de vide. Albert Camus écrivait¹ : « Les hommes pleurent parce que les choses ne sont pas ce qu’elles devraient être ». Quand bien même les plus remarquables d’entre nous possèderaient le pouvoir sur les autres, ils s’apercevraient qu’ils n’en n’ont aucun sur leur propre vie, sa durée et sa profondeur.
Ce sentiment d’être orphelin explique pourquoi les hommes n’atteignent pas la plénitude qu’ils souhaitent connaître. Ayant la pensée de l’éternité², ils souffrent de l’incohérence que suscite la mort physique. L’homme comprend que le corps doit finalement mourir, mais son esprit ne peut s’y résoudre.
Notre esprit porte la trace d’un Dieu perdu et l’Évangile de Christ, qui se traduit par « bonne nouvelle », nous propose de retrouver ce Dieu si longtemps absent de notre cœur. Pierre dit : Seigneur, à qui irions-nous ? Notez que la réponse est dans la question ! Dans le récit des Évangiles, nous découvrons un Seigneur que nos cœurs attendaient inconsciemment. Jésus porte en lui la réponse à notre besoin universel de plénitude et d’éternité.
Aujourd’hui, si vous vous reconnaissez en tant qu’orphelin de Dieu, laissez-vous adopter par Christ pour que vous puissiez appeler Dieu : « Père ! »
Dominique Moreau
¹ Caligula, ch.3, scène 11 ² Ecclésiaste 3.11
__________________ Lecture proposée : Lettre aux Galates, chapitre 4, versets 1 Or, aussi longtemps que l'héritier est enfant, je dis qu'il ne diffère en rien d'un esclave, quoiqu'il soit le maître de tout;
2 mais il est sous des tuteurs et des administrateurs jusqu'au temps marqué par le père.
3 Nous aussi, de la même manière, lorsque nous étions enfants, nous étions sous l'esclavage des rudiments du monde;
4 mais, lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme, né sous la loi,
5 afin qu'il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous reçussions l'adoption.
6 Et parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé dans nos coeurs l'Esprit de son Fils, lequel crie: Abba! Père!
7 Ainsi tu n'es plus esclave, mais fils; et si tu es fils, tu es aussi héritier par la grâce de Dieu.
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latribune · 10 months ago
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leblogdemarinaetjeanmarie · 10 months ago
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SAMEDI 24 FEVRIER 2024 (Billet 3/3)
CHRISTIAN LI, « l’apprenti sorcier du violon »
L’article ci-après, signé du critique musical Thierry Hillériteau (France Musique), est peu long mais il introduit bien les 2 vidéos qui vous sont proposées.
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Lors de leur première venue à Londres, la plupart des jeunes musiciens classiques vous diront qu’ils ne rêvent que de visiter le Royal Albert Hall, la maison-musée de Haendel (qui partage aujourd’hui ses murs avec le musée Jimmy Hendrix), ou l’abbaye de Westminster afin de se recueillir sur la tombe de célèbres compositeurs de l’île d’Albion…
Lors de sa première visite dans la capitale britannique, en 2019, sur invitation du prestigieux label Decca, Christian Li, lui, n’avait qu’une idée en tête : trouver le quai 9-¾ de King’s Cross, pour dévaliser la boutique officielle Harry Potter de la gare londonienne ! L’histoire ne dit pas si le jeune violoniste en ressortit avec une baguette de chez Ollivanders ou un balai Nimbus 2000. Mais le résultat de sa visite dans les bureaux voisins de Decca Records, lui, vient tout juste de sortir dans les bacs (« Vivaldi – The Four Seasons – Melbourne Symphony Orchestra »)
Gageons que l’annonce de la sortie de ce premier album d’un énième « prodige du classique », à grand renfort de slogans dignes d’une entrée dans le livre Guinness des records, aura fait hésiter plus d’un mélomane. D’autant que le programme (centré sur « Les Quatre Saisons » de Vivaldi) n’a en apparence rien de bien original. À tort. Car l’écoute du disque laisse à penser que Christian Li, 13 ans seulement, est bien plus qu’« un phénomène médiatique » ; plus que « le plus jeune violoniste à remporter la Section Junior du Concours Menuhin », en 2018 ; plus que « le plus jeune artiste jamais signé par le Label Decca », en 2020 et plus que « le plus jeune musicien classique à enregistrer Les Quatre Saisons de Vivaldi », en 2021.
Derrière l’apparente virtuosité, la vélocité d’une démoniaque précision, s’exprime une vraie musicalité. Un sens des nuances évident, qui semble moins marqué du sceau de la démonstration que de celui d’une sensibilité authentique et naturelle. Et surtout une écoute des autres musiciens - ici l’Orchestre Symphonique de Melbourne. Un plaisir manifeste à se fondre dans l’orchestre avec liquidité, ou à dialoguer avec lui qui interpelle. Et questionne sur cette carrière éphémère que l’on prédit trop souvent aux enfants stars du classique.
Sensibilité que l’on retrouve tout autant à l’œuvre dans la seconde partie, plus intime, du disque. Partie dédiée à des pièces en duo avec piano qui, là encore, pouvaient faire craindre facilité et désinvolture (par exemple dans le « tube » qu’est la « Méditation de Thaïs » de Massenet…). Certes, pour imprimer durablement sa marque dans le paysage classique, il faudra à Christian Li bien plus qu’un énième enregistrement des « Quatre Saisons » agrémenté de bis de concerts. Et l’exercice de la scène, sur le long terme, est une épreuve de vérité pour laquelle il y a chez les enfants prodiges de nombreux appelés, mais peu d’élus.
Les échanges permanents de regards avec les musiciens, les allers et retours incessants entre chaque côté de l’orchestre, l’expressivité étonnamment mature de ce visage aux traits poupons, la sûreté du geste, la flexibilité du jeu et des coups d’archet, et l’ancrage au sol pour se donner un maximum de détente, dénotent une attitude étonnamment musicale et naturelle face à l’instrument et à l’orchestre. Attitude qui a immédiatement séduit son professeur Robin Wilson, célèbre pédagogue à l’université de Sydney, qui n’a pas hésité à prendre le jeune garçon sous son aile après que sa mère lui a envoyé une vidéo de Christian jouant du violon.
Cette dernière, comptable, n’a jamais joué d’instrument. Pas plus que son père, ingénieur en électronique. Mais lorsque leur fils a commencé la musique à 5 ans, s’essayant concomitamment au piano et au violon, ils ont compris qu’il avait avec ce dernier, en plus d’une excellente mémoire musicale, un rapport organique. « Comme un prolongement de lui-même », estime Robin Wilson. Christian, d’ailleurs, ne dit pas autre chose. Celui qui aime à rappeler qu’en dehors de ses quatre à cinq heures quotidiennes de pratique de l’instrument, il aime « jouer aux jeux vidéo, regarder des films de science-fiction comme Star Wars ou Gravity, relire Harry Potter ou faire du sport », affirme qu’il se sent beaucoup plus heureux et confiant lorsqu’il a son violon entre les mains. Un bonheur communicatif…
(Source : « Article publié dans le Figaro du 08/09/2021 »)
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Le premier document (3 minutes) - voir la vidéo ci-dessus (*) - a était tourné lors d’une répétition. Notre conseil, concentrez-vous sur la tête de Christian Li, sur ses doigts sur le manche et sur les mouvements de l’archet. Ne les quittez pas des yeux. Vous comprendrez très vite pourquoi ce petit bonhomme, aux expressions parfois étranges, ne doit pas être né sur cette planète. Quand il joue de son instrument, il donne une idée de l’endroit d’où il vient… D’où ? De très, très loin !
(*) Music video by Christian Li, Melbourne Symphony Orchestra performing Vivaldi : The Four Seasons, Violin Concerto No. 4 in F Minor, RV 297 « Winter » - I. Allegro non molto. A Decca Classics Video ; © 2021 Universal Music Operations Limited
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Et si vous avez du temps devant vous (le document ci-dessous dure, lui, 6 minutes) et si vous appréciez le violon dans la Musique Classique, regardez, dans un style tout à fait différent, comment Christian Li interprète la célébrissime « Méditation de Thaïs » de Massenet (*).
(*) Music video by Christian Li, Timothy Young performing Massenet : Thaïs - Méditation (Arr. R. Nichols for Violin and Piano). © 2021 Universal Music Operations Limited
Encore une fois, ne quittez pas des yeux un instant le visage et les doigts du jeune violoniste. Là, vous en aurez la preuve, « CE GAMIN VIENT D’AILLEURS ! »
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teratlas · 1 year ago
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CAN 2023 en Côte d'Ivoire : Une Fête du Football Africain à Ne Pas Manquer
La fièvre du football africain s'apprête à enflammer la Côte d'Ivoire ! Du 13 janvier au 11 février 2024, le pays deviendra le théâtre de la 34e édition de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN 2023). Cette compétition promet d'être un spectacle inoubliable, réunissant les meilleures équipes nationales du continent pour une célébration du sport, de la culture et de l'unité.
Une Histoire de Passion et de Changement
Initialement attribuée à la Côte d'Ivoire, la CAN 2023 a connu quelques ajustements remarquables après le retrait du Cameroun en 2019. La Confédération Africaine de Football a orchestré des négociations complexes qui ont abouti à un changement de plan : le Cameroun accueillera la compétition en 2021, suivi de la Côte d'Ivoire en 2023, et le Maroc en 2025.
Sous la direction du comité d'organisation (COCAN), présidé par Lambert François Albert Amichia depuis juin 2021, la CAN 2023 est prête à écrire une nouvelle page dans l'histoire du football africain.
Symboles de l'Événement : Logo et Mascotte
Le visage de la CAN 2023 est marqué par un nouveau logo audacieux, reflétant une ère de modernité et de dynamisme dans le football africain. Le comité d'organisation a également lancé un concours pour la création de la mascotte, résultant en "Akwaba", qui signifie "bienvenue" en langue akan. Conçue par Frédéric Raoul N'Guessan Kouadio, cette mascotte incarne l'hospitalité chaleureuse de la Côte d'Ivoire.
Anticipation pour la Musique et le Ballon Officiel
Alors que l'excitation monte, les amateurs de football du monde entier attendent avec impatience la révélation de la musique officielle et du ballon officiel de la CAN 2023. Ces éléments joueront un rôle clé dans la création d'une atmosphère immersive, liant la passion du football à la riche culture ivoirienne.
Préparez-vous à l'Aventure Africaine
La CAN 2023 promet d'être bien plus qu'un simple tournoi de football. C'est une immersion dans la diversité africaine, une célébration de la compétition sportive et un témoignage de l'hospitalité légendaire de la Côte d'Ivoire. Restez à l'écoute pour des mises à jour passionnantes à mesure que nous nous approchons du coup d'envoi de cette extraordinaire fête du football africain ! 🌍⚽️✨
#CAN2023 #FootballAfrique #CôtedIvoire #Akwaba
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