#école privée
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PERFORMANCE SCOLAIRE: L’école privée «La Victoire» célèbre ses cracks
L’École privée «La Victoire» a organisé une journée exceptionnelle dédiée à la remise de prix pour honorer ses élèves les plus méritants le samedi 29 juin 2024. Marqué par des moments de reconnaissance et de fierté, l’événement a rassemblé parents, élèves et membres du personnel. Il a aussi bénéficié du soutien de deux parrains prestigieux, notamment M. Touré Issouf Albert (Directeur national de…
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Terminale B au cours privé de Chaville, je suis tout à droite à coté d'Erin, au milieu Erica et Daphné (enlacées comme toujours).
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Avancement des travaux : BD de Pyrkaïa
Nouveau billet sur cette BD ! Cette fois, c'est la suite directe du dernier billet qui montrait où j'en étais (à retrouver ici) et c'est tout ce que j'ai fait depuis, donc... bah y a un mois tout pile aujourd'hui... ô Déesse, le temps passe vite... enfin, pour le moment, je suis plutôt contente du résultat même si c'est encore à bien nettoyer, remettre les oreilles visibles au bon endroit, faire les bras MUSCLES de Pyrkaïa, ses petites veines de lave... puis passer au noir et coloré tout ça... bref, j'en ai encore pour un moment mais, j'espère que ces pages vous plairont !
Juste des petites précisions avant de commencer :
Oui, il n'y a pas d'archer qui entoure Lonato dans les renforts, qu'il a une épée au lieu d'un arc, il y a deux combattants à hache dans le jeu (et ils ont un masque plutôt qu'un casque intégrale) et le placement est différent mais, pour avoir certaines images spécifiques que je voulais faire, j'ai modifié la composition de l'armée. On va dire que comme on roule tellement pas sur l'or à Gaspard, même les soldats bien placés sont équipés avec les moyens du bord et de toute façon, l'uniforme n'existe pas au Moyen-Âge donc, ça tient qu'ils n'en aient pas non plus ici.
J'ai aussi modifié les noms qu'utilise Lonato pour désigner ses ennemis. Il appelle notamment Rhéa "sorcière" quand il attaque des unités qui ne sont ni Ashe, ni Dimitri, ni Catherine. Cependant, comme dans mon univers, c'est le nom de ceux qui pratique la magie ancienne, la sorcellerie, et que c'est un terme qui pourait être attribué aux Braves étant donné qu'ils l'étaient tous, je l'ai retiré et Lonato utilise bien plus les mots "démone" et "hérétique", ce qui mène au point suivant
Pyrkaïa est originaire d'une cité qui s'inspire de Sparte / Lacédémone, elle parle donc le grec ancien normalement à son époque (et pour la compréhension ici, j'avoue, c'est un énorme "ta gueule, c'est magique" même si je préfère d'habitude faire en sorte que les personnages du passé continue à parler leur langue et qu'il faille quelqu'un pour traduire mais, ça aurait annulé tous les dialogues de cette histoire donc, on passe outre) Il y a donc des mots qui ont des origines grecques qu'elle entend dans la bouche de personnages du présent qui parle français mais, qui n'ont pas la même signification pour elle qu'ls l'ont actuellement, d'où le fait qu'il y ait parfois des incompréhensions entre elle et les autres et qu'elle s'énerve quand on l'appelle de tel ou tel façon.
Pour celui-là, je vais directement tiré mes définitions du Bailly, le dictionnaire grec ancien-français de référence en France. J'ai plus fait bien plus de latin que de grec et de base, je suis pas douée en langue du tout alors, il y a plus de risque que je fasse des erreurs alors, je préfère mettre mes sources :
démone : vient du grec "δαίμων, ονος (ὁ, ἡ)" et à l'époque de Pyrkaïa (après Homère vu que la Guerre de Troie a eu lieu dans cet univers 200 ans avant sa naissance) "après Hom. : 1) οἱ δαίμονες, sorte de dieux inférieurs (entre θεός et ἥρως), PLAT. Leg. 738d ; cf. Rsp. 342a ; placés à la suite des dieux, PLAT. Leg. 848d ; nés des dieux, mais non dieux eux-mêmes, ARSTT. Rhet. 3, 18, 2 ; cf. PLAT. Ap. 27d. / 2) postér. mauvais esprit, démon, NT. Matth. 8, 31 ; Marc. 5, 12 ; Luc. 8, 29 ; JOS. A.J. 8, 2, 5, etc. " Elle, elle le comprend comme "divinité mineure"
hérétique : vient du grec "αἱρετικός, ή, όν" et dans le Bailly, c'est dans sa première définition "apte à choisir, qui choisit, gén. PLAT. Def. 412a.", et c'est également pris comme le "factieux" mais, les auteurs qui l'utilisent dans ce sens ont l'air plus récent, si le Porp est Porphyre de Tyr, c'est le 3e siècle de notre ère, là où Platon est à cheval entre le 5e et le 4e siècle AVANT notre ère. J'ai donc gardé le fait que pour Pyrkaïa, ce mot désigne avant tout celui qui fait un choix
Rhéa, évidemment, elle la prend pour Ῥέα, ας (ἡ), la Rhéa mythologique, épouse de Cronos, mère des divinités olympiennes... (ou alors, elle pourrait aussi entendre ça "ῥέα" l'adverbe pour dire "facilement, sans peine")
Et enfin, celui-là, je suis moins sûre mais, le nom de famille Charon vient surement de "Χάρων, ωνος (ὁ) / Khâron / Charon", passeur des enfers de la mythologie grecque (même si ça aurait aussi pu venir de " χάρων, ωνος (ὁ, ἡ)" qui s'écrit de la même manière mais qui veut dire "gai, joyeux, seul. en parl. de la couleur, particul. de la couleur fauve du lion") alors, je ne pouvais pas le mentionner dans cette histoire. Cependant, Pyrkaïa est très prudente avec la notion d'hubris, comme la très grande majorité des sorciers de sa région car, c'est un des pires crimes à son époque : le fait d'être tellement arrogant et orgueilleux qu'on se prend pour au-dessus des dieux. Elle déteste même quand on suppose que son père ne serait pas le sien mais, un dieu (comme Arès, ce qui l'énerve encore plus vu que c'est pas un dieu très bien vu, ou une autre divinité de la guerre) afin d'expliquer comment une femme peut être aussi puissante qu'elle l'ait alors, elle ne pouvait pas prendre le nom du passeur des morts comme ça. Je suis donc parti sur le fait que le nom "Διονύσιος " signifie "de Dionysos", j'ai rajouté un "ι" pour que son nom ressemble plus à un possessif, même si je ne suis clairement pas sûre que cela se tienne en grec ancien...
Bon, après ça, je pense qu'on peut commencer ! (ah et si les pages sont assez jaune, c'est normal, c'est que j'ai renforcé les contrastes et baisser la luminosité après coup pour qu'elles soient plus visible, je les ai pris en photo avec un téléphone)
#écriture de curieuse#dessin de curieuse#fe3h#fe3h oc#j'espère que ça vous plait surtout !#fans de Lonato... les 3 fans de Lonato... passez votre chemin !#ça faisait du bien de dessiner cette scène ! Qu'il mange de la terre Lonato !#Surtout que bon dans ma version si Christophe a été arrêté et exécuté c'est qu'il faisait partie d'un groupuscule complotiste#+qui soutenait évidemment le massacre des Duscuriens et était de mèche avec la pire faction de l'Eglise / secte occidentale#+qui allait faire un attentat sur Rhéa + a tenté de faire rentrer des armes à GM -donc école + hospice- pour la tuer avec ses fidèles#+tout ça parce qu'elle a condamné le massacre systématique des duscuriens et excommunié les responsables#+et quand son ami Théo Charon -petit frère de Catherine- a tenté de lui parler en privé plutôt que dans son bureau au tribunal#+il l'a accusé d'être du complot et s'est enfui en l'envoyant dans une bibliothèque qui lui ait tombé dessus pour qu'il ne le poursuive pas#-Théo est paraplégique et en fauteuil roulant c'était gratuit et pour ralentir les autres en le blessant-#+et quand Cath l'a rattrapé et arrêté- il lui a hurlé les pires insultes notamment sur le fait que les Charon sont des monstres#+car elles ont gardés pas mal de traits nabatéens et vivent vraiment très longtemps#Donc très clairement il n'a pas été condamné à mort pour rien#Et Lonato mérite de se prendre la colère de Pyrkaïa et de tout le monde#Il a juste agi de manière égoïste en jetant ses citoyens à la mort et en tuant tout le monde pour se venger personnellement#alors avec le coup de la magie noire des agarthans en plus de son comportement de tyran...#tu m'étonnes que Pyrkaïa veuille le réduire en cendres... mais bon quand elle fait une promesse- elle la tient#en tout cas j'espère que ça vous aura plu ! merci encore !
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Se faufiler dans une école privée - Défi Sims 2@SimsetteGirl
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Mundiapolis : L’Université Qui Prépare les Étudiants à l’Excellence Professionnelle et Personnelle
#Université privée Maroc#École d'ingénierie Maroc#Faculté des sciences de la santé#Licence professionnelle Maroc#Business School Maroc#Business school Casablanca#Formation continue Casablanca#Admission université privée#Études supérieures Maroc#Formation en sciences politiques
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Téléphone dans le Couple : Faut il Partager ou Non son Code - Les Limites de la Confiance ou l'Excès de Confiance?!
Dans l’ère numérique, nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes, devenant ainsi une partie intégrante de nos vies personnelles et professionnelles. Les intégrer l’utilisation dans une relation de couple est devenue un sujet de débat complexe qui soulève des questions essentielles sur la confiance, la vie privée et les limites de l’intimité… La Confiance, Base d’une Relation…
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Quotas dans les écoles privées : plus de mixité pour plus de nullité ?
Pour achever notre société, il faut visiblement détruire l’école surtout la privée. Par Arnaud Florac Continue reading Untitled
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#Arnaud Florac#écoles privées#éducation#boulevard voltaire#Observatoire du MENSONGE#Pap Ndiaye#quotas#société
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Paris aux approches de Noël à l'époque, il y a longtemps, combien c'était beau. Les porches, les entrées éclairées, les hautes fenêtres avec leur rideaux là-haut, la branche qui dépasse d'un sapin décoré, les moulures aperçues d'un plafond illuminé. Je regardais tout cela enfant depuis en bas, depuis la rue. Et en arrière-plan le soir était la pénombre des parcs avec leurs feuillages balancés au vent derrière les grilles en fer. Émergeant ça et là, les gens, les familles surtout, une chose rare aujourd'hui, les gens étaient en famille. Des pères à l'allure fringante, de jeunes mères avec chacune plusieurs enfants, très rangés, très élégants, très heureux. Un monde comme mon monde, chez mes grands-parents. Le monde comme un prolongement tranquille de mon monde. Le décor des logements bourgeois dans des films comme Les Visiteurs, Opération Corned-Beef, Le père Noël est une ordure, étaient tous semblables au logement principal et secondaire de mes grands-parents, ainsi la vie future serait une tranquille continuité entre la vie privée et la vie publique, et la France remise à l'endroit par ces visites chez ces Anciens aurait forcément raison bientôt de la montée des "voyous" comme on les appelait alors. J'avais une famille. Un havre de paix gratuit quelque part, un refuge avec une place à mon nom, une base. Quand j'ai compris avec le temps que c'était ma seule famille, vu mes origines, alors que tous mes amis en avaient deux, cette base est devenue alors un idéal à reconstruire pour la vie adulte future.
La fête que c'était, Paris, enfant, avant Noël. La foule variée des restaurants, des cafés, tout cela inondé de lumière qui devait ne jamais s'éteindre. Il y avait la vie quelque part, cela existait, il suffisait de le savoir pour s'en retourner rassuré dans sa banlieue éteinte affronter la montée des "voyous", épreuve temporaire qui finirait bientôt, car les méchants finissent au bagne disait Le Bouillon. Paris, les grands magasins. Le Printemps. Les Galeries Lafayette. Le métro avec ses publicités immenses pour La Samaritaine. Le Trocadéro. Les églises. Les gares pleines de voyageurs avec des skis. Et partout où l'on allait dans la ville les sapins ceinturés de girandoles, constellés de lumières dans les entrées d'immeuble, dans les halls de palace, dans les magasins, partout, comme une symphonie unanime dans le pays où chacun joue sa partition privée spontanément, partout. Les avenues bordées d'immeubles en pierre, illuminés du dedans, peuplés de familles françaises qui attendaient Noël comme nous. Les guirlandes électriques dans les rues. Les publicités pour les spectacles, les salles de spectacle avec leurs portes en or qui donnaient 3 représentations par jour d'un Molière ou d'un Feydeau, bondées de foule française heureuse, pendant ces jours qui précédent Noël, pendant la montée progressive vers cette réjouissance, 19 Décembre, puis l'entrée dans les chiffre des vingtaines, le 20, le 21, de mieux en mieux le 22, le 23, puis le 24 et le parachevèment du 25, point final et point d'orgue de l'année. Les libraires, les bistrots, les brasseries avec leurs étalages d'écailler mirifique, les pancartes "arrivage d'escargots", les teinturiers derrière leurs comptoirs assiégés, les écoles encore encore occupées, les salons de coiffure pleins de dames, les marchands de gravure et leur air compassé, les détaillants en spiritueux. Partout la vie. Et chez nous, se retrouver à 20 convives, accomplir les préparatifs, réserver les huîtres, cuisiner des plats, allumer des lumières partout dans un appartement spacieux où chaque pièce devenait habitée, ici pour s'habiller, ici pour emballer en secret des paquets, là pour parler affaires, chacun à sa place. 1995. 1990. 1988, et avant. Larmes fréquentes rien que d'y penser. Cette lugubre, hideuse impression de fin de tout aujourd'hui, dans l'indifférence dépeuplée, cynique, impie, technologique. Tout cela beaucoup trop violent, beaucoup trop méchant quand on est seul, quand on est loin, quand le train qui vous dit "complet" part sans vous et qu'on s'essouffle à le rattraper. Parti au vent le parc Monceau, et le Ranelagh, le manège en bois, la boulangerie, le marchand de caddies à motifs écossais en bas de la rue. Cette ville grise à l'extérieur et si chaude, si lumineuse, si proprette dès que l'on entrait quelque part. Auteuil, l'arrêt "Jasmin" sur la ligne du 9, la légende, la ligne qui mène aux Champs-Elysées et au virage Boulogne, à la bourgeoisie et au combat. Et le musée de la marine, et l'aile Denon au Louvre d'où l'on revenait plein d'histoires à raconter, le théâtre de Chaillot, et Guimet, et les petits cinémas du 16ème qui donnaient Maman j'ai raté l'avion en 1990. Et les vieux appareils électriques oranges, notamment le presse-agrume, le couteau électrique qui fait des fines tranches de rôti, le hachoir à jambon, la yaourtière. Et la noble charité filiale, légère, facile, dégagée, qui nimbait tout cela dans un ordre qui avait toujours été, qui serait toujours, grâce auquel nous n'aurions jamais à nous inquiéter de rien.
Et aujourd'hui... À six heures du matin rugit le hurlement des poids-lourds qui redémarrent au feu rouge (visages effondrés des routiers moldaves à la proue de 20 tonnes de béton sur métal qu'ils ont conduit toute la nuit). Les embouteillages, les rues défoncées, les palais noircis qui s'enfoncent dans la boue du sol détrempé. Plus de jobs. Plus de prolétariat. Plus rien. Recommencer à "gagner sa vie" là-dedans seul, abandonné en rase campagne. Sueurs froides et halètement. Réminiscences de Houellebecq, Soral, de ces lectures de 2000-2010, de phrases comme "la société où vous vivez à pour but de vous détruire", ou "ils ont été emasculé par la violence du système", ou encore "vous étudiants, êtes voués à un monde de mensonge, de saloperie et de violence". Dire que cela nous semblait exagéré à l'époque... Tout est contre nous et personne ne fait rien. Et puis un pays noir. Des rues noires sous un temps noir. Population rare, verdâtre, visages froncés, bouches mal fermées, dents avides. Société excrémentielle. Pluie noire sur les dos voûtés, lavés à l'eau sale, qui rentrent par des cages d'escalier aveugles dans des bâtiments opaques aux vitres fumées d'où ne sort ni lumière ni branche de sapin, ni familles rangées. À côté de cela, les "consultants" badge au cou dans leur voiture payée par la prétendue union, prétendument européenne, et les "double paye sans enfant". Il n'y en a plus que pour les sournois suceurs. Un tel degré de saloperie, une entreprise aussi monstrueuse, devrait se payer par vingt Sinn Fenn par jour, méthodiques, fanatiques de justice en faveur des pauvres.
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saga: Soumission & Domination 344
João-1
Depuis qu'il a intégré la colocation, c'est un autre mec. Là où il restait une attitude compassée, s'est développé une aisance, je dirais même une normalité de comportement. L'association qui l'a fait venir continue à regarder par-dessus son épaule. Même s'il est majeur maintenant, il est toujours en France avec un visa étudiant.
Au contact de mes deux " commerciaux " 1ère année, il rentre enfin dans le monde étudiant français. Il faut dire qu'avec ces deux-là je ne m'étais pas trompé non plus ! Ils sont bosseurs mais aussi de bons fêtards. Ils l'ont même fait venir à quelques-unes des soirées de notre école où son exotisme a fait quelques ravages et pas seulement auprès des filles.
Ça + son nouveau logement + une nouvelle garde-robe + ses entrainements avec ma bande + son nouveau travail = un João tout neuf. Le timide et timoré, bénéficiaire des oeuvres sociales d'une association de bienfaisance a cédé la place à un jeune homme ouvert au naturel gai (aussi). Son directeur du dojo de capoeira est aussi très content de lui. Déjà qu'il passait bien avec les jeunes, il est maintenant aussi à l'aise avec les 16-18.
A la montagne, il s'est bien dérouillé même si c'était pour lui la première fois qu'il montait sur des planches. Avec l'enseignement des Chasseurs Alpins, il a fini la semaine capable de dévaler les pistes bleues rapidement et les rouges avec aisance à défaut de rapidité. Par contre il a su glisser sa grosse queue avec maestria entre leurs fesses en remerciement de leurs bons conseils sur les pistes. Et les militaires ne se sont pas privés non plus de lui donner la réciproque.
Coté Client, il fait toujours un tabac. Son accent Brésilien si spécifique les enchante et je ne reçois que des louanges.
J'ai dû prendre en compte les services que me rend André pour le faire passer dans les premiers. En effet chacun y va de sa surenchère pour faire avancer son nom sur la liste des réservations. Bon j'ai attendu quand même qu'il se fasse trois autres clients ttbm avant. André est parmi ceux qui sont montés les plus larges avec ses 7 cm de diamètre.
Je prends le temps d'accompagner João dans ses premiers " services ". Il m'intéresse et en plus il ne conduit pas encore ! Il donne satisfaction aussi à mes clients blacks. Quand je les vois enfoncer leurs matraques noires entre ses petites fesses dorées, ça me fait bander dur !
Et je peux dire que les leurs sont au maxi de leurs extensions possibles après qu'il se soit mis nu et que sa bouche se soit occupée de leurs glands. Si sa gorge profonde ne l'est pas encore suffisamment plus des sexes de plus de 24 cm, il compense par une science de l'excitation de l'extrémité la plus sensible de l'homme, le gland. Chacun de mes clients l'ont supplié de cesser sous peine de tout recevoir sur le visage. Il a le bonheur de disposer d'une langue plus râpeuse que la normale, limite une langue de chat. Et son mentor brésilien lui a parfaitement appris à l'utiliser pour donner du plaisir. Il arrive à faire monter les clients à quelques secondes de l'éjaculation puis à les maitriser pour qu'ils ne se vident pas trop tôt. En plus quand je le regarde faire, je vois que lui aussi se fait plaisir. Et ça, les clients le ressentent aussi. Avec sa pratique de la capoeira, il est très souple quasiment du niveau des gymnastes professionnels.
C'est assez troublant de le voir esquisser une passe de capoeira (pour ceux qui connaissent) et en fin de mouvement se planter sur la mat tendu vertical. Je l'ai vu faire plusieurs fois. C'est magique !
Ça me fait penser que si j'en avais quelques-uns de gymnastes ça étofferait mon offre. A réfléchir...
Si sa gorge manque parfois un peu de profondeur encore, ce n'est pas le cas de sa rondelle. Je le vois sans problème se prendre les bites de 25 à 27 par 6 à 7. Je sais qu'il se prépare avant car sa rondelle reste bien serrée quand même. Il module selon l'attente qu'il perçoit chez le client. Je l'ai vu se planter brutalement sur leurs pieux comme descendre mm par mm les absorbants jusqu'à poser ses fesses dorées sur leurs cuisses.
Il n'a pas encore fait de cheval mais sait parfaitement trotter et galoper sur de telles montures. Plus je le mate et plus je vois le travail de son mentor. Il retrouve ses marques et les pratiques qu'il avait apprises. On en discute en rentrant à la colocation. Il me raconte un peu ses années de favela. La vie qui pouvait être aussi belle qu'elle était moche pour d'autre. Les revenus procurés par le trafic de la drogue permettaient à son gang de vivre dans l'aisance. Son chef a veillé à ce qu'il soit instruit. Il l'a protégé même des autres membres qui en auraient bien fait un réceptacle à sperme. Il admire mon tatouage qu'il trouve esthétique contrairement à tous ceux qui ornaient la peau des membres de son clan, le chef compris. De ceux-là, il a une aversion.
Il se rappelle les bons moments passés sur les plages quand, pour lui faire plaisir, son mentor prenait le temps de le sortir de sa favela. Il comprend maintenant qu'il prenait des risques rien que pour lui faire plaisir, pour lui offrir des glaces et qu'il vive comme un enfant normal.
Il me dit que reviennent en mémoire les gestes qu'il faisait afin de lui donner du plaisir. Tout ce qu'il lui avait appris remontait à la surface. Je lui dis que je m'en doutais vu la maitrise qu'il montrait lors de ses prestations.
La première fois où nous en avons parlé j'ai dû m'arrêter sur le bord du trottoir pour le prendre dans mes bras. Puis nous sommes revenus au blockhaus. Pas question de le laisser seul (malgré ses colocs).
Il me remercie. Mais c'est normal. Entouré de nous trois (PH et Ludovic aussi), il trouve la chaleur humaine qui lui avait tant manquée depuis le décès de son mentor.
Il reste aussi toute la nuit, je n'avais pas envie de ressortir.
Sans acte sexuel (il avait déjà donné avec le client), il passe la nuit entre nous. Plusieurs fois je me réveille serré par ses bras. La colocation n'est peut-être pas ce qui lui faut finalement.
J'en discute le lendemain avec PH et Ludovic. Ils ont la même analyse que moi. La colocation c'est mieux que sa chambre en cité U mais encore loin de ce qu'il avait perdu. C'est Ludovic qui propose une solution : le prendre avec nous.
Ce n'est pas que je n'y avais pas pensé mais je l'aime plus comme un petit frère et, pour une fois, j'hésitais à imposer ce choix à mes amours.
Ludovic argumente son option. Il ajoute qu'il serait peut-être temps que la chance se penche sur lui. PH est d'accord. On appelle donc Marc pour le prévenir/avoir son accord. Il connait déjà notre nouveau protégé. Quand je lui fais part de notre analyse et de ce que nous projetions de faire, il m'assure de son complet accord.
Il ne reste plus qu'à avoir l'accord de João. Finalement c'est le plus dur à obtenir. Il trouve que j'en fais déjà suffisamment pour lui. Pour clore le débat, j'arrive avec Samir à la coloc et embarque tout ce qu'il a à lui. Les deux autres comprennent mais je les préviens qu'ils auront bientôt un autre résident.
Nous l'installons dans la chambre à côté de la nôtre au 3ème. Samir et Ammed implantent un bureau et on pose dessus son portable et on ajoute une imprimante. Le soir même je vais le chercher à la sortie de ses cours. Il est étonné, c'est la première fois. S'il est gêné par ma voiture, cela ne se voit pas. Il monte surpris de me voir l'attendre. Retour au blockhaus, jusque-là rien que de presque normal puisqu'on est un soir de sport. Par contre l'arrêt au 3ème et l'entrée dans sa nouvelle chambre, lui coupe les jambes. Il reconnaît son ordinateur et les quelques affiches dont il avait commencé à orner ses murs �� la coloc. Je lui dis que nous avions tranché pour lui et qu'à partir de ce soir il était chez lui ici. Sur le bureau j'avais mis un post-it avec ses codes personnels d'entrée sur la rue et celui du monte-charge.
Il essaye encore ce me dire que c'est trop, pour lui que la coloc c'était déjà bien. Je lui dis de se taire et de nous rejoindre en tenue au 2ème, il a des conseils à donner en capoeira.
Je descends et j'ai le temps de me mettre en jock avant qu'il n'arrive. Il y a déjà la moitié des escorts d'arrivés. Il arrive porteur de son large pantalon blanc sans rien en dessous comme il aime le porter pour être plus à l'aise. Nous nous entrainons tous une bonne paire d'heures avec ceux qui nous ont rejoints. Puis comme c'est en début de semaine c'est souvent sans touze à la sortie, il remonte avec nous après nos douches prises tous ensemble.
Je le sens plus gêné avec Samir et Ammed que les fois où il était invité. Je me vois donc dans l'obligation de préciser les choses. Ammed et Samir sont nos hommes de service mais pas des larbins pour autant. Ils ont la charge du blockhaus dans son ensemble bouffe et lingerie comprise. Ils font tout pour prendre en charge les contraintes matérielles afin que nous n'ayons que nos cours et nos " vies personnelles " à gérer. S'il a besoin de quoi que ce soit, il leur demande en premier. Mes deux hommes confirment. S'il a besoin de quoi que ce soit, d'un bloc de feuilles à l'encre pour son stylo plume, d'un boxer à une boite de kpotes ou un tube de gel, il n'aura qu'à leur demander. Pour les déplacements, les bus ne passent pas loin et quand les horaires seront raccords, un de nous trois pourront l'emmener aussi.
Il finit par accepter l'état de fait. Il se lève de table et fait le tour pour nous embrasser un par un. Quel émotif ! Je sens ses joues humides alors qu'il presse son visage contre le mien.
Avant de nous endormir, je mets notre TV sur le circuit interne pour veiller sur sa première nuit chez nous. Une heure plus tard je me réveille alors que João tourne et vire dans son lit. Je le regarde. Il est troublé, pas habitué à son nouvel environnement. Après une demi-heure, je me lève et vais le rejoindre. Je me glisse dans son lit et le prend dans mes bras. Il se calme et s'endort aussitôt. Nous finissons la nuit collés, lui protégé de l'extérieur par mes bras.
Je me réveille avant lui. Je le regarde son visage est détendu, ses long cils noirs caressent ses joues. Ses lèvres pulpeuses légèrement entrouvertes, laissent passer son souffle. Il me fait bander ce petit con.
Le développement de ma bite fait s'enfoncer mon gland entre ses fesses. Evidemment puisqu'il est dos à moi au creux de mes bras !
Je sens qu'à son tour il est réveillé quand ses fesses ondulent et que, ce faisant, il se frotte la rondelle sur mon gland luisant de mouille. Je ne bouge pas. Il donne un petit coup de rein et absorbe mon gland, juste lui. C'est trop bon. Sa rondelle se resserre juste derrière la couronne et colle ma hampe. Il ne bouge plus. Puis il tourne sa tête pose ses lèvres sur les miennes, me souffle un bonjour avant de m'enfoncer sa langue à la recherche de la mienne.
Je n'y tiens plus. J'écrase ma bouche contre la sienne et en même temps enfonce le reste de ma queue dans son cul. On se décolle sous l'effet de nos grimaces respectives. Quasiment à sec, ce n'est pas notre meilleur enculage ni pour l'un ni pour l'autre. Je me retire doucement, bascule vers la table de chevet le temps d'attraper une kpote et du gel et reprend ma position. C'est nettement meilleur ! Lentement je lui laboure la rondelle. Je ressens la compression de son intérieur à chaque pénétration et il gémit doucement, surtout quand mon gland vient frotter sa prostate. Il me tend à nouveau ses lèvres. Sa langue cherche la mienne, l'entoure et tente de l'aspirer. Sans se presser mon bassin bascule régulièrement pour lui enfiler puis retirer mes 20cm. Couchés sur nos côtés gauches, j'utilise ma main droite pour branler ses 22cm dont ma main peine à faire le tour. Ça nous achève rapidement. Il me jute dans la main et ses contractions anales me font à mon tour juter mais dans ma kpote.
Nous n'avons pas le temps de nous décoller que mes deux amours nous sautent dessus. Chahut sur le lit, nos spermes se dispersent sur les peaux et les draps. Quand João s'en rends compte, il veut nous calmer mais c'est peine perdue !
Vu l'heure, nous filons tous sous les douches de la salle de bain commune.
Quand Samir demande plus tard à João comment s'est passée sa première nuit chez nous, il lui répond trop bonne. Je lui dis qu'il devra quand même s'habituer à dormir seul. Enfin tant qu'il n'a pas de petit copain.
Jardinier
??
oooohhh
~~
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"Un autre problème : la catastrophique éducation scolaire chrétienne, y compris la soi-disant école privée hors-contrat (comme si cela garantissait quoi que ce soit) tenue par importantes dondons hurleuses et petits précieux efféminés, entièrement débilitante, républicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive. Autoritaire mais par procédé, sans le tact que confère un vécu sensible (chose que les enfants même jeunes perçoivent très bien chez les adultes qui leur parlent). Bienveillante, mais maternante et castratrice et toujours nimbée de la lâche crainte du jugement des mères, seules véritables directrices (par proxy) des écoles tratras, les désastreuses mères quadras démusclées à tennis violettes en plastique étouffant des soupirs de porteur d'eau même pour monter dans la voiture. L'éducation chrétienne actuelle même très-très-tratra est une manière de se raconter des histoires entre administrateurs "membres du haut conseil" chevaliers de la dînette complètement cocufiés et féminisés. Ils ont trop lu, trop ressassé le moyen-âge, trop visité de monastères détruits en s'extasiant sur le plan alors que la guide devant eux a des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais ces faux-culs le concret des choses.
[...] Quel être physique reste-t-il dans un enfant après formation religieuse par animatrice pastorale ? Quelle force, quel rapport au monde, quel nécessaire fanatisme, quelle énergie, quelle estime de soi, quelle certitude métaphysique peut-il rester à un garçon après s'être fait inculqué la déférence envers une dame dont la place sociale est en elle-même une usurpation? La réponse arrive 10 ans plus tard lors des premières confrontations physiques avec la racaille et avec la gent féminine amatrice de racaille. Ce jour-là il n'y a plus l'animatrice pastorale "dame respectée" pour rendre des comptes sur les résultats de sa formation. Mais "elle était très gentille madame Lebrouneux hein?" Nous avons grandi sous propagande contre les pères, désignés comme alcooliques, abusifs, frappeurs à coup de ceinture. Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les faits nulle part en 18 ans de salle d'attente de l'âge adulte. Nous n'avons vu partout et toujours dans les familles françaises que la mère abusive, la mère mauvaise, la mère indigne, la mère déshonorante, la mère hurleuse, la mère dégueulasse de manœuvres, la mère cinglée profiteuse destructrice effroyable et qui se fout absolument des conséquences de ses actes, entièrement protégée par les tribunaux et célébrée par les médias.
Mais les choses les plus sérieuses en matière d'éducation commencent exactement lorsque l'éducation scolaire vient de finir et que l'enfant doit faire sa place dans un monde qui lui est soit indifférent soit hostile. Toutes ces écoles à la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modèle franc-maçon vieux de 150 ans le plus inepte imaginable, quand la seule voie porteuse, tracée par Thomas Arnold, consiste à forger le caractère dans une stricte séparation garçons/filles, loin des désastreuses mères surtout, dans une ascèse de Grec ancien, dans une apologie absolue de la Providence, de la génération de famille nombreuse, de la xénélasie et de l'excellence, dans le chant, le sport, le discernement professionnel dès 13 ans, dans la mise à l'épreuve par "devoirs" comme dans la scène du Starbucks dans Fight Club. Forger le caractère consiste à faire coïncider le tempérament personnel de l'enfant avec la Tradition : la Nature lui a donné de naître et de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre. En l'état actuel des choses qu'iront faire ces pauvres gamins une fois leur éducation finie, une fois au pied du mur pour "choisir des études" après des années de crétinisation sous maîtresses et chapons ? À votre avis quelle est l'espérance de vie de l'âme d'un garçon de 18 ans logé en résidence étudiante d'une ville lointaine pour y "faire une école de commerce"? Et d'une fille ?"
Lounès Darbois, août 2023.
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LATE NIGHT THOUGHTS.
Un des derniers projets que j'ai codé ; le forum @latenightgirlies vient d'ouvrir ses portes aujourd'hui !
Contexte .:
C'est sur l'île de ULLEUNG que l'histoire s'inscrit. En ces temps présents, l'île est dirigée par un certain Jo, maire de la ville.
Cet homme qui souhaitait s'offrir des vacances éloignées de la capitale fut pris dans l’engrenage qui le hissa sur ce large fauteuil. Il dirige, il gère, il exécute. Du haut de son piédestal, il observe silencieusement la population.
La population ? Elle est dense, différente, hétéroclite et changeante : ça va, ça vient. Des visages fardés de dorures et des visages éreintés du quotidien. Des larges bâtisses avec fioritures à outrances et des immeubles en ruine.
Tout se sait, tout s'entend, vos secrets n'en sont guère. Les murs ont des oreilles, disent-ils. Après tout, dans une île telle que ULLEUNG, il est impossible de passer inaperçu (ou presque).
À ce jour, une nouveauté. En début d'année 2023 plusieurs projets ont vu le jour, attirant ainsi davantage de population que nécessaire : une école privée (du collège, jusqu'à l'université) et un centre commercial.
cette île n’était que pionnière dans l'agriculture et les échanges maritimes, et voilà qu’elle s'aventure à croire en l'idée de devenir à son tour : un lieu incontournable en Corée du sud.
#work done#forum#forumactif#forum rpg#forum roleplay#forum rpg asiatique#rpg ressources#french rpg#rpg
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Psy-op co-vide : le rapport de Stanford University
Un rapport explosif a récemment été publié par la Chambre des représentants des États-Unis concernant la campagne de santé publique sur le COVID-19 orchestrée par le Département de la Santé et des Services sociaux (HHS) des États-Unis. Ce document, résumé par le Dr. Jayanta Bhattacharya, épidémiologiste et professeur à l’École de médecine de Stanford, révèle une opération de propagande à grande échelle visant à manipuler l’opinion publique au sujet des vaccins COVID et des mesures sanitaires. Selon cette analyse, cette campagne a contribué à détruire le lien de confiance entre les citoyens et les autorités de santé publique.
Une Manipulation à Grande Échelle Financée par des Milliards de Dollars
Selon le rapport, l’administration Biden a dépensé près d’un milliard de dollars pour diffuser des informations trompeuses et créer un climat de peur autour du COVID-19. Ce financement massif a été alloué à une firme de relations publiques, la Fors Marsh Group (FMG), avec pour mission d’augmenter l’acceptation des vaccins COVID auprès du public. Les tactiques employées ? Exagération des risques de mortalité, minimisation de l’absence de preuves sur l’efficacité des vaccins pour arrêter la transmission, et promotion intense des masques et de la distanciation sociale.
En d’autres termes, le gouvernement a exploité des techniques de manipulation psychologique pour imposer des mesures sans fondement scientifique solide. Si une entreprise pharmaceutique privée avait agi de la sorte, elle aurait probablement été condamnée à une amende colossale, suffisant à la mettre en faillite.
Une Campagne de Peur et de Contrôle
Le rapport décrit en détail comment le HHS a orchestré une campagne médiatique massive, avec un mélange de publicités payantes et de messages subtils dans les médias. Ces messages étaient amplifiés par des influenceurs, des célébrités et même des sportifs, qui servaient à légitimer et répéter des informations non fondées auprès de la population.
Les messages de la campagne ne s’arrêtaient pas aux vaccins. Elle promouvait aussi la fermeture des écoles, la distanciation sociale, et l’utilisation des masques, souvent avec des messages exagérés et alarmistes, bien loin de la réalité des faits. En conséquence, le rapport affirme que cette propagande a contribué à l’érosion du capital confiance entre les citoyens et les services de santé publique.
Des Données “Scientifiques” Falsifiées
La campagne de la FMG s’appuyait largement sur les recommandations des Centres pour le Contrôle et la Prévention des Maladies (CDC), qui se sont révélées largement inexactes. Par exemple, la campagne affirmait faussement que les vaccins COVID empêchaient la transmission du virus, une affirmation contredite par de nombreuses études internationales. Pire encore, la CDC a exagéré les risques de COVID pour les enfants, malgré des preuves scientifiques montrant que le virus présentait un faible risque pour cette tranche d’âge.
Un Endoctrinement dès le Plus Jeune Âge
Une partie de la campagne s’adressait spécifiquement aux parents, les incitant à vacciner leurs enfants en déformant la réalité des risques. Les publicités allaient jusqu’à affirmer que le vaccin protégerait contre le “COVID long”, sans aucune preuve scientifique solide pour étayer cette affirmation. En raison de ce climat de peur généralisé, de nombreux parents se sont sentis contraints de vacciner leurs enfants, souvent sans une véritable évaluation des risques.
La Conséquence : Un Effondrement de la Confiance dans les Autorités Sanitaires
Avec des messages souvent contradictoires et basés sur des preuves erronées, la campagne a érodé la crédibilité de la CDC et d’autres institutions de santé. En conséquence, de plus en plus d’Américains remettent en question les conseils de santé publique, y compris pour des vaccinations essentielles comme celles contre la rougeole ou la polio. Cette méfiance envers les institutions pourrait avoir des conséquences désastreuses pour la santé publique à long terme.
Des Leçons Cruciales et des Recommandations Urgentes
Le rapport conclut avec plusieurs recommandations pour éviter qu’un tel fiasco ne se reproduise à l’avenir :
1. Redéfinir la mission de la CDC : Clarifier et recentrer la mission de l’institution sur la prévention des maladies.
2. Limiter les messages de santé publique : Le HHS ne devrait diffuser que des informations validées par la FDA, sans exagérations ni détournements.
3. Favoriser la transparence : Instaurer une culture de la transparence pour restaurer la confiance du public.
4. Encourager le débat scientifique : Ne plus étouffer les opinions divergentes, mais au contraire les accueillir pour renforcer la rigueur scientifique.
L’une des recommandations les plus cruciales est d’interdire au HHS de créer un faux consensus scientifique en supprimant les avis scientifiques divergents, ce qui a contribué à une pensée unique et aveugle au sein de la CDC.
Le rapport appelle le HHS à prendre ces recommandations au sérieux s’il veut regagner la confiance du public. Dans le cas contraire, le spectre d’une future crise de santé publique risque d’être accompagné d’une défiance massive, avec des conséquences encore plus graves pour la santé publique et la cohésion sociale.
#COVID19 #SantéPublique #Vaccination #ManipulationMédiatique #ConfiancePerdue #CDC #Propagande #RapportDévastateur #MesuresSanitaires #EnfantsEtVaccins #Désinformation #Pandémie #ConsciencePublique
Source : https://energycommerce.house.gov/posts/e-and-c-republicans-release-report-detailing-hhs-failed-covid-19-public-relations-campaign
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Limiter la richesse individuelle
Les frères Gracchus, Gaius et Tibérius, étaient tribuns, l'équivalent de nos députés et ils ont voulu s'attaquer aux problèmes de l'époque. Les riches étaient peu nombreux mais possédaient presque toutes les terres. Comme ils produisaient toutes les céréales, ils se mettaient d'accord entre eux pour fixer un prix élevé et faisaient venir des étrangers pour travailler à des salaires très bas que les citoyens romains n'acceptaient pas. En 133 avant J-C, Rome était plongée dans une pauvreté généralisée qui tourmentait Rome. Les frères Gracchus ont fait voter une loi qui s'appelait propriété et elle affirmait que la propriété avait une limite en quantité au-delà de laquelle elle était toxique pour la société et une limite d'usage selon laquelle ce n'est pas parce que c'est à moi que je peux en faire ce que je veux. Les frères Gracchus ont été saisis par les riches et leurs hommes de main et jetés dans le Tribe. S'en est suivi 100 ans de guerre civile entre la plèbe et les riches avant que l'empereur Auguste n'instaure les lois des frères Gracchus profitant de l'émoi causé par la mort de Jules César. Quatre cent ans de paix et de prospérité ont suivi.
En 1930, en France, des juges ont crée le service public de l'eau, nationalisant les sources. Cela a montré que la propriété privée n'est pas sacrée. Ils ont exproprié les propriétaires, et c'était normal. Léon Blum a été harcelé et a quitté sa fonction.
La victoire du Labour en 1945 au Royaume-Uni a permis d'exproprier les propriétaires de mines. La propriété n'est pas absolue. Les propriétaires sont devenus moins riches et cela les a fait passer en-dessous de la limite de toxicité.
Le 24 novembre 2013, en Suisse, est votée une loi limitant les salaires à 250 fois le salaire minimum. Cela veut dire que pour que les salaires les plus hauts augmentent, il faut augmenter les salaires les plus bas. A titre de comparaison, en France en 2019, les patrons du CAQ40 gagnaient 1128 fois le salaire de leurs employés les plus modestes. Les riches sont très heureux en Suisse.
En 2022, en Ukraine, profitant de l'opportunité de pouvoirs exceptionnels liés à la guerre, le président Zelensky a nationalisé les banques, les chaînes de télévision et les industries possédées par les oligarques. Ceux-ci étaient tellement riches qu'ils décidaient de tout dans le pays, les caisses ukrainiennes étant vides.
Quand Elon Musk intervient dans la guerre en Ukraine, c'est trop. Quand Mark Zuckerberg favorise l'élection de Trump pour s'enrichir, c'est trop. Quand une personne est suffisamment riche pour avoir un propre programme spatial ou a plus d'argent qu'un pays, c'est trop. Quand tes décisions peuvent ruiner la vie de millions de gens alors que tu n'as pas été élu, c'est trop. Quand les 1% les plus riches de l'humanité émettent 100 fois plus de gaz à effet de serre que ceux qui émettent les 99% autres, c'est trop.
Ces gens méritent d'être riches mais pas à ce point. Ils n'ont jamais rendu à la société ce que la société leur avait donné en premier lieu. La société a formé leurs employés avec des écoles et des universités; ceux-ci sont en bonne santé grâce aux hôpitaux, il y a des routes, des chemins de fer et des aéroports pour transporter leurs biens. Il y a une police et une armée pour les protéger et une justice pour faire valoir leurs droits. Il y a des ressources naturelles pour alimenter leurs industries, etc.
La Columbia University estime que 100 millions de dollars est une limite. C'est largement suffisant pour la personne et pas assez pour être toxique. (Putting a Limit On Wealth - Stephen H. Unger: http://www1.cs.columbia.edu/~unger/articles/wealthLimit.html)
What, if Anything, is Wrong with Extreme wealth: https://www.tandfonline.com/doi/epdf/10.1080/19452829.2019.1633734?needAccess=true&role=button
Having too Much - Ingrid Robeyns: https://www.openbookpublishers.com/books/10.11647/obp.0338
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Les autorités illégitimes: https://www.aurianneor.org/les-autorites-illegitimes/
“The world has enough for everyone’s need, but not enough for everyone’s greed”: https://www.aurianneor.org/the-world-has-enough-for-everyones-need-but-not/
You can’t get enough… Enough!: https://www.aurianneor.org/you-cant-get-enough-enough-the-same-companies/
Qui se cache derrière le drapeau?: https://www.aurianneor.org/qui-se-cache-derriere-le-drapeau/
Riche: https://www.aurianneor.org/riche-cetait-une-belle-journee-et-le-paysage/
Liberté et vivre ensemble: https://www.aurianneor.org/liberte-et-vivre-ensemble/
Tomorrow – Chap 4: La démocratie: https://www.aurianneor.org/tomorrow-chap-4-la-democratie-the-panama/
Solidarité Hélvétique: https://www.aurianneor.org/solidarite-helvetique-democratie-semi-directe/
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Abdellatif Laâbi, Illustration Zaü - Variation amoureuse
Je técoute et recueille les mots sur tes lèvres Pourtant ce sont les yeux qui parlent posément distribuant les rôles Aux paupières : les voyelles aux narines : les consonnes aux dents écarlates : les liaisons Au fond la langue qui me sert à écrire c’est à ton école - privée - que je l’ai apprise - Dans les fruits du corps Tout est bon La peau le jus la chair Même les noyaux sont délicieux.
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Comment on fait pour vivre lorsqu’on est doctorante, est-ce qu’il faut travailler à côté ?
Enfin une question à laquelle je peux répondre avec expertise !
Quand on est doctorant, on a plusieurs manières d'être rémunérés.
La solution la plus évidente (et la plus confortable), c'est d'être rémunéré pour ses travaux de recherche et / ou d'enseignement.
On peut obtenir un contrat doctoral ou d'autres financements universitaires, comme le contrat d'ATER ou le CDD LRU par exemple. Chacun varie que ce soit par la durée, la rémunération ou la charge d'enseignement imposée en plus de la recherche.
Il existe d'autres sources de financement, que ce soit les bourses CIFRE, les bourses étrangères ou liées à des cotutelles, les financements liés à des projets de recherche spécifiques... La qualité du contrat va donc être assez variable.
Si certaines écoles doctorales conditionnent l'inscription en thèse au fait de bénéficier d'un financement, ce n'est pas le cas de toutes (en droit, c'est pratique courante de faire une thèse non financée - en sciences sociales également je crois). Dans ce cas, le filet de sécurité parental / familial joue pour beaucoup.
Mais tout le monde n'a pas cette chance et alors il faut travailler à côté de ses activités de recherche pour vivre (que ce soit en faisant des vacations ou des jobs administratifs à l'université, des cours privés ou juste des jobs alimentaires, en fonction de ce qu'on trouve et de ce qui permet de bosser sa thèse à côté). Certains s'endettent aussi.
A ma connaissance, c'est compliqué de mener tout un parcours de thèse sans financement, mais j'ai vu des camarades réussir avec brio malgré les épreuves. Le système est aussi souvent injuste envers les doctorants qui commencent leur thèse sans financement (car les doctorants qui ont eu un contrat doctoral sont souvent favorisés dans l'obtention d'un autre contrat, style ATER - en tout cas dans ma fac).
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