#Accréditations
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megasportsmedia · 2 months ago
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Veille de match entre le Bénin et la Libye, voici le programme des Guépards
Lundi 9 septembre 2024, veille de match entre le Bénin et la Libye, plusieurs activités se tiendront au stade Félix Houphouët-Boigny. Entre autres, les Guépards du Bénin feront leur dernière et ultime séance d’entrainement avant le match. En effet, les activités des Guépards du Bénin débuteront à 17 h avec le sélectionneur Gernot Rohr et un joueur de son choix qui tiendront une conférence de…
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lescientifique · 3 months ago
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Les institutions d’enseignement supérieur reconnues en Haïti de 2018 à 2024 : Analyses statistiques, catégorisation géographique et perspectives
  Télécharger l’article [Download the paper] Résumé Les institutions d’enseignement supérieur (IES) à travers le monde représentent la force motrice du développement durable d’un pays. Ainsi, toucher la problématique du développement des IES revêt une importance capitale pour Haïti. De ce fait, l’objectif de cet article consiste à analyser l’évolution du nombre des IES reconnues par l’État…
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ejcmedia · 6 months ago
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Immersion avec les photographes de presse au Festival de Cannes
Le Festival de Cannes, c’est un événement qui rassemble 4000 journalistes. Chaque année, les clichés des célébrités font le tour du monde. Rencontre avec les personnes de l’ombre, celles qui sont derrière leurs appareils photo. Manon Vagner, Nicolas Fontaine, Thierry Maïz.édité par M.V.
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julculture · 11 months ago
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Edition 2024 du Masa Festival / Les groupes, compagnies et artistes sélectionnés connus
Du 6 au 8 décembre 2023, le Comité interne et le Comité Artistique International (CAI) du Masa Festival ont analysé les dossiers de candidatures des groupes, artistes et compagnies pour leur participation à la 13ème édition dudit festival. Plus de 2000 dossiers ont été évalués et plus de 800 artistes, groupes et compagnies artistiques ainsi que des professionnels des médias sont attendus. Au…
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comparerplacements · 2 years ago
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Maximisez votre rendement et comparez vos différentes options d'investissement
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sunsblogs · 1 year ago
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REDEMY ISTANBUL - DEVASA+
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La Turquie est devenue une destination populaire pour la chirurgie esthétique en raison de ses procédures de haute qualité et de ses prix abordables. Remedy Istanbul Esthetic Clinic est l'un des principaux prestataires de chirurgie esthétique en bbl turquie, proposant une gamme de procédures telles que la chirurgie mammaire, la liposuccion et le lifting brésilien des fesses bbl turquie prix. Ces procédures font partie des chirurgie esthétique turquie and chirurgie turquie, avec des prix BBL commençant à procédures populaires incluent l’augmentation mammaire, le lifting des seins avec implants et la rhinoplastie. Choisir la Turquie pour la chirurgie esthétique présente plusieurs avantages. L’un des principaux avantages est le coût, puisque les prix de la clinique esthetique turquie sont généralement 70 % moins chers que dans des pays comme la France. De plus, la Turquie possède une industrie du tourisme médical florissante, avec de nombreuses cliniques proposant des procédures de haute qualité et des installations de pointe. Remedy Istanbul Esthetic Clinic, par exemple, propose des forfaits médicaux gratuits, des transferts gratuits et des rendez-vous de suivi. De plus, la Turquie est connue pour ses chirurgiens plasticiens hautement qualifiés et expérimentés, dont beaucoup ont reçu une formation et une certification auprès d'organisations internationales réputées. Lors du choix d’une clinique de chirurgie esthétique en Turquie, plusieurs facteurs doivent être pris en compte. Il est important de rechercher la réputation et l'expérience de la clinique implant mammaire turquie, ainsi que les qualifications et l'expérience des chirurgiens effectuant les procédures. De plus, il est essentiel de s’assurer que la clinique dispose d’une accréditation appropriée et adhère aux normes internationales de sécurité et d’hygiène. La clinique esthétique Remedy Istanbul, par exemple, est accréditée par le ministère turc de la Santé et adhère aux normes internationales de sécurité et d'hygiène. En examinant attentivement ces facteurs, les individus peuvent s'assurer qu'ils bénéficieront d'une chirurgie esthétique sûre et efficace en Turquie.
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aurevoirmonty · 2 months ago
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"Les idées n'ont de légitimité que si elles recouvrent des valeurs. La métapolitique vise à accréditer de telles “idées porteuses de valeurs”. Chaque conception-du-monde comprend une échelle de valeurs hiérarchisées ; des valeurs contraires en apparence peuvent cohabiter à condition que chacune ait sa fonction et son rang hiérarchique : ce n'est possible que dans les conception-du-monde et les cultures organiques."
Guillaume Faye, Pierre Freson et Robert Steuckers, Petit lexique du partisan européen (1985)
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a-room-of-my-own · 1 year ago
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Selon les premiers éléments de l’enquête, une croix gammée a été retrouvée sur la porte de la trentenaire après cette attaque au couteau, ce qui accrédite la thèse d’une agression à caractère antisémite selon le parquet.
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lefeusacre-editions · 9 months ago
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"REAR WINDOW", LE COMPLOT DU STYLITE, par Warren Lambert
Avec sa réputation devenue vite ronflante de film méta sur le cinéma, on en serait presque à oublier que "Rear Window"/"Fenêtre sur Cour" est un grand film d'amour sérieux, un de ceux de la filmographie d'Hitchcock, avec plus tard "Vertigo"/"Sueurs Froides", au sous-texte le plus audacieux, tordu et un tantinet tragique. Avant que ce ne soit une image qu'il faille reproduire pour s'aimer (comme dans "Vertigo"), c'est une image qu'il faut halluciner ensemble pour tomber amoureux. Séance de rattrapage, donc.
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Trois panoramas de la cour à trois moments de la journée, réalisés à partir de photogrammes du film.
La caméra happée par ces volets ouverts, ce mouvement circulaire étourdissant qui survole la cour jusqu’à ce front perlé en gros plan de son personnage assoupi, le thermomètre qui dépasse les 90 degrés Fahrenheit... Peut-être Rear Window est parvenu toutes ces années, malgré sa mise en scène toute en lignes claires, à dissimuler le vrai postulat de son incipit : celui d'être la transcription, à l’échelle d’une résidence, d’une poussée de fièvre. Contre la léthargie des corps va s'arbitrer la véracité des images. Les photographies de Jefferies (James Stewart) disposées sur sa table le promettent par le tour d’horizon de morbidité et d’interdit qu’elles opèrent (accident, incendie, essai nucléaire) ; collection d’événements extrêmes dont le meurtre serait la pièce manquante de cet impressionnant tableau de chasse.
Mais cette image, il ne lui suffira pas seulement de la vouloir, il faudra avant tout que les autres y croient, qu’ils croient eux aussi l’avoir vue, en croyant le seul homme dans toute cette affaire qui veuille si suspicieusement avoir raison. C’est selon cette unique modalité, celle de la persuasion, que l’action trouvera – Jefferies étant momentanément infirme – les moyens physiques d’avancer, et avec elle l'histoire d’amour entre lui et Lisa (Grace Kelly). Pour la belle jeune femme, il se jouera effectivement autre chose dans la scrutation des faits et gestes de cet énigmatique Lars Thorwald, dont le prénom épelé par elle à Jefferies au téléphone marquera le point de départ incantatoire de leur romance, cette dernière culminant lors de l'épisode où Lisa se faufilera de l’autre côté de l’écran (enjambant la fenêtre du dit-coupable) pour se passer elle-même la bague au doigt (celle de l’épouse disparue). Que Thorwald découvre cette intruse chez lui et qu'il mime alors maladroitement sur cette pauvre Lisa le meurtre auquel Jefferies aurait rêvé d’assister, voilà le prix à payer envers celui qu’elle aime. La reconstitution supplante la preuve, et l’interprétation l’image. Peu importe l'intervention de la police, pour celle qui, téméraire et obstinée, cherchera le film durant à électriser son homme, les vagissements d’impuissance de Jefferies la regardant crier et se débattre évoqueront bien à s’y méprendre les spasmes du plaisir.
La cour et ses lucarnes agissant telle une caisse de résonance des ambitions comme des craintes des deux personnages vis-à-vis du couple et du mariage, un chantage tacite s’installe peu à peu entre eux sur la base d’un échange de bon procédé : Lisa accréditant le crime spéculé par Jefferies, et Jefferies soumettant à Lisa les épreuves qui s'assureront de ses sentiments envers lui, offrant ainsi à leur idylle, grâce à ce pacte, les meilleures chances d’aboutir. Il n’existe d'ailleurs pas, dans tout l’érotisme latent contenu dans Rear Window, de moment plus jouissif transpirant sur le visage d’ordinaire patibulaire de Stewart que ce reaction shot, dans lequel il s’illumine de l’amour naissant ressenti pour Lisa, à l’écoute de l’excitation que procure chez elle l'adhésion à sa théorie meurtrière. Par son timide sourire benêt, tout s’éclaire en effet : le meurtre promet bien d’incarner la caution de cette union, son facteur déterminant autant que sa condition sine qua non. Rear Window est un drôle de sitcom au sein duquel, en dépit de son happy end, réside cette équation pétrie d’un malaise sourd : l’assassinat vu comme une heuristique sentimentale ; la nécessité du meurtre pour que puisse éclore l'amour.
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L'instant où Jefferies tombe amoureux de Lisa.
Malicieusement, du reste, par touches discrètes, le film insinue que le crime pourrait aussi bien se dérouler ailleurs que chez les Thorwald, et cela parmi beaucoup d’autres recoins laissés inexplicablement vierges de toutes projections : un couple occupé la quasi-totalité du film à batifoler le store baissé (ou quelque chose de plus « sinistre », suggère même Lisa) ; une voisine étendue sur un transat, inerte, un journal ouvert recouvrant son visage. Dans ce hammam de visions potentiellement morbides, ce n'est pas un hasard que l’œil de Jefferies s'attarde sur ce couple à la femme alitée et au mari effectuant les cent pas entre le salon et la chambre à coucher. Un couple qui peine à se séparer comme Lisa et lui peinent à se mettre ensemble. Mieux qu’un écran : un miroir, et élu par son regard. Car il y a un alignement dans les destins qui lient aussi bien Lisa et Jefferies à Mr et Mme Thorwald que, par exemple, Miss Lonely Heart – la dépressive du rez-de-chaussée – à ce pianiste niché au dernier étage de l’immeuble d’en face, dont la mélodie envoûtante arrêtera miraculeusement le geste suicidaire.
La vie des autres fonctionne à la manière d’un decorum sentimental de ce que Jefferies est heureux de voir uniquement hors de chez lui, détaché de sa vie pareil à un album photo dont chaque vignette serait ce à quoi il a échappé : célibat douloureux, dénigrement artistique, sollicitude sexuelle. Il devine que la vie du couple Thorwald s'apprête à devenir son présent le plus imminent. C'est pourquoi lorsque ce mari se délectera dans son canapé d’un cigare qu’il n’a sans doute, par le passé, jamais eu la chance de savourer, cette paix retrouvée est bien ce qui alarmera le reporter. En proie aux hésitations de sa propre vie, la quiétude qu’il observe est la rupture la plus insupportable de ce jeu de reflets duquel Jeff pensait, la veille encore, se tenir du bon côté. Privé de ce rassurant et cathartique coup d’avance quant au devenir de son couple, ou pire de sa résolution lugubre, la ténacité dont il devra faire preuve aura pour but de rétablir l’ordre du cadastre amoureux dans lequel s'inscrivait son statut de célibataire endurci.
Dans l'écologie de cette alcôve new-yorkaise, toutes et tous se voient sans se regarder, jouissent sans se toucher, savent sans connaître, mettent à mort sans cadavre, et ce alors que chacun se plaît à rêver d’étreinte ou de liberté, de succès, de répit ou de tranquillité. Le chien inanimé des voisins posé au milieu de la cour figure cet élément sacrificiel, ce pavé dans la mare jeté aux visages des divers locataires, de leurs situations et de leurs aspirations muettes. Leur bref sursaut coïncide alors avec cette seule mort visible de l’intégralité du film, et acculant davantage Thorwald, non en raison de sa simple implication subodorée dans la mort de l’animal, mais parce qu’il n’aura aucunement pris la peine de feindre, avec l’ensemble de la cour, l’affectation polie qu’il était censé témoigner. De ce fait, le cri primal que pousse la propriétaire de la malheureuse bête est l’expression de cette défaillance qui règne dans ce cul-de-sac des passions ; l’indice de son moment de bascule. Il rappelle que les vocalises résonnant sur le visage endormi de Jefferies, et qui annonçaient la première apparition diaphane de Lisa dans la trame de Rear Window, en étaient la version préliminaire : un chant de sirène déjà synonyme de danger.
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Jefferies et Little Nemo, deux rêveurs et deux éveillés.
Les nuits, pour Jefferies, sont propices aux écarts et aux divagations ; elles sont une voûte urbaine faite pour nourrir ses oracles, cherchant à travers la loupe grossissante de son téléobjectif des réponses dans ce catastérisme tantôt attendrissant, tantôt effrayant. Telle son aide-soignante, Stella (qui clame dans l’une des premières séquences avoir prédit le krach boursier de 1929 sur la base de l’auscultation d’un directeur de General Motors), Miss Torso, Miss Lonely Heart, The Songwriter, tous ces noms affublés par Jefferies lui-même aux visages anonymes peuplant sa résidence, sont le dédale de son grand dessin astral privatif à l’égard de la crise affective qu’il traverse. Il lui aura fallu inventer un monstre (Thorwald) qui incarnerait donc cette crise, qui la séculariserait par un nom civil pour lui prêter les contours de ses accusations, inculpant plus lâche et détestable que lui – gage vivant de l’échec marital qu'il cherche tout du long à démontrer. Sous les pressions répétées de Lisa à venir partager sa vie de globe-trotter, cet opportun assassinat lui permettra un temps de remettre sa décision et son jugement entre les mains d’un autre.
Le duel final avec Thorwald, Jeffries le provoquera en ébranlant d’abord l’insouciance de celui qui lui ressemble le plus ; celui qu’il choisit de réveiller en dernier recours pour effrayer celle qui ne connaît rien du monde hormis les cocktails littéraires et les réceptions mondaines. Celle à qui il jure, s’il devait l’épouser, une aventure sans illusions et sans mensonges, crue de ce qu’elle contient de laborieux et de répugnant. Ce croque-mitaine aux cheveux blancs, invité à traverser à son tour ce méridien invisible qui le sépare de ses spectateurs, à briser le quatrième mur, est cette hallucination collective venue in fine réclamer son brevet d’existence spolié. Le regard-caméra lancé par Thorwald, à la découverte de celui qui intrigue depuis le début contre lui, reste glaçant et pathétique car il marque la perte brutale de cette innocence du mal qui le caractérisait jusqu’ici, averti désormais de cet autre homme qui en sait autant que lui sur la vie qu’il mène. Son regard suit le geste de Lisa qui s'est passée à l'annulaire gauche la bague de l'épouse disparue. Sans mot dire, c'est le meurtrier qui vient de bénir leur union.
Venu bientôt prier un peu de clémence auprès du responsable de cette rencontre interdite, Thorwald poussera Jefferies par la rambarde de sa fenêtre panoramique pour que s’interrompe l'inavouable, l'inimaginable qu'ils vivent alors tous les deux. À l’instar d'un Little Nemo dans les bandes dessinées de Winsor McCay, la chute est la clé de sortie pour Jefferies, en même temps qu'il sonne le glas de cette image que symbolisait Thorwald, cette image délogée de son cadre. Une fois ce dernier enfin arrêté par la police, soudain les lois de la gravitation se reconfigurent : les jeunes voisins tout juste fiancés ont la gueule de bois de leur serment ; la température redevient raisonnable ; une gynécée s’implante au cœur de la chambre d’un rêveur. Ses photographies les plus réussies, Jeff confessa à Doyle, son ami détective, les avoir à chaque fois prises durant ses jours de congés. Celle qui lui aura donné le plus de mal ne requit finalement aucune pellicule. Mais, après tout, ainsi sont peut-être toujours faites les vraies images.
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Les idées maîtresses de ce texte sont nées au cours d'une discussion avec Aurélien Lemant, Pierre Pigot et Steven Lambert suite à une projection du film dans le cadre des séances "Les Voyeurs" au cinéma Le Petit Casino de Saint-Aignan, en décembre 2015.
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professeur-stump · 10 months ago
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Une crédibilité du discours est d'abord ce qui fait marcher les croyants. Elle produit des pratiquants. Faire croire, c'est faire faire. Mais par une curieuse circularité, la capacité de faire marcher — d'écrire et de machiner les corps — est précisément ce qui fait croire. Parce que la loi est déjà appliquée avec et sur des corps, « incarnée » en des pratiques physiques, elle peut s'en accréditer et faire croire qu'elle parle au nom du « réel ».
(Michel de Certeau, L'invention du quotidien, I. Arts de faire)
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duxvonzazer · 2 years ago
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En résumé, nous ne vivons pas dans une société capitaliste où les propriétaires du capital détiennent le contrôle de moyens de production et dictent leur volonté à des fantoches élus par des sots. Nous vivons sous une forme d’oligarchie managériale. La gestion des moyens de production revient à la classe managériale, dont l’empire s’étend du monde gouvernemental à celui des compagnies privées. Cette classe oligarchique est la véritable classe dirigeante. L’appartenance à cette classe managériale nécessite une accréditation officielle décernée par un système universitaire où l’hégémonie culturelle marxiste est bien établie. Le passage par le processus d’accréditation conditionne les croyances et les a priori des gestionnaires. La culture hégémonique leur est inculquée ; ils l’intériorisent, et agissent ensuite en conséquence.
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valavelo · 1 year ago
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J17 ~ Retour à Santiago
Fisterra~Santiago de Compostela (82km)
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Levé un peu avant le soleil, direction Santiago à nouveau . Je décide de prendre un peu plus la route pour rentrer rapidement. De ce fait, je m'éloigne du chemin des pèlerins et passe par des endroits un peu plus "authentiques". Le midi je m'arrête pour manger dans un snack fréquenté par les travailleurs du coin (je ne comprends pas tout, ça parle galicien). On me sert un hamburger pour trois fois rien.
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Seconde arrivée à Santiago par le côté Est cette fois. Contrairement à l'autre jour, la cathédrale s'aperçoit de loin et sert de repère.
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Une fois sur place, je vais chercher la fameuse "Compostela" pour enregistrer et accréditer mon parcours. Me voilà bardé de diplômes ! Je fais aussi un tour dans la cathédrale. Le covid n'aura pas eu la peau de ce bon vieux Santiago. On peut encore taper l'accolade à sa statue.
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Petit plaisir de la soirée, du poulpe dans une bonne adresse de la ville.
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🎶 Le soir dans les rues, plusieurs groupes mettent l'ambiance. C'est "la tuna", une tradition estudiantine. Ces troupes donnent des représentations dans les rues pour financer leurs études. En pratique certains artistes ont quitté les bancs de la fac il y a longtemps et complètent plutôt leur pension de retraite. Leur musique fait voyager de Madrid à Santiago… de Cuba !
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bernieshoot · 8 days ago
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zehub · 8 days ago
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COP29 : près de 1.800 lobbyistes liés aux énergies fossiles à Bakou, selon un groupe d'ONG - La Libre
Près de 1.800 personnes liées à des intérêts dans les énergies fossiles ont obtenu selon une coalition d'ONG une accréditation pour la conférence de l'ONU sur le climat (COP29) qui se tient jusqu'au 22 novembre en Azerbaïdjan.
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davidplet · 9 days ago
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VISION SUR LES JEUX OLYMPIQUES DE LOS ANGELES 2028
Rédigé par @pletdavid Après les demandes pour les accréditations pour les jeux Olympiques d’hiver de 2026 pour Milan , Place désormais aux processus des accréditations pour les prochains jeux Olympiques et Paralympiques de LOS ANGELES 2028 ( LA28). Nous avons encore le temps d’y penser même si le processus des accréditations pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de LA28 ne sont pas encore…
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comparerplacements · 2 years ago
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Les Avantages de choisir Comparer Placements
Bénéficiez d’une évaluation gratuite et de stratégie sur mesure avec un conseiller financier. Service sans engagement. Remplissez le formulaire au https://www.comparerplacements.ca/ Partout au Québec
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