#Accréditations
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Veille de match entre le Bénin et la Libye, voici le programme des Guépards
Lundi 9 septembre 2024, veille de match entre le Bénin et la Libye, plusieurs activités se tiendront au stade Félix Houphouët-Boigny. Entre autres, les Guépards du Bénin feront leur dernière et ultime séance d’entrainement avant le match. En effet, les activités des Guépards du Bénin débuteront à 17 h avec le sélectionneur Gernot Rohr et un joueur de son choix qui tiendront une conférence de…
#Accréditations#activités médiatiques#avec les 15 premières minutes ouvertes aux médias. À 18h30#conférence de presse#Entrainement#équipe de Libye#Gernot Rohr#Guépards#l&039;équipe libyenne effectuera une reconnaissance du stade Félix Houphouët-Boigny#la conférence de presse d&039;avant-match du sélectionneur Gernot Rohr et d&039;un joueur de son choix débutera. La séance d&039;entraîne#Le lundi 9 septembre 2024#le sélectionneur de l&039;équipe de Libye et un joueur de son choix tiendront une conférence de presse. À 19h#les 15 premières minutes étant ouvertes à la presse.#match de football#médias sportifs#plusieurs activités médiatiques se tiendront au stade Félix Houphouët-Boigny avant le match. La distribution des accréditations est prévue d#Stade Félix Houphouët Boigny
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Les institutions d’enseignement supérieur reconnues en Haïti de 2018 à 2024 : Analyses statistiques, catégorisation géographique et perspectives
Télécharger l’article [Download the paper] Résumé Les institutions d’enseignement supérieur (IES) à travers le monde représentent la force motrice du développement durable d’un pays. Ainsi, toucher la problématique du développement des IES revêt une importance capitale pour Haïti. De ce fait, l’objectif de cet article consiste à analyser l’évolution du nombre des IES reconnues par l’État…
#Accréditation#catégorisation géographique#Développement durable#Éducation#Haiti#institutions d&039;enseignement supérieur#Universites haitiennes
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Immersion avec les photographes de presse au Festival de Cannes
Le Festival de Cannes, c’est un événement qui rassemble 4000 journalistes. Chaque année, les clichés des célébrités font le tour du monde. Rencontre avec les personnes de l’ombre, celles qui sont derrière leurs appareils photo. Manon Vagner, Nicolas Fontaine, Thierry Maïz.édité par M.V.
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Edition 2024 du Masa Festival / Les groupes, compagnies et artistes sélectionnés connus
Du 6 au 8 décembre 2023, le Comité interne et le Comité Artistique International (CAI) du Masa Festival ont analysé les dossiers de candidatures des groupes, artistes et compagnies pour leur participation à la 13ème édition dudit festival. Plus de 2000 dossiers ont été évalués et plus de 800 artistes, groupes et compagnies artistiques ainsi que des professionnels des médias sont attendus. Au…
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Maximisez votre rendement et comparez vos différentes options d'investissement
Découvrez les performances des meilleurs fonds de placement et maximisez votre rendement en faisant appel à nos partenaires, des conseillers financiers reconnus par l’AMF et travaillant uniquement avec les plus grandes institutions financières. Leurs services sont disponibles dans les grandes régions du Québec, notamment à Trois-Rivières, Sherbrooke, Montréal, Saguenay, Gatineau et Québec. Avec la plateforme Comparer Placements, vous pouvez obtenir une évaluation gratuite et une stratégie de placement personnalisée en remplissant le formulaire sans obligation sur https://www.comparerplacements.ca/. Vous recevez rapidement votre soumission. Types de produits financiers offerts : – BCP (billet à capital protégé) – Actions accréditives – fonds d’actions immobiliers – fonds d’actions américaines – fonds distincts – comptes de banque à intérêt élevé – titres à revenu fixe – prêts investissement (commercial, REER, CELI, REEE, personnel…) – fonds d’actions canadiennes – fonds d’actions spécialisés – investissements du marché dispensé – fonds équilibrés canadiens – CPG
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REDEMY ISTANBUL - DEVASA+
La Turquie est devenue une destination populaire pour la chirurgie esthétique en raison de ses procédures de haute qualité et de ses prix abordables. Remedy Istanbul Esthetic Clinic est l'un des principaux prestataires de chirurgie esthétique en bbl turquie, proposant une gamme de procédures telles que la chirurgie mammaire, la liposuccion et le lifting brésilien des fesses bbl turquie prix. Ces procédures font partie des chirurgie esthétique turquie and chirurgie turquie, avec des prix BBL commençant à procédures populaires incluent l’augmentation mammaire, le lifting des seins avec implants et la rhinoplastie. Choisir la Turquie pour la chirurgie esthétique présente plusieurs avantages. L’un des principaux avantages est le coût, puisque les prix de la clinique esthetique turquie sont généralement 70 % moins chers que dans des pays comme la France. De plus, la Turquie possède une industrie du tourisme médical florissante, avec de nombreuses cliniques proposant des procédures de haute qualité et des installations de pointe. Remedy Istanbul Esthetic Clinic, par exemple, propose des forfaits médicaux gratuits, des transferts gratuits et des rendez-vous de suivi. De plus, la Turquie est connue pour ses chirurgiens plasticiens hautement qualifiés et expérimentés, dont beaucoup ont reçu une formation et une certification auprès d'organisations internationales réputées. Lors du choix d’une clinique de chirurgie esthétique en Turquie, plusieurs facteurs doivent être pris en compte. Il est important de rechercher la réputation et l'expérience de la clinique implant mammaire turquie, ainsi que les qualifications et l'expérience des chirurgiens effectuant les procédures. De plus, il est essentiel de s’assurer que la clinique dispose d’une accréditation appropriée et adhère aux normes internationales de sécurité et d’hygiène. La clinique esthétique Remedy Istanbul, par exemple, est accréditée par le ministère turc de la Santé et adhère aux normes internationales de sécurité et d'hygiène. En examinant attentivement ces facteurs, les individus peuvent s'assurer qu'ils bénéficieront d'une chirurgie esthétique sûre et efficace en Turquie.
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"Les idées n'ont de légitimité que si elles recouvrent des valeurs. La métapolitique vise à accréditer de telles “idées porteuses de valeurs”. Chaque conception-du-monde comprend une échelle de valeurs hiérarchisées ; des valeurs contraires en apparence peuvent cohabiter à condition que chacune ait sa fonction et son rang hiérarchique : ce n'est possible que dans les conception-du-monde et les cultures organiques."
Guillaume Faye, Pierre Freson et Robert Steuckers, Petit lexique du partisan européen (1985)
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Selon les premiers éléments de l’enquête, une croix gammée a été retrouvée sur la porte de la trentenaire après cette attaque au couteau, ce qui accrédite la thèse d’une agression à caractère antisémite selon le parquet.
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"REAR WINDOW", LE COMPLOT DU STYLITE, par Warren Lambert
Avec sa réputation devenue vite ronflante de film méta sur le cinéma, on en serait presque à oublier que "Rear Window"/"Fenêtre sur Cour" est un grand film d'amour sérieux, un de ceux de la filmographie d'Hitchcock, avec plus tard "Vertigo"/"Sueurs Froides", au sous-texte le plus audacieux, tordu et un tantinet tragique. Avant que ce ne soit une image qu'il faille reproduire pour s'aimer (comme dans "Vertigo"), c'est une image qu'il faut halluciner ensemble pour tomber amoureux. Séance de rattrapage, donc.
Trois panoramas de la cour à trois moments de la journée, réalisés à partir de photogrammes du film.
La caméra happée par ces volets ouverts, ce mouvement circulaire étourdissant qui survole la cour jusqu’à ce front perlé en gros plan de son personnage assoupi, le thermomètre qui dépasse les 90 degrés Fahrenheit... Peut-être Rear Window est parvenu toutes ces années, malgré sa mise en scène toute en lignes claires, à dissimuler le vrai postulat de son incipit : celui d'être la transcription, à l’échelle d’une résidence, d’une poussée de fièvre. Contre la léthargie des corps va s'arbitrer la véracité des images. Les photographies de Jefferies (James Stewart) disposées sur sa table le promettent par le tour d’horizon de morbidité et d’interdit qu’elles opèrent (accident, incendie, essai nucléaire) ; collection d’événements extrêmes dont le meurtre serait la pièce manquante de cet impressionnant tableau de chasse.
Mais cette image, il ne lui suffira pas seulement de la vouloir, il faudra avant tout que les autres y croient, qu’ils croient eux aussi l’avoir vue, en croyant le seul homme dans toute cette affaire qui veuille si suspicieusement avoir raison. C’est selon cette unique modalité, celle de la persuasion, que l’action trouvera – Jefferies étant momentanément infirme – les moyens physiques d’avancer, et avec elle l'histoire d’amour entre lui et Lisa (Grace Kelly). Pour la belle jeune femme, il se jouera effectivement autre chose dans la scrutation des faits et gestes de cet énigmatique Lars Thorwald, dont le prénom épelé par elle à Jefferies au téléphone marquera le point de départ incantatoire de leur romance, cette dernière culminant lors de l'épisode où Lisa se faufilera de l’autre côté de l’écran (enjambant la fenêtre du dit-coupable) pour se passer elle-même la bague au doigt (celle de l’épouse disparue). Que Thorwald découvre cette intruse chez lui et qu'il mime alors maladroitement sur cette pauvre Lisa le meurtre auquel Jefferies aurait rêvé d’assister, voilà le prix à payer envers celui qu’elle aime. La reconstitution supplante la preuve, et l’interprétation l’image. Peu importe l'intervention de la police, pour celle qui, téméraire et obstinée, cherchera le film durant à électriser son homme, les vagissements d’impuissance de Jefferies la regardant crier et se débattre évoqueront bien à s’y méprendre les spasmes du plaisir.
La cour et ses lucarnes agissant telle une caisse de résonance des ambitions comme des craintes des deux personnages vis-à-vis du couple et du mariage, un chantage tacite s’installe peu à peu entre eux sur la base d’un échange de bon procédé : Lisa accréditant le crime spéculé par Jefferies, et Jefferies soumettant à Lisa les épreuves qui s'assureront de ses sentiments envers lui, offrant ainsi à leur idylle, grâce à ce pacte, les meilleures chances d’aboutir. Il n’existe d'ailleurs pas, dans tout l’érotisme latent contenu dans Rear Window, de moment plus jouissif transpirant sur le visage d’ordinaire patibulaire de Stewart que ce reaction shot, dans lequel il s’illumine de l’amour naissant ressenti pour Lisa, à l’écoute de l’excitation que procure chez elle l'adhésion à sa théorie meurtrière. Par son timide sourire benêt, tout s’éclaire en effet : le meurtre promet bien d’incarner la caution de cette union, son facteur déterminant autant que sa condition sine qua non. Rear Window est un drôle de sitcom au sein duquel, en dépit de son happy end, réside cette équation pétrie d’un malaise sourd : l’assassinat vu comme une heuristique sentimentale ; la nécessité du meurtre pour que puisse éclore l'amour.
L'instant où Jefferies tombe amoureux de Lisa.
Malicieusement, du reste, par touches discrètes, le film insinue que le crime pourrait aussi bien se dérouler ailleurs que chez les Thorwald, et cela parmi beaucoup d’autres recoins laissés inexplicablement vierges de toutes projections : un couple occupé la quasi-totalité du film à batifoler le store baissé (ou quelque chose de plus « sinistre », suggère même Lisa) ; une voisine étendue sur un transat, inerte, un journal ouvert recouvrant son visage. Dans ce hammam de visions potentiellement morbides, ce n'est pas un hasard que l’œil de Jefferies s'attarde sur ce couple à la femme alitée et au mari effectuant les cent pas entre le salon et la chambre à coucher. Un couple qui peine à se séparer comme Lisa et lui peinent à se mettre ensemble. Mieux qu’un écran : un miroir, et élu par son regard. Car il y a un alignement dans les destins qui lient aussi bien Lisa et Jefferies à Mr et Mme Thorwald que, par exemple, Miss Lonely Heart – la dépressive du rez-de-chaussée – à ce pianiste niché au dernier étage de l’immeuble d’en face, dont la mélodie envoûtante arrêtera miraculeusement le geste suicidaire.
La vie des autres fonctionne à la manière d’un decorum sentimental de ce que Jefferies est heureux de voir uniquement hors de chez lui, détaché de sa vie pareil à un album photo dont chaque vignette serait ce à quoi il a échappé : célibat douloureux, dénigrement artistique, sollicitude sexuelle. Il devine que la vie du couple Thorwald s'apprête à devenir son présent le plus imminent. C'est pourquoi lorsque ce mari se délectera dans son canapé d’un cigare qu’il n’a sans doute, par le passé, jamais eu la chance de savourer, cette paix retrouvée est bien ce qui alarmera le reporter. En proie aux hésitations de sa propre vie, la quiétude qu’il observe est la rupture la plus insupportable de ce jeu de reflets duquel Jeff pensait, la veille encore, se tenir du bon côté. Privé de ce rassurant et cathartique coup d’avance quant au devenir de son couple, ou pire de sa résolution lugubre, la ténacité dont il devra faire preuve aura pour but de rétablir l’ordre du cadastre amoureux dans lequel s'inscrivait son statut de célibataire endurci.
Dans l'écologie de cette alcôve new-yorkaise, toutes et tous se voient sans se regarder, jouissent sans se toucher, savent sans connaître, mettent à mort sans cadavre, et ce alors que chacun se pla��t à rêver d’étreinte ou de liberté, de succès, de répit ou de tranquillité. Le chien inanimé des voisins posé au milieu de la cour figure cet élément sacrificiel, ce pavé dans la mare jeté aux visages des divers locataires, de leurs situations et de leurs aspirations muettes. Leur bref sursaut coïncide alors avec cette seule mort visible de l’intégralité du film, et acculant davantage Thorwald, non en raison de sa simple implication subodorée dans la mort de l’animal, mais parce qu’il n’aura aucunement pris la peine de feindre, avec l’ensemble de la cour, l’affectation polie qu’il était censé témoigner. De ce fait, le cri primal que pousse la propriétaire de la malheureuse bête est l’expression de cette défaillance qui règne dans ce cul-de-sac des passions ; l’indice de son moment de bascule. Il rappelle que les vocalises résonnant sur le visage endormi de Jefferies, et qui annonçaient la première apparition diaphane de Lisa dans la trame de Rear Window, en étaient la version préliminaire : un chant de sirène déjà synonyme de danger.
Jefferies et Little Nemo, deux rêveurs et deux éveillés.
Les nuits, pour Jefferies, sont propices aux écarts et aux divagations ; elles sont une voûte urbaine faite pour nourrir ses oracles, cherchant à travers la loupe grossissante de son téléobjectif des réponses dans ce catastérisme tantôt attendrissant, tantôt effrayant. Telle son aide-soignante, Stella (qui clame dans l’une des premières séquences avoir prédit le krach boursier de 1929 sur la base de l’auscultation d’un directeur de General Motors), Miss Torso, Miss Lonely Heart, The Songwriter, tous ces noms affublés par Jefferies lui-même aux visages anonymes peuplant sa résidence, sont le dédale de son grand dessin astral privatif à l’égard de la crise affective qu’il traverse. Il lui aura fallu inventer un monstre (Thorwald) qui incarnerait donc cette crise, qui la séculariserait par un nom civil pour lui prêter les contours de ses accusations, inculpant plus lâche et détestable que lui – gage vivant de l’échec marital qu'il cherche tout du long à démontrer. Sous les pressions répétées de Lisa à venir partager sa vie de globe-trotter, cet opportun assassinat lui permettra un temps de remettre sa décision et son jugement entre les mains d’un autre.
Le duel final avec Thorwald, Jeffries le provoquera en ébranlant d’abord l’insouciance de celui qui lui ressemble le plus ; celui qu’il choisit de réveiller en dernier recours pour effrayer celle qui ne connaît rien du monde hormis les cocktails littéraires et les réceptions mondaines. Celle à qui il jure, s’il devait l’épouser, une aventure sans illusions et sans mensonges, crue de ce qu’elle contient de laborieux et de répugnant. Ce croque-mitaine aux cheveux blancs, invité à traverser à son tour ce méridien invisible qui le sépare de ses spectateurs, à briser le quatrième mur, est cette hallucination collective venue in fine réclamer son brevet d’existence spolié. Le regard-caméra lancé par Thorwald, à la découverte de celui qui intrigue depuis le début contre lui, reste glaçant et pathétique car il marque la perte brutale de cette innocence du mal qui le caractérisait jusqu’ici, averti désormais de cet autre homme qui en sait autant que lui sur la vie qu’il mène. Son regard suit le geste de Lisa qui s'est passée à l'annulaire gauche la bague de l'épouse disparue. Sans mot dire, c'est le meurtrier qui vient de bénir leur union.
Venu bientôt prier un peu de clémence auprès du responsable de cette rencontre interdite, Thorwald poussera Jefferies par la rambarde de sa fenêtre panoramique pour que s’interrompe l'inavouable, l'inimaginable qu'ils vivent alors tous les deux. À l’instar d'un Little Nemo dans les bandes dessinées de Winsor McCay, la chute est la clé de sortie pour Jefferies, en même temps qu'il sonne le glas de cette image que symbolisait Thorwald, cette image délogée de son cadre. Une fois ce dernier enfin arrêté par la police, soudain les lois de la gravitation se reconfigurent : les jeunes voisins tout juste fiancés ont la gueule de bois de leur serment ; la température redevient raisonnable ; une gynécée s’implante au cœur de la chambre d’un rêveur. Ses photographies les plus réussies, Jeff confessa à Doyle, son ami détective, les avoir à chaque fois prises durant ses jours de congés. Celle qui lui aura donné le plus de mal ne requit finalement aucune pellicule. Mais, après tout, ainsi sont peut-être toujours faites les vraies images.
Les idées maîtresses de ce texte sont nées au cours d'une discussion avec Aurélien Lemant, Pierre Pigot et Steven Lambert suite à une projection du film dans le cadre des séances "Les Voyeurs" au cinéma Le Petit Casino de Saint-Aignan, en décembre 2015.
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Une crédibilité du discours est d'abord ce qui fait marcher les croyants. Elle produit des pratiquants. Faire croire, c'est faire faire. Mais par une curieuse circularité, la capacité de faire marcher — d'écrire et de machiner les corps — est précisément ce qui fait croire. Parce que la loi est déjà appliquée avec et sur des corps, « incarnée » en des pratiques physiques, elle peut s'en accréditer et faire croire qu'elle parle au nom du « réel ».
(Michel de Certeau, L'invention du quotidien, I. Arts de faire)
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En résumé, nous ne vivons pas dans une société capitaliste où les propriétaires du capital détiennent le contrôle de moyens de production et dictent leur volonté à des fantoches élus par des sots. Nous vivons sous une forme d’oligarchie managériale. La gestion des moyens de production revient à la classe managériale, dont l’empire s’étend du monde gouvernemental à celui des compagnies privées. Cette classe oligarchique est la véritable classe dirigeante. L’appartenance à cette classe managériale nécessite une accréditation officielle décernée par un système universitaire où l’hégémonie culturelle marxiste est bien établie. Le passage par le processus d’accréditation conditionne les croyances et les a priori des gestionnaires. La culture hégémonique leur est inculquée ; ils l’intériorisent, et agissent ensuite en conséquence.
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J17 ~ Retour à Santiago
Fisterra~Santiago de Compostela (82km)
Levé un peu avant le soleil, direction Santiago à nouveau . Je décide de prendre un peu plus la route pour rentrer rapidement. De ce fait, je m'éloigne du chemin des pèlerins et passe par des endroits un peu plus "authentiques". Le midi je m'arrête pour manger dans un snack fréquenté par les travailleurs du coin (je ne comprends pas tout, ça parle galicien). On me sert un hamburger pour trois fois rien.
Seconde arrivée à Santiago par le côté Est cette fois. Contrairement à l'autre jour, la cathédrale s'aperçoit de loin et sert de repère.
Une fois sur place, je vais chercher la fameuse "Compostela" pour enregistrer et accréditer mon parcours. Me voilà bardé de diplômes ! Je fais aussi un tour dans la cathédrale. Le covid n'aura pas eu la peau de ce bon vieux Santiago. On peut encore taper l'accolade à sa statue.
Petit plaisir de la soirée, du poulpe dans une bonne adresse de la ville.
🎶 Le soir dans les rues, plusieurs groupes mettent l'ambiance. C'est "la tuna", une tradition estudiantine. Ces troupes donnent des représentations dans les rues pour financer leurs études. En pratique certains artistes ont quitté les bancs de la fac il y a longtemps et complètent plutôt leur pension de retraite. Leur musique fait voyager de Madrid à Santiago… de Cuba !
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CAN 2025 (Q) : la FIF lance un avis aux médias pour le match Côte d’Ivoire-Tchad
En Côte d’Ivoire, la Fédération Ivoirienne de Football (FIF) a lancé un avis aux médias concernant les accréditations pour le match Côte d’Ivoire – Tchad, comptant pour la 6ᵉ journée des éliminatoires de la CAN 2025. Contrairement aux demandes d’accréditations pour les matchs délocalisés dans le pays, qui prendront fin le 11 novembre, celles pour le match Côte d’Ivoire – Tchad se clôtureront le…
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Commander une formation en génération de revenus IA pour faire exploser vos profits
Booster vos profits avec une formation en génération de revenus IA
L'intelligence artificielle (IA) est maintenant bien plus qu'une simple mode technologique. Elle est devenue un élément indispensable pour les entreprises qui souhaitent réussir. De plus en plus d'entreprises utilisent l'IA pour améliorer leur capacité à générer des revenus. Si vous désirez transformer votre entreprise et augmenter vos profits, alors une formation en génération de revenus IA pourrait être ce qu'il vous faut. Dans cet article, vous découvrirez pourquoi une telle formation est importante et comment la choisir pour vraiment faire exploser vos profits.
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Qu'est-ce que la génération de revenus avec l'IA ?
Comprendre la génération de revenus avec l'IA
La génération de revenus grâce à l'IA comprend un ensemble de techniques et d'outils basés sur l'intelligence artificielle. Ces outils aident les entreprises à maximiser et à augmenter leurs revenus. Grâce à l'IA, les entreprises peuvent non seulement améliorer la façon dont elles vendent leurs produits et services, mais elles peuvent aussi mieux comprendre et interagir avec leurs clients. En utilisant des algorithmes d'apprentissage automatique, elles peuvent analyser de grandes quantités de données pour prévoir les tendances du marché et adapter leurs stratégies de vente.
Des exemples inspirants
De nombreuses entreprises ont déjà connu un grand succès grâce à l'IA. Prenons l'exemple d'Amazon, un leader mondial du commerce en ligne. Amazon utilise des systèmes de recommandations basés sur l'IA pour personnaliser l'expérience d'achat de chaque client. Résultat : une hausse importante de ses ventes. En effet, selon une étude récente, 35 % des ventes d'Amazon proviennent de ces recommandations intelligentes. De plus, des entreprises comme H&M ont intégré des chatbots dans leur service client. Cela permet non seulement d'améliorer l'expérience client, mais aussi de réduire les coûts.
Pourquoi suivre une formation en génération de revenus IA ?
Apprendre des compétences essentielles
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Comment choisir la formation idéale ?
Vérifier les évaluations et certifications
Pour choisir la bonne formation, il est essentiel de s'assurer qu'elle propose des certifications reconnues dans l'industrie. Ces accréditations sont un gage de qualité et d'expertise. Quand vous recherchez une formation, examinez le programme proposé, ainsi que les retours d'anciens participants.
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Écouter les retours des participants
Avant de vous inscrire à une formation, prenez le temps de lire les avis et témoignages d'anciens participants. Ces retours d'expérience sont souvent révélateurs de la qualité de la formation. Des plateformes comme LinkedIn ou d'autres groupes professionnels peuvent vous aider à recueillir ces informations.
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Recherche et comparaison
Pour commencer, faites des recherches approfondies. Utilisez Internet, comme Google et des sites spécialisés dans la formation, pour comparer différentes options. Lisez des articles, des études de cas et explorez des forums pour obtenir des avis précieux.
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Investir dans une formation en génération de revenus IA est indispensable pour toute entreprise souhaitant augmenter ses profits. En maîtrisant les bases, en acquérant des compétences importantes et en choisissant une formation adaptée, vous pourrez tirer parti de l'IA. Dans un monde avec une concurrence de plus en plus forte, il est vital de ne pas laisser passer cette chance d'améliorer votre stratégie commerciale grâce à l'intelligence artificielle. Engagez-vous dès aujourd'hui dans cette nouvelle aventure et regardez votre entreprise grandir.
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14 octobre 2024
La première polémique à laquelle a été confronté le nouveau gouvernement portait sur l’État de droit. Là encore, l’opposition de plus en plus marquée entre souveraineté populaire et État de droit semble être au cœur de la crise de la démocratie… L’État de droit est-il l’aboutissement logique du processus démocratique ou au contraire peut-on parler de dérive antidémocratique de l’État de droit ?
L’État de droit est une composante essentielle de la démocratie. Il n’est pas le tout de la démocratie, il est encore moins un substitut à la démocratie, ou sa « vraie version », comme la dérive néolibérale actuelle tend à le faire croire. Au départ, l’idée de l’État de droit est aussi simple qu’elle correspond à une nécessité : garantir que l’État agit selon les lois, en étant contrôlé par le juge pour se faire. Elle est l’idée, donc, d’une protection des citoyens contre les abus de pouvoir auxquels les détenteurs de l’autorité sont facilement enclins.
L’idée a connu ensuite un élargissement important et tout aussi incontestable sous l’aspect du contrôle du législateur lui-même. En tant qu’ils ne sont que des représentants du peuple, les législateurs doivent agir dans le cadre fixé par les constitutions qui déterminent leurs attributions. La constitution est au-dessus des lois ordinaires, c’est ce que l’on appelle « la hiérarchie des normes ». Les cours constitutionnelles sont là pour vérifier cette conformité. Là encore, rien à objecter à ce qui a été un progrès salutaire du régime représentatif par rapport aux abus d’un parlementarisme mal compris.
Mais, dans la période récente, il s’est produit une inflexion majeure de ce dispositif de contrôle sous l’effet de l’installation des droits de l’homme au poste de commandement du fonctionnement démocratique. C’est elle qui fait question. Le nouvel individualisme par le droit associé à cette évolution accrédite une conception de la démocratie comme le régime qui assure et garantit l’exercice le plus complet possible des droits fondamentaux des individus. Une conception qui donne la priorité aux libertés individuelles par rapport à tout pouvoir collectif, quand elle ne tend pas à la pure et simple éviction de la souveraineté du peuple et de sa traduction majoritaire.
Cela se vérifie au quotidien sur les deux terrains contentieux par nature que sont la procédure pénale et l’immigration. La pente de l’appareil juridictionnel qui met en œuvre l’État de droit est clairement à la minoration du droit de répression des collectivités comme à celle du droit de contrôle des États-nations sur la circulation et l’installation des personnes. Mais cela vaut aussi pour le libre exercice du droit de propriété, dont on sait pourtant qu’il a une responsabilité particulière dans la construction de l’intérêt général. Les droits qui sont à la base de la démocratie se mettent à jouer contre la souveraineté démocratique. C’est une contradiction que nos pères fondateurs n’avaient pas prévue. Après avoir lutté contre les abus de pouvoir, nous voilà aux prises avec des abus de droit.
Plus largement, l’idéal libéral tend-il à devenir antidémocratique ?
C’est une tendance observable, en effet, et elle a sa logique. L’idéal libéral d’origine est celui de la protection des libertés personnelles contre l’arbitraire des pouvoirs ou la simple pression sociale. De là à faire de ces libertés un absolu primant sur les pouvoirs et les obligations de la vie sociale, il y a un chemin que les circonstances peuvent favoriser. L’abaissement des frontières lié à la mondialisation et la dilution des encadrements sociaux ouvrent la porte à un individualisme radical pour lequel tout ce qui ressemble à un vœu majoritaire empiétant sur ce que l’on estime être son droit intangible est à rejeter. Cela prend des formes libertaires frustes, mais aussi, ce qui est plus grave, des formes sophistiquées consistant à mettre à l’abri de la décision collective toute une série de choses jugées trop sérieuses pour être abandonnées à l’irrationalité populaire.
Selon vous, le nouveau clivage politique de notre temps est l’opposition entre « néolibéralisme » et « populisme ». Deux termes controversés qui vous semblent cependant appropriés. Pouvez-vous les définir ?
Le malheur du langage politique est qu’il est pris dans la bataille politique. « Populisme » et « néolibéralisme » fonctionnent au quotidien comme des invectives, voire comme des marques d’infamie. Il n’empêche qu’il n’y a pas d’autres notions et qu’elles disent bien ce qu’elles veulent dire. Il faut leur rendre leur respectabilité. Ce sont des notions normales du débat démocratique. Il y a du populisme parce qu’il y a la souveraineté du peuple et il y a du néolibéralisme parce que les libertés individuelles sont notre principe politique de base. « Néo », en l’occurrence parce que les conditions d’exercice des principes libéraux tels qu’on les connaissait ont profondément changé, au point de changer leur sens. Ils se définissaient dans le cadre de communautés nationales dont l’existence et la prééminence ne faisaient pas question. Le contexte de la mondialisation et l’extraction des économies des espaces nationaux leur donnent une tout autre portée. Le néolibéralisme devient le principe actif d’une relativisation, voire d’une remise en question des nations qui ne peut manquer de susciter une réaction de la part de ceux pour qui ces nations sont un rempart contre les conséquences économiques et identitaires de la mondialisation, précisément. C’est le sens de l’effervescence populiste. Le populisme est le contre-mouvement de la double redéfinition des communautés politiques en fonction de la mondialisation par en haut et de l’individualisation par en bas. Il réactive une dimension tellement importante de la démocratie qu’elle est le secret de sa force, à savoir la foi dans la puissance du collectif. Cela implique un style d’exercice du pouvoir à base de lien direct entre le leader et le peuple. Mais en ce sens la Constitution de la Ve République est fortement empreinte de populisme. L’élection de Macron en 2017 a été un moment typiquement populiste !
Ce qui rend ces deux notions difficiles à définir est qu’il s’agit de notions contextuelles, si l’on peut dire, plus que doctrinales. Elles n’apportent rien de bien neuf sur le fond, mais elles prennent un sens et une portée nouveaux en fonction de la situation.
Le néolibéralisme est souvent confondu avec l’ultralibéralisme, quelle est la différence ? Quant au populisme, il est souvent présenté comme une forme de totalitarisme soft, est-ce le cas ?
Le néolibéralisme comporte effectivement une aile ultra. On lui a même donné un nom, en parlant de « libertarianisme ». Un courant radical, essentiellement américain, pour lequel la société se réduit aux individus et aux contrats passés entre eux. Mais le néolibéralisme ordinaire, si je puis dire, tel qu’il domine dans nos sociétés, est très loin de cela. Il est doublement conscient des limites du libre marché qu’il prône. À la différence d’un libéralisme sauvage, il reconnaît le caractère socialement institué des règles du marché. Il admet le rôle des États. Il veut seulement le limiter. Sans vraiment y arriver, puisque d’un autre côté, il fait sa part à l’achat de la paix sociale. Il se trouve juste que le prix est plus élevé qu’il ne voudrait. Mais l’idée d’un revenu minimum inconditionnel est au départ une idée néolibérale. Il s’agit de créer les conditions sociales du libre marché.
Quant au populisme, il a aussi ses extrémistes. Ils sont plus autoritaires que totalitaires, d’ailleurs. Leur obsession est l’efficacité de l’État, quitte à s’asseoir sur les règles de droit. C’est le danger. Mais, dans sa masse, la sensibilité populiste est pour l’efficacité de l’État dans le respect du droit. Elle ne comprend pas que les deux soient incompatibles. La non-exécution des OQTF, voilà un thème typique de l’exaspération populiste.
Pour beaucoup d’observateurs, la mondialisation et les bouleversements économiques et culturels qu’elle génère expliquent cette crise de la démocratie. Si vous n’êtes pas en désaccord avec cette thèse, vous estimez que les origines de la crise de la démocratie sont en réalité plus lointaines et plus souterraines. Quelles sont-elles ? En quoi est-ce lié à la sortie de la structuration religieuse des sociétés ?
La difficulté de faire entendre mon propos tient à notre idée spontanée de la religion. Pour nous, la religion est devenue une affaire de croyance personnelle et de convivialité rituelle. Mais c’est le produit d’une évolution tout à fait récente qui nous cache ce qu’ont représenté les religions sur la plus longue durée de l’aventure humaine. Elles ont été une manière de structurer les sociétés, de régir l’obéissance aux pouvoirs, de lier les individus à leur groupe, d’imposer des traditions. Jusqu’à il y a peu, nos sociétés vivaient sur l’héritage de ces manières d’être immémoriales. Ce que je soutiens, c’est que, au cours du demi-siècle qui vient de s’écouler, nous avons assisté sans nous en rendre compte à la liquidation complète de cet héritage. C’est ce qui explique les transformations spectaculaires dont nous sommes témoins, la remise en question des cadres politiques, la dissolution de l’autorité, la disparition du lien avec le passé, le surgissement d’un individualisme radical. C’est cette évolution qui a créé les conditions du déploiement de l’économie mondialisée et financiarisée dont les dégâts ont effectivement une responsabilité directe dans la crise démocratique. Mais, ce qu’il faut expliquer, c’est la prise de pouvoir de ce type d’économie, qui ne s’explique pas par l’économie.
Cette idée de sortie du religieux n’est-elle pas contre-intuitive avec la montée de l’islamisme ?
C’est le contraire. La sortie de la religion est la seule explication valable, à mes yeux, de la montée de l’islamisme. La sortie de la religion est un phénomène qui a pris son essor en Occident et au travers duquel s’est forgée la modernité démocratique et capitaliste. La puissance de ses instruments et de ses valeurs fait qu’elle atteint aujourd’hui l’ensemble du globe et qu’elle s’impose à tout le monde, non sans dégâts. C’est précisément cette déstabilisation par l’irruption de l’Occident dans des sociétés encore pétries de religion qui explique le surgissement des fondamentalismes religieux. L’islamisme est un contrecoup de l’arrivée de la sortie de la religion en terre d’islam.
En conclusion, vous expliquez que longtemps l’expérience démocratique a consisté à mettre à l’abri les droits personnels de l’emprise abusive du politique. La tâche est désormais de réarmer les libertés du bras d’une autorité politique. Comment parvenir à retrouver le bon équilibre ? Faut-il redouter un retour de balancier autoritariste ?
Le choix dans ce genre de situation est toujours entre subir et agir. Si on écrit un livre comme le mien, c’est dans l’espoir de contribuer à sa petite échelle à la prise de conscience des dangers de la situation. En effet, en cas de rupture grave, troubles civils ou choc économique dont la crise financière de 2008 nous a donné un avant-goût, mais aussi sous le simple effet d’un appauvrissement collectif dont nous observons les débuts, il y a lieu de redouter l’enchaînement autoritaire qui finit toujours par s’imposer dans ce genre de situations. C’est d’un choix qu’il s’agit. Prendre les devants ou attendre paresseusement, mais confortablement que les choses se passent.
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