#Abbé Faria
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jeanlib · 3 months ago
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ninadove · 4 months ago
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While you were busy being straight I was collecting fish cartilages to make my own quills and wine and soot to make my own ink and meat fat to make my own candles and writing a treaty on Italian independence on my own shirts and digging a tunnel to freedom in the wrong fucking direction (which is how I found out you were busy being straight btw)
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thebusylilbee · 4 months ago
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abbé Faria calling Dantès his son
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chateau-dilf · 3 months ago
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My Little Château d’If doodles
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sinvulkt · 4 months ago
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✯✯✯ ꒰ঌ ⚔ ໒꒱ ✯✯✯ Chap 2 Chap 3
Edmond entrouvrit les mâchoires crispées de l’Abbé Faria et en retira le tissu qui avait servi à étouffer les cris de ce dernier. Puis, il y glissa dix gouttes du miraculeux liquide qui avait ravivé l’Abbé lors de sa crise précédente, il y a plusieurs années de cela. 
Le liquide coula le long de la gorge du mourant, secouant de violentes convulsions l’homme qui avait été le seul compagnon d’Edmond pour les douze dernières années. Une fois ces dernières passées, l’Abbé Faria s'immobilisa dans une torpeur morbide. Edmond essaya de ne pas s’en inquiéter.  Comme la dernière fois, il attendit patiemment au chevet de son seul et unique ami, ailes plaquées nerveusement contre son dos, guettant chaque bruit, chaque tressaillement qui pouvait annoncer sa résurrection. 
Les seuls bruits qui resonnèrent entre les murs furent les cris lointains des autres prisonniers : les porte-clés commençaient leur ronde. Edmond ne s’en soucia pas, trop occupé par l’état critique de son compagnon. 
Faria avait tenté de le prévenir qu’il ne survivrait sans doute pas à cette troisième crise. Il mourrait, tout comme son père avant lui, et le liquide opaque qui était autrefois si efficace, ne pouvait maintenant plus rien y faire. Malgré tout, Edmond se refusait d’y croire. Il prit les doigts glacés de l’Abbé dans ses mains, priant à qui voulait bien l’entendre de sauver cet être si gentil, si sage, qui n’avait jamais rien fait pour mériter ce triste sort.
L’espoir était tout ce à quoi il pouvait se raccrocher désormais.
Quelques minutes passèrent. 
Puis dix. 
Puis vingt.
Sous la paume d’Edmond, les doigts glacés de l’Abbé restèrent immobiles.
“Revenez, mon père ! Revenez !” il murmura, désespérément penché au-dessus du corps crispé. Ses plumes, herissées par sa détresse, retombaient de par et d’autre du vieil homme tel un doux linceul blanc.
Mais le temps passa, et l’Abbé resta de marbre. La demi-heure atteinte, Edmond prit la fiole dans ses mains tremblantes. Elle était encore au tiers pleine. D’après Faria, c’était son ultime chance.
Il s'apprêtait à en verser le contenu dans la bouche encore entrouverte de son ami quand des pas retentirent au-dessus du cachot. Trois coups suivirent bientôt. 
“Vivant ?”
Edmond sursauta. La fiole lui échappa des mains et se brisa à terre, déversant son précieux contenu sur le sol rugueux de la prison. Le porte-clés avait du finir son tour des cellules, et atteint les cachots. Par chance, ou par malheur, il avait commencé par l’Abbé.
Edmond n’eut pas le temps de céder au désespoir que le cliquetis de clé qu’on tourne dans la serrure résonna. 
“Eh l’Abbé ! Vivant ?”
Des années de pratique guidèrent Edmond à se cacher dans les tunnels, tout comme son esprit qui tourbillonnait furieusement pour trouver une solution. L’image de la fiole brisée dansait devant ses yeux, et il semblait à Edmond que juste en tendant la main, il pourrait modifier la cruelle réalité et remonter le temps.
“L’Abbé ?” le porte-clé appela une nouvelle fois.
Edmond avait refermé le passage juste à temps, car le geôlier avait passé sa tête par l’ouverture de la cellule. N’entendant toujours pas de réponse, et ne voyant que le vieil homme allongé, immobile sur son lit, l’homme descendit dans le cachot. Edmond l’observa par une petite ouverture entre les pierres qui scellaient le tunnel. Son cœur battait à tout rompre. Le porte-clé avait-il entendu les cris étouffés de Faria durant sa crise, ou les murmures de détresse d’Edmond qui s’étaient ensuivit ?
Le porte-clé s’approcha prudemment du corps de l’Abbé, puis, voyant qu’il ne bougeait toujours pas quand il l’appelait, le secoua. Ni secousse, ni injonction n’eurent de succès pour ramener le vieil homme parmi les conscients. À la différence de celui-ci toutefois, sa réaction ne fut qu’un juron, suivit d’une courte prière dans sa barbe, et d’un grand cri destiné à ces compagnons. 
“L’Abbé est mort !”
Un second geôlier descendit. 
“Ah ! Le pauvre bougre. Ses histoires de trésor vont me manquer.”
On fit venir le médecin, pour qu’il confirme cette mort. Ce dernier ne trouva pas de poul. Il était alors coutume de vérifier que le prisonnier n’avait pas faussé sa mort par un coup de fer rouge. Bien que réticent à brûler le corps présumément mort d’un vieil homme qui n’avait, de toute manière, aucune intention ou capacité de s’échapper, le médecin s'exécuta. 
L’odeur de brûlé monta furieusement aux narines d’Edmond. Elle resta coincée au fond de sa gorge, étouffante, écoeurante, tel un liquide mousseux qu’on aurait avalé de travers. Pendant un instant, Edmond crut qu’il allait vomir. Ses bras et ses ailes s'enroulent autour de son torse dans une vaine tentative de barrière contre le crépitement de la peau qui fond, mais le regard d’Edmond resta fixé sur la petite ouverture qui lui servait de fenêtre, comme hypnotisé par l’horreur de la scène qu’il épiait. Il frémit. Ses pensées retournaient sans cesse à la fiole brisée, à ce fol espoir qui lui avait simplement glissé des mains. 
Les porte-clés descendirent un sac - “le plus beau linceul du château d’If”, dirent-il, puis, une fois l’Abbé enfilé dans son cercueil de fortune, comme c’était l’heure du déjeuner et qu’ils avaient fort faim, optèrent pour se débarrasser du corps une fois s’être remplis la panse. Une fois qu’il furent parti, Edmond s’approcha du sac de tissus rêche qui cachait son ami. C'était si facile d’imaginer l’Abbé simplement endormi sous cette paroi de coton, et non parti au point de ne même plus ressentir la douleur du fer.
Un tiraillement déchira le cœur du jeune homme. Il se souvenait avec douleur des premières années passées seul, isolé dans quelques mètres carrés avec pour unique partenaire de conversation un mur de pierre, des ras, et une porte vivante— tel qu’il surnommait son geôliers. Sans l’Abbé, Edmond serait devenu fou. Et fou il deviendrait, s’il restait ne serait-ce qu’un mois de plus emprisonné dans la plus profonde solitude, si loin des grandes étendues maritimes qu’il ne voyait plus que dans vagues songes remontant de ses souvenirs. Il eût préféré mourir que de se retrouver à nouveau dans cette glaciale pénombre. Après tout, n'avait-il pas déjà abandonné la vie, quand il entendit Faria pour la première fois ?
Comme une poussée de fièvre, la soif de liberté dévorait le jeune homme. Ses ailes, trop grandes pour la petite pièce que formait la cellule de l’Abbé, se déployèrent à moitié, comme par anticipation de sentir le vent jouer dans ses plumes. Son cœur pleurait la disparition de son ami, mais sa raison lui assurait que s’il ne tentait pas de s’échapper maintenant, tout le savoir que l’Abbé lui avait confié serait en vain.  Faria n’aurait-il pas voulu qu’il fusse libre, qu’il récupère son fameux trésor? N’avait-il pas donné à Edmond des noms, des responsables aux quatorze années de souffrance passées ?
Il y avait, bien sûr, le plan alternatif de fuite que l’Abbé avait évoqué. Il était possible qu’une fois le cachot voisin vide, les geôliers y enferment un nouveau prisonnier. Mais, celui-ci serait-il vraiment aussi innocent qu’Edmond ne l’avait été ? Écouterait-il son plan pour s’enfuir, ou le vendrait-il aux porte-clés ? 
Non, il était bien trop dangereux d’attendre ne serait-ce qu’une seconde de plus. Edmond devait s’enfuir tant qu’il en avait encore l’opportunité. Et puis, s’il se faisait prendre, il n’avait de tout façon pas grand chose à perdre. La mort offrait une douce délivrance à l’enfermement à perpétuité. 
Edmond défit aussi vite qu’il put les nœuds du sac rêche. Si c’était là le meilleur linceul du château d’If, c’est que de linceuls, la prison n’en possédait pas. Portant avec difficulté le corps encore surprenamment chaud de son ami à travers les tunnels qui séparaient leur cellules, il compta les secondes. Il n’avait que très peu de temps avant que les gardes ne reviennent.
Plus d’une fois, les rochers acérés de l’étroit passage mordirent son plumage et lui raclèrent la peau. Edmond ne s’en soucia point. Son esprit était ailleurs, porté sur les milles façon dont sa tentative d’évasion pourrait se finir, tant en bien qu’en mal. Si les gardes l’enterrait, Edmond se laisserait couvrir de terre, ne s’enfuyant qu’une fois ces derniers partis. Si les gardes le jetaient à l’eau, Edmond utiliserait le couteau pour déchirer le sac de l’intérieur et nagerait jusqu'à la rive.
Tout à sa tâche, Edmond ne remarqua jamais comment les membres d’abord glacés de l’Abbé semblèrent se réchauffer sur le temps du trajet. Il ne remarqua pas le battement de cœur ; si faible que même le médecin n’avait pu en discerner le pouls qui pulsait pourtant sous ses doigts. Il ne remarqua pas la respiration tremblotante qui s’était emparé du corps paralysé et qui, silencieusement, discrètement, l’avait ranimé.
Simplement, il déposa l’Abbé sur son lit, déposa un doux baisé d’adieux sur les rides plissées par l'âge de son front. Une larme coula silencieusement le long de sa joue. Puis, Edmond reparti avec la vivacité de la jeunesse dans les tunnels pour se placer dans ce même sac dont il avait retiré son ami un peu plus tôt, récupérant le couteau de cartilage que l’Abbé lui avait appris à fabriquer au passage. Il recousu l’ouverture de l’intérieur de telle sorte qu’on ne distinguait pas le changement qui s’était effectué. Edmond passa l’aiguille dans le dernier trou juste quand les portes-clés, enfin repus, retournèrent au cachot.
Puis, comme une araignée-loup qui guette sa proie, il attendit.
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Vous pouvez aussi trouver ici un prequel, avec la pousse d'ailes d'Edmond.
Et un wingfic fanart inspiré du film.
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rastronomicals · 11 months ago
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7:27 AM EST January 28, 2024:
The Heavy Eyes - "Abbé Faria" From the album Maera (December 2012)
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travistee34 · 1 year ago
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Would I nitpick an adaptation of a Dumas-novel? Count on it.
No, I will not apologize.
Read, share and enjoy :D
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darchildre · 15 days ago
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Other aspects of The Count of Monte Cristo I did not expect: the sheer number of characters who were going to seriously speculate that the titular Count might be an actualfax Lord Ruthven-style vampire.
To be fair, at this point in the book (1/3 in), if you told me he was, I'm not sure anything in the story would materially need to change? Perhaps I will choose to believe that Edmond Dantès is a vampire until it's conclusively proved otherwise.
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kashilascorner · 2 months ago
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To Dumas, at least in The Count of Monte Cristo, class is a pantomime (a really expensive one) and status is a somewhat elusive force. To him distinction as Bourdieu puts it does not quite exist which I think is absolutely fascinating. All you need is money, but sometimes you don't even need that.
The novel is plentiful with characters intruding and altering the high class, often being quite on par with old money people. This is probably indicative of Dumas living in a time of deep and rapid historical change and probably a society with significant class mobility (at least compared to other time periods), and a notably porous high-class because otherwise these plots would be far too unbelievable. Dumas and his crew have an eye for detail though and make efforts to tie in even the more fantastical elements of the plot, with the at least partial exception of the orientalist element. It strikes me that the fluidity and relative malleability of class structures at the time must have seemed plausible to his contemporaries.
On the other hand, I can't think right now of a modern piece of media that has so much cross-class movement across different subplots, characters and moments in time. Rags-to-riches stories tend to focus on a single individual or maybe family/group of friends. In TCOMC however, multiple characters radically change their status throughout the novel, the most obvious being the Count himself and Mercedes and Fernando but there is also Danglars and his wife, Benedetto/Cavalcanti, Abbé Faria, Bertuccio, the Morrels, Caderousse, Haydée (though she differs significantly from the rest as she does not so much lose her status in terms of actual lifestyle as her literal freedom)... Much of the major cast goes through a status/class transformation either upward, downward, or both, in a way that has to do mostly, but not only with their money or lack thereof
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jesstasticvoyage · 3 months ago
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Edmond Dantes and Abbé Faria
The Count of Monte Cristo (2025)
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satlun · 21 days ago
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“History, philosophy, mathematics. These are... these are weapons that are as liberating as this.”
Abbé Faria
Le Comte de Monte-Cristo (2024)
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jeanlib · 2 months ago
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A clip from The Count of Monte Cristo - Abbé Faria & Edmond
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millarcaluve-kerapf · 3 months ago
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—I regret now—said he—having helped you in your late inquiries, or having given you the information I did.
—Why so?—inquired Dantés.
—Because it has instilled a new passion in your heart: that of vengeance.
Abbé Faria to Dantés, chapter XVII, "The Count of Monte Cristo" by Alexandre Dumas.
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sinvulkt · 26 days ago
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🎭 The Count of Monte-Cristo Prompts 🎭 — Edmond Dantès
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🎄For the Fandomtrees event ☃️
🎭 Bonapartiste Edmond Dantès: When Napoleon comes back for the Hundred Days, republicains assault If Castle to free the prisoners here- among which, Edmond Dantes and Abbé Faria.
🎭 Edmond drowns at sea (at any moment of canon, before it, after it, passing by the prison escape ). He escape the adventure… different (transformed into a sea creature / a merman / immortal from ocean cursed / saved by a new sea ally? )
🎭 Mercedes disagree with ‘the count of montecristo’ poor self care (lack of eating and sleeping ). She decides to do everything in her power to fix that (including low blow ), now matter how much Edmond refuses anything from her hand and denies knowing her.
🎭 Edmond’s whole plot get revealed before he can bring it to an end - and the police show up in front of the manor to arrest ‘the count of montecristo’ (Bonus: if you manage to twist it into a crack fic )
🎉 For the Smallfandomfest 🎊
🎭 Amnesia. During his arrest, Edmond Dantès takes a blow to his head and loses his memories.
Without them, he is no threat. Without them, there is no reason to send him to If castle anymore.
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🎭 Winged soulmates Au
Au where everyone is born with wings. The color of your feathers are an indication of the bonds you make throughout life (platonic soulmates style?). When people get close to each other, the original wing color mixes together with the other person.
A few of Mercedes primaries are dark blue, reminiscent of the ones covering Edmond's wingspan. Edmond has a few bright red feathers amidst the blue : Mercedes’ trace on his soul.
After getting arrested, one of Edmond's comforts was observing the red feathers that adorned his blue wings. Light reached properly the bottom of his cell only a few hours a day for him to see them. As long as Mercedes red was there, he could keep hope to reunite with her.
Edmond escapes. He plans his revenge. He searches for Mercedes.
Only, when the Count of Montecristo finally sees Mercedes from afar, for the first time again after years in a cell, there isn't a single hint of blue nestled in her scarlet wingspan. There is just Fernand's green.
(=> angst :3)
In order to ensure no one recognise him, Edmond dyes Edmond Dantès’ blue into the Count of Montecristo's black. The count's wings are pure ink, devoid of any trace of color, of any taint from relationships (Edmond will not allow himself such a weakness again). But safely hidden below this black paint… some colors do exist in hiding: from Haydee and André (if only they knew it~ not that Edmond would ever tell them).
The truth, which Edmond doesn't know, is that Mercedes also dyes her feathers. She's been painting her few blue feathers into scarlet for years- because wearing the mark of an arrested man attracted uncomfortable attention, and excited Fernand's jealousy.
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🎭 Edmond and Abbé Faria manage to escape the prison together. Now, what influence will Faria have on Edmond’s revenge wishes? (And his absurd self care too tbh XD)
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🎭 Vampire Count of Montecristo
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🎭 Bonapartiste Edmond Dantès. What if the false accusation signed by Fernand accidentally hit right in the nail, and Edmond had just always been hiding that part of him?
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🎭 Edmond finds the treasure. He also finds a dragon, because the mythique creatures apparently weren’t all dead.
(Dragon!Haydee, dragon!André?)
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🎭 Edmond should have never been able to swim all the way to the shore when escaping the prison. He should have drowned and died in the tempest.
So why didn’t he?
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🎭 The world is wrong. And we are right.
This is a dangerously addictive game... and one of our favorites.
(But what about when we’re wrong?)
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🎭 Crack Treated Seriously. Edmond had a plan, he really did. He is not sure where everything went wrong and how his count of Montecristo persona became your friendly neighbour, nor why all the elders of Paris suddenly bring him veggies every morning nagging about his health, but it happened. (To make things worse, he didn’t even have time to enfold the first part of his revenge plan that Danglar is in prison for fraud, Villefort found dead in an alley with its murderer running, and Mercedes officially announced she would divorce Fernand now that Albert was finally old enough).
Or any variant with that ’crack treated seriously, can’t do my revenge bcs karma did it for me before i could move’ vibe.
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🎭 As the World is my Enemy, and my Enemy is the World
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rastronomicals · 10 months ago
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8:27 AM EST March 4, 2024:
The Heavy Eyes - "Abbé Faria" From the album Maera (December 2012)
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forsuperbang · 2 months ago
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Edmond Dantès going to chateau d'If is whump, don't ask me. Abbé Faria is his caretaker. Do you see my vision?
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