Tumgik
#Aaron Sauter
therealmrpositive · 1 year
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Macabre Month 6 Part II: Before Someone Gets Hurt (2018)
In today’s review, I find home hauntings make for fine found footage. As I attempt a #positive review of Before Somebody Gets Hurt #MichaelWelch #AlexandraTurshen #AaronSauter #PatrickWoodall #WillRogers #KatieHenney #JimmyMason #JuliaMorrison
Even though all evidence has pointed to the contrary, even though there are no confirmed sightings, even if there was life beyond death you’d hopefully have better things to do; the idea that ghosts may be stalking us from an ethereal plane is a harrowing possibility. Sure, it could be a poorly maintained building playing tricks with your mind, or it could be the supernatural, you just don’t…
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yes-bernie-stuff · 7 months
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Lévitique 11
1 L'Éternel parla à Moïse et à Aaron, et leur dit:
2 Parlez aux enfants d'Israël, et dites: Voici les animaux dont vous mangerez parmi toutes les bêtes qui sont sur la terre.
3 Vous mangerez de tout animal qui a la corne fendue, le pied fourchu, et qui rumine.
4 Mais vous ne mangerez pas de ceux qui ruminent seulement, ou qui ont la corne fendue seulement. Ainsi, vous ne mangerez pas le chameau, qui rumine, mais qui n'a pas la corne fendue: vous le regarderez comme impur.
5 Vous ne mangerez pas le daman, qui rumine, mais qui n'a pas la corne fendue: vous le regarderez comme impur.
6 Vous ne mangerez pas le lièvre, qui rumine, mais qui n'a pas la corne fendue: vous le regarderez comme impur.
7 Vous ne mangerez pas le porc, qui a la corne fendue et le pied fourchu, mais qui ne rumine pas: vous le regarderez comme impur.
8 Vous ne mangerez pas de leur chair, et vous ne toucherez pas leurs corps morts: vous les regarderez comme impurs.
9 Voici les animaux dont vous mangerez parmi tous ceux qui sont dans les eaux. Vous mangerez de tous ceux qui ont des nageoires et des écailles, et qui sont dans les eaux, soit dans les mers, soit dans les rivières.
10 Mais vous aurez en abomination tous ceux qui n'ont pas des nageoires et des écailles, parmi tout ce qui se meut dans les eaux et tout ce qui est vivant dans les eaux, soit dans les mers, soit dans les rivières.
11 Vous les aurez en abomination, vous ne mangerez pas de leur chair, et vous aurez en abomination leurs corps morts.
12 Vous aurez en abomination tous ceux qui, dans les eaux, n'ont pas des nageoires et des écailles.
13 Voici, parmi les oiseaux, ceux que vous aurez en abomination, et dont on ne mangera pas: l'aigle, l'orfraie et l'aigle de mer;
14 le milan, l'autour et ce qui est de son espèce;
15 le corbeau et toutes ses espèces;
16 l'autruche, le hibou, la mouette, l'épervier et ce qui est de son espèce;
17 le chat-huant, le plongeon et la chouette;
18 le cygne, le pélican et le cormoran;
19 la cigogne, le héron et ce qui est de son espèce, la huppe et la chauve-souris.
20 Vous aurez en abomination tout reptile qui vole et qui marche sur quatre pieds.
21 Mais, parmi tous les reptiles qui volent et qui marchent sur quatre pieds, vous mangerez ceux qui ont des jambes au-dessus de leurs pieds, pour sauter sur la terre.
22 Voici ceux que vous mangerez: la sauterelle, le solam, le hargol et le hagab, selon leurs espèces.
23 Vous aurez en abomination tous les autres reptiles qui volent et qui ont quatre pieds.
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moviesandmania · 6 years
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Before Someone Gets Hurt - USA, 2015
Before Someone Gets Hurt – USA, 2015
‘It was all fun and games’
Before Someone Gets Hurt is a 2015 American supernatural horror film directed by Shane Barbanel from a screenplay co-written with Brian Herskowitz. The movie stars Michael Welch, Alexandra Turshen and Aaron Sauter.
Tim and his Ghost Investigations team are the rising stars of the paranormal game. One thing they all like better than a good haunt is a great prank. When…
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lesravageurs · 7 years
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Ravageurs dive. | by Aaron Siskind
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clarestrand · 5 years
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“Snake” showing in Yesterday’s News Today curated by David Campany for Biennale für aktuelle Fotografie, 29 February – 26 April, 2020.
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David Campany is curator of the Biennale für aktuelle Fotografie, 2020
29 February – 26 April, 2020
Seventy artists, six thematic exhibitions in six museums, plus extensive public programme of events and workshops.
Artists include:
Dennis Adams, Claudia Angelmaier, Adam Broomberg & Oliver Chanarin, Jean-Marc Caimi & Valentina Piccinni, David Claerbout, Jojakim Cortis & Adrian Sonderegger, Jeff Cowen, Julia Curtin, Tim Davis, John Divola, Stéphane Duroy, Walker Evans, Camille Fallet, Joan Fontcuberta, Pablo Genovés, George Georgiou, Hein Gorny, Sara Greenberger Rafferty, Darren Harvey-Regan, Aaron Hegert, Sohrab Hura, David Jiménez, Lisa Kereszi, Christoph Klauke, Steffi Klenz, Kensuke Koike, Justine Kurland, Sherrie Levine, Mark Lewis, Ute Mahler & Werner Mahler, Michael Mandiberg, Josh Murfitt, James Nares, Antonio Pérez Río, Max Pinckers & Dries Depoorter, Max Pinckers & Sam Weerdmeester, Jessica Potter, Patrick Pound, Peter Puklus, Timm Rautert, Sebastian Riemer, RaMell Ross, Thomas Ruff, Mark Ruwedel, Anastasia Samoylova, Martina Sauter, Maurice Scheltens & Liesbeth Abbenes, Bryan Schutmaat, Stephen Shore, Eva Stenram, John Stezaker, Daniel Stier, Clare Strand, Batia Suter, Nick Waplington, Christopher Williams, Vanessa Winship, Stanley Wolukau-Wanambwa, Thomas Wunsch, Ewa Monika Zebrowski.
Exhibitions:
All Art is Photography (Kunstverein Ludwigshafen)
Between Art and Commerce (Port25 – Raum für Gegenwartskunst, Mannheim)
Reconsidering Icons (Museum Weltkulturen der Reiss-Engelhorn-Museen, Mannheim)
Walker Evans Revisited (Kunsthalle Mannheim)
When Images Collide (Wilhelm-Hack-Museum, Ludwigshafen)
Yesterday’s News Today (Heidelberger Kunstverein)
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Un pont entre nous
Un pont entre nous
Un pont, deux ados. Un choix, quatre destins possibles. Alors qu’ils ne se connaissent pas, Aaron et Tyllie se retrouvent au même sur le pont. Objectif: sauter. Sur quatre chapitre différents, l’auteur nous fait explorer quatre destins différents avec les conséquences qui vont avec. (more…)
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cequilaimait · 6 years
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Knut – 4. Mercredi – Visites et miaulements – 4.1 Le musée Skansen (1/3)
SMS du mercredi 14/12/2016 6h52
 *Téléphone de Justin*
 Justin : Aaron, tu dors ? J’ai une question !
Aaron : Nan, je ne dors pas… Je suis en train de me faire réveiller par un blond assoiffé d’amour. Le bonheur conjugal <3 Justin : Mais… X_X (*chaton choqué* ! moi, personne me fait de bisous…) Aaron : T’en veux ? Toi, t’en as le droit à autant que tu veux ! Et j’les fais aussi bien que lui :3 Justin : Nan, là, j’voulais te parler de mes cheveux en fait ! *chaton innocent, plus innocent tu meurs* Aaron : Tes cheveux ? Justin : Oui *____* Mon violet est tout passé, donc je le vire. Du coup, bleu, rose, orange sanguine ou argent ? Aaron : … Mon mec me turlute et mon chaton me demande mon avis sur sa prochaine couleur <3 Vous voulez être deux à me causer un orgasme en même temps, avoue ? :D Justin : <___< Réponds idiot ! Aaron : Mhhhh… J’hésite ! Le bleu, j’adore et l’argent ça te va bien de ouf… Mais là, j’veux te voir en rose ! C’est mignon le rose ! (envoie-moi une photo, hein !) (Rha, putain, Kilian…) Justin : Okay ! Merci Roron ! Bisous ! (Passe-lui le bonjour et dis-lui que je l’embrasse… Enfin, que je l’embrasserai dès qu’il se sera lavé la bouche ^o^ )
 *****
« Donc en fait, si tu t’es comporté comme un p’tit con quand tu m’as vu dimanche, c’est parce que ta sœur avait récupéré mon nom via Madame Duvanel et m’avait stalké sur Facebook et trouvé trop mignon ? »
Grognard, Knut préféra tourner la tête en fronçant les sourcils et  en replongeant sa brosse à dent au fond de son gosier plutôt que de répondre à la question de Justin, basée sur les allégations d’une sœur un peu trop bavarde ce matin au petit déjeuner. C’était réduire la réalité à sa part la plus limitative et nier la complexité et richesse de son comportement de gamin. Des raisons, il y en avait en réalité plein d’autres ! Comme s’être vu imposer de partager sa chambre, ce qu’il n’aimait pas, voir débarquer comme en terre conquise un inconnu un peu trop chaleureux à son goût, ce qui était effrayant, ou même encore que la Suède venait de perdre deux buts à un le vendredi précédent contre la France en éliminatoire de coupe de monde. Rien que cette désillusion justifiait pleinement d’en vouloir à tous ces foutus coqs arrogants, dont il adorait pourtant la langue, la culture, la mode et la cuisine. Si seulement ils avaient été mauvais en foot, ils auraient été parfaits. Mais là, Justin avait dégusté pour les autres. Même s’il habitait en Suisse. Et qu’il préférait jouer au ballon plutôt que de regarder ce sport à la télé. Et qu’il soutenait le Brésil, ce dont Knut se fichait bien. Tout ça, ce n’était jamais que des justifications stupides ad hoc à sa propre bêtise, mais le jeune blond était bien trop fier pour avouer devant son innocente victime qu’il était simplement concon et que sa sœur avait raison. D’autant plus qu’il savait au fond de lui qu’il pouvait être encore plus débile s’il le voulait. Et puis là, une chose l’intéressait bien plus que sa propre turpitude, à savoir ce que son colocataire improvisé était en train de faire avec ses cheveux. Il y avait un petit quelque chose d’hypnotisant que de voir la petite routine à laquelle s’adonnait Justin.
Avant toute chose, le chaton était rentré dans la douche et avait fait couler une eau bouillante qui avait largement déposé sa buée sur le miroir à quelques mètres de là, puis il s’était lavé les crins plusieurs fois de suite à l’aide d’un mélange de shampoing antipelliculaire et de bicarbonate avant de terminer par un shampoing préparateur. Là, une serviette simplement nouée autour de la taille, il expliqua la routine de cette première étape au curieux petit Suédois :
« D’abord, j’enlève la précédente couleur avec des trucs bien méchants. Surtout, jamais de deux en un, sinon, c’est la cata. Et le reste du temps, j’hydrate à mort pour contrebalancer et pas casser mes cheveux. Comme tu peux le voir, à part la racine, ils sont clairs, c’est parce que je les décolore toujours pour que les teintes accrochent mieux. C’est compliqué sinon, quand on est brun. »
Même s’il ne comprenait pas tout, Knut buvait les paroles de son camarade et, surtout, le regardait faire avec une certaine touche d’admiration. Gants sur les mains, Justin se colorait les cheveux avec la même aisance que lui pouvait se maquiller : il savait ce qu’il faisait, comment il le faisait, et pourquoi il le faisait. En trois seconde, il se sécha la tête à l’aide d’une serviette pour garder ses cheveux encore humides. En dix, il sortit son mélange du jour de sa trousse. En à peine trente, il appliqua sa coloration au pinceau.
« Je change tout le temps. J’ai commencé en seconde, et je suis devenu accroc ! Je ne supporte pas d’avoir la même tête plus de quinze jours ! J’ai essayé un tas de marques avant de trouver les bonnes. Et j’me suis même noté mes recettes dans un carnet pour me faire des teintes persos en en mélangeant plusieurs. J’leur donne un nom à chacune. Rien que le bleu, j’dois bien avoir dix versions différentes, selon mon humeur ! »
Le bleu… Knut ne put s’empêcher d’imaginer Justin avec cet éclat s’accordant si bien à ses yeux. Il aurait été magnifique. Sauf que là, le Français avait fait le choix d’un rose crème, assez clair et plutôt pastel, qu’il répartissait avec soin au peigne en insistant jusqu’à parfaite émulsification, et qu’il avait nommé « Pink Sweety ». Pour le coup, vu qu’ils s’accordaient déjà avec le reste, il laisserait ses ongles au naturel. Puis vint la longue phase d’attente de presque trente minutes, film plastique sur la tête, avant de pouvoir passer une dernière fois à la douche pour enfin découvrir le résultat.
« Alors, tu aimes ? »
« Mj… Mj… Mjauuuu… »
« C’est vrai, ça te plait ? »
Knut n’avait même pas réfléchi avant de murmurer son miaulement. Il était sorti du cœur. Avec toute la sincérité que pouvait exprimer sa petite voix légèrement cassée à la vue de la nouvelle tête de Justin. Après le violet qui lui donnait un air sombre, presque torturé, ce rose changeait tout. Là, c’était l’innocence sucrée qui éblouissait. Justin était adorable. Trop peut-être. Les pommettes un peu rouges, le blondinet finit par calmer son ronronnement et grimaça, avant de sortir en claquant la porte de la salle de bain derrière lui, non sans lâcher juste avant une petite menace à son « rival » officiel :
« Tu veux jouer au plus mignon avec moi ? Okay ! Concours de chaton toute la journée ! Et fais gaffe, je joue à domicile ! J’vais venger l’honneur des Suédois, tu vas voir ! »
En effet, il avait l’avantage du terrain, et surtout un public déjà acquis à sa cause. Profitant du séjour en Suède de Claude Duvanel et de son élève, Franciska Eklund et d’autres professeurs avaient proposé aux volontaires une grande journée « visite des musées de Djurgården », une île imposante située dans la partie est de la ville de Stockholm. Trois lieux étaient au programme, et pas des moindres. Tout le club francophonie s’était évidemment inscrit, un peu forcé par Lillemor, il est vrai. Knut était naturellement de la fête. Il connaissait la majorité des participants et savait parfaitement comment les faire craquer. Pour ça, il choisirait la tenue la plus chatonesque possible, une qui justifierait à elle seul son surnom de « Kisse ».
Si Justin voulait avoir la chance d’attendrir plus de cœurs et de déclencher plus de regards doux que son adversaire, il devait ruser. Se jetant dans son sac, il en sortit son arme secrète, qu’il avait normalement gardée pour faire le show le dernier jour. Pas le temps d’attendre. Il devait le mettre maintenant. C’était son honneur même qui était en jeu.
Passant la tête par l’encolure, alors qu’il était lui-même à moitié nu en train de choisir sa tenue, Knut grimaça, lâchant au passage un ronronnement qui trahissait autant son attendrissement involontaire que sa colère. Justin avait osé ! Un Sweat gilet totalement noir, tout ce qu’il y avait de plus bête au monde, si on omettait ces deux adorables oreilles de chat au contour noir et à l’intérieur blanc, comme greffées à la capuche. Sur n’importe qui, cela aurait été adorable. Sur Justin, c’était une cause sévère d’arrêt cardiaque et d’insuffisance respiratoire pour cause de choc oculaire. Il n’était pas « mignon ». Non. Il était à croquer, à bouffer, à embrasser, à câliner, à adorer et même à vénérer. Pourtant habituée par l’incroyable potentiel de son frère en la matière, même Lillemor craqua en voyant cette petite tête rose sous sa capuche féline agiter ses petits coussinets devant son visage et elle se grignota le bout des doigts pour ne pas lui sauter dessus et lui mordiller la joue.
Qu’importe. Même s’il venait d’ores et déjà de se prendre un 1 – 0 dans la tronche, Knut fit mine de ne pas réagir et s’enferma à double tour dans sa chambre pour se préparer. Un match de chatons se jouait en bien plus que quatre-vingt-dix minutes. Il avait toute la journée pour s’imposer. Là, ce n’était encore que l’échauffement. En abattant déjà une de ses meilleures cartes, son adversaire français avait commis une erreur stratégique. Lui serait bien plus fin que ça.
Après bien vingt-minutes, alors que sa mère lui hurlait dessus pour qu’il se dépêche vu qu’ils étaient déjà bien en retard et qu’ils devaient absolument retrouver sur place le reste du groupe à neuf heures et demi, l’adolescent sortit enfin de sa piaule, droit comme une diva, et déjà parfaitement préparé à affronter le froid.
En toute objectivité : deux mots s’imposaient pour décrire sa tenue.
Classe et féline.
Classe, parce qu’il avait chaussé aux pieds une élégante paire de bottes en cuir noir. Hautes jusqu’à la base du genou, elles étaient parcourues chacune d’un long lacet fin se terminant par un simple et large nœud.
Classe, parce que chaque jambe de son jean slim écume – pantalon des plus chics – affichait en prime deux longue bandes longitudinales transparentes, l’une à l’intérieur des cuisses jusqu’au mollet, l’autre à l’extérieur, ce qui permettait de goûter d’un regard discret à la douceur et clarté de la peau du jeune Suédois sans jamais s’en rassasier.
Classe, parce que sa parka imperméable présentait une coupe droite au col haut et au maintien équivalent à celui des tenues des plus grands officiers militaires, mais sans le faste ni la sophistication ridicule qui les caractérisaient. Elle se teintait d’un noir uni qui, par certain aspect, se révélait presque aussi envoutant que le célèbre Ventablack, Une capuche doublée d’une épaisse toison blanche et grise protégeait son cou et réchauffait jusqu’aux regards qui se posaient sur elle.
Classe, enfin, parce que pour rehausser encore plus sa grâce, Knut avait fait le choix d’une chapka matelassée blanche parsemée ici et là de petits pois noirs à la dimension variable. La partie en fourrure, encore plus claire, semblait faite d’un jeune vison perdu dans la neige. L’ensemble était d’un raffinement rare, magnifié par la musculature fine et droite de ce jeune garçon aux cheveux blonds et au minuscule grain de beauté sous son œil gauche, qui brillait toujours comme le droit d’un bleu à l’azur céleste.
Et pourtant, malgré tout, la tenue était profondément féline. Comme si des petits détails avaient été placés ici et là exprès pour rappeler au monde entier que ce garçon était encore un enfant qui adorait miauler, s’amuser et faire le pitre comme cet animal totem qui lui collait à la peau. Les languettes de ses bottes avaient la forme d’une tête ronde de chat, terminées à chaque fois par deux petites oreilles pointues. On retrouvait un motif équivalent, à une moustache, un nez et des yeux clos près, dessiné en blanc sur des moufles noires protectrices et assorties au manteau. Quoique, sur le bras droit, une longue manche rouge qui avait oubliée d’être remontée s’échappait et descendait jusqu’au bout du gant, comme pour rappeler que, sous cette tenue millimétrée, battait toujours le cœur d’un gamin débraillé.
Ce que Knut cachait là-dessous ? Mystère ! Mais son sourire ravi, fier et en réalité presque amusé de lui-même, montrait bien que, sous le blouson, il en avait encore une sacrée dose de mignonnerie en réserve pour plus tard. Justin dut l’admettre à contre-cœur : son adversaire était redoutable.
Quinze minutes de bus plus tard, toute la petite troupe retrouva les élèves et professeurs volontaires sur l’île de Djurgården. Puisqu’il fallait profiter du ciel bleu et des faibles rayons du soleil tant qu’il faisait jour, la première étape de la journée fut naturellement le Parc Skansen, connu pour être un des plus majestueux musée en plein air du monde. Les adultes aimaient s’y promener entre les constructions traditionnelles de leur pays, démontées de leur emplacement d’origine et remontées pièce par pièce sur place. Les enfants adoraient contempler les animaux du zoo. Les petits félins, enfin, ne pouvaient se passer de l’idée sublime de courir, chahuter et se battre dans la neige à coup de boules et autres bousculades.
Autant Knut que Justin, les deux garçons les plus adorables du groupe démontrèrent dès leur ticket validé que leur principal objectif de la journée était bel et bien de charmer chacun le plus de filles, afin de récolter le plus de câlins et de remporter le titre qu’ils convoitaient l’un et l’autre. Celui de « meilleur chaton ». Ou « bästa kisse », pour les non francophones.
Les départager n’était malheureusement pas chose facile. L’un était beau comme un dieu et connaissait suffisamment son public pour que même sa manière de glisser dans la neige soit mignonne et attendrissante. L’autre avait des cheveux roses et une capuche aux oreilles de chat. Et les deux étaient à croquer. Les deux adolescents ne pouvaient même pas faire quelques mètres sans se faire happer par des bras féminins qui voulaient absolument les « réchauffer ». Lillemor et Sabina furent même les deux plus généreuses en la matière, au grand désarroi de leurs petits copains, naturellement jaloux.
Heureusement, s’il était délaissé par sa copine, Viktor pouvait toujours jouer avec ses bagues, ou servir d’interprète à Justin auprès des élèves qui ne le comprenaient pas. Il avait de quoi s’occuper, et son énergie lui permettait sans peine d’endosser le rôle de leader, et donc d’ouvrir la marche. Et tant pis si Lillemor se montrait distante. D’une certaine manière, c’était presque préférable. Il préférait largement penser à autre chose et profiter de sa journée.
Du côté d’Hakon, par contre, certains signes furent plutôt mal vécus. Voir sa promise prendre Knut par la main pour l’aider à se relever après une bousculade avec l’autre chaton – ils avaient tous les deux finis le nez dans la neige en essayant de faire chuter l’autre – passait. Que son adorable « Kisse » la remercie d’un immense câlin – ça lui en faisait toujours un de plus –, pourquoi pas. Mais voir Justin se rejeter sur son homologue pour le faire tomber à nouveau sans que l’adolescente ne réagisse autrement qu’en ouvrant à nouveau ses bras, par contre, cela déclencha une dispute. Il lui reprocha, en suédois, d’être peu précautionneuse, autant avec Knut qu’avec lui, qui se sentait bien seul. Elle lui répondit sur un ton légèrement colérique que s’il n’était pas content, il pouvait jouer aux chatons-sitter lui-même. La bisbille n’avait pas vraiment de sens et mélangeait des mots en plusieurs langues. Personne ne comprit vraiment ce que le jeune homme reprochait à sa petite amie, ni pourquoi elle lui en voulait en retour. Toujours est-il qu’après ce crépage de chignon, et alors qu’il lui avait à peine adressé la parole ce matin-là, Hakon ne lâcha plus Knut d’une semelle et le traita comme un véritable petit roi qui avait tous les droits. Se retrouvèrent au programme compliments, câlins pour le féliciter d’être le plus mignon – même si, offert par un garçon, ce présent n’avait malheureusement aucune valeur dans la compétition du jour – et moqueries récurrentes envers son pauvre adversaire, qui n’avait rien demandé et n’avait que ses tristes yeux vert-bleu pour pleurer.
D’ailleurs, ce fut ce que Justin fit assez rapidement, ou plutôt fit mine de faire, en collant près de ses paupières ses deux poings emmitouflés puis en lâchant un énorme reniflement et un timide mais sonore « nif » afin de capter le plus d’attention possible. Omettre le « S » de « snif » rendait ce son encore plus mignon et fit immédiatement craquer Sabina, qui se jeta à son cou pour le serrer contre elle. Assez grande, la jeune femme dépassait sa peluche du jour en taille d’une demi-tête, ce qui permit à Justin de bien profiter de la douceur de sa gorge et de la vue sur ce dont la nature l’avait généreusement dotée, quelques centimètres plus bas. Forcément, la scène provoqua immédiatement l’ire d’Hakon, et une nouvelle dispute.
Assis tous deux sur un banc, genoux sur les cuisses et joues dans les gants, Knut et Justin regardèrent la scène en échangeant quelques regards blasés. Eux, à la base, ils étaient partis pour un concours de coussinets, pas de briseurs de ménages. Le Suédois s’autorisa même une petite critique acerbe :
« Ils font chier. À chaque fois que je traîne avec eux, ils s’engueulent au lieu de simplement me trouver mignon comme les autres. Le pire, c’est qu’ils me trouvent mignon ! J’le sais, Sabina arrête pas de me le dire, et Hakon m’offre des bonbons ! T’y comprends quelque chose, toi ? »
En retour, Justin lâcha simplement un léger ricanement, avant de se remettre à simplement sourire. Bien sûr qu’il comprenait. C’était gros comme une maison, encore plus grosse que celles qu’ils s’apprêtaient à visiter et qui était tout bonnement énorme. La vérité derrière ce couple était cramée à mille lieux à la ronde. Mais plutôt que de l’expliquer clairement au grand naïf qui se remettait la chapka en place en grognant, Justin préféra une boutade, ce qui ne manqua pas d’énerver son interlocuteur.
« La bouffe, c’est le meilleur des langages… Moi, j’me fais draguer au chocolat, ça marche du tonnerre. D’ailleurs, si un jour tu veux que je t’embrasse, file-moi du blanc, j’comprendrais tout de suite ! Par contre, j’garantis pas ton innocence si tu m’offres du noir… »
« Vade Retro, chatanas ! Même pas j’t’en offrirais au lait ! J’ai aucune envie d’aller en enfer avec toi ! »
Knut avait certes la capacité de faire de l’esprit, mais ses joues pivoines et sa bouche ondulée trahissaient clairement qu’il n’était pas du tout prêt à en entendre plus. Et vu que Viktor rallait au loin sur les retardataires, que la dispute entre Sabina et Hakon semblait finie et que ce dernier était venu chercher son Kisse par la main pour l’entraîner vers le prochain bâtiment, il n’en eut même pas l’occasion.
Au moins, sur le plan culturel, malgré le froid, le parc Skansen avait pour lui de sérieux atouts. Si plusieurs bâtisses en bois des siècles derniers, typiques de plusieurs régions du pays, étaient disséminées un peu partout, ce n’était rien à côté de la réplique fidèle d’un petit village, avec ses figurants en costumes qui s’amusaient à faire semblant de vivre comme à l’époque en se promenant dans les rues et en tenant les différentes échoppes, tout en étant toujours prêts à expliquer aux « visiteurs du futur » leurs activités. C’était folklorique, intéressant et bien plus ludique que la majorité des musées. Tout dans le parc était fait pour que l’on puisse s’y balader en s’y sentant bien. Et parce que noël approchait, un marché rempli de petits stands avait pris place en son centre, comme le réclamait la tradition depuis le tout début du vingtième siècle, ce qui brassait naturellement énormément de monde.
S’échappant de la foule, les jeunes arrivèrent à la partie « zoo », composée de deux sections : le zoo des enfants et le zoo des animaux nordiques. Et forcément, il ne fallut attendre que quelques secondes pour qu’arrive ce qui devait fatalement arriver :
Justin craqua littéralement un câble.
« DES COCHOOOOONS ! ILS SONT TROP BEAUX ! Vas-y, Knut, fais une photo avec moi devant eux ! Lilly, prends-nous ! Rha la classe… »
D’abord circonspect, Knut lâcha rapidement la main d’Hakon qui faisait tout pour le retenir pour se joindre à son copain et s’extasier lui aussi. Vu comment avait réagi sa sœur en se mordant la lèvre et regardant au ciel pour ne pas hurler à quel point elle avait trouvé la réaction de Justin mignonne, forcément, s’il ne voulait pas perdre son duel du jour, lui aussi devait faire ressortir son naturel.
Ce qu’il fit, du coup, devant une énorme grenouille dans son vivarium, à l’intérieur.
« ELLE EST BEEEEELLE… Enfin non. Elle est moche. Mais c’est trop cool quand même ! Justin ? Mais il est où, Justin ? Mais il est chiant ! J’parle français pour lui et il disparait ! J’vais parler suédois, s’il continue, moi… Lilly, il est où, Justin ? »
« En train de baver devant un lapin… Il veut le bouffer. Et du coup, tu as Sabina et les autres filles qui sont en train de baver sur lui qui bave devant le lapin… D’ailleurs, je vais les rejoindre, là… C’est trop chou ! »
À sa décharge, comme il le rappela ses deux paumes et le nez collés à la vitre, Justin était un chat. Et les chats, ça bouffe les lapins. Une analogie quelque peu flippante si on la poussait un tout petit peu plus loin en pensant à toutes ces demoiselles qui étaient à deux doigts de le croquer lui. Du coup, il dut rapidement fuir, et tomba sur un nouvel enclos.
Pour que les animaux se sentent bien, les responsables avaient reconstruit leur habitat naturel. Alors voir se dessiner une réplique d’appartement moderne, cela ne pouvait vouloir dire qu’une seule chose :
« C’EST MA MAISON ! Y A DES CHATS ! C’EST MA FAMILLE ! LAISSEZ-MOI ENTRER ! »
Malheureusement, ni lui, ni Knut qui réclama aussi immédiatement le droit de faire des conneries avec les félidés et de partager avec eux la masse de tétines que les visiteurs leur avaient laissé – dans le lot, il y avait peut-être même la sienne qu’il avait déposée lors d’une visite avec sa grand-mère quand il était petit – n’eurent le droit de déranger les matous, pas plus que le jeune Suédois ne fut autorisé à escalader l’enclos du Lynx. Même si en effet, on pouvait le considérer comme un chat encore plus classe… exactement comme lui.
Pour le reste, les ours dormaient, les bisons et les élans glandaient et les loups faisaient les quatre cents pas dans leur immense jardin. Mais l’heure tournant, les jeunes furent invités à passer par la boutique souvenir, avant le déjeuner et la suite de la journée. Adossée à une fabrique de verre, l’échoppe proposait de nombreux produits en cette matière. Devant la beauté des objets, Justin n’hésita pas longtemps avant de sortir son portefeuille pour faire la queue à la caisse avec une belle petite sculpture dans les mains. Il voulait absolument faire un cadeau à quelqu’un. Quand les autres lui demandèrent qui, il répondit sans hésiter :
« Aaron ».
À partir de là, les questions fusèrent, et Viktor se donna bien du mal pour traduire tout l’échange. Qui était cet Aaron ? Un garçon très important. Pourquoi ? Parce qui l’avait beaucoup soutenu. Son tempérament ? Aussi prétentieux qu’intelligent ! Ou vivait-il ? En France. Est-ce qu’il l’aimait ? Énormément. Ce garçon, était-il gay ?
Là, Justin tiqua un tout petit peu avant de répondre, sans vraiment prendre conscience à ce moment-là qu’il s’agissait en réalité d’une question détournée qui ne concernaient pas que le brun.
« Euh, ouais… »
Tout de suite, cette « révélation » déclencha deux types de réaction : un regard choqué et gêné de la part de Knut et d’Hakon, bien que chacun avait des raisons différentes de réagir ainsi, et la passion du reste de l’assistance, à commencer par Lillemor et Sabina qui jouèrent des coudes pour mener le débat. Si la curiosité était un vilain défaut, alors elles n’en avaient strictement rien à foutre. Justin venait en un mot de s’imposer comme la petite coqueluche de tout Stockholm. Et elles, elles avaient lu des mangas. Certains clichés s’imposaient d’eux-mêmes. Elles devaient en savoir plus.
« Il est tendance actif, ou passif ? »
L’index posée sur ses lèvres souriantes, sa capuche toujours sur la tête, l’adolescent fit mine de réfléchir, puis lâcha la seule réponse qui s’imposait :
« Mhhhh, j’dirais ‘tendance méchant’, c’est comme ça qu’il se définit. J’crois que ça veut dire actif, mais en méchant ! Aaron, quoi ! »
Pas gêné plus que ça par la teneur de la conversation, Viktor traduisit chaque mot, malgré Knut qui s’était jeté dans son dos pour essayer à tous prix de le faire taire en plaquant ses mains sur sa bouche. Il l’avait entendu une fois en français, il ne voulait pas le réentendre en suédois. Tout comme il ne voulait pas du tout que Justin découvre dans sa langue la question suivante, prononcée par une Suédoise bien curieuse, à savoir si lui-même avait fait des choses avec ce garçon. Devant cette scène, le concerné éclata de rire, finit de payer et laissa son ventre gargouiller. Il avait la dalle. Ça aussi, c’était mignon. Un sujet en chassant un autre, toute la troupe se mit rapidement à table, dans une salle du restaurant « typique dix-neuvième » que Franciska Eklund avait réservé pour l’occasion. Tous se mirent à leur aise, sauf Knut, qui mangea rapidement sans se dévêtir. Au menu ?
Des boulettes de viande. Un grand classique.
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lefanclub1 · 4 years
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Qu’est-ce qui cloche chez les Raptors?
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Avec une fiche de 7 victoires et 12 défaites, il n’est pas difficile d’admettre que les Raptors constituent une des plus grosses déceptions de cette saison 2021 de la NBA. C’est pourquoi l’équipe du Fan-Club s’est demandé : qu’est-ce qui cloche chez les Raptors? Voilà ce à quoi nous allons essayer de répondre dans cet article.
 Une difficulté à prendre les rebonds
 Une chose qui est frappante lorsque l’on regarde les matchs des Raptors cette année, c'est que l’équipe au complet a de la difficulté à prendre des rebonds. En effet, l’équipe de Toronto amasse en moyenne 51,3 rebonds par match, ce qui la classe au 26e rang de la ligue à ce niveau. Au niveau des rebonds défensifs, Toronto ne fait pas mieux, étant 28e de la NBA, avec 32,6 rebonds par match. Seul point positif, l’équipe se classe 14e de la ligue au rebond offensif, avec 10,3 rebonds offensifs en moyenne par match. Par contre, une équipe qui veut compétitionner pour les séries ne peut se permettre d’avoir des statistiques aussi moyennes au niveau du rebounding, qui est un des aspects les plus importants d’un match. En effet, si on ne prend pas beaucoup de rebonds dans sa zone défensive, c’est que les équipes adverses arrivent à prendre des rebonds offensifs dans notre zone et possiblement faire des points faciles par la suite. De plus, si on ne prend pas assez de rebonds offensifs, il est impossible de faire des points faciles ou de garder le jeu en vie, ce qui limite nos opportunités en zone offensive.
 Si on regarde l’effectif des Raptors, on se rend rapidement compte que l’équipe manque d’un joueur capable de prendre les rebonds de façon régulière dans un match. En effet, le meilleur rebondeur de l’équipe est Pascal Siakam, qui prend 7,9 rebonds par match, ce qui est à des années-lumière du leader de la ligue, Andre Drummond, avec 14,7 rebonds par match. Il manque donc un effort criant de certains joueurs, comme Aaron Baynes, centre connu pour sa capacité à prendre des rebonds, mais qui roule présentement à 5,2 rebonds par match. Pour avoir une chance de participer aux séries cette année, il faudra aller chercher des joueurs capables d’avoir un impact dans cet aspect du jeu, des joueurs comme Marvin Bagley ou Javale McGee, qui sont sur le marché des échanges et sont de très bons rebondeurs.
 Une stratégie offensive prévisible
 Une autre chose qui est facilement remarquable lorsque l’on regarde les Raptors, c'est que leurs jeux en zone offensive se ressemblent beaucoup et plusieurs de ces jeux sont inefficaces. En effet, un des jeux les plus utilisés par Nick Nurse est de laisser Pascal Siakam avoir le contrôle du ballon et lui donner plusieurs isolations ou post-ups sur les défenseurs adverses. De plus, le pourcentage d’utilisation (ou usage rate) de 24,7% de Siakam fait de lui le joueur le plus utilisé dans le schéma offensif de Nick Nurse. Par contre, il faut admettre que Siakam connaît une mauvaise saison, roulant à seulement 18,9 points par match, une diminution considérable par rapport à sa saison 2020, où il roulait à 22,9 points par match. Sans vouloir nous acharner sur Spicy P, il est aussi inefficace au tir cette saison, roulant à 44,9% d’efficacité au tir et 25% aux trois points. Donc, une importante partie des jeux offensifs de l’équipe passent par Siakam, ce qui n’est pas gage de succès cette saison.
 Loin d’être des coachs de haut niveau comme Nurse, nous croyons tout de même que Siakam devrait être utilisé à titre de dépanneur dans la stratégie offensive des Raptors. En effet, on devrait essayer d’utiliser plus nos tireurs de trois points, comme Lowry et VanVleet, et lorsque le périmètre est très bien défendu par la défense adverse et qu’il reste environ 10 secondes au chronomètre de tir, c’est là que l’on passe le ballon pour qu’il essaye d’aller chercher deux points en isolation, par exemple. De plus, comme Siakam est inefficace aux trois points, mais assez bon au rebond offensif (avec 2,4 rebonds offensifs par match), nous aimerions voir un Siakam moins axé sur l’extérieur du périmètre et qui reste à l’intérieur pour prendre ces fameux rebonds offensifs et garder le jeu en vie. Ce sont certains conseils que nous donnons à vous, monsieur Nurse, si jamais, par un grand hasard, vous êtes en train de lire cet article.
 Manque d’apport offensif du banc
 Contrairement aux dernières années, le banc des Raptors n’est pas aussi dominant au niveau offensif. En effet, l’apport offensif du bench mob est le travail de seulement deux joueurs cette année, soit Norman Powell (14,3 points par match) et la fierté de Montréal-Nord Chris Boucher (13,5 points par match). Par contre, aucun autre joueur du banc des Raptors roule à plus de 10 points par match, le plus près de cette marque étant Terence Davis, à 7,6 points par match. C’est connu, sans un banc qui apporte beaucoup d’offensive, il est impossible de compétitionner dans la NBA. Nous n’avons qu’à penser aux meilleures dynasties de la NBA, comme les Warriors de Stephen Curry, qui avaient des joueurs fiables, comme Shaun Levingston, en sortie de banc, et les Spurs de San Antonio, qui avaient un véritable dynamo offensif en sortie banc en la personne de Manu Ginobili. En effet, lorsqu’un banc n’a pas d’impact offensif, il faut donc garder les joueurs partants sur le jeu plus longtemps pour être compétitif, ce qui fatigue ces joueurs et n’est jamais gage de succès sur le long terme. C’est donc la raison pour laquelle, contrairement à plusieurs fans des Raptors, nous croyons que Chris Boucher doit rester sur la deuxième unité de l’équipe. En effet, s’il devient partant, Normal Powell aura la charge de l’apport offensif de la deuxième unité sur ses épaules et il y aura encore moins de points venant du banc. Il faudra donc laisser les partants encore plus longtemps sur le jeu, même ceux comme Kyle Lowry, qui se font vieillissants. Par contre, si Nick Nurse a l’intention de rendre Chris Boucher le centre partant de façon permanente, il faudra que Masai Ujiri et Bobby Webster s’assurent d’aller chercher de bons joueurs en sortie de banc, des joueurs comme PJ Tucker ou Nemanja Blejica, qui sont sur le marché des échanges et qui peuvent devenir de très belles pièces sur la deuxième unité de Toronto.
 Y a-t-il du positif chez les Raptors?
 Bien sûr! Tout n’est pas noir chez les Raptors en ce moment. Premièrement, certains joueurs connaissent de bonnes saisons et amènent à croire que Toronto peut se sortir de la mauvaise passe vécue présentement. En effet, nous n’avons qu’à penser à des joueurs comme Chris Boucher, qui connaît la saison de sa vie (13,5 points, 6,3 rebonds et 2,1 tirs bloqués par match) et qui devra assurément être considéré dans la course au trophée du 6e homme de l’année, ou OG Anunoby, qui continue tranquillement de progresser dans la bonne voie, avec 14,6 points par match. De plus, les vieux routiers, comme Kyle Lowry (17,9 points par match) et Fred VanVleet (19,3 points par match), restent solides, ce qui est intéressant pour la suite des choses chez les Raptors.
 Deuxièmement, même s’ils sont présentement 12es de l’Est, les Raptors sont surprenamment toujours dans la course aux séries. En effet, ils ont seulement deux défaites de plus que les Hornets de Charlotte, qui maintiennent le 8e rang, avec 9 victoires et 11 défaites. Donc, si l’équipe se rallie et décide qu’elle en a assez de la défaite, elle peut facilement revenir en séries assez rapidement.
 Repêcher haut ou participer aux séries?
 À la lumière de cette saison éprouvante passée loin de leurs partisans (l’équipe joue à Tampa Bay et peu de partisans de Toronto sont présents aux États-Unis, alors ils jouent pratiquement tout le temps avec les partisans de l’équipe adverse dans le stade), faut-il jeter l’éponge chez les Raptors et repêcher haut à la fin de la saison? La réponse est, selon nous, non. En effet, nous croyons que les Raptors de Toronto doivent essayer de participer aux séries, car c’est probablement une des dernières saisons productives de Kyle Lowry, qui est quand même rendu à 34 ans. Kyle Lowry voulant probablement terminer sa carrière à Toronto, il faut donc essayer d’exploiter son talent au maximum dans une saison gagnante où il pourra essayer de participer aux séries, au lieu d’essayer de l’échanger et aller chercher des pièces qui vont nous aider dans le futur. De plus, les Raptors de Nick Nurse sont connus pour surprendre en séries, ayant gagné un championnat à la première saison de Nurse et étant à un match de participer à la finale de conférence l’an passé. Il serait donc intéressant de voir si cette équipe est capable de surprendre pour une autre année de suite en séries.
 Par contre, il ne sera pas facile de participer et d’avoir du succès en séries. En effet, nous croyons qu’il manque une véritable première option à l’équipe si elle veut se rendre loin cette saison (un peu comme Kawhi Leonard en 2019), car, même si Siakam et VanVleet sont de très bons joueurs, nous les voyons plutôt comme des joueurs complémentaires, parfaits pour une vedette dans un big three. Bien sûr, les vedettes comme Kawhi ne traînent pas les rues, mais plusieurs bons joueurs sont sur le marché présentement dans la NBA et si les Raptors croient avoir une chance de participer aux séries, ils doivent sauter sur l’occasion. Nous pensons notamment à Bradley Beal, qui est mécontent de sa situation à Washington et qui est probablement le meilleur joueur offensif de la NBA présentement, roulant à 34,7 points par match. Même s’il n’excelle pas en défense, ce joueur serait parfait pour les Raptors (et pour n’importe quelle équipe de la NBA), car il pourrait s’assurer de la charge offensive avec brio, tandis que le reste des partants (qui sont tous très bon en défense) pourraient s’assurer de la charge dans leur zone. Bien sûr, Bradley Beal à Toronto relève plutôt de l’utopie que de la réalité, car les Wizards vont demander la lune en retour, mais si Bobby Webster et Masai Ujiri arrivent à réaliser un échange pour Beal, ils vont donner la chance à leur équipe de participer aux séries et probablement aller loin lors du bal printanier (qui est rendu un bal d’été à cause de la COVID).
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Les pires décisions de Rob Hennigan
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- 3 mars 2018 -
Cela va bientôt faire une saison que Rob Hennigan a été remercié et remplacé par le compétent GM des Milwaukee Bucks, John Hammond. Rob Hennigan est arrivé à Orlando en 2012 à 30 ans comme le plus jeune General Manager d’une franchise. Il a eu la lourde tâche de gérer le départ de Dwight Howard et reconstruire de zéro une franchise qui avait connu les finales NBA trois ans auparavant.
Si le Magic s’est plutôt bien sorti de l’échange de Superman en évitant notamment à Andrew Bynum d’atterrir à Orlando, Rob Hennigan va prendre plusieurs mauvaises décisions par la suite qui finiront par lui coûter son poste. Retour sur les pires décisions de Rob Hennigan, dans l’ordre chronologique.
8 juillet 2012 – Ryan Anderson est échangé contre Gustavo Ayon à la Nouvelle-Orléans dans le cadre d’un sign-and-trade.
Certes Anderson était en fin de contrat et ne souhaitait pas prolonger à O-Town, mais échanger une valeur sure contre Gustavo Ayon a fait sauter les fans au plafond. Ce n’était pas de bon augure pour la saga Dwight Howard qui allait se prolonger tout l’été. Anderson est donc parti contre quasiment rien, lui qui continuera d’enquiller les trois points en Louisiane avant de faire de même aujourd’hui à Houston.
26 juin 2014 – Dario Saric et un 1er tour de draft pour Elfrid Payton.
Les Sixers se sont bien moqués de Rob Hennigan et ont fait payer cher le Magic pour ce qui devait être son meneur du futur. Les Sixers sélectionnent Elfrid Payton avec leur 10ème choix alors qu’ils n’en ont absolument pas besoin, tout le contraire du Magic qui passe deux choix plus tard grâce au 1er tour de Denver, récupéré dans le blockbuster trade de Dwight Howard. Les Sixers ont calculé leur plan et connaissaient ceux du Magic. 
Résultat des courses, le Magic sélectionne Dario Saric qui doit rester deux ans en Europe et envoie le Croate à Philadelphie pour récupérer Payton. Ce ne sera pas tout parce que dans l’opération, les 76ers récupèrent également un futur 1er tour, celui là même qu’ils avaient envoyé à Orlando dans le fameux blockbuster trade de 2012. Autant dire que vu les résultats des Sixers à cette époque, ce premier tour coûtait cher.
Avec le recul c’est d’autant plus une mauvaise décision. Payton est une grande déception et Hammond a décidé de tourner la page en l’envoyant à Phoenix contre un second tour, tandis que Saric confirme tout le bien que l’on pensait de lui en 2014 et s’amuse en Pennsylvanie.
16 février 2016 – Tobias Harris échangé contre Brandon Jennings et Ersan Ilyasova.
Cet échange est facilement critiquable rien qu’en prenant en compte le niveau des joueurs échangés, le potentiel et la situation dans laquelle est le Magic. Si l’on met à part tout cela, on se rend compte que le Magic a échangé un joueur de 23 ans, à 12 millions annuels contre 2 joueurs qui ne seront plus présents dès l’été suivant.
Comme on pouvait s’y attendre, Jennings et Ilyasova changent d’air dès le mois de juillet arrivé. Le Magic se retrouve sans aucune contrepartie d’un jeune joueur qui a tourné jusqu’à 17 points de moyenne. L’avantage, c’est que la franchise a récupéré de l’espace dans sa masse salariale, mal utilisé par la suite.
12 mai 2016 – Le clash entre Coach Skiles et Hennigan.
La décision d’embaucher Skiles n’était pas mauvaise, mais c’est surtout comment tout cela s’est terminé. Skiles est parti du jour au lendemain, un peu comme avec les Bucks en 2013, un signe avant-coureur ? Il y aurait eu de vives tensions entre lui et Hennigan concernant notamment plusieurs joueurs dont un certain Elfrid Payton. Scott Skiles s’en va alors que la relation avec son GM ne pouvait plus durer. Fournier ne pourra qu’exprimer son désarroi sur twitter.
23 juin 2016 – Serge Ibaka arrive à Orlando contre Victor Oladipo, Domontas Sabonis et Ersan Ilyasova.
Cela fait quatre ans que le Magic n’a pas remis un orteil en Playoffs. Il n’y a même pas eu l’ombre d’un doute qui s’est immiscé sur une saison. De ce fait, Hennigan se doit de frapper fort, il va le faire et de quelle manière. Sortez les mouchoirs.
Le Magic possède le 11ème choix à la Draft de 2016 et sélectionne Domontas Sabonis qui sera immédiatement envoyé dans l’Oklahoma avec Victor Oladipo et Ersan Ilyasova pour Serge Ibaka. Le Congolais est un bel ajout qu’on aurait plutôt vu dans une équipe de contender, comme actuellement aux Raptors (on va y revenir). Cela est d’autant plus illogique que le Magic a drafté Aaron Gordon en quatrième position deux ans auparavant et joue au même poste.
Malgré ce lourd investissement, Ibaka est transféré en cours de saison contre Terrence Ross. Si on résume, le Magic a lâché Oladipo, Sabonis et Ilyasova pour au final récupérer Terrence Ross. Oladipo tire aujourd’hui une équipe des Pacers vers les Playoffs alors qu’on les imaginait jouer les lottery picks et que le Thunder a récupéré Paul George en envoyant Oladipo et Sabonis dans l’Indiana. A défaut de faire fructifier ses échanges, Hennigan fait fructifier ceux des autres.
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2 juillet 2016 – Bismack Biyombo signe à Orlando pour 70 millions sur 4 ans.
Hennigan était bouillant lors de cet été 2016. Après avoir tenté le pari Ibaka qui sera un cuisant échec, il met 17 millions annuel pendant quatre ans sur un autre Congolais, Bismack Biyombo. Le Magic se retrouve avec une raquette composée d’Ibaka, Gordon, Biyombo et Vucevic. C’est l’embouteillage total, une hiérarchie illisible et un jeune prometteur bloqué par deux nouvelles arrivées dont les attentes seront importantes au vu des investissements consentis. Biyombo a aujourd’hui un des pires contrats de la NBA.
5 avril 2017 – Le White Board Gate.
Rob Hennigan aura fait très fort avant de perdre son poste. Alors que l’Argentin Patricio Garino venait renforcer l’équipe après de très belles performances en D-League, son agent le prend en photo au moment de sa signature avec un tableau blanc en arrière-plan.
Cela aurait pu être anodin, sauf que sur ce tableau tous les plans de l’intersaison du Magic y sont inscrits : échanges et free agents ciblés. On apprend également qu’un échange entre Aaron Gordon et Dario Saric est même envisagé par les dirigeants. Si Rob Hennigan tentera de se justifier en disant que c’étaient de simples options, ce fut certainement la boulette de trop qui signifiera la fin de l’aventure entre le GM et le Magic le 15 avril 2017.
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Chris.
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tiabalacey · 4 years
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1-18
Un arbre flou. Mon ombre plonge dans de nombreuses années et remonte à la surface en prenant ma main. 
1 AN Monter les escaliers avant même de savoir marcher.
2 ANS  Sensations garanties sur les jeux à ressort des parcs. Frayeurs de papa. Épuisement du cheval. Endommager les installations. 
3 ANS Faire des ballades en brouette. Madagascar, toujours sur les épaules de papa. 
4 ANS Initiation cirque à l’école de cirque de Capbreton. Souvenir de mon corps qui rebondit sur le trampoline. Vouloir faire du cirque. Inscriptions surbookées. Maman dit “plus tard”. Voir le spectacle du Festival Européen de Saint-Paul les Dax, les lions, les clowns, les trapézistes, l’odeur du cirque. Franchir un volcan à Bali presque toute seule. Fierté de mes parents. 
5 ANS Des dessins de cirque, d’éléphants et de souris à l’école maternelle. Des copines qui trouvent ça trop beau. Maitresse aussi. Faire du vélo sans les petites roues. Apprendre à nager.
 6 ANS Le livre “l’imagerie du cirque” comme cadeau après mon opération des amygdales. Spectacle de fin d’année où les CM2 faisaient du cirque. Fan des jeux à l’élastique. Premier concert d’Henri Dès. Du surf avec papa.  
7 ANS Des roues, des ponts et des fleurs de piquets à la cours de récréation. Des lignes de souplesses arrières avec ma voisine Lorie dans le jardin derrière le magasin de maman. “Juliette va au cirque” s’ajoute à ma collection des Juliette. Année corde à sauter à l’école, la mienne comptait les tours. Deuxième concert d’Henri Dès. Des descentes en roller et des chutes à vélo avec papa. Toujours des bobos aux genoux. Des cabanes dans les arbres avec les cousins.
8 ANS Carnaval. Une parade de l’école Alex Galaprini. Les filles faisaient des vagues arrière en costume bleu à paillettes. Fascinée. Toujours des roues, des ponts, des fleurs et des souplesses arrière à l’école. Je sautais jusqu’au 4ème barreau. Des spectacles crées avec les cousins dans la cabane de chez mamie.. Maman m’avait offerte un set de jonglage. Troisième année de natation. Me créer une bulle, la tête dans l’eau. 
9 ANS Plongée-sous-marine en Tunisie. Entendre sa respiration sous l’eau.  Premier spectacle d’Arlette Gruss offert par mamie à Bordeaux. Colonie de cirque à Aire-sur-l’Adour. Fill de fer et de acrobatie. 
10 ANS Inscription à l’école de cirque Alex Galaprini. Machine de barbe à papa à Noel. Premier spectacle de mini-tramp. Deuxième spectacle. Boules et trapèze en justaucorps bleu turquoise. Maman et papa sont venus me voir. 
11 ANS Niveau des grands. Monocycle à Noel. Et tout pour faire du dessin et de la peinture. Exposé à l’école où j’avais présenté le cirque avec déjà beaucoup d’enthousiasme et de convictions. Ouverture du Festival Européen de Saint Paul les Dax. Je marchais en pont sur les bordures de piste. Des paillettes, des répétitions. Émerveillée. Numéro de cerceau aérien d’une fille qui s’appelait Camille de l’école de Cirque de Bordeaux. Deuxième spectacle d’Arlette Gruss pour mon anniversaire par mamie. 
12 ANS Le début de nombreux spectacles pour les maisons de retraites, les marchés de Noel, les CE, quasi tous les week-ends. Rondade Flip sur la piste au Festival Européen. S’entrainer pour avoir mes grands-écarts. 
13 ANS Aller au cirque pour être avec mes copines. Refus en flip et salto. Début des blocages. Maxime Steffan en Bart Simson, saxophone et boule. 
 14 ANS Entrée dans la troupe de Galaprini. Rebellions. Le début des cours “chelou”, “le cirque c’est pas du théâtre”. Spectacle le Repas du Cheptel à Capbreton. Les 25 ans de l’école. Deux soirs, deux spectacles. Succession de chute au fil. Honte, tristesse. Participer à la petite création des anciens élèves de l’école (Cirque Leroux et la Cie Bam). Les voir se changer en coulisse. 
15 ANS Premier solo d’acrobatie. U-turn de Lili Aaron. Beaucoup de stress et trou noir sur scène. Un des plus beaux retours de ma vie lorsque la maman de William Thomas m’a dit “tu m’as mis les larmes aux yeux”. Rencontres régionales de la FREC Aquitaine avec Mael Thierry. CIRCA!! This is the end du CNAC!!!!! Première immersion dans ce monde. Nouvelles formes de cirque (Johan Le Guillherm), nouvelles spécialités, ateliers au Pop Circus, jouer dans la salle Bernard Turin, pirouettes dans les gradins du plateau national. Des étoiles pleins la vue.  
16 ANS Participation à la nuit du Jeune Cirque Aquitain. Plateau national? Freedom ou les jumeaux Enriquez? Choix difficile. Grosse déception. Spectacle à la piscine d’Aygueblue. Mélanger cirque et natation synchronisée. Des agrées sur l’eau, se déplacer en paddle, première fois que je mettais des faux cils, sauter dans le bassin à la fin du numéro. Festival des Rencontres Enchantées l’été. Début des spectacles de rue pour se financer Auch. Circa en scènes ouvertes. Aital, Le grand C, Trottola, Circa Tsuica, Klaxon, Nous sommes pareils à ces crapauds qui.... Un si grand élan. Le début du Young Circus. Le début d’une grande histoire d’amour. 
17 ANS   Young Circus à fond. Trouver un lieu, faire des demandes, créer. Spectacles de rue l’été. Quelques festivals de proximités. Initiation cirque dans les campings. Déambulations de AOC dans les rues de Capbreton. Le clip de Sia. Feeling good de la Cie Bam. Incarnation. 
18 ANS Avenir, choix, post bac. Cirque ou Prépa CBPST? Année charnière. Beaucoup d’enjeu. Bac, permis, admission parcours sup. Muscu en plus, souplesse, pompes et abdos dans la chambre de l’internat tous les matins. Beaucoup de doutes, de peur, et de méfiance. Beaucoup d’inconnu et peu de valorisation. Permis. Concours à l’École de cirque de Bordeaux. Sélectionnée directement. Bac. Admission Prépa CBPST. Choix. Cirque. Fil de fer et acrobatie. Toujours Young Circus l’été. Toujours initiation cirque dans les campings. Septembre. Chamboulement à l’ECB. 
Un premier début....
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burlveneer-music · 6 years
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Iwona Glinka / Leszek Lorent / Adam Eljasinski - Daleth - music for flute, vibraphone, & clarinet
Iwona Glinka - flute, alto flute, bass flute, piccolo Leszek Lorent - vibraphone Adam Eljasinski - clarinet, bass clarinet
Award-winning recording artist, Iwona Glinka's new album GIMEL, consists of ten compositions, written by ten contemporary composers: Aaron Alter, Greg Bartholomew (USA), Louis Sauter (France), Christos Sp. Anastassiou, Spiros Mazis, Yiola Voutsina-Papagiannidi, Elena Papari, Dimitris Tsimpanos, Yiorgos Vassilandonakis and Gerassimos Voutsinas (Greece). In each case, they are world premieres, recorded by soloists specializing in the performance of contemporary music: Iwona Glinka (flute), Leszek Lorent (vibraphone) and Adam Eljasinski (clarinet). Six of the pieces were composed for flute and vibraphone, while the remaining ones are for solo flute, alto flute, bass flute and piccolo, and for flute and clarinet. The album was recorded in September 2017 in Warsaw, and is the culmination of work on compositions, often dedicated to the Polish flutist Iwona Glinka, who devoted the subject of contemporary flute music in her two doctoral dissertations. The DALETH album is another achievement of the outstanding Polish flutist. Dr. Glinka performs contemporary works on the flute , perfectly reflecting the atmosphere of today in society, in the intellectual as well as in the artistic sense. DALETH is the continuation of the ALEPH (Sarton), BETH (Sarton) and GIMEL (Phasma Music) albums and is a harbinger of the artist's subsequent albums following the order of the Phoenician alphabet.
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mycatisanalien · 8 years
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MY CAT IS AN ALIEN contribute to the first book entirely focused on THURSTON MOORE:
“Thurston Moore - We Sing A New Language” by NICK SOULSBY Omnibus Press (UK/ USA) OUT MARCH 13, 2017
From author Nick Soulsby: For “We Sing A New Language: The Oral Discography Of Thurston Moore”, I wanted to use the experiences and perspectives of the people who have played on the numerous records he’s featured on outside of Sonic Youth, to paint a picture of his development and his interests in music across the years. It’s notable how much of his energies, very early on, were on gaining this wider experience while – since the mid-Nineties – there’s a veritable explosion of effort devoted to other scenes which then feeds back into Sonic Youth in the form of the SYR records, releases with Mats Gustafsson, the presence of Borbetomagus on the Murray Street album, their choices of support acts when touring. There’s even a specific character to Moore’s efforts during Sonic Youth’s peak of commercial success in the early-to-mid-Nineties with Moore evangelising and paying tribute to the underground bands who he felt was important – so much of that era is spend on covers and tributes. It’s that kind of pattern that speaking to the people involved was able to tease out.
The book includes a comprehensive Contributors section in which each of the 170 people involved summarises their personal creative urges and expressions – the hope being that it gives the reader a sense of who they’re speaking to and a starting point for further exploration. Frankly, if you enjoy the work of Thurston Moore then there are a lot of people in here worth finding!
In first name alphabetical order:
Aaron Dilloway, Adam Golebiewski, Adam Kriney, Alan Bloor, Alan Licht, Alan Read (Krayon Recordings), Alex Ward, Amanda Kramer, Ambrose Bye (Fast Speaking Music), Andrew Clare, Andrew Kesin, Andrew MacGregor, Andrya Ambro, Andy Moor, Anne Waldman, Anne-James Chaton
Balazs Pandi, Benoit Bel (Mikrokosm Studios), Benoît Bourreau (Film Maker), Bill Nace, Brett Robinson, Brian Kinsman (Deathbomb Arc), Britt Brown, Bryn Harris, Byron Coley, Byron Westbrook
Campbell Kneale, Carlos Giffoni, Carlos van Hijfte (Tour Manager), Chris Corsano, Chris Gollon (artist), Chris Pottinger, Christian Marclay, Colin Langenus, Cory Rayborn (Three Lobed Recordings), Cris Deison, Cristiano Nunes (ZDB Venue)
Dagobert Sondervan, Daniel Sandor (Producer), Dave Keay, David Markey, David Newgarden (Manager to Yoko Ono), David S. Blanco (Blank Editions), Deb Goodge, DJ Spooky, Don Dietrich, Don Fleming. Dylan Nyoukis
Evan Parker, Frank Rosaly, Frans de Waard, Gene Moore, Giancarlo Schiaffini, Glenn Branca, Greg Vegas, Hal Rammel, Hanin Elias, Heath Moerland (Fag Tapes)
J.D. King, Jim Thirlwell, Jack Rabid, James Nares (Artist), James Sedward, James Toth, Jane Scarpantoni, Jean-Marc Montera, Jef Whitehead, Jeff Hartford (Bonescraper Recordings), Jeremy Miller, Jim Dunbar, Jim Sauter, Jim Sclavunos, Joe McPhee, Joe Tunis (Carbon Recordings), Johannes Buff (Mikrokosm), John Clement, John Corbett, John Howard, John Moloney, John Olson, John Russell, John Tye (Lo Recordings), John Wiese, Jon Forss (Lo Recordings), Josh Baer (White Columns), Justin Pizzoferrato (Sonelab)
Karl Hofstetter (Joyful Noise), Keith Wood, Kevin Crump (Wintage), Kim Rancourt, Kommissar Hjuler
Lasse Marhaug, Lea Cummings, Lee Ranaldo, Leslie Keffer, Lin Culbertson, Loren Connors, Lydia Lunch
Mani Mazinani, Manuel Mota, Marc Urselli, Marco Cazzella (My Dance The King), Marco Fusinato, Margarida Garcia, Martin Bisi (Producer), Massimo Pupillo, Mat Rademan (Breathmint), Mats Gustafsson, Matthew Saint-Germain (Freedom From), Maurizio Opalio (My Cat is an Alien), Michael Chapman, Michael Gira, Mike Gangloff, Mykel Board
Nathaniel Howdeshell (Fast Weapons), Neill Jameson, Nels Cline, Nolan Green, Pascal Hector, Patrick Best, Paul Flaherty, Paul Smith (Blast First), Pete Nolan, Phil Blankenship (Troniks), Phil X. Milstein
Rafael Toral, Rat Bastard, Rhys Chatham, Richard Hell, Richard Kern (Film Maker), Rob Hayler, Robert Meijer (En/Of), Robert Poss, Roberto Opalio (My Cat is an Alien), Ron Lessard (RRRecords)
Samara Lubelski, Sanford Parker, Sarah Register, Sérgio Hydalgo (ZDB), Shayna Dulberger, Sonny Vincent, Stavros Giannopoulos, Steve Lowenthal (Vin Du Select Qualitite), Stuart Braithwaite, Susan Stenger
T. Mortigan (Destructive Industries), Terri Kapsalis, The New Blockaders, Thurston Moore, Tim Foljahn, Tom Moore, Tom Smith, Tom Surgal, Toshi Makihara, Trumans Water
Venec Miller, Vice Cooler, Virginia Genta, Wally Shoup, Walter Prati, Warren Defever, Wharton Tiers, William Hooker, William Winant, Yoko Ono
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NICK SOULSBY: https://nirvana-legacy.com/
OMNIBUS PRESS: http://www.omnibuspress.com/Product.aspx?ProductId=1127389
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kickinthetires · 6 years
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Bearden Breakdown: Lucas Oil 150
Bearden Breakdown: Lucas Oil 150
By Aaron Bearden, Motorsports Editor
Post-race review and analysis from the NASCAR Camping World Truck Series race at ISM Raceway. 
Who Won? 
Brett Moffitt. He claimed his fifth victory of the year in classic Moffitt fashion, with a late charge to the front.
Who Claimed the Stages?
Moffitt and Harrison Burton.
Top Stories Back at it again
Brett Moffitt’s earned a reputation for late-race surges…
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shalomelohim · 3 years
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Notre adoration devant le cœur d’Elohim
Si notre louange est conforme à celle des cieux, elle doit être centrée sur un seul être : celui qui est assis sur le trône et Yahshua, l’Agneau qui se tient devant lui.
“ Et toutes les créatures qui sont dans le ciel, sur la terre, sous la terre, sur la mer, et tout ce qui s’y trouve, je les entendis qui disaient : A celui qui est assis sur le trône, et à l’Agneau, soient la louange, l’honneur, la gloire, et la force, aux siècles des siècles ! “ (Apocalypse 5:13)
N’est-il pas étonnant qu’un Elohim Tout-Puissant, qui a à sa disposition toutes les richesses de l‘univers entier cherche des adorateurs. 
Quel est le mobile d'Elohim ? A-t-il un manque à combler dans son être ? Non bien sûr. A-t-il besoin de l’approbation des hommes, des anges, de la création ? Non bien sûr. Son cœur de Père languit de se révéler dans toute sa gloire, à ceux qu’il a crée. C’est la plus grande bénédiction qu’il désire nous accorder.
La révélation d’Elohim vient d’abord et avant tout à travers sa parole : La Bible. 
“ Si quelqu’un m’aime, dit Yahshua, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera et nous viendrons à lui et nous ferons notre demeure chez lui. “ (Jean 14:23)
Au travers de la parole d’Elohim, lorsqu’on la reçoit et que l’on y obéit, Elohim le Père et Elohim le Fils viennent demeurer en nous. Plus nous connaissons la parole d’Elohim, et Elohim par sa parole, plus nous désirons l’adorer. Nous pouvons mesurer la place que la parole d’Elohim devrait prendre dans nos vies, par l’intensité du désir que nous avons de l’adorer. Rappelons le chant des cantiques, des chœurs sont des supports qui devraient nous emmener dans l’adoration.
Pendant l’adoration les séraphins ne se préoccupent pas d’eux même, mais de celui qui est sur le trône et l’Agneau.
“ Des séraphins se tenaient au–dessus de lui ; ils avaient chacun six ailes ; deux dont ils se couvraient la face, deux dont ils se couvraient les pieds, et deux dont ils se servaient pour voler. Ils criaient l’un à l’autre, et disaient : Saint, saint, saint est l’Eternel des armées ! Toute la terre est pleine de sa gloire ! “ (Esaie 6:2 et 3)
Il doit en être de même pour nous. L’adoration est une communion intime et directe avec celui que nous pouvons appeler : Notre Père ou Abba Père, comme le dit la Bible. Cela peut s’exprimer par un chant nouveau ou un cantique nouveau c'est-à-dire un chant dans l’esprit.
C’est l’activité la plus élevée dont l’esprit humain soit capable. Elle dépasse notre esprit. Elle englobe notre âme et notre corps. 
Lorsque le serviteur d’Abraham, cherchant une épouse pour Isaac, réalisa que Dieu l’avait conduit vers la famille d’Abraham, cet homme inclina la tête et se prosterna devant Elohim en adoration. 
“ Alors l’homme s’inclina et adora l’Eternel, en disant : Béni soit l’Eternel, le Dieu de mon seigneur Abraham, qui n’a pas renoncé à sa miséricorde et à sa fidélité envers mon seigneur ! Moi-même, l’Eternel m’a conduit à la maison des frères de mon seigneur. “ (Genèse 24:26)
Nous retrouvons la même attitude avec Moïse et Aaron, lorsqu’ils se présentèrent devant les anciens d’Israël, en Egypte, et annoncèrent que le Seigneur avait promis de les délivrer de leur esclavage, leur réponse furent la même : ils s’inclinèrent et adorèrent Elohim.
“ Et le peuple crut. Ils apprirent que l’Eternel avait visité les enfants d’Israël, qu’il avait vu leur souffrance ; et ils s’inclinèrent et se prosternèrent. “ (Exode 4:31)
Nos mains ont aussi un rôle très important dans notre adoration.
“ Je te bénirai donc toute ma vie. J’élèverai mes mains en ton nom. “ (Psaume 63:5)
Voici une autre attitude similaire d’adoration.
“ Que ma prière monte devant ta face comme l’encens et l’élévation de mes mains comme l’offrande du soir. “ (Psaume 141:2)
L’âme est associée aux mains. Elever les mains est un acte par lequel nous reconnaissons la majesté d’Elohim. Etendre nos mains indique notre désir de recevoir Elohim.
“ J’étends mes mains vers toi. Mon âme a soif de toi comme une terre desséchée. “ (Psaume 143:6)
Maintenant regardons un exemple qui n’implique plus une personne seulement, mais les peuples de la terre :
“ Peuples battez des mains, acclamez Elohim par des cris de triomphe, car l’Eternel le Très-Haut est redoutable, il est un grand roi sur toute la terre. “ (Psaume 47:2-3)
Battre des mains c’est reconnaître la majesté d’Elohim. Par le cri de triomphe nous proclamons sa victoire totale. Car le cri se manifeste par la pleine capacité des poumons.
L’apôtre Paul associe les genoux à l’adoration.
“ Je fléchis les genoux devant le Père de notre Seigneur Yahshua. “ (Éphésiens 3:14)
“ Elohim a souverainement élevé Yahshua, et lui a donné le nom qui est au dessus de tout nom. Afin que tous genoux fléchissent dans les cieux, sur la terre et sous la terre et que toute langue confesse (proclame) que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire d’Elohim le Père. “ (Philippiens 2:9-10)
Le Roi David
Lorsque David ramena l’arche à Jérusalem, il dansa devant Elohim « avec toute sa force », cela signifie qu’il dansait avec son corps d’une manière énergique et imodérée. Là, nous voyons l’épouse de David, Mical qui réagit négativement devant la manière dont David adorait, « elle le dédaigna » ou le méprisa, elle devint stérile.
“ David dansait de toute sa force devant l’Eternel, et il était ceint d’un éphod de lin. David et toute la maison d’Israël firent monter l’arche de l’Eternel avec des cris de joie et au son des trompettes. Comme l’arche de l’Eternel entrait dans la cité de David, Mical, fille de Saül, regardait par la fenêtre, et, voyant le roi David sauter et danser devant l’Eternel, elle le méprisa dans son cœur. “ (2 Samuel 6:14-16)
Nous constatons ainsi, qu’avoir une attitude négative, critique, méprisante envers ceux qui adorent de tout leur être, entraîne dans une stérilité spirituelle.
La prise de Jéricho
Lorsque Yahshua apparut à Josué, en qualité de chef de l’armée de l’Eternel, Josué tomba face contre terre et de plus Yahshua lui demanda d’ôter ses chaussures. C’est dans cette attitude d’adoration que Josué reçu de Yahshua, les instructions pour la prise de Jéricho.
“ Comme Josué était près de Jéricho, il leva les yeux, et regarda. Voici, un homme se tenait debout devant lui, son épée nue dans la main. Il alla vers lui, et lui dit : Es tu des nôtres ou de nos ennemis ? Il répondit : Non, mais je suis le chef de l’armée de l’Eternel, j’arrive maintenant. Josué tomba le visage contre terre, adora, et dit : Qu’est ce que mon seigneur dit à son serviteur ? Et le chef de l’armée de l’Eternel dit à Josué : Ote tes souliers de tes pieds, car le lieu sur lequel tu te tiens est saint. Et Josué fit ainsi. “ (Josué 5:13-16)
L’adoration ouvre les cieux          
“ Et lorsque ceux qui sonnaient des trompettes et les chantres, unis dans un même son pour louer et célébrer le seigneur, firent retentir les trompettes, les cymbales et les autres instruments et louèrent le seigneur.   Car il est bon, car sa fidélité demeure à jamais, à ce moment, la maison du Seigneur fut remplie d’une nuée ou de fumée. Les prêtres ne pouvaient plus se tenir dans le temple pour officier, car la gloire de Dieu remplissait toute la maison de Dieu. “ (2 chroniques 5:13-14)
Le roi David qui avait bien compris l’importance de l’adoration, établit à Jérusalem, vingt quatre équipes de musiciens, de chantres, c'est-à-dire d’adorateurs. Les équipes se relayaient toutes les heures. De cette manière, l’adoration montait vers Elohim 24 heures sur 24.
L’adoration nous donne la crainte de Dieu (pas la peur)
 Esaïe a vécut cela lors de sa vision.
“ Malheur à moi je suis perdu, car je suis un homme dont les lèvres sont impures, j’habite au milieu d’un peuple dont les lèvres sont impures, et mes yeux ont vu le roi, l’Eternel des armées. Mais l’un des séraphins vola vers moi, tenant à la main une pierre ardente, qu’il avait prise sur l’autel avec des pincettes. Il m’en toucha la bouche et dit : ceci a touché tes lèvres, ton iniquité est enlevée et ton péché est expié. “ (Esaie 6:5 à 7)
Nous découvrons là ce qu’est la grâce d’Elohim, c’est Lui qui nous donne la capacité de nous tenir devant lui.
“ J’entendis la voix du Seigneur, disant : Qui enverrai-je ? Et qui marchera pour nous ? Je répondis : me voici envoie moi. “ (Esaie 6:8)
A nouveau, ce passage de la parole d’Elohim, nous parle du feu. Mais cette fois ci nous découvrons l’œuvre purificatrice du feu. Ce feu qui provient de l’autel d'Elohim représente l’action du Ruah Ha Kodesh dans nos vies. Il dispose et met en état nos cœurs pour que notre adoration soit agrée par Elohim. C’est lui également, par la puissance de son feu, qui fait monter notre adoration jusqu’au trône d’Elohim.
Pourquoi purifier nos lèvres ?
“ Ce n’est pas ce qui rentre dans la bouche qui souille l’homme, mais ce qui sort de la bouche, c’est ce qui souille l’homme. Mais ce qui sort de la bouche vient du cœur, et c’est ce qui souille l’homme. “ (Matthieu 15:11 et 18)
1. C'est-à-dire les paroles négatives, paroles de malédictions, mensonges, tout ceci souille nos lèvres.
D’où la nécessité de purification afin d’offrir une adoration agréable et acceptée par Elohim.
2. Tout ce que nous recevons dans notre marche de chaque jour dans le monde, nous pollue et doit être purifié par l’eau de la parole et le feu du Ruah Ha Kodesh.
Enfin dans le verset de la vision d’Esaïe : il est question de service et d’envoi. Mais cette notion apparaît après l’adoration et viens confirmer ce que nous avons dit précédemment.
Dieu cherche des adorateurs pour le servir. Adorer nous donne la capacité de le servir et de recevoir tout ce dont nous avons besoin pour le servir. 
Enfin remarquons la double action du Saint-Esprit dans nos vies : 
Action purificatrice, sanctifiante,
Action d’embrasement. 
Cette deuxième action nous donne la capacité d’offrir une adoration, à l’image des séraphins, puissante qui s’élève jusqu’au trône d’Elohim, comme un doux parfum, comme un sacrifice vivant.
En résumé disons ceci :
L'adoration doit se faire de façon intelligente et avec conviction et du plus profond du cœur. Ce n'est pas juste une question de dire des paroles à propos de l’adoration; nous devons vivre ce que nous exprimons. Une adoration faite sans conviction, n'est pas du tout de l’adoration. C'est inutile et cela est même une insulte à Dieu.
Quand nous adorons, Elohim outrepasse nos mots pour regarder à l'attitude de notre cœur. 
La Bible dit : 
“ L'homme regarde à l'apparence, mais Elohim regarde au cœur. " (1 Samuel 16:7)
Puisque l'adoration consiste à se réjouir et trouver du plaisir en Elohim, l’adoration engage nos émotions. 
Elohim nous a donné des émotions afin que nous puissions l'adorer profondément - mais nos émotions doivent être réelles et non pas forcées. Elohim hait l'hypocrisie. Il ne veut ni spectacle, ni prétention, ni semblant dans l'adoration. Il attend notre honnête et réel amour. Nous pouvons adorer Elohim de façon imparfaite, mais nous ne devons pas l'adorer sans sincérité.
Bien sûr, la sincérité à elle seule ne suffit pas. On peut être sincère et dans l'erreur. C'est pour cela que l'Esprit et la vérité sont requis. L'adoration doit être à la fois authentique et précise. L'adoration qui plaît à Elohim est à la fois profondément dans l’Esprit et profondément ancrée dans la parole.
Nous voulons rappeler que l'adoration va au delà la musique. En fait, l'adoration précède la musique. Adam a adoré dans le jardin d'Eden mais il n'est pas question de musique jusqu'à  la naissance de Jubal dans Genèse 4.21.
Si l'adoration était juste de la musique alors tous les non-initiés ne pourraient pas adorer. La véritable adoration se manifeste quand notre esprit répond à celui de Dieu, et non pas à une quelconque tonalité musicale. Toutefois la musique et les instruments peuvent être des supports.
Malheureusement certains confondent être ému par la musique avec être touché par le Saint-Esprit, mais ce n'est pas la même chose. En fait certains chants sentimentaux ou qui reflètent notre états d’âmes sont introspectifs. Ils tuent l'adoration parce qu'ils détournent l'attention de Dieu pour nous faire nous focaliser sur nos sentiments. La plus grande distraction dans l'adoration vient de nous mêmes, de nos intérêts…
Plusieurs formes d’adoration sont mentionnées dans la Bible : 
la proclamation,
le chant,
les cris,
se tenir debout en signe de révérence,
se prosterner,
danser,
pousser des cris de joie,
témoigner,
jouer des instruments,
lever les mains 
Quelle est la meilleure façon de louer ?   C'est celle qui la plus authentiquement possible exprime notre amour pour Elohim, en accord avec le style et la personnalité qu’Elohim a choisi pour nous.
Source : Fils d’Abraham du site parolevivante.net ====== Un rêve comme une prophétie : A quand une assemblée où tous les membres se mettent à genoux, se prosternent en même temps, non pas parce qu’on leur demande, mais parce que la présence du Ruah Ha Kodesh commande à leur être tout entier de le faire ?
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scienceblogtumbler · 4 years
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Showtime for Photosynthesis
Using a unique combination of nanoscale imaging and chemical analysis, an international team of researchers has revealed a key step in the molecular mechanism behind the water splitting reaction of photosynthesis, a finding that could help inform the design of renewable energy technology.
“Life depends on the oxygen that plants and algae split from water; how they do it is still a mystery, but scientists, including our team, are slowly peeling away the layers to get to the answer,” said Vittal K. Yachandra, co-lead author of a new study published in PNAS and a chemist senior scientist at the Department of Energy’s (DOE) Lawrence Berkeley Laboratory (Berkeley Lab). “If we can understand this step of natural photosynthesis, it would enable us to use those design principles for building artificial photosynthetic systems that produce clean and renewable energy from sunlight and water.”
With an instrument that the team designed and fabricated, they analyzed photosynthetic proteins using both X-ray crystallography and X-ray emission spectroscopy. This dual approach, which the team pioneered and have been refining for the past 10 years, generates chemical and protein structure information from the same sample at the same time. The imaging was performed with the X-ray free-electron laser (XFEL) at the LCLS at SLAC National Laboratory, and at SACLA in Japan.
“With this technique, we get the overall picture of how the entire protein structure dynamically changes and we see the chemical intricacies occurring at the reaction site,” said co-lead author Junko Yano, a chemist senior scientist in Berkeley Lab’s Molecular Biophysics and Integrated Bioimaging (MBIB) Division. “The X-ray free electron laser produces extremely bright, short bursts of X-rays that allow us to not only analyze a protein at room temperature, which is how these reactions occur in nature, but also capture various moments over the reaction time scale.”
Structural changes of Photosystem II and its catalytic center (Mn4Ca cluster) during the water oxidation reaction. The movie shows the S2 to S3 transition step, where the first water (as shown in Ox) comes into the catalytic center after the photochemical reaction at the reaction center. (Credit: Jan Kern and Isabel Bogacz/Berkeley Lab)
Traditional crystallography methods often require the sample proteins to be frozen; consequently, they can only generate snapshots of static proteins. This limitation makes it difficult for scientists to get a handle on how proteins actually behave in living organisms, because the molecules morph between different physical states during chemical reactions.
“The water-splitting reaction in photosynthesis is a cyclical process that needs four photons and cycles between four stable ‘states,’” said Yano. “Previously, we could only take pictures of these four states. But by taking multiple snapshots in time, we now can visualize how one state goes to the other.”
“We saw, really nicely, how the structure changes step-by-step as it transforms from one state to the next state,” said Jan F. Kern, MBIB chemist and co-author. “It is pretty exciting, because we can see the ‘cause and effect’ and the role that each moving atom plays in this transition.”
Nicholas K. Sauter, co-author and MBIB computational senior scientist, added: “Essentially, we’re trying to take a ‘movie’ of a chemical reaction. We made a lot of progress to get to this point, in terms of our technology and our computational analyses. The work of our co-author Paul Adams and others in MBIB was critical to interpreting the XFEL and X-ray data. But we still have to get the other frames to see how the reaction is completed and the enzyme is ready for the next cycle.”
The Berkeley Lab researchers hope to continue the project once the many research sites that the entire international team relies upon – located in the U.S., Japan, Switzerland, and South Korea – are operating normally following the COVID-19 pandemic.
Kern concluded by noting that the technological milestone presented in this paper benefited greatly from the diverse expertise of the authors from SLAC, Uppsala and Umeå Universities in Sweden, Humboldt University in Germany, and from the capabilities of five DOE Office of Science user facilities: the Stanford Synchrotron Radiation Lightsource and LCLS at Stanford University, and the Advanced Light Source, Energy Sciences Network, and National Energy Research Scientific Computing Center at Berkeley Lab.
Other Berkeley Lab scientists who contributed to this work include: Ruchira Chatterjee, Louise Lassalle, Kyle D. Sutherlin, Iris D. Young, Sheraz Gul, In-Sik Kim, Philipp S. Simon, Isabel Bogacz, Cindy C. Pham, Nicholas Saichek, Trent Northen, Asmit Bhowmick, Robert Bolotovsky, Derek Mendez, Nigel W. Moriarty, James M. Holton, Aaron S. Brewster, and David Skinner.
This research was supported primarily by the DOE Office of Science and grants from the National Institutes of Health.
source https://scienceblog.com/516775/showtime-for-photosynthesis/
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psychosylumcom · 6 years
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Before Someone Gets Hurt (2018)
Synopsis:
Tim and his team are the rising stars of the ghost hunting game. One thing they all like better than a good haunt is a great prank. When the team arrives at a new investigation, they cannot figure if the occurrences are part of some elaborate master prank or if the house is actually haunted. Unfortunately, they don’t find the answer until it is far too late.
Cast & Crew:
Michael Welch – Tim Alexandra Turshen – Stacy Aaron Sauter – Billy Patrick Woodall – Stefan Will Rogers – Gary Katie Henney – Lisa Jimmy Mason – Jamie Julia Morrison – Alison
Director: Shane Barbanel Writer: Shane Barbanel, Brian Herskowitz
Movie Rating: 3 out of 5
Mini Review:
This movie was, for the most part, entertaining and your typical movie about twenty-something filming a TV show in a haunted location. Nothing too original or anything but worth the watch. I’m a sucked for movies like this and found-footage genre of films. Never get tired of them. So if you have Amazon Prime give this one a try. I will say though the first time I watched it I did fall asleep near the end and had to go back and re-watch it.
Before Someone Gets Hurt Stills:
Before Someone Gets Hurt (2018) | It Was All Fun and Games Before Someone Gets Hurt (2018) Synopsis: Tim and his team are the rising stars of the ghost hunting game.
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