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Emile Parisien Quartet & l'ONCT "Chocolat Citron" | Jazz in Marciac 2024
Emile Parisien (ss), Julien Touery (p), Ivan Gelugne (b), Julien Loutelier (dr), Orchestre National du Capitole de Toulouse sous la direction de David Greilsammer
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"Les Égarés", l'union céleste de Sissoko, Segal, Parisien et Peirani
Décollage immédiat vers l'horizon du divin quartet franco-malien avec le titre "Banja" extrait de leur premier album attendu le 31 mars.
Si l’on connait bien les binômes Ballaké Sissoko (kora) et Vincent Segal (violoncelle) d’un côté, Vincent Peirani (accordéon) et Émile Parisien (saxophone) de l’autre, l’histoire du quartet commence en 2021 au festival des Nuits de Fourvière à Lyon où le violoncelliste et compositeur réunit pour la première fois ses complices à fortes personnalités pour un concert unique. D'une évidence flagrante, la rencontre ne pouvait que se poursuivre. Et c'est le label Nø Førmat! qui grave leur enivrante voltige acoustique au dessus des continents. On écoute leur version de Banja, « une mélodie traditionnelle mandingue, que l'on joue jusqu'à l'aube », précise Ballake Sissoko.
Lorsque ces "égarés" se rejoignent c’est pour s’imprégner les uns des autres et semer quelques graines magiques faisant surgir un tronc commun entre musiques traditionnelles, jazz, musique contemporaine ou d'avant-garde. Ici, pas d'ego superflu, pas de compromis non plus, mais un idéal de concorde. Ensemble, ils remontent à l’essence de la mélodie, la contourne, la déplace tout en regardant vers l’infini. Le violoncelliste souhaitait enregistrer à Bamako dans l'antre de son ami Ballaké mais c'est à Gap qu'ils ont expérimenté leur création.
«Je n’ai jamais enregistré un disque dans une telle atmosphère, souligne Vincent Peirani. Aucun de nous n’a été dans la “perf”, si bien que la musique raconte beaucoup de choses sans jamais se la raconter. Aucun d’entre nous ne détenait la vérité : nous la trouvions ensemble. »
Dans une écoute confiante et apaisante, on aime ce vagabondage éclairé, la douceur qui s'en dégage, les improvisations fulgurantes et la très belle pochette de Benjamin Flao. « On marche sans savoir où l’on va, en se laissant aller au plaisir d’être paumé » dixit Vincent Segal.
#Les Égarés#Ballaké Sissoko#Vincent Segal#Vincent Peirani#Émile Parisien#jazz#musique du monde#affairesasuivre#affas#affaires a suivre#2023#no format#fip#Youtube
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Ballaké Sissoko, Vincent Segal, Emile Parisien & Vincent Peirani - Esperanza
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Top 14 - Stade Français : Attention à la pénurie de droitiers
Le Parisien Paul Alo-Émile sera absent 3 à 4 semaines – Icon Sport La défaite concédée à Chaban-Delmas face à l’Union Bordeaux-Bègles a laissé des traces tant moral que physique au Stade Français. Paul Alo-Émile est sur le flanc pour au moins trois semaines. Sèchement battu en Gironde (46-26), le Stade Français doit également déplorer quelques pertes chez ses avants. À commencer par le…
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Affaire Émile : une femme sera jugée en juillet pour diffamation envers le grand-père du petit garçon - Le Parisien
Se faisant passer pour une secrétaire de la mairie de La Bouilladisse (Bouches-du-Rhône), commune dans laquelle vivent les grands-parents d’Émile, elle affirmait que Philippe V. était, entre autres, responsable de la disparition de l’enfant. — À lire sur…
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Une impressionniste oubliée sort de l’ombre au musée de Pont-Aven : Anna Boch
Arts et Expositions
Par Guy Boyer le 06.02.2024
Montée avec le musée d’Ostende, l’exposition consacrée à la femme peintre et collectionneuse Anna Boch (1848-1936) permet de découvrir cette figure méconnue de la période impressionniste et postimpressionniste venue en Bretagne en 1901 et 1912.
Premier événement à bénéficier de la générosité du musée d’Orsay en parallèle à l’exposition « Paris 1874. Inventer l’impressionnisme » (du 26 mars au 14 juillet), l’exposition « Anna Boch. Un voyage impressionniste » au musée de Pont-Aven, jusqu’au 26 mai, met au cœur de son parcours le Portrait d’Eugène Boch de Vincent Van Gogh (1853-1890) prêté par le musée parisien. Cette œuvre importante souligne les liens de cette famille belge avec l’avant-garde des années 1890 et leur goût de la collection.
Collectionneurs de Van Gogh, Gauguin, Marquet
L’exposition commence par la carrière de peintre d’Anna Boch, de ses débuts en Belgique jusqu’à ses voyages en Bretagne et dans le Sud de la France. Malgré certaines œuvres assez faibles, le corpus de cette artiste méconnue surprend par certains éclairs de génie et plusieurs emprunts à ses contemporains comme Segantini ou Valtat. Vient ensuite une section dédiée à ses différentes demeures et ses commandes à des artistes Art Nouveau comme Victor Horta (une réussite) et Maurice Denis (un échec). L’un des chapitres les plus passionnants reste celui consacré à ses collections artistiques puisqu’Anna Boch et son frère Eugène possédaient des Ensor, Gauguin, Van Gogh, Émile Bernard, Paul Signac, Henry Moret et Albert Marquet.
Une fortune de faïence
En Belgique, le père d’Anna Boch est célèbre car il est le fondateur de la société de faïencerie Boch frères (antenne belge de Villeroy & Boch). La famille vit confortablement dans le château de La Closière, près de La Louvière. Dès les années 1870, Anna Boch décore des plaques, plats et assiettes en camaïeu de bleus. Dans ces premières créations de céramique, on peut retrouver des traces de sa formation auprès d’Isidore Verheyden, un peintre de plein air (ne pas manquer son incroyable portrait par Anna Boch, où on le voit penché sur un tableau posé en biais).
Avec le groupe des XX
Dès 1885, Anna Boch rejoint le salon des XX, un cercle artistique fondé par son cousin Octave Maus, où exposent James Ensor et Jan Toorop mais aussi une quantité d’invités étrangers. C’est là qu’elle voit les dernières nouveautés artistiques, du divisionnisme de Segantini au pointillisme de Seurat. On reconnaît dans le travail d’Anna Boch une solidité de la composition (ici le reflet du bouquet de fleurs dans un miroir) et une harmonie des couleurs.
Une famille voyageuse
Aimant se déplacer facilement, Anna Boch achète une Minerva en 1907. On la voit ici, à bord de l’automobile, parmi les paysages du Midi de la France. Deux tableaux superposés permettent de comparer son style et celui de son frère. Devant un même paysage méditerranéen surmonté d’une tour sarrasine, on voit leurs approches différentes. Lui (en haut) schématise la composition, elle (en bas) joue des effets de matières et de couleurs. Même le chauffeur, Albert Lepreux, est de la partie et plante son chevalet avec eux dans la nature, de la Normandie au Maroc.
La Bretagne en deux temps
En 1901 et en 1912, la troupe sillonne la Bretagne. De Bénodet à Carhaix, Anna Boch en ramène des paysages maritimes. Aux plages des bords de l’Odet du premier séjour succèdent les falaises et rochers de la Bretagne du nord. Les grands formats panoramiques sont ensuite remplacés par des toiles au cadrage resserré.
Des commandes aux artistes
C’est l’architecte belge Art Nouveau Victor Horta qui restaure en 1895 la villa d’Anna Boch dans le quartier de Saint-Gilles à Bruxelles. Huit ans plus tard, la commanditaire déménage dans une maison construite par Paul Hermanus à Ixelles, où elle fait transporter le décor de Horta, cheminée comprise. Elle imagine également un grand décor qu’elle confie à Maurice Denis mais devant toutes les allégories antiques que celui-ci propose, elle préfère renoncer.
En pleine nature
L’exposition se conclue par une section plus faible consacrée aux liens d’Anna Boch avec le groupe de peintres luministes Vie et lumière. Les scènes bucoliques de ramasseurs de glands ou de ramendeuses de filets, qu’elle réalise alors, perdent en nervosité et en contrastes colorés. Pourtant, c’est l’époque d’une certaine reconnaissance publique en France puisqu’elle expose à la galerie Druet en 1908. Dans les années 1930, elle organise le devenir de ses collections, donnant plusieurs œuvres aux musées royaux des Beaux-Arts de Belgique ou au musée d’Ixelles.
https://www.connaissancedesarts.com/arts-expositions/impressionnisme/une-impressionniste-oubliee-sort-de-lombre-au-musee-de-pont-aven-11189177/
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Deyrolle de père en fils, entre science et commerce, une vitrine parisienne de l’Histoire naturelle au XIXe siècle - Publications scientifiques du Muséum national d'Histoire naturelle, Paris
See on Scoop.it - Insect Archive
Deyrolle est le nom d’une grande famille de naturalistes du XIXe siècle qui nous est familier, mais n’a jamais fait l’objet d’une étude sur ses activités et ses apports aux sciences de la nature. Et pourtant, sur trois générations, les membres de cette famille nous donnent une large vision du milieu des naturalistes au XIXe siècle. En premier lieu nous parlerons de Jean-Baptiste Deyrolle et de trois de ses fils : Achille, Narcisse et Henri, puis des trois enfants d’Achille : Hortense, Émile et Théophile. Il est parfois difficile de distinguer les activités de chacun tant ils sont complémentaires. Tour à tour explorateurs, marchands naturalistes, collectionneurs, savants, éditeurs, illustrateurs, vulgarisateurs, ils ont été des acteurs influents du milieu naturaliste à Paris au XIXe siècle. Quatre d’entre eux sont partis explorer des régions lointaines (Brésil méridional, Gabon, Caucase et Anatolie orientale) encore très mal connues des européens, dans le but d’inventorier le monde vivant et d’en rapporter des spécimens de la faune et de la flore. Ils ont été actifs dans diverses sociétés savantes naturalistes et ont contribué aux tentatives d’acclimatation en France de nouvelles espèces végétales et animales. Par leurs activités de taxidermie et de préparation d’animaux exotiques, ils ont fait découvrir la faune du monde entier au grand public des musées européens. Ils ont été des entomologistes reconnus, certains ont chassé, d’autres ont collectionné, vendu, échangé, expertisé, étudié, illustré, colorisé des milliers d’Insectes. Ils ont joué un rôle majeur dans la constitution de collections entomologiques patrimoniales et ont laissé une empreinte forte dans la taxonomie entomologique. Ils se sont aussi intéressés à l’entomologie appliquée et se sont impliqués dans de grandes causes nationales comme la lutte contre la destruction des cultures par le Doryphore et l’introduction de nouvelles espèces de vers à soie pour sauver la sériciculture. Ils ont dominé le marché parisien pour tout ce qui concernait l’Histoire naturelle, ils ont œuvré pour fournir les établissements scientifiques en spécimens divers et rares, élaborer des outils et des produits afin de répondre aux besoins des collectionneurs amateurs et professionnels. Ils se sont même investis dans la mode de leur temps en confectionnant des parures en plumes pour chapeaux et des bijoux en Insectes. Ils ont été lauréats de grandes manifestations internationales, notamment des Expositions universelles qui ont marqué leur siècle. En éditant des revues et des ouvrages de vulgarisation, en créant des tableaux pédagogiques pour les établissements scolaires, ils ont initié des générations d’écoliers à la connaissance de la nature. Au service de la science et de l’enseignement de la nature, ils ont occupé une place centrale dans l’édition naturaliste et la diffusion des connaissances.
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La Pagode
Ce cinéma de la rue de Babylone, subissant actuellement une campagne de travaux visant à sa restauration et sa restructuration, fut longtemps le seul cinéma du VIIème arrondissement.
À l'origine une salle de réception, la Pagode fut construite en 1896 par l'architecte Alexandre Marcel, chantre du japonisme faisant florès à la Belle Epoque, pour François-Émile Morin, le directeur du Bon Marché, non éloigné. Celui-ci souhaitait en effet offrir à son épouse une grande salle proche de leur hôtel particulier, afin d'y organiser des évènements privés, comme ces fêtes costumées "japonaises", ayant fait participé tout le quartier en son temps. Après la fermeture de la salle en 1927, l'ambassade de Chine toute proche songe à racheter cette pagode, mais se ravise après la visite de l'ambassadeur, découvrant dans la décoration intérieure des panneaux muraux représentant des scènes de guerre, dont certains montrant des Chinois soumis par des Japonais... Devenant salle de cinéma en 1931, la Pagode propose des films en version originale, chose très rare à l'époque. Après une fermeture sous l'occupation, le cinéma diffuse dès 1944 exclusivement des films américains (en V.O., bien entendu !) En 1956, il devient l'un des premiers cinémas parisiens classé "Art et Essai". Yvonne Décaris, alors directrice-gérante, adopte une programmation plus axée cinéma d'auteur, attirant de nombreux cinéphiles, venant visionner les oeuvres de Sergueï Eisenstein ou d'Ingmar Bergman, ainsi que celles des réalisateurs de la Nouvelle Vague dans les années 60. De nombreux cinéastes choisissent la Pagode pour diffuser leurs films, bien souvent refusés ailleurs. Jean Cocteau y donne en 1959 la première de son Testament d'Orphée, quinze ans avant que Pier Paolo Pasolini et son Salò ou les 120 journées de Sodome y trouvent un havre de projection, le seul en Europe à avoir accepté de diffuser ce film sulfureux, censuré presque partout dans le monde... Louis Malle l'avait entre temps racheté en 1972, fait restaurer sa façade et restructuré en profondeur par Luce Eekman (alors la seule architecte féminine "officielle"), celle-ci créant une deuxième salle en sous-sol, juste sous la première, et faisant aménager un salon de thé au sein du jardin japonais. En janvier 1978, la Pagode organise bravement le premier festival de cinéma gay en France, la Quinzaine du cinéma homosexuel. Michel d'Ornano, alors ministre de la Culture, fait interdire la projection de plusieurs films, jugés "subversifs"... En outre, lors de l'une des projections, des membres du groupuscule d'extrême-droite "jeune nation" commettent des exactions en entrant dans le cinéma et agressant des spectateurs, blessant au passage le cinéaste Guy Gilles... En 1985, la nouvelle gérante, Élisabeth Dauchy, sauve la Pagode d'une opération immobilière, visant à faire construire un restaurant McDonald's à sa place, transformant le sous-sol en parking... Jugé vétuste en 1997, le cinéma ferme ses portes pour une nouvelle campagne de travaux, rouvrant en 2000 à l'occasion de l'avant-première française du film chinois In the mood for love, de Wong Kar-wai.
Ayant eu de nombreux habitués prestigieux, venant en voisin, de Michael Lonsdale à Gérard Depardieu, la Pagode ferme finalement ses portes en novembre 2015. Menacée de destruction, finalement rachetée en 2017 par le magnat de l'immobilier et producteur de cinéma américain Charles S. Cohen, elle est aujourd'hui en travaux (visiblement), visant non seulement à la rénover totalement, mais également à créer deux nouvelles salles en sous-sol. Le jardin japonais, quant à lui, a malheureusement dû se séparer de certains arbres centenaires, tragiquement déracinés, parmi lesquels un ginkgo, un hêtre pleureur et un marronnier, sacrifiés au nom de son réaménagement...
Crédits : ALM’s
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Berlin Jazz Clubs and Émile Parisien Quartet
Berlin Jazz Clubs and Émile Parisien Quartet
Mike Russell’s Funky Soul Kitchen at Quasimodo – http://www.mikerussell.de
There’s so much happening in Berlin deciding where to go and what to do gets complicated… Berlin’s jazz clubs are a perfect nighttime venue for me. The atmosphere is comfortable and friendly – the music fantastic! The challenge is booking a space before performances sell out.
Live b-flat Gauthier Toux Trio – Peter C Theis
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#A-Trane International Jazz Club#Actor André Hennecke#Architect Claudius Pratsch#Émile Parisien Saxophone#b-flat Acoustic Music + Jazz Club#Berlin Jazz Clubs#Brad Mehldau#Cafe and Live Music Club#Dave Grusin#Delphi Film Palace#Diana Krall#Duke Ellington#Duke Ellington standard Take the A-Train#Emile Parisien Quartet#Export Office Award#Free Jazz#German ECHO Music Award#German Music Award ECHO#Guide to the Jazzy Side of Berlin#Harry Connick Jr.#Herbie Hancock#Ivan Gélugne Bass#James Carter#Jannis Zoto#Jazzity#Jörg Zieprig#Joe Sample#John Coltrane#Julien Loutellier Drums#Julien Touery Piano
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2022 - Jazz à la Villette (Paris)
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22- LA BANLIEUE
Mes années à la fac ne me servent à rien. Je n'aime pas ce que j'apprends, je n'aime pas les gens avec qui j'apprends et je ne comprends pas ce que je fais là. Tout ce que je veux, c'est baiser, danser et bien m'habiller. J'ai laissé les autres décider pour moi et je me suis retrouvé avec un bac d'économie et maintenant j'essaye d'apprendre le droit. Le droit (sauf l'histoire du droit) et l'économie, ҫa m'ennuie. J'aime bien dessiner des chaussures de femme, des pantalons ou des chapeaux; mais même pour ҫa, je ne me prends pas au sérieux, c'est un passe-temps, ce n'est pas un métier. Il faut faire du droit quand on ne sait pas ce qu'on veut faire parce que ҫa mène à tout. Avocats, clerc de notaires, huissiers de justice, ce sont des personnages de romans de Balzac, ce n'est pas mon futur. Les étudiants, là, se comportent comme des fachos et sont homophobes. Ils s'étonnent que je ne veuille pas faire de "Prépa militaire". Ils passent tous les weekends à la caserne et quand ils feront leur service militaire, ils seront déjà officiers. Non, je ne serai pas non plus un simple trouffion parce que mon service militaire, je ne le ferai pas. La foi dans laquelle j'ai grandi interdit de faire le service militaire, la non-violence est de base. Les objecteurs de conscience doivent passer en prison le double de temps qu'ils auraient passé au service militaire. Quand un "frère" partait faire ses deux ans de prison, il y avait une fête de départ, des cadeaux et aussi beaucoup de prières. Nous étions tous très fiers. Certains se donnaient la peine de leur rendre visite à Fleury-Mérogis et devaient faire part de leur expérience sur l'estrade, au micro devant le pupitre. Même si l'allocution était spontanée et ne serait pas notée, il fallait faire attention à ses gestes, à son contact avec l'auditoire et à la construction de son message. Les lettres des détenus étaient lues devant toute la congrégation. S'en suivaient de nouvelles prières. Je n'y suis jamais allé à Fleury, j'étais trop jeune. La foi m'est devenue superflue, mais le dégoût pour cette univers masculin primitif est resté. Les uniformes sont magnifiques et les aventures de Jeff Stryker en prison sont très excitantes mais rien n'y fait, je ferais tout pour être réformé P4, psychologiquement perturbé!
Le cours est vraiment trop assommant, Nathalie propose d'aller chez elle écouter des disques. Nathalie était la meilleure amie de Catherine au lycée Émile Dubois. Ils voulait lui faire redoubler sa première B alors ses parents l'ont mise dans une "boîte à bac, privée" pour sa terminale. Catherine a fait la fête avec moi et n'a pas eu son bac; moi, je l'ai eu de justesse et Nathalie aussi. Nous nous retrouvons ensemble en droit. L'univers de Nathalie est très différent de celui de Catherine. Elle habite aussi un immeuble récent du 13ème, mais pas dans un HLM. C'est une résidence avec interphone. Nathalie n'utilise que sa particule pour son nom mais sur la sonnette, il y a son nom en entier "Brugerolle de Fraissinette" Ҫa laisse pas beaucoup de place pour des prénoms. Je comprends enfin pourquoi des fois elle paraphe avec un BdF. J'ai jamais osé demander. Qu'est ce que c'est chic! L'appartement est immense mais bas de plafond. Il fait sombre, les stores à lamelles sont légèrement inclinés, des meubles chinois en laque noire occupent tout l'espace. La mère de Nathalie est eurasienne d'origine vietnamienne. Elle est très typée. Très maigre avec beaucoup de cheveux très noirs, elle se fait les ongles avec un petit flacon YSL. On dirait Eartha Kitt! Elle ne se lève pas pour dire bonjour, elle ne veut pas rater son vernis. Nathalie m'apprend le mot "quarteronne", Nathalie Brugerolle de Fraissinette est très fière d'être quarteronne. Pour moi ҫa sonne plutôt comme une descendante de chevaliers croisés, mais ҫa veut simplement dire qu'elle est un quart asiatique. Personne ne pourrait l'imaginer. Nathalie est un peu ronde et très blanche, il y a peut-être dans ses yeux un mini signe de bride mais il faut vraiment le savoir. Le père est ingénieur sur une plateforme pétrolière "en" Abu Dhabi (ne surtout pas dire "à" Abu Dhabi), et n'est jamais là. Nous nous dirigeons en piaffant au fond du couloir. Eartha Kitt comprend tout de suite que ce n'est pas aujourd'hui que sa fille aura enfin un petit ami. La chambre de Nathalie est minuscule mais elle a, pour elle toute seule, une chaine compacte Philips avec platine disque, radio FM et lecteur de cassettes "auto-reverse. Elle adore "Mad World" de Tears for Fears. Moi aussi. J'avais l'impression que la semaine dernière lorsque je lui avais dit que je n'avais pas l'argent pour pouvoir me l'acheter, qu'elle n'en avait jamais entendu parler. Je suis intrigué. Va-t-elle me l'offrir? Non, elle m'offre de partager son "Jambon-purée". Il y en a si peu, je lui laisse l'intégralité des seules calories qu'elle s'autorise. Il est temps d'aller au Luco, je dis que c'est une bonne idée mais c'est quoi le Luco? Je ne pose pas cette question idiote et je la suis. "Au revoir, madame". Eartha Kitt a un ongle qui la préoccupe énormément et lance un "Au revoir, Philippe" sans lever la tête. Nous préparons nos cartes oranges zones 1 et 2. Nous avons "le ticket chic et choc " comme le dit la publicité et nous partons pour le jardin du Luxembourg; le "Luco" en jargon étudiant.
La carte orange la moins chère est toujours zone 1 et 2. La zone 1 c'est Paris "Intra Muros", la zone 2 c'est la très proche banlieue. Moi, je sais que la vrai zone, c'est Malakoff et que tous les banlieusards sont des zonards. Il y a un moins de 50 ans, l'ancien emplacement des fortifications de Paris était un gigantesque terrain vague recouvert de bidonvilles. La bordure de Malakoff n'avait rien a envier aux favelas brésiliennes. Je lis "Voyage au bout de la nuit" de Céline (mais dans l'édition de la Pléiade) et l'enfer qu'il décrit, c'est ma banlieue, c'est Malakoff, glauque et sordide. Malakoff c'est en zone 2, quelle chance, rien ne me différencie des vrais parisiens. La zone 3 c'est trop la honte! La zone 4, ҫa peut-être bien si tu habites à Versailles ou au Vésinet mais la zone 5, c'est de nouveau l'horreur. Quoi qu'il en soit, je sais aussi que quitter Malakoff, c'est devoir subvenir à mes propres besoins, et ҫa je n'y suis pas encore prêt. Il faut encore supporter le beau-père.
En zone 3, il y avait eu l'année d'avant Gilles. Gilles n'avait que 16 ans, et moi, j'étais pas encore majeur, on s'était rencontré au Broad. Il habitait avec ses parents à Noisy-le-Sec. On attendait 9 heures du matin qu'il n'y ait plus personne chez moi à Malakoff. J'étais super fatigué mais Gilles était très mignon et une cochonne au lit. Ҫa valait la peine de rester réveillé, trois heures de baise avant de devoir déguerpir à nouveau. Mon lit n'avait qu'une place et c'est assez réjoui que je conduisait Gilles dans le grand lit parental, l'ultime blasphème. Un lit en bois de roses avec des incrustations fleurie, un héritage de Mémé, la grand-mère du beau-père. Après avoir rajouté des positions au Kamasoutra, les draps n'étaient pas toujours très propres. Nous partions dans la salle de bains chercher une éponge, de l'eau chaude et un sèche-cheveux et rien n'y paraissait. Ҫa nous faisait tellement rire. Gilles m'adorait, je crois que j'étais son premier amour. Après quelques semaines de nos amours insomniaques, il avait fallu rencontrer les meilleurs amis, à Noisy. C'était loin mais comment résister à la curiosité de découvrir son chez-lui. En arrivant dans sa "cité", j'avais déjà senti que malgré nos origines sociales prolétaires identiques, nos environnements était bien différents. Le 93 c'était beaucoup plus "violent" que le 92. Mon éducation religieuse avait été très stricte mais avait été une éducation. J'avais appris à lire, en solitaire, en conversation ou en discours devant une assemblée, j'avais un vocabulaire. Avoir lu la bible trois fois de fond en comble avait quand même changé ma vision du monde. La représentation des aveugles de Jéricho par Nicolas Poussin au Louvre, c'était passionnant. Les 5 amis de Gilles écoutaient du rap que je n'ai jamais entendu, ... en français. Ils m'avait regardé, consternés, j'étais juste bien propre sur moi et un peu chic. Ils avaient voulu lui crier: "Merde, qu'est-ce que tu fous avec un bourge?" mais avaient seulement demandé comment on s'était rencontré. Ҫa n'avait pas été une question, ҫa avait été une accusation. Gilles avait tenté avec moi de faire son coming out, mais ҫa ne se passait pas comme prévu. J'avais vu leur univers s'effondrer sous leurs yeux, leur ami d'enfance était devenu une tarlouze. Seule la copine un peu grosse semblait intéressée par ma présence et prête à m'adopter. J'avais inventé un prétexte pour m'éclipser, ... pour toujours. C'était vraiment trop compliqué. Si j'avais décidé de disparaître de la vie de Gilles, lui, n'avait pas dit son dernier mot. Je l'avais retrouvé récemment, plus beau que jamais, successivement à l'entrée du Broad et ensuite des Bouchons. Il m'avait toisé, parlé à voix basse avec l'autre videur et avait laissé un petit moment avant de m'autoriser à rentrer. On croyait rêver. Une autre fois, alors qu'Yves le portier du Broad était tout seul, il m'avait raconté qu'il m'aimait bien mais que je n'avais pas du tout été sympa avec Gilles. Il s'était fait virer de chez lui après son coming out, avait essayé de me joindre mais je l'avais ignoré et il avait eu des moments très difficiles. Maintenant, tout allait mieux, mais il m'en voulait énormément. Je ne savais pas encore que ҫa irait encore plus loin. Deux ans plus tard, il aurait le rôle principal dans le nouveau film X de Jean-Daniel Cadinot "Sous le Signe de l'Étalon" avec comme pub, une magnifique photo de lui en blond décoloré. Je regarderai le film, mais je ne reconnaîtrai pas sa queue, c'était comme s'il s'était fait doubler pour les scènes de cul. Je la connaissais bien sa queue quand même! Plus tard encore, il mourrait du SIDA, comme tous les autres. JE N'AI PAS TUÉ GILLES! La banlieue a tué Gilles.
Malakoff est encore communiste mais de plus en plus annexé par la capitale. Le Théâtre 71 est sensé attirer toute l'intelligentsia parisienne, l'INSEE a le building le plus imposant depuis 74 et la section droit de l'illustre fac de médecine Paris V ne désemplit pas depuis 1976. Eh oui, je me retrouve en fac à 10 minutes à pieds de chez moi. Chaque rame du métro délivre ses centaines d'apprentis beaux parleurs mais moi j'arrive depuis l'autre côté. Je n'ai pas traversé le périphérique. Je déteste ne pas être Parisien. Jimmy Sommerville chante: "Run away, turn away, run away..." Mais comment survivre? Je crois être banlieusard mais je me trompe, je suis déjà le pire des Parisiens. J'étouffe dès que je vois ces petits pavillons lamentables et veux vomir devant les HLM. C'est pour ҫa que Gilles n'était pas possible. Mon monde à moi est civilisé, je ne me fais pas mettre à la porte, c'est moi qui décide quand je m'en vais!
Le beau-père, il travaille à Paris rue Cognacq-Jay pour TF1. Il est une sorte de magasinier. Un jour il ramène une petite annonce du tableau collectif. Un réalisateur de films échange une chambre non mansardée dans le 15ème contre des heures de baby-sitting. Maman ne pleure pas, maman ne pleure jamais, mais elle est triste. Elle ne me voyait plus beaucoup, mais j'habitais là encore. L'ancienne communiste était si fière d'avoir un fils qui faisait des études. Jimmy continue à chanter: "You leave in the morning with everything you own in a little black case, Alone on a platform, the wind and the rain on a sad and lonely face" Je ne suis pas sur le quai d'une gare, mais sur celui du métro et je pars à seulement 3 kilomètres en fait. Je reviendrai pour les dîners du vendredi soir, ceux avec les escargots et la belle porcelaine.
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Café terrace in Montmartre, Paris. . . . #Paris #montmartre #parisien #café #parisphoto #parisjetaime #parislife #parisart #caféterrasse #parismonamour #parismaville #parisgram #parislove #pariscity #villedeParis #Instaparis #Iloveparis #parisfind (at Place Émile Goudeau) https://www.instagram.com/parisfind/p/Bv98ajMHJ4j/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=r9b7sbwnw2od
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Amiens, ville de naissance de pionniers. Après Germaine Dulac, “pionnière du cinéma mondial”, voici Émile Joseph Porphyre Pinchon, “un de pionniers de la bande dessinée”. Communément appelé Joseph (sans doute pour se distinguer de son frère sculpteur, né Émile Léon Clément Pinchon), il signe ses œuvres J.P. Pinchon. Mais qui est J.P. Pinchon ? Le créateur d'une héroïne connue de tous, Bécassine.
J.P. Pinchon naît à Amiens le 17 avril 1871. Il y passe son enfance avant de décrocher son bac (ès lettres) à Paris et s'oriente ensuite vers les Beaux-Arts. Dès 1897, il expose ses œuvres dans des salons parisiens, mais pour gagner sa vie, il devient illustrateur dans la presse jeunesse. Le 2 février 1905, les éditions Gautier-Languereau lui demandent de remplacer un dessinateur à l'occasion de la parution d'une nouvelle revue, La Semaine de Suzette. Il crée alors le personnage de Bécassine pour illustrer des gags écrits par la rédactrice en chef de la revue, Jacqueline Rivière. Les aventures de Bécassine deviendront ensuite feuilleton avant d'être publiées en album.
J.P. Pinchon crée d'autres héros pour la presse jeunesse (Frimousset, Grassouillet, La famille Amulette, Gringalou…) et sera même le directeur artistique de l'hebdomadaire Benjamin. Il signe également les illustrations de plusieurs livres d'auteur. De 1908 à 1914, il dessine des costumes pour l'Opéra de Paris dont il deviendra le directeur des services artistiques en 1910. Durant la Première Guerre mondiale, il exerce son talent dans des services de camouflage.
Mort à Paris le 20 juin 1953, il repose au cimetière Saint-Acheul à Amiens aux côtés de sa femme, Suzanne Würtz, dans une tombe, hélas, à l'abandon. Quelques bonnes âmes ont tout de même pris soin de rappeler sa contribution à l'histoire de la bande dessinée.
Site consacré à J.P. Pinchon
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Émile Parisien - Spezial Snack (2014)
6/10
The sophisticated quartet led by French saxophonist Émile Parisien retain their affections for post-Ornette free jazz, Django Batesian humour and contemporary-classical vocabularies.
Bass – Ivan Gélugne
Drums, Percussion, Zither – Sylvain Darrifourcq
Piano, Piano [Prepared Piano] – Julien Touéry
Soprano Saxophone, Tenor Saxophone – Emile Parisien
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Robert Lamoureux.
Filmografía
Teatro
Autor
1957 : La Brune que voilà
1959 : Un rossignol chantait
1967 : Frédéric
1970 : Échec et meurtre
1971 : La sopera
1974 : Le Charlatan
1980 : Diable d'homme
1986 : Le Tombeur
1987 : La Taupe
1989 : Adélaïde 90
1993 : L'Amour foot
1996 : Si je peux me permettre.
Actor
1951 : Ombre chère, de Jacques Deval, escenografía del autor, Théâtre Édouard VII
1954 : La Manière forte, de Jacques Deval, escenografía del autor, Théâtre de l'Athénée
1958 : La Brune que voilà, de Robert Lamoureux, escenografía del autor, Théâtre des Variétés
1959 : La Brune que voilà, de Robert Lamoureux, escenografía del autor, Théâtre des Célestins
1959 : Un rossignol chantait, de Robert Lamoureux, escenografía de Jean Marais, Théâtre des Variétés
1962 : Turlututu, de Marcel Achard, escenografía de Jean Meyer, Théâtre Antoine
1964 : Jo, de Claude Magnier, escenografía de Jean-Pierre Grenier, Théâtre des Nouveautés
1967 : Faisons un rêve, de Sacha Guitry, escenografía de Robert Lamoureux, Théâtre des Célestins
1967 : Frédéric, de Robert Lamoureux, escenografía de Pierre Mondy, Théâtre Edouard VII y giras Herbert-Karsenty en 1968-1969
1968 : Désiré, de Sacha Guitry, escenografía de Pierre Dux, Théâtre du Gymnase Marie-Bell y Théâtre du Palais-Royal
1969 : Domino, de Marcel Achard, escenografía de Pierre Mondy, Théâtre des Variétés
1969 : Frédéric, de Robert Lamoureux, escenografía de Pierre Mondy, Espace Cardin
1969 : Échec et meurtre, de Robert Lamoureux, escenografía de Jean Piat, Espace Cardin y giras Herbert-Karsenty en 1970-1971
1971 : La sopera, de Robert Lamoureux, escenografía de Robert Lamoureux y Francis Joffo, Théâtre Édouard VII y giras Herbert-Karsenty en 1972-1973
1974 : Le Charlatan, de Robert Lamoureux, escenografía de Francis Joffo, Théâtre des Bouffes-Parisiens
1976 : Knock ou le Triomphe de la médecine, de Jules Romains, escenografía de Jean Meyer, Théâtre des Célestins y giras Herbert-Karsenty en 1975-1976
1980 : Le Charlatan, de Robert Lamoureux, escenografía de Francis Joffo, Théâtre des Célestins y giras Herbert-Karsenty en 1979-1980
1980 : Diable d'homme, de Robert Lamoureux, escenografía de Daniel Ceccaldi, Théâtre des Bouffes-Parisiens.
1984 : Le Dindon, de Georges Feydeau, escenografía de Jean Meyer, Théâtre du Palais-Royal
1985 : La Prise de Berg-Op-Zoom, de Sacha Guitry, escenografía de Jean Meyer, Théâtre des Célestins
1986 : La Prise de Berg-Op-Zoom, de Sacha Guitry, escenografía de Jean Meyer, Théâtre des Nouveautés y Théâtre de la Michodière
1986 : Le Tombeur, de Robert Lamoureux, escenografía de Jean-Luc Moreau, Théâtre des Variétés
1987 : La Taupe, de Robert Lamoureux, escenografía de Francis Joffo, Théâtre Antoine y giras Herbert-Karsenty en 1986-1987
1989 : Adélaïde 90, de Robert Lamoureux, escenografía de Francis Joffo, Théâtre Antoine y giras Herbert-Karsenty en 1989-1990
1992 : L'Amour foot, de Robert Lamoureux, escenografía de Francis Joffo, Théâtre Antoine y giras Herbert-Karsenty en 1991-1992
1996 : Si je peux me permettre, de Robert Lamoureux, escenografía de Francis Joffo, Théâtre des Nouveautés
1999 : Si je peux me permettre, de Robert Lamoureux, escenografía de Francis Joffo, Théâtre Saint-Georges
2002 : Le Charlatan, de Robert Lamoureux, escenografía de Francis Joffo, Théâtre du Palais-Royal.
Cine
Director
1960 : Ravissante
1960 : La Brune que voilà
1973 : Mais où est donc passée la septième compagnie ?
1974 : Impossible... pas français
1975 : On a retrouvé la septième compagnie
1975 : Opération Lady Marlène
1977 : La Septième Compagnie au clair de lune.
Actor
1951 : Le Roi des camelots´, de André Berthomieu
1951 : Le Don d'Adèle, de Émile Couzinet
1951 : Au fil des ondes, de Pierre Gautherin
1951 : Chacun son tour, de André Berthomieu
1952 : Allô... je t'aime d'André Berthomieu : Pierre Palette
1953 : Lettre ouverte, de Alex Joffé
1953 : L'incantevole nemica, de Claudio Gora
1953 : Virgile, de Carlo Rim
1954 : Escalier de service, de Carlo Rim
1954 : Papa, maman, la bonne et moi, de Jean-Paul Le Chanois
1955 : Village magique, de Jean-Paul Le Chanois
1955 : Si Paris nous était conté, de Sacha Guitry
1956 : Papa, maman, ma femme et moi, de Jean-Paul Le Chanois
1956 : Rencontre à Paris, de Georges Lampin
1956 : Une fée… pas comme les autres, de Jean Tourane
1957 : L'amour est en jeu, de Marc Allégret
1957 : Les Aventures d'Arsène Lupin.
1958 : La Vie à deux, de Clément Duhour
1959 : Signé Arsène Lupin, de Yves Robert
1960 : La Française et l'Amour: La Femme seule, de Jean-Paul Le Chanois
1960 : Ravissante, de Robert Lamoureux
1960 : La Brune que voilà, de Robert Lamoureux
1973 : Mais où est donc passée la septième compagnie ?, de Robert Lamoureux
1974 : Impossible... pas français, de Robert Lamoureux
1975 : On a retrouvé la septième compagnie, de Robert Lamoureux
1975 : Opération Lady Marlène, de Robert Lamoureux
1977 : L'Apprenti salaud, de Michel Deville
1991 : Le Jour des rois, de Marie-Claude Treilhou.
Televisión
1970-1971 : Au théâtre ce soir
1975 : Ne coupez pas mes arbres
1981 : Le charlatan
1983 : Emmenez-moi au théâtre: La soupière
1984 : Diable d'homme!
1986 : Maguy
1986 : Le dindon
1989 : La taupe
1992 y 1994 : La guerre des privés
1994 : L'amour foot.
Poemas, monólogos, canciones
- CD « Papa, maman, la bonne et moi : Robert lamoureux », Believe / Rym -Musique, 2000, 19 títulos:
- De quoi donc tu causes ? (canción)
- Papa, Maman, la bonne et moi (canción; letra y música de Robert Lamoureux)
- La plupart du temps
- Souris à la vie (canción)
- Le dernier de la classe
- Viens à la maison (canción)
- Qu'est-ce que tu crois ? (canción)
- Éloge de la fatigue
- La chasse au canard
- Banlieue (canción)
- Liberté Java (canción)
- Histoire de roses (canción; letra y música de Robert Lamoureux) — otros intérpretes: Patachou (1950), Renée Lamy, Lucette Raillat
- Éloge de mon prénom
- Lettre à Dédé
- J'aurais aimé savoir chanter (canción)
- Saint-Mandé
- Voyage en Italie
- Enfantillage
- Passé simple
- Álbum « J'ai un moral à tout casser »:
- J'ai un moral à tout casser
- Viens pas trop tard
- La voiture d'occasion
- Le printemps
- Métro (canción; letra de Robert Lamoureux — música de Henri Bourtayre) — otro intérprete : Yves Montand
- Fanfan la Tulipe
- Foire du Trône (canción; letra de Robert - Lamoureux — música de René Delauney)
- Le déménagement
- Laissez-les s'envoler — Geneviève Guitry
- Cinq à sept — Harry Séguéla
- Le trac
- Álbum « […] » :
- Hold-up
- Retour de vacances
- Le tour de France / La chasse à cour.
Premios
1950 : Premio de la Académie Charles-Cros por Papa, maman, la bonne et moi
2000 : Oficial de la Legión de Honor
2009 : Medalla Grand Vermeil, de la Ciudad de París.
Créditos: Tomado de Wikipedia
https://es.wikipedia.org/wiki/Robert_Lamoureux
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