#élection présidentielle française
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Les enjeux de la nomination de Michel Barnier et l'appel à une nouvelle dissolution
Nouveau premier ministre en France. Déjà la fin ? La nomination récente de Michel Barnier au poste de Premier ministre par Emmanuel Macron a suscité des réactions diverses au sein du paysage politique français. Cette décision, intervenant dans un contexte de recomposition politique après la dissolution de l’Assemblée nationale en 2024, place Barnier au centre de plusieurs débats. Voyance complète…
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Sur une note plus optimiste ceci dit, les conneries de Macron vont découpler les législatives des élections présidentielles. Je suis pas ravi de sa merde, mais pour la démocratie française c'est nettement plus sain.
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Tant qu'on est sur le sujet, on peut parler deux minutes de politique française parce qu'on est d'accord que jusqu'aux dernière élections présidentielles, le RN c'était genre... limite une blague combien ils sont racistes. Ils s'est passé quoi les gars. Il s'est passé quoi
Je me souviens distinctement de me foutre de la gueule du RN avec des potes parce que c'était juste "le parti raciste". Je me souviens d'avoir regardé des sketch drôle par deux gars noirs qui disaient "si le RN gagne aux présidentielles..." et faisaient semblant de faire leurs valises sur le ton de l'humour parce qu'on était tous persuadés que ça allait jamais arriver. Il s'est passé quoi
#et je sais que c'est pas que moi parce que la première fois que le RN est passé au second tour des présidentielles la réaction générale--#--c'était “EUH OULAH QU'EST-CE QU'ELLE FAIT LÀ LE PEN” et ça a fini en limite 60/40#il s'est passé quoi les gars. il s'est passé quoi#cw politics#rant
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LA MASCARADE DÉMOCRATIQUE EN OCCIDENT
Donald Trump, le candidat républicain et ancien président des États-Unis, a réussi à échapper à toutes les embûches sur sa route vers une deuxième chance pour présider la destinée des États-Unis d’Amérique.
Récemment, un tueur a attenté à sa vie. Je déplore toute violence et cette tentative d’assassinat en particulier. Cela dit, je reste médusé par la chance qui auréole cet homme adoré de ses partisans.
Son autre grande victoire est d’avoir convaincu la majorité des juges de la Cour suprême de son pays qu’il pouvait se représenter aux élections américaines de novembre 2024. On peut qualifier cette réussite d’apothéose de sa carrière politique.
En effet, sur le plan personnel, c’est un coup de maître. Aucun président dans l’histoire moderne américaine qui a encouragé une insurrection au Capitol (en 2021) n’a pu se lancer dans une seconde participation aux élections présidentielles.
La plus haute cour du pays donne suffisamment de temps à Donald Trump pour tenter de se faire réélire en novembre. S’il gagne, il retrouvera l’immunité contre tout procès à titre de président.
En mots clairs, la Cour suprême s’est débarrassée d’un problème qui pesait lourd sur la conscience des juges. Donald Trump a nommé la majorité des membres de cette cour. Les juges ne se sont pas montrés ingrats. Il s’agit d’un retour d’ascenseur.
C’est aussi le cas du président français, Emmanuel Macron. Aucune ressemblance dans l’idéologie des deux hommes, même si Macron est un pêcheur en eau trouble. Il a été ministre dans un gouvernement socialiste et président dans un gouvernement de droite. Il fait ce que bon lui semble.
Ainsi, malgré la victoire aux élections législatives d’une coalition de gauche au titre grandiloquent (Le Nouveau Front populaire), Emmanuel Macron refuse de nommer un Premier ministre issu de cette coalition victorieuse. Il prend son temps, il suppute et sourit pour les photos.
Les députés victorieux sont nerveux. Ils craignent qu’il décide de mettre en place une alliance avec les perdants pour nommer un Premier ministre de droite. Il pourrait aussi déclencher l’article 16 de la Constitution française qui lui donne les pleins pouvoirs en cas de situation de danger pour la république et ses institutions. Le général de Gaulle l’avait fait à la suite du putch en Algérie en 1958.
Ceci entraînera une levée de bouclier chez les politiciens de gauche. Ils cogneront à la porte du Conseil constitutionnel, l’équivalent de la Cour suprême, pour examiner si les conditions de l'instauration des pleins pouvoirs au président de la République sont légitimes.
Qui désigne les membres du Conseil constitutionnel ? Le président de la République, aidé du président de l’Assemblée nationale et du Sénat. Mais Emmanuel Macron a dissous le parlement.
Récapitulons, si vous le voulez. Donald Trump a nommé de nombreux juges de la Cour suprême aux États-Unis et Emmanuel Macron est responsable de choisir les membres de la Cour constitutionnelle en France. Ces pouvoirs sont au cœur de la question de la démocratie en Occident. L’indépendance de la justice au sein de ces pays n’est pas réelle, surtout quand il s’agit des questions politiques.
Nous assistons à la fonte du dôme d’acier occidental sous les rayons du soleil de la vérité. Plus l’édifice se liquéfie, plus nous découvrons les rouages que nous sommes supposés ignorer. Le magicien a laissé sortir le lapin du chapeau alors qu’il a égaré sa baguette magique.
Donald Trump n’a jamais cru à la Cour suprême, à son rôle objectif. C’est pour ça qu’il a nommé des juges qui pensent comme lui. Emmanuel Macron n’a pas d’idéologie. Il ne croit pas non plus que la Cour constitutionnelle puisse l’empêcher de régner. Nous avons deux démagogues qui n’ont qu’un objectif : le pouvoir. Ils sont prêts à montrer au monde entier que l’Occident n’a pas de système véritablement démocratique. L’essentiel est d’accéder au pouvoir ou d’y rester.
Didier Leclair, écrivain
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Avoir la majorité du pouvoir sans la majorité des votes
Le mode de scrutin que ce soit à la présidentielle ou aux législatives n’est pas proportionnel. Seuls les candidats qui ont le plus de voix vont au second tour. Il favorise les gros partis avec un leader incontesté.
La Vème République a été crée pour un homme, Charles de Gaulle qui était un leader incontesté d’un énorme parti. Valoriser un leader incontesté est une valeur de droite. Tous unis derrière un seul homme n’est pas une valeur de gauche. La gauche valorise la diversité des opinions et le dialogue. La gauche ne peut pas s’imposer avec ce type d’élections.
A l’élection présidentielle française de 2002, il y avait 10 candidats de gauche. Aucun n’est arrivé au second tour mais cumulés ils représentaient 64%. Chirac et Le Pen cumulés ne représentaient que 36% des voix au premier tour. La majorité des français avait voté à gauche et ils ont eu un deuxième tour droite contre extrême-droite.
Lors des élections présidentielles de 2017 et de 2022, Emmanuel Macron rassemblait 24% en 2017 et 27% en 2022 des voix au premier tour. Les gens ont voté pour lui au deuxième tour pour éviter Marine Le Pen. Les candidats de gauche cumulés au premier tour représentaient 27% en 2017 et 31% en 2022. S’il n’y avait eu qu’un seul candidat à gauche, il aurait fait face à Marine Le Pen au deuxième tour.
Aux législatives de 2024, E. Macron n’a pas laissé assez temps pour que les partis fassent campagne et que la gauche puisse s’organiser en fonction des Européennes (baisse du vote pour la France Insoumise). C’est anti-démocratique. Les prévisions donnent le Rassemblement National largement gagnant alors que le vote à gauche représenterait. Plus la ville est petite, plus le score du Rassemblement National est haut.
W. Bush et D. Trump ont tous les deux été élus aux Etats-Unis du fait du mode de scrutin par grands électeurs, alors qu’une grosse majorité de gens avait voté contre eux.
Aux Etats-Unis (electoral college) et en France, il y a beaucoup plus de circonscription dans les campagnes que dans les villes. Il y a un surreprésentation du vote rural.
En Angleterre, en Italie, en Espagne, en Suisse ou en Allemagne, le scrutin pour les législatives est proportionnel.
Elections législatives : comment vote-t-on dans l’Union européenne ? – Toute l’Europe: https://www.touteleurope.eu/vie-politique-des-etats-membres/elections-legislatives-comment-vote-t-on-dans-l-union-europeenne/
Il faut redonner le pouvoir au peuple en demandant des représentants élus à la proportionnelle et le référendum d’initiative populaire pour contre-balancer leur pouvoir. Les parlementaires élisent ensuite un premier ministre. Il n’y a pas besoin d’un président. Le peuple est souverain.
Types de démocraties – Democurieux: https://democurieux.fr/types-de-democraties/
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The American people’s choice: https://www.aurianneor.org/the-american-peoples-choice-fahrenheit-119/
Elire, c’est pas voter!: https://www.aurianneor.org/elire-cest-pas-voter-oui-au-referendum/
Les autorités illégitimes: https://www.aurianneor.org/les-autorites-illegitimes/
Oui au Référendum d’initiative populaire: https://www.aurianneor.org/oui-au-referendum-dinitiative-populaire-petition/
Vème République, toujours là…: https://www.aurianneor.org/veme-republique-toujours-la-to-read-this-in/
Législatives 2024: choisir la gauche ou la droite.: https://www.aurianneor.org/legislatives-2024-choisir-la-gauche-ou-la-droite/
2 France: https://www.aurianneor.org/2-france-jusqua-quand-travail-famille/
#aurianneor#démocratie#droite#élections#extrême-droite#gauche#législatives#parlementaires#pouvoir#président#présidentielle#proportionnel#Rassemblement National#représentants#vote
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Cette fois ci, ils bougent! Cela ne se passe plus comme prévu!
Editorial: Ne vous laissez pas influencer par les cris d’orfraie de la classe politicienne, un abcès est en train de crever, des hypothèques se lèvent.
Personne ne peut être satisfait lorsqu’un parti politique, lorsque qu’une ancienne boutique du style de celle de Jean Marie le Pen accède à des scores électoraux de l’ordre de 30%.
Personne sauf les fachos, les vrais! Ceux qui sont cachés dans l’ombre derrière les Macron et sa clique.
D’abord un peu de logique; si le parti fondé par Jean Marie le Pen n’a cessé de grimper aux élections et dans les sondages, à qui la faute?
Qui a paupérisé les masses, qui a tué le parti communiste, qui a avili de jaune les syndicats, qui a vidé le débat démocratique de tout contenu, qui a vendu la souveraineté de la France au capital local, européen et mondial, qui a abandonné toute volonté de défendre les Français face aux coups de boutoir de l’étranger et a fait alliance avec le monde extérieur contre les classes françaises défavorisées?
Qui a balancé des insultes, des injures , des ignominies sur le petit peuple d’en bas?
Tous les pouvoirs qui se sont succédés ont produit la paupérisation, la déchéance, le déclassement, le sentiment de perte de dignité et tous ont tué l’avenir. Ils ne savent promettre que toujours plus, plus d’effort, moins de récompense, moins de reconnaissance, plus de servitude, moins de liberté .
Les 30% qui osent voter pour le RN sont objectivement courageux, je ne sait pas si ils le sont subjectivement, mais en termes sociaux et historiques ils se lèvent pour dire «non» comme ils ont essayé de dire «non» au moment des Gilets Jaunes par exemple.
Ce sont, j’ose le dire des forces de vie qui s’élèvent face à des forces de mort car, qu’on le veuille ou non, le capital qu’il soit financier, économique, culturel, ou symbolique pour reprendre les catégories du merveilleux Bourdieu, ce capital multiforme est toujours concrétisation des forces de mort, des forces qui veulent emprisonner la vie; celle des autres au profit de la leur.
Il est évident que ni Bardella ni Marine ne sont conscient du rôle historique qu’ils jouent, ce rôle est joué a travers eux par les forces qui traversent la société française .Ils sont des instruments au même titre que Macron est l’instrument du fétiche Pognon.
Le Vote RN , le RN, les couches qui votent RN ne sont certainement pas conscientes du rôle historique qu’elles jouent, cela les dépasse, mais ce rôle consiste à bouleverser l’échiquier, à renverser la table ou les nantis et les riches et les planqués se gobergent.
Bien sur que le RN ne peut gouverner , sa fonction ancienne tribunitienne est maintenant dépassée, sa fonction est de dire/montrer: maintenant c’est fini on remet tout cela sur ses pieds, Et on on réintègre le peuple dans le jeu dont il a été exclu.
Les 30% du RN sont le premier signe que la glaciation politique scélérate mise en place par Mitterrand au début des années 80 est en train de fondre, le réaménagement, la recomposition sont enfin lancés, l’hypothèque sur la future présidentielle est en train d’être levée.
Les bobos, les gôches, les petits bourgeois qui poussent ces fameux cris d’orfraie sont des mystifiés, ils sont les boucliers qui protègent le grand capital, le grand business exploiteur. Celui qui fait donner ses troupes comme il le fait toujours, en restant planqué, mais ses médias veillent, ce sont eux qui fournissent aux mystifiés les étendards des faux combats.
Si encore ces gens avaient étudié le fascisme et étaient capables de comprendre que précisément le vote populaire et populiste est une réaction contre le fascisme soft des gouvernants, que ces gouvernant sont au service d’une élite du pognon exactement comme dans les années 20/30
Aucune culture, aucune réflexion, ils gobent, ils gobent et ils se font mystifier de bout en bout sur tous les grands thèmes imposées par le Grand Capital; -guerre contre la Russie -soutien d’Israël -immigration -woke -paupérisation- décroissance- climat etc
Les laissés pour compte qui ont rejoint/voté pour le RN doivent être réintégrés à la vie politique, personne n’a le droit de les exclure ou de décréter qu’ils puent! D’une certaine façon ils représentent les forces de vie et de résistance face à la mort qui saisit enserre notre société.
Les bourgeois qui stigmatisent le vote RN et veulent le nullifier feraient mieux de se montrer utiles et créer par exemple un Comité de Vigilance crédible dont la fonction serait d’analyser et de contrôler les initiatives et propositions du RN afin d’être sur qu’il ne dérive pas.
En attendant, le peuple, lui, doit s’approprier le RN, il doit le faire sien et cette fois ne pas accepter d’être dépossédé.
(Source : Bruno Bertez) 23/06/2024
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Revue de presse Sénégal : Macky Sall et sa déclaration de candidat en 2024 ? Les quotidiens sénégalais parvenus jeudi à la rédaction titrent principalement sur la déclaration que le président Macky Sall a faite depuis la France à ses militants, laissant penser qu’il serait candidat à l’élection présidentielle de février 2024. Macky Sall et sa déclaration de candidat en 2024 ? sport et la politique à la Une des quotidiens revue de presse du 21 juin 2023 Le Soleil indique que « la candidature ou non » de Macky Sall à l’élection présidentielle de février 2024 « se précise ». « Devant la forte mobilisation de ses partisans décidés à redorer le blason de la coalition présidentielle, +Benno Bokk Yakaar+, dans l’Hexagone, le président Macky Sall a prononcé des propos qui pourraient faire penser à sa possible candidature en 2024 », souligne le quotidien national Bés Bi précise que le chef de l’Etat sénégalais a fait cette déclaration depuis Paris, la capitale française. « Après mon message à la nation (le 25 juin prochain), nous irons vers la victoire de 2024 », a dit Macky Sall, assurant que « nous nous maintiendrons au pouvoir ». Sur cette lancée, le directeur général de l’Aéroport international Blaise Diagne (AIBD) estime avoir déjà récolté « 800.000 signatures pour continuer avec Macky » Sall. →> A lire aussi Le Poids des Décisions Politiques : Un Impact Profond sur l'Histoire des Sociétés et des États Walf Quotidien constate aussi que « Macky donne la primeur à l’étranger » pour sa « déclaration de candidature » à la présidentielle de 2024. « +Ce que je peux vous promettre, c’est que grâce à notre travail, nous nous maintiendrons au pouvoir avec la volonté du peuple sénégalais+, a-t-il lancé devant un parterre de jeunes. Pour atteindre cet objectif, le chef de l’Alliance pour la République (APR, pouvoir) mise sur l’unité au sein de la mouvance, la mobilisation et la générosité entre militants. Tout le reste, dit-il, sera une question de stratégie et de tactique politique », souligne le journal. Volonté de ses partisans d’imposer sa candidature quotidiens tournés vers la suite du dialogue national revue de presse du 24 juin 2023 Le Quotidien croit savoir, avec la déclaration de Paris, que « Macky dope ses troupes ». Le chef de l’Etat sénégalais « semble vouloir se convaincre que s’il se présente à une prochaine élection, il sera en mesure de rempiler, car son aura sera restée intacte. D’où la volonté de ses partisans d’imposer sa candidature. Lui-même, qui en est convaincu, a déclaré hier : +Grâce à notre travail, nous nous maintiendrons au pouvoir, avec la volonté du peuple+ », rapporte le journal qui se fait l’écho par ailleurs de la « révision du procès » de Karim Wade, fils de l’ex-président Abdoulaye Wade (2000 – 2012) et ex-puissant ministre condamné pour malversations quatre ans après la chute du régime libéral. →> A lire aussi Le Brésil veut assurer le spectacle face au Sénégal Pour ce journal, « le procès de Karim Wade sera révisé » et c’est « une victoire du Parti démocratique sénégalais (PDS) », qui en a fait son candidat pour 2024 pour perpétuer le legs de son père. « Dernier point important du dialogue politique, le procès en révision de Karim Wade a été arraché hier par ses partisans. Constat de l’échec d’une histoire qui avait tenu le pays en haleine préfet de Dakar interdit les manifestations prévues par Walf, YAW et F24, les 23 et 25 juin Il reste à savoir si cette révision interviendra avant ou après la prochaine présidentielle, car il semble qu’elle ne conditionne pas la participation de l’ancien +ministre du ciel et de la terre+ à l’élection à venir, qui est déjà actée. Une victoire qui sonne aussi comme le constat de l’échec d’une histoire qui avait tenu le pays en haleine durant de longs mois », souligne le journal. Macky Sall et sa déclaration de candidat en 2024 →> A lire aussi Coulisses des événements meurtriers de 1962 au Sénégal: Un sombre chapitre de l'histoire nationale
Critiquant cette décision des participants au dialogue lancé par Macky Sall, l’ex-Premier ministre Aminata Touré regrette que « les Sénégalais feront le deuil des 138 milliards de francs CFA que Karim Wade doit au Trésor » sénégalais. L’Observateur affirme que la révision du procès du fils d’Abdoulaye Wade est « le coup de poker du dialogue » national, analysant « les énormes conséquences d’une réouverture du procès ». Certains analystes interrogés par le journal estiment que « la révision du procès de Karim est quelque chose de possible » là où d’autres précisent que « le droit de demander la révision appartient au Garde des Sceaux, ministre de la Justice seul ».
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Zelensky prépare son départ d’Ukraine.
L'OTAN met en place son déploiement dans le pays.
Un plan se met en place pour déployer l’OTAN en Ukraine. Comme il implique une très violente escalade, le juif Zelensky est d’ores et déjà en train de préparer son repli tactique.
Remix :
Si un cessez-le-feu est conclu en Ukraine, l’Occident envisage d’« exiler » Volodymyr Zelensky à Londres, écrit Do Rzeczy, citant un rapport du quotidien espagnol El Mundo via des sources gouvernementales à Kiev. Depuis deux semaines, une rumeur circule dans les cercles diplomatiques de la capitale ukrainienne : en cas de cessez-le-feu, l’Occident convaincra M. Zelensky de s’« exiler » au Royaume-Uni et des élections présidentielles seront organisées en Ukraine.
Je dois partir à cause de l’antisémitisme, Mykola, mais je serais toujours ton président
Des forces européennes de maintien de la paix, principalement des troupes britanniques et françaises, seraient alors déployées en Ukraine. Kiev pourrait également compter sur une adhésion « rapide » à l’Union européenne et sur une aide à la reconstruction du pays après la guerre.
Enfin !
L’Ukraine a connu un mauvais mois de novembre, la Russie occupant la plus grande partie du territoire ukrainien depuis mars 2022, principalement dans l’est du pays, près de Pokrovsk, selon les experts de l’Institut américain pour l’étude de la guerre (ISW). De hauts collaborateurs du président élu des États-Unis, Donald Trump, ont rencontré des responsables de Kiev, car le futur président a fait de la fin du conflit une priorité absolue de son administration, tandis que Zelensky est manifestement fatigué de la guerre. Le chef du MI6, Richard Moore, a tiré la sonnette d’alarme sur la situation dangereuse à laquelle le monde est actuellement confronté. Après avoir rencontré son homologue français, Nicholas Lerner, la semaine dernière, il a déclaré à la presse : « Nicholas et moi n’avons aucun doute sur les enjeux en Ukraine : Si l’on permet à Poutine de réussir à réduire l’Ukraine à un État vassal, il ne s’arrêtera pas là ».
Si vous l’ignoriez, Nicolas Lerner, le chef des services secrets extérieurs français, est juif.
Dans le même temps, les États-Unis poussent l’Ukraine à commencer à recruter des jeunes de 18 à 25 ans pour renforcer ses forces armées, mais l’avenir démographique du pays est préoccupant si cette jeune cohorte est envoyée au front.
Le système veut accorder à Trump une sorte de « cessez-le-feu » pour lui permettre de faire plaisir à ses électeurs, mais aussi pour le faire passer pour un type raisonnable sur la scène internationale.
Parallèlement, l’OTAN compte profiter perfidement de ce « cessez-le-feu » pour déployer ses troupes en Ukraine avec un vernis de légalité. En réalité, elles se positionneraient en vue de la reprise des combats une fois les préparations terminées.
La mobilisation de ce qu’il reste de jeunes Ukrainiens en vue du carnage à grande échelle planifié explique pourquoi le juif Blinken fait pression à ce sujet.
Selon Antony Blinken, il est temps pour l’Ukraine de « prendre des décisions difficiles » concernant la mobilisation de jeunes âgés de 18 à 25 ans pour la guerre. Chacun d’entre eux recevra des armes et un entraînement américains. Lors de la réunion des ministres des affaires étrangères à Bruxelles, Antony Blinken a affirmé qu’un commandement de l’OTAN avait été mis en place en Ukraine afin de rendre « irréversible » son éventuelle adhésion à l’OTAN.
Ceux qui n’ont pas fui le pays seront éradiqués, condamnant ce qui reste de l’Ukraine à la disparition biologique.
Dans ce projet, les Français figurent en haut de la liste de la viande à expédier sur le front ukrainien.
Les Français, c’est le péché mignon des juifs.
Depuis Dreyfus, ils ne font jamais une guerre sans faire mourir autant de soldats français que possible. C’est la raison d’être de la France, ferme d’élevage démocratique, et c’est aussi le moyen radical d’éliminer progressivement, par sélection minutieuse, les éléments raciaux dont les ancêtres ont jadis résisté à leur prédation.
Pendant qu’ils crèveront, Zelensky sera à Londres, à tonitruer ses appels au génocide.
Les juifs ont pour eux d’avoir la longue mémoire des tribus grégaires. Une embrouille pour l’un est une embrouille pour tous les autres, sur cent générations. Le juif s’imbibe et fermente dans sa haine millénaire, archivant en détails dans ses grands cahiers toutes les insubordinations ou franches révoltes des goyim, par race, communauté, région. La Torah n’est rien d’autres qu’une somme de ces archives vengeresses destinées à rappeler leur devoir à leurs rejetons. Et la France y tient très bonne place.
Ce plan repose sur un leurre suffisamment séduisant pour arracher des Russes la trêve dont ils ont besoin. Un nouveau « conflit gelé » qui sera dégelé au micro-onde, comme en Syrie, pour foncer jusqu’à Moscou.
Démocratie Participative
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La gauche plurielle (1997-2002) - Portail Universitaire du droit
https://justifiable.fr/?p=1280 https://justifiable.fr/?p=1280 #droit #gauche #plurielle #Portail #Universitaire Présentation de l’éditeur Le séisme politique que fut la disqualification de Lionel Jospin et la présence au second tour de l’élection présidentielle du candidat d’extrême-droite, Jean-Marie Le Pen, occulte encore aujourd’hui les cinq années qui ont précédé. Elles furent pourtant un moment important de l’histoire de la gauche française avec une union qui crée la surprise en remportant les élections législatives de 1997, suite à la dissolution de Jacques Chirac. Ce gouvernement conduit par Lionel Jospin dont nous retranscrivons ici le témoignage met en oeuvre des réformes importantes qui continuent à marquer notre quotidien encore aujourd’hui : 35h, loi SRU, loi Taubira, CMU, AME, PACS. En dépit de sa diversité avec des Verts qui n’avaient jamais exercé le pouvoir et des communistes aux antipodes sur les questions environnementales comment cette alliance tient-elle jusqu’au bout ? Comment le président de la République et la droite se situent-ils face à cette gauche unie Grâce à des archives inédites et des témoignages rares – Lionel Jospin, Dominique Voynet, Jean-Claude Gayssot, Olivier Schrameck, Louis Gauthier, Jean-Christophe Cambadélis – cet ouvrage fait le bilan de ces cinq années de gouvernement de gauche et leur portée jusqu’à nos jours. Contributeurs : Kevin Alleno, Régis Boulat, Antony Burlaud, Alexandre Chabert, Léonard Dermarkarian, Bernard Dolez, Sébastien Ledoux, Didier Maus, Thomas Morel, Adrien Renaudet, Sébastien Repaire, Élisa Steier, Jean-Philippe Tonneau. Pierre-Emmanuel Guigo est maître de conférences en histoire à l’université Paris-Est Créteil (Centre de recherche en histoire européenne comparée). Il est l’auteur de Michel Rocard (Perrin, 2020) et Pierre Mauroy, Le dernier socialiste (Passés composés, 2024). Thibault Tellier est professeur des universités à Sciences Po Rennes (Laboratoire Arènes). Il est l’auteur de plusieurs livres dont L’Enfant de La Courneuve (Michalon, 2024) et Histoire de la banlieue (Perrin, 2024). Source link JUSTIFIABLE s’enrichit avec une nouvelle catégorie dédiée à l’Histoire du droit, alimentée par le flux RSS de univ-droit.fr. Cette section propose des articles approfondis et régulièrement mis à jour sur l’évolution des systèmes juridiques, les grandes doctrines, et les événements marquants qui ont façonné le droit contemporain. Ce nouvel espace est pensé pour les professionnels, les étudiants, et les passionnés d’histoire juridique, en quête de ressources fiables et structurées pour mieux comprendre les fondements et l’évolution des normes juridiques. Plongez dès maintenant dans cette catégorie pour explorer le passé et enrichir vos connaissances juridiques.
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La Guerre Civile : Ce divertissement que la France attend depuis 1789
Mes chers compatriotes, préparez vos boucliers en carton-pâte, vos épées en bois et vos sarbacane à boulettes de papier mâché ! Le grand jour approche, celui que tout le monde prédit mais que personne n'a encore eu la bonne grâce de lancer : La Guerre Civile Française ... WHOUAAAA
Oui, mes amis, cette guerre que l'on nous promet à chaque élection présidentielle, à chaque grève, et même à chaque rupture de stock de saucissons ! Elle est sur le point de… de… rester bien tranquillement là où elle est : dans l'imaginaire collectif. Il faut dire que la France a toujours été un terrain fertile pour les prophètes de l’apocalypse. C'est notre petit côté bien Français qui remonte à la surface. Si les Anglo-Saxons ont leur météo catastrophique, nous, en France, avons nos prévisions de cataclysme social. C'est bien plus chic. "Attention, vous allez voir ce que vous allez voir, la France est au bord du gouffre !" clamait-on déjà sous l’Ancien Régime. Trois siècles plus tard, le gouffre semble s’être reconverti en boulangerie bio. Mais attention, ne crions pas victoire trop tôt ! Car, à chaque élection, chaque réforme et au moindre mouvement social, nous sommes rappelés à l’ordre par une nouvelle vague de prophètes en gilet jaune ou rouge, nous assurant que cette fois-ci, c’est la bonne ! L’hiver nucléaire n’a qu’à bien se tenir, car la France va s’embraser ! Les pavés vont voler, les poubelles vont brûler (ah, ça, c’est déjà fait…), et les barricades vont fleurir comme au bon vieux temps de mai 68. Il faut dire que, du point de vue logistique, une guerre civile en France, c'est un vrai casse-tête. Entre les syndicats qui exigent 35 heures de combat par semaine, pause déjeuner comprise, et les différentes régions qui ne s’accordent même pas sur la recette du cassoulet, on est loin de la guerre éclair. Surtout si les frais de déplacement ne sont pas pris en compte ! Et puis, soyons honnêtes, qui a vraiment le temps pour une guerre civile de nos jours ? Entre les séries Netflix, les brunchs à réserver, les vacances à planifier, ça ne rentre tout simplement pas dans l’agenda. Alors, pain au chocolat où chocolatine ... Une petite guéguerre pour en débattre ? Imaginez la scène : le 6 décembre, 7h00 du matin, début de la guerre civile. À 7h05, les Parisiens sont déjà bloqués sur le périph’ par les manifestants des deux camps. À 9h00, les premiers tweets apparaissent pour se plaindre du manque de Wi-Fi dans les zones de combat. À midi, tout le monde s’accorde pour une trêve parce que, bon, c’est l’heure du déjeuner et personne ne plaisante avec ça. À 15h00, la guerre est suspendue jusqu’au lundi suivant, histoire de ne pas gâcher la raclette-party du week-end. Finalement, cette fameuse guerre civile restera probablement un des grands mystères de la France contemporaine, un mythe aussi persistant que le Smic à 1600€. Peut-être qu'elle existe quelque part, mais qu'elle est simplement en train de prendre un café à la terrasse d’un bistrot, en attendant que les Français finissent de discuter pour savoir par quel bout commencer et surtout ... qui est responsable de ce chaos ? Ha oui, c'est de la faute à Manu ! En attendant, chers amis, sortez le popcorn et profitez du spectacle, car la seule guerre civile que nous risquons de voir, c'est celle qui se déroule sur les plateaux télévisés, entre éditorialistes en mal de sensationnalisme et experts autoproclamés ... Ou un gauchiste qui à besoin de voix ! Ça promet d'être divertissant… tant que ça reste sur les écrans. Alors, chers compatriotes, ne vous inquiétez pas trop pour cette fameuse guerre civile. Elle est comme l'amour selon la chanson : elle arrive toujours quand on ne l’attend pas. Et vu qu'on l'attend depuis trois siècles, elle est probablement décédée depuis. C'est la France, après tout, on sait profiter de la vie ! Et une guerre civile ça casse un peu l'ambiance apéro. Fin. Et si elle arrive un jour, on aura au moins un peu ri en l’attendant. David SCHMIDT Journaliste Satirique selon lui ! Read the full article
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Si j'étais français et que je devais voter...
Comme beaucoup de monde en Suisse Romande, je suis de près la politique française. Mais je ne suis pas français. Je suis binational espagnol et suisse.
Mais si je devais voter à ces législatives ?
Et surtout, si je devais choisir entre LFI et le RN, que ferais-je ?
Bon, ben je voterais LFI.
Pas dans la joie et la bonne humeur, hein.
Mais je voterais LFI.
Vous êtes étonnés ? Si vous me suivez sur les RS, vous savez que je n'ai VRAIMENT PAS une grande estime pour cet espèce de gourou démagogue qu'est Jean-Luc Mélenchon, ni pour ses troupes.
Mais il y a une échelle de gravité.
Et le Front National, rebaptisé "Rassemblement National", c'est pas juste un parti vaguement réac et vaguement populiste.
Marine Le Pen a mené une stratégie visant à faire oublier les origines de son mouvement et lui donner une apparence de respectabilité. Et Jordan Bardella, avec son allure de jeune cadre dynamique contribue à cette stratégie.
Mais derrière ?
On a beaucoup parlé des origines de ce parti : des anciens vichystes, des anciens collabos et des partisans de l'OAS. Ça peut paraître de l'histoire ancienne, mais ça ne l'est pas.
Déjà, celles et ceux qui se sont penchés sur le CV des candidats RN aux législatives ont découvert de sacrés numéros : des complotistes purs et durs, des fans de Vladimir Poutine, des soutiens affichés du GUD, etc. etc.
(Si vous êtes sur Twitter, jetez donc un œil à ce compte.)
Et surtout, on sait que tant Marine Le Pen que Jordan Bardella on réécrit leur propre histoire et que, derrière leurs beaux sourires, ils sont tous deux très proches de l'extrême-droite la plus nauséabonde. Pas mal de gens ont creusé le sujet et il y a de quoi avoir peur.
Et il y a à Moscou un autocrate nommé Vladimir Poutine qui est porteur d'une idéologie impérialiste et totalitaire et qui a noué des liens très étroits avec pas mal de partis d'extrême-droite. Dont le Rassemblement National. Et là, il y a danger aussi énorme que concret.
Et puis, concrètement, placer l'extrême-droite au pouvoir est plus facile que de l'en faire dégager. Vous vous souvenez de ce qu'il s'est passé lorsque Donald Trump a perdu l'élection présidentielle ? Et vous vous rappelez qu'il y a eu un truc du même genre au Brésil lorsque Bolsonaro a perdu ?
Il y a une échelle de gravité.
Je ne suis pas adepte de la politique du pire. Alors si j'étais dans la peau d'un citoyen français amené à choisir entre LFI et le RN, je glisserais un bulletin LFI dans l'urne.
Mais, ça, c'est si j'avais à choisir entre ces 2 maux.
Donc, si je me retrouvais au 2ème tour, dans une circonscription où s'affronteraient 1 candidature du Rassemblement National et 1 candidature de La France Insoumise.
Et je remarque que beaucoup des débats sur les réseaux sociaux se déroulent comme si c'était déjà le seul et unique choix de ces élections. On a ainsi déformé les propos de passablement de personnalités qui se sont exprimées en public, comme si le fait de ne pas vouloir voter pour une candidature LFI revenait forcément à voter pour le RN.
Ce n'est pas le cas, du moins pas au 1er tour. Et pour beaucoup de Français, ça ne sera pas non plus le cas au 2ème tour.
Je reste surtout déçu et en colère à la vue de ce spectacle. Il y a des problèmes qui sont connus et nommés depuis des années au sein d'une partie de la gauche française. Et depuis des années, les seules réponses que reçoivent celles et ceux qui soulèvent ces problèmes sont de ce genre :
"Mélenchon-bashing"
"Propagande des grands médias tenus par des milliardaires !"
"Macronard !!!"
"Tu veux l'extrême-droite au pouvoir ?
Etc, etc, etc.
Alors oui, on va me dire que LFI se présente au sein d'une coalition de gauche baptisée "NFP", le Nouveau Front Populaire. Mais c'est une coalition où LFI a obtenu une place prépondérante (non seulement par le nombre de circonscriptions attribuées, mais surtout par le nombre de circonscriptions jugées gagnables). Et entre les promesses à la "demain on rase gratis" et les flous savamment entretenus, je crois qu'il n'y a pas beaucoup d'illusions à se faire.
Je suis pessimiste.
Ce qu'il va se passer en France aura des retombées sur tout le continent européen. Et ça risque de faire du dégât.
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Comment mon père a voté aux élections européennes :
Il était en stress pendant deux semaines. Il suit pas trop la politique française mais il met un point d'honneur à voter. D'habitude il vote sans faute pour LR à toutes les élections mais depuis la guerre en Ukraine (et même depuis Fillon), le parti l'a dégoûté. Et puis doucement mais sûrement il vire de plus en plus à gauche. Il va finir bon centriste.
Du coup il était chaud pour voter la liste macroniste mais il a jamais pu identifier le bon bulletin parce qu'il cherchait le nom Renaissance et que les bulletins pour Hayer sont floqués majorité présidentielle.
Comme il sait que tout le reste de la famille vote EELV il a voulu voter pour eux mais il s'est paumé car pas moins de trois listes qui se qualifient d'écologistes, de couleur verte, étaient présentes et qu'il avait peur de voter pour des écofascistes sans faire exprès.
Il y avait selon lui que deux listes avec une affiliation claire et compréhensible : les frontistes avec leur "flamme sacrée montant du pays natal" (les vrais retrouveront les paroles), et les socialistes. Et il apprécie les positions pro Ukraine de Glucksmann
Et mon père, pourfendeur du communisme, fanboy de Thatcher et Reagan et grand apôtre du néolibéralisme, a voté pour les socialistes aux élections européennes.
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#Assassinats#thriller#suspense#Président#République#Luc Boutet#djihadistes#EELV#lesbienne#CIA#Paris#AMAZON
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Suite à la récente élection présidentielle au Sénégal, remportée par Bassirou Diomaye Faye, le Sénégal entent prendre pleinement son indépendance vis...
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Rassemblement à Montbéliard : hommage à René Dumont pour les 50 ans de son alerte sur l’eau
Un rassemblement est prévu à Montbéliard en hommage à René Dumont pour les 50 ans de son alerte sur l’eau ce jeudi 18 avril 2024 à 18h30 Parvis de la Gare, par Les Ecologistes Europe Ecologie Les Verts : "Il y a 50 ans, le 18 avril 1974, le précurseur de l'écologie politique René Dumont, dont nous sommes les héritiers de lutte, s'adressait aux françaises et aux français lors de l'élection présidentielle de 1974, pour alerter sur la raréfaction à venir de la ressource en eau en direct à la télévision avec un pull rouge et un verre d'eau. Aujourd’hui nous lui rendons hommage partout en France et montrons qu’en 50 ans tout s'est amplifié : on n'a soit plus d’eau, soit trop d’eau, et pratiquement toujours polluée par les pesticides et les fertilisants. L'extrémité des sécheresses et des pluies diluviennes sont les 2 faces d’une même pièce : un grand cycle de l'eau complètement détraqué par les aménagements de l'homme et le dérèglement climatique. Pourtant l’espoir existe, dont celui de l'écologie politique, comme l’a montré récemment la victoire des écologistes à l’Assemblée Nationale pour faire interdire les polluants éternels (PFAS) dans l’eau potable que nous buvons. Nous invitons pour cette occasion l’ensemble des médias locaux à se joindre à notre hommage lors duquel nous parlerons de la position des écologistes pour poursuivre, notamment dans le cadre des élections européennes, le travail et les combats de René Dumont pour préserver nos ressources et la nature. Les militants écologistes et notre candidate Anna Maillard seront disponibles pour des échanges et des commentaires sur la campagne électorale en cours". Read the full article
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4 avril : le Sénégal plus indépendant que jamais
C’est une célébration très sobre qui est annoncée pour la fête d’indépendance du Sénégal : cette année pas de grand défilé militaire sur le Boulevard De Gaule comme l’an dernier, pas de feux d’artifice… C’est le chef de l’État sortant, Macky Sall, face à l’incertitude sur l’issu du scrutin présidentiel, qui a annulé toutes les manifestations publiques sur l’ensemble du territoire. La fête nationale se limite à une levée des couleurs dans l’enceinte du palais présidentiel. Cet événement symbolique marque le début du mandat de Bassirou Diomaye Faye, qui a pris ses fonctions de président le 2 avril après son élection surprise au premier tour de l’élection présidentielle. Hier, il a nommé son mentor, Ousmane Sonko, à la tête du gouvernement. Cette alternance politique, qui n’était pas évidente il ya quelques semaine, a déjà donné lieu à des festivités, en particulier de la part de la jeunesse. Cette année, on refera pas la fête pour le Jour de l’indépendance.
Cette commémoration de l’indépendance coïncide très symboliquement avec l’arrivée au pouvoir d’un homme, Bassirou Diomaye Faye, qui a farouchement milité pour une rupture plus nette encore avec l’ancienne puissance coloniale qu’est la France.
Paris avait déjà pris ombrage de la non-condamnation par Dakar de l’agression russe, manière de montrer que le Sénégal n’était pas aux ordres des Occidentaux. Cela dit, arrivée au pouvoir le nouveau président a quelque peu modéré ses projets de rupture. La présence de soldat français sur le sol sénégalais n’est pas remise en cause, la disparition du franc CFA non plus, même si le nouveau président entend bien le réformer en profondeur. Le Sénégal du président Faye s’affiche plus indépendant sans toutefois tourner le dos à l’ancienne métropole comme l’ont fait le Mali ou le Niger récemment. Admirateur de Barack Obama et de Nelson Mandela, M. Faye se dit panafricaniste « de gauche » et prône le rééquilibrage des partenariats internationaux.
Cette Fête de l’Indépendance, qui est aussi la fête nationale du Sénégal, fait référence à l'accord signé le 4 avril 1960 entre la France et la Fédération du Mali, qui débouchera sur une indépendance proclamée le 30 juin suivant. Cette fédération fondée en janvier 1959 rassemblait, à l’origine, les colonies françaises du Dahomey (Bénin actuel), de Haute-Volta (devenu Burkina Faso), de l’ex-Soudan Français (le Mali) et du Sénégal. L’idée de l’époque, selon l’idéal panafricanisme, était de fonder de grandes entités politiques capables de tenir tête aux impérialismes européens et américain en Afrique. Mais, très vite les deux premiers pays se sont dissociés du projet et au moment de l’indépendance, il ne restait plus que le Sénégal et le Mali entre lesquels, les projets politiques ont rapidement divergé. Léopold Sédar Senghor (le leader sénégalais) était partisan du maintien des relations étroites avec l'ancien colonisateur français alors que Modibo Keita (leader malien) envisageait une africanisation accélérée et avait une position plus radicale. La rupture eut lieu le 20 août 1960, une semaine avant la première élection présidentielle. Finalement, Léopold Sédar Senghor y sera élu premier président de la toute nouvelle république du Sénégal le 5 septembre 1960. Contrairement à ce qui s’est passé dans certains pays d’Afrique, l’indépendance, longtemps réclamée avec le cri Mom sa reew ! (l’indépendance en wolof) aura été acquise sans violence.
La fête nationale du Sénégal commémore le 4 avril, jour où l’indépendance a été négociée et non celui où elle a été proclamée, le 30 juin suivant, une date qui n’est pas commémorée, pas plus que ne l’est le 20 août qui marque la rupture avec le Mali. À l’inverse, le Mali préfère célébrer sa seconde proclamation d’indépendance, celle du 22 septembre 1960, une fois la rupture avec le Sénégal totalement consommée.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde, 3 avril 2024
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