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#éditions Scrineo
aforcedelire · 7 months
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17 millimètres, Florence Medina
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Cet été, Mona a fait sa première fois avec Liam, qu’elle croise à chaque camp de vacances et pour lequel elle a toujours eu un coup de coeur. Sauf que le préservatif a craqué, et qu’elle n’a pas osé demander aux monos de les emmener en ville pour la pilule du lendemain. Et à la rentrée, six semaines plus tard, elle doit faire face à l’inévitable : elle est enceinte. 17 millimètres, c’est la taille de l’amas de cellules qu’elle héberge actuellement. C’est peu. C’est énorme. Surtout pour une jeune fille de 16 ans, presque 17. Heureusement, elle a le choix, et le droit d’avorter.
C’est le premier roman en vers libres que je lis, et je suis très contente que ça m’ait autant plu ! J’avoue être vachement hermétique à la poésie de façon générale, mais je pense avoir trouvé la solution. Donc trop bien ! 17 millimètres est un roman percutant et nécéssaire. J’ai adoré le lire, même si j’avoue que j’en suis ressortie un peu retournée. C’est à la fois tout en douceur et tout en puissance, c’est sororal, c’est féministe, forcément, et tout le monde devrait le lire. J’ai vraiment beaucoup aimé.
10/02/2024
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angelitam · 2 years
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Partageons mon rendez-vous lecture #08-2023 & critiques
Voici mes critiques littéraires sur Livres à profusion. De lune en lune de Lise Syven De lune en lune Lise Syven tous les livres sur Babelio.com Prends ma main de Dolen Perkins-Valdez Prends ma main de Dolen Perkins-Valdez – Editions Seuil En lecture, la suite de Kay Scarpetta avec Monnaie de sang de Patricia Cornwell Monnaie de sang de Patricia Cornwell – Editions Le Livre de…
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C'est Lundi, que Lisez-vous ? N°271
Cher.e.s voyageur.e.s, Comme tous les lundi, c’est l’heure du “C’est lundi que lisez-vous” je vous présente mes lectures passées, présentes et peut-être futurs. Ce rendez-vous a été mis en place par Galleane et repris par moi. Je suis heureuse d’être responsable de ce rendez-vous. Je curieuse de voir vos reprises, lectures passées, présentes et à venir :D. Après avoir été assez proche de la…
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isabelle201180 · 1 year
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Les énigmes de Philéas, tome 2 – Panique dans l’espace-temps ! par Mathieu Ughetti
édition Scrineo – 48 pages Présentation de l’éditeur :  Le passé et l’avenir se détraquent mystérieusement : rien ne va plus sur Terre ni dans l’espace… Heureusement, le professeur Philéas, un éléphant venu du futur, et les intrépides Zoé, Robin et Elsa sont là pour rétablir le bon déroulement des événements. C’est parti pour de […]Les énigmes de Philéas, tome 2 – Panique dans l’espace-temps !…
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Les noces de la renarde de Floriane SOULAS
Coucou, J’ai hésité à abandonner parce que les personnages manquaient de profondeur et des descriptions longues. Mais après une centaine de pages, j’ai été totalement dedans. C’est une belle enquête. #lesnocesdelarenarde #florianesoulas #éditionsscrineo
Fragment de livre en guise de mise en bouche : Elle dépassa des containers malodorants et s’avança jusqu’au mur. La mince fragrance s’arrêtait là. Un choc sourd résonna dans son dos. Mina se retourna brusquement. Une silhouette élancée bondit d’entre les poubelles. Le renard s’ébroua et glapit à son encontre. Mina fut certaine de le voir sourire. Son souffle gela dans sa poitrine. D’un autre…
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navisseli · 6 years
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La maîtresse de guerre
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Auteurice : Gabriel Katz
Maison d’édition : Pocket
Date de publication : 2014
Nombre de pages : 469
Genre : Fantasy
Ce qu’en pense Seli :
J’aime beaucoup le travail de Gabriel Katz, particulièrement ses romans de fantasy haletants et très bien menés. Rôliste, il a beaucoup joué et on sent très nettement l’influence du jeu sur son écriture, notamment la saga Le Puits des Mémoires, qui ressemble à une grosse campagne de JDR extrêmement prenante. Tout naturellement, j’avais très envie de lire ce roman (que j’ai même été me faire spécialement dédicacer pour marquer le coup...). Pour une raison très simple : son héroïne. Il ne faut pas se mentir, le travail de l’auteur me plait énormément, mais la place qu’il donne à ses personnages féminins demeure extrêmement limitée, toujours en position de subordination face à un homme au travers duquel elles existent. Avec un peu de chance, La maîtresse de guerre pourrait régler ce problème... 
Première constatation et grosse déception quand je me retrouve face à la couverture du roman en poche. Très sérieusement, c’est assez éloigné de ce à quoi je m’attendais. Pour vous donner une idée, voilà à quoi ressemble la couverture des éditions Scrineo :
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Où est passé le panorama censé nous inviter au voyage ? 
Disparu au profit de la représentation de l’héroïne Kaelynn dont la tenue est ... issue d’un fantasme ? Je ne vois pas d’autres façons de le dire... Bon la couverture originale prend bien le soin de mettre en valeur le fessier de la dame (c’est déjà pas très fin...) mais au moins on a autre chose à regarder. Chez Pocket, c’est la fête du slip de la sexualisation ! Je me passe de commentaire sur la ceinture et le pantalon (franchement ce serai pas plus pratique un pantalon de cuir plutôt que ce truc ridicule qui découvre des parties non protégées, pour aller se battre ?!), mais alors sur le plastron, l’illustrateur s’est lâché... Il ne semble pas que le roman précise que Kaelynn va au combat à moitié à poil, et je doute que l’enseignement de son professeur glorifie les armures où l’ennemi n’a que l’embarras du choix pour porter un coup mortel... Heureusement qu’on ne voit pas plus bas, on aurait sans doute aperçu un porte-jarretelles pour parfaire l’ensemble.
Mais le roman en lui-même au final ? Venons-y !
Globalement, je trouve ce roman assez en dessous de ce que propose l’auteur d’ordinaire. Lui qui travaille l’intrigue de façon assez complexe, ce roman m’a paru presque cousu de fil blanc en comparaison. L’ensemble est très fluide, mais les intentions de certains personnages sont tellement grillées que certains pourraient porter une pancarte “Je vais te trahir”, que ce ne serait pas plus flagrant. En dehors de ça, j’ai trouvé l’histoire rythmée, très prenante, offrant une diversité de situations et de paysages assez plaisante. L’auteur aime apparemment nous décrire les terres sablonneuses et les immenses palais du Sultanat, à tel point que quand il décrit certains bâtiments, on se croirait un peu dans le guide du Routard. Il a un réel don pour rendre ses descriptions extrêmement vivantes et plaisantes !
Contrairement à ce à quoi je m’attendais, l’intrigue est parcimonieuse en scènes d’actions et en combats épiques, ce qui les rend d’autant plus marquantes. Au final, Kaelynn n’est pas obligée de casser la gueule à des mâles alpha toutes les trois pages pour progresser... Bref, de ce point de vue là, la plume de Gabriel Katz, toujours aussi efficace, ne m’a pas du tout déçue, et même enchantée. 
On retrouve également sa créativité habituelle, avec la description du peuple des Waegs, qui selon moi aurait gagné à être bien plus au sens de l’histoire car ils auraient pu apporter une touche d’horreur à l’ensemble. Il y a aussi quelque chose que je tiens à souligner. Si le contexte est indéniablement celui de la fantasy, Gabriel Katz traite la magie de façon intéressante. Dans la plupart des œuvres de fantasy que je connais, la magie occupe la place centrale, au moins à cause d’un cataclysme annoncé ou à cause d’une vieille prophétie. Ici, nous n’avons qu’un personnage qui s’y connecte, clairement marginal, et qui l’utilise assez rarement... Ce parti pris me parait assez original pour être souligné ! Et je tient à préciser que cette énergie dans l’intrigue est ce qui a valu la plupart de ses bons points à ce roman et lui a permis de se hisser aussi haut dans mon estime. Car on va y revenir, mais ce roman traîne quand même pas mal de boulets...
Continuons sur les motifs de réjouissance ! Kaelynn est une héroïne vraiment sympa, sûre d’elle, avec un bon sens de la répartie et un culot qui m’a vraiment fait plaisir. A aucun moment, elle n’attend à ce qu’on lui fasse un cadeau, elle sait qu’elle doit oser et s’imposer pour obtenir ce qu’elle souhaite. C’est la seule solution qui s’offre à elle dans un monde extrêmement hostile aux femmes. 
Et finalement, il y a le reste, dont la majorité est plus faiblarde que mauvaise, même si certains points laissent vraiment VRAIMENT à désirer...
Parlons d’abord de ce qui est un peu embêtant et nuit à l’immersion... Le personnage d’Hadrian est un assez mauvais protagoniste masculin. Il est présenté comme un homme étranger au Sultanat qui a réussit à se hisser à la position très respectée de Maître de Guerre grâce à ses grandes compétences, digne, respectable et marié à une princesse. Jusque là ça va... De plus, il reconnait très vite les compétences de Kaelynn et ne la dénigre jamais au prétexte de son genre. Seulement, on ne sait rien de son passé à part cela (comment il est arrivé au Sultanat pas exemple), et ses codes moraux si dignes me semblent réellement bancales. Il se présente comme vertueux, et même si il en a le droit, il répugne à tromper sa femme (sauf quand Kaelynn va débarquer, on va quand même pas dire non quand la nana est une bonnasse !). Il jure à Kaelynn qu’il l’aime, puis quelques chapitres plus loin, la trompe ouvertement et sous ses  yeux pour lui apprendre à ne faire confiance à personne. Conseil inutile car nos deux tourtereaux ne vont pas tarder à se rabibocher en un temps record. Bref, Hadrian est un personnage vraiment moyen...
Vient ensuite la question des thèmes traités dans ce roman. On voit que l’auteur à comme intention (comme dans la plupart de ses romans), de prouver que le monde est gris, qu’il n’y a pas que des gentils et des méchants. Le propos tourne ici autour de la guerre. Les deux camps ne sont pas idéalisés, loin de là, chacun montrant une facette différente, mauvaise ou positive. Le Nord est un peuple sanguinaire et impérialiste qui déshumanise ses ennemis pour faire passer l’invasion auprès de sa population.Le Sultanat, quand à lui, est un pays aux castes sociales extrêmement hermétiques, pratiquant l’esclavage, extrêmement raciste et misogyne. Et Kaelynn, un être capable de prendre du recul et de comprendre ces travers, vit son aventure au milieu. C’est assez bien développé (ou presque, on va y revenir), mais le soucis est que la fin retourne un peu l’idée, en montrant que Kaelynn est prête à cautionner l’esclavage, au nom de la revanche personnelle. De même, la logique que développent les personnages est étrange, et je n’ai peut-être pas bien lu, mais le camp que choisissent les héros à la fin me semble un choix étrange.
SPOILER
Trahis par l’aristocratie du Sultanat, Hadrian et Kaelynn sont forcés de s’échapper et rejoignent les armées du Nord. Dans cette armée, ils sont considérés avec respect, à leur juste valeur après avoir démontré leurs compétences, et obtiennent des positions stables. Il me semble illogique que cela leur paraisse naturel de causer la perte du Nord, sachant que de retour au Sultanat, ils seront de nouveaux tolérés, mais toujours considérés comme des étrangers, avec haine et méfiance. 
FIN SPOILER
Passons à présent aux trucs réellement gênants, du genre à me faire souffler et lever les yeux au ciel, ou alors à rire jaune en plein milieu de ma lecture. 
Le plus évident, la caractérisation physique des personnages, elle pour le coup assez manichéenne. Dans la Maîtresse de Guerre, on peut identifier un méchant masculin au premier coup d’oeil, parce qu’il est... gros... Et être gros, ce n’est pas seulement une caractéristique physique, cela s’accompagne d’une tendance à la paresse, au laisser-aller et à la médiocrité. Exagère à peine, en tous cas, le premier ennemi à les trahir est décrit ainsi. Les femmes méchantes, elles, sont belles, tentatrices, menteuses, manipulatrices... En opposition à Kaelynn et Hadrian, qui sont beaux, minces, musclés et moralement bons (enfin selon l’auteur...). Au-delà des problèmes très évidents de grossophobie (OK pour inclure un personnage gros bien entendu, mais pourquoi y accoler en même temps tous les défauts qui viennent renforcer les discriminations ?) et de sexisme (ouhouhouh, la méchante est une salope manipulatrice, c’était tellement pas prévisible, on se marre...), cela vient alimenter mon moulin pour vous parler du gros soucis de ce roman : l’exotisation.
Le roman se déroule dans un pays rappelant très fortement le moyen-orient (un sultanat quoi), et univers de fiction ou pas, on peut faire un bingo de tous les clichés liés à cette région (indifférents aux cultures bien sûr) qui pullulent depuis le XIXème siècle et viennent alimenter le racisme. Je tiens bien sûr à rappeler qu’il ne faut y voir aucune malveillance de la part de l’auteur, à mon avis, il véhicule des stéréotypes dont il n’a même pas conscience, mais c’est bien pour cela qu’il faut le signaler. 
Sans faire un cours d’histoire, ce genre de vision des sociétés orientales vient d’un courant artistique (mais pas seulement), popularisé en Europe au moment où ces pays sont colonisés et deviennent “à la mode”, comme l’Egypte par exemple. On appelle ce courant l’orientalisme. Pour résumer, voilà les principales idées véhiculées et qui pourrissent encore la vie à des tas de gens aujourd’hui :
- Les femmes orientales ramenées à une image de sensualité renforcée par le fantasme du harem qui en font des clichés sur pattes. Un entre-soi féminin se développe et la peinture les montrera abondamment nues et alanguies après leur bain. C’est bien sûr destiné à l’imaginaire des hommes européens et le fantasme de la femme orientale persiste par exemple aujourd’hui par l’idée que le voile “cache” leurs corps voluptueux (je n’ai aucune source à faire valoir, c’est une interprétation personnelle qui m’est venue quand je me suis demandée pourquoi les hommes étaient si virulent à l’égard des femmes voilées au-delà de la question religieuse, ne prenez donc pas ce que je dis comme argent comptant). Par extension, le harem est aussi connoté comme un espace de complots et de trahisons. 
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Le Bain turc, de Ingres, 1834.
- Il y a aussi l’idée que la paresse est un mode de vie (un peu la version hardcore de la fameuse langueur méditerranéenne), avec cette image du sultan adipeux allongé avec indolence sur ses coussins. Du coup, vous entendre beaucoup de “spécialistes” dire aujourd’hui que la paresse est dans la culture de ”ces pays là”.
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La nouvelle favorite, de Barrati, 1889.
- Ce même tableau me sert aussi à évoquer la notion de dépaysement exotique et de richesses à profusion qu’on retrouve également dans ce courant. Ces pays étaient réputés croulant sous l’or et se vautrant dans le luxe, ce qui renforce l’idée de paresse. De façon plus lointaine et dans un contexte colonialiste, cette idée sert le propos de la nécessaire mise sous tutelle par les européens (”ils ne savent pas se gouverner eux-mêmes et se vautrent dans le luxe, déchargeons les de ce fardeau”).
Voilà, avec tout ça, il y avait sans doute plus d’un européen persuadé qu’à Istanbul, on pouvait rentrer dans un palais, y voir un monceau de richesses, des hommes gras en train de faire la sieste et des hordes de femmes nues dans des poses lascives. Est-ce qu’on retrouve tout ça dans le roman ? Plutôt oui :
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- Les bains des femmes sont de véritables paniers de crabes où les femmes nues en train de grignoter fomentent leurs trahisons. 
- Les généraux sont issus de l’aristocratie et passent plus de temps à faire des complots et des fêtes que de s’occuper de guerre, ce qui les rend incompétents. La preuve, sans Hadrian ils perdent peu à peu la guerre, et se voilent la face en se vautrant encore plus dans e le luxe.
- Les princesses sont des “assistées” infoutues de faire quelque chose par elles-mêmes sans s’aider de leurs servantes, ce qui causera leur perte.
Ce n’est déjà pas très reluisant, mais si on ajoute le dernier détail, le dernier cliché, vous verrez la pertinence de ce propos déjà bien trop long : le “sauveur blanc” et le whitesplaining. Car oui, rappelons que Kaelynn et Hadrian viennent du Nord : ils sont blancs dans une société aux caractéristiques moyen-orientales. Et le constat à ce niveau est assez accablant. Sans Hadrian, le Sultanat perd la guerre et prend même des décisions débiles. D’ailleurs, il les sauve à la fin avec son plan. Kaelynn émet un portrait très critique des femmes du palais : elle “constate” leur nudité aux bains, les trouve très superficielles et exècre leurs complots. 
FIN SPOILER
On est clairement sur un duo de héros blancs dans un milieu non blanc qui “explique” à des personnes racisées comment mener la barque du Sultanat (whitesplaining). C’est un peu moyen. Heureusement, cela est légèrement nuancé par la déconstruction du Nord, qui a des pratiques martiales sanguinaires et fait passer le peuple du Sultanat pour un groupe de cannibales sauvages et arriérés, cela fait que le cliché n’est pas complet et on peut même voir en émerger une critique vis-à-vis de la diabolisation des cultures étrangères à la notre. 
Après, il y en a sans doute qui me demanderont où est le problème, après tout, afin de faciliter les grilles de lecture, il est excusable que l’auteur recoure à des clichés. Oui, seulement ces clichés (comme de très nombreux clichés concernant les personnes non blanches ou non occidentales) perpétuent des stéréotypes avilissant pour les personnes concernées, alimentant allègrement le moulin du racisme. Alors oui, il y a des gens capables de prendre du recul, mais sachant que j’ai dans mon entourage des personnes qui ont déjà essayé de m’expliquer par A plus B, que “si les arabes et les noirs sont feignants, c’est parce que c’est dans leur culture” (véridique), il me semblait intéressant de faire un aparté pour démontrer que les clichés repris dans le roman ne viennent pas d’Orient mais d’une culture occidentale colonialiste. C’est dérangeant aujourd’hui de présenter ces clichés sans recul et sans nuance, car c’est bien de cela dont il est question dans ce roman, ce qui m’a un peu gâché ma lecture...
Voilà donc pour mon avis sur le roman. Je n’avais pas prévu de partir aussi loin sur l’orientalisme, mais cela me tenait à cœur. Je tiens à rappeler que je suis pas spécialiste du sujet, loin de là, donc si des gens ayant de meilleures connaissances ont d’autres éléments à partager, je les invite à le faire. Il n’en demeure pas moins que ce roman reste quand même d’assez bonne qualité, avec un propos de base louable qui vient corriger le principal écueil que je trouvais aux romans de Gabriel Katz. Dommage qu’il l’ait remplacé par un autre...
Ma note : 12/20
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contesdefleurs · 2 years
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Mes lectures : L'Éveil des Sorcières tome 1
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Titre livre/saga : L'Eveil des Sorcières
Autrice : Cordélia
Numéro : Tome 1
Édition : Scrineo
Genre : Jeunesse
Illustration : Aadorah
Parution : 2021
Note : 4.9/5
CW/TW : Indiqués dans le livre.
💗 : Coup de cœur
Résumé : Vous ne devinerez jamais ce qui m’est arrivé ! Après avoir causé un tremblement de terre à l’école, j’ai découvert que j’étais une sorcière ! Moi, Nora ! J’ai donc commencé mon apprentissage avec deux autres élèves, Maelys et Rajan, et Mme Wàn, ma prof de musique. Et oui, elle aussi, c'est une sorcière, je ne m’en serais jamais doutée !
Et puis, on a aussi découvert qu’un groupe de garçons de notre collège avaient mis en place un jeu hyper sexiste. Alors, on a décidé de se servir de nos pouvoirs pour leur donner une bonne leçon…
Suis les premiers pas de Nora en sorcellerie, aux côtés de Maelys et Rajan, dans une histoire bourrée de tendresse, de solidarité et d’humour !
Avis
Il s'agit du genre de livre que j'aurais aimé lire au collège. C'est entraînant, on suit Nora à chacun de ses pas, et comme toujours, Cordélia apporte de la diversité de manière maîtrisée. En plus d'aborder des questions sérieuses de façon mesurée, comme le harcèlement et le sexisme, tout en interrogeant nos outils et moyens de lutte quand on est jeune, l'autrice apporte une vision intéressante de la magie. À travers l'apprentissage de Nora, on ne (re)découvre pas seulement la magie, on apprend à grandir avec elle et ses ami-e-s, personnages attachants que nous retrouvons tout au long de la saga. Un tome touchant avec une touche d'humour. Je le recommande chaudement.
Liens de l'autrice
Où trouver l'illustratrice
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midnight-fantaisie · 2 years
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Les Noces de la Renarde - Floriane Soulas
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Informations générales
Titre : Les Noces de la Renarde
Auteur : Floriane Soulas
Édition : Scrineo (2019)
Résumé : 
“1467, Japon. Hikari, une kitsune, vit avec ses sœurs dans une forêt peuplée de petits dieux. Fascinée par les humains, la mystérieuse jeune femme s’intéresse de près aux villageois installés au pied de la montagne, et surtout à Jun, l’un des bûcherons. Mais le contact avec les hommes est formellement interdit par son clan...
2016, Tokyo. Mina a le pouvoir de voir et de côtoyer les yokaïs, esprits et monstres du folklore japonais. Solitaire à cause de ce don qu’elle doit cacher à tous, la jeune fille ne se sent pas à sa place dans la société. Jusqu’au jour où un esprit tente de s’introduire dans ses rêves et que sa camarade Natsume l’entraîne dans une chasse au démon à travers la capital... 
Deux univers se croises, deux destins s’entremêlent, entre quête d’identité et désir d’émancipation.
Avis personnel : 
Monde : 
Nous naviguons entre le Japon ancien et le Japon moderne. La fan du Japon que je suis avait des vues sur ce livres depuis un moment déjà et c’était vraiment sympa de jonglé entre le Japon de 1467 et le Japon de 2016.
Personnages : 
Hikari et Mina sont bien sûr les personnages principaux. Le contraste entre les deux est frappant. Hikari, kitsune puissante et sûre d’elle face à une jeune Mina qui ne sait quoi faire de ses pouvoirs.
Toutes les deux étaient attachantes de façons différentes. 
Natsume, quant à elle, me tapait un peu sur les nerfs mais bon... quand on voit son père, on se dit quand même que c’est un moindre mal...
Nous rencontrons aussi plein d’autres personnages et j’ai adoré Ryu le Tanuki, par exemple.
Histoire : 
Le résumé est assez fidèle à ce qui se passe dans le roman, pas de grande grande surprise. Nous suivons alternativement Hikari et Mina. Elles sont toutes les deux attachantes, comme je l’ai déjà dit.
Bien sûr, il se passe d’autres choses. Des camarades de classe possédées, le fantôme du gymnase, le chat-démon pas sympa et autres petits démons. 
Il y a quelques petites révélations, concernant le père de Mina par exemple, et Eri, la médium. 
Écriture : 
Elle est fluide et agréable à lire. Passer d’une époque à l’autre se fait sans trop de difficulté. De plus, on voit que l’auteur s’est beaucoup renseignée pour écrire et ses notes de bas de pages sont intéressantes pour ceux qui ne connaissent rien au Japon, afin de comprendre.
Je n’ai pas eu de grande surprise au cours de ma lecture. Je n’ai pas tout deviné avant que cela se passe, mais j’avais des soupçons et même si cela reste une lecture très agréable, je n’ai pas eu de grande surprise.
J’ai eu quand même un ou deux moments d’émotion au cours de ma lecture et franchement, “Les Oubliés de l’Amas” est dans ma PAL et ce sera avec plaisir que je me plongerai dans cette histoire de cette auteur à la plume intéressante.
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dingodelivres · 4 years
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Entretien passionnant et enrichissant avec l'auteur @arthur.tenor pour @ernestlire #miniernest (lien dans la bio) à propos de son ouvrage " La guerre des #youtubeurs " éditions @scrineo #romanados #cyberharcelement #data #scrineoengagé https://www.instagram.com/p/CLwkIoEHTMR/?igshid=1w1d2equzpwdr
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chevaliernoemie · 8 years
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Un de mes derniers projets en date ! La couverture du Secret de la Dame en rouge de Béatrice Bottet. Un roman jeunesse à paraitre en avril aux éditions Scrineo. Je me suis bien amusée sur celle-ci. Et vous pourrez également retrouver un petit habillage fait par ma pomme à l'intérieur  ;-) Pour celles et ceux qui veulent en savoir plus sur l'histoire, c'est par ici : http://scrineo.fr/boutique/roman/secret-de-dame-rouge/
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les-tentatrices · 6 years
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Le Cirque Interdit — Célia Flaux
Le Cirque Interdit — Célia Flaux
Le Cirque Interdit, Célia Flaux, Scrineo Editions, Version numérique et broché, février 2019
Je n’ai de cesse de crier mon amour pour les éditions Scrineo, alors quand j’ai reçu le Cirque Interdit, j’ai sauté de joie et je me suis jeté dedans à corps perdu. L’univers du cirque, l’idée d’en faire une dystopie, le petit côté italien… bref, tout pour me plaire ! Mais alors, de quoi ça parle ?
Nous…
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aforcedelire · 4 months
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Nos corps invisibles, Christine Féret-Fleury
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Lori, 16 ans, croyait partir en camp de vacances comme chaque été, pour se changer les idées et s’éloigner d’un quotidien qui l’étouffe. Mais son séjour va vite se transformer en cauchemar… Parce qu’elle ne se sent pas trop fille, pas trop garçon non plus, parce qu’elle se pose des questions et qu’elle aime les filles, les parents de Lori ont décidé de l’inscrire à une thérapie de conversion. Ça suffit les caprices, on va lui apprendre à devenir une vraie fille. Ça ne peut que lui faire du bien, que lui remettre les idées à sa place, en plus c’est le père Machin qui le leur a recommandé, ce « stage de développement personnel », aux parents de Lori.
Nos corps invisibles, c’est donc un roman qui parle des thérapies de conversion. Et c’est dur et compliqué à lire. Il m’a beaucoup marquée — la première partie de l’histoire se lit la boule au ventre. Certains passages sont vraiment choquants, et l’autrice explique leur nécessité par leur existence, simplement. J’en reviens pas qu’il y a vraiment des gens qui ont vécu ça, et des parents qui ont envoyé leurs enfants là-dedans. Et surtout, j’en reviens pas que ça soit interdit en France QUE depuis 2022, c’est honteux et ça n’aurait jamais dû exister de base. Si la première moitié du roman est intense, la deuxième est beaucoup plus légère et remplie d’espoir, avec un final vraiment positif, où on peut souffler.
Tous les ados devraient le lire, tous les parents, tous les adultes, tout le monde.
23/05/2024
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angelitam · 2 years
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De lune en Lune de Lise Syven
De lune en lune Lise Syven   tous les livres sur Babelio.com De lune en Lune de Lise Syven, présentation Après des siècles, l’humanité n’existe plus. Les animaux sont devenus gigantesques. L’Unique avait promis le retour de la splendeur. Yaël et Pomme vivent à Bau, au Temple. La magie est interdite mais elle intéresse les jeunes filles. Elles font partie des 10 enfants pouvoir qui ont des dons…
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C'est Lundi, que Lisez-vous ? #237
Bonjour, Cette semaine à 1000 est une réussite pour moi, j'ai tout déchiré. 1300 pages et plusieurs ouvrages écumés. La lecture reprend, le moral va à volo mais on continue. J'ai voyagé dans plusieurs univers et ça fait du bien l'évasion. Bonne lecture
Cher.e.s voyageur.e.s, Comme tous les lundi, je vous présente mes lectures passées, présentes et peut-être futurs. Ce rendez-vous a été mis en place par Galleane et repris par moi. Je suis heureuse d’être responsable de ce rendez-vous. Je curieuse de voir vos reprises, lectures passées, présentes et à venir :D. Cette semaine à 1000 est une réussite pour moi, j’ai tout déchiré. 1300 pages et…
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Les Imaginales 2018
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Sélection, pour l’auteure de “Naboja, la frontière interdite”, au speed dating  auteurs/éditeurs 2018, organisé par les Imaginales.
Rencontres extraordinaires avec différents éditeurs : Stéphane Marsan, éditeur et fondateur des éditions Bragelonnes ; Agnès Maro, pour les éditions Scrineo ; Pascal Godbillon, directeur de la collection Folio SF, Gallimard ; Camille Ragot, pour les éditions Oneiroi…
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Le mardi sur son 31 #29
Le mardi sur son 31 #29 Et j'ai choisi les noces de la renarde de Floriane Soulas !
Cher.e.s voyageur.e.s, Le principe est de présenter une citation extraite de la page 31 de ma lecture en cours. La citation est sensée être une phrase. Je préfère que ce soit un peu plus long. Ce rendez-vous hebdomadaire a été créé par Les bavardages de Sophie. Je participerais à ce rendez-vous ponctuellement, quand l’occasion se présentera. Voici un extrait de la page 31 de Les noces de la…
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