#école publique
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Parent d’élève
Bonjour Monsieur, Je viens à vous concernant l'oral blanc prévu samedi matin. Vous ignorez certainement que les élèves de cinéma ont leur bac (en dur) d'oral le vendredi matin. Or non seulement cette épreuve majeure (coef8) n'est pas sur pronote, mais aucun aménagement n'a été fait des cours pour permettre aux élèves de se préparer.
Pensez-vous que l'exercice de la philosophie, ou l'apprentissage (en temps de paix) peut se faire en circuit de peur (encéphale produisant des pensées réduites à la survie) et dans la fatigue? Pensez-vous aider les élèves en leur accordant si peu de valeur sur le plan organique? Non, nos enfants ne sont pas des machines à apprendre des lignes de cours fatigués.
Lorsque l'Ecole ne respecte pas leur chronobiologie ni leurs intentions véritables et voudrait, selon un projet bourgeois néolibéral, en faire des employés excepté les quelques "bons élèves" qui rejoindront les fabriques à dirigeants du centre; lorsque les enseignants (dont j'ai fait partie) acceptent cet ordre délétère et élitiste, cette brutalité faites à leurs élèves; quand le propre code de l'éducation n'est pas respecté, ni l'égalité des citoyens, ni la valeur d'une jeunesse reléguée dans ses quartiers, ni la nature bafouée par l'industrie comme les travailleurs, alors on construit la haine de soi et des autres. Avec une valeur anoptique, qui efface la centralité du regard omniscient de la technologie, donc le sens de cette architecture discrète qui canalise et débite les consciences (WWWEB).
Qu'il est difficile d'enseigner et d'aimer ce qu'on enseigne, quand le standard règne sur le particulier et que les talents des enfants se noient dans la rigidité des mailles du filet éducationnel, qui veut domestiquer avant d'élever.
Le règlement et le respect avant tout, mais non la logique et la valorisation. La sanction et la fatigue, non l'auto-évaluation et le plaisir, comme pourtant indiqués dans les manuels de pédagogie.Alors que font les élèves, assignés à l'obligation, à l'injonction méritocratique, en dehors de leurs compétences "naturelles", loin de leurs idéaux et de leurs centres d'intérêt? Ils mentent. A vous, à nous, à eux-même et au monde, comme l'institution le fait antérieurement.
Et sinon ils s'automutilent, se suicident, se perdent dans l'artifice d'une technologie ou d'une chimie compensatoire de leurs rêves. Et ceci est le fondement de la consommation néo-bourgeoise, de notre marché. La frustration généralisée.
Que cette réflexion soit un pivot, un levier, un cap pour toute conscience, et cela en fait un danger pour leur équilibre social et la société (bourgeoise) toute entière. Il convient donc que nous, adultes, les tenions éloignés des réalités, ou identifiées comme telles, qui sont les pièges de nos idéalités contraintes, qui montrent nos failles structurelles.
C'est la doctrine en cours pour la communication positiviste des systèmes marchands qui nous asservissent. Ce qu'on fait subir au client qui n'en attend pas moins pour le prix... Ce que j'appelle société de la com...
Concernant l'épreuve "en blanc", j'ai idée que ce sont ces idées noires qui façonneront les copies des élèves, et le blanc seing accordé à la fonction enseignante (ne serait-ce l'inspect.ric.eur) dépourvue de toute évalutation d'usage (par les utilisateurs) ramènera les conscience à la noirceur du continent de réalité déniée et occultée, dont la présente lettre entend laisser affleurer le socle fondant de pergélisol... Ce que je vois depuis fort longtemps est à la hauteur de nos institutions actuelles, et promet le pire pour nos enfants. Ce que je vois dans la scolarité de mon fils correspond à la description faite plus haut. Ses compétences ont régressées depuis 3 ans, dans les domaines le passionnant. Son rapport à la science et aux publications s'est amoindri.
L'École est donc, excepté pour les "brillants" destinés à l'élite, un moment d'ancrage mort, un temps inutile et dévalorisant pour une majorité d'élèves, et ceci du fait de sa construction et NON PAS des soit-disant "faiblesses" des élèves copiés collés sur les bulletins en plus des "il faut"...
Bien entendu, ce sont nous, les parents, qui sommes responsables du niveaux de nos enfants si, comme la prof principale nous l'avait rappelé le jour de la réunion collective, nous n'avions pas "mis des coups de pied au derrière" de nos chérubins... Blanc seing et irresponsabilité... Voilà ce qu'une pensée philosophique et politique pourrait amener un parent à exprimer en face d'un établissement, s'il n'était pas retenu par la peur d'entraver la scolarité de son enfant, en créant un dissensus frontal disruptif, et s'il avait l'espoir futile d'être écouté, lu ou juste entendu.
...En espérant vous avoir diverti à défaut du pire.
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Jewish Nathaniel Kurtzberg headcanons
It is canon that Nathaniel is Jewish, evident in his surname and absence from the Christmas special. However because "religion is a secular matter and cannot be portrayed in a children's TV show" (🙄), Nathaniel's heritage won't be represented in any of the episodes, so I'll be writing these headcanons.
Nathaniel (like Marinette, Adrien, and their classmates) was born between late 2000 and mid-2001.
The law on religious display in public schools (la loi sur les signes religieux dans les écoles publiques) was signed on March 15, 2004.
The law on face-coverings in public (la loi interdisant la dissimulation du visage dans l'espace public) was passed by the Senate on September 14, 2010.
TW for references of antisemitism and Islamophobia
Nathaniel's great-grandparents were German Jews who fled to France shortly before World War II
his family is not Orthodox but they are religious, they go to synagogue, celebrate the holidays, follow kosher, etc.
Nathaniel has always been a shy, quiet kid but his parents raised him to be assertive and to question authority if necessary
the first time Nathaniel realizes he is different is when he is three years old and starts preschool, during lunch he can't eat what the other children are eating in case the food is not kosher
his parents contact the preschool, who refuse to provide a kosher/pork-free option or let Nathaniel pack his own lunch, they compromise to let him go home for lunch instead
December rolls around, and the other children are excited about Christmas, except for Nathaniel, who is excited about Hanukkah but can't help but feel a bit left out
at six years old, another boy in his class starts running his hands through Nathaniel's hair out of the blue, "I heard that your people have horns, where are yours"
at eight years old, a girl in his class sees the gold Star of David necklace that Nathaniel always wears and starts bombarding him with questions
Nathaniel knows that she has no bad intentions but can't help feeling a bit uncomfortable and othered
at nine years old, during a class debate on the hijab ban, another boy says how anyone who wears their religious symbols are not truly French and should go back to where they came from, leaving Nathaniel flushing with shame and anger
at eleven years old, he begins attending Collège Françoise Dupont
on his first day of middle school, Principal Damoclés makes him remove his Star of David necklace
he is afraid but looks the principal straight in the eye and refuses, "this is my religion and my identity," he says, his heart pounding and his voice shaking
after a few more resists, Principal Damoclés suspends him
when he goes home to his confused parents, Nathaniel breaks down in tears as he explains Principal Damoclés suspending him on his first day of middle school for his necklace
his furious parents storm over to the school to confront the principal, demanding he allow their son back to school immediately and for him to wear the symbol of his religious pride
Principal Damoclés lets him back the next day but Nathaniel never wears his necklace to school again, only at home and in non-school settings
the day he returns to school, fellow classmate Alix Kubdel approaches him
Alix explains her family heritage: her family is of Algerian origin and Muslim, and while she can pass as white, her parents and brother have faced racism, Alix's mother have even had her hijab ripped off by an old white man on public transit and no one defended her
Nathaniel knows that he, as a white-presenting boy, cannot relate to the experiences of Alix or her mother, but appreciates having a friend who understands
he invited Alix to his bar mitzvah
he loves learning about the Holocaust, it is painful but his ancestors' strength and resilience make him proud, he can't stand how all of his classmates seem to stare at him during class whenever it comes up
in his third year, he is placed in Miss Bustier's class with Marinette Dupain-Cheng, Chloé Bourgeois, Sabrina Raincomprix, Rose Lavillant, Juleka Couffaine, Lê Chiến Kim and Max Kanté
when he arrives at school one morning he sees a swastika drawn in permanent marker on his desk, drawn by Chloé "Can't he make sushi like everyone else" Bourgeois
he reports it to a furious Miss Bustier, who sends Chloé to Principal Damoclés, who lets her off with a mere warning, which infuriates Nathaniel and his parents
as much as he wants to stay home from school the next day, Nathaniel is determined to not let Chloé win and shows up at school the next day
a sneering Chloé comes up to him, but before Chloé could open her mouth, fellow classmate Marinette Dupain-Cheng spoke up
"you suck, Chloé." Marinette glares at the blonde. "you speak of him as if he is below you, but he's got more nerve in his finger than your entire body"
Rose and Juleka join in, "Leave him alone, Chloé" "go pick on someone your own size, someone with an overinflated head like you"
Chloé started bullying Marinette
meanwhile, Nathaniel starts to fall for Marinette and becomes closer to Rose and Juleka
in the middle of his fourth and final year, he gets over his crush on Marinette/Ladybug and instead starts falling for Marc Anciel, with whom he works on their Ladybug comics
he confides his feelings for Marc to Alix
"you might be bi or pan," Alix, who is aromantic and an expert in LGBT terminology, explains to him
he first comes out as bisexual to Alix, who is nothing but incredibly supportive and proud of her best friend
Rose and Juleka (canon girlfriends!) are the next to know, and he grows closer to the girls than ever
Nathaniel is hesitant to come out to his parents, however: he feels like he is betraying the Jewish identity his parents instilled in him since childhood by coming out to them
he begins to research queer Jewish identity on the Internet and hears stories of others from all across the globe, who are queer, Jewish and proud
Nathaniel eventually asks out Marc, who agrees to be his boyfriend and he is happier than ever
Marc isn't Jewish but is more than happy to learn about Jewish culture and to fight anyone who dares to say anything antisemitic, whether about Nathaniel or not
since he started dating Marc, Nathaniel gains the courage to come out to his parents, who immediately accept him, much to his pleasant surprise
"you are our son, and our religion accepts everyone," his father says
"love is love, and if this boy Marc makes you happy, that's all that matters," his mother says
he gets into the same design school as Marc and Marinette for high school
in his first year of high school, he and Marc finally publish their Ladybug comics, which quickly become successful
towards his final years of high school, he begins studying for the baccalauréat while continuing his relationship with Marc and their comics and applying for his birthright trip
on his final year of high school, he passes the bac littéraire along with Marc and Marinette, and the three reunite with their middle school friends to celebrate
soon after graduating high school, he leaves for birthright (Alix cried buckets of tears at the airport)
the trip is the best ten days of his life, Nathaniel feels at home as he connects with other French Jews and Jews from across the globe and visits the cultural sites
shortly after his return to France, Nathaniel invites Marc to the Seine, where he gets down on one knee, much to the latter's delight (they both cry tears of joy that night)
his and Marc's wedding was the most beautiful day ever, they have a traditional Jewish wedding filled with ketubah, chuppah, glass breaking, joy, light and love
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Traits : Crasseux, courageux, instable, amoureux de la nature, hypersensible.
Souhait à long terme : Grand explorateur (échec).
Jules Le Bris est né le 28 décembre 1873 sur l'île ontarienne d'Hylewood, au Canada. Benjamin d'une famille de cinq enfants, fils d'un éleveur de chevaux et d'une écrivaine anarchiste, élevé par une bonne mexicaine qui lui apprend l'espagnol dès l'enfance, il fait sa scolarité à la petite école publique de l'île. Bon élève, il révèle cependant un comportement brutal, changeant, bagarreur et colérique, et, à partir de ses dix ans, il multiplie les fugues.
En 1884, après six jours de fugue, il est retrouvé inconscient et intoxiqué dans une fumerie d'opium à Kingston. Dès lors, des médecins lui diagnostiquent des "états-limites". Il est hospitalisé cinq mois. Pendant sa convalescence, son père l'introduit aux romans d'aventure et fait naître chez lui la passion de l'exploration et lui redonne un intérêt pour les études malgré ses difficultés d'apprentissage et son manque de mémoire, causés par le traitement qui lui a été remis à sa sortie de l'hôpital : un médicament à base de hachisch, pour lequel il développera une forte accoutumance et qu'il consommera jusqu'à sa mort. Malgré cela, il persévère dans l'étude de la géographie et de la linguistique arabe, avec le rêve de se rendre un jour en Egypte.
À l'âge de dix-neuf ans, en 1893, il épouse Eugénie Bernard, une jeune femme de l'île issue d'une famille pauvre et pieuse, dont il est amoureux depuis qu'il a treize ans et qu'il ne tarde pas à mettre enceinte. Mais pourtant, la même année, il saisit l'opportunité de partir travailler à Deir el-Bahari, en Egypte, sur un chantier de fouilles aux côtés d'une équipe suisse, anglaise et allemande et où il apprend la langue de Goethe. C'est le premier d'une série de quatre voyaes en Egypte : entre 1893 et 1897, entre 1898 et 1900, entre 1910 et 1914, puis entre 1918 et 1921.
Ses envies d'aventure le conduisent également à faire une expédition d'un an entre 1905 et 1906 au Nunavut, dans les terres sauvages polaires au Nord du Canada, dont il revient avec une cicatrice au visage suite à un affrontement avec une ourse polaire.
Ses voyages l'éloignent de sa famille plusieurs années consécutives à chaque fois, et marquent un fossé grandissant entre son épouse et lui-même. Chaque fois qu'il revient, le même cycle s'installe : voyant que sa femme lui en veut de l'avoir abandonnée avec leurs enfants, il intensifie ses efforts et son implication dans leur relation, puis quand Eugénie se réchauffe et que les chose s'améliorent entre eux, son égyptomanie le reprend et il repart en laissant sa femme éplorée et enceinte, ou avec un nouvel enfant en bas-âge.
En 1914, la Première Guerre mondiale éclate. Il s'engage volontairement dans le 22e Bataillon franco-canadien aux côtés d'une poignée d'autres hommes de l'île. Il s'embarque pour l'Angleterre le 20 mai 1915 à bord du Saxonia à l’âge de 41 ans, alors qu’il est marié avec 4 enfants - ce qui, normalement, devrait le dispenser de servir. Il est envoyé dans les tranchées pour la première fois le 20 septembre au sein de la 5e Brigade de la 2e Division canadienne près d'Ypres en Flandre en Belgique, où il est grièvement blessé par des éclats d’obus et où il perd une de ses jambes.
Il revient de la guerre changé, particulièrement nerveux et irritable, plus dépendant encore au hachisch, et agité par de nombreux cauchemars. Après trois ans de convalescence, il repart finalement en Egypte pour son quatrième et dernier voyage, qui ne se passe pas du tout comme prévu puisqu'il est rattrapé par la guerre civile égyptienne d'indépendance. Elle le contraint à se terrer deux ans dans le désert jusqu'à ce qu'il puisse fuir l'Egypte. Ce dernier voyage lui passe l'envie de l'exploration.
Quand il rentre, il a la désagréable surprise de voir que sa maîtresse égyptienne Layan, accompagnée de leur fille bâtarde Layla, a fait tout le chemin jusqu'au Canada pour le trouver et le forcer à remplir une fausse promesse qu'il lui avait fait, et a rencontré sa femme à la place... Comprenant que son époux a abusé de la naïveté d'une femme sans instruction, Eugénie s'est liée d'amitié à sa maîtresse et lui a offert un emploi ainsi qu'une éducation pour sa fille, qu'elle propose d'élever en tant que pupile aux côtés de leurs quatre enfants. Au lieu de s'opposer, les deux femmes font donc désormais front contre lui... Cela porte un ultime coup à son mariage.
La liste des griefs d'Eugénie, qui supporte sans broncher la défection de son mari, est d'autant plus longue que Jules part systématiquement dans les moments où elle a le plus besoin de lui. Par exemple, au moment de son départ en 1918, leur fille aînée Louise est portée disparue à la suite de la désertion de son fiancé et de l'annulation brutale de ses noces. Pour essayer de sauver son mariage, Jules entreprend d'adopter - sans l'assentiment de sa femme - une petite orpheline de guerre. Par ailleurs, Eugénie ignore que Jules a également un fils aîné caché de sensiblement le même âge que Louise, élevée par une de ses anciennes maîtresses et reconnu par le mari de celle-ci... Malheureusement, le divorce est illégal en Ontario, et le couple désuni est coincé ensemble.
Dans le même temps, les voyages successifs de Jules ont mis un coup dur à la famille Le Bris sur le plan économique, d'autant plus que leur seul entrée d'argent, les élevages Le Bris, ont été vendus pour financer le dernier voyage de Jules. La famille est donc contrainte à de nombreuses restrictions budgétaires, notamment en ce qui concerne l'éducation de leurs enfants, et Jules se montre de plus en plus anxieux et irritable à ce sujet. Si l'avenir de son fils aîné Lucien semble garanti malgré le manque de maturité de ce dernier, ce n'est pas le cas de son cadet Agathon, qui n'ose avouer à son père qu'il se destine à une carrière musicale...
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#lebrisdivers#Jules Le Bris
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Vous savez quoi ? Je pense que le SMIC devrait être à 2000€ euros par mois, et que l'âge de départ à la retraite devrait être à 55 ans.
Aussi je pense qu'il faudrait taxer sévèrement tous ceux dont la fortune dépasse 5 millions d'euros et utiliser toute cette thune pour financer les retraites, les hôpitaux, les écoles publiques, etc., et régler les crises de logement, comme ça on éradique les 43 milliardaires en rendant la vie plus juste pour les 67 autres millions de gens vivant en France, y compris celleux qui meurent dans les rues sous -4°C en hiver ou +40°C en été. En fait, en utilisant la fortune de Bernard Arnault uniquement, on pourrait rémunérer tout le reste de la France non pas à 2000€ euros, mais à 2400€ environ. Et c'est seulement la fortune d'un mec.
Imaginez si la fortune des 42 autres était dans les caisses de l'État.
#whatthefrance#par contre il est presque 2h du mat so i might be talking out of my ass#french politics#macron#la réforme des retraites#politique#bernard arnault#taxer les riches#les solutions sont pourtant tellement simples et j'ai salement les boules contre notre gouvernement de droite
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Elle s'est mariée à l'âge de 14 ans, et à l'age de 20 ans, elle devient mère. La première femme millionnaire qui a fait fortune avec ses 10 doigts.
Elle est entrée dans le Guinness Book of Records en tant que première femme à devenir millionnaire indépendamment, sans argent hérité. Sara Breedlove est née en 1867 dans le sud des États-Unis, dans l'État de Louisiane. Ses parents, ses frères aînés et sa sœur étaient esclaves dans les champs de coton. Mais Sara est née libre. À 7 ans, elle a perdu ses parents. Après la mort de ses parents, elle a emménagé chez sa sœur et son mari. Enfant, Sara travaillait comme femme de ménage et n'avait pas le temps de scolariser. Elle a plus tard indiqué qu'elle n'avait eu que 3 mois d'éducation formelle lorsqu'elle a fréquenté. Elle n'avait que 14 ans quand elle a épousé Moses McWilliams. Elle ne l'a pas fait parce qu'elle l'aimait la vérité était que le mari de sa sœur était un homme très violent, et le mariage était le seul moyen pour Sara de s'échapper de cette famille. 4 ans plus tard Sarah et Moïse avaient une fille ensemble. Son mari décédé elle est donc devenue veuve à l'âge de vingt ans. En 1888, Sara déménage à St. Louis. Ses frères y travaillaient comme coiffeurs. Elle a commencé à travailler dans une laverie et comme cuisinière pour payer les études de sa fille dans une école publique. Sara gagnait environ 1,50 $ par jour. Comme tous les travailleurs de la blanchisserie, Sara est tombée malade à cause de produits chimiques, maladie de la peau, manque d'eau et chauffage dans la maison ont fait que Sara à perdu ses cheveux. Grâce à ses frères, elle a appris les bases des soins capillaires. Eni Malon des produits capillaires, et la rencontrera plus tard en personne, elle commence à vendre ses produits dans la rue. Travaillant toujours pour Malon à 37 ans, elle déménage à Denver avec sa fille et commence à penser à sa propre gamme de cosmétiques pour les femmes afro-américaines. Après de nombreuses expériences, elle réussit et elle commence à construire sa propre entreprise. En 1906, Sara épousa Charles J. Walker est devenu plus tard célèbre sous son nom de famille.
Charles devient son partenaire commercial, il a fait de la publicité et a aidé sa femme avec la promotion. Sara a fait du porte à porte en essayant de vendre ses produits, mais aussi pour apprendre aux femmes comment prendre soin de leurs cheveux et coiffer. La même année, elle a décidé d'agrandir son entreprise, alors elle et son mari ont voyagé en Amérique. Sa fille a obtenu son diplôme d'école, alors elle a aidé sa mère. Deux ans plus tard, Sara déménage à Pittsburgh, la famille ouvre un salon de beauté, mais aussi une école qui forme les gens sur les soins capillaires afin qu'ils puissent appliquer les produits. En 1910, Sara déménage à Indianapolis, où elle ouvre le siège de la compagnie Madame C. J. Walker. Elle construisit une usine, un laboratoire, un salon de coiffure et une école de beauté où elle forme ses agents commerciaux. En 1917 elle employait 20 000 femmes. Ses agents gagnaient de 5 à 15 dollars par jour. Sara voulait que les femmes afro-américaines soient financièrement indépendantes, alors elle a encouragé les femmes à ouvrir leur propre entreprise et leur a appris à gérer l'argent. Plus elle devenait riche, plus elle passait du temps à des œuvres de bienfaisance elle a donné des conférences, s'est battue contre l'injustice sociale. Avant de mourir, elle a fait don de plus de 100 000 dollars aux pauvres et à diverses organisations et institutions sociales. Dans son testament, elle a déclaré que les 2/3 de ses futurs bénéfices devraient être reversés à une œuvre de bienfaisance. Elle est morte à l'âge de 51 ans. Elle était considérée comme la femme afro-américaine la plus riche. Quand elle est morte, on pensait que sa fortune se situait entre 500 000 et 1 million de dollars. Au cours de sa vie, Sara n'était pas millionnaire, seulement 2 ans après sa mort, sa richesse a augmenté, mais pendant qu'elle était en vie, elle voulait faire plus de bonnes actions.
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Le Messie Récalcitrant – Lachez Prise sur le Monde
Résumé de l'oeuvre " Le Messie Récalcitrant " de Richard Bach.
Vous êtes libre et ce monde n'est qu'une illusion
1. Il y eut un Maître venu sur la Terre, né dans lepays sacré d’Indiana, élevé dans les montagnesmystiques, à l’est de Fort Wayne.
2. Le Maître apprit de ce monde dans les écoles publiques d’Indiana puis, lorsqu’il grandit,dans son métier de mécanicien automobile.
3. Mais le Maître avait aussi reçu des enseignementsvenant d’autres pays et d’autres écoles,venant d’autres vies qu’il avait vécues. Il se lesrappelait ; et, se rappelant, il devint sage etfort, si bien que d’autres virent sa force et vinrentà lui pour des conseils.
4. Le Maître crut qu’il avait le pouvoir de s’aider lui-même et d’aider toute l’humanité ; et commeil avait foi en cela, pour lui il en fut ainsi, sibien que d’autres virent sa force et vinrent à lui pour être guéris de leurs soucis et de leursnombreuses maladies.
5. Le Maître crut qu’il était bon pour tout hommede se penser soi-même fils de Dieu, et comme ilavait foi en cela, il en fut ainsi ; et les magasinset les garages où il travaillait se remplirent etfurent envahis par ceux qui recherchaient son enseignement et son contact ; et les rues à l’entour débordèrent de tous ceux qui désiraientseulement que son ombre en passant puissetomber sur eux et changer leurs vies.
6. Et il advint, en raison des foules, que plusieurs contremaîtres et directeurs invitèrent le Maître àlaisser ses outils et à passer son chemin, car ilétait serré de si près que ni lui ni aucun autremécanicien n’avait de place pour travailler surles automobiles.
7. C’est ainsi qu’il s’en fut dans la campagne, etles gens le suivirent, commençant à l’appelerMessie et faiseur de miracles ; et, comme ilsavaient foi en lui, il en fut ainsi.
8. Si un orage survenait tandis qu’il parlait, pas uneseule goutte d’eau ne tombait sur la tête de l’assistance; le dernier dans la foule entendait ses parolesaussi clairement que le premier, quels que fussent l’éclair et le tonnerre à l’entour dans le ciel. Et toujoursil s’adressait à eux en paraboles.
9. Et il leur dit : « Au sein de chacun de nous setrouve le pouvoir de consentir à la santé et à lamaladie, à la richesse et à la pauvreté, à laliberté et à l’esclavage. C’est nous qui maîtrisonscela et nul autre.»
10. Un ouvrier prit la parole et dit : « Facile à direpour toi, Maître, car tu es guidé et nous ne lesommes point et tu n’as pas besoin de faire effortcomme nous faisons effort. Un homme doit travaillerpour vivre dans ce monde-ci.»11. Le Maître répondit : « Il y avait jadis, dansun village au fond d’un grand fleuve de cristal,des créatures.
12. « Le courant de ce fleuve glissait au-dessus detous — jeunes et vieux, riches et pauvres, bons etméchants, et le courant allait son propre chemin,ne connaissant que sa propre nature de cristal.
13. « Chaque créature à sa manière s’accrochaitétroitement aux branches et aux rochers du fonddu fleuve, car s’accrocher était leur mode de vie,et résister au courant tout ce que chacun d’euxavait appris depuis sa naissance.
14. « Mais une créature dit à la fin : “Je suis lasde m’accrocher. Bien que je ne puisse pas le voirde mes yeux, je crois que le courant sait où ilva. Je lâcherai et me laisserai entraîner où ilveut. À rester accroché, je mourrai d’ennui.”
15. « Les autres créatures éclatèrent de rire etdirent : “Idiot ! Lâche donc et ce courant que tuvénères te jettera, ballotté et meurtri, contre lesrochers, tu en mourras, et plus vite que d’ennui.”
16. « Mais l’autre ne tint pas compte de ces quolibets,et retenant son souffle il lâcha et fut aussitôtballotté et meurtri par le courant contre lesrochers.
17. « Or bientôt, comme il refusait de s’accrocher denouveau, le courant le souleva et le libéra dufond, et il ne fut plus bousculé ni blessé.
18. « Et les créatures vivant en aval, pour lesquellesil était un étranger, se mirent à crier :“Voici un miracle ! Une créature comme nousmêmes,et pourtant elle vole ! Voici le Messievenu pour nous sauver tous !”
19. « Et celui que le courant portait dit : “Je ne suispas plus messie que vous. Le fleuve se plaît ànous soulever et à nous libérer, si seulement nous osons lâcher. Notre véritable tâche c’est cevoyage, cette aventure.”
20. « Mais les autres criaient de plus belle : “Sauveur! Sauveur !” tout en s’accrochant auxrochers, et lorsqu’ils levèrent la tête unedeuxième fois, celui que le courant portait s’enétait allé ; alors ; restés seuls, ils fabriquèrentdes légendes à propos d’un Sauveur.»
21. Or il advint ceci. Il vit que la multitude s’amassaitautour de lui chaque jour davantage, plusserrée, plus proche et plus féroce que jamais ; ilvit qu’ils le pressaient sans relâche de les guérir,et de les nourrir sans cesse par des miracles,d’apprendre à leur place et de vivre leurs vies,alors il partit seul ce jour-là sur le sommetd’une montagne isolée ; et là il se mit à prier.
22. Et il dit en son cœur : « Être Radieux Infini, sitelle est Ta volonté, éloigne de moi cette coupe,tiens-moi à l’écart de cette tâche impossible. Jene peux pas vivre la vie d’une seule autre âme,et voici que dix mille implorent de moi la vie.Je regrette d’avoir permis à tout cela d’advenir.Si telle est Ta volonté, laisse-moi retourner àmes moteurs et à mes outils, et permets-moi devivre comme les autres hommes.»
23. Et une voix lui parla sur le sommet de la montagne,une voix ni mâle ni femelle, ni forte nifaible, une voix infiniment douce. Cette voix luidit : « Ta volonté soit faite, non la mienne. Carce qui est ta volonté, est Ma volonté pour toi.Va ton chemin comme les autres hommes, et soisheureux sur la Terre.»
24. Et le Maître entendit cela et s’en réjouit ; il renditgrâces, puis redescendit du sommet de la montagneen fredonnant une petite chanson de mécanicien. Etlorsque la foule le pressa de ses doléances, l’implorantde guérir, d’apprendre à sa place, de la nourrirsans cesse de son savoir et de la distraire avecses merveilles, il sourit à la multitude et il leur ditplaisamment : « J’abandonne.»
25. Pendant un instant la multitude demeura sansvoix, frappée de stupeur.
26. Et il leur dit : « Si un homme disait à Dieuqu’il désire plus que tout aider le monde souffrant,quel qu’en soit le prix pour lui-même, etsi Dieu répondait et lui disait ce qu’il doit faire,cet homme devrait-il faire ce qui lui a été dit ?»
27. « Bien sûr Maître ! cria la foule. Ce devrait êtreun plaisir pour lui de souffrir toutes les torturesde l’enfer, Dieu l’ayant demandé.»
28. « Quelles que soient ces tortures ? Quelle quesoit la difficulté de la tâche ? »
29. « Quel honneur d’être pendu ! Quelle gloired’être cloué à un arbre et brûlé si c’est là ce queDieu a demandé», dirent-ils.
30. « Et que feriez-vous, dit le Maître à la multitude,si Dieu vous parlait droit dans les yeuxet disait : “Je vous commande d’être heureuxdans le monde aussi longtemps que vous vivrez”,que feriez-vous dans ce cas ? »
31. Et la multitude demeura silencieuse ; pas unevoix, pas un son ne s’éleva des pentes des collines,par-dessus les vallées où ils se tenaient.
32. Et le Maître dit au silence : « C’est en suivantle chemin de notre bonheur que nous trouveronsl’enseignement pour lequel nous avons choisicette vie. Voilà ce que j’ai appris en ce jour, etj’ai choisi de vous laisser maintenant, pour quevous cheminiez sur votre propre voie, comme ilvous plaira.»
33. Et il alla son chemin à travers les foules et lesquitta, puis il retourna au monde quotidien deshommes et des machines.
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Évangile de Jésus-Christ selon Saint Marc 12,38-44
« En ce temps-là,
38 dans son enseignement, Jésus disait : « Méfiez-vous des scribes, qui tiennent à se promener en vêtements d’apparat et qui aiment les salutations sur les places publiques,
39 les sièges d’honneur dans les synagogues, et les places d’honneur dans les dîners.
40 Ils dévorent les biens des veuves et, pour l’apparence, ils font de longues prières : ils seront d’autant plus sévèrement jugés. »
41 Jésus s’était assis dans le Temple en face de la salle du trésor, et regardait comment la foule y mettait de l’argent. Beaucoup de riches y mettaient de grosses sommes.
42 Une pauvre veuve s’avança et mit deux petites pièces de monnaie.
43 Jésus appela ses disciples et leur déclara : « Amen, je vous le dis : cette pauvre veuve a mis dans le Trésor plus que tous les autres.
44 Car tous, ils ont pris sur leur superflu, mais elle, elle a pris sur son indigence : elle a mis tout ce qu’elle possédait, tout ce qu’elle avait pour vivre. »
Texte biblique tiré de « La Bible — traduction officielle liturgique — AELF »)
(Illustration du site Apprenez-nous à prier)
Commentaire Mc 12,38
« Méfiez-vous… » (Mc 12,38) Dans la bouche de Jésus, voici une parole inattendue ! Nous sommes dans les derniers chapitres de l’Évangile de Marc, avant la Passion et la Résurrection du Christ. Jésus donne ses derniers conseils à ses disciples. Quelques versets plus haut, il leur a dit : « Ayez foi en Dieu (11,22)… Tout ce que vous demandez en priant, croyez que vous l’avez reçu et cela vous sera accordé. » Un peu plus loin, il leur conseillera encore : « Prenez garde que personne ne vous égare… » (13,5). Ici, c’est quelque chose comme « Ne donnez pas votre confiance à n’importe qui ! » Il s’agit de certains scribes. Nous sommes peut-être surpris de cette véhémence de Jésus, mais elle relève du style prophétique : combien de fois avons-nous vu les prophètes employer un langage très violent pour stigmatiser certaines attitudes ; pour autant, il ne s’agit pas pour Jésus de faire en bloc le procès de tous les scribes. Les scribes jouissaient d’une grande considération au temps de Jésus, et elle était généralement justifiée. Qui étaient-ils ? Des laïcs qui avaient étudié la Loi de Moïse dans des écoles spécialisées, des diplômés de la Loi. Ils avaient le droit de commenter l’Écriture et de prêcher. Ils siégeaient au Sanhédrin, le tribunal permanent de Jérusalem qui se réunissait au Temple deux fois par semaine. Les meilleurs d’entre eux étaient nommés « docteurs de la Loi ». Le respect qu’on leur vouait était en réalité celui qu’on ressentait pour la Loi elle-même. Mais cette reconnaissance populaire pouvait bien monter à la tête de certains : dans les synagogues, ils avaient des places réservées dans les premiers rangs, et les mauvaises langues faisaient remarquer que ces places, curieusement, tournaient le dos aux Tables de la Loi et étaient situées face au public ! Jésus manifeste une très grande liberté à leur égard : dans les versets précédents, il a rendu hommage à l’un d’entre eux : Marc nous raconte que « Jésus, voyant qu’il avait fait une remarque judicieuse, lui dit : Tu n’es pas loin du Royaume de Dieu. » (12,34). Ici, en revanche, il semble les prendre à partie de façon plus générale ; en réalité, ce n’est qu’une réponse au harcèlement dont il a été l’objet de la part de certains d’entre eux, depuis le début de sa vie publique, et qui lui a fait prendre conscience de leur jalousie à son égard. Jésus est bien conscient de la haine dont il est l’objet, mais ce n’est pas cela qu’il leur reproche ; à ses yeux, il y a plus grave : « Ils dévorent les biens des veuves et, pour l’apparence, ils font de longues prières : ils seront d’autant plus sévèrement jugés. » Et voici qu’une veuve se présente, justement pour faire son offrande. Elle est pauvre, de toute évidence, Marc le dit trois fois (v.42, 43 « pauvre veuve » ; v. 44 « indigence ») : c’était malheureusement le cas général, car elles n’avaient pas droit à l’héritage de leur mari et leur sort dépendait en grande partie de la charité publique. La preuve de leur pauvreté est dans l’insistance toute particulière de la Loi sur le soutien que l’on doit apporter à la veuve et à l’orphelin, ce qu’un scribe ne peut pas ignorer, lui, le spécialiste de la Loi. La veuve s’avance donc pour déposer deux piécettes ; et c’est elle que Jésus donne en exemple à ses disciples : « Amen, je vous le dis : cette pauvre veuve a mis dans le tronc plus que tout le monde. Car tous, ils ont pris sur leur superflu, mais elle, elle a pris sur son indigence : elle a tout donné, tout ce qu’elle avait pour vivre. » L’évangile n’en dit pas plus, mais la réflexion de Jésus à son sujet laisse entendre que sa confiance sera récompensée… Sa confiance en Dieu va jusque-là. Jusqu’à prendre le maximum de risques, le dépouillement complet. (Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui d’une bibliste bien connue des catholiques de France : Marie Noëlle Thabut)
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Psy-op co-vide : le rapport de Stanford University
Un rapport explosif a récemment été publié par la Chambre des représentants des États-Unis concernant la campagne de santé publique sur le COVID-19 orchestrée par le Département de la Santé et des Services sociaux (HHS) des États-Unis. Ce document, résumé par le Dr. Jayanta Bhattacharya, épidémiologiste et professeur à l’École de médecine de Stanford, révèle une opération de propagande à grande échelle visant à manipuler l’opinion publique au sujet des vaccins COVID et des mesures sanitaires. Selon cette analyse, cette campagne a contribué à détruire le lien de confiance entre les citoyens et les autorités de santé publique.
Une Manipulation à Grande Échelle Financée par des Milliards de Dollars
Selon le rapport, l’administration Biden a dépensé près d’un milliard de dollars pour diffuser des informations trompeuses et créer un climat de peur autour du COVID-19. Ce financement massif a été alloué à une firme de relations publiques, la Fors Marsh Group (FMG), avec pour mission d’augmenter l’acceptation des vaccins COVID auprès du public. Les tactiques employées ? Exagération des risques de mortalité, minimisation de l’absence de preuves sur l’efficacité des vaccins pour arrêter la transmission, et promotion intense des masques et de la distanciation sociale.
En d’autres termes, le gouvernement a exploité des techniques de manipulation psychologique pour imposer des mesures sans fondement scientifique solide. Si une entreprise pharmaceutique privée avait agi de la sorte, elle aurait probablement été condamnée à une amende colossale, suffisant à la mettre en faillite.
Une Campagne de Peur et de Contrôle
Le rapport décrit en détail comment le HHS a orchestré une campagne médiatique massive, avec un mélange de publicités payantes et de messages subtils dans les médias. Ces messages étaient amplifiés par des influenceurs, des célébrités et même des sportifs, qui servaient à légitimer et répéter des informations non fondées auprès de la population.
Les messages de la campagne ne s’arrêtaient pas aux vaccins. Elle promouvait aussi la fermeture des écoles, la distanciation sociale, et l’utilisation des masques, souvent avec des messages exagérés et alarmistes, bien loin de la réalité des faits. En conséquence, le rapport affirme que cette propagande a contribué à l’érosion du capital confiance entre les citoyens et les services de santé publique.
Des Données “Scientifiques” Falsifiées
La campagne de la FMG s’appuyait largement sur les recommandations des Centres pour le Contrôle et la Prévention des Maladies (CDC), qui se sont révélées largement inexactes. Par exemple, la campagne affirmait faussement que les vaccins COVID empêchaient la transmission du virus, une affirmation contredite par de nombreuses études internationales. Pire encore, la CDC a exagéré les risques de COVID pour les enfants, malgré des preuves scientifiques montrant que le virus présentait un faible risque pour cette tranche d’âge.
Un Endoctrinement dès le Plus Jeune Âge
Une partie de la campagne s’adressait spécifiquement aux parents, les incitant à vacciner leurs enfants en déformant la réalité des risques. Les publicités allaient jusqu’à affirmer que le vaccin protégerait contre le “COVID long”, sans aucune preuve scientifique solide pour étayer cette affirmation. En raison de ce climat de peur généralisé, de nombreux parents se sont sentis contraints de vacciner leurs enfants, souvent sans une véritable évaluation des risques.
La Conséquence : Un Effondrement de la Confiance dans les Autorités Sanitaires
Avec des messages souvent contradictoires et basés sur des preuves erronées, la campagne a érodé la crédibilité de la CDC et d’autres institutions de santé. En conséquence, de plus en plus d’Américains remettent en question les conseils de santé publique, y compris pour des vaccinations essentielles comme celles contre la rougeole ou la polio. Cette méfiance envers les institutions pourrait avoir des conséquences désastreuses pour la santé publique à long terme.
Des Leçons Cruciales et des Recommandations Urgentes
Le rapport conclut avec plusieurs recommandations pour éviter qu’un tel fiasco ne se reproduise à l’avenir :
1. Redéfinir la mission de la CDC : Clarifier et recentrer la mission de l’institution sur la prévention des maladies.
2. Limiter les messages de santé publique : Le HHS ne devrait diffuser que des informations validées par la FDA, sans exagérations ni détournements.
3. Favoriser la transparence : Instaurer une culture de la transparence pour restaurer la confiance du public.
4. Encourager le débat scientifique : Ne plus étouffer les opinions divergentes, mais au contraire les accueillir pour renforcer la rigueur scientifique.
L’une des recommandations les plus cruciales est d’interdire au HHS de créer un faux consensus scientifique en supprimant les avis scientifiques divergents, ce qui a contribué à une pensée unique et aveugle au sein de la CDC.
Le rapport appelle le HHS à prendre ces recommandations au sérieux s’il veut regagner la confiance du public. Dans le cas contraire, le spectre d’une future crise de santé publique risque d’être accompagné d’une défiance massive, avec des conséquences encore plus graves pour la santé publique et la cohésion sociale.
#COVID19 #SantéPublique #Vaccination #ManipulationMédiatique #ConfiancePerdue #CDC #Propagande #RapportDévastateur #MesuresSanitaires #EnfantsEtVaccins #Désinformation #Pandémie #ConsciencePublique
Source : https://energycommerce.house.gov/posts/e-and-c-republicans-release-report-detailing-hhs-failed-covid-19-public-relations-campaign
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«Pourquoi brûlent-ils des écoles ?» par Laurence de Cock
Les plus empathiques parlent d’autodestruction. Les jeunes se saboteraient eux-mêmes. Mais dans la droite la plus extrême et dans certains médias d’information continue, on profite de ces actes, cette « violence aveugle », pour tourner en boucle sur la sauvagerie des jeunes, ces « nuisibles », comme les qualifient les syndicats UNSA-Police et Alliance réunis dans un infâme et séditieux communiqué. On fustige leur absence de scrupules et on voit bien là la preuve du caractère apolitique de leur colère. Ils n’attendaient que ça, disent-ils, piller et mettre le feu.
Les écoles, lieux d’injustice sociale
Mais pourquoi brûlent-ils des écoles ? La question ne se pose pas pour la première fois. En novembre 2005, cela avait déjà interpelé car 255 établissements scolaires avaient été touchés. Pour Laurent Ott, éducateur et pédagogue social, dans les quartiers populaires, depuis longtemps, les écoles incarnent le lieu de l’injustice sociale, et beaucoup d’adolescents n’en gardent pas un si bon souvenir que cela. Présentées comme les lieux de « promesse républicaine » aussi bien par l’institution que par les enseignants, les jeunes ne peuvent que percevoir le décalage entre ces beaux discours et leur réalité. Dans les quartiers populaires, l’école produit beaucoup plus de relégation que d’intégration.
Les sociologues Didier Chabanet et Xavier Weppe notent à leur tour que « la rage [des émeutiers] porte contre le quartier lui-même, elle n’a rien à négocier ». Ils confirment la révolte des jeunes contre des institutions publiques qu’ils méprisent en retour et miroir du mépris qu’elles leur ont fait subir. L’école n’est pas une cible collatérale, elle est au cœur des institutions ciblées comme mensongère. Lors d’entretiens en 2016 et 2017, les jeunes critiquent les enseignants « blancs », qui n’habitent jamais le quartier, qui ne les respectent pas, ne les félicitent jamais. Le ressentiment est lourd. Les bibliothèques, elles, ne seraient fréquentées que par à peine 10% des habitants en moyenne. Les deux sociologues notent alors l’échec patent d’une politique de la ville qui n’a jamais réfléchi aux modalités d’association des habitantes et habitants aux choix de transformations de leur quartier. Dès lors, toutes les institutions publiques apparaissent comme des excroissances qui au pire les écrasent ou rejettent, au mieux ne les concernent pas. L’école ne fait pas forcément exception.
Nos lycées brûlent
S’en tenir à ces explications ne suffit peut-être pas pour comprendre la place particulière occupée par les établissements scolaires dans cette démonstration de colère. Dans les années 1970, on assiste à une multiplication d’incendies criminels, par des élèves, touchant des écoles, collèges et lycées. C’est à l’occasion de l’incendie du collège Pailleron le 8 février 1973 que les médias commencent à interroger cela comme un phénomène de société. Pour les seuls mois de janvier et février, le journal Paris-Match en dénombre onze dans tout le pays …
Comme pour Pailleron, ce sont des incendies ou départs de feux faits par des élèves qui veulent se venger de situations ou propos humiliants. À Pailleron, le jeune Patrick 14 ans avait dit à la police qu’il ne voulait pas aller dans la classe surnommée « des déchets ». À Bobigny, ce sont les classes dites « pratiques » d’un CES qui brûlent, cinq baraquements en bois : « Mon prof nous a raconté que les autres profs lui disent sans arrêt : « tu as du courage de rester avec ces tarés » raconte un élève, ajoutant : « les portes n’ont même pas de poignées, elles nous restent dans les mains. Par moment il n’y a pas de carreaux, les extincteurs ils viennent les remettre pour l’enquête pour faire bien devant les inspecteurs, c’est parce qu’un mec a voulu mettre le feu ».
Deux ans plus tard, en 1975, on compte encore une quarantaine d’incendies criminels. Les conditions matérielles sont avancées comme principales causes à deux niveaux : d’abord parce que les constructions sont hautement inflammables et que tout départ de feu peut être fatal, comme à Pailleron ; ensuite parce que les établissements scolaires qui sont incendiés sont pour la plupart délabrés et renforcent le sentiment de honte des élèves qui y sont scolarisés.
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SOCIÉTÉ | Instruction primaire avant la Révolution : de la fable à la réalité ➽ https://bit.ly/Instruction-Primaire-Ancien-Regime Une étude menée à la fin du XIXe siècle sur nos anciennes écoles primaires infirme un courant d’opinion vivace voulant que l’instruction primaire ait été complètement négligée en France avant la Révolution de 1789, et imputant à l’Église cette prétendue négligence de l’instruction chez le peuple, au motif que l’ignorance publique lui permettait de se maintenir
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LÉGENDES DU JAZZ
BUD POWELL, LA DESCENTE AUX ENFERS D’UN GÉNIE DU JAZZ ‘’I think he was a genius. When I was coming up, our prophet was Charlie Parker, Charlie Parker was the guy. But Bud Powell, his improvisations were definitely on a par with Charlie Parker. If you’re thinking of the bebop style, Bud Powell was supreme. In fact, some people put him above Charlie Parker.”
- Sonny Rollins
Né le 27 septembre 1924 à Harlem, Earl Rudolph ‘’Bud’’ Powell était le fils de William Powell Sr., un pianiste de stride, trompettiste et joueur de trombone, et de Pearl Young, une violoniste. Powell avait deux frères, William (né le 15 mars 1923) et Richard Bertram (né le 5 septembre 1931).
Powell était issu d’une famille musicale. e frère aîné de Powell, William, jouait de la trompette et du violon. Le plus jeune frère de Powell, Richie, était aussi un pianiste de bop réputé.
Powell, qui avait seulement cinq ans au moment de la mort de son père, avait été élevé par sa mère avec ses frères.
À l’âge de cinq ans, Bud avait commencé à apprendre le piano d’un professeur indien appelé Rawlins. Deux ans plus tard, il avait été initié à la musique classique en jouant à l’église et dans les chorales de son école.
Bud avait fait sa première apparition publique dans un party où il avait imité le pianiste Fats Waller. La première pièce de jazz que Powell avait interprétée était ‘’Carolina Stout’’ de James P. Johnson.
Au printemps 1940, à l’âge de quinze ans, Powell s’était joint au groupe de son frère, les Skeets Powell and Hill Jolly Swingers. C’est probablement à cette époque que Powell s’était lié d’amitié avec un autre pianiste, Allen Tinney. Entre 1940 et 1942, avec Tinney et un autre pianiste, Gerald Wiggins, Powell avait commencé à fréquenter les clubs de Harlem, où il avait lancé des défis à d’autres pianistes.
D’abord influencé par la musique classique, Powell avait commencé à étudier le jazz à l’âge de douze ans. Ses premières influences en jazz avaient été les pianistes Fats Waller, Earl Hines, Jelly Roll Morton, Thelonious Monk et Art Tatum.
Après avoir entendu Art Tatum à la radio, Powell avait tenté d’imiter sa technique.
Après avoir étudié à la Wendell Phillips Academy, où il avait pris des leçons avec le docteur John DeMarco, Powell avait fréquenté le Conservatoire de Musique de Chicago. En 1935, alors qu’il avait treize ans, la mère de Bud lui avait offert un piano. À l’époque, Bud étudiait la musique classique au New York Conservatory of Music.
En 1938, à l’âge de seulement quinze ans, Powell était entré à la Juilliard School of Music, où il avait étudié la composition, l’harmonie, le contrepoint et l’orchestration sous la direction de Lennie Tristano.
Après avoir décroché son diplôme, Powell avait continué d’étudier avec Tristano durant sept ans. CARRIÈRE PROFESSIONNELLE Dans sa jeunesse, Powell avait assisté à des concerts à l’Uptown House, un club situé près de chez de lui, où il allait souvent voir jouer Charlie Parker et Thelonious Monk.
Powell avait amorcé sa carrière professionnelle comme membre de l’orchestre d’Artie Shaw en 1940. C’est là qu’il avait rencontré Charlie Parker qui était rapidement devenu son mentor et l’avait invité à venir jouer avec son groupe. Powell était demeuré trois ans avec Parker avant de se joindre aux Jazz Messengers d’Art Blakey en 1941. Lorsque Monk avait rencontré Powell pour la première fois à l’automne 1942, il avait été tellement impressionné par le jeune pianiste qu’il avait décidé de le présenter à ses musiciens du Minton’s Playhouse. Monk, qui avait vite pris Powell sous son aile, avait d’ailleurs composé une pièce en son honneur intitulée ‘’In Walked Bud.’’ Mais si Monk avait tendance à se servir du piano comme instrument de percussion, Powell se servait plutôt du piano comme un instrument à vent et tentait d’imiter les saxophonistes et les trompettistes qu’il admirait. Son style était une combinaison de musique classique et d’improvisation.
Au printemps 1943, le contrebassiste Jimmy Butts avait proposé la candidature de Powell pour jouer dans le Sunset Royals Orchestra, un groupe de danse dirigé par Doc Wheeler. Powell s’était rapidement lié d’amitié avec un des trompettistes de l’orchestre, George Treadwell.
Entre l’été et l’automne de 1943, Treadwell, qui était conscient que le talent de Powell était sous-exploité, avait décidé de quitter les Sunset Royals pour former son propre groupe avec Powell. Le trompettiste Cootie Williams, qui dirigeait son propre orchestre de danse, avait vu le groupe de Treadwell à l’oeuvre, et avait décidé par la suite d’engager plusieurs de ses musiciens, dont Powell.
À la fin de l’année 1943, on avait proposé à Powell de jouer avec le quintet d’Oscar Pettiford et de Dizzy Gillespie, mais, comme le groupe se produisait dans un club de nuit, la mère de Bud avait décidé qu’il était préférable que son fils continue d’occuper un emploi plus stable dans l’orchestre de Williams.
La décision de la mère de Powell était tout à fait pertinente car l’année suivante, Powell avait participé à quelques sessions d’enregistrement avec Williams. L’une d’entre elles comprenait le premier enregistrement de l’histoire de la pièce ‘’Round Midnight’’ de Monk. Le contrat de Powell avec Williams avait pris fin à Philadelphie en janvier 1945. Après le concert, Powell se trouvait près de Broad Street Station lorsqu’il avait été arrêté dans un état d’intoxication avancé par la police du chemin de fer. Un des policiers l’avait d’ailleurs frappé durement à la tête après qu’il ait résisté à son arrestation. Remis aux constables de la ville, Powell avait été brièvement incarcéré.
Dix jours après sa libération, comme ses maux de tête ne démontraient aucun signe de ralentissement, Powell avait été admis à l’Hôpital Bellevue, avant d’être envoyé à l’hôpital psychiatrique de Pilgrim State situé à une soixantaine de milles plus loin, où il était demeuré durant deux mois et demi. Il est très probable que les coups que Powell avaient reçus à la tête avaient provoqué une commotion cérébrale et avaient été la cause de ses fréquents maux de tête et de ses problèmes de comportement au cours des années suivantes.
Après sa libération en avril 1945, Powell était aller jouer à Manhattan avec le batteur Sid Catlett et le saxophoniste ténor Don Byas. C’est alors qu’il avait été recruté par le contrebassiste John Kirby afin de prendre la place du pianiste Billy Kyle avec son groupe.
En 1945-46, Powell avait enregistré avec Frank Sololow, Sarah Vaughan, Dexter Gordon, J.J. Johnson, Sonny Stitt, Fats Navarro et Kenny Clarke. Le 6 mars 1947, Powell avait dirigé ce qui avait sans doute été son premier concert sous son nom à Harlem.
Powell étant reconnu pour son habileté à lire la musique et à exécuter des pièces au tempo rapide, Charlie Parker l’avait choisi comme pianiste en vue d’une session d’enregistrement qui devait avoir lieu le 8 mai 1947 avec un quintet composé de Miles Davis, Tommy Potter et Max Roach. C’était la seule fois de l’histoire où Powell et Parker participaient à la même session d’enregistrement.
La seule autre session d’enregistrement à laquelle Powell avait participé en 1947 avait eu lieu le 10 janvier dans le cadre d’un enregistrement avec son trio formé de Curly Russell et Max Roach. UNE SANTÉ MENTALE PRÉCAIRE Le 14 novembre 1947, Powell avait eu une altercation avec un client dans un bar de Harlem. Au cours de la bagarre, Powell avait été frappé par une bouteille au-dessus de l’oeil. Lorsque les employés de l’hôpital de Harlem avaient examiné Powell, ils l’avaient trouvé incohérent et turbulent. Ils l’avaient donc fait admettre à l’Hôpital Bellevue, où il avait déjà été soigné précédemment. À leur tour, les employés de l’Hôpital Bellevue n’avaient pas su quoi faire de Powell et l’avaient envoyé au Creedmoor State Hospital, où il avait été gardé durant onze mois.
Powell s’était assez bien adapté à son séjour à l’hôpital, même si lors d’examens psychiatriques il s’était plaint d’avoir été persécuté en raison de sa couleur. De février à avril 1948, Powell avait été soumis à une thérapie par électro-chocs après avoir appris que sa petite amie Mary Frances Barnes était enceinte. La thérapie n’ayant pas produit les résultats souhaités, les médecins de Powell lui avaient administré une seconde série de traitements en mai. Powell avait finalement été libéré en mai 1948. Le 1er juin, l’amie de coeur de Powell, Mary Frances, avait donné naissance à son seul enfant, une fille qui avait été baptisée sous le nom de Cecelia June Powell.
Après avoir été brièvement hospitalisé au début de l’année 1949 après avoir enfreint les conditions de sa libération, Powell avait fait quelques enregistrements durant les deux ou trois années suivantes (notamment avec Sonny Rollins et Fats Navarro), principalement sous étiquette Blue Note, Mercury, Norgran et Clef. Powell avait également enregistré pendant l’été pour le compte de deux producteurs indépendants avec son trio habituel composé de Max Roach et Curly Russell. Les huit ‘’masters’’ qui avaient résulté de ces enregistrements n’avaient été publiés qu’en 1950, après que les disques Roost aient racheté les ‘’masters’’ et les aient publiés sous forme de 78-tours. Le musicologue Guthrie Ramsey avait écrit qu’avec cette session "Powell proves himself the equal of any of the other beboppers in technique, versatility, and feeling."
Le 17 septembre 1949, Powell avait signé le premier contrat de sa carrière avec le producteur Norman Granz. Powell avait fait ses débuts à Carnegie Hall le soir de Noël de 1949 avec son trio. Participaient également au concert le saxophoniste ténor Stan Getz, la chanteuse Sarah Vaughan, le pianiste Lennie Tristano et Charlie Parker.
Parmi les musiciens qui avaient participé à la session d’août 1949 pour Blue Note, on remarquait Fats Navarro, Sonny Rollins, Tommy Potter et Roy Haynes. Au nombre des pièces interprétées par le groupe, on remarquait ‘’Bouncing with Bud’’ et ‘’Dance of the Infidels.’’ La session de 1951 mettait en vedette le trio de Powell avec ses acolytes Curley Russell et Max Roach. Parmi les pièces enregistrées, on relevait ‘’Parisian Thoroughtfare’’ et ’’Un Poco Loco’’ Cette dernière pièce avait été sélectionnée plus tard par le critique littéraire Harold Bloom dans sa liste des plus grandes oeuvres américaines du 20e siècle. Les musiciens Ray Brown, George Duvivier, Percy Heath, Max Roach, Curly Russell, Lloyd Trotman, Art Blakey, Kenny Clarke, Osie Johnson, Buddy Rich et Art Taylor avaient participé aux sessions organisées par Norman Granz.
La rivalité de Powell avec Charlie Parker avait éventuellement semé la zizanie parmi les musiciens. La détérioration de la santé mentale et physique de Powell n’avait d’ailleurs guère contribué à alléger l’atmosphère.
Au cours des années 1950, Powell avait fait d’autres enregistrements pour Blue Note et Norman Granz, mais ceux-ci avaient dû être interrompus par un nouveau séjour en hôpital psychiatrique entre la fin de 1951 et le début de l’année 1953, après que le pianiste ait été arrêté pour possession d’héroïne en compagnie de Monk et de deux autres musiciens. Les quatre compères avaient été enfermés aux Tombs, un célèbre centre de détention. Powell avait d’ailleurs été de nouveau battu dans le cadre de son incarcération. Après avoir plaidé non coupable, Monk avait été condamné à soixante jours de prison. Quant à Powell, il avait été renvoyé à l’hôpital Bellevue, puis à Pilgrim, où il avait été déclaré mentalement inapte. Après une détention d’un mois, le directeur de Pilgrim avait recommandé que Powell soit gardé indéfiniment. Durant onze jours, Powell avait été soumis à une nouvelle thérapie par électro-chocs avant d’être finalement transféré à Creedmoor en août 1952.
Jugé incapable de gérer ses propres finances, Powell avait été placé sous la garde d’Oscar Goodstein, le propriétaire du Birdland, avec qui il avait signé un contrat de vingt semaines. Lorsque Powell ne jouait pas au Birdland, il avait des engagements à Philadelphie, à Washington ou à St. Louis. Jamais Powell n’avait été aussi occupé.
Le 9 mars 1953, Powell avait épousé Audrey Hill, une Californienne. Le mariage avait été arrangé par Goodstein, qui croyait sans doute que le fait d’être marié permettrait de rendre Powell plus stable et prévisible. Le couple ne s’était pas revu depuis que Powell avait été obtenu son congé de l’hôpital. Le mariage avait finalement été annulé en juillet.
En 1953, Powell avait enregistré pour Blue Note dans le cadre d’un trio avec George Duvivier et Art Taylor. La session comprenait l’enregistrement d’une composition de Powell intitulée ‘’Glass Enclosure’’, dont le titre était possiblement inspiré de son quasi-emprisonnement dans l’appartement de Goodstein. Le 15 mai de la même année, Powell avait participé au concert historique de Massey Hall à Toronto avec un quintet formé de Charlie Parker, Dizzy Gillespie, Charles Mingus et Max Roach. Le concert avait été enregistré par Mingus qui l’avats mis en marché grâce à sa propre maison d’enregistrement, Debut Records, sous le titre de ‘’Jazz at Massey Hall.’’
De nouveau été arrêté le 14 juin 1954, Powell avait été accusé de possession d’héroïne. Le procès avait finalement eu lieu au début de 1955.
Bien que Powell ait obtenu son congé de l’hôpital, la qualité de son jeu avait été affectée par l’ingestion de Largactil, un médicament qu’il prenait pour soigner sa schizophrénie. Le 26 juin 1956, la vie de Powell avait été encore plus assombrie lorsque son frère Richie et le trompettiste Clifford Brown avaient été tués dans un accident automobile. Après avoir passé plusieurs mois à l’hôpital, Powell s’était installé à Paris en 1959 avec sa nouvelle compagne Altevia ‘’Buttercup’’ Edwards et son fils John. Powell avait rencontré Edwards, une femme mariée, après son emprisonnement en 1954. Le couple s’était installé avec l’enfant à l’Hôtel La Louisiane. C’est Altevia qui gérait les finances de Powell et s’assurait qu’il prenne ses médicaments. C’est donc en grande partie grâce à elle que Powell avait pu continuer de jouer et d’enregistrer.
En juin 1960, Powell avait été l’invité de Charles Mingus au Festival de jazz de Juan-les-Pins. En avril 1961, Powell avait participé à une brève tournée en Europe avec Thelonious Monk, notamment à Marseille, Milan, Bologne et Rome. Powell, qui n’avait pas encore enregistré pour une compagnie de disques européenne, avait collaboré avec le saxophoniste Cannonball Adderley pour une série de deux albums en décembre 1961. En février 1962, Powell avait décroché un contrat au Café Montmartre de Paris, qui venait de réouvrir ses portes. Prévu initialement pour deux semaines, le contrat de Powell avait été prolongé de cinq semaines supplémentaires à la demande du pianiste.
En avril 1962, Powell, qui était de retour à Copenhague, avait reçu une offre d’une compagnie danoise qui lui avait fait enregistrer des classiques qu’il avait rarement joué en studio, notamment ‘’Straight No Chaser’’de Monk et ‘’Hot House’’, une pièce traditionnellement associée à Charlie Parker.
En décembre 1962, Powell, qui avait trop bu, avait été retrouvé complètement saoul dans les rues de Paris et avait été admis dans un hôpital local. Powell avait finalement été transféré dans l’aile psychiatrique de l’hôpital, avant d’être libéré grâce à l’intervention de son ami Francis Paudras.
En quatre mois, de février à juin 1963, Powell avait participé à plus de sessions d’enregistrements qu’il n’en avait fait en quatre ans. Powell avait fait des apparitions comme artiste invité dans deux de ces sessions. La première était dirigée par Dexter Gordon et la seconde par Dizzy Gillespie. DERNIÈRES ANNÉES En 1963, après avoir contracté la tuberculose, Powell avait été admis à l’hôpital de Paris. Powell ayant obtenu un contrat pour jouer au Birdland, il était de retour à New York le 16 août 1964. Neuf jours plus tard, il avait partagé la scène avec Horace Silver, John Coltrane, Charles Mingus et Thelonious Monk.
À l’époque, la qualité du jeu de Powell avait nettement décliné en raison de son alcoolisme. Lorsque Powell avait négligé de ses présenter le 11 octobre à un de ses concerts au Birdland, Goodstein avait décidé de le congédier.
Après des mois de découragement et de comportement erratique, Bud Powell avait été hospitalisé à New York à la suite de complications pulmonaires. Powell avait présenté son dernier concert le 1er mai 1965. Il avait été admis dans un hôpital psychiatrique à l’automne suivant.
Bud Powell est décédé le 31 mars 1966. Sa mort avait été attribuée aux effets conjugués de la tuberculose, de la malnutrition et de l’alcoolisme.
Plusieurs musiciens de jazz avaient rendu hommage à Powell. Dans son autobiographie, le trompettiste Miles Davis, qui avait un jour dit de Powell qu’il ne l’engagerait jamais dans son groupe parce qu’il était encore plus cinglé que lui, avait déclaré: "[He] was one of the few musicians I knew who could play, write, and read all kinds of music. Bud was a genius piano player – the best there was of all the bebop piano players." Le pianiste Bill Evans, qui avait toujours considéré Powell comme sa principale influence, lui avait rendu hommage en 1979 en déclarant: "If I had to choose one single musician for his artistic integrity, for the incomparable originality of his creation and the grandeur of his work, it would be Bud Powell. He was in a class by himself". De son côté, Herbie Hancock avait affirmé dans une entrevue au magazine DownBeat en 1966: "He was the foundation out of which stemmed the whole edifice of modern jazz piano". Le saxophoniste ténor Sonny Rollins avait également eu de bons mots pour Powell et avait commenté: ‘’I think he was a genius. When I was coming up, our prophet was Charlie Parker, Charlie Parker was the guy. But Bud Powell, his improvisations were definitely on a par with Charlie Parker. If you’re thinking of the bebop style, Bud Powell was supreme. In fact, some people put him above Charlie Parker.” Quant au pianiste Bill Cunliffe, il considérait Powell comme "the first pianist to take Charlie Parker's language and adapt it successfully to the piano."
En 1986, l’artiste Francis Paudras avait écrit un livre à propos de son amitié avec Powell. L’ouvrage a été traduit en 1997 sous le titre de ‘’Dance of the Infidels: A Portrait of Bud Powell.’’ Les souvenirs de Paudras avaient servi de base au film de Bertrand Tavernier, ‘’Round Midnight’’, qui était inspiré de la carrière de Powell et de Lester Young, et dans lequel le saxophoniste Dexter Gordon jouait le rôle d’un musicien en exil à Paris.
Bud Powell a influencé plusieurs jeunes pianistes au cours de sa carrière, plus particulièrement Horace Silver, Wynton Kelly, Andre Previn, McCoy Tyner, Cedar Walton et Chick Corea. Ce dernier avait d’ailleurs enregistré en 1997 un album entier consacré à Powell intitulé ‘’Remembering Bud Powell.’’ Grand innovateur, Powell avait été le premier pianiste à jouer des parties qui étaient initialement conçues pour des cuivres. Powell avait été mis en nomination à sept reprises pour un prix Grammy dans la catégorie de la meilleure performance instrumentale en solo. c-2023-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique.
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GRÈVE DE LA FAIM D’UNE USAGÈRE DE LA PSYCHIATRIE EN COLÈRE, EXTÉNUÉE MAIS PAS (DU TOUT) À COURT D’ESPOIRS
REVENDICATIONS
Liste complète sur g1graine.fr !
B/ ️ POUR LA NEURODIVERSITÉ, LA FIN DES DISCRIMINATIONS, L’INCLUSION DE TOUS-TES : “Rien sur nous sans nous”
🔎 Constat : les personnes neurodivergentes / en situation de souffrance psychique sont encore bien trop souvent stigmatisées par la société. Les associations censées défendre leurs droits sont pour une grande partie d’entre elles tenues par des aidant-es et non pas par les personnes directement concernées, Au même titre que les autres oppressions, la psychophobie se cumule avec d’autres systèmes de domination : seule une approche intersectionnelle globale est en mesure d’aider toutes les personnes directement concernées sans distinction, sur des principes d’égalité.
🎯 Objectifs : il faut impérativement changer les représentations et discours sur la neurodiversité pour qu’ils cessent de stigmatiser, voire d’inciter à la haine. Les personnes directement concernées par les problématiques de santé mentale doivent rester unies et solidaires dans les luttes pour leurs droits, malgré les tentatives de séparation entre “bons” et “mauvais” malades, les hiérarchisations, etc. La société dans toutes ses parties et dans tous les domaines doit favoriser l’inclusion des personnes neuroatypiques / en situation de handicap psychique / souffrant de troubles psychiques.
☑️ A mettre en place
Reconnaissance des discriminations psychophobes comme des délits discriminatoires
Sensibilisation de toute la société et tout le corps médical ainsi que la police (avec formations obligatoires) sur les violences exercées sur les personnes en situation de handicap psychique
Création de campagnes de prévention et d’information inclusives sur la santé mentale et contre la psychophobie (faites par les personnes directement concernées elles-mêmes)
Meilleure éducation sur le sujet par les personnes directement concernées à toutes les échelles de la société (école, travail, culture, médias…)
Fin de la pathologisation des personnes queer (trans, non-binaires, homosexuelles, bi, pan, asexuelles, intersexes, etc)
Prise en compte des dynamiques intersectionnelles dans les violences psychophobes et dans la prise en charge en santé mentale en général (par exemple : inégalités quand on est une femme, quand on est racisé-e, etc dans l’accès aux diagnostics et leur attribution)
Prise en compte de la parole des psychiatrisé-es/neuroatypiques lorsque sont signalées des VSS (violences sexistes et sexuelles)
Meilleur accompagnement des personnes psychiatrisées souhaitant devenir parent-es (fin de l’omerta sur cette question de la parentalité chez les personnes psychiatrisées, meilleur accès à l’information et arrêt des entraves plus ou moins implicites dans le processus)
Meilleure représentation des personnes handicapées dans tous les domaines de la vie publique et professionnels (y compris en politique et dans les médias)
Mise en place d’un système scolaire inclusif pour les personnes neuroatypiques ou ayant des problématiques en santé mentale
Abolition de la mise sous tutelle et de la privation de capacité juridique (cela doit être remplacé par un système assisté pour permettre aux personnes directement concernées de faire leurs propres choix)
Gestion plus participative des MDPH, en incluant des personnes directement concernées dans les décisions et les administrations
Arrêt des discours eugénistes sur les handicaps psychiques
Remise en question profonde du diagnostic HPI, des tests de QI, de l’étiquette empruntée à la médecine nazie “Asperger” ; fin des hiérarchisations des personnes sur la base d’une prétendue “intelligence” (toujours très mal définie ou trop restrictive au demeurant) ou sur l’utilité sociale
Arrêt des distinctions plus ou moins tacites entre les “malades légers” et les “malades sévères/profonds/irrécupérables”
Arrêt des représentations édifiantes, fétichisantes, paternalistes, dévalorisantes, déshumanisantes, diabolisantes du handicap psychique
Meilleure aide à l’enfance et prise en compte des violences intra-familiales qui se déploient de manière systémique dans toute la société
Plus d’inclusion des personnes directement concernées dans les processus de soins, les établissements de santé, les métiers de la santé mentale
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Toutes les revendications → https://g1graine.fr/ Signe la pétition → https://www.change.org/p/pour-la-neurodiversit%C3%A9-la-sant%C3%A9-mentale-et-une-grande-r%C3%A9forme-de-la-psychiatrie
#g1graine#psychiatrie folle de rage#sauvons nos folies#antipsy#anti psychiatry#psychiatrie#france#up the baguette#fols#mad pride
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Bonjour, bonne journée ☕️ 💼
École publique à Toronto 🇨🇦 Canada 1940
Photo Archives Toronto
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Vivre à Downhill
Petite ville américaine sans histoire de 35 000 habitants, Downhill ne fait pas vraiment parler d'elle en dehors de ses frontières. Tellement peu, à vrai dire, que beaucoup ignorent même son existence, tant il ne s'y passe rien d'intéressant.
Quelques détails 1 · À Downhill, tous les numéros de téléphone commencent par l'indicatif (745), au lieu de ceux qui sont généralement utilisés dans le reste de l'Indiana. Cet indicatif n'est utilisé nulle part ailleurs dans le reste du pays.
2 · En réglant sa radio sur la fréquence 28.9FM on peut y entendre être diffusé quasiment en continu la même chanson, I'm Waiting Just For You par Wanda Jackson, de 9 heures du matin à 9 heures du soir. Le reste du temps, on n'y entend que du bruit blanc, et, parfois, si on tend un peu l'oreille on peut entendre une voix mécanique répéter "Warwick. Gabriel. Kieran. Patrick." en boucle.
3 · S'il n'y a pas d'écrans plats à Downhill et que les gens préfèrent les télévisions à tube cathodique, ou même les téléphones à cadrans, ce n'est pas pour autant qu'on vit entièrement dans le passé. Internet est extrêmement rapide en ville et tout le monde utilise la fibre optique.
4 · Au sud de la ville, au-delà de Chester's Lake, une base aérienne abandonnée depuis plusieurs décennies a pris domicile dans les bois. Ses vieux hangars rouillés et ses bâtiments qui tombent en ruines ont tendance à attirer les squatteurs, les excentriques et les explorateurs urbains.
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🗺️ Localisation À Downhill, on aime plaisanter que toutes les routes mènent en ville. Et c'est vrai. Situé au nord de toutes les direction dans l'Indiana, si on ne la cherche pas, Downhill est très facile à trouver. Just 100 miles away.
🌡️ Climat Le climat en ville est dans la moyenne de l'état, en plein été il peut en général faire jusqu'à 29°C et jusqu'à -6°C en hiver. De temps en temps, il arrive que la météo se dérègle et qu'il se mette à neiger en été, ou qu'il fasse plus de trente degrés en hiver, mais qu'est-ce qu'on y peut, c'est la faute au réchauffement climatique.
🧑🤝🧑 Démographie Downhill est une ville très diverse, même si selon ses propres nombres, on y compte 28% de la population avec des origines afro-américaines ; 21% avec des origines asiatiques ; 18,9% avec des origines latino ; 6% avec des origines natives-américaines ; contre 60% avec des origines blanches.
🚖 Transports La ville possède une gare ferroviaire, la même depuis sa fondation, qui a toujours été en activité et est le principal moyen de transport utilisé par les habitants pour aller et venir de la ville à une autre. On y trouve aussi quatre lignes de bus, la ligne 1, la ligne 3, la ligne 4 et la ligne 5 qui desservent tout Downhill en continu jour et nuit, sauf le mercredi. Un projet d'aéroport est en discussion depuis 1941.
🎓 Éducation Si la ville ne possède pas sa propre université, on y trouve néanmois trois collèges, deux écoles maternelles, un lycée et un community college. 67% de la population a fait des études supérieures après le lycée, et 99% des élèves de Downhill mènent leurs études jusqu'au bout. (Le lycée de Downhill ne permet plus à ses élèves d'abandonner leurs études depuis 2001.)
👮 Criminalité Avec un taux de criminalité extrêmement bas, voire parfois inexistant, Downhill a de quoi se vanter ! Les habitants de Parker's Lane, en particulier, s'y sentent tellement en sécurité qu'ils n'ont même pas besoin de verrouiller leurs portes d'entrées. Sauf le mercredi, quand les chauffeurs de bus ne travaillent pas.
🏛️ Culture Juste en face de l'hôtel de ville, on peut trouver la seule bibliothèque publique de Downhill, elle y sert aussi à conserver les archives de la ville. En centre-ville, les curieux peuvent visiter le musée de la ville et son exposition quasi-permanente sur l'Egypte Ancienne. Et, finalement, on peut aussi trouver l'observatoire astronomique sur les collines de Cove Road.
🛎️ Services Downhill est l'une des rares villes américaines à encore pleinement employer un service de livraison quotidienne de lait à domicile. Tous les jours, de 4:00 à 6:00, en même temps que les éboueurs, les livreurs de lait parcourent la ville à bord de leurs camionnettes blanches et bleues, le pistolet à la ceinture.
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Une aide militaire sous conditions
L’aide au développement et l’aide en sécurité doit être conditionnée à l’adhésion aux valeurs humanistes des Lumières qui sont universelles.
Il ne faut pas soutenir un régime dictatorial qui oppresse sa population. Le soutien inconditionnel des Etats-Unis à Israël qui pratique un régime d’Apartheid contre les Palestiniens n’est pas normal. Cette aide aurait du être accompagné de contreparties. Le soutien de la France aux pays du Sahel contre les guérillas Islamistes ne s’est pas accompagné d’une exigence de démocratie et de développement humain. La protection américaine de l’Arabie Saoudite contre l’Iran et l’Irak a été fait malgré le fait que l’Arabie Saoudite fait la discrimination homme/femme, la torture, le régime dictatorial monarchique, etc. Au Gabon, la France a soutenu la dynastie Bongo au pouvoir pour permettre au pays de prospérer mais en échange on a pas demandé de progrès démocratiques et humains. Du coup maintenant les Gabonais se sont d��tournés de la France. Au Mali, il n’y a pas eu d’exigences à l’aide militaire, les Maliens ont vu que cela protégeait le dictateur au pouvoir et se sont tournés vers les milices Wagner. Cela crée du ressentiment dans la population. C’est une trahison des valeurs universelles de la DUDH.
A Taiwan, en Ukraine ou en Corée du Sud, la protection de l’Ouest a ses exigences en terme d’élections, de progrès humain de lutte contre la corruption. Ces pays ont fait des progrès humains formidables: ce sont de vraies démocraties respectant les droits de l’homme, avec de vraies élections, sans persécutions des femmes ou LGBT+, ils n’agressent pas leurs voisins, etc. C’est donc possible.
Dans la nuit du 13 au 14 avril 2024, l’Iran a lancé une salve de 300 missiles et drones sur Israël dans le but de tuer un maximum de gens sans pouvoir discriminer civils et militaires. C’est un crime de guerre. Si l’Iran ou ses alliés au Moyen Orient venaient à renouveler une telle attaque, Israël aura besoin de l’aide militaire des pays occidentaux pour la défense de sa population. Cette aide doit être sous conditions: l’arrêt des massacres à Gaza, l’arrêt de la violence dans les territoires occupés et la fin du régime d’Apartheid contre les palestiniens. L’aide de l’Ouest s’arrête au respect des valeurs humanistes universelles. La déclaration des droits de l’Homme est universelle. Ce n’est pas du néo-colonialisme, il n’y a pas d’occupation e ce qu’ils font est inacceptable. Ils sont signataires de la DUDH.
Si un régime est aidé sans adhérer à ces valeurs quelles seront les conséquences? Le soutien inconditionnel à Israël a aussi conduit à soutenir le gouvernement israélien qui massacre des Gazaoui en toute impunité.
Il faut négocier ces conditions publiquement. Il faut que les violences s’arrêtent. Il faut que quand l’Occident arrive, il y ait de la sécurité, des écoles, la santé, du développement et de la prospérité. Sinon, la déception est grande et cela nourrit le fait que les populations se détournent de l’Occident.
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Conditional military assistance: https://www.aurianneor.org/conditional-support/
Quand la force est légitime: https://www.aurianneor.org/quand-la-force-est-legitime/
Pour une défense européenne: https://www.aurianneor.org/pour-une-defense-europeenne/
Le compas moral: https://www.aurianneor.org/le-compas-moral/
Immigration: https://www.aurianneor.org/immigration/
Liberté et vivre ensemble: https://www.aurianneor.org/liberte-et-vivre-ensemble/
Comment regagner la confiance?: https://www.aurianneor.org/comment-regagner-la-confiance/
Police et justice pour le peuple: https://www.aurianneor.org/police-et-justice-pour-le-peuple/
Guerre et Paix à l’ONU: https://www.aurianneor.org/guerre-et-paix-a-lonu-en-1961-lavion-du/
Les rouges et les jaunes: https://www.aurianneor.org/les-rouges-et-les-jaunes-foulards-rouges-contre/
La preuve qu’on sait ne pas se battre. – Quand la force n’est pas légitime…: https://www.aurianneor.org/la-preuve-quon-sait-ne-pas-se-battre-quand-la/
Arrête de financer la haine: https://www.aurianneor.org/arrete-de-financer-la-haine/
Police, Armée: https://www.aurianneor.org/police-armee-manif-des-policiers-je-suis-gilet/
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