#écoféminisme
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Série Infinita, projet Les Désobéissances, par Elsa Leydier
Dans INFINITA, Elsa Leydier choisit de prendre place dans LES DÉSOBÉISSANCES, en partant de photographies de son propre corps. Elle propose, dans ce travail encore, de s’émanciper des diktats de la beauté des corps féminins.
L’artiste intervient plastiquement sur un ensemble de photographies de son corps. Elle procède de manière instinctive, à l’aide de diverses techniques (peinture, collage, dessin...), en choisissant volontairement de ne pas utiliser de logiciels de retouche de type Photoshop — outils par excellence de la construction du corps féminin normé, du modèle unique de corps proposé par notre culture visuelle.
Il s’est agi pour l’artiste de trouver des formes uniques aux représentations de son corps, afin de s’affranchir du seul modèle vers lequel elle s’est sentie obligée de tendre toute sa vie — en tant que personne reconnue comme femme par notre société.
En créant de nouveaux possibles, lui offrant de nouvelles destinations, dans INFINITA, Elsa Leydier se réapproprie, "reclaim" l'image de son corps. Elle s’affranchit du modèle de corps féminin imposé par le capitalisme créé dans le but de constituer une source de rentabilité et de profit.
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"Aujourd’hui on va vous parler de Françoise d’Eaubonne, son histoire va vous plaire si vous vous intéressez à l’écologie ou au féminisme, puisque cette millitante et femme de lettre est une des pionnières de l’écoféminisme. C’est vrai qu’on parle souvent de mai 68 et des années 70 dans cette émission mais vous allez voir, si Sandrine Rousseau vous fait peur, vous n’êtes pas prêts pour Françoise d’Eaubonne ou pour les autres féministes de cette époque."
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#vidéo très cool sur la militante qui a créé le terme écoféminisme et les mouvements activistes de l'époque !!#entries#french side of tumblr#videos#upthebaguette#french politics#history#feminism#Youtube
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Un amphithéâtre
Il était une fois un amphithéâtre. Une femme s’avance. Chignon blond, costume tailleur, rouge à lèvre et pour son assemblée un grand sourire. Elle est fière, sur son regard ça se voit, dans son discours ça s’entend. La voilà qui commence par une pluie de remerciements. C’est un bien joli cadre pour parler de féminisme et d’écologie, politiser ces luttes, en faire un front commun, telle la thématique du jour : l'écoféminisme ! Les autres femmes et leurs chignons applaudissent. Bravo, bravo ! Quelles belles idées ! Oui soyons toutes sœurs, trions nos déchets et mangeons bio ! La satisfaction se lit sur leurs visages. Que de bonnes intentions en perspective ! Oui, c’est certain, le monde changera enfin sous les belles actions de leurs petites mains manucurées ! Au fond de la salle, elle les regarde, toutes mignonnes à s’agiter parler compost et graines de courge, elles ont tout compris, oui, c’est ça… Elle pourrait crier et s’énerver, casser l’ambiance, reprendre son étiquette de rabat-joie en insistant sur les enjeux décoloniaux, sur la place des pauvres dans les luttes écologistes et des autres minorités, les queers, les racisées, les invalides, à oser parler d’oppression et de radicalisation… Oui, elle pourrait prendre le rôle de la angry black woman puisque c‘est ce que tout le monde attend d’elle, si facile à incarner quand on se retrouve seule au milieu de jolies bourgeoises trop parfumées qui croient avoir tout compris à la vie. Elle pourrait, oui, et parfois elle le fait et elle l’assume. Ce qu’on pense d’elle n’est pas son problème, tant qu’elle aura des choses à dire, elle les dira. Même s’il faut parfois crier pour se faire entendre. Et quand ça ne suffit pas, elle se lève et elle s’en va, claquant la porte sur tous ces jolis sourires. La rabat-joie, c’est elle, oui, et bien tant mieux. Si sa colère permet de faire entendre les histoires et les voix de toustes celleux qui dévient et dérangent, ainsi soit-elle. Son écoféminisme sera pluriel, émotionnel et rebelle ou il ne sera point.
#women#my art#my post#art#illustration#ethics#illustrator#artists on tumblr#ecology#ecológico#ecofeminism#angry black woman#black women#my text#my artwork#my#my writing#creative writing#writers on tumblr#writing#illustragram#illustrative art#drawings#tumblr draw#drawing#my draws#hand drawn#artist#artwork#digital art
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big dunc écoféminisme tattoo incoming 😁
I CAN'T BELIEVE I MISSED THIS ASK LAST NIGHT.......... ECOFEMINIST BIG DUNC RADIATES SO MUCH POWER HE WOULD BE A RENEWABLE SOURCE OF ENERGY TRULY
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[VIRAGO] Écoféminisme : Vertes de rage ? Qui sont vraiment les écofémini...
#Video#History#Virago#Ecofeminism#French Language#Françoise d'Eaubonne#Rachel Carson#Wangari Maathai#Vandana Shiva#Chipko movement
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NOUS SOMMES L'EAU ET LE FEU
Chat alors
Trump en avion
Contre un écoféminisme
Empire rouge par le ping-pong
Esprit rien que globalisation
L'individu remis en question
Des anges étant pires que
De mauvais démons
Dimanche 29 septembre 2024
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Dans « Féministes des champs », la sociologue Constance Rimlinger explore des modes de vie alternatifs
See on Scoop.it - Les Colocs du jardin
Dans « Féministes des champs », la sociologue Constance Rimlinger explore des communautés lesbiennes et/ou queers. Cet « écoféminisme en acte », ces modes de vie alternatifs, sont porteurs « d’une autre manière d’être au monde ».
Lesbiennes, queers... Quand des minorités retournent à la terre "Le « retour à la terre » apparaît aujourd’hui comme une pratique significativement présente dans les communautés LGBTQI+ . À défaut d’en connaître précisément l’ampleur, on ne peut que constater que la présence queer dans les campagnes est, en France du moins, de plus en plus visible : les (...)"
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"Le mouvement, qui vise à « injecter une conscience féministe au mouvement environnemental » et « une conscience environnementale au mouvement féministe », selon la formule de la sociologue Ariel Salleh [3] remonte à quelques décennies. Il connaît aujourd’hui un second souffle, que l’on observe des pancartes en manifestation aux étals de librairie. En témoignent les parutions récemment consacrées à Françoise d’Eaubonne, théoricienne capitale pour l’écoféminisme et autrice du Féminisme ou la mort, publié en 1974 ; le travail de recherche et d’édition porté par Isabelle Cambourakis et la collection Sorcières ; ou encore la généalogie politique et intellectuelle esquissée par Cy Lecerf Maulpoix dans Écologies déviantes, qui met au jour les liens historiques entre les luttes LGBTQI+ et les combats pour la justice climatique.
Le travail de Constance Rimlinger explore une « nébuleuse » d’initiatives dans laquelle on distingue trois grandes catégories de communautés rurales, réunies par leur volonté de proposer des alternatives aux systèmes économiques, sociaux et politiques dominants ainsi que par le travail de la terre effectué de différentes manières par les habitantes."
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Le Petit Robert dévoile ses nouveaux mots écolos
Agrivoiltaïsme, écoféminisme, climaticide... Plusieurs mots en rapport avec l'écologie seront présents dans la nouvelle édition du dictionnaire.
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Pour notre cours d'écoféminismes et féminismes décoloniaux Am et moi on doit rendre un travail de groupe et la prof nous encourage fortement à faire quelque chose de créatif. Autant vous dire que je vais pas gâcher une des seules opportunité de mon cursus de faire autre chose d'un travail en Times New Roman 12 interligne 1.5
Du coup Am veut faire un poème ce qui est giga cool et moi j'ai trop envie de peindre mon idée ça serait une vulve composée de divers éléments qui représentent les écoféminismes et féminismes décoloniaux mais jsp encore réellement quoi
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Nature, magie et écoféminisme | "Je suis la terre", par Caroline Ruffault
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Nous écoutons actuellement L�écoféminisme, pour retrouver une perception juste de la nature et du féminin Avec Regard Protestant
Venez nous rejoindre sur radiopredication.blogspot.com , soyez bénis !
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Tabor, Phoebe Hadjimarkos-Clarke, Le Sabot, 2021
ce que j’aime dans ce roman, sci-fi post-apo (éco)féministe post-patriarcale, c’est le peu de clarté et parfois le déséquilibre, le peu de clarté comme tout n’est pas donné par avance, ça feuillette mille-feuilles les couches, les récits, les mythes et les légendes pour arriver à parvenir se souvenir comment gratter d’une main-patte à coussinet et pouce opposable la trémie : tout n’est pas simple, et les raisons des choix, comme de l’amour, ne sont pas forcément limpides, pas forcément évidents, pas forcément compréhensibles, comme l’amour, comme l’amour peut avoir cette qualité-ci, d’absence d’évidences, loin d’un romantisme passionnel (passif) passe-partout, permettant de faire passer toutes les pilules narratives,
ayant écrit un mémoire de master sur les formes culturelles pouvant se réapproprier les formes des bidonvilles, et Tabor étant une sorte de bidonville, Hadjimarkos-Clarke évite des écueils, ceux, par exemple, de la complaisance avec la difficulté à vivre dans des conditions extrêmement précaires, loin de notre confort quotidien, cet éloignement pourtant, cette vraie-fausse simplicité, la difficulté à ne vivre que de ses productions, pourtant de plus en plus rêvé par des citadin-es : qu’est-ce que cela veut dire est une question qui s’esquisse et dont aucune réponse n’est donnée, il s’agit plutôt d’un examen précis de cette, ces situations et des points de vues, kaléidoscopique, en fonction de la distance, de l’épuisement, de l’amour, du début de ce qui aurait pu être une certaine utopie à ce qui devient un effondrement réel dans un effondrement réel
il y a un côté fresque qui d��borde, mettant en scène des images catastrophes vues et revues, de la bible, le déluge, aux films catastrophe, cette écriture cinématographique ? oui, des eaux montantes aux incendies délirants, déferlants, ces éléments et leur colère, je pense à N.K. Jemisin, et ses tremblements de terre, une fresque qui tremble sous ces aspects trop évidents et dont la lecture se brouille pour se recomposer en une autre catastrophe, plus latente, plus pernicieuse, moins compréhensible, plus réelle, plus ancrée dans l’expérience des manifestations de ces dernières années, des dits blacks blocks aux gilets jaunes, toutes et tous toujours plus contrôlés, système de pince et de nasse, nasse qui hier semblait prendre un tour illégitime avec ce contournement pratique qu’est la nécessité : il y a bien dans Tabor le fléau noir des agents de sécurité, d’une milice employée pour sous-traiter les tâches de la police et de l’armée, cette milice devenant junte à l’échelle du village, sans raison, car de raison il n’en est plus besoin quand on a des armes,
de l’extrapolation du réel, j’ai tant aimé cette scène au prélude d’un amour qui court dans tout Tabor, entre Mona et Pauli, quelque soit la forme de cet amour, ces amours, car tant de différents moments d’amour décrit dans cette histoire là, cette scène où Mona est, sur la place de la république, paris, attachée dans les arbres avec cinq (?) autres militant-es, sans en donner raison, la gratuité du geste pour donner à réfléchir, tant aimé la chute du papier, un numéro de téléphone, au bas, entre les racines abîmées des platanes étouffants -si c’est un écho à l’Arbre-monde de Powers, où dans les arbres viennent vivre pour qu’ils ne soient coupés des activistes, il y a d’un livre à l’autre, de l’Arbre-monde à Tabor, une démonstration à son absence, heureuse
https://maximedelavet.com/ pour les images / la conception graphique avec Morgane Masse et Franz Zypan (+++ papier couv, police & mise en page +++)
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“Au delà du changement climatique”
A chaque pleine Lune, le merveilleux collectif artistique Gang of Witches se réunit pour nous livrer leur podcast écoféministe. Starhawk fut l’invitée de ce onzième épisode, pour la lune bleue du mois d’octobre, qui tombait le même soir que le sabbat de Samhain.
Au programme, elles parlent -entre autre- covens, crise écologique et retour au sacré et à la nature, symbolismes de la Lune, menstruation et rites de passages... et l’épisode se termine en beauté avec une méditation guidée autour de l’ancrage. Pour l’écouter, cliquez ici !
#podcast sorcellerie#gang of witches#starhawk#écoféminisme#sorcières modernes#french witchblr#french witches
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Les Éditions du remue-ménage proposent des livres incontournables sur les enjeux féministes: travail, care, sexualité, féminisme noir, écoféminisme, réalités LGBTQIA, antiféminisme, et même des livres jeunesse! Voici mes trois recommandations. - 'Libérer la colère', un recueil d'essais super accessibles que je conseille pour un premier contact avec des écrits féministes/québécois. La colère est certainement un des ingrédients amers de la vie de femme/féministe. Je suis d'avis qu'il faut la formuler librement pour pouvoir la dépasser. http://www.editions-rm.ca/livres/liberer-la-colere/
- 'Travail Invisible: portrait d'une lutte féministe inachevée' de Camille Robert et Louise Toupin, qui se penche sur le travail des femmes, autochtones, racisées, migrantes ou des stagiaires, du travail domestique et du travail du sexe. http://www.editions-rm.ca/livres/travail-invisible/
Enfin, 'La Crise de la Masculinité', joli cadeau au papa/tonton/frère/cousin/copain : une déconstruction documentée du mythe tenace et alarmiste qui peuple les cauchemars des masculinistes et autres suprémacistes. http://www.editions-rm.ca/livres/la-crise-de-la-masculinite/
Contre la rhétorique masculiniste avec Francis Dupuis-Déri https://soundcloud.com/lescouilles-podcast/contre-la-rhetorique
Enfin, 'L'Enfant gazelle' de Stéphane Martelly et Albin Christen, une fable poétique qui demande aux enfants et aux parents ce qui est juste. http://www.editions-rm.ca/livres/lenfant-gazelle/
#cheek#cheek magazine#classiques féministes#écoféminisme#faire partie du monde#madeinquebec#words#ltda#feminisme#litterature#editions#remue menage#antifeminisme#travail domestique#colere#masculinite#masculinisme#travail invisible#enfant gazelle
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