#échoppe
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Bordeaux Landscape
Here is an illustration of a summertime small transitional partial sun backyard landscape with retaining walls and decking.
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Automne 1923 - Champs-les-Sims
2/7
Pour renforcer l'impression d'avoir débarqué dans un véritable vaudeville, laissez moi vous conter une anecdote. Elle date de notre séjour en Egypte, mais j'attendais de voir sa conclusion avant de vous en parler.
Vous savez peut-être qu'avec l'engouement que suscite l'égyptologie et le nombre de touriste toujours grandissant qui s'y rend, nombreux sont les égyptiens à tenter de profiter de cette manne financière, et de bon droit. Alors que errions dans un souk très fréquenté à Louxor, Constantin est tombé par hasard sur un artisan tailleur de pierre qui réalisait des facsimilés de qualité assez médiocre. Ce dernier réalisait alors ce qui semblait être un sarcophage en calcaire, assez simple pour passer pour authentique. Constantin s'est arrêté devant et a observé l'artisan de façon très insistante pendant plusieurs minutes. Quand les yeux de Constantin se perdent ainsi dans le vague, mieux vaut le laisser et attendre. Je suis donc allée acheter un foulard dans une échoppe voisine. A mon retour, mon mari, très fier, m'a annoncé qu'il avait acheté le sarcophage et qu'il comptait l'offrir à Madame Eugénie pour qu'on puisse l'y enterrer l'heure venue.
Transcription :
Constantin « Ah Grand-Mère ! Je vous attendais depuis une bonne heure. »
Eugénie « A mon âge, il convient de se reposer fréquemment pour garder une bonne santé mon petit ! Mais qu’est-ce… ? »
Eugénie « Dis moi, mon garçon… Quelle est cette chose qui encombre mon tapis ? »
Constantin « Je vous avais dit qu’une partie de mes bagages étaient restées un moment à la douane de Marseille. Cela n’a pas été facile avec tous ces escaliers, mais on me l’a enfin apporté ! C’est splendide n’est-ce pas ? »
Eugénie « Hum… c’est très brut, dirons nous. Mais quand tu parlais de bagages, j’imaginais plutôt quelques malles, pas… qu’est-ce d’ailleurs ? »
Constantin « Et bien, votre cadeau enfin ! »
Eugénie « Mon cadeau ? »
Constantin « Oui, vous m’aviez fait promettre de vous ramener quelque chose cette fois. Comme je ne suis pas ingrat, je m’y suis attelé. Je me suis vraiment creusé la tête pour trouver quelque chose qui pourrait vous plaire, et cela n’a pas été facile. Et finalement, je suis tombé sur cette beauté, et je me suis dit que c’était la chance qui l’avait mis sur ma route ! »
Eugénie « Fort bien. Et qu’en a dit Albertine ? »
Constantin « J’ai du insister car elle n’a pas du tout apprécié que je le fasse ramener à l’hôtel. Elle a dit que c’était un cadeau morbide à la limite de l’insulte. Mais je ne suis pas d’accord. Nous nous sommes mêmes disputés à ce sujet, vous rendez vous compte ? »
Eugénie « Morbide tu dis… »
Constantin « Cela n’a rien de morbide. Qui ne rêverait pas d’être enterré dans un sarcophage ? Je vous accorde que celui de Monsieur Mariette est plus travaillé, mais je me suis dit que celui-ci aurait l’air plus authentique. Il faudra simplement penser à prévenir les fossoyeurs au préalable. »
Eugénie « Tu m’as offert un… sarcophage ? »
Constantin « Et bien oui. C’est Adelphe qui me rappelait justement qu’un jour vous ne seriez plus parmi nous et qu’il me fallait m’y préparer. Je l’ai bien écouté, car vous m’avez toujours dit de bien écouter Adelphe, et il est hors de question que l’on inhume ma grand-mère dans un bête cercueil en acajou. Non, vous méritez les honneurs des anciennes reines d’Egypte ! »
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Albertine Maigret#Constantin Le Bris#Eugénie Bernard#Adelphe Barbois
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Nous arrivons à Imsouane par les terres : un panorama à couper le souffle sur la baie s'offre à nous.
Nous avons testé le concept du "Dreamsea Surf Camp" : ce camp s'organise autour de lieux communs pour les repas et la toilette. Les hébergements sont composés de tentes berbères aménagées à l'européenne et de cabanes ouvertes sur l'océan.
L'ambiance est très jeune et très sympa, nous sommes entourés exclusivement de surfeurs qui partagent leur activité avec la méditation et le yoga.
A l'origine, Imsouane était un petit port de pêche actif.
La notoriété des vagues locales et l'engouement mondial pour le surf ont fait que la cité s'est développée touristiquement avec beaucoup de chantiers d'immeubles en construction.
Nous sommes aussi allés saluer les anciens collègues de Marion au Travel Surf Marrocco, très sympas.
Nous avons profité de cette immenses plage dans une baie magnifique entourée de montagnes.
Les chiens sont redevenus les copains d'Olivier!!
Après 2 jours, nous quittons Imsouane pour prendre la route vers Taghazout. Les paysages vallonnés sont désertiques. Nous traversons une ville animée avec de beaux étals de fruits et de légumes. Il y a une petite bananeraie locale. Au bord de la route, il y a plusieurs campements de fortune d'où partent des fumées : ce sont des vendeurs de moules décortiquées cuites au bois...
Nous arrivons à Taghazout, ville "rue" animée et très touristique. Ici aussi les chats et les chiens errants se taillent la part belle.
Cette petite ville sur l'océan est aussi le royaume des surfeurs. Notre GPS localise difficilement notre AirBnb...les ruelles très pentues et non entretenues posent un réel problème pour circuler. Nous finissons par frotter l'aile de la voiture contre un muret. Aïe! aïe! Aïe!
Notre location est située sur les hauteurs, dans un quartier populaire. L'environnement est très pauvre et délabré. Ce logement nous a permis d'atteindre le niveau bas de l'hygiène, du confort de nos hébergements. Nous ne pouvons pas organiser de repas dans cet espace compte tenu de l'état de la kitchenette et de la vaisselle!!
Le bord de l'océan et la rue principale sont colonisés par de petites échoppes avec beaucoup de restaurants . On se balade au milieu des fumées des grillages de poissons.
La première nuit est très agitée parce que la "tourista" a pointé son nez ...Nous passons quand même une belle journée sur l'une immense plage, Flo récupère sous le parasol..
Nous faisons une grande balade, de nombreuses activités s'offrent à nous, balade à cheval, à dromadaire, surf, jetski et quad.
La seconde nuit ayant été encore très inconfortable en raison du bruit et du manque d'hygiène, nous jetons l'éponge !! Nous réservons une chambre au Riad "Les Ch'tits du Maroc" à Agadir.
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30 octobre 2034 (rectification)
Nous sommes restés dans le même hôtel. Aujourd’hui le programme est léger , nous nous levons quand même à 6 heures . Cette fois on prépare juste notre sac à dos . On part visiter la région de Lo Manthang. Nous prenons la voiture pour Choser . Delà nous visitons un vieux monastère gardé par une vieille femme , les moines ont déserté les lieux en raison de l’hiver qui s’annonce . Nous ne pouvons pas prendre de photos. De toutes les façons ,malheureusement les peintures murales de grande qualité picturale sont très abîmées . Nous quittons ce lieu pour nous rendre vers Garphu et Niphu . Cet endroit recèle d’étonnants habitats troglodytes dont un monastère également très ancien comme le précédent , il recèle de belles peintures finement réalisées il y a quelques siècles , là aussi le temps a fait son œuvre . Pour s’y rendre nous empruntons des échelles, exercice qui se révèle périlleux surtout à l’intérieur des habitations très basses , pour les personnes dépassant le mètre 70 , attention la tête …mais l’endroit mérite le déplacement . Entre temps nous nous sommes arrêtés sur le chantier de construction d’un nouveau monastère . On est inspecteur du travail ou pas 🙃Nous avons pu prendre quelques photos des peintures à l’extérieur de l’entrée , un très beau travail pictural actuel très finement réalisé par des artisans népalais , la tradition perdure . Puis notre guide nous proposa , comme forme d’entraînement de monter jusqu’ à un ancien fort pour admirer un très beau point de vue de la vallée . Ce qui c’est révélé vrai . Depuis hier notre mascotte Lulu nous accompagne dans tous nos périples, cela amuse beaucoup Ramji de la photographier dans de nombreuses situations . Nous sommes rentré déjeuner , une petite pose . Cet après-midi nous nous sommes baladé à travers les champs de Lo Monthang où des chevaux en liberté ainsi que des vaches donnaient vie au paysage et un caractère sauvage . Au retour, ayant raté la visite d’un monastère situé au cœur du village, nous y sommes retournés et cette fois le gardien était présent . Cela aurait été dommage de le rater, car à l’intérieur nous avons pu apprécier encore plus la beauté des fresques qui datent du quatorzième siècle et qui en ce moment sont en restauration … toujours pas de photo 😞 . Ramji après cette visite nous proposa de prendre un thé au beurre de yack dans une petite échoppe tenue par une famille, l’endroit est tout petit ,ça lui confère un certain charme . Nous rentrons à l’hôtel… demain nous quittons Lo Manthang pour Yara .
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- 𝓮𝓵𝔀𝓸𝓸𝓭 -
Elwood est une ville située dans le comté d'Essex, dans le Massachusetts aux États-Unis. Elle est si proche de la ville de Salem qu'aujourd'hui encore irradient sur elle les souvenirs des procès de sorcières ayant eu lieu en 1692. Si elle tente d'être une ville indépendante, elle profite totalement de la réputation de Salem pour faire fleurir un tourisme presque entièrement tourné autour de ces procès, des sorcières d'antan et de leur funeste destin.
city center
C'est ici que se situent la plupart des échoppes, des restaurants et autres lieux de divertissements. C'est un lieu chaleureux, plein de vie, où les commerçants se connaissent tous, et où il est impossible de pouvoir cacher quoi que ce soit à ses voisins.
the old town
La vieille ville, reliant le centre ville au port, qui a été bâtie juste après Salem, aux alentours de 1627. Les pavés font battre les talons, on y renifle l'odeur du pain qui lève et des cinnamons rolls dans ces rues calmes et silencieuses où les appartements donnent sur la rue piétonne.
the harbour
Principale source de revenus de la ville durant plusieurs siècles, la ville entretient sa renommée en proposant aux touristes de véritables excursions en mer pour leur montrer leurs techniques de pêche à l'ancienne.
the outside circle
Les quartiers d'habitation pour ceux que le centre-ville rebute, on y retrouve des supérettes, des magasins et quelques rares cafés, bistrots et restaurants. Il y règne une ambiance sereine et douce, et il n'est pas rare que de grandes fêtes aient lieu dans les quartiers, rameutant tous les voisins autour d'un café, ou d'autres.
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Photo originale par Steph-Photo
Un hommage à Marcel Pagnol pour échoppe dans les ruelles du Castellet (Var)
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Cafayate y Salta 🌵
Hola todos,
J'ai conscience d'être un peu moins régulière en ce moment mais on enchaîne pas mal ces derniers jours et je trouve moins le temps d'écrire.
Nous sommes arrivés à Cafayate le 7 mai, c'était notre dernière étape avant Salta. C'est un joli village avec une belle église et beaucoup de petits artisans. C'est également une des étapes de la fameuse boucle sud de Salta, un des deux circuits touristiques de la région.
Nous avons passé deux jours là-bas à flâner entre les échoppes et les petits bars. Au détour d'une rue nous sommes même tombés sur la boutique d'un vieux monsieur qui vendait de la vaisselle. J'en suis ressortie avec deux petites assiettes et l'histoire des dessins qui les ornaient contée par le vendeur. Charles, lui, a trouvé une tapisserie qu'il compte accrocher au mazot.
En quittant Cafayate vers Salta, nous nous sommes promenés au sein de la Quebrada de las Conchas, l'ultime partie de la boucle sud avant l'arrivée à Salta. Entre roches aux milles couleurs, plaines rouges et désertiques et cactus, nous avons eu le vertige face à cette sublime immensité. Une chose est sûre : en Argentine on se sent minuscule.
Nous sommes arrivés à Salta un peu tardivement dans un appartement que nous avions loué pour l'occasion. La météo avait déjà commencé à se dégrader et elle annonçait de la pluie et du froid pour toute la semaine. Nous avons donc décidé d'attendre le retour des beaux jours avant de reprendre la route. Nous avons pu découvrir Salta sous toute ses coutures, cette ville qu'on surnomme "la linda" (la jolie). En effet, elle se démarque des autres villes argentines par son architecture coloniale et ses rues charmantes. C'était une super pause pour souffler un peu, même si ça a aussi été notre petit moment coup de blues et mal du pays (temps maussade oblige !).
Après cette petite semaine de repos nous avons mis le cap vers les Yungas, la partie jungle de l'Argentine. Je vous raconte cela dans le prochain post !
Besitos,
Luna
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Passage par la maison du fondateur de la ville, Francisco Montejo. Construit en 1549, le portail du bâtiment est le plus vieux vestige de la ville ; le reste de la maison a été rénové au fil des siècles.
Nous repassons par l'hôtel pour un peu de fraîcheur et surtout réfléchir à notre programme après Mérida. Ça demande pas mal de réflexion mais nous avons une idée de comment vont se dérouler les 15 prochains jours 📆
Nous repartons en milieu d'après-midi, en nous arrêtant sur le chemin manger dans un petit marché. Nous sommes les seuls clients alors les serveurs des différentes échoppes bataillent pour nous récupérer 😅
Nous mangeons des sortes de sandwich / toast mexicains plutôt bons !
Celles-ci sont immenses, mais il y a ces doubles chaises un peu partout dans la ville. Testées et approuvées !
Nous continuons notre route pour retrouver le guide qui va nous faire visiter le Paseo de Montejo, avenue de 4km bâtie vers 1900-1910 sur le modèle des Champs-Elysées grâce aux fortunes du sisal. La nuit est tombée mais tous les bâtiments sont illuminés, c'est plutôt joli !
Monument de la Nation
Maison de riches (il y en a pas mal d'autres mais elles sont encore sur mon appareil photo)
Après presque deux heures de visite, nous rentrons à l'hôtel sans oublier de prendre une petite glace juste en bas de chez nous, noix de macadamia et genre de stracciatella mais en mexicain 🇲🇽
Bonne journée, bonne soirée, bonne nuit selon l'heure à laquelle vous lirez ce post !
Bisous 😘
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Background
Au cœur d'une vallée enserrée entre des montagnes majestueuses et des forêts épaisses se cache la ville énigmatique d'Ombreval. Une cité en apparence ordinaire, mais dont l'atmosphère est saturée de mystères et de secrets, où les frontières entre le tangible et le surnaturel s'effacent, laissant place à un univers où l'extraordinaire devient le quotidien. Au centre de cette énigme urbaine, trône la majestueuse Bibliothèque d'Ombreval. Ses étagères croulent sous le poids de tomes anciens et mystiques, et la rumeur veut qu'elle soit un portail dissimulé vers des dimensions inexplorées. Les chercheurs intrépides s'y aventurent, attirés par la promesse de pouvoirs surnaturels et de connaissances occultes.
Puis, il y a l'Académie des Ombres, une école étrange au sein de laquelle des étudiants apprennent à maîtriser des arts mystiques et des compétences paranormales. Ses professeurs, des individus énigmatiques aux passés troubles, enseignent des savoirs dont la nature même semble échapper à la compréhension commune. Les rues pavées d'Ombreval s'animent avec des boutiques étranges et des échoppes ésotériques. On y trouve des artefacts magiques, des potions mystiques et même des créatures étranges en vente. Les habitants, qu'ils soient humains, créatures surnaturelles ou hybrides, coexistent dans une harmonie fragile, chacun portant le fardeau de ses propres mystères.
Les limites de la ville s'étendent jusqu'à la forêt environnante, réputée pour être hantée. Des créatures fantastiques et des phénomènes inexplicables y prospèrent, attirant des aventuriers intrépides en quête de réponses. Certains bravent les ombres de la forêt, tandis que d'autres préfèrent rester dans la relative sécurité de la ville. Des enquêtes étranges se dévoilent fréquemment à Ombreval, mettant en scène des détectives privés, des sorciers, des chasseurs de monstres et des étudiants de l'Académie des Ombres. Ces mystères, allant de la disparition d'objets magiques puissants à des phénomènes paranormaux déconcertants, tissent la trame de cette ville où le surnaturel danse en permanence avec le quotidien.
Ainsi, Ombreval se présente comme une toile où la magie, le surnaturel et l'inexpliqué se mêlent dans une danse mystérieuse. Les habitants, éternels voyageurs entre les ombres de l'ordinaire et les lueurs mystiques de l'inconnu, confèrent à la ville un caractère unique, propice aux aventures extraordinaires et aux découvertes étonnantes.
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Hameau de pont-désir, région de Poudlard.
Entouré de marécages, le hameau de Pont-Désir n’est accessible à pieds qu’en passant sur des ponts plus ou moins costauds. Certains semblent ne faire plus qu’un avec la nature mais toujours, vos pieds rencontreront le sol mousseux typique des marécages. De nombreux voyageurs avides de grand amour bravent la vallée et l’immensité des plaines pour franchir l’énorme pont magique qui fait la réputation du hameau : on raconte que quiconque le franchit, l’âme pure et le cœur amoureux, y rencontrera le grand amour arrivé au bout. Personne n’est jamais revenu pour affirmer ou non cette légende, les plus anciens se contentant de hocher la tête, le regard dans le lointain et les rêves plus grands encore. Si vous souhaitez vous aventurer à l’intérieur du hameau, vos pas fouleront une rue boueuse et votre odorat sera enivré de milles odeurs venant du seul commerçant du minuscule village : une échoppe d’ingrédients magiques certainement très douteux, mais étrangement très prisé d’une clientèle qui n’hésites pas à marcher de longs jours pour acheter le dernier secret qui se chuchote.
Dès leur plus jeune âge, les enfants prennent l’habitude de marcher pieds nus pour se rendre au bord de cette petite rivière qui dort paisiblement à l’arrière des jardins clos et dont l’eau semble si claire qu’un sortilège semble en être l’origine. Comme tous les hameaux de la région, un mur de pierre entoure les chaumières d’où s’élèvent des volutes de fumées, et si vous avez l’œil attentif, l’une d’elle semble envoyer des messages mais il n’est pas question d’en demander la signification à la propriétaire qui effraie les plus jeunes. De nombreux animaux se promènent au gré des différents habitats et grouillent dans l’arbre millénaire des oiseaux aux couleurs resplendissantes : une chose est sûre dans la bouche des faiseurs d’histoires : il y a quelque chose à voir avec les Phoenix. Les connaisseurs n’y verront qu’une famille de Jobarbilles.
Enfin, si vous prenez le chemin qui mène un peu plus à l’est, vous y découvrirez cette petite maisonnette solitaire où la nature semble avoir repris ses droits. Certains jours, des voix s’élèvent d’entre les murs mais jamais personne n’a cherché à savoir qui pouvait y vivre, squatter ou comploter. Parfait refuge de Serpencendre ou chaumière magique d’une puissance magique, seuls les concernés peuvent y percer le mystère dès que leurs yeux se poseront sur le parchemin du gardien du secret.
https://discord.gg/XKycdMPu3Y
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PASSEGIATA AL LAGO - 15.09.23
Après cette nuit agitée, on profite enfin de la belle vue sur le lac ! Lecture et petit-déjeuner à l'arrière de la camionetta.
On redescend ensuite à Verbiana pour aller visiter la Villa Taranto, réputée pour ses riches jardins. Acquise en 1930 par un capitaine écossais passionné de botanique, il aurait découvert l'annonce de vente au court d'un voyage à bord de l'Orient Express, en lisant le Times, de retour d'un séjour à Venise... rien que ça ! Déambulation entre arbres centenaires, labyrinthe de dahlias (une pensée pour mon sublime bouquet de mariée ! ♥️) et nénuphars géants ; j'étais plus dans mon élément que Léo - en plus j'y ai bu un deliziosa cioccolata calda !
Déjeuner rapide cuisiné par mon chef personnel, avant d'embarquer sur le bateau qui nous conduit aux Iles Borromées. Archipel acheté par la famille homonyme au XVème siècle, il est composé de :
l'Isola dei Pescatori, ancien village de pêcheur, charmante mais transformé en village de restaurants et échoppes à touristes
l'Isola Madre, la plus grande, sur laquelle se trouve un "petit" palais, et surtout un parc exotique enrichi au travers des siècles et ouvert au public depuis les années 70
l'Isola Bella, la plus célèbre, constituée d'un Palazzo et de jardins à l'anglaise très étonnants.
Visite du Palazzo Borromeo donc, de ses nombreuses galeries et chambres encore meublées, les fenêtres laissant entrevoir de superbes vues sur le lac. On traverse de nombreux salons, dont un, particulièrement vaste (haut de trois étages) au plafond duquel on peut lire la devise familiale : humilitas.
On y apprend également que Napoléon a fait escale sur l'Isola Bella sans prévenir durant sa campagne d'Italie, que lui et sa garnison de 60 soldats se sont comportés comme des goujats, et que l'intendant du palais a été bien heureux que cette visite ait été de courte durée car ils ont laissé après eux "des chambre sales et malodorantes"...
Au rez-de-chaussée, on découvre les Grottes, appartements restant frais par les chaudes journées d'été, tapissés de galets du lac, du sol au plafond.
Sans oublier que partout sont repris les symboles des Borromeo : un chameau assis, un cèdre, trois anneaux entrelacés et une licorne. Mais ce sont les aménagements extérieurs qui rendent cette île unique : en sortant, après avoir traversé la cour de Diane, on découvre la Serra Elisa, luxuriante et très jolie. Léo y propose un intermezzo musicale.
Au coeur du jardin se trouve le Teatro Massimo, décor invraisemblable et débauche de statues, terassant les jardins sur plusieurs niveaux. Le tout surplombé par une immense licorne. En haut, une vaste esplanade encadrée de quatre obélisques reprenant les quatre éléments et offrant un panorama sur le lac magnifique.
Sur le trajet de retour en bateau, je m'improvise photographe de cartes postales - il doit bien y avoir un type dont c'est le job, non ?!
Une baignade-douche aux abords du lac, de l'essence pour la camionetta, et nous voilà comme neufs pour rouler jusqu'à Stresa, ville d'en face et point de départ principal pour les îles Borromées.
Sur place, on visualise bien le passif de lieu de villégiature de la région. Sur tout le front de lac, sont alignés de grands hôtels, aux vitres en verres soufflés gigantesques, serveurs en livrée, restaurants de luxe et enseignes lumineuses.
Après une bonne pizza à emporter sur le port, on reprend un petit peu de hauteur pour observer une dernière fois le Lago Maggiore avant de partir à la découvert des autres lacs !
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Walker Evans - Échoppe bord de route, Birmingham, Alabama, 1936.
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Mardi
Longue journée, avec beaucoup de rouge, commencée par l’ascension jusqu’au temple de Kiyomizu-Dera, vers lequel montent des rues très pentues et très fréquentées par les nombreux touristes et des jeunes filles ou couples en kimono. Déjeuner traditionnel au pied d’un autre temple perché devant lequel stationnaient des rickshaws. Puis nous avons dévalé la montagne jusqu’aux berges de la Kamo-Gawa et, sur la rive droite, le quartier très animé de Gion, avec ses ruelles de restaurants, bars et échoppes, ses grandes avenues et ses galeries couvertes. Nous y avons croisé un certain nombre d’occidentaux, ce qui n’arrive pas dans notre quartier.
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Au Maroc il est 10H ce jeudi 16 février 2023 les commerçants ont déballé leurs marchandises sur les étals du souk de Derb Ghallef, un quartier populaire de Casablanca
mais les clients tardent à affluer. Mina Brima, la cinquantaine, déambule au milieu des échoppes de volailles et des charrettes de légumes, le panier vide. « Tout est devenu trop cher, se désole cette habitante du quartier. Les tomates, les patates, les œufs… tout ! Si ça continue, ce sera la famine ! » Ce qui inquiète Mina, c’est cette flambée des prix qui a redoublé d’intensité ces dernières semaines et la contraint à un sévère rationnement. Elle ne mange plus de viande, restreint ses tajines à quelques morceaux de pommes de terre, quand ses repas ne se limitent pas, de plus en plus souvent, au pain et au thé. Quelques ruelles plus loin, Jamila, 45 ans et trois bouches à nourrir, quitte le souk un sachet de farine à la main : « Ça, c’est pour faire mon pain, dit-elle. Pour les légumes, je reviendrai ce soir. » Les invendus sont moins chers. Selon le Haut-Commissariat au plan (HCP), l’inflation a atteint un pic de 8,3 % à la fin 2022, avec un renchérissement de 15 % des prix des produits alimentaires
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STUTTGART TENTION OUVREZ BIEN LES YEUX
Et non, vous ne rêvez pas ils sont bel et bien de retour ! Mais où ces Furibonds ont il bien pu décider de passer leur week-end tonitruant ? La réponse commence par un Stutt et finit par Gartt. Notre trio s'est aventuré dans le berceau de deux marques emblématiques de l'automobile : Porsche et Mercedes. Nous avons donc par conséquent basé notre périple sur ces deux visites de musées. Dans un premier temps nous nous sommes rendus au musée de ce bon monsieur Ferdinand qui présentait un tas de modèles incroyables avec une élégance et une sobriété. Les pièces de l'histoire que nous avons pu observer nous ont fait voyager aux pays des milles et une douceur visuelles de la mobilité. Puis nous sommes entrés dans une merveilleuse échoppe afin de nous revigorer. Nous avons ainsi opté pour une razzia dans le meilleur Kebab d'Allemagne 2019, tout bonnement exquis comme vous pouvez vous en douter. Cette fin de journée s'est achevé sur l'immense musée Mercedes Benz que nous avons arpenté d'étages en étages et notre déambulation s'est fini dans les rues de Stuttgart de nuit. Quel plaisir ! Très compliqué de réaliser tout ce qu'on a pu voir en une seule journée mais quel bonheur
A plus tard pour de nouvelles péripéties ! over :)
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Primeros días
Après avoir atterris à Santiago, nous nous sommes rendus chez Gregorio, un des meilleurs amis de ma grand-mère Madyl. Il a gentiment accepté de nous prêter son appartement et il tenait à passer quelques jours avec nous.
Ma mère m’avait prévenu qu’il me ferait sûrement beaucoup penser à Madyl et elle ne s’est pas trompée. En entrant dans l’appartement son odeur m’a tout de suite parue familière, cela sentait comme chez elle. Gregorio nous a accueillis comme si nous nous connaissions depuis toujours et nous avons évoqué avec nostalgie nos souvenirs de cette douce connaissance commune.
Je lui ai présenté Charles et nous nous sommes rapidement couchés car il était déjà 2h du matin passées !
Le lendemain Charles et moi avons été à l’agence Suzi Santiago CW (que je recommande vivement à tous les voyageurs souhaitant acheter un véhicule au Chili) afin de commencer les démarches pour acheter notre future voiture.
Ensuite, nous avons flâné dans les rues de Santiago en attendant d’aller rencontrer le notaire (avec qui nous devons préparer les papiers en vue de l’achat du véhicule).
La ville de Santiago est immense, les tours y sont si hautes qu’on se casserait presque la nuque en voulant voir leur cime. C’est une ville très moderne avec d’immenses avenues comme aux États-Unis et le moins qu’on puisse dire c’est que nous nous sentions minuscules.
J’ai remarqué plusieurs choses en me baladant :
Les gens adorent s’assoir sur le sol du métro. Dans chaque station et chaque rame on trouve des jeunes assis à même le sol, lisant des livres ou écoutant de la musique.
Il est possible de se faire dire la bonne aventure par des voyantes à la sauvette qui installent leurs tentes près du mercado central (le marché des poissons). D’ailleurs, elles font beaucoup de publicité sur le sol et les passages piétons. C’est drôle de voir que la culture spirituelle est assez développée.
Il y a un nombre incroyable de vendeurs ambulants. Du lot de pansement jusqu’aux glaces en passant par des babioles sans aucun sens, tu peux pratiquement tout trouver rien qu’en te promenant dans les rues ou le métro.
Il y a énormément de bougainvilliers, l'arbre préféré de Madyl et moi. Ils ne sont pas seulement roses mais parfois rouges, blancs et même orange !
Le soir nous avons été dîner dans un super restaurant de Jazz qui faisait des pizzas à tomber par terre. Nous avons écouté les notes de musique s’éparpiller dans l’air tandis que Gregorio nous berçait des histoires de sa jeunesse. Un vrai régal !
Hier, Gregorio a décidé qu’il nous accompagnerait au Museo Chileno de Arte Precolombino qui recense l’art des populations natives d’Amérique Latine. Nous avons adoré nous promener lentement à ses côtés en observant toutes les œuvres. Ça m’a rappelé les musées que je faisais avec Madyl.
Il nous a ensuite emmené voir le mercado central, un marché de poissons, pour y manger un bon repas. Je pense que c'est le moment où nous avons été le plus dépaysés depuis notre départ. Le marché avait une atmosphère géniale, très locale, avec des vendeurs de poissons et des restaurateurs prêts à tout pour t'appâter à leur échoppe ou leur table. Des musiciens et leurs guitares accompagnaient les mets en fredonnant des chansons de Valparaiso. J'aurais pu passer la journée là à observer la ville vivre.
Ce matin, Gregorio est parti. Il est rentré dans son petit village à Lolol où nous le rejoindrons dès que nous aurons la voiture pour lui rendre visite. Il m’a montré une vidéos des mygales qui traînent parfois dans son jardin, j’ai pâli de terreur puis j’ai fini par me dire qu’il était sûrement peut être temps d’affronter cette peur.
Charles et moi nous retrouvons donc tous deux face au monstre qu’est Santiago, nous avons hâte de la suite !
On se retrouve très vite pour de nouvelles aventures.
Besos,
Luna.
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