#ça fait mal de le dire croyez moi
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Moi, la guerre, je l’ai faite, figurez-vous. Oui, on ne dirait pas en me voyant. Cet air de s’en foutre que j’affiche toujours du coin de mon œil bleu, les gens se disent en le découvrant que je dois être un fieffé malin, peut-être même un salaud, un abuseur, allez savoir.
Moi, je les emmerde tous. J’ai pas survécu à la mitraille, à la boue, aux Boches et aux rats pour subir leur sale gueule et baisser les yeux. Je les emmerde, je vous dis. Et dans des proportions que vous ne soupçonnez pas. Pas l’un d’eux ne trouvera grâce à mes yeux. Ni le bourgeois replet parti prier son Juif repenti à l’église le dimanche, ni le tchékiste resté à encenser son grand Staline dans une réunion de quartier. Les deux me font chier – et savez-vous pourquoi j’entretiens à leur endroit une haine parfaitement égalitaire ? Mais parce qu’ils sont jumeaux, sortis du même ventre flasque de la Révolution, de la même fente puante, matrice qui dégueule son trop plein d’humanité féroce, foetus aux dents acérées, dévoreurs de mamelle ! Boivent autant de sang que de lait, ces monstres absurdes. Des vraies dégueulasseries biologiques conçues pour anéantir le monde beau et sauvage qui ne les a pas vu venir.
Ces affreux-là, j’en ai croisé sur le front. Jamais en première ligne, trop couards pour ça. Toujours en retrait, juste ce qu’il faut. Se chiant dessus à la première déflagration, même lointaine, même ténue. Terrorisés à l’idée d’une baïonnette boche s’enfonçant dans leur sale bide tout gonflé de haricots mal cuits et de gaz diaboliques. Le rouge et le calotin unis dans la même pétoche minable, incapables de transcender leur peur de mammifère absurde, condamnés à baisser la tête, à lever les bras, à écarter leurs miches poisseuses de merde honteuse. Ah ils puaient ces deux-là, faut me croire. Dans les abris, on les laissait pas rentrer ces ordures. “Allez les gars, soyez pas salauds, allez. Faites une place... Je boirais bien la moitié d’un quart de soupe... Allez…” Des cafards, des magouilleurs, arrangeurs, tricoteurs. Des enculés de frais. “Va chier avec ton quart, sale rat !”, que je leur gueulais. “Quand il fallait monter l’échelle tout à l’heure, t’étais où, hein, mon salaud ?” Généralement, ils baissaient la tête ou mieux, ils se barraient. Partaient pleurnicher dans l’abri d’à-côté. Mendigoter un quignon ou une tige à de bonnes âmes qui ne les avaient pas vu s’affaler au signal de l’assaut. Les mêmes tous les deux ! Le rouge et le calotin. Tout pareillement conjoints dans la terreur, taillés pour survivre à tout, coûte que coûte, dussent-ils se faire cracher à la gueule pour l’éternité des temps, se faire maudir par les agonisants, ceux dont la tripe s’étalait tout autour et qui mettaient pourtant tant de temps à crever ! J’aurais jamais assez de toute ma vie pour les maudire, ces fils de salaud, ces petits rongeurs sans honneur, sans grandeur, sans rien !
Et allez ! Que croyez-vous ? Qu’on n’avait pas peur nous autres ? Qu’on ne pleurait pas en claquant des dents au milieu des éclairs qui hurlaient la mort ? Que l’on se prenait pour des Croisés ou pour des Jean-sans-Peur ? Tu parles ! Dans toute cette apocalypse, nous n’étions plus rien ! Et c’est bien à cause de cela qu’on se redressait et qu’on y allait. Parce que je vais vous dire, moi, l’idée de crever recroquevillé comme un cafard, ça m’a toujours été insupportable. Si je dois y passer, ce sera debout, nom de Dieu. À ma gauche, j’avais Lepault Gaston, un garçon gentil comme tout qui voulait entrer dans la banque. À ma droite, j’avais Lefeuvre Martial, fils de paysan, au travail depuis ses treize ans, père de quatre marmots à pas vingt-cinq. Un peu plus loin, il y avait notre lieutenant, un marquis avec un nom à rallonge incroyable, qu’on appelait Duguesclin pour faire court. Eh bien vous le croirez ou pas, mais on est sortis de la tranchée tous les quatre comme un seul homme et moins de deux minutes plus tard, j’étais le seul en vie, coincé dans un trou peu profond, avec un éclat boche calé dans la cuisse. Les autres étaient partis en poussière, pulvérisés par un obus fabriqué avec soin par de rondelettes bouffeuses de saucisse, quelque part du côté de Cologne.
Alors ne venez pas me faire chier avec mon regard inquisiteur. Il fera toujours moins mal que le shrapnel, tas de cons. Si je vous attrape du coin de l’œil... si je vous ajuste, pour tout dire, soyez heureux que ce ne soit pas entre deux rangées de barbelés avec, calé dans la molletière, le beau couteau de chasse que mon oncle Albert gardait depuis Sedan.
J.-M. M.
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Accessibilité, design, codage… : par où commencer pour le (re)design de mon forum ? (1/2)
Bonjour, c'est mon premier post, et comme prévu, il est trop long pour rentrer en un seul message ! 😁
Je sors de ma cave pour contribuer à ma manière aux dernières conversations de la sphère au sujet des capacités des admin et créateur.rices lorsqu’il s’agit d’avoir la main sur l’interface et l'accessibilité de leurs forums rpg.
Disclaimer :
Ce n’est pas poussé très loin, c’est plutôt un vrac de questions et d’amorces de réflexion des premières étapes du UX design et du design thinking, qui font partie de mon travail au quotidien.
Outre les quelques ressources en fin de post, tout mon blabla ne propose évidemment pas de tutoriels pratiques sur des thèmes précis, principalement parce que les questions évoquées n’auront peut-être pas les mêmes réponses d’un forum ou d’un admin à l’autre.
C'est un processus de pensée qui guide un long travail, et ce que j'écris ici ne règlera aucun vrai problème par magie. Surtout, je n’ai pas la science infuse ni l'ambition d'écrire une bible ! Il est fort possible que ça ne vous parle pas du tout, que vous ne soyiez pas d'accord, ou que ce ne soit pas très clair. Mais si ça peut en aider quelques un.e.s à s’organiser pour se lancer dans des améliorations qui auront même juste un tout petit peu plus de sens pour l’expérience utilisateur, alors tant mieux ❤️
Attention : c’est long. Je sais. C’est un de mes plus gros problèmes… (j'angoisse déjà avant de poster, send help). Je ne prétend pas non plus incarner un parfait exemple de ce que je prêche (mon forum a aussi son lot de jolis problèmes ! - j'y reviendrai en fin de post).
Mais également, si il y a la moindre chose que vous jugez mal formulée ou pouvant prêter à confusion sur l’intention ou le sens, n’hésitez pas à me le faire remonter et je tâcherai de revoir ma rédaction ou de clarifier si nécessaire !
Constat Initial
Dans le monde des forums rpg, nous ne sommes pas tous.tes égaux.les en termes de connaissances et de maîtrise de ce que ça nous demande comme compétences. C’est normal - c’est un hobby, nous ne sommes pas tous.tes du métier, et croyez moi - même l’être, ça ne veut pas toujours dire grand chose… (je bosse au Japon. vous avez vu la tronche du site web lambda au Japon ?! bref, voilà .)
Pour ces mêmes raisons, on tombe tout naturellement facilement dans le vortex de la course aux dernières modes et des design principalement motivés par une simple recherche d’esthétique - pour son propre fun sans se prendre la tête avant tout, ce qui est très bien en soi et le droit de chacun.e, mais peut-être pas toujours adapté à une utilisation en communauté !
À constater les choses sur lesquelles on semble accorder le plus d’attention dans les conversations actuelles, et en tant que professionnelle irl, il y a une chose qui m’a frappée : à mon sens, on ne prend peut-être pas les choses dans le “bon” ordre. Attention, les guillemets sont là non pas pour dire que l’accessibilité n’est pas la priorité, au contraire, c’est l’objectif ultime ! - c’est la manière dont on essaie de régler le problème du manque d’accessibilité qui me semble parfois pas toujours très efficace.
Hier, c’était le fameux plug-in Userway, aujourd’hui, une taille de texte - demain, peut-être encore autre chose ! Tant mieux : ça met en lumière des petites actions qui contribuent à une amélioration collective. Mais si toutes ces initiatives sont évidemment importantes, uniquement se concentrer sur une action isolée sans réfléchir pourquoi on la fait, essentiellement, c’est un peu comme mettre un pansement sur une fracture ouverte.
Toutefois, et parce que rien n'est tout blanc ou tout noir, si tu n’as pas beaucoup de temps ni de ressources (ou d'envie) à investir dans un gros redesign qui n’est pas donné à tout le monde, tout ce blabla ne te sera pas très utile - auquel cas, en effet, se concentrer sur les actions tangibles simples et les “quick fix” mentionnés à de nombreuses reprises par mes collègues seront la meilleure option pour améliorer l’accessibilité de ton forum ! Ce ne sera peut-être pas vraiment profond, et ça n’apportera peut-être que des solutions temporaires, mais c’est déjà mieux que de ne rien faire du tout.
Pour celleux qui sont prêt.es ou ont envie de faire un plus ou moins gros ménage de printemps et de prendre le problème à la racine, je vous partage simplement quelques lignes de pensée de la manière dont, personnellement, je réfléchis à mes modifications, ou à la construction de tout produit d’un point de vue UX.
Commencer le processus de UX Design
L’UX Design est une approche user-centric qui doit s’appliquer à tous les produits et services interactifs et numériques. Son objectif est de concevoir une expérience utilisateur optimale en se basant sur les besoins de celui-ci.
Source : La Grande Ourse
Pour t’aider à prendre toute décision quant à comment réaménager ton forum, il est crucial de se mettre dans la peau de celleux qui l’utilisent au quotidien pour comprendre leurs besoins et leurs problèmes.
Ça implique tes membres, qui ont un certain angle de vision du forum, mais aussi toi, en tant que staff, qui peut aussi bénéficier de ces modifications pour te simplifier la vie par la même occasion. Toi aussi, tu es un.e utilisateur.rice !
Ces besoins te permettront ensuite d’extraire tes objectifs et de définir ce qui est vraiment important pour les atteindre, tout en établissant un ordre de priorité selon l’importance du problème.
Compatir : Qui ?
Pour qui est-ce que tu veux proposer ton forum ? Quelle est la cible principale de ces modifications, pour qui les fais-tu ?
C’est le U de UX : on design pour les Utilisateurs avant l’esthétique. Les réponses au “qui” sont sans doute assez faciles dans le monde des forums rpg : les membres en priorité, bien que le fun des staff soit aussi important dans le cadre d’un hobby. Mais les membres constituent néanmoins la majorité lambda des utilisateurs, et te permettent d’avoir des avis divers et moins biaisés par rapport à l’interface et l’utilisation “classique” de ton forum.
Pose leur des questions ! Prépare toi peut-être à des critiques plus ou moins délicates (on se sait), mais qui sont des critiques tout de même - de toutes manières, si tu lis ce texte, à ce stade, tu devrais être prêt.e à les entendre (ou du moins, la plupart d’entre elles - et à condition qu'elles arrivent au bon moment).
Tu recevras aussi peut-être des avis personnels, des avis divergents de la vaste majorité, ou des choses qui relèvent plus des goûts et des couleurs, mais c’est normal ! Tout retour, même un retour avec lequel tu n’es pas d’accord personnellement, vient forcément de quelque part. Si tu ne peux évidemment pas satisfaire absolument tout le monde, c’est parfois très intéressant de discuter pour essayer de comprendre d’où ces avis viennent.
Note tout ça sans essayer de rien justifier ou négocier, ce n’est pas le moment - ensuite, ce sera à toi de trier les retours utilisables et constructifs pour l’expérience de la communauté des opinions peut-être plus subjectives.
Compatir : Pourquoi ?
Quels sont tes objectifs ? Pourquoi remets-tu en question l’interface de ton forum ? Pourquoi est-ce que tes membres te font tel ou tel retour ? D’où viennent ces critiques ? Est-ce que tu les comprends ? Mais aussi, pourquoi ton forum est-il ce qu’il est actuellement ? Pourquoi as-tu fait les choix qui l'ont mené où il en est aujourd'hui ?
C'est un peu vaste, mais l'idée est de remettre en question les habitudes qu’on a intégrées depuis des années dans la communauté. On veut ici comprendre avant tout pourquoi (et pour qui) on cherche des solutions, plutôt que d'appliquer des principes généralistes sans vraiment savoir pourquoi on en a besoin.
La réponse au “pourquoi” semble évidente en surface - l’inclusion, of course, pour la question d’accessibilité, mais pas que. Se demander pourquoi à chaque étape te permet de faire le tri dans tes priorités d'abord et prendre confiance en ta démarche et tes modifications - et, ensuite, plus factuellement, de te débarrasser de ce qui n’est pas réellement utile pour ton forum !
Définir : Quoi ?
(feur, sans doute)
Quels sont les principaux problèmes soulevés sur ton forum ? Que veux-tu réparer ou améliorer en priorité ? Quelles ressources peux-tu aussi allouer à cette initiative ?
C’est le moment d’évaluer tes capacités et ton temps libre, pour t’aider à établir des priorités et un plan d’attaque ! Les retours de tes membres dans la question précédente peuvent t’aider aussi à déterminer ce qui est important et sur quoi te concentrer en premier si jamais tu es indécis.e ou si tu as un temps libre limité.
En tant que joueur.se, quelles actions est-ce que je fais au quotidien sur mon forum, quelles informations ou fonctions me sont utiles en priorité chaque jour ?
En tant que joueur.se, quelles difficultés est-ce que je rencontre lorsque je navigue ou utilise mon forum actuellement ? Est-ce qu’il y a des petites choses qui me frustrent lorsque j’utilise le forum, qui m'empêchent de créer/écrire librement, ou qui me dissuadent de passer plus de temps dessus ?
En tant qu’admin ou modérateur.rice, quelles difficultés est-ce que je rencontre lorsque j’administre/je modère mon forum ? Qu’est-ce qui me prend le plus de temps au quotidien ?
Pèse aussi le pour et le contre de chaque fonction de ton forum : est-ce que ce script supplémentaire apporte réellement une vraie plus-value pour l’effort nécessaire, ou est-ce que je peux m’en débarrasser facilement pour ne pas entâcher l’efficacité des autres fonctions plus essentielles ? Si une fonction est peu utile et implique beaucoup d’efforts de mise en place/ralentit ton forum, alors peut-être qu’il vaut mieux la laisser de côté dans un premier temps.
On arrive ensuite au questionnement final avant de remonter ses manches et attaquer la construction, mais ce sera pour le prochain post...
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Mon cadeau secret santa pour @saemi-the-dreamer ptit dessin et ptite fic même si bon, j'écris pas beaucoup donc c'est sûrement un peu bancal
Il était déjà la fin de l'après midi quand Arthur commença sérieusement à s'impatienter. Ca faisait au moins 3 bonnes heures que lui, une bonne partie des représentants les plus importants du monde breton et des délégations venues d'autres pays pour l'occasion attendaient. Et encore eux ils avaient la chance d'être assis, lui commençait à avoir sérieusement mal aux pieds. Et bon sang la couronne de fleur que Guenièvre avait insisté à lui faire porter lui grattait sérieusement le crâne. Il se tourna une fois de plus vers Perceval qui, tenant son rôle de témoin très sérieusement se tenait totalement immobile, les mains croisées :
Non mais bordel qu'est-ce qu'ils foutent ?
Vous voulez que j'aille me renseigner sire ?
Vous voulez dire comme les trois autres fois où vous êtes allés vous renseigner et vous êtes revenus bredouille ? Je sais pas vous vous sentez capables de trouver le chemin des vestiaires cette fois ou je vous colle un intendant pour vous accompagner ?
Non mais les autres fois je suis tombé sur Karadoc ça m'a perturbé, là c'est bon il est assis y'a pas de mouron à se faire sire.
Ok mais dépêchez vous, et dites leur de se bouger aussi ou je sens que l'église va se transformer en un champ de bataille romain-visigoth
De son point de vue il pouvait observer toute la salle et voyait clairement que des alliances commençaient à se défaire au fur et à mesure que les gens s'impatientaient. Les représentants des pays qui parlaient la même langue étaient très agités et parlaient de plus en plus fort, semblant ne pas s'entendre sur le goût du vin, dont ils avaient probablement déjà un peu abusé. D'un côté c'était la seule chose à faire en attendant. Perceval partit se renseigner et Arthur alla se chercher une coupe lui-même, histoire d'actionner un peu ses jambes. Il avait été plutôt fier de son idée de renouveller son mariage avec Guenièvre à la mode catholique, en invitant les plus grands noms du coin afin de montrer qu'il était revenu en tant que roi et que le royaume se portait bien désormais. Mais maintenant qu'il était là, face à tout ce monde qui s'impatientait, il se sentait plutôt nerveux. Bon sang qu'est-ce qu'elle foutait ? C'était pas si foutu compliqué d'enfiler une robe potable pour l'occasion, de se faire un peu tresser les cheveux et boum, mariage et on n'en parle plus.
Qu'est-ce que vous foutez retournez à votre place espèce de trou du fion !
La voix de sa belle mère resonna derrière lui tandis qu'il se servait un verre. Ah, au moins si elle était sortie du vestiaire c'est que c'était bientôt fini
En attendant que votre fille daigne se montrer faut bien que je m'occupe
Oui, bah c'est bon vous vous êtes occupés retournez à l'autel, là Elle le poussa vers le fond de l'église tandis qu'il protestait
Faites gaffe bordel c'est un costume spécial pour l'occasion j'ai pas envie de le tâcher en renversant du vin
Vous avez qu'à pas faire votre poivrot au moins pour une soirée. Pis toute façon croyez moi vous aurez pas besoin d'alcool quand vous la verrez.
Elle le laisse planté là, retourna s'asseoir auprès de Léodagan et secoua celui-ci qui s'était endormi sur son banc. Arthur prit une gorgée de vin en réfléchissant à ces dernières paroles étranges. Oui ok, il avait été assez peu discret ces derniers temps sur les regards qu'il lançait à Guenièvre mais enfin de là à ce que sa belle mère le remarque. Le goût acre du vin le fit hoqueter et il s'énerva mentalement sur les paysans qui n'étaient même pas capables de fournir un vin correct pour le mariage de leur roi. A ce moment là Perceval revint, accompagné de Bohort, l'un en bleu, l'autre en vert pour représenter les deux parties du mariage. Pourquoi Guenièvre avait choisi Bohort comme témoin ça le dépassait, après tout il ne les pensait pas si proches. Mais d'un autre côté il n'avait pas été tellement attentif aux passes temps et aux amis de sa femme durant le temps qu'il avaient passé ensemble. Il se promit mentalement de changer ça.
Ah bah c'est pas trop tôt c'est bon elle va venir ou il faut que je reporte à après-demain ?
C'est bon, c'est bon sire, dit Bohort avec un sourire jusqu'aux oreilles. Sauf votre respect vous allez être plutôt impressionné de ce qu'on a fait avec du simple tissu
Je m'en fous un peu de votre tissu Bohort j'aimerais bien commencer le processus pour que les gens finissent pas par s'étriper dans une église.
Bohort se rangea du côté de la mariée, toujours souriant, et Arthur remarqua que Léodagan s'était eclipsé, sans doute pour pouvoir accompagner la mariée jusqu'à l'autel, c'était bon signe. Même si bon, ils étaient déjà mariés depuis 30 piges techniquement il n'avait pas vraiment sa main à lui donner. Il sursauta alors qu'un orgue commença à résonner dans la salle. Ils avaient un orgue dans le coin ? Encore un détail qui luil avait échappé. Il déposa son verre de vin sur le côté tandis que les invités se levaient, certains de façon un peu vacillante. Deux petites filles apparurent du fond de la salle et dispersèrent des pétales de rose tout le long de l'allée. Et puis elle apparut au bras de son père. Sa machoire tomba et il oublia tout. Les trois heures d'attente, les invités qui s'engueulaient, le vin dégueu, même ses pieds. Elle était vêtue d'une robe en tulle blanche recouverte de fleurs bleues jusqu'à la taille. Ses cheveux lui tombaient sur les épaules en cascade, avec seulement une couronne de fleurs similaire à la sienne sur la tête. Elle était magnifique. Elle arriva à sa hauteur et Léodagan lui donna sa main et retourna s'asseoir. Elle lui sourit timidement tandis que le prêtre se mettait en position.
Vous dites rien ?
Je euh Pour une fois il était sans voix, tout juste capable de la parcourir du regard bouche bée.
C'est les fleurs c'est ça ? J'ai dit à Bohort que ça faisait trop mais il était sûr que c'était la mode et puis Merlin les a fait pousser exprès et du coup…
Il lui posa un doigt sur la bouche avant qu'elle ne s'emballe trop.
Vous êtes parfaite, réussit-il seulement à murmurer
Son visage s'illumina et elle rougit un peu.
Il sourit à son tour réalisant que la cérémonie lui tenait finalement plus à coeur qu'il ne le pensait. Leur premier mariage avait été un simulacre politique. Celui-ci était un mariage d'amour.
#kaamelott#kaamelott secret santa 2023#pendranievre#si quelqu'un sait comment faire des tirets et pas des points chelous pour les dialogues sur tumblr je suis preneuse#même si bon je referai probablement pas de fics de si tôt parce que je suis pas auteure#m'enfin#things#secret santa kaamelott 2023
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Eté 1926 - Champs-les-Sims
2/10
Ce que je vais t'écrire, je te supplie de ne pas en parler à ta famille, car j'ai déjà suffisamment honte.
Tu disais que je devrais davantage me fier à ce que Antoine et Ange m'ont dit au sujet de Jean. Après tout c'est vrai, ils tiennent à moi, et ils ne disent rien par malveillance, juste dans mon intérêt. Mais parfois, je suis complètement stupide ! Franchement, tout le monde sait qu'Antoine est brillant, et je ne compte plus le nombre de fois où Ange m'a dit (avec un certain orgueil quand même il faut le préciser) qu'il avait appris très tôt à scruter les visages et les attitudes pour y déceler les gens qui lui voudraient du mal de ceux qui lui voudraient du bien. Alors quoi ? Moi, bêtement vexée par ta remarque, je décide de ne pas y faire attention.
Tout a commencé lors d'une conversation avec Oncle Adelphe un soir. Je lui dit tout, ou presque. Il ne savait pas pour Jean. Mais quand j'ai un doute, c'est lui que je vais voir. Sur de nombreux aspects de ma vie, il est bien plus paternel que mon propre père. Bref, une chose en entrainant une autre, j'ai fini par lui parler de ma vie amoureuse, l'air de rien, sans jamais trahir Jean, car j'avais peur qu'il ne se rappelle de lui.
Transcription :
Adelphe « Alors, comment avance ta réponse à Cousin Lucien ? »
Arsinoé « Raaaaah, ça n’avance pas. Je n’ai aucune idée de ce que je peux bien lui raconter. J’en ai assez de ne lui parler que d’Ange ou d’Antoine. Mais c’est un homme qui travaille en ville, je pense que ça doit davantage l’intéresser d’entendre parler de la vie trépidante de mon cousin ou histoires marrante de Cléo à la faculté de lettres. »
Adelphe « Pourquoi ne lui parles-tu pas de ce que nous faisons ici ? »
Arsinoé « Vous croyez ? Dès que j’en parle à quelqu’un, j’ai l’impression de le voir retenir un bâillement. »
Adelphe « Il est peut-être différent. »
Arsinoé « Oh, je ne sais pas. Heureusement, d’ici peu, j’aurai enfin quelque chose d’intéressant à lui dire. »
Adelphe « Vraiment ? A ce point ? »
Arsinoé « Oui, enfin. Il va sans doute se passer quelque chose d’intéressant ici sous peu. Tu as bien vu que Antoine et Mademoiselle Laroche s’écrivent des lettres à présent non ? »
Adelphe « Noé, c’est supposé être un secret. Pour Grand-Mère uniquement, mais restons prudents. Et cesse de noyer le poisson, tu ne parlais pas des amours de ton frère. De toute façon, tu n’as jamais pu garder un secret. »
Arsinoé « Pardon ? Mais, bien sur que si ! »
Adelphe « Je sais ! Il y a un garçon qui te plaît ! »
Arsinoé « Oui, j’avoue, c’est vrai. »
Adelphe « Je le connais ? »
Arsinoé « Peut-être… Dites-donc, vous êtes bien curieux aujourd’hui. Dire que je ne parle même pas de cela avec ma propre mère… »
Adelphe « Alors personne n’est au courant ? »
Arsinoé « Si, Cléo. Et Sélène. Et Antoine. Et puis Lucien. »
Adelphe « Ange aussi j’imagine dans ce cas. C’est de longue date donc. »
Arsinoé « Assez, oui. En fait, j’avais envie de vous en parler depuis un moment, mais j’avais peur que vous n’approuviez pas. »
Adelphe « Je comprends. Mais tu dois savoir que peu importe ton choix, si c’est sérieux, tu as tout mon soutient. J’irai parler à Grand-Mère si jamais tu en ressens le besoin. Elle a beau paraître très rigide, mais elle finira bien par se plier à ton choix. »
Arsinoé « Merci mon oncle. Je suis touchée. »
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(Previously, in the HPI rewatch...)
Cet épisode c’est le début de la fin. C’est le début de la dégringolade psychologique de Morgane, c’est le début de Adam qui passe malgré lui à autre chose, et c’est le début de ma dépression, merci bonsoir ⚰️
Morgane va vraiment à son premier jour de stage avec un haut imprimé "Little devil" mais je l'aime 🥰
"Pas de panique madame Navarro" merci de nous rappeler qu'on était sur TF1, des fois qu'on l'aurait oublié... 🥺
J'adore le sous-entendu que Morgane a été ultra insupportable entre le plan où le major Margarita lui dit catégoriquement non pour aller sur le lieux de l’appel, et le plan suivant où ils y vont 😂
"Vous êtes chiant !" On dirait presque que Morgane regrette Karadec dès qu'elle va voir ailleurs.... 🥹
Daphné qui coache Gilles pour parler à Morgane et lui qui se fait victimiser direct derrière, c'est un peu l'essence de ce show
"Vous savez, avec le temps, on s'habitue" mon dieu je crois que c'est l'une des choses les plus romantiques que Karadec ait dite à propos de Morgane 💕
Karadec : "Vous restez là !" Morgane : *le suit littéralement à la trace*
Ah tiens, Karadec a récupéré sa batterie depuis l'épisode 1 😏
"Ah bah non en fait, Morgane" -> spéciale dédicace à @ficuscircus 😘
"Ça vous fait plaisir de me voir souffrir ?" -> peak flirt
Morgane qui trouve tous les prétextes du monde pour refuser les maisons, bichette, ça se voit que t'es pas prête... mention spéciale au mec qui s'est fait sauter le caisson et avec qui Morgane partage son popcorn
"Je t'aime." "Mais moi aussi..." Le love you back le moins convaincu du monde, là quand-même... J'ai mal pour Ludo 😢
Gilles qui se la joue profiler de génie (après 1h30 de formation en ligne) et se fait ridiculiser dans la foulée par le script... cet homme est une victime, mais je vis pour ces moments 🤣
"Tu comptes avancer comment ?" suivi d'un plan sur Morgane qui examine la robe, si c'est pas un testament de la confiance de Karadec dans les capacités de Morgane... D'ailleurs juste après il y a un plan sur son visage à lui, et l'espoir dans son regard c'est 😘🫠🥹
Pff, ils se sont MÊME PAS embêtés à vieillir artificiellement la photo du meurtre de 1972... Déjà 1972 c'est forcément une photo prise avec un appareil argentique, possiblement en noir et blanc (mais même pellicule couleur on voit la différence), qui aurait été scannée, là entre les couleurs et la netteté, ça se voit tellement que c'est une photo HD numérique... En même temps je sais pas pourquoi je continue à m'étonner vu l'incompétence prouvée de TF1 en matière de Photoshop...
"dans la perspective d'explorer la possibilité d'une relation romantique entre nous" -> la gênance ABSOLUE de cette scène, je sais pas comment ils ont réussi à garder leur sérieux en tournant ça 🤦♀️
Et d'ailleurs j'avais écrit ça comme une boutade, mais en fait en revoyant la scène, je me dis qu'en vrai c'est possible que Roxane ait blanchi Adam juste pour sortir avec lui, parce qu'elle l'invite à dîner très vite après la conclusion de l'enquête IGPN, quand-même... Qui n'est d'ailleurs pas terminée puisque "si vous n'êtes pas intéressé ça n'aura aucune incidence sur mon rapport"
Adam qui ne dit PAS UN MOT après "vous voulez dire tous les deux ? Ah...", le mec comprend pas ce qui est en train de lui arriver
"J'ai jamais travaillé avec des étudiants handicapés" Pahahahaha 🤣🤣 elle va apprécier, Morgane
Morgane qui fait du pole dance, que dire... entre la référence à dix pour cent et mon regret que Karadec n'ait pas assisté à l'intégralité de son numéro... 🥹🥹🥹
"Morgane ?" "Bah, elle le boit pas" "Oui ben vous non plus"
C'est moi ou le major fait sa sieste avec la main sur la cuisse de Morgane ?! Mais ... Mais !!! 😱
Jérôme 2 de tension ! Vous croyez qu’on va le revoir en saison 3, lui ?
"C'est sexy les fossettes, hein ? Moi j'aurais adoré en avoir..." Mais, heu, Morgane *a* des fossettes, nan ?
C'est toujours bon de se rappeler qu'Adam allait se barrer au rendez-vous avec Roxane, et qu'il avait pas du tout prévu de l'embrasser, et que -- HOW DARE YOU USE THEIR MUSIC ON THAT SCENE??? Pour ma santé mentale, je vais choisir de croire que si le thème de Morgane et Karadec a retenti au moment où il a embrassé Roxane, c'est parce qu'il pensait à elle et qu'il s'est imaginé embrasser Morgane à la place. Le final a tout de suite une autre couleur, hein ?
Non mais vous savez quoi ma santé mentale va pas s’en remettre de toute façon
Qui veut écouter ma dissertation de 10 000 mots sur la symbolique de l’utilisation de cette musique dans cette scène et ce que ça dit de l’état d’esprit d’Adam ?
Personne ? M’en fous, vais l’écrire quand-même, tiens !
Nan parce que je vous rappelle que ce thème musicale s’appelle EXPLICITEMENT “Morgane & Karadec” dans la bande-son officielle, donc ils l’ont utilisée dans une scène sans Morgane pour une rais--
Ok ok, back to the rewatch post
* heavy breathing *
Morgane qui fait du chantage pour avoir la note maximale à son évaluation, je vois que ce little devil était mérité 😆
Le regard de Morgane dans la toute dernière scène, alors que ça se voit tellement qu'elle s'accroche à un idéal de stabilité qui n'est pas le sien en achetant cette maison, c'est à fendre le cœur.
Et on rappelle que c’est censé se passer EN MÊME TEMPS que la soirée Adam - Roxane ? LES PARALLÈLES !!!! 😱😱😱 ILS FONT CHACUN UN PAS DANS UN ENGAGEMENT QUI N’EST PAS LE LEUR MAIS QUI LEUR PARAÎT ÊTRE LE SEUL CHOIX RAISONNABLE ALLÔ 😭❤️😭❤️😭❤️
Et ça n'est que le début dans cette lente dégringolade de cœurs brisés qu'est le reste de cette saison... Je vous laisse, faut que j’aille agoniser doucement
#hpi#tf1 hpi#julia rewatches hpi#french post#julia's rambling#the more I rewatch this show the less okay I am#oh well emotionally prepping for season 3 I guess
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Le Choix - chapitre 4
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Arthur avait gardé les yeux grand ouverts mais l'épaisseur de la couverture obscurcissait la lueur de la bougie et il fut momentanément aveugle. Avaient-ils réagi assez vite en se cachant sous les draps ? Le silence dura un peu trop longtemps, et, au fur et à mesure des battements frénétiques de son cœur, la vision d'Arthur s'éclaircit. Il remarqua, bien trop tard, que Lancelot, dans sa hâte de faire semblant d'être endormi, avait mal rabattu la couverture et avait laissé dépasser ses boucles brunes - celles d'Arthur - que Guenièvre reconnaîtrait entre mille. Lancelot était du côté du lit le plus proche de la porte, pile face à Guenièvre ; impossible de s’y tromper. À l'instant même, les craintes d'Arthur furent confirmées.
- Ah mais c'est vous ! Je pensais que vous étiez parti manger un bout, pas que vous étiez en route pour ramener une boniche ! Qui est-ce que vous avez là-dessous ?
Arthur et Lancelot se dévisagèrent, interdits, sans savoir que faire.
- Oh soyez pas timide je sais que vous dormez pas je vous ai entendus gazouiller !
Impossible de faire marche arrière, elle n'abandonnerait pas. Arthur se redressa lentement et laissa la couverture tomber de son visage.
- Seigneur Lancelot ! s'exclama Guenièvre.
Le rouge lui était monté aux joues instantanément. Elle bégaya pendant quelques secondes.
- Je... Je suis désolée je... je n'aurais jamais dû...
Et elle quitta la pièce, hagarde.
Arthur ne put que la regarder partir.
- Ah bah bravo hein !
- Je suis tout à fait navré sire, j’ai voulu faire comme vous mais avec si peu de temps pour réagir…
- Oh ça va épargnez-moi vos « navré sire » !
- D’autant plus que je n’ai pas exactement l’habitude de… enfin ce n’est pas la taille que je fais habituellement, je veux dire.
Le « non mais dites » d’Arthur resta coincé en travers de sa gorge devant tant d’effronterie. Plutôt que de rester plus longtemps en la présence de Lancelot, et de ses commentaires désobligeants, il renfila ses pantoufles et s’élança dans les couloirs à la poursuite de Guenièvre.
Il ne lui fallut pas très longtemps pour la trouver et il la rattrapa par la manche de sa chemise de nuit. Elle sursauta.
- Seigneur Lancelot, vous…
Guenièvre ne continua pas sa phrase. Sans réfléchir, il lança d’une voix mal assurée :
- Ce n’est pas du tout ce que vous croyez, le euh… le roi et moi avions juste besoin de… Enfin il fallait que nous nous entretenions de…
Elle l’interrompit en posant une main réconfortante sur son épaule, les yeux levés vers lui. Il n’avait pas l’habitude de la surplomber de la sorte, et il était mal à l’aise de ne pas pouvoir la regarder droit dans les yeux, déstabilisé par la sincérité douce qui s’exprimait entre ses cils.
- Seigneur Lancelot, écoutez, je n'ai pas l'intention de vous jeter la pierre, loin de moi cette idée, même. J'ai simplement été prise de court, la surprise, vous comprenez. Mais je ne voudrais surtout pas m'immiscer dans....
Arthur était lancé dans son mensonge, il ne pouvait plus revenir en arrière à présent. Il fut incapable de réagir autrement que par un vague acquiescement, qui, s'il était tout à fait honnête, ne ressemblait pas vraiment à une réaction de Lancelot. La question lui traversa brièvement l'esprit de savoir pendant combien de temps et au prix de combien d'efforts ils réussiraient à maintenir l'illusion s'ils devaient se trouver contraints d'échanger de place pendant plusieurs jours.
- À vrai dire, continua Guenièvre... Je dois dire que je suis même plutôt soulagée, il me semble que je comprends enfin quelque chose qui m'interrogeait depuis de nombreux mois déjà.
- Pardon ?
- Oh eh bien, vous n'êtes pas sans avoir remarqué que vous et mon mari... J'ai conscience que vos journées à tous les deux doivent être longues et difficile, mais depuis quelque temps il est vrai que vous passez plus de temps à vous hurler dessus qu'à vous faire des tartines. J'avais commencé à ressentir une telle tension que j'en dormais à peine la nuit. Alors maintenant je dois bien avouer que... Disons que je saisis un peu mieux les enjeux de vos récentes querelles.
Les mots de Guenièvre étaient choisis avec tant de soin, et murmurés dans l'obscurité du couloir avec tant de prudence, qu'Arthur ne douta pas une seule seconde d'avoir découvert quelque chose d'absolument profond quant aux états d'âmes de son épouse ; et il se sentit coupable de l'avoir découvert de cette manière, pris dans un stratagème absurde.
- Enfin quoi qu'il en soit, sachez que mon affection pour vous n'est en rien diminuée. Je ne dis pas que je me trouve heureuse de la situation dans laquelle vous me placez, et je vais certainement avoir des mots avec mon mari, mais… Je ne souhaite que votre bonheur, ayez-en la certitude.
Et elle remonta sa main pour la placer contre la joue d’Arthur avec une immense tendresse. Il n’aimait pas beaucoup ça. Tout bien réfléchi, Arthur n’était satisfait d’aucune des informations qui avaient transparu jusque là au cours de cette soirée merdique. Soudain, des pas retentirent dans le couloir.
- Bon bah ça va p’tetre aller maintenant, pas moyen d’être tranquilles au milieu de la nuit dans ce château, marmonna Arthur.
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«Il est bien clair qu’en effet pour les sujets de Sa Majesté britannique — c’est l’hypothèse, ne croyez pas que je suis en train de mal parler de nos alliés anglais — il est très important que le roi d’Angleterre ne soit pas dit être un con.
Ceci peut s’exprimer dans la loi suivante: «Tout homme qui dira que le roi d’Angleterre est un con, aura la tête tranchée» par exemple.
Suivez-moi bien.
[...]
Que va-t-il rêver ce sujet, quand il s’agira de quelque chose difficilement exprimable, puisque ce dont il s’agit n’est pas du fait même que le roi d’Angleterre est un con, mais de tout ce qui y tient, et de tout ce qui fait qu’il ne peut pas être autre chose qu’un con, c’est-à-dire toute la structure du régime dans lequel chaque fois que le sujet va au-delà des limites où il ne faut pas qu’il entre, par la connivence universelle de la connerie du royaume d’Angleterre?
Eh bien, il rêve qu’il a la tête tranchée. Il n’y a pas besoin, à ce niveau, de se poser des questions sur je ne sais quel masochisme primordial, il n’y a pas de problème de l’auto-punition, du désir de châtiment, dans cette occasion, le fait qu’il a la tête tranchée veut dire que le roi d’Angleterre est un con.
La censure, c’est ça !»
Jacques Lacan
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Mermay 2023 - 3ème semaine
Jour 15 - Horreur
"La Sirène" est un Être du Néant, une créature née dans l'absence de ce que nous concevons comme l’Existence.
Elle chante une mélodie qui donne un sentiment de peine, bien que réconfortante à écouter. Mais personne de doit la suivre, tout aussi attirante que soit sa voix, car un sort pire que la mort attend les proies de cet Être du Néant.
Jour 16 - Célébrité // feat. Sayu
J'étais pas intéressée de faire une vrai célébrité en sirène (ce que je suppose la plus part des gens ont fait pour ce thème), donc je me suis tournée vers des célébrités fictives.
Et Sayu de "No Straight Roads" corresponds déjà très bien au thème ! Une idole virtuelle à l'instar de Hatsune Miku, mais avec tout le charme d'une "cutesy-wootsy pink mermaid <3" !
Quant à sa tenue sur ce dessin, il s'avère que j'avais eu l'inspiration de la faire avec une esthétique "Glamrock" en voyant quels avaient été les thèmes des années précédente. En l’occurrence, le thème "Superstar" est ce qui m'a inspiré.
"Glamrock", "Superstar", certains d'entre-vous aurons compris pourquoi j'ai fait le lien entre ses deux mots. =)
Jour 17 - Émotion
Et si... les autres apprenaient... au sujet de ton passé ?
Au sujet du monstre que tu étais ?...
Au sujet du monstre... que tu es peut-être encore ?
Tu... Tu ne... Tu ne veux pas...
Tu ne veux pas que ça arrive à nouveau.
Il n'y aura... aucunes réparations si ça arrive...
Tu ne veux pas leur faire du mal.
Tu te détestes.
Sale monstre.
Tu te sens...
Bon, en gros, juste parce que Humphrey va devenir un triton dans Out of the Abyss ne veux pas dire qu'il sera immunisé contre l'Angoisse™. Bien au contraire !
Jour 18 - Eaux Profondes // feat. Cookie Perle Noire
Personne n'entre dans la Mer Crépusculaire impunément...
Jour 19 - Levé de Soleil
Ouais, le soleil est très bizarre dans les rêves de Shichi. Elle-même ne sait pas si ce qui en sort à une quelconque signification.
Jour 20 - Music For A Sushi Restaurant
Bon, premièrement : je ne connais Harry Styles que de nom. Donc pour ce thème, je suis allé écouté la chanson. Elle est bonne.
Mais le clip vidéo, la vache ! O_O Les premiers et derniers instants me donnes des angoisses ! (c'était probablement le but, alors bravo.)
Je pressentais déjà que ça irait dans cette direction rien qu'au titre, donc on peut pas dire que j'ai été surprise non plus. Mais en voyant le clip, je me suis dit : "ouais, c'est DÉFINITIVEMENT le type de cauchemar que Shichi est capable d'avoir !"
Jour 21 - Body Positivity
Honnêtement, un bon thème pour s'exercer à faire le plus de personnages variés possible ! Et j'avais de toute façon l'intention de faire des personnages supplémentaires pour les futures actes de Out of the Abyss.
A part pour Léviathan et le petit poulpe dumbo, tout les personnages on été imaginé sur le tas en faisant ce dessin là ! J'ai même pas encore de noms pour tout le monde. Allons donc de droite à gauche pour les présentations :
Léviathan, basé sur les baleines bleues, est le plus grand de tous ! Il a des cicatrices laissé par des blessures causé par des pêcheurs. Dire qu'il en est fier serait inexacte, mais il n'en a certainement pas honte non plus. Elles sont pour lui un rappel de ce pourquoi il veux protéger son village.
Le triton-dauphin est maigre et on pourrait croire qu'il est souffrant, mais pas du tout. Il est juste bâtit comme ça.
Tout comme la sirène-régalec, elle est naturellement ronde. (Je trouve malheureusement que ce n'est pas très visible sur ce dessin, mais si on considère que c'est la première fois que je la dessine, je pourrait toujours amélioré ça les prochaines fois où je la dessinerai.)
Le poulpe dumbo, que j'appelle pour l'instant "Mahu", est bien un adulte. Ille est spécifiquement basé sur le pouple "fantôme pacman" qui est, d'après ce que je sais, le plus petit des poulpes dumbo. Et croyez moi que malgré sa taille, ille est très respecté en tant que chef spirituel du village .
La sirène-tortue de mer est une gentille vieille dame qui a du vitiligo. Même s'il est possible qu'elle s'en inquiétait plus jeune, à son âge maintenant, qu'est ce qu'elle en a à faire que ça peau n'en fasse qu'a sa tête ?
Et enfin, les deux jumeaux requins. Il est effectivement impossible de dire qu'ils sont basé sur des requins à cause de leur position sur l'image, mais c'est bien le cas, et leurs noms sont Ka'ahupahau et Kahi'uka. Oui, ils sont inspiré du mythe hawaïen sur des jumeaux mort-nés qui ont été ressuscités en requins et qui protègent maintenant les mers.
J'ai fait de Ka'ahu une albinos, se qui fait qu'elle est très sensible à la lumière du soleil et doit s'en protéger quand elle va à la surface. C'est pour ça qu'elle porte une cape (normalement traditionnellement porté par les hommes) en plus du fait que "Ka'ahupahau" voudrait dire "Cape en plumes bien entretenue". (En vrai, je suppose qu'on peut dire que j'ai fait d'elle une albinos pour justifier le fait qu'elle porte un cape.)
'Uka est très protecteur envers sa sœur et c'est pour cela qu'il lui manque un bras (et qu'il a une prothèse magique). "Kahi'uka" voulant dire "la queue qui frappe", cela me semblait normal de lui donner une personnalité protectrice, en plus de ce dont je me souviens vaguement avoir lu sur le mythe.
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*~ Deuxième semaine || Quatrième semaine ~*
Achetez-moi un petit Ko-fi ?
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11 JANVIER 2023
Programme mystère du 11 au 11
1°) Bouts-rimés (10 minutes) : Un petit huitain. Voici les huit mots à employer : dessin / gressin ; relâche / bourrache ; poisson / glaçon ; semence / démence. Rythme libre, longueur des vers libre, organisation des rimes libre.
Élisabeth avait apporté des gressins, L’atelier d’écriture allait faire relâche. Le prof braillait : « Prenez vos cahiers à dessins ! » On lui a dit : « Prenez plutôt de la bourrache, Ça guérira bientôt votre grosse démence. Pour le plat principal, on avait du poisson, De la carpe farcie, et toute sa semence. On a pris l’apéro, sans mettre de glaçons.
2°) Dialogue mystérieux (10-15 minutes) : Encore une oreille curieuse, mais faible. On rétablira l’intégralité d’une écoute téléphonique transcrite par un fonctionnaire mal réveillé : celui-ci n’a compris qu’une des deux voix, peut-être parce que l’autre chuchotait ?
– Allô ! – Le cabinet vétérinaire ? Vous êtes venu voir la Margot en début d’après-midi, et toujours pas de veau, mais je commence à être inquiet. – Est-ce que ça se complique ? – Oui, il y en a deux autres qui ont commencé à vêler, et ça ne sort pas. – Vous n’en avez parlé à personne ? – Mes commis sont partis, je suis seul pour gérer les mises-bas jusqu’à demain matin ! – Comment ça a commencé ? C’est délicat, ces affaires-là. – La Margot s’est couchée et ne veut pas se relever, les deux autres tournent en rond dans leur box avec les sabots des veaux qui sont visibles, j’ai essayé d’en attacher une pour la mettre au sol, mais ça l’a rendue folle. – Il ne fallait pas y toucher, vous voyez où on en arrive ? – On fait ce qu’on peut, et quand ça commence à foirer on vous appelle. Et on voit qu’elles souffrent, elles mugissent et ça effraie le reste de la stabulation. – C’est toujours douloureux, vous savez. Mais peut-être que… – Non je ne sais pas ! Je n’ai jamais vêlé, moi ! – Je connais un moyen radical. – Les endormir ? – Deux d’un coup. Ça ne vous fait pas peur ? – Les deux qui tournent en rond, oui. Au fusil à seringue, si vous visez bien. – Il y aura des résultats immédiats ; les conséquences lointaines, on les traitera au fur et à mesure. – Le résultat c’est qu’elles vont tomber d’un seul coup par terre, et se casser quelque chose, et les veaux seront perdus ? Pas de ça ! – Bon, moi j’ai ce qu’il faut, comme on dit dans le métier ! Et les compétences, sinon vous ne m’auriez pas appelé… – Vous croyez que j’avais le choix ? À cinquante kilomètres à la ronde vous êtes les seuls ! – Et la troisième ? Comment ça se passe pour elle ? – Pour le moment elle geint doucement, mais je ne vois rien sortir. C’est la championne, il faut absolument sauver au moins celle-ci. C’est ma priorité. Les deux autres, c’est des génisses, elles peuvent finir en boucherie si elles survivent à votre piqûre, mais pas la Margot. – Tant pis pour les autres, il faut savoir faire des sacrifices. – Je vais la tenir au chaud, lui mettre une couverture, lui mouiller le museau, en attendant que vous veniez. – Vous croyez qu’elle tiendra le coup ? – Il y a intérêt ! – De toute façon, c’est votre affaire ! – Oui, c’est toujours le paysan qui paie les pots cassés, jamais le véto… – Quand j’arriverai, pas la peine d’alerter quiconque. – Vous voulez dire que c’est inutile de rappeler un voisin ou le commis d’un voisin ? Vous ne voulez pas passer prendre de l’aide chez les Durand, alors ? Puisque c’est ça, mettez-vous derrière la grange, vous aurez moins à marcher avec votre fusil, et si jamais quelqu’un nous regarde aux jumelles on n’ira pas penser que vous venez pour me flinguer ! – Oui, je sais que je peux me garer un peu à l’écart. – Mais oui, sans faire gueuler les chiens : ils vous reconnaissent au bruit du diesel et à votre odeur ! – Mais oui, je serai discret. – Comme d’habitude. – Bon, j’arrive, il fait bientôt nuit, mais vous dormirez tranquille après mon départ. – J’en aurai besoin, mais je vais devoir surveiller les veaux, c’est pas la peine qu’ils crèvent de froid si vous arrivez à les sortir entiers. – Et pour le règlement, je vais faire un geste : c’est le même tarif, pour l’unité ou pour la paire ! Je compte le déplacement, tout de même. – Pour la facture, vous attendrez la fin du mois ? Mes rentrées de la fromagerie, ça traîne toujours. – C’est ça. Au revoir !
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– Allô ! – La police municipale ? C’est bien le chef Jeannot ? C’est Marcel, des Galeries, je vous ai déjà fait appeler tout à l’heure, votre adjoint vous a sans doute mis au courant. C’est encore les clientes du rayon lingerie qui font le bazar, et on n’y arrive plus, il va falloir intervenir. – Est-ce que ça se complique ? – Ben oui, elles sont un petit paquet dans les cabines d’essayage, elles sont saoules, elles gueulent et on les empêche de sortir, elles disent qu’elles vont se tirer en slip ! – Vous n’en avez parlé à personne ? – Ben, le chef de rayon vêtements a fait dégager toute la zone, on a mis des barrières, mais c’est bientôt la fermeture, qu’est-ce qu’on va faire ? Pour l’instant, on les bloque à l’intérieur des cabines. Et on a mis la musique d’ambiance à fond pour couvrir leurs hurlements. – Comment ça a commencé ? C’est délicat, ces affaires-là. – Elles essayaient des strings et des soutifs, elles en avaient décroché un paquet des cintres, et une vendeuse a voulu en rhabiller une qui prétendait ne pas pouvoir renfiler son pantalon. Elle s’est mise à crier au viol, au secours, on m’agresse, c’est un scandale, et dans les deux autres cabines le cirque a commencé… – Il ne fallait pas y toucher, vous voyez où on en arrive ? – On ne pouvait pas la laisser partir à moitié déshabillée, non ? Et quand j’ai voulu intervenir, il y en a deux qui m’ont sauté dessus, elles m’ont griffé, et mon costard à cinq cents balles est foutu. – C’est toujours douloureux, vous savez. Mais peut-être que… – Ce n’est pas pour la douleur, mais c’est que je ne peux plus y retourner : dès qu’elles me voient, elles gueulent. Elles guettent derrière le rideau des cabines ! Elles veulent que j’entre… – Je connais un moyen radical. – Moi aussi, il faudrait les empoigner, une à chaque main, les envelopper dans des grandes housses et les traîner au rayon des surgelés, si on arrive à dégager une allée tranquille. – Deux d’un coup. Ça ne vous fait pas peur ? – Non, si j’ai de l’aide pour les forcer à marcher. On ne va tout de même pas les porter ? Là, au moins, si on leur redonne leurs fringues personnelles, elles ne vont pas se les geler longtemps, et elles vont se rhabiller. Mais si elles portent plainte en disant qu’elles ont chopé la crève, ensuite ? Vous pensez que ça pourrait marcher ? Une sorte d’opération commando ? – Il y aura des résultats immédiats ; les conséquences lointaines, on les traitera au fur et à mesure. – Les résultats, bon, je veux bien vous croire. Mais les conséquences ? Si je n’ai pas un huissier ou un flic pour établir un constat comme quoi ces furies mettent le désordre, c’est moi qui aurai des ennuis. Vous semblez bien à l’aise pour en parler, vous ! – Bon, moi j’ai ce qu’il faut, comme on dit dans le métier ! Et les compétences, sinon vous ne m’auriez pas appelé… – Ouais, ça veut dire que vous allez venir ? On rhabillera les deux moins féroces ensemble, promis… – Et la troisième ? Comment ça se passe pour elle ? – La troisième, elle est complètement à poil dans sa cabine, et elle ne veut qu’on lui amène le chef de rayon boucherie. Elle dit que c’est son type… On va en faire quoi ? La laisser passer la nuit dans le magasin, en bouclant la zone avec des palettes ou des planches ? On lui colle un chien d’attaque aux fesses ? Ou bien j’envoie le boucher et je lui dis qu’il s’en occupe ? – Tant pis pour les autres, il faut savoir faire des sacrifices. – Sacrifice, sacrifice, ce boucher-là il n’a pas une tête à se sacrifier, et il voudra se faire payer en heures sup. – Vous croyez qu’elle tiendra le coup ? – On s’en fout. – De toute façon, c’est votre affaire ! – Oui, facile à dire pour vous. J’ai pu empêcher que les clients des autres rayons soient au courant, on a prétexté un incident technique avant de mettre les barrières. – Quand j’arriverai, pas la peine d’alerter quiconque. – Alors il faudra attendre la fermeture totale, parce que si elles se remettent à gueuler, ça ameutera trop de monde. Moi, je voudrais qu’on puisse régler l’affaire discrètement. Sans pin-pon ni sirène, il y a déjà assez de boucan. – Oui, je sais que je peux me garer un peu à l’écart. – Un petit fourgon, pas toute la brigade, hein ? Mais des gros bras, ça aidera. Des silencieux. – Mais oui, je serai discret. – J’espère bien. Je ne vais pas en dormir de toute la nuit ! – Bon, j’arrive, il fait bientôt nuit, mais vous dormirez tranquille après mon départ. – Il faudra demander ça à ma femme demain matin ! – Et pour le règlement, je vais faire un geste : c’est le même tarif, pour l’unité ou pour la paire ! Je compte le déplacement, tout de même. – La paire de quoi ? Des claques que vous allez leur mettre ? Vous irez faire le plein derrière, à la pompe des camions, je vous donnerai le code, et on sera quittes ! – C’est ça. Au revoir !
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– Allô ! – Mon Dieu ! Enfin ! C’est difficile de vous joindre… – Est-ce que ça se complique ? – Oui. J’ai laissé s’échapper une petite poignée de galaxies juste à point, en ouvrant la porte du four. J’avais peur que les laborantins laissent brûler les germes. – Vous n’en avez parlé à personne ? – Pas encore. Mieux vaut ne rien ébruiter : les laboratoires concurrents seraient trop heureux de nous dénigrer. – Comment ça a commencé ? C’est délicat, ces affaires-là. – Il y a eu un petit bang, ça bouillonnait, et ensuite j’ai senti une odeur infernale. Soufre, carbone, je ne saurais pas dire. Il faudra expertiser. – Il ne fallait pas y toucher, vous voyez où on en arrive ? – Au risque de mettre le feu au labo ? Ou de faire exploser un des fours ? C’était chaud, bon Dieu ! Je me suis fait des cloques aux doigts en retirant les plateaux. – C’est toujours douloureux, vous savez. Mais peut-être que… – On ne fait pas d’omelettes sans casser… Chanson connue, mon Dieu. Il n’empêche que ça va devenir sérieux : elles sont hors de vue, elles doivent se planquer dans le recoin d’une quelconque spirale. Encore heureux si elles sont restées dans notre domaine, parce que si elles sont dans le champ du voisin, on va avoir les oreilles qui chauffent. – Je connais un moyen radical. – Les faire péter avec le système de sauvegarde pour les cas de détournement ou de piratage ? Avec la télécommande ? Je veux bien essayer. – Deux d’un coup. Ça ne vous fait pas peur ? – Je le fais tout de suite. J’ai la connexion quantique, c’est le bouton rouge, hein ? Et là où je suis, pas de retombées. – Il y aura des résultats immédiats ; les conséquences lointaines, on les traitera au fur et à mesure. – Eh bien ça a marché. Elles sont mortes. Les évacuateurs de déchets fonctionnent, donc pas de conséquences lointaines à craindre. Merci mon Dieu ! Heureusement que vous maîtrisez bien le manuel d’urgence ! – Bon, moi j’ai ce qu’il faut, comme on dit dans le métier ! Et les compétences, sinon vous ne m’auriez pas appelé… – Après tout c’est votre rôle : chef de labo, ça se mérite mais il faut assumer. Merci encore. – Et la troisième ? Comment ça se passe pour elle ? – La troisième est hors des radars, pas de connexion. Impossible de la détruire. On va la laisser vivre sa vie, advienne que pourra. C’est celle où on avait ensemencé des atomes complexes pour voir si la production cellulaire marchait mieux qu’avec la silice ou le radium. Elle va peut-être bourgeonner et produire des filaments grimpants, ou des bras gazeux, on ne peut pas le prédire. Pourvu qu’elle ne produise pas de vie animée ! Il en reste quelques-unes en chantier. Qu’en fait-on ? – Tant pis pour les autres, il faut savoir faire des sacrifices. – Donc, celles qui restent et qu’on n’a pas encore enfournées, on les bazarde avant cuisson. On fera passer les pertes sur une ligne de crédits secondaire. – Vous croyez qu’elle tiendra le coup ? – La ligne de crédits ? La poubelle bleue ? Ou le bébé galaxie en phase germinative ? Je m’occupe des deux problèmes. – De toute façon, c’est votre affaire ! – Oui, et si j’arrive à retrouver la fugitive, on la mettra en observation stricte, une quarantaine, disons. Il faut éviter qu’elle communique quoi que ce soit dans un large rayon. Combien de temps, ce n’est pas important. Vous venez faire un tour au labo cet après-midi ? On règlera les derniers détails avant que le PDG soit informé. – Quand j’arriverai, pas la peine d’alerter quiconque. – Les laborantins ne seront pas là, ils font une boum dans les sous-sols pour fêter le démoulage des nouvelles petites lunes de la vingt-cinquième étagère. Les rampes d’arrivée seront libres. – Oui, je sais que je peux me garer un peu à l’écart. – Ne faites pas pétarader votre engin en vous garant ! – Mais oui, je serai discret. – Ça changera, hein, mon Dieu ? – Bon, j’arrive, il fait bientôt nuit, mais vous dormirez tranquille après mon départ. – Les étoiles jumelles seront éteintes, toujours à cause de ces restrictions de crédits. Mais il reste les veilleuses de sécurité. Quant à dormir, non, je suis invité à la boum ! Il paraît qu’ils ont un orchestre avec un gros son, et de beaux flacons. – Et pour le règlement, je vais faire un geste : c’est le même tarif, pour l’unité ou pour la paire ! Je compte le déplacement, tout de même. – Une destruction, c’est quarante big bang, il me reste encore de quoi payer ! Le déplacement ? Ah non ! J’offre l’apéritif, en compensation, si vous voulez. Vous ne serez pas venu pour rien ! À tout de suite, mon Dieu. – C’est ça. Au revoir !
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– Allô ! – Oui, c’est Cindy, à la crèche. J’y arrive plus, m’sieur. On ne peut plus les garder. – Est-ce que ça se complique ? – Elles sont infernales, vos gamines. Ça fait beaucoup trop de désordre dans la petite section. – Vous n’en avez parlé à personne ? – Surtout pas à la directrice. Je suis stagiaire, moi ! – Comment ça a commencé ? C’est délicat, ces affaires-là. – Une histoire de doudou tombé dans les WC, et puis ça a dégénéré en bagarre. – Il ne fallait pas y toucher, vous voyez où on en arrive ? – Il a bien fallu récupérer le doudou avant de tirer la chasse d’eau, non ? C’est pas facile ! – C’est toujours douloureux, vous savez. Mais peut-être que… – Oui, douloureux. Je me suis fait un tour de rein. – Je connais un moyen radical. – Pour guérir le tour de reins ? C’est pas la peine. J’aimerais plutôt isoler les jumelles du groupe des tout petits. – Deux d’un coup. Ça ne vous fait pas peur ? – Non ! Je mettrai les deux plus grandes chacune dans un placard. Ça les calmera. Mais faudra pas vous plaindre après. – Il y aura des résultats immédiats ; les conséquences lointaines, on les traitera au fur et à mesure. – Sûr qu’elles vont pas apprécier et fermer leur clapet. Mais si la directrice s’en mêle, vous me soutiendrez ? – Bon, moi j’ai ce qu’il faut, comme on dit dans le métier ! Et les compétences, sinon vous ne m’auriez pas appelé… – Ben oui… C’est vos gosses, mais vous êtes éducateur. Les deux aînées, elles ont été mal dressées ! – Et la troisième ? Comment ça se passe pour elle ? – La troisième, elle n’aura pas de fessée. Mais les grandes, je ne dis pas… – Tant pis pour les autres, il faut savoir faire des sacrifices. – Oui ! Je vais les châtier devant la petite, pour l’exemple. – Vous croyez qu’elle tiendra le coup ? – Ça lui forgera le caractère. – De toute façon, c’est votre affaire ! – Mais ce sera la vôtre quand vous les aurez r��cupérées. Venez au plus vite. – Quand j’arriverai, pas la peine d’alerter quiconque. – Surtout pas la directrice. Vous me prenez pour une gourde ? Et ne passez pas par l’entrée principale. – Oui, je sais que je peux me garer un peu à l’écart. – Sur le petit parking. Il y a une porte à l’arrière. – Mais oui, je serai discret. – J’espère bien. – Bon, j’arrive, il fait bientôt nuit, mais vous dormirez tranquille après mon départ. – Moi, oui. Mais c’est vous qui endormirez vos gamines ! – Et pour le règlement, je vais faire un geste : c’est le même tarif, pour l’unité ou pour la paire ! Je compte le déplacement, tout de même. – Vous n’allez tout de même pas réclamer qu’on vous paie, non, sans blague ? Et au prétexte que vous rompez le contrat ? Pas question. – C’est ça. Au revoir !
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jeudi 24 octobre 2024 3:12 a.m. Break. 18:30:19
Je savais que la peau de mon visage devait luire, je l’avais vu dans la bible, j’avais quand même vu la sainte vierge, mais je n’en faisais pas de cas. Ça doit être un idéal, il en a plusieurs, ce doit être un des ses idéaux. Les patients en santé mentale n’ont pas d’idéals. Vous pouvez vous imaginer comment je me sentais persécuté. Le largactil s’attaque aux articulations hen, ma mère faisait son hum et ça me bloquait dans ce que j’étais en train de faire. Sunshine c’est la réalisation d’un idéal. Pourvu qu’on voie qu’elle passe à travers un barreau.
7:28 a.m. C’est ça, ce sont des moqueurs, ils rient de moi parce que je suis bon. Ils se moquaient de moi parce que je suis niaiseux, et ils entravaient mes mouvements. Maintenant c’est fini, ils continuent à se moquer, mais ils ne sont plus capables d’entraver mes mouvements depuis que j’ai été atteint par un rayon désintégrateur des extraterrestres je crois. Pour que ça arrête, il aurait fallu que je tu quelqu’un (pour ne pas rester niaiseux) parce qu’ils disent que je suis niaiseux. Alors la police m’aurait arrêté, m’aurait plaqué à terre et m’aurait attaché les mains dans le dos. C’est ce que tu veux. En effet, ils savent que j’aime ça me faire attacher, et j’ai refusé un contrat qu’ils m’ont offert à Montréal pour devenir tueur à gages et me faire attacher par Yvon et Odette. Autrement dit, ils ne t’attacheront jamais. Le Ciusss de la Capitale. J’ai vu le Seigneur faire la mou, il doit y avoir quelqu’un au-dessus de lui. Comme ils ont tué Bachir Gémayel, le président du Liban. Jean Chrétien a refusé de me recevoir en 1982, mais Bachir m’a reçu dans son bureau.
Croyez-le ou non, Gervais se souvient du temps où il fumait et de ses cendriers.
Babylone a délivré Jéricho de la ville de Jérusalem, ils n’ont rien fait de mal. Je n’ai pas un mot à dire contre Babylone. Les paroles du commandant de la garde des Chaldéens à Jérémie sont probablement authentiques. Jr 40, 2. Le commandant de la garde prit donc Jérémie et lui dit : « Yahvé, ton Dieu, avait prédit ce malheur pour ce pays et il l’a amené. Yahvé a agi selon ses menaces. C’est que vous avez péché contre Yahvé sans écouter sa voix; alors ce malheur vous est arrivé. »
On parle tellement contre Babylone dans la bible. C’était tellement scandaleux quand Sédécias lui flattait la joue. Odette fumait toujours du haschisch avec moi, ils ont fait une grosse saisie de haschisch à Baie-Comeau, une cinquantaine de barils qu’ils ont jetés à la mer.
Ils me disaient qu’il fallait que je m’habille pour prendre des photos, vous comprenez. Alors j’ai pris une photo assez fortuite, une vidéo. Il est en ligne. C’est mon ordinateur qui a fait ça. Vu que j’avais pris des photos attaché sur le site des chroniques ils pensaient que j’allais recommencer. Yvon n’attache pas Odette, il est plus intelligent que ça, c’est la domestique qui l’attache.
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IL NE SUFFIT PAS DE PRIER POUR ÊTRE EXAUCÉ/2
Nous continuons notre enseignement avec les versets 12 / 14 et 15 de Matthieu 6 où Jésus nous dit que nous devons pardonner aux hommes leurs offenses car Dieu nous a pardonné les nôtres ; et si nous ne pardonnons pas les offenses des hommes notre Père ne nous pardonnera pas non plus les nôtres. Cette partie entre dans la disposition de notre cœur vis à vis de notre prochain et de Dieu. On ne peut pas espérer être exaucé lorsque nous prions avec de la rancune dans notre cœur. Dans Matthieu 5 versets 23 à 24, Jésus nous dit que si nous présentons notre offrandes devant l'autel et que nous nous souvenons que notre frère a quelque chose contre nous, nous devons d'abord aller nous réconcilier avec notre frère et revenir ensuite présenter notre offrande à Dieu. Ça veut dire que nous ne pouvons pas prétendre honorer Dieu alors que nous avons fait du tort à notre frère sans le réparer. Jésus a dit dans jean 11 versets 41 à 42.avant de ressusciter Lazare : Père, je te rends grâce de ce que tu m'as exaucé. Pour moi je savais que tu m'exauces toujours... Pourquoi Jésus affirme qu'IL a été exaucé avant même de voir Lazare ressuscité ? Pourquoi Jésus a t'IL tant d'assurance quant a son exaucement ? Parce qu'IL connaissait la volonté de Dieu par rapport à la résurrection de Lazare. Parce que Jésus ne faisait que la volonté de Dieu. IL avait reçu dans sa " chambre" le programme de la résurrection de Lazare. IL pouvait prier en public et agir avec la certitude qu'IL serait exaucé. Nous pouvons avoir une foi ferme par rapport à une prière et un exaucement si nous avons reçu de Dieu ce que nous devons faire et nous recevons de Dieu ce que nous devons faire si nous nous soumettons à sa Parole et à sa volonté. Si nos cœurs sont disposés à Lui obéir. Il est écrit dans proverbes 28 verset 9 que si quelqu'un detourne l'oreille de la loi, sa prière même est en abomination devant Dieu. En ce qui nous concerne dans la nouvelle alliance, c'est la loi de l'amour que nous devons pratiquer pour être agréables à Dieu. Dans Jaques 4 versets 3 à 4 il est écrit : vous demandez et vous ne recevez pas parce que vous demandez mal dans le but de satisfaire votre convoitise. Quelqu'un qui s'imagine être exaucé parce qu'il a jeûné et prié pendant plusieurs jours alors qu'il l'a fait pour obtenir de Dieu de quoi satisfaire sa convoitise doit revoir les motifs de sa prière car il ne sera pas exaucé. Et si par malheur Dieu l'exauce, ce ne sera pas sa volonté parfaite mais sa volonté permissive et croyez moi , la volonté permissive de Dieu est suivie de chagrin...
Dans jean 15 verset 7 Jésus dit : si vous demeurez en moi et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voulez et cela vous sera accordé. Nous voyons bien par ce passage que ce qui nous sera accordé sera demandé selon la Parole de Dieu et non selon nos désirs personnels et notre convoitise. Par exemple il y a une différence entre prier pour que le Seigneur nous donne un mari ou une femme qui le craignent afin de servir Dieu ensemble et demander un mari ou une femme afin de faire un grand mariage et être admirés par les autres, que Dieu nous donne un conjoint riche beau, célèbre etc..... pour se vanter devant les autres.....Dans les deux cas c'est la même chose qui est demandée mais les motifs, la motivation de coeur est différente. Il est écrit dans 1 jean 5 verset 14 à 15 que nous avons auprès de Lui ( Dieu) cette assurance que si nous demandons quelque chose selon sa volonté IL nous écoute. Et si nous savons qu'IL nous écoute, quelque soit ce que nous demandons nous savons que nous possédons la chose que nous Lui avons demandée. Nous voyons dans ce passage que pour que Dieu nous écoute, nous devons demander selon sa volonté. Ce n'est que s'IL nous écoute qu'IL nous exauce. Ce n'est pas le fait de crier, de gesticuler, de pleurer de se rouler au sol de jeûner qui fait que nous serons exaucés.... Dieu écoute et exauce les prières qui sont en accord avec sa Parole et donc sa volonté. 1 jean 3 verset 22 à 23 nous dit que quoique ce soit que nous demandons nous le recevons de Lui parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui Lui est agréable. Et son commandement est que nous croyons en Jésus-Christ et que nous nous aimions les uns les autres. Commençons par nous examiner nous même avant de parler de prière afin que nous soyons exaucés car c'est le but de la prière. Personne ne prie pour ne pas être écouté et exaucé par Dieu. À suivre....
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Citations de la série Castle
J'en ai parlé plusieurs fois, voici quelques citations de la série Castle, qui me fait beaucoup pensé à toi, pour te résumer, c'est un écrivain qui suit une policière sur des enquêtes pour écrire ces romans et qui tombe amoureux d'elle, évidemment. Toutes ces citations me font penser à nous, sans le contexte ce sera surement nul mais peut être qu'un jour tu regarderas et tu comprendras.
Saison 3 Episode 04
Castle : Comment sait-on qu'on est amoureux ? Beckett : Toutes les chansons prennent un sens.
Saison 3 Episode 16
"J'arriverai jamais a comprendre un truc, pourquoi ce qui vous attire le plus chez quelqu'un finit toujours par vous rendre complètement dingue.
Je demande pas grand chose, j'aimerais juste rencontrer un homme, qui serait présent pour moi, et pour lequel je serais présente, afin qu'on puisse construire quelque chose ensemble." Kate
Saison 3 Episode 24
Rick : Je suis votre coéquipier et votre ami. Kate : C'est ce que nous sommes ? Rick : D'accord, je ne sais pas ce que nous sommes, on s'est embrassés, on a même failli y passer en gelant dans les bras l'un de l'autre, et pourtant on en a jamais parlé, alors non je ne sais pas ce que nous sommes. Tout ce que je sais, c'est que je refuse de vous voir mourir. Kate : Je vous rappelle qu'il s'agit de ma vie, et pas de votre terrain de jeu privé. Je vais vous dire ce que nous sommes : un tandem mal assorti, composé d'un flic, en l'occurrence moi, et du gosse le plus drôle de l'école. Et c'est pas ce qui va nous aider. Rick : Vous ne voulez plus seulement retrouver le meurtrier de votre mère, vous cherchez aussi un endroit où vous cacher. Parce que vous êtes sur cette affaire depuis tellement longtemps que vous ne savez plus qui vous êtes sans elle. Kate : Vous ne me connaissez pas, Castle. Vous croyez me connaitre, mais en fait non. Rick : Vous êtes comme dans un cocon dans le meurtre de votre mère, et vous n'en êtes jamais sorti. Vous vous cacher derrière cette affaire, comme dans ces relations avec des hommes pour lesquels vous n'avez pas d'amour. Vous pourriez être heureuse Kate. Vous méritez d'être heureuse. Mais vous avez peur. Kate : Il n'aura jamais rien entre nous Castle. Je ne veux plus vous voir.
Saison 4 Episode 01
"Après la mort de ma mère, quelque chose a changé en moi, comme ci j'avais monté un mur à l'intérieur. Je sais pas, peut-être pour ne pas souffrir autant à nouveau. Je sais que je ne serais pas capable de devenir le genre de personne que je veux vraiment être. Je sais bien.. Je serais pas capable d'avoir le genre de relation intime que j'aimerais avoir, tant que ce mur sera présent. Et tant que je n'en aurais pas fini avec ça, ce mur restera en place." Kate
"Oh Kate, on va résoudre tout ça, ce mur à l'intérieur, ne sera pas là indéfiniment." Rick
Rick : Salut. Tu as raison. Il est temps que je grandisse un peu. Et c'est pour ça, que je fais ce que je fais. Tout ce qui est arrivé, est arrivé à cause de moi. Et je dois être là pour elle, je lui dois bien ça. Alexis : Est ce qu'avec elle, tu te sens bien ? Rick : Oui, c'est certain. Alexis : Et c'est suffisant ? Rick : Suffisant pour l'instant. Alexis : Okay. Rick : Okay. Alexis : Papa, grandi qu'un petit peu, d'accord ?
Saison 4 Episode 09
On ne peut pas aider quelqu'un qui refuse qu'on lui tende la main.
Saison 4 Episode 19
"Je pensais qu'on pouvait avoir un avenir ensemble, tu sais, j'étais prêt à attendre. J'ai découvert que c'était qu'une immense farce. Elle était au courant, pendant tout ce temps elle se souvenait de tout, et elle n'a rien dit. Parce qu'elle était embarrassée, parce qu'elle ne ressent pas la même chose. Je ne suis qu'un imbécile." Rick
Saison 4 Episode 23
Kate : Comment avez vous pu me faire ça ? Rick : Parce que je vous aime, mais vous le savez déjà non ? Vous le savez depuis un an. Kate : J'ai du mal a y croire, vous me dites ça maintenant alors que vous venez tout juste de m'avouer que vous m'avez trahi. Rick : Kate, écoutez-moi.. Kate : Que je vous écoute. Pourquoi voulez-vous que je vous écoute ? Expliquez-moi comment je pourrais croire un instant ce que vous pouvez me dire. Rick : Comment vous pourriez.. Mais pour tout ce que nous que nous avons vécu ensemble. J'ai été là pendant quatre ans. Quatre ans à attendre que vous ouvriez les yeux, pour voir que j'était là, pour vous seul. Je suis plus qu'un coéquipier. Si tous les matins je vous apporte votre café, c'est pour voir un sourire illuminer votre visage, parce que je crois que vous êtes la personne, la plus remarquable, la plus frustrante, exaltante, et la plus exaspérante que j'ai jamais connu. Et je vous aime, si jamais ça compte, un tant soit peu. Ne vous obstinez pas dans cette quête qui vous mènera qu'à votre perte.
Oui vous avez raison, c'est votre vie, vous pouvez vous en débarrasser si vous le souhaitez, mais moi je ne vais pas rester là à vous regarder faire. Alors, c'est fini, je m'en vais. Rick
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Chapitre 130 : Alliances inattendues Partie 1
Bonjour, monsieur. Dit-elle en s'asseyant face à lui, essayant de masquer son inquiétude.
Bonjour, Parker. Merci d’être venue si rapidement. Répondit-il, son visage grave et ses yeux trahissant une profonde préoccupation.
Il poursuivit en demandant poliment :
Comment ça va ? J'imagine que ça ne doit pas être très facile pour vous.
Elle répondit dans un haussement d'épaule, tentant de paraître détachée :
Disons que je n'ai pas eu le choix. Il était nécessaire que je prenne mes distances. Ça fait partie du jeu. Maintenant, je suis libre d'agir comme je le souhaite.
Vous ne croyez pas si bien dire Parker. Justement, j'ai une proposition à vous faire. Dit-il en se penchant vers elle son ton devenant plus intense.
Ah oui ? Je vous écoute. Demanda-t-elle, quelque peu perplexe son cœur battant plus vite.
Il prit une grande inspiration avant de reprendre :
Que diriez-vous de travailler ensemble ? De manière officieuse, bien entendu.
Parker arqua un sourcil, visiblement surprise par cette proposition. Une vague de confusion et de méfiance traversa son esprit.
Vous êtes sérieux ? S'interrogea-t-elle, quelque peu abasourdie.
Je suis conscient de tout ce que cela implique, mais j'ai beaucoup réfléchi à la question. Ne vous sentez pas obligé d'accepter Andréa. Seulement, vous êtes brillante et déterminée et je crois qu'en travaillant à vos côtés, je pourrais peut-être vous aider à vous sortir de cette impasse, une bonne fois pour toutes. Dit-il sous un air très sérieux, ses yeux cherchant les siens pour y trouver une réponse.
Je vous avoue que je ne sais pas quoi dire. Vous avez une carrière et je ne voudrais pas…
Skinner ne la laissa pas terminer, il déclara, l'air décidé :
… Ne vous en faite pas pour ça. C'est tout réfléchi. Laissez-moi vous expliquer la situation. En tant que directeur adjoint, je peux avoir accès à des informations sensibles qui pourraient grandement faire avancer cette affaire. Je sais que vous en savez assez sur le sujet pour pouvoir agir, seulement, il vous manque un appui de taille pour pouvoir le faire sans vous compromettre. Je peux être cet appui. Qu'en dite vous ? Proposa-t-il, en la regardant droit dans les yeux, une lueur de détermination dans son regard.
Parker semblait réfléchir à ses paroles. Elle hésita un instant, son esprit tourbillonnant de doutes et d’espoirs contradictoires, avant de répondre :
Je dois admettre que l'idée est très alléchante et j'en serais très honoré, mais…
Vous doutez de ma loyauté, n'est ce pas ? Je comprends. Comme je vous l'ai dit, vous êtes libre de refuser, évidemment. Mais je tiens à vous et il me serait impossible pour moi de trahir votre confiance. Je vous donne ma parole. Dit-il le regard brillant de sincérité.
Parker marqua une pause pesant ses options, puis reprit :
Très bien. Je marche. Je vous fais confiance. Laissez-moi le temps de rassembler tout ce que j'ai sur le sujet et nous pourrons ensuite passer à l'action.
C'est d'accord. Je suppose que vous avez pris vos dispositions pour votre sécurité. Dit-il, tentant de se rassurer.
Oui en effet. Je vous tiens au courant. Dit-elle avec assurance, un nouveau sentiment de détermination se mêlant à son anxiété.
Parfait. Attendez mon appel. Dit-il, un sourire rassurant se dessinant sur ses lèvres.
Parker quitta le bar, son esprit en ébullition. L’offre de Skinner était tentante, mais elle savait que cela impliquait des risques. Elle passa le reste de la journée à rassembler ses pensées et à préparer les documents nécessaires. Parker semblait avoir retrouvé un nouvel espoir grâce à lui. La jeune femme avait encore du mal à comprendre pourquoi Skinner tenait tant à lui venir en aide. Peut-être se sentait-il en partie responsable de tout cela ? Bien que ses projets en seraient bouleversés, Parker espérait avoir fait le bon choix en lui accordant sa confiance, tout en réalisant que la situation dans laquelle elle se trouvait, la dépassé totalement. Parker ne pouvait plus se permettre d'échouer à nouveau. Pas après tout ce qu'elle avait enduré.
Le lendemain matin, Parker reçut un appel de Skinner. Sa voix était calme mais déterminée.
Parker, j’ai sécurisé un lieu de rendez-vous. Pouvez-vous être là dans une heure ?
Oui, comptez sur moi. Répondit-elle, son cœur battant la chamade.
Elle se rendit à l’adresse indiquée, un petit bureau discret en périphérie de la ville. En entrant, elle trouva Skinner déjà installé, entouré de dossiers et de cartes.
Bonjour, Andréa. Merci d’être venue. Dit-il en lui faisant signe de s’asseoir.
On ne peut pas dire que vous avez chômé. Lui fit-elle remarquer en scrutant le lieu.
Bon, j’ai apporté tout ce que j’ai Dit-elle en posant une pile de documents sur la table.
Skinner hocha la tête et commença à examiner les papiers. Après quelques minutes de silence, il leva les yeux vers elle.
Vous avez fait un excellent travail Andréa. J'ignorais que vous possédiez autant d'informations. Avec ça, nous avons une chance de faire tomber le Centre. Dit-il, une lueur d’espoir dans les yeux.
Mais Parker ne semblait pas du même avis. Le doute la submergea tout à coup. Elle demanda, d'une petite voix trahissant son inquiétude :
Je ne suis pas sûr que cela suffit monsieur. Qui voudra croire ça ? L'affaire a été classée sans suite, et quand bien même elle serait rouverte, nous aurions à faire face à un autre problème. Monsieur, je ne remets pas en cause vos compétences, seulement, il y a un détail qui pourrait tout faire basculer.
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Je voulais juste vous dire une chose par rapport à ceux qui sont plus faibles que nous ( de nature - par le handicap - la vieillesse ou un accident de vie ou l’espèce - la race - les origines - la corpulence ).
J’ai récemment adopté une petite chienne elle pèse 4,5kg ... autrement dis elle est juste un ou deux kilo de plus qu’un chihuahua... donc elle est est aussi très petite et ce , malheureusement, par le biais de modification génétique où on veut un chien de race , un chien dont on a à choisit la taille ou la tache à accomplir à la maison.
Les pinsher au départ n’etait pas « NAIN » il était en Allemagne tel le chat élevé pour éliminer les rongeurs autour des maisons. Bien qu’ils aient un mordant incroyable et de belles canines ce ne sont pas des chasseurs de nature.
Tous ce qu’elle aime elle c’est jouer et aussi protéger la maison ( c’est le rôle de tous le chien).
Pour en revenir à sa petite taille.
Je me rend compte qu’en l’adoptant elle est seule avec quelqu’un qu’elle ne connaît pas ... au départ elle a peur elle tremble ... je pourrai l’egorger la tuer là jeter dans l’eau bouillante l’écraser l’étrangler ou la jeter par la fenêtre et ce ne serait pas considéré comme un crime car c’est juste un animal rien d’autre. Aussi la violer.
Ça m’a rendu très triste j’ai pensé à tout ceux qui contrairement à elle n’ont pas eut la chance de tomber sur un foyer où on leur veut du bien.
Soit maltraiter au pire ... au mieux abandonné et récupérer par les services sociaux avec 50% de chance d’être euthanasier ... j’en ai beaucoup pleurer et la encore j’ai les larmes aux yeux .
Svp soyez bon avec les animaux et si vous ne pouvez pas l’être faites les adopter comme ce fut le cas pour CHERIL .
Je suis tout à fait reconnaissante de la dame qui a honnêtement dis qu’elle n’en voulait pas car elle est trop occupé avec son mari malade.
Un chien c’est du temps et de l’argent. Et le chemin ensemble doit être pavé d’amour pas de négligence , d’incompréhension , de mal traitance.
Croyez moi dans la vrai vie un chien nést pas aussi docile que veulent bien le prétendre les vidéo YouTube.
Ils refusent de faire caca ou on leur a dis
N’aime pas se prôner quand nous on et vice versa
Veulent pas qu’on leur brosse les dents ou qu’on les shampoine et tout ça on le fait et pour eux c’est à contre coeur mais ils acceptent car ça fait partie de leur éducation de savoir que c’est pour leur bien.
Car un chien peut avoir des carries - des abcès dentaires - des puces et des tiques , des pattes sales à forces de marcher et de sentir la crottes des autres et aussi avoir des ongles incarnés et qui s’infectent si on ne les coupent pas.
Tél un ami ou un enfant ou vous même ne négliger pas leur santé
J’ai souscrit à santé VET!! Je vous recommande ;)
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Sexualité?
Que signifie ton surnom?
Si vous pouviez rencontrer n'importe qui sur terre, qui choisiriez-vous de voir?
À quoi pensez-vous le plus souvent?
Comment allez-vous?
Avez-vous déjà teint vos cheveux?
Quelle est la couleur de tes yeux?
Portez-vous des lentilles de contact / des lunettes?
Avez-vous des tatouages?
Avez-vous des piercings?
Dormez-vous avec ou sans vêtements?
Bois-tu?
Est-ce que tu fumes?
Êtes-vous une mauvaise personne?
Avez-vous des surnoms?
Aimez-vous l'odeur de l'essence?
Dernier livre lu.
Vous ont-ils déjà frappé?
La première chose que vous faites le matin?
La dernière chose que tu fais le soir?
Que changeriez-vous dans votre corps?
Avez-vous déjà eu des expériences sexuelles?
Avez-vous déjà fait un joint?
Faites-vous des épilations?
Vous le jurez?
Phrase préférée?
Quel est votre téléphone portable?
Avez-vous déjà détesté quelqu'un?
Que feriez-vous avec le chirurgien plasticien?
Comment vous imaginez-vous dans 20 ans?
Envie-tu quelqu'un?
Dites-moi la première chose qui vous vient à l'esprit lorsque vous entendez le mot «cœur».
Quelle est la dernière chanson que vous avez écoutée?
Quelle est votre couleur préférée?
Quelle heure est il?
Quelles sont vos boutiques préférées pour magasiner?
Avez-vous déjà aimé quelqu'un que vous n'avez pas dit?
Aimez-vous quand les gens jouent avec vos cheveux?
Est-ce que parler de sexe vous met mal à l'aise?
À quand remonte la dernière fois que vous avez dit à quelqu'un que vous l'aimiez?
Pensez-vous que quelqu'un a des sentiments pour vous?
Pensez-vous que quelqu'un pense à vous en ce moment?
Avez-vous déjà pleuré pour un garçon / une fille?
Y a-t-il quelqu'un que vous n'oublierez jamais?
Avez-vous déjà souhaité quelqu'un que vous ne pourrez jamais avoir?
Quelle est la chose la plus douce que quiconque ait jamais faite pour vous?
Qu'aimeriez-vous que quelqu'un fasse qui soit vraiment gentil avec vous?
Avez-vous déjà été trahi?
Tu es amoureux?
Être soi-même est-il important dans une relation?
Quelle est la première chose que vous remarquez chez quelqu'un?
Avez-vous déjà embrassé quelqu'un de plus âgé que vous?
Pouvez-vous dire comment s'est passé votre premier baiser?
Pouvez-vous dire comment s'est passé votre premier baiser?
La dernière personne que tu as embrassée?
Préférez-vous être derrière la caméra ou devant elle?
Êtes-vous le genre de personne que vous aimeriez avoir comme ami?
Où est votre meilleur ami en ce moment?
Économisez-vous ou dépensez-vous tout de suite l'argent que vous recevez?
Pouvez-vous toucher votre nez avec votre langue?
Petit ami?
Combien de relations avez-vous eues?
Où étiez-vous hier?
Croyez-vous à la chance?
Avez-vous déjà voulu être quelqu'un d'autre?
Poster une photo de vous-même.
Si vous aviez un garçon et une fille, comment les appelleriez-vous?
Si tu étais une chanson, que serais-tu?
Si vous étiez une odeur, que seriez-vous?
Vous pouvez choisir d'avoir une superpuissance. Qu'est ce que ça serait?
Avec quelle célébrité de la musique coucherais-tu?
Vous avez la possibilité de partir maintenant. Où iriez-vous?
As-tu un meilleur ami?
Quelle chanson vous met toujours de bonne humeur?
Quels sont les 4 derniers chiffres de votre numéro de mobile?
Que feriez-vous si vous aviez un mois à vivre?
Pour vous, qu'est-ce qui rend une relation formidable?
Comment pouvez-vous être conquis?
Quelle pointure portez-vous?
Quelle est la meilleure décision que vous ayez jamais prise?
Croyez-vous en la magie?
Y a-t-il déjà eu des rumeurs à votre sujet?
Tenez-vous généralement rancune contre les personnes qui vous ont fait du tort?
Quelle est la dernière chose que vous avez achetée?
L'amour ou la luxure?
Portez-vous des chaussettes?
Y a-t-il quelque chose de rose à moins de 3m de vous?
Quel est votre animal préféré?
Êtes-vous satisfait de la personne que vous êtes devenue?
Quel son vous dérange?
Et lequel aimez-vous?
Étendez votre bras droit. Que touchez-vous en premier?
Avez-vous déjà suivi un régime?
Quel est le dernier mensonge que tu as dit?
Si vous êtes à l'extérieur, quelle est votre activité préférée?
Est-ce que quelque chose est déjà resté coincé dans votre nez?
À quand remonte la dernière fois que vous avez joué de la guitare aérienne?
Quel est votre talent le plus étrange?
Ont-ils déjà écrit une chanson pour vous?
Vous considérez-vous comme un bon ami?
À quoi ressemble votre petit ami idéal?
Tu aimes le chocolat?
Avec qui iriez-vous en vacances?
Quelle est votre chanson préférée?
Préférez-vous la mer ou la montagne?
Avez-vous déjà pensé au suicide?
Comment voudriez-vous mourir?
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Je ne sais pas si Dieu a réellement parlé. Mais s'il l'a fait, voici ce que je crois qu'il dirait aux croyants : Arrêtez de prier et de vous frapper à la poitrine. Ce que je veux que vous fassiez, c'est que vous sortiez dans le monde pour profiter de votre vie. Je veux que vous vous amusiez, que vous chantiez, que vous instruisiez, que vous profitiez de tout ce que j'ai pour vous. Arrêtez d'aller dans ces temples sombres et froids que vous avez construits vous-même et dont vous dites que c'est ma maison. Ma maison est dans les montagnes, dans les bois, les rivières, les lacs. C'est là où je vis avec vous et où j'exprime mon amour pour vous. Arrêtez de m'accuser de votre vie misérable. Je ne vous ai jamais dit qu'il y avait quelque chose de mal en vous, que vous étiez un pécheur, que votre joie était une mauvaise chose. Alors ne me blâmez pas pour tout ce qu'ils vous ont dit de croire. Arrêtez de ressasser des lectures sacrées qui n'ont rien à voir avec moi. Si vous ne pouvez pas me lire à l'aube dans un paysage, dans le regard de votre ami, de votre femme, de votre mari, dans les yeux de votre fils, vous ne me trouverez pas dans un livre. Arrêtez de faire peur. Je ne vous juge pas, je ne vous critique pas, je ne rentre pas en colère et je ne punis pas. Je suis pur amour. Je vous ai remplis de passions, de limites, de plaisir, de sentiment, de besoins, d'incohérences, et je vous ai donné le libre arbitre. Comment puis-je vous blâmer si vous répondez à quelque chose que j'ai mis en vous ? Comment puis-je vous punir d'être ce que vous êtes si je suis celui qui vous a fait ? Pensez-vous réellement que je pourrais créer un endroit pour brûler tous mes enfants qui se comportent mal pour le reste de l'éternité ? Quel genre de Dieu peut faire ça ? Si j'étais ainsi, je ne mériterais pas d'être respecté. Si je voulais juste être vénéré, je n'aurais peuplé la terre que de chiens. Respectez vos semblables et ne faites pas ce que vous ne voulez pas pour vous. Tout ce que je vous demande, c'est que vous fassiez attention à votre vie, que votre libre arbitre soit votre guide. Vous et la nature constituez une seule entité, alors ne croyez pas que vous avez un pouvoir sur elle. Vous en faites partie. Prenez soin d'elle et elle prendra soin de vous. J'ai mis et rendu accessible tout ce qu'il y a de bien pour vous, et j'ai rendu difficile d'accès ce qui ne l'est pas. Ne perturbez pas cet équilibre. Je vous ai rendu absolument libres. Vous êtes absolument libres de créer dans votre vie un paradis ou un enfer. Je ne peux pas vous dire s'il y a quelque chose après cette vie, mais je vais vous donner un conseil : arrêtez de croire en moi de cette façon. Croire, c'est supposer, devenir, imaginer. Je ne veux pas que vous croyiez en moi. Je veux que vous me sentiez en vous, que vous me sentiez en vous quand vous vous occupez de vos moutons, quand vous abordez votre petite fille, quand vous caressez votre chien, quand vous vous baignez dans la rivière. Exprimez votre joie et habituez-vous à prendre juste ce dont vous avez besoin. La seule chose sûre, c'est que vous êtes là, que vous êtes vivants, que ce monde est plein de merveilles, et que dans toutes ces merveilles, vous êtes capables de savoir exactement ce dont vous avez vraiment besoin. Ne me cherchez pas à l'extérieur, vous ne me trouverez pas. Je suis là, la nature, le cosmos, c'est moi.
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