Tumgik
#à voix haute
sparks-olivarpente · 2 years
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Leurs mots me disent que c'est ma faute d'ici je ne vois pas le soleil.
ils ne me voient pas qui garde la tête haute.
regard de haut, je suis en bas au fond du ravin il faut garder la tête haute.
tu es descendu me rejoindre haut de coeur, rien ne pouvait t'éteindre.
je t'ai laissé m'étreindre.
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coralloid · 3 months
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💀💀💀
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xnitsniv · 8 months
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Going through old notes and uhhh yeah…
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ciggi3s4ever · 5 months
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En train de penser à la personne qui chinera mes livres annotés et qui essaiera de déchiffrer mes pensées
Contacte moi avec une planche ouija je te donnerai les clés du savoir l'ami
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mare-avatars · 2 years
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J’ai envie d’ouvrir un nouveau forum, d’avoir un projet sur lequel me concentrer, de me lancer dans un truc qui va me donner envie de faire des efforts. J’ai envie d’arrêter le rpg, parce que ça fait des années que je cherche en vain l’endroit où me sentir à ma place sur le long terme, toujours déçue quand je ne suis pas celle qui déçoit les autres. J’ai envie de ramener à la vie un forum fermé, pour lui donner une deuxième chance, retrouver quelque chose de familier, l’impression de renouveau sans avoir à tout recommencer. J’ai envie de m’inscrire sur cinq forums différents, pour essayer une énième fois de retrouver l’engouement d’il y a dix ans, anonyme pour découvrir si je suis le problème dans l’équation. J’ai envie d’aller sur un forum kleenex, parce qu’au moins si je disparais, personne ne m’en voudra puisque ça ne va de toute façon pas tenir. J’ai envie de supprimer ce blog et tous les avatars postés dessus, de changer mon style entièrement, de disparaître sans laisser de trace. J’ai envie de trouver comment sortir de cette errance créative, dépasser le stade où la hype décède une fois le personnage validé, trouver une communauté impliquée mais chill parce qu’on est des adultes avec des obligations et que l’époque des soirées flood jusqu’au petit matin est révolue. J’ai envie d’écrire simplement, parce que c’est un passe-temps et pas une tentative pour un prix littéraire. J’ai envie de me donner du mal dans ce que je poste, parce que c’est une issue créative et que j’aime faire de jolies choses. J’ai envie de tout ça et de rien du tout à la fois, ça va, ça vient.
Est-ce qu’il est possible de faire le deuil d’une passion à laquelle on s’accroche encore ? 
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dixvinsblog · 20 days
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Ses enfants sont à voix haute - Marie Murski
Ses enfants sont à voix hautependus quelque partd’autres restent sagementassis dans son regard. Parfois c’est la ruequ’elle ramène contre elleà la place des petits. Elle sait l’odeur du trèfledans le berceauelle fredonne le bruitde la vie donnée dans l’ombremalgré les aiguilleslancées des galaxies. À l’aube, quand elle lave son ventre,elle sait des chosessur l’homme qui s’abat dans les…
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chaotictomtom · 5 months
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j'ai contaminé bf il a aussi capitaine abandonné bloqué en tête hihihihi....
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bibliocroze · 8 months
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C'est demain : Crépuscule à la bibliothèque pour la Nuit de la lecture !
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pioupioublanc · 1 year
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Luigi Luigi Luigi Luigi Luigi 🎶
Sooo idk why but Tumblr put an adult rating on this post xD haha... I wanna die.
🇫🇷 Tradiction :
L : J-j’ai quelque chose d’important à dire avant que vous ne me mangiez.
L : M-mais c’est trop embarrassant de le dire à voix haute… Donc… S-si vous pouviez…
B : … Ne t’imagines même pas tenter quelque chose, le vert.
B : P*TAIN IL EST TROP MIGNON J’EN PEUX PLUS <— (une confusion royale)
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urween · 4 months
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"Quatre secondes"
Wolverine x
M/FTMreader
note : mutant!reader
résumé : Logan entend malgré lui des bruits assez dérangeants dans une chambre voisine, il sera surpris de découvrir de qui ils proviennent
! warnings : forme de voyeurisme, violence, langage vulgaire/cru, évocation de sexualité et de guerre, alcool, jalousie
3 805 mots Description à la troisième personne
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Il avait une ouïe surdéveloppée, tout le monde le savait. Les élèves qui se disputaient, il les entendait. Les vitres cassées par un ballon, il les entendait. Les rires à deux heures du matin, ça putain ouais il les entendait aussi. En bref, il entendait tout ce qu’il se passait dans le manoir, du moins au deuxième étage. D’habitude, aucun problème à s’endormir avec ces bruits, il avait déjà dormi sous des tirs de fusils alors des gosses n’allaient pas l’empêcher de se reposer. Enfin, c'est ce qu’il pensait. Les rires, les insultes, les chuchotements, d’accord, mais les gémissements c'étaient autre chose encore.
Au deuxième étage il n’y avait que les étudiants ayant dépassé la majorité, pour ceux que l’on pouvait dater, et quelquefois il arrivait que ce genre de choses se produisent mais rien de terrible, c'était léger et rapide, tout l’inverse de ces dernières fois. Parce que oui, “ces” dernières fois. Pas juste une fois, un vendredi soir pour fêter le weekend, non, tous les putains de soirs depuis une semaine. Alors Logan commençait à regretter son ouïe surdéveloppée.
Il n’avait jamais bien dormi, c'était pas son genre, mais ne pas dormir n'était pas son genre non plus. Il avait besoin de sommeil. Son corps avait beau se régénérer, il devait se reposer, pour éviter d'être de mauvaise humeur, encore plus que d’habitude je veux dire.
Mais aller toquer à la porte de cette chambre et demander poliment d'arrêter de baiser tous les soirs n'était pas non plus dans ses options. Malgré son caractère, assez explosif, Logan n’aimait pas ces situations, elles le mettaient toujours très mal à l’aise. Et puis, il devait avouer aussi qu’admettre que depuis une semaine il écoutait sans le vouloir ces bruits était un peu gênant, voire même beaucoup.
Lors de ces nuits blanches, Logan était parvenu à localiser la chambre d’où prévenait tout ce boucan. C'était la dernière, tout au fond du couloir, à environ cinq chambres de la sienne. Si sa mémoire était bonne, Oscar dormait là-dedans. Un mec assez banal et gentillet, le genre à se faire recaler par toutes ses conquêtes amoureuses. Et pourtant il en faisait du bordel. Bien entendu il n'était pas tout seul dans l’histoire, mais Logan ne voyait pas qui pourrait être la deuxième personne. Oscar avait des ami.e.s mais rien de fantastique, pas de petit.e ami.e non plus et en aucun cas une mutation permettant de faire ce genre de choses tout seul. En fait, il pouvait juste manipuler les couleurs, mais pas à un très haut niveau, seulement inverser le jaune d’une banane avec le rouge d’une fraise par exemple. Alors Logan séchait, il ne voyait pas qui ça pouvait bien être. Et même la voix ne l’aidait pas, il entendait davantage Oscar que l’autre. Même si quelquefois il parvenait à capter une voix, très douce, très tremblante, et il devait l'avouer, assez agréable à entendre. Mais ce n'était pas sa faute, il ne pouvait pas ne pas écouter, ses oreilles entendaient pour lui. Et même avec des bouchons il entendait tout, puis de toute manière il ne supportait pas ces trucs en plastique fluorescent.
Au bout de la cinquième fois, il avait eu espoir que ça s’arrête, qu’ils arrêtent. Mais ce n'était pas arrivé.
Honnêtement, il était un peu à cran. Les élèves le remarquaient très clairement, dès le début de la semaine ils avaient vu que Wolverine était d’humeur cinglante, ils se tenaient encore plus à carreaux. Leur soulagement était qu’au moins il n'était pas professeur, parce qu’ils se voyaient mal avoir à endurer ce regard enflammé pendant une voire deux heures de cours. Logan était simplement “invité”, ou peut-être “habitant”, ou “babysitter” aussi parfois. Charles lui avait proposé un poste en tant que professeur d’histoire, mais il avait vite refusé, ne voulant pas avoir à se coltiner des évaluations à corriger et une cravate à porter. Quelquefois il donnait des sortes de cours, ou plutôt des entraînements, dans le combat bien entendu. Et puis un ou deux, ou une petite dizaine d’élèves peut-être, lui demandait fréquemment de les aider à la salle de sport, pour des conseils ou juste un soutien physique. Avec tout ça il avait fini par connaître tout le monde, même s’il n’en avait pas l’air, il aimait plutôt bien ces gosses.
Et puisque officiellement il n’avait rien à faire, il pouvait observer Oscar, ou plutôt avec qui il traînait.
Appuyé contre un encadrement de porte, Logan ne détacha pas son regard du jeune homme. Malicia était passée parler à Oscar, et des sueurs froides avaient parcouru le dos de Logan en imaginant cette possibilité, mais heureusement elle était avec Bobby dans une chambre à l'autre bout du couloir. Katt était aussi passée pour lui donner des livres, mais Logan savait qu’elle avait déjà quelqu’un d’autre dans le viseur, ça ne pouvait donc pas être elle. Quentin, Mark, Sophie et Sasha aussi. En fait, Oscar parlait à beaucoup de monde et n’avait pourtant pas d’amis fixes.
Dix-sept heures et Logan commençait à râler. Pour un samedi, Oscar en voyait du monde, il faisait courir Logan un peu partout. Et dans tout ça, personne ne pouvait correspondre.
« Salut, tu as pu le récupérer ? »
Devant lui, à une quinzaine de mètres, Oscar discutait avec une nouvelle personne encore. Logan leva les yeux au ciel derrière ses lunettes de soleil et s’appuya davantage sur l’arbre dans son dos.
« Mh mh, Tornade a été compréhensive, elle m'a même aidé à le réparer »
Le garçon souriait faiblement, il n'était pas timide, Logan le savait puisqu’il connaissait assez bien ce jeune homme, c'était même lui qui l’avait ramené.
Il y a quatre mois, Logan est parti, sans vraiment savoir pourquoi, pour être honnête, il voulait juste aller près d’un lac et regarder la forêt vivre en face. Mais il a entendu un couinement, humain, ou du moins pas animal. En fait, il a failli couper la tête à ce garçon lors de leur première rencontre, il s'était caché dans un buisson derrière lui. Logan l’a écouté lui expliquer qu’il avait fuit sa maison pour échapper à des personnes qui ne l’appréciaient pas, il disait que sa famille lui manquait beaucoup mais qu’il ne pouvait pas revenir avec eux car c'était dangereux. Puis, sorti de nul part, il lui a dit qu’il était désolé pour tout ce qu’il avait vécu. Logan l’a fixé, pendant un long moment avant de demander : “tu lis dans les pensées ?”. Ce à quoi le garçon a répondu : “j’interprète les signes invisibles”. Il a fallu dix bonnes minutes pour que Logan comprenne, et qu'il se détende un peu par la même occasion. Le garçon lui a demandé pardon, il a dit ne pas avoir voulu être trop brusque mais qu’il n’avait pas pu s'empêcher de le dire, parce qu’il voyait la souffrance sur les traits de Logan. La discussion s'était arrêtée là, Logan s'était levé et avait lentement soufflé, il n'aimait pas parler de sa vie alors savoir que quelqu'un pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert l'avait dérangé. Le garçon s'était encore une fois excusé, les larmes aux yeux, et Logan l'avait regardé pendant quatre secondes, quatre longues secondes qui lui avaient fait ressentir plus que quatre années. Il avait pris le garçon dans ses bras, il n’avait pas contrôlé son geste, il voulait juste le prendre dans ses bras pour quelques instants. Après, Logan l'avait emmené au Manoir, et ils s’étaient vite perdus de vue dans la masse de mutants. Mais il le regardait, il ne pouvait pas s'empêcher de le regarder lorsqu'il passait devant une salle de classe et qu’il le voyait en train de prendre des notes, ou lorsqu’il écoutait de la musique dans le jardin. Logan se sentait un peu attaché à ce garçon, enfin, ce jeune homme, puisqu’il avait vingt-trois ans.
« Génial, Oscar sourit gentiment, et..tu peux venir ce soir ? »
Logan ouvrit grand les yeux. Oscar fixait le garçon avec un sourire, un peu trop grand pour n'être qu’une invitation à jouer aux cartes.
« Je sais pas trop, tu sais ça va beaucoup mieux là donc..je veux pas forcer de trop, répondit l'autre avec un regard neutre, contrastant avec la situation »
Bordel, il ne s’attendait pas à ce que ça soit lui. Mais en y repensant, ça semblait presque logique maintenant. La voix faible et tremblante était aussi calme et douce que la sienne, et puis il parlait beaucoup avec Oscar depuis quelque temps.
Logan lâcha son arbre, il retira ses lunettes et passa sa main contre ses yeux. Bordel de merde, il ne s'attendait pas à ça. Il avait besoin d’un peu de calme, et d’une bière accessoirement, alors il alla s’enfermer dans sa chambre.
Dans le jardin, Oscar et le garçon continuaient de parler, mais Logan n'était plus là pour les entendre, malheureusement.
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« Aah putain ouais »
Deux jours, ils avaient tenu deux jours avant de recommencer. Et Logan n’allait plus tenir, surtout maintenant qu’il savait à qui parlait Oscar.
Bordel, il n’aimait pas ça, non il n'aimait pas ça du tout. Cette contraction dans sa mâchoire, ses muscles tendus, son cerveau en ébullition. Bordel, ça faisait des années qu'il n'avait pas été jaloux, et il fallait que ça tombe sur ce mec.
Sincèrement, il devrait avoir une médaille pour ne pas déjà avoir lacéré cette foutue porte de chambre, et peut-être au passage un des hommes à l’intérieur. Mais c’était quelque chose de compliqué à contrôler, la colère elle était faite pour sa mutation, elle était compatible. Alors oui, putain oui il avait envie de sortir ses griffes et de défoncer cette porte. Mais il se retenait, parce que concrètement il n’y avait rien, rien que deux types en train de coucher ensemble. Il n’avait aucun droit sur ce garçon, il lui avait à peine parler, et pourtant un truc au fond de lui, au plus profond de sa cage thoracique, lui disait qu’il était sien. Foutu Wolverine, foutu instinct.
Il se leva, arrêtant de massacrer son oreiller avec ses dents. Il ouvrit sa porte de chambre et descendit le plus vite possible au rez-de-chaussée, assez vite pour se retenir de sortir ses griffes. Bien sûr il n’y avait personne, tout le monde était dans sa chambre et dormait, enfin sauf certains. Logan ouvrit le réfrigérateur et y prit un soda, puisque l'alcool était interdit dans l’établissement. Il but la moitié de la bouteille, manquant d’en faire couler sur son menton. Il essaya de se persuader que c'était de la bière, mais le sucre gâchait tout.
Un bâillement le fit sursauter. Par réflexe ses griffes sortirent, prêtes à embrocher.
« Wow range tes couteaux je veux juste de l’eau ! »
Le garçon se tenait devant lui, dans un large t-shirt beaucoup trop grand pour lui. Logan rentra immédiatement ses griffes, posant à l’aveugle son soda sur le comptoir de la cuisine.
« Qu’est-ce que tu fous ici ? »
Sa voix granuleuse, rauque, presque incompréhensible lorsqu’il parlait trop bas. Le garçon déglutit faiblement, il avança et passa derrière l’îlot central pour attraper un verre dans le placard. Logan semblait bouleversé, ok non peut-être pas autant, juste un peu déboussolé alors. Ses yeux étaient plus ouverts que la normale, ses pupilles larges, rondes, et ce n'était pas pour l’obscurité, il y avait au moins deux millimètres en trop pour que ce soit le cas. Et puis sa mâchoire était tendue, pas contractée mais elle l’avait été très récemment ça se voyait, il y avait encore les micros tremblements musculaires sur le masséter. Et sa peau était pigmentée, par du rouge amarante, posé par points s’étirant petit à petit le long de l’os principal.
« Je viens juste chercher de l’eau, pas besoin d'être aussi agressif »
Logan essaya de respirer, vraiment, mais il avait un peu de mal. Est-ce qu’il venait boire pour compenser toute la sueur épuisée, est-ce que ce t-shirt était à Oscar, est-ce que cette odeur était la sienne.
« Cale-toi sur le battement de tes cils, dit le garçon en s’appuyant sur le lavabo, la respiration devient meilleure et régulée lorsque les clignements sont plus lents et contrôlés »
Logan lui lança un regard, entre l’interrogation et la désorientation. Le garçon lui sourit, il but une gorgée de son eau avant de reprendre la parole.
« Les signes invisibles, expliqua-t-il, tu es stressé, énervé et frustré, je dirais que c’est en rapport avec quelqu'un et je pourrais même dire que c’est moi mais j’aime pas être narcissique alors je le dirais pas »
Le jeune émit une courte pause, juste le temps d'interpréter les réactions de l’homme en face de lui.
« J’ai raison, et en plus de tout ça je dirais que tu es totalement paumé, il se rapprocha, regarde moi, dans les yeux, fixe moi et seulement moi, il posa sa main sur la joue droite de Logan, ne crois pas que j’essaie de te draguer, je te calme juste, parce que ça m’embêterait que le Wolverine fasse une crise d’angoisse à cause de moi »
Les spasmes oculaires se calmèrent, Logan l'écoutait et le fixait comme il lui avait dit. Son cœur ralentissait, tout doucement, pas d’un coup sec et c'était bon signe. Sa gorge était toujours serrée, il retenait quelque chose, son air ou sa voix peut-être, ou alors une réaction, oui une réaction.
« Tu peux sourire si tu veux, je vais pas te croquer tu sais, il sourit doucement à Logan pour appuyer ses mots, et puis je sais très bien que c’est toujours amusant comme situation, il retira doucement la main du visage de Logan, je veux dire, que quelqu’un sache exactement ce que tu penses et fais sans qu'il lise dans tes pensées, ça fait flipper, ou rire, ça dépend des personnes »
Sa gorge se desserra très légèrement, et un souffle amusé passa ses lèvres. Le garçon s'écarta de quelques pas, pour avoir une vue d’ensemble, et tout sembla à peu près stable.
« Comment tu peux faire ça »
Il sourit de nouveau à Logan et répondit en montrant de la tête les mains de ce dernier.
« Et toi, comment tu peux faire ça »
Logan reprit sa bouteille dans un sourire amusé, il la finit en quelques gorgées. En face, le garçon fixait la pomme d’Adam monter et descendre dans une lenteur hypnotisante. Il devait l'avouer, Logan lui plaisait beaucoup.
« Je- je vais remonter du coup, dit-il en se redressant »
La bouteille de soda vide fit un bruit aigu en se posant contre le plan de travail. Logan croisa les bras et prit deux secondes pour observer le jeune homme qui le regardait toujours.
« Tu t’entends bien avec Oscar ? »
Ce micro tremblement dans sa voix grave, il soulignait une retenue. Le garçon fronça les sourcils et pencha la tête sur le côté, réfléchissant à ce signe plutôt qu'à la question. La voix de Logan était plus forte, d’environ trois décibels, plus puissante surtout, oui puissante. Son visage était fermé, comme la plupart du temps, mais les muscles de ses joues n'étaient pas contractés contrairement à d’habitude, il était plus détendu à certains endroits de son corps. La bouche, les yeux, les hanches et le ventre. Ok, on touchait au personnel, la question avait un rapport avec son personnel.
« Il est gentil oui, pourquoi ? Tu le connais ? »
Léger mouvement du sourcil droit, ça l'agaçait.
« Non, répondit Logan, pas plus que n’importe quel mec »
Son regard un peu fuyant, qui contournait la silhouette du garçon. Ok, il avait sa réponse.
« Tu es jaloux Logan, expliqua le jeune homme avec un grand sourire, t’es tellement jaloux que le simple fait de parler d’Oscar fait bouger tes griffes »
Il se rapprocha de l’homme, assez pour laisser un mètre entre eux deux. Logan planta son regard dans celui de l’autre, et le garçon su qu'il avait raison.
« Il est à qui ce t-shirt »
Son sourire ne fit que de s’agrandir.
« À un homme, répondit le plus jeune »
« Qui »
Des frissons se mirent à courir contre la peau du garçon, la voix de Logan était encore plus forte, plus grave encore.
« Tu irais déchiqueté l’intestin d’Oscar si je te disais son prénom ? »
Le point de Logan se resserra, non il lui mettrait un coup de poing, et Dieu sait comme de l’adamantium pur dans la mâchoire peut faire des dégâts. Le garçon se rapprocha encore un peu.
« Je pense que Charles ne sera pas très content si tu mets dans le coma un de ses élèves, mh ? »
Doucement, lentement surtout, il posa sa main sur les phalanges de Logan. Ses doigts se refermèrent sur les os solides de l’homme, créant une chaleur diffuse à ce niveau.
« Range ces armes, arrête de serrer des dents, tu vas finir par te les casser et surtout, il caressa de son pouce la peau de Logan, continue de me regarder comme ça si tu veux que je t’embrasse »
Quatre secondes, quatre longues secondes. Logan y vit toute la tendresse du monde, remuant dans les iris du jeune homme en face de lui. Toute la fraîcheur du matin, pigmentant sa peau. Il y vit un courant puissant circuler derrière ces yeux, un courant d’eau et d'électricité, quelque chose de grand et dangereux, tout au fond derrière ces beaux yeux. La mutation de ce garçon était puissante, grande et dangereuse si elle était mal contrôlée, il pouvait tuer en un regard, un souffle ou un toucher. Ces beaux yeux avaient accès aux corps de n’importe quel être vivant, des poumons aux paupières, il pouvait tout voir avec ces beaux yeux. Il pouvait ressentir le clignement ayant qu’il n’arrive juste en un regard dans les iris de quelqu’un, il pouvait l’intercepter ou le supprimer. Un regard sur le cœur humain et il y voyait le rythme, rapide pour Logan, il pouvait le stopper, il pouvait le contrôler. Il pouvait stopper le Wolverine comme le contrôler, comme s’il ne s’agissait que d’un simple être humain, comme s’il n’avait pas ce poison sur les os et que sa peau vieillissait au rythme des années. Il pouvait tuer Logan, comme n’importe quel autre mutant ou humain, il pouvait s’il le voulait le rendre mortel, il avait ce pouvoir. Il le rendait mortel, parce que d’un regard, d’un souffle ou d’un toucher, il pouvait lui ôter la vie. Logan ressentait ça, il voyait ce courant puissant danser dans ces beaux yeux. Et putain, il adorait ça.
Et aussi peut-être que dans ces beaux yeux, dans ce courant chargé d’électricité humide, il pouvait imaginer tout son futur, se gravant à l’encre rouge sur ses lèvres entrouvertes. Parce qu’il avait quelqu’un de dangereux en face de lui, des lèvres dangereuses qui pouvaient lui ôter la vie, comme personne n’en avait jamais eu le pouvoir.
Pour la première fois depuis des années, il pouvait légitimement éprouver de la peur, la peur de la mort qui se cachait sur ces lèvres, ces lèvres qu’il embrassa à pleine bouche.
Le jeune homme ne put s’empêcher de gémir en sentant les lèvres de Logan contre les siennes. Il aurait pensé devoir se battre avec le temps pour pouvoir suivre le rythme d'un baiser avec Wolverine, mais c'était tout l’inverse. Il était doux, ses mouvements lents et contrôlés, sa main tendre contre la joue du garçon. Il prenait son temps, tout son temps. Il caressait de son pouce la peau laiteuse du jeune homme, il souriait faiblement entre deux rencontres buccales, semblant même murmurer des mots que seul lui entendait, mais que le garçon interprétait.
Logan poussa l'autre contre le réfrigérateur, faisant tomber quelques cartes postales et aimants. Il prit le visage du garçon entre ses deux mains et le regarda pendant encore quatre secondes, quatre secondes pour voir tout le courage dont il avait besoin.
« Alors, il est à qui ce t-shirt ? »
Un rire traversa les lèvres rougies du plus jeune, Logan remercia les dieux de lui avoir donné une ouïe surdéveloppée pour entendre mille fois mieux ce joli son.
« À mon frère, il me l'a donné avant que je ne parte et depuis je le porte les soirs où ma famille me manque »
La relaxation musculaire de Logan fut presque impressionnante.
« Donc il est pas à Oscar ? »
« Non, il est pas à Oscar, répondit-il avec un sourire »
La main du plus jeune se posa sur la nuque de Logan, il lui sourit encore une fois, parce qu'il avait un peu toujours envie de sourire en le regardant.
« Tu nous a entendu c’est ça ? En fait je pensais pas qu’il pouvait être aussi bruyant pour être honnête »
« C'était toi ? C'était vraiment toi ? »
Ses muscles se contractèrent de nouveau et le garçon roula des yeux, plus amusé qu'autre chose. Dans sa paume de main il pouvait sentir le trapèze supérieur de Logan se resserrer, ou si l’on voulait traduire, il pouvait sentir les muscles de Logan se contracter sous sa paume de main.
« Oui c'était moi mais de ce que je sache j'ai le droit de coucher avec qui je veux, non ? Demanda-t-il de sa douce voix »
Logan baissa pendant quelques instants ses yeux, le garçon lui pinça faiblement la peau pour les faire remonter vers lui.
« Ma mutation est complexe Logan, et parfois j'ai besoin d’une grande source de relaxation pour calmer tous mes sens, il continua en souriant, tu sais quelle activité produit le plus d’endorphines le plus rapidement ? Le sexe, et Oscar m’a aidé parce que c'était le seul en qui j’avais assez confiance pour faire ça »
Il fit glisser ses mains le long du torse de Logan.
« Du moins, le seul étudiant, il encercla la taille de l’homme au dessus de lui, parce que crois-moi j’aurais adoré te demander, mais tu es..Wolverine tu vois et- je me voyais mal demander à Wolverine de coucher avec moi, parce que t'es un X-Men et moi je suis juste un mutant qui vit dans le même manoir que toi »
Logan posa ses lèvres contre une des pommettes du jeune homme, il embrassa faiblement la peau à cet endroit avant de murmurer dans l’oreille du garçon.
« La prochaine fois, saute moi dessus et arrête d’autant réfléchir »
Cette fois, ce fut Logan qui remarqua des signes sur le corps du jeune homme. Des rougeurs, un sourire un peu retenu, des yeux brillants et une respiration accélérée. En clair, tout ce qu’il aimait voir chez quelqu’un qui lui plaisait.
« Le consentement c'est important alors, le garçon émit une pause, je peux te sauter dessus là maintenant ? »
Le sourire qui éclaira les lèvres du plus âgé fit pulser le cœur du plus jeune.
« Putain ouais »
° x-men masterlist
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jeanchrisosme · 16 days
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Chaque personne a un chapitre qu’elle ne lit pas à haute voix, une histoire de perte, de chagrin, de tristesse. Il y a une douleur qui se trouve silencieusement dans les coins de nos âmes, une obscurité qui s’alourdit chaque jour qui passe. Nous apprenons à vivre avec, à sourire, à cacher nos larmes et à faire semblant que tout va bien. Mais la vérité est que nous menons tous des batailles que personne d’autre ne peut voir, portant des fardeaux que personne d’autre ne peut ressentir. Et certains jours, nous voulons juste arrêter de nous battre, arrêter de faire semblant et laisser la tristesse nous avaler entièrement.
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orageusealizarine · 3 months
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Je suis à toi, par chaque soupir de mon corps et chaque suée de mes fièvres. Comme dans ma nuit, caniculaire, où je suis nue – donc absolue – où mes mots suent, où la chaleur nous exaspère. Et je respire, quand tu espères à haute voix sentir en moi trembler les plaisirs et les rêves. Troubler ce soir où nos lèvres encore et en corps se rencontrèrent. Troubler l’esprit et la mémoire, abolis, dans le noir. Penser tout bas, tout bas, à ce qu’il y a, entre toi et moi. Et tu restes, dans mon corps, ce qui palpite le plus fort. Je suis à toi, par chaque soupir…
Tu es la chaleur qui assaille, qui ravit, l’accablement dans mon lit. Tu viens avec les brûlures du ciel, les étés, tentaculaires, tu épaissis mes mystères et tu fais la nuit plus noire où ne luisent que tes regards. Et moi je prends tes mains, je plie ton corps au mien, j’adoucis mes morsures… – car, non, je ne hurle plus, comme une louve à la lune sur mon ventre enfin descendue. Et les étoiles aussi ont jonché sur mon plancher. Et sur ta peau, luisante, adorée, sous ma langue allumée. Tu es la chaleur qui assaille…
Être nue, inconnue, dans la touffeur des soirs – être vue, visitée par tes envies avouées, tes sulfureux égards – faire l’amour noir, enténébré, jubilatoire. C’est l’heure du loup, il est trop tard, et tout est feu. Et tout est fou, oh tout est fait, je suis à bout, mais je veux tout, oui tout brûler, me consumer et t’enflammer et consommer – tous nos plaisirs, tous nos désirs, tous nos sourires… Nulle lumière et nulle horreur, plus de mort lente et plus d’attente, plus que nos incendies bruyants, plus que nos pores suants ; ô bonheur ! ô bonheur ! Être nue, inconnue…
A tâtons, reconnue. Tu fais la nuit plus noire et les rêves plus vrais. Tu fais l’amour plus chaud, plus chaud, tu fais l’amour plus beau.
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ernestinee · 4 months
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On n'est pas passé loin de l'hospitalisation mais l'ado commence à aller mieux. Suffisamment pour marcher une petite heure au parc derrière chez nous, suffisamment pour reprendre ses cours et se remettre tout doucement en ordre.
Entre la grammaire anglaise, néerlandaise, les lentilles en physique, la génétique en bio et la trigonométrie en maths, il est dans la lecture du Dernier jour d'un condamné, je feuillette un peu pour voir où il en est et je trouve ses annotations. Le livre est lu en classe, par la prof, à voix haute, quelle horreur de devoir confier son rythme de lecture à quelqu'un d'autre, quelle horreur d'avoir la voix de cette prof (elle est détestable) dans les mots de Victor Hugo. On voudrait lui faire détester la lecture qu'on ne s'y prendrait pas autrement. Cerise sur le pompom, l'expression écrite de la fin d'année portera sur un plaidoyer pour le condamné, il s'agira de prouver son innocence et lui éviter la peine de mort. Son unique examen de français porte sur la matière qu'il n'a pas eue, vu qu'ils étaient p59 lorsqu'il est tombé malade 🙃
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iranondeaira · 2 months
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« Chanter,
Rêver, rire, passer, être seul, être libre,
Avoir l'œil qui regarde bien, la voix qui vibre,
Mettre, quand il vous plaît, son feutre de travers,
Pour un oui, pour un non, se battre, - ou faire un vers !
Travailler sans souci de gloire ou de fortune,
À tel voyage, auquel on pense, dans la lune !
N'écrire jamais rien qui de soi ne sortît,
Et modeste d'ailleurs, se dire : mon petit,
Sois satisfait des fleurs, des fruits, même des feuilles,
Si c'est dans ton jardin à toi que tu les cueilles !
Puis, s'il advient d'un peu triompher, par hasard,
Ne pas être obligé d'en rien rendre à César,
Vis-à-vis de soi-même en garder le mérite,
Bref, dédaignant d'être le lierre parasite,
Lors même qu'on n'est pas le chêne ou le tilleul,
Ne pas monter bien haut, peut-être, mais tout seul ! »
Edmond Rostand, Cyrano De Bergerac
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epine-dorsale · 9 days
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Pensée à haute voix :
Moi, j'adore tumblr
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olympic-paris · 1 month
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saga: Soumission & Domination 247
François,
Comme nous nous couchons PH et moi, je ne peux m'empêcher de mater les chambres de nos invités. De notre lit, je recherche avec la télécommande la vue de leurs chambres. Celle ce Jona est vide, le lit pas défait. Je zappe sur celle de François et là, nous les trouvons endormis en cuillère, les bras de Jona ceignant le torse de ce dernier. A notre tour nous nous endormons.
Samedi :
Dès on réveil, le lendemain matin, je me connecte sur la chambre de notre invité. Je vois que Jona profite de celui-ci. Je le vois, derrière François à quatre pattes, s'agiter à lui défoncer la rondelle. Je réveille PH. De voir ça, il lui vient des idées et comme je bande, il me couvre la queue avec sa bouche. Sous les yeux, j'ai un couple de jeunes mecs qui se font du bien et dans mon lit, un amour qui me suce à damner un saint.
Je jute alors que Jona sort du cul de François pour lui inonder le dos de son sperme.
Je m'occupe alors à rendre le plaisir que j'ai eu, à mon PH. C'est chose faite 1/4 d'heure plus tard avec, sur ma langue, son sperme chaud que nous finissons par partager dans un baiser passionné. Quand nous regardons de nouveau l'écran, il est désert. Je passe à la salle d'eau pour y retrouver nos deux jeunes en trains de faire leurs ablutions.
Nous les retrouvons habillés 1/2 heure plus tard. Samir que j'ai envoyé les chercher, nous sert un petit déjeuner conséquent. François me demande le programme de son WE. Je lui dis que, dans l'après midi, il va suivre Jona chez un premier Client. Ce dernier est au courant de sa situation puisqu'il s'agit de DGSE. Je leur dis alors qu'ils avaient la matinée pour faire du sport, déjeuner léger et se préparer pour la prestation.
Je me charge de les coacher. François n'est pas un familier des appareils de musculation mais il se débrouille vite. La pratique du karaté lui a donné de beaux muscles longs. Avant la douche, nous passons une bonne demi-heure à l'initier au Krav Maga. Il voit vite l'intérêt de ce sport de combat et de sa grande efficacité à défaut d'une suprême élégance.
Tous les trois sous la douche, je dois leur dire de garder des forces, sinon ils m'auraient bien violé (ou plutôt l'inverse).
Après le déjeuner, je les accompagne à la salle d'eau. Ils y subissent un lavement propre à les rendre utilisables par le gros " calibre " de DGSE. Comme cela m'a excité, je les laisse me sucer jusqu'à explosion. Eux, je le leur interdit.
Vers 15h ils partent dans la RCZ de Jona et je les suis en moto. DGSE nous accueille. Sa masse et sa prestance, inquiètent un peu François, sans compter la bosse qui déforme l'avant de son short. Il me propose de rester puisqu'il ne s'agit pas d'une prestation classique et que nous ne saurions être trop de deux pour bien étudier l'étendue de leurs capacités sexuelles. Il nous fait descendre dans son sous sol. J'entends derrière nous Jona rassurer François à voix basse. Alors que DGSE et moi sommes encore vêtus, il les fait se mettre nus. Il apprécie le travail de tonte que nous avons mené sur François et, de ses doigts passant sur sa peau, en vérifie la douceur. Je le vois soupeser ses couilles glabres puis passer sa main en dessous jusqu'à titiller sa rondelle imberbe. Il ne fait pas de même sur Jona, connaissant déjà le sujet.
Il leur demande de nous déshabiller. C'est chose facile sur lui qui ne porte qu'un T-shirt et un short. Pour moi, ils m'aident à me désincarcérer de ma combi mono pièce en cuir. J'ai beau bander un max avec mon cockring, DGSE me bat de loin ! François ouvre des yeux immenses à voir se développer les 26cm de chair épaisse en haut des cuisses de notre client. Le but étant éducatif, Jona montre à François ce qu'on peut faire avec un tel engin. Pour le persuader qu'il est possible de tout prendre dans la gorge, il s'y atèle et en quelques minutes prouve par l'exemple que c'est possible. Je passe en premier dans sa bouche et pousse pour y faire entrer mes 20cm entiers. Je pilonne sèchement sa gorge pour qu'il s'habitue à la présence d'un gland au delà de sa luette. Quand je l'estime prêt, je le passe à DGSE et récupère Jona. Dans un premier temps, tous les deux, nous lui donnons des conseils pour faciliter le travail. Mais c'est sur le dos, la tête en arrière, qu'il finit par se prendre les 26cm sans vomir. DGSE profite d'y être arrivé pour bien lui formater l'oesophage par de long et puissant coups de rein. François calque sa respiration sur les retraits de DGSE et tout se passe bien. Jona, du coup, peut s'occuper de moi. Je m'enfile sans difficultés dans sa gorge, profitant du passage élargi précédemment par le gland de DGSE. Je le laisse faire puis lui demande de déglutir pour retrouver une impression de compression sur mon gland. Quand il le fait c'est trop bon.
DGSE se dégage et nous vérifions ensemble comment François s'en est sorti. Quand il ouvre grand la bouche, sa luette est un peu rouge. Et quand il parle sa voix s'est un peu enrouée et surtout elle est devenue plus grave.
Nous passons à l'autre extrémité de son tube digestif. Couché en travers du bureau, je lui écarte les pieds et les fesses. DGSE admire le travail d'épilation et, après s'être sucer un doigt, l'enfonce dans son anus. François, bien préparé, ne bronche pas. Du coup, DGSE passe à la vitesse supérieure et pioche dans la boite de gel pour attraper du lubrifiant. Sous mes yeux et ceux de Jona, nous voyons l'anus de François se prendre deux puis trois doigts. Je l'arête avant qu'il en mette plus et lui dit que je vais l'enculer avant qu'il ne le distende plus. Je me kpote et sodomise François. La préparation à 3 doigts a été parfaite. Je rentre facile mais tout en sentant bien la pression de son anneau. A nos coté Jona maintient DGSE en forme à grand coup de langue et de passage dans sa gorge. Je me fais plaisir quelques minutes puis me retire. Comme DGSE se remet à travailler la rondelle de François, Jona se couche aussi sur le bureau à l'inverse de François et, de ses mains, s'écarte les fesses pour que je le sodomise. Alors que je m'enfonce dans son cul, nous sommes bien placés pour voir le 4ème doigt de DGSE rejoindre les 3 autres déjà dans le cul de François. Quand ils (les 4 doigts) tournent facilement dans le trou, DGSE les remplace par sa bite enkpoté. François nous regarde un peu apeuré par ce qui l'attend. Je lui dis de se détendre et attrape un flacon de poppers pour le shooter. DGSE me remercie alors qu'il lui défonce le cul. François s'accroche à ma main et sniff de nouveau les vapeurs qui sortent de ma petite bouteille. Cela permet à DGSE d'enfoncer ses 26cm dans son fondement sans qu'il souffre outre mesure.
Alors que je laboure la rondelle de Jona, DGSE fait attention et se retire lentement avant de renfoncer son pieu dans François. Ce dernier souffle sous l'effet de piston dans son trou. Il lui faut bien 10mn (et pas mal de ml de gel en plus) pour qu'il trouve du plaisir à se faire enculer par la grosse bite. Les mains de ce dernier, flattent ses flancs, caressant son dos jusqu'à sa nuque. Cela le détend et nous avons la surprise de l'entendre réclamer de se faire saillir quand DGSE se recule.
Nous (DGSE et moi) retirons nos bites de leurs fourreaux humains. Je regarde en combien de temps le sphincter de François se referme. Un peu long. Je lui dis que je vais lui confier un plug pour qu'il se muscle la rondelle dessus.
Pour faire tomber la pression, DGSE demande à nos deux " stagiaires " de se faire un 69. Ils se couchent sur le tapis central et commencent par se bouffer la queue.  C'est évidement sans problèmes que leurs queues de 18/19cm entrent totalement dans leurs bouches. Je les préviens quand même de ne pas se faire juter car nous n'en n'avions pas fini avec eux. Ils glissent alors leurs langues vers leurs rondelles respectives. Is salivent bien et les langues pénètrent profondément dans leurs petits trous. Devant un tel spectacle nos queues ne débandent pas. DGSE me dit d'y retrouver. On échange et j'encule François. Je rentre facile mes 20cm x 5 au fond de son cul. Je donne même un dernier coup de rein pour m'assurer que c'est bien le cas. Du coup François s'étrangle avec le gland de Jona qu'il avait repris en bouche. De l'autre coté de la " bête à deux dos ", DGSE défonce Jona pour son plus grand plaisir si j'en crois les petits cris qui s'échappent de sa bouche pourtant occupé apr la bite de François. Puis, à trois, nous nous attaquons à François. Je me couche sur le dos et, Jona et DGSE le pousse à s'assoir sur ma bite. Je le tire vers moi pour laisser la place à Jona de me rejoindre dans son cul. Cela se fait avec pas mal de gel et de poppers. François souffle comme un phoque mais prends vaillamment nos deux bites dans le cul. DGSE, pour ne pas être en reste, s'agenouille à ma tête et lui donne sa bite à téter. Il commence à bien comprendre comment ça marche. Je le vois se jeter dessus et avaler le gland violet d'excitation. Du coup je me paye les couilles de monsieur sur le nez ! Bon j'y vais de ma participation et les prends en bouche. Cela limite l'amplitude des va et vient de DGSE mais ses rugissements prouve l'efficacité de la prise. Du coté de ma queue, je ne bouge plus, profitant du massage effectué dessus par le gland de Jona qui, lui, ne cesse de limer. Bien que la position ne facilite pas la profondeur de la pipe, DGSE arrive à forcer la gorge de François et à entrer quand même ses 26cm dans sa gorge.
Les mouvements s'accélèrent et je crois bien être le premier à jouir et à remplir ma kpote. Jona me suit de près et alors qu'il s'immobilise au fond de François, je sens le sperme de ce dernier couler entre nos deux ventres. Je relâche les boules de DGSE. Il a juste le temps de se retourner de la bouche de François avant de lui envoyer ses litres de purée sur la tête. Placé juste en dessous, j'en reçois une partie et ferme vite les yeux.
Jona se retire et fait glisser en même temps ma bite hors de la rondelle de François. Etalés sur le sol nous reprenons lentement nos esprits. Jona demande à François si ça va. Il met un peu de temps à répondre mais assure que c'était réellement trop bon. DGSE leur rappelle qu'il ne faut pas qu'ils oublient qu'ils auront à faire ça tout en restant suffisamment lucide pour recueillir tous renseignements utiles. En riant il leur dit qu'ils pourront quand même prendre du plaisir, que l'inverse serait d'ailleurs suspect.
Passage par le coin douche du sous sol et nous sommes prêts à repartir. Avant de le quitter, il me prend à part pour savoir ce que j'ai prévu pour François le reste de ce WE. Je lui confie que je comptais l'envoyer avec Jona sur un couple homme-femme. Il est d'accord avec moi et trouve bien que le " petit " s'aguerrisse aussi sur le sexe féminin. Ils doivent être parfaitement BI.
Nous rentrons au Blockhaus. Nous prenons un apéritif bien mérité et François nous fait part de son ressenti. Certaines de ses réflexions nous font sourire et même parfois rire. Il ne s'en vexe pas quand nous lui expliquons pourquoi. PH y va de ses conseils et François fini par se sentir à l'aise avec nous. Je lui demande si ses parents sont au courant de son orientation. Il nous dit qu'ils savent juste qu'il suit volontairement une formation militaire. Je précise : orientation sexuelle. Il nous dit que de ce coté là c'était une non communication générationnelle et culturelle. Il ajoute qu'il a 18 ans et prend ses propres décisions sur sa vie. Quand Jona lui demande comment il a été " branché " sur cette formation, il nous parle d'un sien tonton, militaire de son état.
Avant de les envoyer dormir, je donne le programme du dimanche. Matin sport et après midi baise bi. Je leur rappelle par la même occasion que d'après leur " supérieur ", ils doivent être multi-sexuels.
Quand nous allons à notre tour nous coucher, je regarde, comme la veille, leurs chambres. Et pareillement, nous les trouvons dans la chambre de François, tous les deux endormis en cuillères. A mon tour je m'endors, les bras autour de mon PH, après que nous ayons fait l'amour avec passion.
Dimanche matin :
Je passe réveiller nos deux jeunes qui, sinon, seraient bien restés quelques heures de plus dans les bras de Morphée. Ils paniquent quelques secondes à ce que je les ai surpris ensemble. Je les rassure. Ils peuvent faire ce qu'ils veulent en dehors du taf. Soulagés ils filent à la douche. Je les accompagne et détaille le plan de l'après midi.
J'explique à François qui ne les connait pas, qu'ils auront à faire à un couple plus que libéré sexuellement dont la meuf se fait remplir par tous les trous et le mec suce avec adresse et se fait enculer en double sodo. J'ajoute que s'ils tombent sur les fils de la maison, fallait pas qu'ils se laissent détourner car ces deux là (Ed et Théo) suivaient les traces de leur père avec panache. Jona qui est déjà allé les baiser plusieurs fois me dit de lui faire confiance qu'il saura gérer au cas où. J'ajoute que là, il réalisait une prestation tarifée et que dans le boulot faut être sérieux.
Je les laisse y aller seuls.
Le récit que me fait Jona de la prestation à leur retour, me rassure tout à fait. François s'est montré à la hauteur baisant aussi bien la meuf que le mec, ne débandant pas devant le physique quelconque de monsieur. Et cela, même si certaines pratiques de madame envers son mari l'avait un peu surpris.
Ph me prend à part pour me faire remarquer que ces deux là s'appréciaient bien et que je devrais peut être leur laisser un peu de temps seuls.
Je leur dis alors que s'ils voulaient profiter de leurs chambres avant de partir, il ne fallait pas qu'ils s'en privent. Aussi sec, après deux mercis simultanés, ils se sont échappés vite fait.
Du PC du salon, j'ai lancé l'enregistrement dans la chambre de François pour un visionnage plus tard.
Ils sont remontés juste à l'heure pour que Jona ramène François à la gare.
Dans la soirée j'envoyais un rapport exhaustif à leur chef. Donnant mon avis sur les capacités et compétences sexuelles de ses recrues. Précisant, entre autre, la bonne complicité des deux jeunes lors de prestation commune.
Jardinier
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