Tumgik
#;relation : je suis toute à vous
jeannes-world · 9 months
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Je ship Amixem et Thomas Deseur.
J'avais besoin de le dire quelque part et ça sera pas sur Twitter (pas envie d'avoir des mecs qui me jugent sur mon dos après, et j'ai aussi pas forcément envie que les concernés tombent là-dessus aisément).
J'vous jure que dès que je les vois ensemble dans une vidéo, je vais faire qu'observer comment ils se regardent, se touchent, etc. Je viens d'enchaîner plusieurs shorts sur la chaîne d'Amixem, dès qu'il y avait Thomas, j'étais d'un seul coup plus attentive et je pétais un câble s'ils se touchaient (j'exagère. un peu.) Les moments où ils sont exclusivement que tous les 2 sont des instants incroyables pour moi. Les vidéos LEGO sont un cadeau du ciel.
Est-ce que je suis la seule là-dedans ? Peut-être. Mais je suis presque tentée d'aller fouiller sur wattpad tellement je suis désespérée de voir du contenu qu'avec ces deux-là.
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rollinginthedeep-swan · 6 months
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RPG et anxiété.
Tw : Anxiété généralisée.
Encore un sujet qui va me stresser une fois publié, dont j'avais envie de parler sans trop savoir comment et, ce soir, je tente le coup. Parlons "relations" sur les réseaux/rpg et anxiété ! C'est quelque chose dont je souffre et contre lequel je lutte à peu-près chaque jour. Les pensées intrusives sont terribles, la crainte qu'un quiproquo débile plus encore suite à des évènements passés qui, j'en suis certaine, auraient pu être évités. Je peux me prendre la tête et réfléchir trop vite, trop longuement, sur des petits riens un peu insignifiants tout en craignant que certaines situations passées se reproduisent. Quand c'est comme ça, j'ai tendance à serrer les dents, attendre que mes craintes soient indirectement contredites et respirer de soulagement après en silence, et hop ni vu ni connu ! (Appelez moi la houdini du stress. Bon par contre, les maux de ventre sont un peu moins fun. ) L'objectif n'étant pas de me flageller mais ne pas empiéter sur l'espace des autres. Oui, c'est contraignant, mais mes troubles ne doivent jamais empiéter sur le loisir des autres. C'est mon problème, je suis suivie pour ça.
Néanmoins, tout ce que je peux dire c'est qu'il est plus qu'essentiel de :
Tenter de communiquer en cas de doutes. Et surtout, ne pas faire de suppositions qu'on valide par le biais de nos propres certitudes et rejeter une personne sous prétexte qu'elle n'a pas su communiquer une information selon vos propres critères. (on le rappel, les troubles dys, la neuAtypie, la fatigue etc... existent.) En discutant, on se rend très souvent compte qu'en réalité, ce n'est pas du tout ce qu'on pensait. On s'épargne ainsi un drame inutile - a-t-on vraiment le temps pour ça, btw ? (NON.) - et l’opportunité de, peut-être, renforcer des liens entre Rpgistes tout en mettant à la porte des comportements problématiques qu'on a trop longtemps laissé passer par le passé. (En évitant de mettre de côté des personnes sous prétexte qu'elles sont un peu différentes, au passage.)
Ne pas oublier qu'on ne sait pas tous forcément parler de nos doutes ou qu'on a pas toujours envie de le faire par crainte d'agacer l'autre, qu'on est des êtres humains avec une vie en dehors du RPG, de tumblr, de discord, et qu'on est désormais nombreux-ses à être plus qu'adulte avec une vie IRL franchement déjà assez compliquée. (Et puis bon, les étudiant-es et/ou les plus jeunes aussi ont le droit d'être crevé-e-s, et on connaît ni la vie des autres, ni leurs contraintes ou l'état de leur santé.)
On va pas le répéter - si - mais la bienveillance, vraiment, c'est un banger. À consommer sans modérations.
Pour ma part, je ne peux que conseiller aux personnes de venir me parler si quelque chose a été mal perçu. Et sentir sans avoir de confirmations, tourner en rond sur 'ce truc qui ne va pas mais impossible de savoir quoi', c'est quelque chose de profondément déstabilisant ?
En ce qui concerne la gestion de ma propre anxiété, je ne sais toujours pas totalement comment vraiment vivre avec, mais je le fais au quotidien et je suppose que je chaque jour, je me débrouille un peu mieux. C'est pas mes seules contraintes, néanmoins, les autres sont bien plus privées.
Bref, je sais pas trop si ce poste est bien utile ou sera bien perçu mais voilà.
Des bises sur vous,
Swan qui ne sait pas si elle va laisser ce poste ?
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pedrithink · 2 years
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unknown ✩ kylian mbappé
summary: kylian dates a person outside the media and fans find out about her.
faceclaim: olivia rodrigo
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k.mbappe LA RAGE DE VAINCRE…🔵🔴
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mbappefan1 will you act like nothing is happening? 😭😭
mbappefan2 TELL US ABOUT YOUR GIRLFRIEND
mbappefan3 kylian, we are curious. CMON!!!!!!!
neymarjr ALLEZ PARIS !!!
mbappefan4 NEYMAR TELL US
mbappefan5 you guys should respect his private life ☠️
mbappefan6 yeah, this is probably so uncomfortable for kylian and the girl!!!
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ynusername i’m completely in love with this place
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mbappefan1 OMG HI
mbappefan2 this photo had 32 likes and now it has almost 3k, KYLIAN’S IMPACT!!!!
mbappefan3 you’re so cute, omg!!!!!
mbappefan4 you're only with kylian for the money
mbappefan5 🤢🤮
April 6th, 2020
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ynusername sent by someone very special :) tysm.
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mbappefan1 OMG KYLIAN ALWAYS SEND FLOWERS TO HER
mbappefan2 YEAH, LOOK AT HER HIGHLIGHTS
mbappefan3 HOW WE NEVER SAW THESE INTERACTIONS
mbappefan4 😵‍💫😵‍💫😵‍💫
mbappefan5 she’s not even that pretty
mbappefan6 kylian literally likes every pic of her, omg…
February 14th, 2022
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ynusername happy valentine’s day :)
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mbappefan1 i’m in shock that we never saw any of these interactions
mbappefan2 it’s cute how kylian always sent her flowers
mbappefan3 she’s pretty, we want her 2 kyky!!
mbappefan4 🤢🤢🤢🤮🤮🤮
mbappefan5 wh0r3
mbappefan7 i don’t know, but i don’t like her guts 🥴
February 14th, 2023
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k.mbappe J’ai toujours eu une vie amoureuse très privée et je voulais qu'il en soit ainsi, mais après avoir vu twitter et l'ensemble des médias diffuser des informations sur la vie personnelle de ma petite amie, je me devais de venir ici pour en parler. Oui, petite amie. Je sors avec quelqu'un ! Je demande, s'il vous plaît, de respecter sa vie personnelle et totalement privée et de comprendre que je suis vraiment heureux dans cette relation. Merci à tous ceux qui envoient des messages d'affection et c'est tout. Merci. (I have always had a very private love life and wanted to keep it that way, but after seeing twitter and the entire media spreading information about my girlfriend's personal life i had to come here to tell you. yes, girlfriend. I am dating! I ask, please, that you respect her personal and completely private life and understand that i am very happy even with this relationship. Thank you to everyone who is sending messages of affection and that's it. Thank you.)
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mbappefan1 kylian is MAD MAD
mbappefan6 as he should!!! people were being so obsessed about her private life 🥴🤐
mbappefan2 we will always support you!!!!!
ethanmbappe 👏🏻👏🏻
antonelaroccuzzo 😍❤️
mbappefan3 sorry about we invading her personal life kylian :(
mbappefan4 rooting for you to break up already
mbappefan8 shut up
mbappefan9 tell her to activate her insta 😭
mbappefan10 she already activate and it’s priv now
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olympic-paris · 4 days
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saga: Soumission & Domination 285
J'ai reçu dernièrement un mail de Jules avec ce texte en pièce jointe. Il m'y raconte comment il s'est fait son moniteur d'équitation et un des palefreniers du club. Je vous le transmets direct à sa demande.
Récit de Jules : le club d'équitation
Je suis Jules. Vous me connaissez depuis mon arrivée dans la vie de Sasha et de ses amis, je vous rappelle quand même.
J'ai 18ans tout juste, je fais 1m75 et ne pèse que 55 Kg mais que du muscle. Je suis châtain clair, imberbe et je rase le peu de poil qui voudrait pousser sur mes pectoraux. Ma bite fait un bon 18 x 4,5 circoncise avec un beau gland ovale mais c'est surtout mon cul qui est mis à contribution quand je baise. Vous l'aurez compris, je suis plutôt passif. Cet été j'ai eu la chance de rencontrer Sasha et sa bande du coté d'Arcachon et je suis resté en " contact " avec deux des participants, motards de la gendarmerie basés sur Bordeaux. Je suis d'une famille normale, avec des parents et un grand frère hétéro. Moi, ça faisait déjà quelques années que je m'étais fait dépuceler mais je n'avais que des relations passagères, espacées dans le temps et uniquement avec des hommes de passage en ville.
Depuis cet été et les quelques jours passés avec Sasha, j'ai pris de l'assurance et j'ai fait mon coming-out auprès de ma famille. Après un moment d'incompréhension, ils ont acté le fait et mon frère a même dit que cela m'allait pas si mal. Je n'ai pas creusé pour savoir ce qu'il entendait par là, mais j'ai été soulagé qu'ils le prennent aussi bien. Du coup j'ai eu facilement un appart séparé pour poursuivre mes études et comme a ajouté mon père, je pourrais vivre mes amours sans gêner ni être gêné par quiconque. L'appart est suffisamment loin de la maison, de la fac et son entrée par digicode assure une discrétion pour mes visiteurs. Il ne me reste plus qu'a ne pas hurler de plaisir sous les assauts des bites dans mon cul et les voisins n'en sauront rien !
Les premiers à venir me " voir " ont été les deux motards de cet été. Ils m'avaient laissé un n° de portable et ont eu l'air content que je les appelle. J'ai du, ou plutôt mon petit cul, leur laisser un bon souvenir après les quelques fois où ils ont pu me rejoindre sur la plage, même si nous avions du baiser dans le sous bois attenant.
J'ai beaucoup appris avec eux. Il faut dire que passer des WE entier à se faire baiser, ça laisse du temps pour expérimenter des positions. En plus ils ont eux pas mal d'expérience et j'ai plus progressé en quelques semaines que durant les 3 dernières années. J'avais eu un aperçu de mon potentiel avec Sasha et sa bande mais ils me l'ont confirmé. Même s'il m'est arrivé d'enculer un mec (en général de mon âge), c'est par le cul que je prends le plus de plaisir. L'alternance des 21 et 22 cm dans ma rondelle m'envoi à chaque fois en orbite !
De leur coté, ils ont l'air de m'apprécier car ils m'ont demandé de les accompagner le WE où ils sont montés voir Sasha. C'est évident que j'ai accepté.
Question sécurité (et avec des gendarmes ça ne rigole pas), j'ai accompagné G22 (terminologie de Sasha) dans un magasin de moto pour m'équiper. Pantalon en cuir, blouson de même matière, gants et boots puis un casque par-dessus, je suis méconnaissable. Le cuir me serre un peu mais G22 me dit de le porter jour et nuit pour qu'il s'assouplisse. C'est vrai qu'après quelques jours (surtout nuit, je le porte pas en cours), je plie plus facilement les genoux. Pour la route, j'ai partagé le trajet entre les bouts de selle de leurs deux Ducati. Heureusement que je ne suis pas gros vu la surface réduite où je peux poser mes fesses ! G22 m'a " pris " en premier après m'avoir expliqué le comportement à adopter en tant que passager de moto. Je dois, dans les virages, me pencher dans le même sens que le pilote (c'est évident tellement je suis collé à son dos !), je dois me tenir à lui (comme une bernique sur son rocher) et je dois poser mes deux mains sur le réservoir quand il freine pour éviter que mon poids lui fasse s'écraser les couilles sur le dit réservoir. Si je veux qu'il s'arrête, je tape deux fois sur ses cotes. Muni de ces recommandations le voyage s'est bien passé. En fait c'est accroché au paquet du pilote que je suis le plus confortable. Mais comme ça l'a fait bander, j'ai du soulager la pression locale lors de la pause café/carburant. Une pipe dans les WC d'une station service d'autoroute, c'était une première pour moi ! Enfin 2 car G21 s'est invité pour que je lui vide les couilles avant de prendre place sur sa selle.
Durant le WE chez Sasha, j'ai encore évolué question sexe. C'était ma première partouze et les mecs étaient tous canons, même les plus jeunes. Physiquement, moi j'étais dans les plus fins avec Théo le petit frère d'Ed, un des amis de Sasha. C'était aussi la première fois que j'expérimentais des installations de type Donjon et le corolaire de domination/soumission qui va avec. J'ai rencontré le mec de Sasha, Marc, il est impressionnant de présence. Et pas que ! Ses 22cm il sait s'en servir !
J'ai vu aussi où pouvait aller la soumission avec Ric et sa capacité hors concours à prendre grave large et long dans son cul. Ma propre rondelle est ressortie du WE plus " élastique " qu'à l'arrivée et tout ça en prenant du plaisir. J'ai même réussi à me prendre une méga bite noire dans le cul (deux premières encore, coté dimension et coté couleur). Sasha a un ami black TTTTBM (26 x 7 à la base) qui m'a défoncé le samedi soir. Le poppers (encore une nouveauté) m'a permis d'y arriver. Si au début j'ai serré les dents pour ne pas crier, quand son gland a écrasé ma prostate, c'était gagné. D'après lui, je me suis alors ouvert et le reste de sa queue est entrée facile. Le propre petit mec d'Eric, Cédric (même format que moi mais en beaucoup plus musclé), s'est chargé de m'aider. Après m'avoir coaché pour la pipe, il m'a écarté les fesses pour dégager mon anus afin qu'Eric me rentre bien tout.
A la fin du WE quand Sasha m'a demandé si j'étais content d'être venu, je n'ai pu qu'acquiescer. J'ai même répondu à sa question de savoir si les deux Gendarmes me suffiraient, qu'à mon club d'équitation, je suspectais quelques moniteurs et palefreniers d'être aussi bien monté que leurs montures. L'avantage avec les jodhpurs c'est qu'ils sont tellement collants que les gros paquets sont bien mis en évidence. Et gros paquet = grosses envies = qu'importe à qui est le trou (enfin je l'espère) ! Fort de mes nouvelles expériences et de avide de plus encore, c'est avec un oeil orienté que je suis allé à mon club d'équitation (avec des capotes xxl, un tube de gel et un flacon de poppers dans la poche aussi).
Mon jodhpur me colle aux fesses avec une légère tendance à entrer entre elles. J'ai passé une heure à coudre dans la couture arrière un fil élastique que j'ai du passer deux fois pour obtenir l'effet. Moyen en quoi mes deux petites fesses sont bien moulées séparément, un véritable appel au viol !
Je n'ai pas de cours de prévu mais je regarde les activités qui vont commencer. Je vois un groupe " steeple ". Promenade sportive, ça me va. C'est surtout le moniteur qui l'encadre qui me va ! Il a dans les 35ans, grand, large d'épaules et taille étroite, avec un paquet prometteur entre les cuisses. Le tissu semble mouler un appareil au repos plus gros qu'une balle de tennis.
Je vais seller un des chevaux que je connais bien et un des lads vient m'aider. Lui aussi je me le ferrais bien ! A force de manier la fourche et de porter les bottes de paille et de foin, ils sont super musclés et je m'imagine entre leurs mains !
D'après la réaction sous la ceinture du mec, je me dis que mon subterfuge (le jodhpur rentrant dans les fesses) a l'air de fonctionner. Je le laisse en plan et me dépêche de rejoindre le groupe. Nous ne sommes que 4 avec le moniteur. Les trois autres sont : un couple et une fille. J'ai bien l'impression que mon cul s'est fait mater alors que je montais en selle. Bon c'est vrai que je me suis mis enselle au ralenti ! Faut bien appâter un peu non ?
Nous partons dans la campagne et les bois alentours. Je connais bien le parcours et nous sommes seuls la plus part du trajet. Je regrette la présence des trois autres. Je lui aurais fait le coup de la panne ! A mi chemin, nous nous prenons l'averse du siècle. En moins de 5mn, comme nous sommes à découvert, je me retrouve trempé jusqu'au slip. Les autres ne sont pas mieux. Le moniteur décide d'écourter et nous rentrons rapidement. Alors que les autres laissent leurs chevaux aux palefreniers, moi je m'occupe de déharnacher ma bestiole, tout comme le moniteur. J'ose jeter un coup d'oeil sur lui. La pluie a rendu son pantalon indécent. Quand je regarde le mien, c'est pareil et en plus ils peuvent voir que je n'ai pas de slip dessous ! Je bouchonne les flancs de mon cheval quand je sens une présence dans mon dos. Le moniteur n'est plus dans mon champ de vision. Je tourne la tête. C'est lui qui me domine ! Il me dit de laisser les lads finir le travail et me propose de prendre une douche pour me réchauffer avant de partir. J'accepte avant de m'apercevoir que je n'ai pas de rechange. Il me dit que c'est pas grave qu'il me prêtera des trucs. Je le suis sous les regards des hommes qui s'occupent de nos chevaux. Nous arrivons aux vestiaires du personnel. Entrée, salle pour se changer avec placards individuels et au fond une salle de douches. Il m'indique un banc près de son propre placard et commence à se déshabiller. Je suis bloqué les yeux fixer sur lui. Quand il en est à descendre son shorty trempé, il me regarde et me dit que je peux me mettre à poil moi aussi. Je me sens rougir et m'empresse de m'exécuter. Je matte quand même quand il se penche pour retirer ses pieds de son shorty. Quel cul ! Que du muscle. Il en se préoccupe pas de me regarder (je suis très déçu) et sans se retourner me dit de le suivre. La salle d'eau se résume en deux éléments : un grand lavabo avec 6 robinets et en face 6 pommes de douches le tout sans séparations aucunes.
Il prend place sous celle du fond et me dit de venir à coté de lui. Ça y est je peux le voir de face. Putain de morceau !!!! En blanc c'est l'équivalent d'Eric. Il ne bande pas encore et son gland est déjà à mi cuisse ! Evidement moi je ne peux m'empêcher de bander. Mes 18cm semblent ridicules.
C'est là qu'il passe à l'attaque. Il pose une main sur mon cou et m'attire vers lui. J'ai la bouche à hauteur de ses tétons et instinctivement elle vient en couvrir un avant que je me mette à téter. J'entends au dessus de moi " c'est bien ce que je pensais ". Je n'hésite plus. Je glisse à genoux et embouche un gland gros comme un oeuf (enfin presque). Il plaque son dos contre le carrelage. Je suis le mouvement et en profite pour lui montrer que je suis un bon coup. Fort de l'expérience du WE chez Sasha, je me détends et avale, avale le plus possible de son gros chibre. Quand je sens son gland appuyer sur le fond de ma bouche, je dégluti et le sens passer ma glotte. Concentration, pas question que je gerbe sur un aussi beau morceau. Je recule et là, j'ai le plaisir de l'entendre me traiter de véritable suceur de compétition. Je me penche à nouveau en avant et l'enfile plus vite plus profond. Au meilleur, j'en laisse quand même bien 2/3cm dehors malgré toute ma bonne volonté. D'après ce que j'entends cela lui suffit jusqu'à ce qu'il me relève et me roule le patin du siècle. Sa langue me semble aussi grosse que sa bite et il me l'enfonce avec force dans la bouche. Elle lutte avec la mienne jusqu'à ce que je mette à la sucer. Ça doit l'exciter car il me prends aux hanches et me pose à cheval sur sa bite. Mes couilles écrasées contre ses abdos, je sens son gland frotter ma raie et passer régulièrement sur ma rondelle. Il me chauffe et je crois bien qu'elle a tendance à s'assouplir ! Quelle salope cette rondelle !
Comme il pousse son gland de plus en plus fort dessus, je m'écarte un peu et lui dit que c'ets ok s'il se couvre un peu. Réponse " j'avais pas prévu de baiser cet aprèm ". Qu'à cela ne tienne, je pêche dans mes poches une capote XXL, lui en recouvre la queue alors qu'il me dit que j'avais tout prévu. Un peu de gel sur les surfaces destinées à se frotter et, à 4 pattes sur le carrelage, entre les douches et le lavabo, je lui dis qu'il peut me saillir. J'aurais du mieux choisir mon vocabulaire ! C'est un véritable étalon qui m'a grimpé. J'ai juste eu le temps de ma gazer une narine de poppers et il me défonçait le cul. Je n'ai pu retenir un cri qu'il a jugulé en me bâillonnant d'une de ses mains. Le mal était fait et nous avons vu passer la tête du palefrenier qui m'avait aidé par l'entrée de la salle d'eau. Le moniteur et moi étions trop partis pour cesser aussitôt. Le mec l'a d'ailleurs bien compris et il a fait tomber sa salopette. Il l'a enjambé pour me présenter son slip déformé devant ma bouche. Les coups que je prenais dans le cul ne m'ont pas permis de le déshabiller moi-même. J'étais plutôt occupé à stabiliser ma position ! il l'a bien vu et a descendu lui-même son sous vêtement. Conclusion : un sexe un peu moins long mais aussi épais que celui que je me prenais dans le cul.
Il 'a pas hésité à me l'enfoncer dans la bouche et alors qu'il prenait des précautions, j'ai entendu mon enculeur lui dire d'y aller franco que ma gorge c'était du velours.  
Enfilé par les deux bouts par deux beaux engins avec le risque de se faire découvrir, trop jouissif. Je nai pas pu tenir très longtemps et sous les coups redoublé dans mon cul, je me suis lamentablement vidé les couilles sans même me branler. Ça n'a pas calmé le moniteur qui m'a limer encore bien 5 mn avant de sortir et de me couvrir le dos de son sperme. Alors que je me croyais libre, celui que je suçais l'a remplacé malgré mes dénégations. Je me suis vite re-dosé en poppers et il est entrer facile. Je l'ai entendu remercier le prof d'avoir fait le passage et je me suis retrouvé secoué une bonne 10aines de minutes avant qu'il ne me donne un dernier coup de rein précédant ses spasmes d'éjaculations. J'ai mis un peu de temps pour me relever alors qu'ils étaient déjà sous les douches à discuter de mon cas.
Chacun de dire à l'autre que c'était la première fois qu'il se faisait un mec (mon oeil !), mais que c'était de ma faute car je n'avais pas arrêté de les exciter avec mon boule sans slip, moulé dans mon jodhpur. Le lad de se récrier que dès mon arrivée je l'avais branché et tortillant du cul tout en sellant de grand hongre et que déjà je l'avais laissé bandé à mort. Quand j'arrive à mon tour sous les jets d'eau, la démarche un peu en canard, ils me disent tous les deux qu'il allait qu'on remette ça et que j'vais intérêt à être d'accord si je ne voulais pas finir sous les étalons du club et là j'ai bien senti qu'ils parlaient de ceux à 4 pattes !
Sans plus aucun complexe ni fausse pudeur, j'accepte le deal. Depuis, une fois par semaine je me charge de leur vider les couilles avec mon cul ou ma bouche. Il n'y a plus besoin de pluie pour que je quitte mon pantalon. On prend de plus en plus de risques et dernièrement, le Palefrenier m'a enculer debout alors que je serrais les sangles de ma selle. C'est très excitant aussi de se faire enculer en appui sur le flanc du cheval. Bien que caché par la masse de la bête, nous avons du cesser nos mouvements deux fois le temps de laisser passer un de ses collègues venu chercher un autre cheval. Le risque de se faire " prendre " décuple mes sensations. Et j'ai pris un pied géant cette fois là.
Conclusion : Voila le récit de Jules. Il me semble virer passif pur. Je crois bien que les deux G devront s'y mettre à deux pour le sodomiser maintenant.
A la lecture de ça, je n'ai pu m'empêcher de lui dire de bien muscler son anus à moins de vouloir le faire ressembler à la chatte d'une vielle pute sur le retour.
Jardinier
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clhook · 16 days
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Ces derniers temps je pense beaucoup à ma meilleure amie d'enfance et d'adolescence avec qui j'ai plus trop de contact parce qu'elle sera pas à mon mariage et ça me travaille beaucoup, pas parce que j'aurais aimé l'inviter mais plutôt par nostalgie de la relation qu'on avait petites, quand on pensait à l'avenir on était persuadées qu'on vivrait dans la même ville je serais bibliothécaire et elle fleuriste (ça ça s'est bien réalisé pour le coup mdr) et on serait témoin au mariage l'une de l'autre et on serait marraine des enfants de l'autre mais ça s'est pas passé comme ça je suis partie et elle est restée là où on a grandi, on voulait plus les mêmes choses de la vie et surtout j'ai commencé à assumer de vouloir des trucs qu'elle ne voulait pas alors qu'avant je m'écrasais pour faire comme elle. Je pense pas que la relation était spécialement toxique mais en tout cas très déséquilibrée elle était la meneuse extravertie jolie etc et moi la suiveuse réservée un peu cheum lol je pense que ça la flattait d'avoir toujours quelqu'un avec elle qui la rendait encore mieux par comparaison. Moi je disais rien parce que j'avais trop peur d'être seule mais maintenant j'ai ma vie ma maison mon keum mon travail et je suis loin donc on s'est pas quittées en mauvais termes mais juste on s'est éloignées et maintenant se suivre sur instagram c'est le seul aperçu de la vie de l'autre qu'on a. Bref tout ça pour dire que je rumine beaucoup sur le fait de vivre mon mariage sans elle tout en étant sûre que j'ai pas envie qu'elle soit là non plus c'est difficile à appréhender mais j'étais trkl dans mon coin avec mes pensées sauf que ma mère m'a dit hier qu'elle avait laissé une lettre pour moi chez mes parents et ça m'a mis dans un état d'angoisse pas possible parce que j'ai peur de lire cette lettre et d'être assaillie de sentiments pas sains pour moi ou être obligée de reprendre contact (parce que j'ai clairement pas envie, je suis très bien maintenant avec seulement la nostalgie de ce qu'on avait) et en même temps ne pas la lire me rendrait foldingue parce que je suis la meuf la plus curieuse de la terre bref je sais pas quoi penser de cette histoire 🤪🤪🤪 oui vous avez lu jusque là pour cette conclusion je suis bien désolée pour vous
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sabinerondissime · 1 month
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Journal
Il y a 20 ans, tout commençait entre nous. Nous nous sommes connus sur un site de discussion, comme il y en avait beaucoup au début des années 2000. J'étais en vacances dans le sud et nous avons dialogué jusqu'à mon retour en Normandie. Mon divorce venait tout juste d'être prononcé. Nous nous sommes rencontrés au début du mois d'aout et cela a tout de suite fonctionné entre nous. Mais ce mois ci, il y avait les jeux olympiques et ta passion pour le sport est passé avant ton envie de me voir. Vexée, je t'ai dis que je préférais qu'on en reste là. Le 29 aout, tu m'as envoyé un message pour me souhaiter ma fête et le dialogue a reprit. Tu es venu me voir le 6 septembre et nous ne nous sommes plus jamais quitté. Les premiers mois ont été superbes. Nous sortions beaucoup, tu m'emmenais faire des choses que je n'avais jamais faites comme voir un concert d'artiste que je ne connaissais pas (Mes souliers sont rouges) aller à La nuit du Zapping au Zenith de Caen, ou voir des matchs de Hockey sur glace. Nous aimons les choses simples alors nous faisions des pique niques en bord de mer, avec juste du pain et du camembert. Nous allions aussi dans pas mal de restaurant découvrir la cuisine du monde. Et comme je vivais toujours sous le même toit que mon ex-mari, nous allions dormir à l'hotel régulièrement. Tu prévoyais toujours une surprise. Un soir, je suis arrivée après toi et tu avais pavé le couloir de l'hotel de pétales de roses, jusqu'à la chambre ou je devais te retrouver. Quelques mois plus tard, j'ai emménagé dans ta ville, dans la même rue. Mais comme mes 3 enfants vivaient avec moi et que toi, tu n'avais jamais eu d'enfant, nous avons préféré garder chacun notre appartement au cas où. En 2007, nous avons eu notre fils mais nous avons tout de même conserver nos appartements. La naissance de notre fils a changé beaucoup de chose dans notre couple et 3 ans plus tard, afin d'éviter la rupture, nous avons pris la décision de nous laisser la liberté de vivre d'autres choses. Nous avons vécu ainsi quelques années. En 2020, mes 3 premiers enfants étant partis de la maison et le confinement arrivant, tu es venu t'installer chez moi. Nous avons continuer à faire chambre à part. De toute façon, il y avait déjà quelques années qu'il n'y avait plus de relation sexuelles entre nous. Nous sommes des amis, des parents mais plus des amants et probablement plus des amoureux. Nous aimons la façon de vivre de l'autre, le calme, la tranquillité et l'âge venant, nous avons décidé de nous marier, pour mettre à l'abri celui de nous deux qui restera en vie le plus longtemps. Demain, je porterai ton nom. Même si nous sommes très différents dans nos gouts et nos passions, nous en avons une qui nous lie depuis près de 18 ans, notre fils ! Je sais, parce que tu me l'a prouvé, qu'en cas de coup dur, mes enfants et moi nous pouvons compter sur toi. Désormais, nous avons un petit-fils qui, même s'il est le fils de mon fils t'appelle Papi et se moque bien qu'il n'y ait pas de lien du sang entre vous. Alors oui, il me manque la tendresse, la passion, l'amour, les mots doux, les compliments, les câlins, la sensualité, le sexe, la séduction, les projets, les voyages à deux et tout ce qui se rattache au sentiment amoureux. Mais je sais à quel point les sentiments sont éphémères. On dit "Marriage plus vieux (et non pas pluvieux) mariage heureux" parce que justement, on a souvent fait une croix sur la folie de la passion que recherche encore les plus jeunes. Ce qui est important désormais, c'est la stabilité et la confiance et cela, tu me l'apporte jour après jour depuis 20 ans. Merci d'avoir pris soins de moi et de mes enfants. Merci d'être l'homme que tu es, avec tes qualités et tes défauts. Demain, ce sera OUI, pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la mort nous sépare.
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willcmsv · 2 months
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
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The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au début de l’année et aviez été associé à plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire évoluer votre relation au fur et à mesure. Cependant, après avoir été moqué lorsque tu as avoué des sentiments à un garçon, tu as décidé de les garder pour toi et de ne plus faire transparaître des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais découvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hésitez pas à me recommander des idées de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le début de l’année, Alain et toi vous échangez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dépendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empêches de déraper et tu le défends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces dernières semaines, Joseph ne peut s’empêcher de vous taquiner en rappelant comment vous êtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela était un jeu. Mais Joseph était comme ça. Tout était drôle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres à la maison les week-ends, tu as le droit à l'interrogatoire privé de ton frère Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu étais et resteras toujours sa petite sœur qu'il doit chérir et protéger. Il a arrêté de te voir grandir à l'âge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde où tu déposas ton pied à l'intérieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelé plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu étais assez grande pour avoir un copain, mais il était têtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent…" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
Après ton échange avec ton frère, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'écriture de l'expéditeur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empêcher de sourire à chacune de ses lettres, à chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu réfléchissais à ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se présentaient à toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-être perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-être un grand mot.
Le lundi matin, après avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tôt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans même te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, même si ce n'était pas réjouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutôt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"Même si le lycée ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me présenter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une révérence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complètement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lèvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grâce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses à son sujet et des choses qui pourraient t’intéresser-" Joseph s’arrêta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph…" Alain lança un coup d’œil confus à Joseph. "On peut déjà se préparer à aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embête, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu déclares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journée, tu ne pouvais t’empêcher de jeter de nombreux coups d’œil à Alain qui paraissait tellement concentré sur le cours. Tu étais aussi concentrée sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard était maintenant tourné vers toi.
Ses yeux bleus étaient encrés sur toi. Il ne bougea même pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez près l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mètres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher côte à côte. Il ne put s’empêcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph était-il toujours obligé d’être avec toi alors qu’il rêvait seulement d’être à sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science à terminer, un travail qui t’obligeait à travailler pendant une durée indéfinie avec lui. Tu te réjouissais déjà d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutôt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a…" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intéresse pas." Tu t’empressas de répondre.
Alain lança un coup d’œil à son cahier sans dire un mot, comme si ta réponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mâchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixèrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lèvres avant de remonter à tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dévoilait tellement plus.
Tes battements de cœur s’accélèrent et tes lèvres te démangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cœur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lâcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de manière espiègle comme s'il avait fait ça exprès. Et tu étais sûre que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frôlant légèrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu déclares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intéressée ?" Un sourire narquois apparut sur les lèvres de Joseph.
***
L'après-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici à cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légèrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lèvres se pincèrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi… Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximité entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cœur et de sentir son regard sur toi pendant que tu désinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à côté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frôler légèrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lèvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il était devenu de plus en plus compliqué pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois où tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, après la fin des cours, Alain t’avait invité pour faire un tour en ville. Au début, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gênantes, et l’ambiance était presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier…"
Alain tourna sa tête, presque étonné que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il répondit brièvement.
Tu te mordais les lèvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir à t'embêter, je le remarque très bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrêter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrête, ou je vais m’en occuper moi-même."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empêcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser légèrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-être que la situation dégénère ou se finisse autrement que prévu, soit tu prenais ton courage à deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de désir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois… pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois…" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et à mesure que vous avancez, jusqu'à ce que vos mains se frôlèrent à plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisèrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrêta soudainement, ce qui mena à ton arrêt à toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levèrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une réponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers tes lèvres. Cependant, cette fois-ci, il ne détourna pas le regard. Malgré l’hésitation, il posa enfin ses lèvres sur les tiennes et tu répondis immédiatement au baiser. Ses lèvres douces s’appuyèrent contre les tiennes et bougeaient à la même allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardèrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensé faire ça ici… mais c’est même mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les émotions et atteins à nouveau ses lèvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en même temps que ses lèvres s’enfoncèrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accélérer doucement.
Tu sentis ses lèvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lèvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir était que du côté d'Alain, des tonnes d'émotions et de sensations envahissaient également son corps et faisait palpiter son cœur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
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jeanchrisosme · 6 months
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Ne jamais forcer une relation. Parfois, il vaut mieux passer à autre chose, que de s'accrocher à une personne qui ne comprend pas qui tu es vraiment. Malheureusement il y aura des moments où ton absence t'enseignera ce que ta présence ne peut pas. Vous devez arrêter de vous briser le cœur en essayant de faire fonctionner une relation qui n'est clairement pas censée fonctionner pour commencer. Vous ne pouvez pas forcer quelqu'un à se soucier sincèrement de vous. Tu ne peux pas forcer quelqu'un à t'être fidèle. Vous ne pouvez pas forcer quelqu'un à être la personne dont vous avez besoin eux futurs. La vérité c'est que parfois la personne que vous désirez le plus est la même personne dont vous seriez le mieux sans. Vous devez comprendre que certaines choses sont faites pour entrer dans votre vie, mais pas pour rester. Tout ce que tu fais pour montrer ton amour, tu dois l'être attention à ne pas se perdre en essayant de réparer ce qui n'aurait jamais dû être là en premier lieu. Vous ne pouvez pas obtenir la relation dont vous avez besoin de quelqu'un qui n'est pas prêt à réciproquer l'amour que vous lui donnez. Je sais que c'est dur quand tu rencontres quelqu'un et que ton cœur ressent, c'est la personne avec qui tu pourrais passer une éternité, et tu commences à accepter qu'elle ne soit pas cette personne que tu pensais qu'elle devait être. Et peu importe le nombre de fois où tu pleures pour dormir la nuit, tu finiras par guérir de ta relation précédente et trouveras celle que tu as toujours désirée. Votre avenir vous apportera maintenant une compréhension des raisons pour lesquelles les choses n'ont pas fonctionné dans vos relations précédentes. Une chose que j'ai apprise au fil des ans, c'est que « Il vaut mieux être célibataire que d'être dans une relation en se contentant de moins. ” S'ils te voient comme une option, alors ils ne méritent pas d'être une priorité dans ta vie. Suis mon conseil et ne cours jamais après quelqu'un qui ne te poursuit pas.
Cody Bret
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chifourmi · 5 months
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J'ai besoin de parlerparlerparler pour m'enlever cette boule au ventre alors que j'ai déjà énormément parlé
Sur le moment la boule part mais dès que je m'arrête elle revient mais rien que le fait d'écrire ça m'aide purée ça fait du bien limite j'ai envie d'écrire pour ne rien dire en fait dès que je m'arrête de parler et d'écrire je réfléchis trop et des petites pensées autodestructrices arrivent beurkbeurk en 2024 il s'agirait d'arrêter surtout quand on est une bombe atomique comme moi avec un cœur beaucoup trop gros pour mon buste tout frêle
Ce qui est fou c'est de malgré tout savoir que c'était pas l'homme de ma vie et que j'avais aperçu des red flags que je me suis bien retenue de dire ici pcq j'avais la flemme qu'on me dise de fuir mais d'être quand-même blessée genre pourquoi et en plus j'ai aucune raison d'être blessée pcq on a jamais été clair genre j'arrive pas vraiment à savoir où ça me touche exactement, est ce que c'est pcq j'ai archi pas confiance en moi que ça touche à mon ego de me dire que j'étais pas aussi spéciale que je pensais être pour lui? Ça me fait flipper d'avoir fait tout un plat de notre relation genre wtf c'était un plan cul faut se calmer j'ai carrément fait un compte où je parle de lui mais beurk arrêtez moi quoi c'est fou de s'emballer comme ça et puis en même temps il a vraiment agi à l'inverse de mon connard d'ex et ça m'a redonné confiance en moi et je peux pas non plus effacer ça et tous les bons moments et en vrai oui ça sert à quoi d'effacer les bons moments peut être qu'il faut juste que je me contente de ce qu'on a vécu sans penser aux autres meufs pcq peu importe le reste ce qu'on a vécu c'était beau et je sais bien que s'il vient vers moi me faire un câlin c'est pas faux genre ça reste une envie de lui faut surtout pas que je me dise que tout était faux pcq c'est pas vrai aller ça va aller franchement tranquille
La fin sonne si faux mdr mais en vrai je suis sûre que ça va vraiment aller, faut juste que j'accuse le coup et en vrai je suis teellement contente qu'on ait mis les choses au clair
Ma seule question maintenant x'est est-ce que je continue la relation en sachant qu'il verra d'autres meufs? Pcq j'ai l'impression que je pourrais pas me passer de l'attention qu'il m'apporte sur le moment et d'un autre côté je me dis mtn que je sais tout je peux prendre du recul sur ses messages genre vivre ma vie sans les attendre h24 pcq ce qui est positif quand même là dedans x'est que hé crois être plus attachée à ses comportements que lui en lui-même pcq il est vachement égocentrique et trop cash et j'ai horreur de ça je sais qu'on serait pas bien ensemble enfin ce serait explosif et vous allez me dire pourquoi tu voulais lui avouer tes sentiments à la base alors bah écoutez je me suis dit one life jsp ce que ça va donner mais je veux tester ce qui est bien sur ce compte c'est qu'on remarque vraiment à quel point je suis instable après ob se demande pourquoi il m'est impossible de rencontrer des gens ici pcq y a des gens qui se considèrent comme fou ici mais je dois tenir la palme d'or je vous jure ptn quelle instabilité de merde
(17/05/2024)
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lilias42 · 1 month
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Hellooooow ! Puisque tu m'a demander du SANG!!! Je me permet de t'en demander aussi !!🔥🔥🔥. Je voudrais ton opinion sur la 7, 8 9 , 22 et ( pour le lol) la 2 !!! Merci beaucoup 😊!
Salut ! Merci beaucoup les questions ! Et du SANG !!! Le peuple veut du SANG !!!
PS : j'ai mis la 2 en dernier vu que je ne suis pas sûre d'avoir bien compris et vu le sujet, ça me gênait un peu alors, c'est en bas.
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7 - Quel personnage avez-vous commencé à détester non pas à cause du canon mais à cause de la façon dont le fandom réagit à leur égard ?
Question déjà répondu dans ce billet ! :D
8 - opinion commune des fans selon laquelle tout le monde a tort
👹 Pour commencer, le très classique "El-chan est une anti-héroïne / gentille légèrement borderline / la seule vraie gentille qui fait évoluer Fodlan dans le bon sens" et toutes les autres opinions qui vont avec telle que "CF est une route héroïque où on tue la méchante papesse et les gens n'avaient qu'à pas se défendre d'une invasion" et "l'histoire entre El-chan et Byleth est tellement ROMANTIQUE !!!". Je pense en avoir déjà bien assez radoté là-dessus mais, CF est une route de méchants qui ne s'assume pas et étant assez mal écrit car bon, quand on est conscient de ce qu'on fait (soit conquérir deux pays indépendant depuis 400 ans et finir un génocide d'une race n'ayant rien demandé en aidant une secte glauque de taupe maléfique), les moments qui se veulent tendre sont juste ultra cringe et dérangeant alors que c'est censé être des scènes mignonnes (scène du portrait, je te regarde) et avec une relation principale vraiment malaisante vu que bon, en version, dans leur soutien C, Byleth est censé roder dans le monastère avec une référence aux yobai / voleur de sous-vêtement. Voilà quoi. On a connu mieux comme top de l'écriture.
👹 Autre opinion commune de fans qui semblent un peu trop répandu dans ce fandom, c'est que la fanfiction n'est pas assez sérieuse et que c'est mieux de faire de la méta car c'est plus sérieux. Je pense à une certaine fic d'un type sur un bateau tape-à-l'oeil (oui, je cherche comment traduire un truc histoire de planquer les traces pour que la horde de stans ne trouvent pas ce billet, alors qu'on a pas vraiment de traduction de ce mot qui est un anglicisme) qui se prétend être une méta alors qu'elle fait encore plus de modification que dans un canon divergente en piquant des évènements des autres routes. J'ai l'impression que c'est pour donner un air important à un travail x pour dévaloriser les autres car, cette "méta" serait plus profonde, plus réfléchie qu'une "simple" fanfiction alors que c'est quelque chose qui peut être très travaillé et recherché, voir avec plus de liens avec le canon bien réalisé.
En plus, à mon avis, une méta s'exprime assez mal en fanfiction. On peut faire des études de personnages en fic, on est d'accord mais, je trouve que ça passe mieux dans un billet construit, avec des références claires au canon et avec des renvoies clairs et nets aux phrases / moment dont on parle et sur lesquels ont s'appuie pour construire notre raisonnement et opinion, ainsi qu'une structure plus proche d'une démonstration que d'un récit fictif. ça doit être mon côté très carré qui ressort mais bref, la méta ne laisse aucune place à ce qui est vraiment créatif. On peut s'appuyer dessus afin de mieux comprendre le canon et afin de voir si ne part pas complètement en live mais, la fanfiction est comme une adaptation, il faut forcément modifier le canon afin de l'adapter aux idées de l'auteur (comme je l'ai surement déjà dit quelque part, un français et un américain n'auront surement pas la même vision de la monarchie ou de la féodalité ou ne feront pas agir des personnages de la même manière). Je ne comprends donc pas la raison pour lesquels certains dans le fandom préfère clamer faire de la méta plutôt qu'une fanfiction.
👹 Sinon, je dirais que Lambert est un personnage positif et un bon roi avec une présomption de bien faire / innocence alors que le gars a tout fait n'importe comment dans ce qu'on en voie de lui, que ce soit dans FE3H ou FEW3H dans ce que j'ai vu. J'en parle dans la réponse de recurringdragon alors, je renvoie à cet billet.
9 - La pire partie du canon
Bon, on va pas revenir sur CF, je radote déjà suffisamment alors, on va plutôt dire l'histoire de Patricia.
Aux noms des Dieux, par où commencer dans ce bazar ?
Bon, déjà, son histoire n'a vraiment aucun sens et je ne voie pas vraiment comment bien l'intégrer à l'univers et comment la mettre en place à part en disant que Lambert a une chance sans nom tout du long de son règne, puis a épuisé sa jauge de chance à Duscur. Car bon, si on tente de résumer :
Anselma a rencontré Ionius à un moment X (pas à Garreg Mach vu que Delagarde est la première membre de la famille impériale à étudier au monastère depuis des générations)
Anselma a eu Delagarde avec lui et c'est l'avant-avant-dernier enfant d'Ionius qui avait déjà eu huit autres gosses avec d'autres femmes puis en aura encore deux autres avec d'autres concubines (ce qui doit signifier qu'ils ont une grosse différence d'âge et bonjour le harem, comment tuer le romantisme de la petite histoire à l'eau de rose de Delagarde à la Tour de la Déesse)
pour une raison inconnu, Hubert, le fils unique des Vestra de 6 ans, devient le valet personnel de Delagarde quand elle a 4 ans (pourquoi pas de son frère / soeur ainé, on sait pas, le jeu non plus, la fratrie impériale est implanté dans l'histoire avec les pieds) et on ne sait pas si Anselma fait encore partie du tableau à ce moment-là car aucun des deux n'en parle
à un autre moment X, Anselma doit fuir Embarr car elle a été prise dans un complot au sein du harem. Elle trouve refuge dans le Royaume grâce à la vraie Cornélia qui l'aide
elle rencontre Lambert vu que vraie!Cornélia travaille pour lui à ce moment-là et après un certain temps, ils se marient ensemble dans le plus grand secret (donc, surement de manière morganatique, elle n'est pas reine) et prend le nom de Patricia pour ne pas se faire choper. On sait juste que c'est avant les 8 ans de Delagarde vu qu'elle rejoint sa mère dans le Royaume lors d'une nouvelle crise à Embarr quand Hubert a 10 ans vu qu'il a tenté de la rejoindre à cet âge, et qu'elle est dans la famille royale de Faerghus pendant longtemps vu que Dimitri la considère comme sa mère.
Pendant ce laps de temps, personne du saint-personne à part le cercle le plus intime du roi sait que Patricia = Anselma, la concubine impériale qui s'est barrée d'Embarr et du harem et le secret réussi à tenir jusqu'à après la mort de Lambert qui a emmené le secret dans la tombe.
à encore un autre moment X, vraie!Cornélia est remplacé par agarthan!Cornélia qui commence à manipuler Patricia et s'impose entre les deux époux et Lambert ne fait rien pour empêcher sa médecin (qu'il pourrait tout à fait renvoyer ou arrêter vu que c'est le roi) de le séparer de sa femme en s'imposant entre eux deux, ce qui veut surement dire qu'agarthan!Cornélia manipule aussi Lambert
A un autre autre moment X, Patricia sait qu'agarthan!Cornélia faisait des expériences tordues sur Hapi et en était triste mais, n'a rien fait pour l'aider (et dans sa situation, elle n'en avait surement pas les moyens, surtout avec Lambert qui gobe tout ce que lui raconte Cornélia, le mec sert vraiment à rien à part ficher les problèmes partout !)
Peut-être à peu près au même moment, c'est toujours pas clair, agarthan!Cornélia commence à comploter pour assassiner Lambert et à un moment, Patricia est dans le complot. Elle s'éloigne de Dimitri aussi vu qu'elle est dans sa bulle et triste (vu ce qu'elle s'est pris dans la tronche, tu m'étonnes !)
Le complot se concrétise lors du voyage à Duscur où agarthan!Cornélia, ses alliés à Kleiman et surement dans le reste du sud, et les agarthans assassinent Lambert et toute sa suite en manquant Dimitri. On sait juste que le carrosse de Patricia n'a pas été touché et qu'il n'y a aucune trace de sa présence sur les lieux de l'attaque
Dans le présent ! On a aucune idée d'où elle est, si elle est en vie, ce qu'elle a fait après Duscur, si Delagarde est au courant que sa mère était la femme du roi ou si elle en a quoi que ce soit à battre, ce que ça veut dire pour le Royaume, si elle peut réapparaitre, ce qui se passera... vu que seul Dimitri en a quelque chose à faire d'elle. Le tout avec PERSONNE DU SAINT-PERSONNE qui n'a jamais remarqué la relation entre elle et le roi ou qui soupçonne la moindre chose donc, elle a l'air d'avoir réussi à planquer sa présence dans le Royaume pendant 5 ans minimum vu qu'El y est allé à 8 ans et que la Tragédie a eu lieu 4 ans avant l'histoire soit quand Dimitri avait 13-14 ans, voir plus vu que personne ne parle de sa vie au harem vu que sa fille ne se souvient pas de l'époque avant son exil de la capitale (elle dit avant ça qu'elle "regrette que ce genre d'histoire ait pris fin après ma naissance." alors, est-ce que ça veut dire que Patricia a perdu sa faveur peu de temps après avoir accouché ? On sait pas, l'histoire veut pas trancher).
Et c'est sans parler de la lettre débile d'Anselma dans 3 nopes où elle demande de l'aide à un noble du sud pour les aider dans leur complot, alors qu'elle est censé être isolée du reste de la cour, personne ou presque ne connait son existence et encore moins sa relation avec le roi alors, qu'est-ce que ce type en aurait à battre de son appel à l'aide et meuf ! T'es censé être discrète !
Au nom des dieux, c'est un BORDEL SANS NOM ! Faut un tableau de détective pour arriver à suivre ! Et il faut sortir tous les supports des personnages pour naviguer entre les points de vue imparfaits, les biaisés et les mensonges de Delagarde la mytho et le support d'Hapi censé éclaircir sa situation ne fait que la compliqué encore plus !
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Sérieusement, aucune idée à part un miracle cosmique de la Déesse ou de Satan (c'est à dire la magie du scénario) pour expliquer comment personne dans le Royaume n'est flairé l'arnaque, découvert le pot aux roses, que Lambert (soit pas une foudre de guerre) ait réussi à cacher son existence à la première belle-famille quand il venait voir le petit-fils / leur neveu (vu que bon, c'est la famille de la reine officielle, ça ne doit pas être n'importe qui), s'assurer qu'aucune servante ne vende la mèche, que Dimitri ne lâche rien de trop suspect pour quelqu'un d'un peu méfiant qui se mettrait à fouiner pour comprendre les mots du petit et au cas où quelqu'un tournerait trop autour du jeune et seul prince (je sais, Dimitri nous dit qu'il ne savait pas que Delagarde était la fille de Patricia lors de son passage à Fhirdiad mais, il aurait pu le savoir après coup et vu que même son meilleur ami de l'époque Félix ne savait pas pour Patricia et sa relation avec le roi, il a dû vraiment bien tenir sa langue et caché tout ce pan de sa vie à ses amis [et s'il était au courant et l'a caché en connaissance de cause, t'es raiment un connard Lambert pour imposer à ton gosse de mentir en permanence à ses propres amis]), prier très fort pour que personne d'Adrestia n'aille la chercher, que personne dans la confidence finisse par trahir pour x ou y raison (car c'est un crétin et un roi incompétent qui ne pense qu'à lui).
Car bon, imaginons que Rodrigue en ait sa claque de Lambert et de ses conneries, il vend la mèche à la population de Fhirdiad et vu qu'il est quand même un duc très respecté (société d'honneur, quelqu'un considéré comme le "Bouclier de Faerghus" serait forcément un minimum écouté par respect envers sa parole), on le croit, c'est fini pour Lambert :
les gens vont juste exploser d'apprendre que le roi a une maitresse qui bouffe sans doute à leurs frais sans rien faire pour le Royaume car ce n'est pas la reine et qu'elle est recluse alors, elle peut difficilement faire quoi que ce soit pour eux donc, ils vont surement aller frapper à la porte à coup de marteau et faux pour demander une explication à Lambert
+ la famille de la première reine va surement leur donner un coup de main car, on remplace leur fille et que c'est quand même des privilèges à eux qui sont en jeu, avec le risque que Patricia donne un autre enfant à Lambert qui pourrait être un concurrent à Dimitri s'il a un emblème ou pire un emblème majeur
+ d'autres nobles qui sont en mode "Bordel ! C'est une concubine de l'empereur ! Il apprend qu'elle est ici, on est mort ! Rendez-lui tout de suite !" et se mêle à la révolte générale pour juste la renvoyer de l'autre côté de la frontière en s'excusant histoire d'éviter une guerre
+ quelqu'un, un juriste ou un curé, qui invalide le mariage si son union avec Ionius n'a jamais été défaite dans la précipitation et ajoute au bazar que le mariage est illégale car c'est de la bigamie
+ et si vraiment, Lambert a épuisé toute sa jauge de chance, les srengs profitent du bordel général dans le Royaume causé par le scandale pour lancer des raids sur Faerghus afin de récupérer un maximum de terres ou de butin
Autant dire que c'est pas avec Gustave et Rufus qu'il va aller bien loin.
Vraiment, cette partie du scénario est un véritable bazar sans nom qui ne sert qu'à lier Dimitri et Delagarde pour expliquer pourquoi il ne veut pas la défoncer à la fin de l'histoire d'AM, c'est sa demi-soeur et une amie d'enfance alors, il veut l'épargner car comme le dit Ashe "tuer un membre de sa famille... c'est mal" alors que c'est un des personnages qui a le plus de raison de vouloir sa peau dans tout le jeu. Heureusement qu'il y a des auteurs comme Ladyniniane qui sont vraiment motivé et arrive à faire de cette situation compliquée une excellente histoire avec Patricia / Anselma qui est un personnage attachant et tragique mais sinon, c'est une des pires parties du canon pour moi : il est inutilement compliqué et tordu, tout ça pour justifier que Dimitri ne veuille pas exploser Delagarde même une fois remis car, elle a littéralement ruiné sa vie et profiter du chaos de Duscur et dans le Royaume pour avancer ses pions, tout en reniant l'indépendance de son pays en voulant les coloniser à nouveau.
22 - votre partie préférée du canon que tout le monde ignore
Je ne sais pas si c'est une partie ignorée du canon mais, j'aime beaucoup toutes les possibilités qu'offre l'histoire du jeu car, même si son lore peut être très grand et riche, il est complètement mité et peu développé à part ce qui est un minimum nécessaire pour l'histoire. J'aime beaucoup utiliser ces trous pour les combler avec des OC, je trouve que ça permet de laisser libre court à sa créativité avec chacun qui fait ce qu'il veut comme il le souhaite et selon ses gouts et thèmes préférés (dans le respect des versions de chacun et en assumant que c'est de la fanon bien sûr), le tout en renouvelant les situations et les relations possibles en sortant des limitations du canon.
Par exemple et même si à force, je tire sur une ambulance déjà accidentée, je n'aime pas du tout la dynamique entre L*mbrigue en fic car je n'aime pas Lambert et même si on en fait un perso potable en fic, la dynamique tourne souvent en rond avec Rodrigue qui se languit en silence et Lambert qui le remarque à peine, soit ils ne peuvent pas être ensemble officiellement et sont amants avec ou sans le consentement des silhouettes qui leur sert de ventre à bébé Dimitri / Félix et Glenn. Avoir un vrai OC construit pour jouer le rôle de leur femme permet d'avoir d'autres dynamiques et d'explorer les possibilités de leur couple, que ce soit pour montrer l'influence toxique de Lambert qui est juste un vampire et donc un couple qui ne fonctionne pas, soit pour en faire un couple sain et équilibré qui s'aime sincèrement pour Rodrigue car cet homme mérite d'être heureux !
Autre exemple, j'aime beaucoup la partie de la Guerre des Héros / Antiquité de Fodlan, notamment car je peux imaginer ce que je veux vu qu'il y a assez peu d'information dessus (qui peuvent même être contradictoire entre elles) et mettre des personnages comme je les aime avec des histoires que je trouve cool dans un univers que j'aime beaucoup avec mes Braves (je vais arriver à m'y remettre pour le billet de Pyrkaïa, je vais y arriver ! Même si son billet fait déjà 50 pages de Word et j'en suis qu'à son enfance / adolescence... oui je sais...). On nous dit que les Braves étaient très appréciés de leur peuple et vu comme des héros puis, ils ont pété une durite et rejoint le camp du mal ? Ok, il y a en fait deux générations, celle des parents qui étaient de très puissants héros bienveillants ayant tout donné pour leur peuple, et celle des enfants tombés dans la spirale de la vengeance quand ils ont été assassinés qui prévoie de tuer Seiros et les autres puis Némésis car ils sont responsables de la mort de leur parents, et je peux broder dessus.
Ce serait un peu ça ma partie préférée du canon que tout le monde ignore : l'antiquité de l'histoire qui permet d'avoir énormément de possibilité, et les zones d'ombres qui permettent de glisser facilement des OC attachants qui agrandissent les possibilités d'histoires !
2 - un argument convaincant pour expliquer pourquoi votre favori ne serait jamais en haut ou en bas
Vu que mes deux personnages favoris sont Rodrigue et Félix, on va partir sur Rodrigue vu qu'il n'est pas ultra populaire et je voie deux manières d'interpréter la question donc, je vais me pencher sur ma première manière d'interpréter la question avant de me rendre compte de l'autre sens (en espérant ne pas me tromper vu que ce serait vraiment gênant autant pour toi que pour moi) : pourquoi il ne sera pas le plus populaire ou le pire perso selon les fans.
Il ne sera jamais premier car il est un PNJ et devient jouable que dans un spin-off avec une écriture pourrie + subi les conséquences des narrateurs peu fiable de FE3H où ado!Félix en pleine crise d'adolescence le décrit comme le pire père du monde et est trop pris au pied de la lettre par le public.
Mais il ne sera pas non plus le pire des personnages car il reste très sympathique quand on ne s'aveugle pas à ses qualités en étant un homme bon, responsable, faisant tout pour tenir malgré les tragédies qu'il vit, très bon père qui fait autant qu'il peut pour maintenir sa famille en entier et un personnage très appréciable !
(Et pour la deuxième façon dont je comprend la question, c'est pourquoi le perso serait top / bottom au sens intime des termes et, on va dire que quand il est avec Félicia, les deux veulent surtout passer un bon moment ensemble et se font surtout des calins et ils s'embrassent tendres dans leur lit. Puis quand Félicia meurt, étant donné qu'il l'aime toujours même une fois son deuil fait, ne s'intéresse pas aux autres de cette manière, à d'autres choses à penser [comme élever ses fils et s'occuper de son fief] et histoire qu'on lui fiche la paix quand une autre grande famille veut nouer une alliance avec les Fraldarius chapeauté par une alliance matrimoniale, il fait officiellement voeu de fidélité à sa femme devant la Déesse. Comme ça, il est tranquille. Et désolé si ce n'est pas très détaillé mais, ce genre de question me gêne un peu, surtout quand je ne suis pas sûre du sens de la question)
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apmnwq · 9 months
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Unfortunatly yes ✌️ je l'ai vu pour la premiere fois en conv en... 2016 je crois ? Et on a commencé à parler avec un groupe de pote et lui du design de Belette dans l'imaginaire collectif, et comment elle avait souvent des mini short et crop top et c'etait pas realiste quand tout le reste des persos a des grands manteaux pour eviter les zombies (<- c'etait avant meme que EmilieMaria fasse les premiers dessins de Black!Belette) (i am Ancient 🧓). Et je lui ai montré quelques fanarts de Belette sur le carnet que j'avais sur moi, en tournant des pages, et il a pris le carnet en demandant "je peux?" et a commencé a tourner les pages. Bon, 80% des dessins la dedans etaient vdf ou tomitch-related, donc ca tombait bien. Mais au milieu il y avait aussi... du moins s f w ?... (j'etais tres rouge) (lui il a rigolé d'un air admiratif et en a PRIS UN EN PHOTO) (il est un amour. Il regardait chaque dessin avec la meme excitation que nous dans le fandom on reagit devant un nouveau fanart. Cette phrase n'etait pas française. Mais bref il trouvait juste ca incroyable et il etait tout excité qu'il y ait des fanarts mais vraiment dans un mood 'oh vous aussi vous aimez mes blorbo !!!' Il est super nice <3)
Bref un an et demi plus tard il y a une sorte de convention specifique a un site de fans de frenchnerd, et Francois est invité mais arrive souvent tard. Pour reconnaitre mon verre, je dessine la tete de Henry et du Visiteur sur le gobelet rouge. Puis je m'eloigne pour aller prendre l'air. Quand je reviens, Francois a vu mon verre et me dit "Au moins ils sont habillés !" en pointant mon verre.
Parce qu'il a reconnu mon style.
Et qu'il se rappelle que je suis la seule personne qui dessine du porn.
JE NE L'AI PAS VU DEPUIS UN AN ET DEMI.
Bref Francois me connais comme la personne qui dessine du cul avec ses persos et c'etait la deuxieme fois de ma vie que je le voyais ✌️ (je n'ai pas de regret car c'est : une immense fierté :D )
C'est absolument insane mdrr françois est vraiment une crème ça m'étonne pas du tout, et se faire reconnaître par son style de dessin c'est vraiment 👌 merci pour l'histoire haha t'es carrément une célébrité !
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fdelopera · 6 days
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Welcome to the 6th installment of 15 Weeks of Phantom, where I post all 68 sections of Le Fantôme de l’Opéra, as they were first printed in Le Gaulois newspaper 115 yeas ago.
In today’s installment, we have Part III of Chapter 2: “La Marguerite Nouvelle” (“The New Marguerite”), as well as Part I of Chapter 3: “Où pour la première fois, MM. Debienne et Poligny donnent, en secret, aux nouveaux directeurs de l’Opéra, MM. Armand Monchardin et Firmin Richard, la véritable et mystérieuse raison de leur départ de l’Académie nationale de musique” (“Where for the First Time, MM. Debienne and Poligny Secretly Give the New Managers of the Opera, MM. Armand Moncharmin and Firmin Richard, the True and Mysterious Reason for Their Departure from the National Academy of Music”).
This section was first printed on Thursday, 30 September 1909.
For anyone following along in David Coward's translation of the First Edition of Phantom of the Opera (either in paperback, or Kindle, or from another vendor -- the ISBN-13 is: 978-0199694570), the text starts at Christine's line, “Perhaps when I'm feeling a little better, if that's all right with you” in Chapter 2 and goes to, “In choosing the ideal valedictory programme they had been advised by everybody who was someone in the world of society and the arts who had now foregathered in the foyer of the corps de ballet” in Chapter 3.
In this section, there are some significant differences between the standard First Edition text and the Gaulois text. This includes several paragraphs' worth of description of why the old managers decided to leave the Opéra. There are some other minor but important passages in the Gaulois text that were omitted from the First Edition, which paint a fuller picture of the events in question:
1) In the Gaulois text, Christine has an extra line in Chapter 2: « Je vous remercie, docteur !… J’ai besoin de rester seule… Allez-vous-en tous ! je vous en prie… laissez-moi… Je suis très nerveuse ce soir… il ne faut pas me contrarier.»
Translation:
"I thank you, doctor!... I need to be alone... All of you go! I beg you ... leave me... I am quite on edge this evening ... you mustn’t argue with me."
2) In this Gaulois text, the following paragraph was added after Erik's line, “The angels wept tonight.” This added paragraph contributes to Leroux's pseudo-journalistic style, and also lets us know how Leroux's narrator found out about what Erik said to Christine after the gala — the conversation was part of what Raoul reported to Faure, the examining magistrate:
— Ton âme est bien belle, mon enfant, reprit la voix grave d'homme et je te remercie. Il n'y a point d'empereur qui ait reçu un pareil cadeau! Les anges ont pleuré ce soir. »
Ces phrases bizarres ont été plus tard rapportées textuellement à M. le juge d'instruction Faure par celui qui les entendit et je ne fais ici que transcrire les feuillets d'un interrogatoire judiciaire qui a été publié, lors de l'affaire de Chagny, dans toute la presse et dont j'ai trouvé une coupure du reste dans les papiers du Persan.
Translation:
“Your soul is very beautiful, my child,” replied the man’s deep voice, “and I thank you. No emperor has ever received such a gift! The angels wept tonight.”
This strange conversation was later related verbatim to the examining magistrate, M. Faure, by he who heard it, and here I have only transcribed the pages of a judicial examination which was published in all the newspapers at the time of the Chagny case, and of which moreover I found a clipping amongst the Persian's documents.
3) The Gaulois text contains the paragraph highlighted in red above, which was omitted from the First Edition. This paragraph describes some of the failures of the previous management run by Debienne and Poligny, which Erik learned about and used to blackmail M. Poligny into giving him 20,000 francs per month. This passage emphasizes that Debienne and Poligny had decided to quit their jobs as managers not only because Erik had made their lives untenable, but also because there had been a public scandal. Long story short, they were cooking the books. Erik happened to know more about this scandal than what was published in the papers, and so rather than risk him getting them into even more trouble, they gave into his blackmail, and then soon after decided to leave the Opéra altogether. I have provided a translation of this paragraph below:
Paris had not forgotten what these two men had done for it during several difficult years where it was not enough to give one's toil and life to a work for it to succeed, but where it was above all necessary, in a time which still suffered from all the hardships of the war, to make the greatest of sacrifices — that of money. On that occasion, M. Debienne showed himself to be so generous with his own fortune, and M. Poligny so profligate with that of others, that for several years the public could be deceived about the prosperity of that noble enterprise. Soon, unpleasant rumors circulated about the wisdom of an administration which, having been as extravagant as it was artistic, found it all the more difficult to make ends meet, as we still say in our vulgar speech. In high quarters, people were shocked; the government found cause to become alarmed, and the Government Commissioner had the audacity and imprudence — encouraged as he was by the Under Secretary of State for Fine Arts — to allude to a situation close to the Managers which was in short in no way desperate, thus regrettable words were exchanged, which made relations difficult between the offices of the National Academy and the Ministry. Each side made life miserable for the other, the "ladies" began to meddle in the affair, and life became intolerable. And above all, because of the substantial commitments made at the beginning of the administration, money became tight. The daily political newspapers became hostile and, making unflattering comparisons, never missed an opportunity to pine for the renowned previous management. In spite of the comforts which were otherwise lavished upon them, MM. Debienne and Poligny were quite disheartened when the flop of the ballet, Endymion, for which they had nevertheless made the greatest of sacrifices, appeared to make them beg for mercy. In fact, three months later, they relinquished their privileges and gave up their place to two figures friendly to the powers that be, MM. Armand Moncharmin and Firmin Richard.
4) Minor differences in punctuation.
Click here to see the entire edition of Le Gaulois from 30 September, 1909. This link brings you to page 3 of the newspaper — Le Fantôme is at the bottom of the page in the feuilleton section. Click on the arrow buttons at the bottom of the screen to turn the pages of the newspaper, and click on the Zoom button at the bottom left to magnify the text.
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saemi-the-writer · 9 months
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Douce Dame Jolie
Mon Secret Santa Kaamlott pour la charmante @zialinart :D
Sur AO3
Bonne lecture !!
La Reine avait seulement souhaité assister au festival de l’Imbolc en toute tranquillité, sans personne pour la pointer du doigt ou se mettre à dos l’espèce d’hystérique qui criait toujours « au bûcher » où que savait-elle d’autre ! Cela restait une fête Gaélique, et avec cette nouvelle religion qui prédominait au pays désormais, cela risquait d’être mal-vu si la Reine y était vue, aussi était-elle allée voir l’enchanteur de Kaamelott en toute discrétion, lui demandant s’il n’avait pas un sort, une potion ou autre chose qui pourrait l’aider. C’était apparemment son jour de chance, car Merlin venait de mettre la main sur un médaillon magique : il changerait la perception des gens qui voient la personne qui le porterait. En gros, elle serait méconnaissable aux yeux du monde sans avoir à se transformer. Afin de vérifier son efficacité, Guenièvre l’avait mit aussitôt autour de son cou et était sortie faire un aller-retour rapide. Elle avait croisé les sires Perceval et Karadoc, qui venaient demander un énième service à Merlin. Ils ne l’avaient pas reconnu, mais s’étaient montrés étonnamment courtois, acceptant de la laisser passer devant eux. Convaincue, la Reine avait remercié le magicien et gardé le bijou pour le festival du 1er février.
Guenièvre avait espéré que les offrandes faites ce soir-là l’aideraient à avoir enfin un enfant, puis elle avait voulu profiter du moment. Elle n’avait pas pu danser ou apprécier de ces airs musicaux depuis des années, Guenièvre s’était donc laissée entraîner. Et c’est là qu’elle l’avait croisé.
Arthur. Son mari. Qui avait marché droit vers elle.
…Guenièvre aurait peut-être dû réaliser que l’avis de Messires Perceval et Karadoc n’était pas des plus fiables !
C’est ce qu’elle s’était dit en voyant Arthur s’approcher d’elle, mais à son grand étonnement, il l’avait invité à danser. A la manière qu’il avait eu de s’adresser à elle, Guenièvre compris vite qu’il ne l’avait pas reconnu. Comme Merlin lui avait dit, la magie du médaillon l’avait empêché de la reconnaître.
Et ce fut comme un rêve, à la fois merveilleux et confus.
Qu’Arthur avait été charmant, qu’elle avait été touchée par de tels égards, cette délicatesse et ce regard tendre ! Guenièvre pouvait enfin mieux comprendre pourquoi tant de jeunes femmes avaient été séduites ! Cependant, une chose demeurait inexplicable : son apparence n’était pas censée être si différente de l’originale. Guenièvre ne s’était pas transformée en beauté Latine, comme le Roi les aimait, alors pourquoi ?
Pourquoi ?...
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Ce n’était pas la première fois qu’Arthur tombait sous le charme du regard d’une jolie dame, et il avait été plus d’une fois déçu de l’aboutissement de ces relations. Et pourtant, il ne pouvait s’empêcher d’espérer. Une partie de lui-même le réprimandait, lui reprochant de ne pas retenir la leçon, mais il l’ignora. Cette femme était différente de celles qui lui avaient tapé dans l’œil jusqu’alors. Elle ne ressemblait à aucune de ses maîtresses, que ce soit le type « Latin » ou le type de silhouette qui l’attirait le plus souvent.
Et ce n’était pas que physique. Lorsque leurs regards s’étaient croisés ce soir-là, ce n’était pas son corps qui avait frissonné, mais son cœur et peut-être même - oserait-il le dire – son âme. C’était comme s’il avait retrouvé quelque chose qu’il avait perdu. Une conviction profonde que cette femme, il l’aimait, et qu’elle l’aimait en retour. Même s’ils ne s’étaient croisés de manière fortuite que quelques fois depuis le mois de février. Après tout, bien des histoires d’amour affirment qu’il suffit d’un regard, au bon moment, au bon endroit, pour que deux êtres sachent qu’ils s’étaient trouvés.
Un bruissement attira son attention, et la Dame apparut. Elle lui sourit timidement, comme toujours, et s’avança vers lui.
“Vous êtes là.“ dit-elle simplement. “Je suis heureuse de vous revoir.“
Une grande douceur se dégageait d’elle et la grâce irradiait dans chacun de ses mouvements. Dans ces moments-là, Arthur trouvait qu’elle avait quelque chose d’irréel, comme si elle allait s’évaporer s’il l’effleurait. Mais il avait bien constaté, au cours de leurs discussions et promenades, qu’elle était bien humaine. Une légère maladresse, ses questions parfois insolites, sa façon de jouer avec le médaillon qu’elle portait lorsqu’elle était nerveuse ou gênée… Cela ne faisait que la rendre plus charmante. Elle était douce et candide, mais elle possédait également un sens de l’observation surprenant et quelques idées audacieuses.
“Je suis heureux de vous revoir aussi.“ lui sourit-il en retour.
Arthur se décala pour lui permettre de s’assoir à ses côtés, ce qu’elle fit avec un empressement qui lui fit chaud au cœur.
Même si leur discussion du jour resta relativement triviale, Arthur souhaita que cet instant dure éternellement. Sa Douce essayait d’écrire un poème, ou une chanson, et bien qu’elle mette du cœur à l’ouvrage, sa prose laissait à désirer ! La chanson « Douce Dame Jolie » semblait avoir été écrite pour elle, il regrettait ne pas l’avoir écrite et composée lui-même pour la lui offrir. Enfin, aurait-il été plus apte à l’aider ! Les deux rirent ensemble de leurs diverses tentatives, car Arthur lui-même ne trouvait pas toujours le mot juste. En revanche, leurs voix s’accordaient très bien.
Peut-être était-ce une douce illusion, mais Arthur avait l’impression, une fois encore, qu’il avait trouvé son âme sœur.
“Vous reverrai-je bientôt ?“ demanda-t-il alors qu’il s’apprêtait à rentrer, espérant qu’elle le retiendrait.
“Je l’espère !“
Si cela avait été quelqu’un d’autre, le Roi aurait douté de la sincérité de ces trois mots. Mais pas avec elle. L’émotion dans sa voix et ses yeux ne mentaient pas.
“Et votre nom ?“
Le visage de la douce dame s’imprégna de tristesse, elle regarda au loin un instant avant de secouer la tête. Il fut surpris de voir une pointe d’espièglerie dans son expression avant qu’elle ne dise :
“Anam Cara.“
Après cette déclaration, elle s’approcha de lui et déposa un baiser au coin de ses lèvres avant de filer. Arthur n’aurait pas pu lui courir après, de toute façon, il était complètement envoûté. Arthur avait enfin un nom, un indice.
Anam Cara.
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Les yeux de Guenièvre se remplirent des larmes alors qu’elle observait le médaillon entre ses mains. Elle caressa du pouce le petit âne au centre de la roue en se demandant, une nouvelle fois, si elle ne devrait pas s’arrêter là. Elle se faisait du mal.
Arthur était tellement plus chaleureux et patient avec elle quand elle portait ce médaillon, elle souhaitait de tout cœur que les choses soient toujours ainsi. C’étaient comme de doux rêves, mais le réveil devenait de plus en plus rude. A chaque repas partagé, les soirs où son époux venait la rejoindre dans leur couche, sa froideur et son exaspération la frappaient plus violemment qu’auparavant. Guenièvre et l’inconnue était une seule et même personne ! Elle n’agissait pas différemment avec ce médaillon, elle restait fidèle à elle-même ! Il semblait qu’Arthur lui en voulait pour quelque chose, qu’il ne lui avait pas pardonné et qu’il lui faisait continuellement payer… Mais quoi ?! Qu’avait-elle fait pour mériter un tel traitement ? Pourquoi Arthur méprisait-il « Guenièvre » mais adorait « l’inconnue » ?
La Reine essuya ses larmes d’un revers de main avec un soupir. Il était de toute façon impossible de revenir en arrière. Elle pouvait encore changer le cours de choses avant que cela ne dérape, mais… Guenièvre voulait profiter encore un peu de ces quelques doux échanges avec son époux. Ses yeux se posèrent sur le poème qu’elle tentait d’écrire et son cœur se serra à nouveau. Guenièvre aurait tant donné pour que son époux soit à ses côtés, pour l’aider comme il l’avait fait quelques jours plus tôt ! Alors qu’un énième soupir lui échappait des lèvres, elle entendit un reniflement dans son dos.
“C’est magnifique, Majesté !“ sanglota Bohort.
Guenièvre poussa un petit cri en se retournant, faisant sursauter et crier le chevalier en même temps.
“Seigneur Bohort ! Vous m’avez fait peur !“
“Pardonnez-moi, ma Reine, mais vous ne répondiez pas à mon appel ! Aussi me suis-je permis d’entrer !“
“Et de lire par-dessus mon épaule ?“ Guenièvre grommela dans sa barbe en se couchant à moitié sur son pupitre, pour cacher son travail inachevé. “Vous êtes bien gentil, mais à quoi bon me flatter comme ça ! Je ne suis vraiment pas douée…“
“Permettez, votre Altesse ! Je ne fais que dire la vérité !“ Bohort semblait presque offusqué qu’elle pense autrement. “Les derniers vers ont certes besoin d’être un peu retravaillés pour rimer, mais les sentiments qu’ils dégagent n’en sont pas amoindri dans l’émotion qu’ils dégagent !“
Guenièvre cligna des yeux, surprise.
“Vous trouvez ?“ demanda-t-elle, hésitante.
“Oh oui !“ sourit le chevalier, les mains jointes sur son cœur. “Je peux sentir tout l’amour et la langueur dans les mots que vous avez écrit !“
La Reine se redressa doucement pour jeter un coup d’œil à son ébauche. Elle pouvait croire le Seigneur Bohort, mais d’un autre côté, ce dernier avait toujours été très… sensible. Guenièvre n’était pas sure que tous en dirait autant.
“Serait-ce votre cadeau pour le Roi Arthur ?“ le sourire de Bohort s’élargit. “ Il est vrai que son anniversaire est le mois prochain !“
Guenièvre sentit la gêne l’envahir, elle avait failli oublié l’anniversaire de son époux ! Elle avait été tellement déçue les fois où son anniversaire à elle avait été oublié par ce dernier, elle ne pouvait pas se permettre de faire pareil !
“A vrai dire, non.“ Avoua-t-elle, jouant nerveusement avec sa longue tresse. “Mais j’essayais… j’espérais pouvoir lui dire d’une jolie façon ce que je ressentais pour lui.“
Elle n’osa pas regarder Bohort dans les yeux, aussi fut-elle surprise quand ce dernier lui proposa de l’aider.
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“Votre Altesse ?“
Arthur détourna son attention de Perceval, ravi d’avoir un léger répit au cours de longues explications (oui Perceval, les frondes jettent des cailloux, mais non, elles ne peuvent pas remplacer les catapultes !!). C’était Calogrenant.
“J’ai entendu dire que vous étiez à la recherche de quelqu’un ?“ lui demanda le Calédonien. “C’est urgent ?“
“Urgent non, important, pour moi personnellement. Rien de grave.“ précisa le Roi. “Pourquoi cette question ?“
“Ah, parce que j’avais cru entendre que le nom était Anam Cara.“ Calogrenant haussa les épaules. “Et si c’était le cas…“
“Vous la connaissez ?“ Arthur bondit de son siège. Les deux chevaliers sursautèrent et le regardèrent d’un air perplexe.
Calogrenant sembla plus que gêné, laissant un long « heuu… » résonner dans la pièce avant de reprendre.
“Navré, Sire. Mais Anam Cara n’est pas un nom.“ révéla-t-il, ce qui glaça le sang d’Arthur. “C’est du Gaélique ancien, ça veut dire âme sœur.“
Les jambes du Roi allait se dérober, de désespoir et de trahison, quand la voix de Perceval transperça, tel un rayon de soleil, la brume qui commençait à envahir son esprit.
“C’est joli ! ça veut donc dire qu’elle vous aime comme un frère de toute son âme, Sire !“
Perceval ne savait évidemment pas ce que signifiait le terme « âme sœur », mais la vérité de ses paroles réchauffèrent le cœur du Roi.
Son âme sœur.
Il aurait dû rire, ou s’énerver… Alors pourquoi ce sentiment d’euphorie ? Arthur sentit presque des ailes lui pousser alors qu’il laissait derrière lui les deux chevaliers, ne remarquant pas leur regard interloqué en l’entendant fredonner « Je vivroie liement ».
Alors qu’il se dirigeait vers le jardin, il croisa sa femme. Sans réfléchir, Arthur lui saisit la main et la fit tournoyer joyeusement. L’expression d’agréable surprise sur le visage de Guenièvre l’amusa, il lui offrit un dernier sourire avant de partir.
“A ce soir, mon amie.“
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“Moi aussi, je vous aime.“
La Dame tressaillit, puis un frisson lui parcourut tout le corps. Elle porta une main à ses lèvres et recula d’un pas.
“Mais vous… pourquoi ?!“
Arthur perdit son sourire. Ce n’était pas du tout la réaction à laquelle il s’était attendu.
“Je ne peux pas le croire !“ s’écria-t-elle en secouant la tête. “Comment pouvez-vous m’aimer ?“
“Comment ?“ souffla-t-il, perdu. “Mais il n’y a pas de raison particulièrement logique ! Et pourquoi ne pourrais-je pas vous aimer ?“
“Parce que je suis mariée ! Tout comme vous l’êtes ! Mais si vous, vous pouvez vous permettre de collectionner les conquêtes, pour moi, une seule amourette avec un autre est vu comme une trahison aux yeux de tous!“ vitupéra-t-elle, le pointant du doigt rageusement. “Et votre femme ? Avez-vous jamais pensé à ce qu’elle pouvait ressentir ?! Et si elle, elle voulait aller voir ailleurs, vous accepteriez de la laisser faire?“
En entendant le mot « mariée », il avait cru sentir le sol se dérober sous ses pieds, cette éternelle blessure le relança. Pourtant, les paroles suivantes le figèrent d’une plus grande stupeur.
“La seule raison pour laquelle vous me courtisez avec tant de passion, c’est parce que je ne suis pas Guenièvre ! Vous êtes exactement comme mon mari !“ continua-t-elle, ses yeux se remplissant de larmes. “ Du moment que ce n’est pas votre femme, elles méritent votre admiration et elles y passent toutes ! Je suis sure que vous ne savez rien d’elle ! Vous vous en fichez d’elle, mais elle doit bien rester sagement à sa place ! Comme si j’étais… comme si elle était une chaise ! Vous passez votre temps à vous languir dans votre coin, à jouer les bourreaux de cœurs pour vous consolez, ou vous prouvez à vous-même quelque chose ou je ne sais quoi ! Mais nous ne sommes pas des meubles à la con ! Nous aussi, on a le droit d’être respectées, d’êtres aimées pour qui on est vraiment !“
Son visage, habituellement si blanc, était à présent rouge et inondé de larmes. Elle s’arrêta, tentant de reprendre son souffle. Arthur tendit la main vers elle, souhaitant sécher ses pleurs, la rassurer… mais elle se retourna et prit ses jambes à son cou.
“Attendez !“ s’écria-t-il.
Il ne voulait pas la perdre ! Aussi confus et blessé soit-il par ses paroles lancinantes. Arthur s’élança à sa suite, mais elle avait disparu. Elle n’avait pas pu aller bien loin, peut-être s’était-elle cachée parmi les bosquets… Un reniflement attira son attention et il se hâte dans sa direction. Il cru reconnaître la silhouette de la jeune femme, et écarta les branches sur sa route. Arthur s’apprêtait à l’appeler quand il réalisa qui se cachait là.
Guenièvre. Son épouse.
Elle releva les yeux vers lui et fronça les sourcils. D’un air digne qu’il ne lui connaissait pas, elle se redressa.
“Ce soir, vous dormirez chez l’une de vos maîtresses.“ déclara-t-elle sèchement, le faisant tressaillir.
Après l’avoir foudroyé du regard une dernière fois, Guenièvre passa à côté de lui et se dirigea vers le château. Sans comprendre pourquoi, ni ce qu’il attendait, Arthur la regarda partir.
Pas une seule fois elle se retourna.
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Dire que le Roi était de mauvaise humeur au cours de la matinée et du déjeuner aurait été un euphémisme. Avec ce qu’il s’était passé la veille, il avait très mal dormi, et lorsque la Dame du Lac lui était apparu en pleine nuit lors de sa promenade nocturne, c’était pour lui lancer des piques incompréhensibles.
“Vous êtes tellement préoccupé à rêver d’un lointain, vieux lac asséché que vous ne voyez pas celui qui est à deux pas de vous, magnifique et clair ! Pire, vous vous jetez sur les premières gourdes venues pour étancher votre soif !“
Arthur maugréa dans sa barbe avant de passer ses nerfs sur sa nourriture. Il leva les yeux vers sa femme, mais dès que leur regard se croisèrent, Guenièvre détourna la tête pour se resservir. Elle le battait encore froid, ce qui n’avait aucun sens non plus. Elle n’avait jamais fait de scènes au sujet de ses maîtresses auparavant !
“Aujourd’hui, j’ai fait de la tarte !“ annonça Séli, le tirant effroyablement de ses réflexions.
“Oh non ! Mais qu’est-ce qu’on vous a fait ?!“ rouspéta Léodagan.
“La barbe !“ répliqua-t-elle avec un regard noir pour son mari. “C’est Guenièvre qui m’en a demandé une ! Je ne pouvais pas refuser ça à ma fille !“
Arthur, Léodagan et Yvain tournèrent la tête en même temps vers la dénommée, plus abasourdis les uns que les autres. Guenièvre les ignora tandis que Séli présentait fièrement l’abomination qu’elle appelait « une tarte ».
“Elle a l’air très réussie, Mère !“ sourit la Reine, apparemment ravie. “Quels fruits avez-vous choisi, cette fois ?“
“Je voulais en faire une aux fraises, mais comme ce n’est pas la saison, j’ai fait un mélange de fruits !“
“Mais c’est un cauchemar !“ marmonna Léodagan, peu discret. “Ma fille, si vous vouliez une tarte de votre mère, c’est votre droit, mais vous n’étiez pas obligée de la partager avec nous !“
“Oh, mais je ne compte pas la partager !“ tous regardèrent Guenièvre interloqués, celle-ci saisit le plat et le tendit à Arthur. “C’est une petite attention pour mon mari !“
Il y eu comme un flottement dans la salle, Arthur fixa longuement la tarte en silence avant de relever les yeux sur son épouse.
“Vous m’en voulez à ce point ?“ finit-il par demander.
La question eut à peine franchi ses lèvres qu’il se prit la tarte en pleine figure.
“OUI !“
Guenièvre quitta la table et sortit en claquant la porte derrière elle. Lorsqu’Arthur réussit à retirer suffisamment de mélasse de ses yeux, le visage à la fois dépité et choqué de sa belle-mère ainsi que la tête de con (pour changer) que faisait Yvain lui apparurent. Il préféra ne rien dire et continua de se nettoyer le visage, il en oublia presque son beau-père, qui frappa dans ses mains avec un air ému.
“C’est ma fifille !“
D’un côté, Guenièvre savait qu’elle était déraisonnable, mais d’un autre, elle estimait qu’elle avait assez pris dans la figure. C’était bien son droit de lui en coller en retour, non ?
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“Marre d’encaisser sa mauvaise humeur et ses railleries, pendant que d’autres profitent de ses mots doux !“ grogna-t-elle en enroulant les parchemins de ses ébauches de poèmes. “C’est ça être une épouse ? Tous les mauvais côté du mari, ses crises, sa mauvaise odeur et tout le bataclan c’est pour ma pomme, et pour les maîtresses, c’est le beurre, l’argent du beurre et le sourire du crémier ? Ha ! Si j’avais su, j’aurais dit à mon père qu’il pouvait se brosser pour le mariage ! S’il y tenait tant, il n’avait qu’à l’épouser lui-même ! Non mais ho ! Pourquoi c’est à moi de gérer ces conneries ?!“
Elle termina sa pile par le poème qu’elle avait réussi à écrire avec l’aide d’Arthur et Bohort. La Reine saisit la boîte dans laquelle elle avait laissé le médaillon et se rendit d’un pas rageur au laboratoire de Merlin. Avec humeur, elle lui rendit le bijou et laissa la pile de parchemin sur son plan de travail, le remerciant plus sèchement qu’elle n’aurait voulu le faire. Ne voulant pas s’attarder plus que nécessaire, Guenièvre tourna les talons promptement et sortit.
“Mais qu’est-ce que voulez que je fasse de tout ça ?!“ cria l’enchanteur en désignant les parchemins alors qu’elle s’apprêtait à fermer la porte derrière elle.
“Donnez-les à manger aux chèvres ou mettez-les au feu ! Qu’est-ce que ça peut faire ?!“ rétorqua-t-elle. “Ce sera toujours mieux que de voir mon mari se torcher avec !!“
Elle entendit un vague « hein ?? » avant le claquement de la porte. Guenièvre pouvait déjà sentir la honte monter en elle, elle se sentait coupable de se défouler sur le pauvre Merlin qui lui avait pourtant rendu service. Toutefois, ces sentiments s’évaporèrent à la vue du Roi. Ce dernier la regardait d’un air qu’elle ne pouvait décrire, et qu’elle ne souhaitait de toute façon pas décrypter dans l’immédiat. Qu’il soit surpris, contrarié ou autre, elle s’en moquait éperdument ! Avec un mouvement de tête qu’elle avait vu sa mère faire de nombreuses fois, Guenièvre passa à côté de lui avec un « humpf ! » bien placé.
“Vous n’avez vraiment rien à me dire ?“
“Je ne crois pas, non.“
Guenièvre sursauta quand la main d’Arthur l’agrippa, la retenant avec force.
“Je peux savoir quelle mouche vous a piqué ?“
Oh ! Le mufle !!
“La mouche j’en-ai-marre-d’être-prise-pour-une-conne-maintenant-fichez-moi-la-paix !“ rétorqua-t-elle en essayant de se défaire de son emprise. “Ah, et au fait !“ Guenièvre rassembla toute sa hargne pour imiter du mieux qu’elle le pouvait sa mère lorsque celle-ci remettait son père à sa place, puis elle déclara : “Inutile de revenir dans ma couche cette semaine. Faites-moi de l’air !“
“Pardon ?!“ l’air atterré d’Arthur l’aurait fait rire dans d’autre circonstances, mais là, elle se délectait de lui avoir couper le sifflet. “Mais vous ne pouvez pas faire ça ! Vous allez verrouiller la porte de la chambre aussi, pendant que vous y êtes ?!“
“Maintenant que vous le dites…“
“Hé, dites !“ les interrompis Merlin d’un ton impatient. “Si vous pouviez me laisser en dehors de vos disputes de couple ! Et puis mon laboratoire n’est pas un dépotoir, alors reprenez-moi tout ça, j’vous prie !“
Guenièvre écarquilla les yeux avec horreur alors que l’enchanteur lui repassait tous les parchemins. L’un de ses poignets étant toujours serré dans la main de son époux, une partie d’entre eux lui échappèrent et tombèrent par terre, se déroulant au passage. Réussissant enfin à se dégager, elle se dépêcha de les ramasser. Mais sa hâte la rendait fébrile, ses mains tremblaient, ce qui ne l’aida pas dans sa tâche. Elle était tellement concentrée et affolée qu’elle n’entendait plus rien, elle voulait juste récupérer ces fichus peaux d’ânes sans qu’Arthur ne découvre ce qu’elle y avait écrit.
Ce n’est quand se redressant que Guenièvre réalisa qu’il était trop tard.
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Arthur avait attrapé au vol le premier parchemin qui avait volé vers lui, ne souhaitant pas se reprendre quoique ce soit de plus dans la figure aujourd’hui. Et en voyant sa femme s’activer pour tout ramasser, sa curiosité fut piquée. Guenièvre lui avait collé une tarte au déjeuner, au sens littéral du terme, il pouvait bien se permettre d’être curieux, non ?
Son sang ne fit qu’un tour en reconnaissant les mots inscrits.
Pourquoi ? Comment sa femme pouvait-elle… ?
Le poème avait deux strophes qu’il ne connaissait pas, mais c’était celui de sa Dame !
Arthur observa un instant Guenièvre, qui essayait tant bien que mal de rassembler les autres morceaux de vélin, puis se tourna vers Merlin. Il l’interpela et lui demanda ce qu’il se passait.
“A vous de me le dire !“ lui répondit-il en haussant les épaules. “Votre femme vient me rendre un médaillon que je lui avais prêté pour qu’elle puisse circuler incognito, et elle me refile tout son bazar au passage !“
“Quel médaillon ? Et puis pourquoi pour « circuler incognito » ?!“
“Un médaillon de métamorphose, elle voulait aller au festival de l’Imbolc sans être reconnue.“
C’était comme recevoir la réponse d’une énigme que l’on essayait de résoudre depuis des lustres. D’abord la stupéfaction, puis tout se met en place et la logique, l’évidence nous saute aux yeux et on se sent très con.
Arthur regarda Guenièvre et eut l’impression de la voir pour la première fois. Quand il plongea ses yeux dans les siens, il se demanda comment il n’avait pas pu la reconnaître. Ou plutôt : comment la douceur de son regard et sa beauté lui avaient-elles échappées pendant toutes ses années ?
“Vous êtes tellement préoccupé à rêver d’un lointain, vieux lac asséché que vous ne voyez pas celui qui est à deux pas de vous, magnifique et clair !
Les paroles de la Dame du Lac prenaient tout leur sens à présent, aussi vexantes soient-elles.
“C’était vous !“
Avant qu’il ne puisse dire ou faire autre chose, Guenièvre souleva les pas de sa robe et détala. Pendant quelques secondes, Arthur revit Aconia puis l’inconnue partir semblablement.
“AH NON ! PAS CETTE FOIS !!“ cria-t-il en s’élançant à sa poursuite.
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“Bon, ben moi je retourne bosser.“ marmonna Merlin en faisant demi-tour, reconnaissant d’être resté célibataire.
Les histoires de couples, ce n’était vraiment pas son truc !
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Pour quelqu’un qui n’avait aucun entraînement et qui se trimballait avec une tenue aussi lourde et encombrante, Guenièvre courrait fichtrement vite ! Et elle n’arrêtait pas de zigzaguer et tourner autour de tout ce qui se trouvait sur leur chemin : arbre, buisson, rocher… Arthur peinait à la suivre.
“Mais arrêtez-vous !“ lui cria-t-il. “Je n’vais pas vous manger !!“
“C’est ce que vous dites !“ s’exclama-t-elle en retour, jetant un bref coup d’œil en sa direction.
Presque à bout de souffle, Arthur décida de tenter le tout pour le tout. Il accéléra et se jeta sur elle, la saisissant à la taille. Guenièvre glapit en perdant l’équilibre et les deux tombèrent, emportés par l’élan qu’il avait pris, ils roulèrent quelques instants. Allongés sur le côté, Arthur tenant sa femme par la taille et refusant de la lâcher, ils reprirent tant bien que mal leur souffle.
“Pourquoi vous ne m’avez rien dit ?“ au point où ils en étaient, autant poser la question maintenant !
“Pourquoi ? A votre avis ?“ souffla Guenièvre, les yeux embués de larmes. “Vous ne cessez de me traiter comme une casse-pied ! Alors pour une fois que vous étiez courtois envers moi, je voulais profiter du moment ! Et vous avez commencé à sortir le grand jeu, espèce de bourreau des cœurs ! Evidemment que je ne voulais pas que tout s’arrête trop vite !“
La honte envahit Arthur, il ne pouvait même pas la contredire. Ce serait mentir.
“Et vous, pourquoi vous me détestez autant ? Qu’est-ce que je vous ai fait ?“
“Je ne vous déteste pas ! Jamais ! C’est juste que… c’est compliqué.“ soupira Arthur. “J’ai été stupide et aveugle, et j’ai passé ma colère sur vous parce que notre mariage a… disons « contribué » à perdre une femme que j’ai aimé, qui me hante encore à ce jour.“
“Et c’était plus simple de vous défouler sur moi que sur mon père, j’imagine.“ fit remarquer Guenièvre, un peu sèchement. “Ce sont mes parents qui ont exigé ce mariage, pas moi. J’ai juste eu de la chance de ne pas avoir d’amoureux quand c’est arrivé. Ni vous, ni mes propres parents ne m’ont laissé une chance. Que ce soit en tant qu’épouse ou que Reine, vous n’attendez rien de moi, je suis juste reléguée à rester dans un coin bien gentiment et faire la potiche.“
“C’est vrai. Vous avez raison.“ Arthur regarda une nouvelle fois son épouse dans les yeux, doucement, il porta une main à son visage et lui caressa le visage. “Je suis sincèrement désolé.“
“Je sais que je ne suis pas très brillante, mais… Est-ce que ça vous écorcherait d’être un peu plus gentil et patient avec moi ?“
“Euh, à ce sujet, pour ma défense, je me dois de préciser que j’ai affaires à des abrutis qui m’assomment avec leurs questions. Donc ce n’est pas qu’avec vous qu’il m’arrive d’être cinglant.“
“Pourquoi ne me laissez-vous pas vous aider alors ?“ demanda-t-elle. “Si cela ne peut vous soulagez ne serait-ce qu’un peu, je pourrais apprendre à gérer certaines affaires !“
Un court silence suivit cette affirmation. Arthur voulait bien donner une chance à Guenièvre, elle faisait preuve de bonne volonté et il avait découvert qu’avec de la patience et des encouragements, elle était bien plus ingénieuse qu’il ne l’avait cru. Elle serait bien capable de remplir son rôle de Reine. D’un autre côté, elle était inexpérimentée et vulnérable, certains ne feraient qu’une bouchée d’elle !
“Peut-être… peut-être que vous pourriez vous occuper de la prochaine séance de doléances avec les Seigneurs Lancelot et Bohort.“ proposa-t-il, ainsi elle serait bien accompagnée et protégée. “Si cela vous va-“
“Oui ! Je vous en prie !“
Guenièvre s’était redressée en joignant ses deux main, comme pour prier, et le regardait d’un air suppliant. Il pouvait difficilement lui refuser quoique ce soit ainsi.
“Très bien, accordé.“ Arthur se redressa à son tour, et fronça légèrement les sourcils. “Comment on en est venu à parler de ça, au fait ?“
Les deux se regardèrent en silence. Chacun remarqua dans quel état son conjoint se trouvait : couvert de terre, traces d’herbe ; les cheveux en pagaille et empli de brindilles. Guenièvre eut un rire bref avant de retirer une branche de la chevelure de son mari.
“Je vous aime, Arthur.“ affirma-t-elle. “Je ne pourrais jamais remplacer celle que vous avez perdu, et j’en suis désolée. Mais peut-être pourrions-nous… être au moins bons amis ?“
L’émotion serra le cœur d’Arthur, un peu plus, et les larmes lui seraient montés aux yeux.
“Je ne veux pas vous faire de fausse promesse.“ avoua-t-il. “Mais aussi bizarre que cela puisse paraître, votre médaillon à lever le voile devant mes yeux lorsque je vous regardais. Il me faudra peut-être encore un peu de temps, mais je crois… Non, je sais que je pourrais vous aimer en retour.“
Malgré ce qu’il venait d’affirmer, ces mots furent comme un pacte. Un pacte qu’il scellèrent d’un baiser.
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“Je vous dis que le futur héritier est en route, cette fois-ci ! Vous avez bien vu dans quel état ils sont rentrés tous les deux ! Si ce n’est pas dû à des galipettes dans l’herbe, je veux bien être changée en chèvre !!“
“Chèvre ou pas, passez-moi la prochaine fournée ! Il faut que tout soit prêt pour demain matin !“
“Mais ça va ! Et pourquoi voulez-vous autant de tartes pour demain matin ? On va y passer la nuit !“
“Guenièvre participe à la séance de doléances, il faut qu’elle ait de quoi lancer sur les gros pécores qu’elle va recevoir !“
“………mais c’est moi qui vais vous en coller des tartes !! PIGNOUF !!!“
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unemenestrelle · 1 year
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Projet Oasis Springs par Menestrelle 🌵
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Projet Oasis Springs 🌵 En Décembre 2022, j'ai décidé de tenter de rénover Oasis Springs et c'est désormais chose faite! Seule cette map est rénovée pour le moment, je mettrai à jour le fichier de sauvegarde lorsque d'autres mondes auront été rénovés.
Les terrains 🌵 La rénovation comprend 2 maisons à vendre, 2 terrains de location et les 7 lieux communautaires suivant - Une piscine - Une salle de sport - Un restaurant - Un magasin - Un bar à cocktails - Un parc - Une clinique vétérinaire Les foyers 🌵 28 Sims vivent à Oasis Springs, ils ont tous une histoire, une carrière, des points de compétences, des relations etc. Certains appartiennent même à des groupes. Les bases sont posées pour chacun d'eux et c'est à vous de voir quels chemins vous souhaitez leur faire prendre.
Les packs nécessaires 🌵 J'ai utilisé tout le contenu additionnel que j'ai en ma possession. Il est donc conseillé d'avoir tous les packs jusqu'à Grandir Ensemble inclus.
Mods et CC 🌵 J'ai utilisé plusieurs mods pour réaliser cette sauvegarde mais ils ne sont pas nécessaires au bon fonctionnement de celle-ci après téléchargement. Par contre les Sims ont tous des CC de peaux et d'yeux par défaut. Certains ont des petits CC en plus, si vous souhaitez tout avoir, tout les liens des CC sont sur ce Tumblr!
Téléchargement 🌵 Si vous utilisez ma sauvegarde, n'hésitez pas à me mentionner sur vos réseaux pour que je suis suivre l'évolution de mes petits Sims et de la ville ! Télécharger la save en cliquant ICI
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barbe-noire-rpg · 5 months
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Coup de gueule pas (trop) méchant.
Parlons sexe et rp. S'il-vous-plait les ami.e.s... La discrimination envers les personnages séropositifs, en 2024, ça ne devrait pas passer.
Même pour une relation amoureuse.
Même dans un contexte X où le personnage n'a pas accès à autant de médication qu'aujourd'hui. Parce qu'il y a des millions de façons de bien vivre avec sa séroposivité, de facon responsable, respectueuse tout en ayant une vie normale.
La sexualité, déjà, c'est tellement plus que la pénétration. Même entre gars.
C'est complètement correct de prévenir que vous ne faîtes aucun hot. Je suis 200% avec vous.
Mais dire tout de suite, sans même avoir lu une fiche qu'il n'y aura pas de sexe PARCE QUE le perso est séropositif? Là, c'est moi qui se trompe ou c'est un autre discours?
Surtout qu'on est en rp... Votre personnage ne sera pas infecté si vous ne voulez pas qu'il soit infecté. Même si peut-être que logiquement que, parce que ça, parce que si alors.... Non. Il ne sera pas infecté. C'est de la fiction. Vous avez le contrôle et parce que les gens porteurs du VIH et qui le savent font attention. Parce qu'il y a un respect pour son partenaire. Parce qu'il y a une prudence et parce que la personne infectée ne s'amuse pas à donner son virus comme ça. Le but, ce n'est pas ça. Les gens séropositifs ont le droit à une vie amoureuse et sexuelle. Oui, oui, même sexuelle. Et je veux dire... je sais pas. Je ne trouve pas ça correct de décréter, comme ça, qu'une personne séro ne devrait pas avoir de vie sexuelle. Même en fiction. Même dans un contexte X, Y ou Z sans même prendre le temps de s'informer et de discuter. Le but n'est pas de viser personne mais d'en parler ouvertement pour dire que oui, il faut faire attention, c'est tout. Et si une personne a eu ce reflexe, d'autres l'auront sans doute.
Honnêtement, les am.i.e.s. Faîtes simplement attention aux préjugés que vous véhiculez. C'est tout ok?
Coeur sur vous.
Pour plus d'infos :
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dazeofcoral · 3 months
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ça va partir dans trois milles directions là parce que j'ai les nerfs à vif et 10 000 choses à dire sur le sujet... on va se plaindre qu'il n'y a plus assez de personnages hétéros sur les forums... vous êtes sérieux....
on va pas se mentir parce que j'aime rester sincère dans mes publications, c'est vrai sur certains forums c'est limite impossible de trouver un lien love si on fait un perso hétéro, t'as même des forums ou c'est mal vu /non je plaisante pas, j'aimerais bien pourtant parce que peace and love accepter tout le monde c'est aussi les hétéro, n'en déplaise à certains être hétéro c'est pas être fermé d'esprit c'est seulement avoir une préférence, soit /
mais de là à en faire un CDG ouin ouin il y a trop de gay et à lancer des débats sur les serveurs discord ? :OO: c'est quoi qui est trop difficile, cliquer deux fois sur présentation => fiches validées => puis sur plusieurs fiches, de quoi se faire une idée? non parce que c'est ce que font les gens intelligents et si tu vois 15 fiches de présentation et pas un seul perso qui pourrait potentiellement se mettre en couple avec un perso hétéro, va voir ailleurs ou accepte de te lancer et de pas faire tourner ton personnage autour d'un lien love, à croire qu'on sait pas vivre sans ou le temps qui faut pour trouver un partenaire rp pour le jouer, sérieux en passant ; je suis pan et j'ai eu des relations avec des hétéros, on y est pas allergique leul. va falloir revoir la def de pan je pense pour certains, on doit vous passer des liens ? :/oo\:
je cite une autre connerie que j'ai lu il y dix minutes : "tout le monde joue des gay on sait plus se trouver un mec pour son personnage féminin" :/\: / =>> c'est grave qu'en plus ce soit que les personnages masculins qui sont visés. comme par hasard tiens ! ces même joueuses qui sont en train de se plaindre et qui sont les premières à faire des perso hommes pan/bi qui sont jamais mais alors j-a-m-a-i-s en couple avec une femme ? et quand il y a une ex c'est pour construire un drama de la femme outrée et qui a une dent contre le mec qui l'a laché pour un autre mec? ces mêmes joueuses qui se plaignent que leur personnage féminin trouve pas de mec loooool? et vous pensez pas faire partie du problème là ? ah non pardon, vous au moins votre perso il est pas /que/ gay. vous jouez pas /que/ des gay. sur papier, pour un peu mettre de /diversité/ et pouvoir pointer du doigts ceux qui jouent des perso 100% gay, parce qu'en pratique on vous voit jouer des perso 100% gay aussi LEUL zéro représentation pendant des décennies et maintenant ça vous plaît pas d'en voir partout, pour citer une autre belle andouille sur un serveur discord. vous inquiétez pas hein, si c'est ce que vous pensez on veut pas de vous sur nos forums trop /gay/ à votre goût.
restez loin, très loin.
et éduquez vous aussi, parce que j'ai vu de ces conneries sur un discord je me suis demandé.e d'où sont sortit ces cas du 19ème siècle je précise que j'emploie presque uniquement le terme /gay/ parce qu'à priori après avoir lu une heure des conversations à gerber là dessus sur discord je me rends compte que la commu rp ne comprends que ce terme là, à les lire les pan on couche avec tout le monde bah bah bah, les bi c'est des indécis lol lol lol et tous les autres termes ils connaissent pas vraiment, c'est mis pour faire stylé d'après certaines. chouette on se casse les bourses pour faire des perso nuancés ou s'autoriser de jouer un perso à notre image et non non on fait ça que pour se faire remarquer LEUL je vais gerber et rester loin de l'écran pendant trois jours, merci, à part ça on doit se sentir safe dans la commu rp j'aimerais bien savoir où vous voulez que les gens se sentent safe !
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