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#;je ne sais queue
maggiecheungs · 2 years
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ISABELLE ADJANI in POSSESSION (1981) dir. Andrzej Żuławski
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hecho-a-mano · 1 year
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she has that frank n furter je ne sais quoi
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roosterbox · 2 years
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Every now and then, the tumblr app buckles, and my queue turns into a Picasso painting of random dates. This thing was scheduled for Friday? Nope, it’s on Monday, motherfucker! Oh, for the 10th? Try the 18th! I had to throw one of my future posts into drafts instead because it was warping the entire queue around it, lmao.
I think? I think that it’s just a glitch in how I’m seeing it. That everything will still post normally no matter how it looks. But still - seeing the scheduling dates suddenly skip over like ten days worth of posts never fails to be a little worrisome.
Of course, I could mitigate this by having a smaller queue, but nah. If they didn’t want me to test their limits, they wouldn’t have had them in place to begin with.
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rayclubs · 1 year
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I think Spy doesn't care about his being French all that much, maybe even moderately dislikes some of the stereotypes, but I also think he would use his French je ne sais quoi to get out of situations he doesn't like.
"A queue? Ah, but I can't possibly wait that long! It's my French restlessness, you know?"
"Wash the dishes? Alas, but with my French squeamishness, I would simply rather die!"
"A whore? Non, it is merely my French amicability!"
He'd say it with a straight face, too. People would believe him, even. It's his French credibility.
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lacesconfidences · 1 month
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Il faut souffrir pour être une fille !
Ma sœur était plus attirée par les filles que par les garçons. Sa première chérie s'appelait Christine, c'était une rousse mignonne et très féminine. Elle avait 16 ans et était la fille d'une esthéticienne divorcée. Elle logeait au dessus de l'institut de sa mère. Nous formions Christine, ma sœur et moi un drôle de trio de gourmandes de plaisirs. Cela a duré un peu plus de deux ans, jusqu'à mon entrée à l'Université. Tous les samedis après-midi et quelquefois en semaine, nous nous retrouvions dans la chambre de Christine qui était devenue notre salle de jeux. Christine n'était pas en reste et le fait qu'elle vive seule avec sa mère lui a donné beaucoup d'avance côté sexe. Après mes premiers essayages de fille chez Christine, et avant de découvrir le plaisir féminin de me faire prendre par un tampon puis un merveilleux vibro, mes deux complices ont voulu me débarrasser de mes poils disgracieux… Ma sœur y était déjà passée, sauf son minou et c'était très simple car Christine empruntait le matériel de sa mère à l'Institut et s'exerçait sur elle. Un après-midi, ma sœur et sa chérie ne se sont pas caressées comme à leur habitude. Elles ont comploté en messes bases… Elisabeth m'a demandé de me mettre en culotte pendant que Christine descendait à l'Institut. Elle est remontée avec un truc à cire chaude, des bandes et un rasoir électrique. Elle m'a dit : C'est pas beau une fille avec des poils, on va s'occuper de toi ! Elles ont mis une serviette éponge sur le lit et m'ont demandé de m'allonger sur le dos. Christine a appliqué de la cire sur mes jambes, c'était chaud et agréable. Elisabeth a pressé des bandes sur la cire… Et ensuite, je ne sais plus laquelle des deux a arraché la première bande 🤐🥴😭 Tout ce que je sais c'est que j'ai poussé un cri tel que la mère de Christine a demandé du bas ce qu'elles me faisaient pour me faire crier ainsi ! Et elles ont continué ainsi devant et derrière puis sur la poitrine où heureusement j'avais peu de poils car j'ai souffert … Ha les garces 🥴 Pour finir, Christine m'a dit : "Baisse ta culotte, on va te dessiner le maillot pour que tu aies un joli minou comme nous." Je me suis exécuté en lui disant de faire gaffe à ne pas me blesser avec sa tondeuse. Je n'ai pas été blessée mais à force de me manipuler le clito et les couilles, je leur ai offert une belle queue bien raide. Elisabeth a dit : on ne peut pas le laisser comme ça, il ne peut même plus remettre sa culotte 🍆🍆🍆. Et Christine d'ajouter qu'après tout ce travail elles avaient droit a une récompense. Elles m'ont branlé et j'ai déchargé dans la main de Christine qui s'est empressée de lécher ma liqueur. Elisabeth était frustrée car elle n'a eu que les dernières gouttes en essorant mon clito qui dégonflait…
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You have to suffer to be a girl!
My sister was more attracted to girls than boys. Her first sweetheart was called Christine, she was a cute and very feminine redhead. She was 16 years old and the daughter of a divorced beautician. She lived above her mother's salon. Christine, my sister and I formed a strange trio of pleasure seekers. This lasted a little over two years, until I entered university. Every Saturday afternoon and sometimes during the week, we met in Christine's room which had become our playroom. Christine was not left out and the fact that she lived alone with her mother gave her a big head start on the sex side. After my first girl fittings at Christine's, and before discovering the feminine pleasure of being taken by a tampon then a wonderful vibrator, my two accomplices wanted to get rid of my unsightly hairs… My sister had already been there, except for her pussy and it was very simple because Christine borrowed her mother's equipment at the Institute and practiced on her. One afternoon, my sister and her sweetheart did not caress each other as usual. They plotted in my basics… Elisabeth asked me to put on my panties while Christine went down to the Institute. She came back up with a hot wax thing, strips and an electric razor. She told me: It's not beautiful a girl with hairs, we'll take care of you! They put a terry towel on the bed and asked me to lie on my back. Christine applied wax to my legs, it was hot and pleasant. Elisabeth pressed strips on the wax… And then, I don't remember which of the two tore off the first strip 🤐🥴😭 All I know is that I screamed so much that Christine's mother asked from below what they were doing to me to make me scream like that! And they continued like this in front and behind then on my chest where fortunately I had little hair because I suffered… Oh the bitches 🥴 To finish, Christine told me: "Pull down your panties, we're going to draw your swimsuit so that you have a pretty pussy like us." I complied, telling her to be careful not to hurt me with her clippers. I wasn't hurt but by dint of manipulating my clit and balls, I gave them a nice stiff cock. Elisabeth said: we can't leave him like this, he can't even put his panties back on 🍆🍆🍆. And Christine added that after all this work they were entitled to a reward. They jerked me off and I unloaded in Christine's hand who quickly licked my juice. Elisabeth was frustrated because she only got the last drops by wringing out my deflating clit…
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soyashi3173 · 3 months
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🇬🇧 “They say that this flower announces death... this flower red like your blood which will flow if you provoke me.”
I haven't posted one for a while... and I admit that I had forgotten it myself a little, in addition to not really having time to do much else... BUT! I've finally been on vacation since yesterday so... it should become a little active again little by little here... but also elsewhere 👀
And admit it... You missed my Foxian, didn't you? 😉
(Plus, we can clearly see his tail this time... his fox tail eh, I see you twisted minds coming there 😏)
🦊 🦊 🦊 🦊 🦊 🦊 🦊
🇫🇷 "On dit que cette fleur annonce la mort... cette fleur rouge comme ton sang qui coulera si tu me provoques."
Je n'en avais plus poster depuis un moment... et j'avoue que je l'avais moi même un peu oublié, en plus de ne plus trop avoir le temps de grand chose dernière... MAIS! Je suis enfin en congés depuis hier donc... ça devrait redevenir un peu actif petit à petit ici... mais aussi ailleurs 👀
Et avouez-le... Mon Foxian vous avait manqué, n'est-ce pas? 😉
(En plus, on voit bien sa queue cette fois-ci... sa queue de renard hein, je vous vois venir les esprits tordus là 😏)
🦊 🦊 🦊 🦊 🦊 🦊 🦊
Photo by : Binaphotographe
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e642 · 5 months
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Je me sens triste. L'impression que les connaissances m'échappent. Que la vie me broie. Qu'il n'y a plus rien à faire. J'ai eu ma mère au téléphone et elle me parle d'assurance vie, ça me donne la sensation que je vais la perdre précocement et ça me fait beaucoup de peine. La solitude me pèse aussi. N'être attendue nulle part c'est bien uniquement quand on a envie d'être attendue nulle part et par personne. J'occupe le temps comme je peux mais souvent c'est pas suffisant. J'ai des temps d'écran affolantes tout ça parce qu'une fois le cours lu, j'ai rien d'autre à faire. C'est la première fois que mon mec me manque je crois. Qu'il me manque vraiment je veux dire. Je pleure fréquemment sans réelle raison. Je sais juste que ça arrive si rapidement que j'ai pas le temps de faire quoi que ce soit. Il y a plein de choses qui tournent dans ma tête. Des fois, je me dis que j'ai fait une erreur en pensant que javais plus assez besoin d'aide pour continuer à voir un psy. Je suis tout ce qu'il y a de plus bancale. Je fais des efforts, vraiment, et pourtant je me sens toujours autant grignotée par un chagrin qui puise sa source dans tout. Peut-être que c'est tout ce que je mets de côté, surtout les gens et les interactions, qui me revient dessus. Peut-être que je souffre plus de la solitude et de ma présence que je veux bien le reconnaître. Le temps passe et ça m'est toujours aussi pénible de voir comme rien de bouge, des années que je suis la même gosse triste assise derrière un bureau en attendant un truc qu'elle ignore. Je m'efforce de me rappeler que ça va passer tout ça, cette énième crise de panique aussi, mais c'est pas parce que ça passe que ça ne revient pas. Tout est une violente agression, une alternance de désagréable et de moins désagréable. Je suis le serpent qui se mord la queue.
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not-goldy · 11 months
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I honestly feel jm is like the next bts with how negleted his first album was in comparission of jk basically been given everything
This is a fair statement to make. I can work with that.
I'm really not hard to figure out- kidding. I'm the love child of geometry if quantum mechanics had an affair with algebra and pooped Navier stokes equations.
For me, if you send in a comment about Jungkook, I substitute Jimin for him and if I find it offensive against Jimin rest assured I'll be offended as if it was Jimin under attack.
When you say next BTS what does that mean to you?
Because BTS can mean different things to different people.
Personally, I think these members embody various magical aspects of BTS the sum of which makes BTS the spectacle that they are.
So you and I are never wrong in saying a member might be "the next" BTS. What that means is that we are sensing something special and unique about them that to us speaks to the brilliance of BTS as a group.
Jimin has that spark, that je ne se qua, that unexplainable allure and attraction that calls people in to queues like a piped piper, to line up just to catch a glimpse of him. The massive support and dedication of his fans is truly reminiscent of the massive pull that BTS has on fans.
You would be intellectually disingenuous and dishonest to say you can't see a unique spark in Jungkook following his Solo debut. You would be a big fat liar if you say that man doesn't have a magic touch too.
They all embody different aspects of BTS and BTS's success and that is genuinely okay because BTS is a mashup of greater things.
THEY HAVE THAT MAGIC IN THEM, oh yes they do
EVERY TIME THEY TOUCH THAT TRACK IT TURNS INTO GOLD.
Yes it turrrrnns to GOLD.
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De Emma à Cristina
Chère Cristina,
Je suis désolée, je suis désolée, vraiment désolée ! Je me rends compte que le message que je viens de t’envoyer n’a ni queue ni tête, alors après l’avoir lu, jette-le et lis cette lettre. J’étais un peu hystérique quand je l’ai écrit ; je voulais tout te raconter au sujet de Mina qui avait disparue pendant plusieurs jours, mais je ne pouvais pas. Et quand j’ai pu, je me suis complétement déchargée. Encore une fois, désolée.
C’était horrible de ne pas pouvoir te parler de ce qu’il se passait. J’ai toujours détesté la politique, je ne t’apprends rien… mais même si ta situation (et celle de Mark) est inhabituelle, la Cour des Lumières considère certainement que vous faites partie de la suite de Kieran, et on nous avait formellement interdit de révéler à l’une ou l’autre Cour que Mina avait été enlevée dans sa propre chambre à Blackthorn Hall. Et nous avons obéi à la lettre.
Alors, il s’avère que la personne qui avait organisé l’enlèvement était Mère Hawthorn, la nourrice de la Première Héritière, qui a choisi d’épouser un Chasseur d’Ombres. Depuis, elle a eu des relations compliquées avec les Chasseurs d’Ombres, surtout avec les Herondale (qui n’a pas de relations compliquées avec les Herondale, on se le demande). Et là elle exigeait de parler à Kit comme condition pour que nous puissions récupérer Mina.
Personne ne voulait que Kit y aille, même si nous avions tous terriblement peur pour Mina. Mais il était résolu. On ne pouvait pas l’arrêter. Nous avons donc trouvé un arrangement grâce à quelques elfes intermédiaires pour que Kit rencontre Mère Hawthorn. Elle avait demandé à ce que le rendez-vous ait lieu près de l’eau d’un fleuve, alors nous sommes allés à la Promenade de Chiswick. Il y a un minuscule parc là-bas, et un petit kiosque à musique. Tous ensemble (Julian et moi, Tessa, Jem et Kit), nous y sommes allés sans dire un mot et avec des mines sombres. Tessa n’arrêtait pas de caresser Kit dans le dos, et c’était évident qu’elle essayait de ne pas pleurer. Jem avait l’air de vouloir tuer quelqu’un. Kit avait simplement l’air déterminé. Et Jules… je parlerai de Jules après.
Nous sommes restés un peu en arrière pendant que Kit traversait la pelouse pour rejoindre le kiosque. A son approche, Mère Hawthorn est apparue de derrière les arbres, avec Mina dans les bras, et s’est avancée vers lui.
Jules et moi nous sommes crispés, au cas où Jem ou Tessa se serait rué vers le bébé. Nous n’aurions pas pu leur en vouloir, mais nous savions que ce n’était pas possible. Kit devait pouvoir récupérer Mina sans violence. Tout ce que je peux dire, c’est qu’on voit qu’ils ont enduré d’innombrables épreuves tous les deux au cours de leur longue vie. Ils se serraient les mains, immobiles, mais c’était clair qu’ils avaient désespérément envie de courir vers leurs enfants. Ils faisaient preuve d’un incroyable sang-froid, et ça me brisait le cœur.
Kit et Mère Hawthorn se sont rejoints devant le kiosque. Evidemment nous n’entendions pas leur conversation, mais nous avons tout de suite vu Mina tendre les bras vers Kit. Il a tenté de la prendre, mais Mère Hawthorn s’est interposée. Elle n’avait pas du tout l’intention de la rendre et ils ont commencé à se disputer. Je voyais à quel point Kit était énervé même s’il essayait de garder son calme. Il n’arrêtait pas de faire non de la tête, presque à chaque fois que Mère Hawthorn prenait la parole.
Bref, ça a duré quelques minutes, puis Mère Hawthorn s’est mise à rire. Elle a tourné la tête (elle nous voyait, évidemment, et s’en moquait) et a claqué des doigts. Kit est tombé à la renverse ; il a fait une pirouette et s’est relevé. Mais des tiges noires émergeaient du sol, s’attaquaient à lui et s’enroulaient autour de ses jambes. Mina criait si fort que nous l’entendions.
- C’en est assez, a rugi Jem.
Il s’apprêtait à traverser la rue, mais Julian a posé une main sur son épaule.
- Attends, lui a-t-il dit.
Nous l’avons tous regardé, interloqués. Tu sais que j’ai une confiance absolue en Julian, mais pendant une seconde, même moi je me suis demandée s’il était devenu fou.
Et ensuite. Et ensuite il y a eu un énooorme bruit. J’ai d’abord cru que c’était un hélicoptère, ou peut-être plusieurs hélicoptères, mais ensuite j’ai compris que non, le bruit était plus étrange que ça… c’était des sabots qui frappaient le ciel. Ils sont passés au-dessus de nous… c’était Gwyn et Diana ! Enfin, c’était toute la Chasse Sauvage, ils étaient plus d’une vingtaine, certains sur des chevaux, d’autres sur des créatures ailées que je n’avais encore jamais vues. Mais à l’avant galopait Gwyn, et Diana était sur un autre cheval derrière lui, ses cheveux flottant au vent.
Diana est descendue en piqué et s’est emparée de Mina dans les bras de Mère Hawthorn. Gwyn la suivait et a saisi Mère Hawthorn d’un bras (ce gars est assez costaud, on dirait) et l’a jetée sur le dos de son cheval. Ça paraissait plutôt dangereux pour Mère Hawthorn, mais bon, on n’a pas beaucoup de sympathie pour les kidnappeuses.
Diana est descendue en piqué (c’est le truc de la Chasse Sauvage, les descentes en piqué, tu te souviens) sur nous, et a délicatement rendue Mina à Jem et Tessa. Puis Diana nous a fait un clin d’œil et est repartie dans le ciel. Elle, Gwyn et le reste de la Chasse Sauvage ont galopé plus vite que je ne le croyais possible. Je pense qu’ils devaient éloigner Mère Hawthorn de nous, ce qui était logique. En un rien de temps, ils avaient disparu dans les nuages.
Je dois dire que le clin d’œil de Diana était vraiment cool. Je me rends compte que ça me manque un peu de faire des trucs cools. Je crois que j’irai dans le jardin avec Cortana ce soir pour sévèrement décapiter des mauvaises herbes.
Enfin bref. Kit nous rejoignait en courant, Tessa pleurait de soulagement et Jem ne quittait pas des yeux l’endroit où la Chasse Sauvage avait disparue. Mina, évidemment, se portait à merveille. Elle répétait « Cheval ! Cheval ! », c’était hilarant, puis Kit est arrivé et l’a cajolée. Julian et moi nous sommes éloignés pour les laisser se retrouver tous les quatre.
Julian avait une de ces expressions sur le visage et j’ai eu une intuition :
- C’était toi, non ? Tu as contacté la Chasse Sauvage ?
Il a haussé les épaules :
- Mère Hawthorn avait dit de ne contacter ni la Cour des Lumières ni celle des Ténèbres, mais la Chasse Sauvage n’appartient à aucune. Ils n’ont prêté allégeance à personne.
- Mère Hawthorn non plus, ai-je répondu. Donc tu as dit quelque chose comme « Fées sauvages, venez récupérer votre amie sauvage, elle devient trop sauvage » ?
- C’était l’idée.
Il a dit ça d’un ton désinvolte, mais je voyais qu’il était fier de lui. Et oui, d’accord, j’étais fier de lui aussi, ce que je lui ai dit.
Sur le chemin du retour, nous avons demandé à Kit ce que Mère Hawthorn lui voulait. Il a expliqué qu’elle voulait lui dire qu’il était le descendant de la première tu-sais-qui (je sais que Kieran t’a parlé de l’héritage elfique de Kit, mais pas de tout, et peu de gens savent) et qu’elle était venue le chercher pour qu’il aille vivre au Royaume des Fées là où était sa place. Il a essayé de lui faire comprendre qu’il n’avait aucune envie de vivre au Royaume des Fées, que sa vie actuelle lui convenait (mais il a dit ça en regardant Jem et Tessa, et je crois qu’il préférait dire « convenir » plutôt que ce qu’il ressent vraiment, qui est bien plus que ça). Elle lui répétait que c’était son destin et son devoir, son avenir le rattrapera bien assez vite s’il ne s’y pliait pas, bla bla bla, des trucs de fées, tu sais comment elles sont. (Oh, ne le prend pas mal si tu lis aussi, Kieran.)
Mais je crois qu’il ne disait pas toute la vérité, parce que Mère Hawthorn s’est donnée beaucoup de mal simplement pour envoyer un tel message. Enfin, elle aurait pu écrire ça sur une carte postale. Ce n’était rien que Kit ne savait pas déjà pour ainsi dire. Je suis certaine qu’elle en a dit davantage que Kit ne souhaite pas révéler, je le voyais à son regard. J’espère qu’il le dira à Jem et Tessa, quand il sera prêt. Au moins, nous pouvons être sûrs que Gwyn fera en sorte que Mère Hawthorn le laisse tranquille… un souci de moins.
Ce sont toutes les nouvelles que j’ai, et je suis tellement soulagée de pouvoir enfin t’en parler. Je suppose que si Kieran veut en savoir plus, il devrait contacter Gwyn. Je crois t’avoir dit tout ce que je sais.
Prends soin de toi, et nous nous reparlerons bientôt. Embrasse K et M pour moi !
Emma
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/696471730738397184/emma-to-cristina
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icariebzh · 6 months
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 « Deir al-Balah, Gaza, 11 mars 2024, Chère Michelle, Ton nom est la seule chose que je connais de toi pour l’instant. Moi, je m’appelle Tala. Jamais je n’ai imaginé parler un jour à une Israélienne. Encore moins faire ta connaissance alors qu’une guerre est en cours contre mon peuple. Lorsqu’on m’a proposé de t’écrire une lettre, je me suis sentie mal sur le moment, effrayée par l’idée de coopérer inconsciemment avec l’ennemi et de trahir les miens. J’ai peur que cette conversation me mette en danger ainsi que ma famille.  Mais j’ai quand même décidé de t’écrire. D’abord, pour te raconter ce que je vis depuis six mois maintenant. Et surtout pour honorer mon ami Yousif Dawas, tué le 14 octobre par une bombe israélienne. Il n’avait que 20 ans et rêvait de devenir thérapeute. C’était mon camarade d’université. Nous nous retrouvions régulièrement devant l’hôpital Al-Shifa pour aller ensemble à l’université.  
Je suis née à Gaza City il y a vingt ans. Je n’ai jamais quitté l’enclave, qui est une vraie prison à ciel ouvert, tu sais. A l’université, j’étudie le droit. Pendant mon temps libre, j’écris. Les gens disent de moi que je suis un vrai rat de bibliothèque. Avant la guerre, je travaillais du matin jusqu’au soir. Puis, une fois rentréechez moi, j’adorais dévorer un énième livre de ma bibliothèque tout en buvant du thé vert, ma boisson préférée. Je pourrais te parler des heures de mon université. Elle est si belle : on y entend le chant des oiseaux, le bruissement des arbres, on y respire l’air frais et on y trouve des espaces agréables où se reposer. Maintenant, il faudrait que j’écrive ces mots au passé. Car il n’en reste qu’un tas de ruines. Quant à mon diplôme, que j’étais censée obtenir l’an prochain, je ne sais pas quand je pourrai le décrocher.
Désormais, je suis réfugiée à Deir al-Balah, après avoir fui le nord de Gaza, en passant par Khan Younès, où je suis restée quarante jours sans mes parents et mes petites sœurs, qui étaient restés dans le Nord pour garder notre maison. Ils ont fini par partir eux aussi, et on s’est retrouvés en décembre. Nous avons la chance d’avoir trouvé un abri, un toit, des murs. Même s’il me paraît toujours étrange d’appeler ça un abri, étant donné que nous ne sommes protégés ni des bombes ni d’une famine ou d’une épidémie. 
Ce n’est pas courant de parler avec une Israélienne comme toi, Michelle. Personne n’est ami avec des Israéliens ici. D’ailleurs, je ne connais pas grand-chose de votre culture, de vos traditions. A Gaza, on est élevés pour vous haïr. Vous n’êtes rien d’autre que des voleurs de maisons, des auteurs de massacres innombrables qui visent à nous expulser de force ou nous exterminer.
Mais, dans ma famille, on pense qu’il est impossible de tout résoudre par la force. Je partage ce point de vue. Je crois qu’apprendre à connaître les personnes qui revendiquent leur droit à cette terre peut servir notre cause. Et toi, qu’en penses-tu ? Pourquoi as-tu accepté d’entamer cette conversation avec moi ?
Malgré notre adversité, je reste ouverte d’esprit et curieuse d’écouter et de comprendre ton opinion. Peut-être que nous ne pensons pas si différemment finalement, et que nous avons même des choses en commun. Où habites-tu ? Etudies-tu ? Connais-tu des Palestiniens ? 
Ecrire cette lettre me demande un effort colossal. Ces derniers jours, j’ai été incapable de m’exprimer correctement. J’aimerais partager ce que je vis. Ça pourrait me soulager, me faire sortir un peu du chagrin. Je n’ai plus de projet, plus de vie depuis le 7 octobre. Je commence même à me désintéresser de mes activités favorites comme la broderie palestinienne. Mes amis sont morts ou ont fui. Tous sont partis sans dire au revoir. Beaucoup de Palestiniens meurent de malnutrition, des femmes, des nourrissons. Imagines-tu que des enfants font la queue pour remplir une gamelle de soupe ? Nous avons du mal à trouver des légumes, tout est cher ou inexistant. Je déteste voir les rues inondées d’ordures et d’eau sale, les écoles et universités bombardées ou fermées. Je suis fatiguée de sentir la fumée de notre four en argile qui s’incruste dans tous nos vêtements. Et de devoir me déplacer en âne ou en charrette. La ville où j’ai grandi a été ravagée. Mes souvenirs ont disparu. Ma bibliothèque aussi. J’ai vu une photo de ma rue à Gaza City, elle est méconnaissable. C’est devenue une ville fantôme. Michelle, que fais-tu pendant que mon peuple meurt sous les bombes ? Est-ce que ça te fait de la peine ?
Notre situation est indescriptible. Nous avons perdu toute forme de vie sensée. Nous installons des tentes sur les ruines de maisons détruites. Très peu de centres de santé peuvent aider les femmes enceintes. Le taux de fausses couches a augmenté, tout comme les accouchements précoces en raison des bombardements violents. Je hais de voir comment la vie est en train de quitter nos corps. Soutiens-tu cette agression ? Pourquoi rien ne marche dès qu’il s’agit du sort de la Palestine ? Quelle offense avons-nous commise, nous Gazaouis, pour vivre de telles horreurs ? 
Michelle, je me demande si tu as déjà questionné la légitimité de ton Etat, ses lois ou ses actions. Personne ne se soucie de la discrimination que nous subissons depuis cent ans. Et le monde est aveugle face à l’apartheid que nous vivons. Comment l’Etat d’Israël peut-il se qualifier d’Etat démocratique ? Crois-tu que nous pourrons un jour vivre en paix ?
Je suis sûre que tu es, comme tous les êtres humains, dotée de sentiments. Tu ressens l’amour, la haine, la colère, la compassion. S’il te plaît, prends pitié de nous. Dis à ton peuple de cesser de nous priver de notre humanité. Notre destin, c’est nous qui devons le choisir.
Respectueusement, Tala » 
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 « Zoran, centre d’Israël, 25 mars 2024, Chère Tala, Je te remercie pour ta lettre. Bien que je n’habite qu’à quelques kilomètres de Gaza, je n’ai jamais parlé à quelqu’un de là-bas. Premièrement, je souhaiterais te dire que je suis désolée de ce que tu vis et t’exprimer mes plus sincères condoléances pour la perte de ton ami Yousif Dawas. Que sa mémoire soit honorée.
 Permets-moi tout d’abord de me présenter. J’ai 24 ans et, comme toi, je suis étudiante en droit. Je m’intéresse au droit pénal et au droit international. J’aime également faire du bénévolat. Avant la guerre, j’aidais les habitants de ma ville qui avaient besoin d’une assistance pour trouver un logement ou obtenir une aide financière de la part de l’Etat. Désormais, ma ville, Sdérot, comme toute la région limitrophe de Gaza, s’est vidée de ses habitants. 
 J’ai quitté ma maison depuis l’attaque du 7 octobre. Depuis, je suis hébergée par la famille de mon petit ami à Zoran, dans le centre d’Israël. C’est plus calme ici, contrairement à ce qui se passe dans le nord ou le sud du pays. Ma maison me manque beaucoup. Je crains que les missiles lancés quotidiennement de Gaza sur le sud d’Israël détruisent tout ce que j’ai. Mon université est fermée, mais nous pouvons suivre nos cours à distance, en visio. 
Je suis née et j’ai grandi à Jérusalem. J’étais scolarisée à l’école “Hand in Hand” [“main dans la main”], où la moitié des élèves sont des Israéliens juifs et l’autre moitié des Palestiniens citoyens d’Israël ou résidents de Jérusalem-Est. Oui, je connais donc des Palestiniens. J’ai fréquenté cet établissement jusqu’à la fin des études secondaires. C’est le seul lycée mixte en Israël où enfants juifs et palestiniens étudient ensemble.
Mon éducation était donc très différente des autres enfants de Jérusalem. Je parlais quotidiennement à des Palestiniens, des Arabes. Les mêmes que la société nous apprend à haïr. Je me souviens que des enfants de mon quartier ne voulaient pas me fréquenter, m’affirmaient que j’étais devenue amie avec des Arabes qui, une fois adultes, viendraient me tuer. Lorsque j’avais 14 ans, des suprémacistes israéliens ont même mis le feu à mon école. Ces années ont fait évoluer ma vision de la société israélienne.
Le 7 octobre au matin, j’ai appris que des terroristes palestiniens s’étaient infiltrés en Israël. Avec mon petit ami, nous nous sommes précipités dans notre abri antimissiles. Nous y sommes restés enfermés pendant près de deux jours, sans électricité ni réseau téléphonique. Nous entendions des coups de feu et des roquettes à l’extérieur, sans pouvoir ni voir ni comprendre ce qui se passait. Le père et la sœur de mon petit ami sont finalement venus nous chercher et nous ont mis en sécurité, dans le centre d’Israël. Quand je suis sortie de chez moi, j’ai vu des corps sur le sol. J’étais horrifiée. As-tu entendu parler de ce qui s’est passé en Israël ce jour-là ? Qu’as-tu ressenti ? 
Des Israéliens ont terriblement souffert ce jour-là. Nous n’en sommes toujours pas remis. Des familles ont été brutalement tuées, kidnappées. Et il y a encore des otages israéliens à Gaza dont on ne connaît pas l’état. Je connais personnellement l’un d’entre eux et je prie tous les jours pour qu’il revienne sain et sauf [130 personnes – dont 34 seraient mortes – sont encore détenues à Gaza, selon les autorités israéliennes]. Dans mon quartier, les premières victimes des massacres du 7 octobre sont un groupe de personnes âgées d’une maison de retraite. Près de chez moi [au kibboutz Be’eri], Vivian Silver, qui était pourtant une militante pacifiste de longue date, a été tuée. Peux-tu me dire ce que les habitants de Gaza pensent de ces victimes innocentes, prises dans une guerre qu’elles n’ont jamais voulue ? Je ne comprends pas que des personnes utilisent les actions et les décisions du gouvernement israélien pour justifier la violence à l’égard des civils. Ce mode d’action ne peut être une réponse à l’occupation. Si je comprends la nécessité de la résistance palestinienne, j’estime qu’elle ne doit pas viser des innocents.
Il est aussi vrai que de nombreuses personnes en Israël sont, depuis le 7 octobre, incapables de voir au-delà de leur propre douleur et de comprendre ce qui se passe à Gaza. Il leur est difficile d’éprouver de la compassion pour les habitants de Gaza, surtout après avoir vu des vidéos dans lesquelles des Palestiniens célébraient l’attaque du 7 octobre. 
Moi, je ne crois pas que nous soyons ennemis. Je m’opposerai toujours à la violence et à la cruauté, quels qu’en soient les auteurs. Les innombrables atrocités commises par Israël contre les Palestiniens au fil des années, de même que la violence subie par les Israéliens, sont également condamnables. La violence ne fait qu’engendrer plus de violence. La guerre menée actuellement par l’armée israélienne nous le prouve. Serais-tu d’accord pour dire qu’il existe de meilleurs moyens pour obtenir justice ? Y a-t-il encore des personnes à Gaza qui croient en une solution pacifique ?
Tala, tu m’as demandé si j’avais déjà remis en question la légitimité de mon pays. Tu sais, mon peuple, le peuple juif, a une longue histoire de persécution à travers le monde. Que ce soit les ancêtres de mon petit ami en Pologne ou les parents de ma mère au Maroc, ils ont été persécutés parce qu’ils étaient juifs. Cette histoire ne justifie en rien les souffrances des Palestiniens ou la Nakba [“catastrophe” en arabe, désignant l’exode en 1948, à la création de l’Etat d’Israël, de 700 000 Palestiniens, contraints de fuir des massacres ou expulsés par les nouvelles autorités]. Mais il est important pour moi de te rappeler le désir profond et l’urgence qu’il y a eu pour nous, Juifs, d’obtenir un Etat en Terre sainte. 
Toutefois, il m’est arrivé de remettre en question la politique et les lois de mon pays. Quand j’avais 14 ans, j’ai rencontré un groupe d’hommes druzes qui refusaient de servir dans les forces de défense israéliennes, alors qu’ils ont l’obligation de le faire. Ces druzes se sentaient Palestiniens et avaient le sentiment qu’Israël tentait de les assimiler pour les affaiblir et les séparer des autres Arabes israéliens. Ça m’a fait réfléchir. Personnellement, j’ai eu la chance d’être exemptée de service militaire pour raison médicale, mais mon petit ami, qui a refusé de servir, a passé six mois dans une prison militaire israélienne.
Nous sommes une minorité en Israël à questionner la guerre actuelle. Les gens ont peur de s’exprimer. Beaucoup ont été arrêtés pour avoir manifesté ces derniers mois. Parfois, j’ai l’impression que la meilleure chose à faire serait de partir, d’aller quelque part où des horreurs ne sont pas commises en mon nom. Mais partir, ce serait égoïste. Je ne peux pas abandonner mon peuple qui souffre. Je m’inquiète de ce qu’Israël deviendra si toutes les personnes qui se battent pour la paix partent. Parfois, j’ai l’impression que nous sommes si peu nombreux que personne ne remarquerait notre absence.
Et puis, j’aime cette terre. Ma famille a vécu en Palestine parmi des musulmans et d’autres juifs pendant de nombreuses générations avant la création de l’Etat d’Israël. J’espère que nous pourrons un jour être tous égaux et libres. C’est d’ailleurs ce qui m’a poussée à étudier le droit international : ne plus être impuissante face à l’injustice. 
Tu m’as dit que tu lisais beaucoup, j’aime aussi lire. J’aime la littérature russe classique, comme Dostoïevski ou Tolstoï. Mon livre préféré est “Anna Karénine”. Quel genre de livres aimes-tu ? Je suis curieuse de savoir ce qui t’a poussée à étudier le droit.
J’aimerais aussi en savoir plus sur l’histoire de ta famille. Comment était ta vie avant la guerre ? Où vivait ta famille avant 1948 ?
Je suis heureuse de pouvoir t’écrire. J’imagine à quel point cela doit être difficile pour toi. Je me réjouis d’avoir de tes nouvelles et te souhaite un bon ramadan.
Sincèrement, Michelle »
Lettres et Photos- source: Le Nouvel Obs
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 22
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Bonjour à tous !
Comme je le disais dans l’article précédent, pour m’excuser de ma lenteur caractéristique, je livre trois reviews de chapitre plutôt qu’une seule cette fois-ci (les reviews des chapitres 21, 22 et 23).
La dernière fois, nous rencontrions enfin un changelin, Monsieur X, qui avait l’horrible idée d’embrasser une mineure sous l’apparence de son ex-petit ami. Nous apprenions aussi la machination ayant donné lieu aux missions d’assassinat.
Mais bon, nous allons laisser ça de côté pour retrouver Mara dans un chapitre que j’espère être moins pénible que le dix-neuvième, intitulé « Mara, ou comment faire du vaisseau spatial-stop. »
Let’s go
« Mara essuya son poignard. Devant elle, le cadavre de Selenba gisait, dans une mare de sang.
Elle releva la tête vers la silhouette holographique ténébreuse de Magister qui la regardait en silence.
La jeune fille était détendue. Elle avait fait exactement ce que voulait Magister. Elle désigna le corps de son couteau et demanda dédaigneusement :
— Voulez-vous que je lui tranche la tête et que je vous la rapporte ? Ce sera salissant, mais ça ne me gêne pas.
Magister semblait surpris.
— Comment as-tu fait ? fit-il de sa voix de velours liquide. »
Même s’il est évident que tout ça est mis en scène et que Selenba n’est pas réellement morte, j’apprécie TRÈS FORTEMENT ce début sans préambule. Surtout après toute l’exposition qu’on s’est chopé au dix-neuvième chapitre. Bon Dieu que ce dix-neuvième chapitre était long.
Ah oui, et sidenote : je ne sais pas si j’ai déjà lu la remarque quelque part, mais « la voix de velours liquide » de Magister est une paraphrase qui me fait beaucoup rire. Je suppose que le velours liquide est un type de tissu (je ne m’y connais pas assez en textile pour le dire), mais pour une non initiée comme moi, on dirait que deux consistances différentes sont associées à un truc qui n’est pas censé avoir de consistance, la voix. Et puis là où je peux me figurer des « pattes de velours », les deux se rapprochant plutôt bien, la voix de velours me rend plus perplexe. Je pense que c’est une façon d’exprimer les intonations plutôt que le ton de voix, mais ça veut dire que Magister a constamment une voix caressante, même quand il se transforme en loup et se vautre sur sa propre queue. Perplexe.
C’est comme si je disais de quelqu’un « je n’ai jamais supporté ses grands airs conditionnés ». Genre ça se voit comme le nez au milieu de la figure qu’il s’agit d’une image, mais alors va te conceptualiser l’image mon gars.
« — Selenba a été transformée en vampyr normale, elle n’était plus le Chasseur, répondit Mara en dévoilant son bras cassé qui pendait et l’énorme entaille souillée de sang sur son ventre. Elle a commencé à m’expliquer qu’elle voulait avoir une vie « normale » et blablabla, elle n’a pas vu en moi l’assassin, elle n’a vu que l’Héritière, même si elle s’attendait à ce que je l’attaque après lui avoir dit que j’avais volé quelque chose pour vous et que vous m’aviez demandé de la tuer en échange. Pour sauver Cal. »
Yay yay yay c’est de nouveau le moment pour moi de parler de découpage de répliques !!
C’est mal foutu !
Voilà !
Plus sérieusement, la première phrase, pas de souci, ça marche. Je dirais même que ça donne à Mara une façon de parler intéressante.
Souvent, quand on écrit, on a la tentation de donner aux personnages des phrases bien pensées et découpées, exprimant un raisonnement digne d’une thèse ; ce qui en soi fonctionne dans certains types de bouquins, pas de problème. Mais personnellement, je suis très fan des histoires où les répliques des personnages reflètent leur psychologie, dans la façon dont elles sont articulées, la taille des phrases, la façon dont les informations sont mises ─ phrases brèves avec toutes les informations nécessaires synthétisées, ou points de suspension et explications hachées.
Tenez, par exemple, en réécrivant ce passage :
« - S… Selenba a été transformée en vampyr. En vampyr normale, je veux dire, par… par ma sœur, je veux dire Tara, je crois. Donc elle n’était plus le Chasseur. Elle… 
Après une hésitation, Mara se tourna pour présenter son bras cassé à Magister, avant de lui désigner l’entaille souillée de sang sur son ventre. »
→ ici, Mara est stressée, elle se corrige, se répète, a du mal à finir ses phrases. Ses phrases sont courtes ; les phrases brèves peuvent parfois être symptomatiques d’une personne qui ne veut pas parler en public et lâche l’information qu’elle a sous sa forme la plus simple pour parler le moins longtemps possible.
Par opposition :
« — Selenba a été transformée en vampyr normale, elle n’était plus le Chasseur, répondit Mara en dévoilant son bras cassé qui pendait et l’énorme entaille souillée de sang sur son ventre. »
→ Ici, Mara est froide, elle exprime un fait. C’est une didascalie et non une narration qui précise qu’elle dévoile ses plaies ; or, placer des actions en didascalie en retire généralement le « poids », leur donnant une allure de geste machinal. En effet, une action qui intervient entre deux bouts de phrases d’un personnage suggère que le personnage peut tranquillement parler tout en accomplissant l’action. (Je précise que c’est mon interprétation d’une action placée en didascalie, vous avez le droit de ne pas être d’accord, ça relève pour beaucoup de comment je lis les histoires personnellement).
Bref, la première phrase marche bien. Ce sont celles qui suivent qui m’embêtent.
« Elle a commencé à m’expliquer qu’elle voulait avoir une vie « normale » et blablabla, elle n’a pas vu en moi l’assassin, elle n’a vu que l’Héritière, même si elle s’attendait à ce que je l’attaque après lui avoir dit que j’avais volé quelque chose pour vous et que vous m’aviez demandé de la tuer en échange. Pour sauver Cal. »
Une réplique de quatre lignes, c’est non. Déjà, une réplique sous-entend que quelqu’un la prononce, or je ne vois pas quelqu’un prononcer cette phrase sans devoir s’interrompre au mauvais endroit pour souffler. Vous me direz qu’il y a les virgules pour prendre le temps, mais ces virgules-là ne sont pas là pour prendre des pauses, puisque « elle n’a pas vu en moi l’assassin, elle n’a vu que l’Héritière, même si... » sont des bouts de phrases tous connectés logiquement qui perdraient de leur sens avec des pauses trop marquées.
En plus, en coupant l’aspect machinal d’une phrase courte, on dirait qu’elle cale le plus d’infos possibles en une seule phrase, ce qui change un peu l’état d’esprit qu’on lui imagine. Enfin, la dernière phrase est très drôle : pourquoi tu mets un point entre « vous m’aviez demandé de la tuer en échange » et « pour sauver Cal ? » La pause fait un effet plus bizarre qu’autre chose.
Bref, réplique mochouille, continuons.
Satisfait qu’elle ait rempli sa mission, Magister transmet les coordonnées à Mara, qui se barre sur un vaisseau, laissant Selenba sur place. Mara ouvre ensuite une vidéocristal pour regarder Tara se rendre au concert.
Et c’est tout ! Le chapitre était très court, restez tuned pour le suivant.
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ava-soumise · 1 year
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« D’une manière générale, un homme qui montre son pénis à des étrangers veut surtout être rassuré sur sa masculinité. Il souhaite montrer que son corps est excitant. » Sauf que ces hommes oublient la notion de consentement. ET MOI JE DIS NON! Alors arrêtez de vouloir nous montrer votre queue tout le temps, même si tu trouves les photos excitante! Recevoir ta queue ne m’excite pas et ça me donnera juste envie d’être agressive avec toi et ne plus parler!
« In general, a man who shows his penis to strangers especially wants to be reassured about his masculinity. He wants to show that his body is exciting. Except that these men forget the notion of consent. AND I SAY NO! So stop wanting to show us your dick all the time, even if you find the photos exciting! Receiving your dick doesn’t excite me and it will just make me want to be aggressive with you and not talk anymore!
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journaldenimportequi · 3 months
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Dimanche 14 juillet 2024
Cat Power under the thunder : soirée de loser
Je n'étais plus aussi chaud qu'avant concernant ce concert de Cat Power. Je ne sais pas, enfin, peut être que la flemme jouait un rôle là dedans. L'idée de prendre le bus et d'aller me fourrer dans un hôtel à deux heures de chez moi ne m'enchantait guère trop. Mais, hé, après tout c'était gratuit, j'aurais été bête d'y renoncer et en plus mon frère n'aurait pas apprécié que je n'y aille pas, si je lui avait fait faux bond pour ce concert et l'article qui devait suivre, il aurait mit un moment à me le pardonner.
Le trajet ne me paru pas bien long, occupé que j'étais à écouter Bruce Springsteen et à lire ce bouquin tout juste entamé, passionnant, « Bukowski, une vie », par Neeli Cherkovski. Dans lequel j'ai appris des nombreuses choses comme par exemple le fait que Bukowski n'était nullement homophobe, une prouesse, pour un mec de son temps, ça ne me le fait que l'aimer encore plus... j'aime aussi beaucoup sa haine du conformisme. Je me retrouve en lui, qui n'a jamais su garder un travail et qui ne vivait que pour l'écriture...longue vie à son œuvre !
Une fois arrivé à Perrache, voilà que, exactement comme la dernière fois et malgré le fait que j'y sois allé trois ou quatre fois, j'ai manqué de ne pas trouve mon chemin pour accéder à ce foutu hôtel Victoria qui est pourtant situé à environ 3 minutes de marche de la gare. Je suis finalement arriver à bon port, transpirant déjà bien trop.
J'ai réglé le prix d'une nuit et j'ai filé au 4ème étage retrouver ma modeste chambre.
Il faisait très chaud, j'ai dû prendre une douche dans une minuscule salle de bain, ça n'a pas rendu la tâche particulièrement facile. Et puis je me suis posé sur mon lit, j'avais des heures à tuer avant d'aller au concert alors j'ai repris ma lecture sur la vie de mon écrivain alcoolique préféré, tournant les pages avec une passion non feinte. Le temps passe vite quand on a de quoi lire !
Le moment venu, je suis parti prendre un Uber (je me déplace toujours en Uber, vous le savez si vous me lisez régulièrement, je hais les transports en commun) et je fut vite amené à bon port.
Je me suis dirigé vers l'entré des invités, loin de l'entrée de la plèbe où les gens faisaient la queue, queue qui me semblait interminable, j'étais fatigué rien qu'en voyant sa longueur.
Et puis je me suis dirigé vers ce comptoir où les gens invités annonçaient leur nom pour récupérer un précieux ticket.
Devant moi, une dame assez âgée qui semblait ne plus avoir toute sa tête, ne cessait de parler de Bob Dylan. « Bob Dylan, Bon Dylan c'est pas Bob Dylan, quoi ? Mais c'est marqué Bob Dylan ?!  C'est qui Cat Power ?» (il était indiqué sur le ticket « Cat Power chante Bob Dylan »). Elle semblait très déçue.
Pendant ce temps j'ai annoncé mon nom, « Yann Pinguet pour Slowshow », et on m'a donné le ticket. J'ai pensé « ouf, je suis vraiment sur la liste, j'ai toujours du mal à y croire décidément! ».
Après ça j'ai foncé vers les stands de nourriture et j'étais le tout premier client. J'avais très faim mais ils n'avaient que de la nourriture exotique à me proposer, alors que moi je ne demandais qu'à engloutir un hot-dog de base, voir un burger., ce genre là... Faute de quoi j'ai décidé de me contenter d'une gaufre au chocolat que j'ai arrosée avec un Pepsi, à défaut de Coca Cola.
Après ça j'ai filé rejoindre ma place. La place en question était pas mal, j'étais pas loin et en face de la scène.
Les ennuis ont commencés à ce moment là. Il faisait gris et l'application météo de mon téléphone annonçait un orage imminent. Par chance, je portais un grand imperméable parce que ma mère me l'avait conseillé à plusieurs reprises jusqu'à que je finisse par lui faire confiance. Il a commencé à pleuvoir et j'ai mis ma capuche, en pensant « quelle bonne idée, cet imper ! ».
Il s'est mis à pleuvoir avec une intensité de plus en plus forte et au moment du début de la première partie du concert je commençais à m'inquiéter parce que mon imper ne couvrait que le haut de mon corps et mes genoux s'en trouvés progressivement trempés.
Sur scène, l'artiste nommé Blumi assurait un show que je commençais à trouver intéressant, lorsque la dernière chanson fut jouée. A ce moment là, je me suis mis debout, totalement hébété, j'avais tout le pantalon trempé et mes chaussures étaient dans le même état. J'ai songé à me casser de là tout de suite, je n'avais qu'une envie, c'était d'être au sec quelque part. Mais je suis resté et le concert a finit par commencer.
A ce moment la le ciel s'était assombrit. Deux musiciens sont arrivés sur la scène, suivis de celle qu'on attendait tous, Chan Marshall, alias Cat Power.
Premier constat : la dame a pris de l'âge, c'est évident,et la personne qui s'installait devant le micro était loin de l'image que je me faisais de Cat Power, à savoir une jolie brune aux cheveux longs coiffés d'une fameuse franche.
A la place se tenait une femme aux contours épais et aux cheveux courts.
Mais après tout, ces considérations esthétiques ne sont pas très importantes, l'important c'est la voix et quand elle a entonné la première chanson, j'ai constaté qu'elle l'avait conservée et en bon état, malgré la clope qu'elle avait cru bon de s'allumer en plein milieu de la chanson.
J'ai ainsi pu écouter cette première chanson, de Dylan, donc. C'était « She Belongs To Me ».
Merveilleux, j'en oubliais presque le fait que j'avais le cul mouillé et les pieds qui pataugeaient dans l'eau. La nuit était tombé et des premières éclairs se faisaient entendre.
Débuta ensuite la seconde chanson, « Fourth Time Around ».
Et là, la chanteuse a interrompu le concert une première fois, pour nous dire qu'elle était effrayé par l'orage, que ce n'était peut être pas prudent de continuer.
Elle a fini par déguerpir une première fois et les gens ont commencés à râler, à siffler... un responsable est arrivé sur la scène, bien embêté, pour nous dire qu'il ne savait pas trop comment allait se dérouler la suite, ce fut la confusion, et puis Cat Power est revenue, et puis elle a repris la chanson exactement là où elle l'avait arrêté, mais l'orage était toujours présent et après quelques éclairs elle a définitivement foutue le camp.
A ce stade là les gens étaient mécontents et ils ont commencés peu à peu à partir, toujours sous la pluie.
Je n'ai pas perdu de temps et je me suis cassé au plus vite, je n'avais qu'une idée en tête, me mettre à l'abri au plus vite, et pour ça il fallait rejoindre mon hôtel.
Tâche ardue, il faisait nuit et pleuvait de plus belle.
Je ne savais même pas quel chemin prendre, alors j'ai suivi des gens et j'ai rejoins une vieille rue étroite qui descendait très bas, et j'ai marché ainsi pendant un bon kilomètre. J'avais ces vieilles rues en souvenir, de l'époque où j'y étais passé avec Marz, mon ex amoureuse mexicaine... c'était beaucoup moins romantique désormais, la rue n'en finissait plus et j'ai fini par retrouver une route et donc, la civilisation, je pouvais enfin appeler un Uber. C'est ce que j'ai fait et je suis parti m'abriter sous un porche en attentant le véhicule.
Finalement j'ai pu enfin rentré à l'hôtel, avec le bas de mon corps totalement trempé.
Résultat des courses, je me suis retrouvé en caleçon sur le lit de ma modeste chambre d'hôtel, sans avoir la possibilité de porter des affaires de rechange et je me suis dit que, vraiment, il était désormais peu probable que je m'aventure un jour à aller revoir un concert de Cat Power !!!
Bande son : Born To Run, Bruce Springsteen
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olympic-paris · 2 months
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saga: soumission & Domination 231
Août 2012-3 Ric chez DGSE
Durant le mois j'ai reçu aussi la demande de reprise de DGSE. Il a toujours le même style de trip : policier, arrestation, recherche d'aveux par la contrainte physique, et bien sur baise du sujet !
Comme je n'ai pas le temps d'organiser le gang bang désiré par Ric, je demande à son père si je peux l'emmener chez ce client spécial. Je sais bien qu'il m'avait fait promettre de ne pas traiter son fils comme une pute mais d'un autre coté, il sait que Ric est demandeur de SM et que lui, n'arrive pas à aller très loin dans ce genre sexuel. Je suis le seul en qui il a confiance pour assurer ce genre de prestation. Il est vrai que Ric garde de ses années où il a subit le joug démentiel de sa mère, un besoin d'être plus que contraint pour prendre son plaisir maximum. Jusqu'à présent, c'est avec Marc que j'assurais ça dans notre donjon. Il aimait aussi le larvage plus psychologique des gangs bangs. Je dois discuter quand même un bon moment avec André pour obtenir son accord. Mais il veut faire plaisir à son fils qui, sans broncher, le vidange régulièrement depuis maintenant presque 4 ans ! Il finit donc par donner son accord. Je lui demande alors de m'envoyer son fils dès que possible. Il arrive dès le soir même. Je m'isole avec lui. Ce n'est pas que je veuille cacher quelque chose aux autres mais là c'est du taf.
Je lui parle de mon client et de ses lubies. Ce qui botte en premier Ric c'est le trip menottes, fessées, forçage de gorge... puis aussi le gabarit du mec. Ses 1,90 m, le fait qu'il soit très musclé et les 26cm de sa queue finissent de le convaincre. Il est tout prêt à essayer. Nous rejoignons les autres après avoir réglé les détails avec DGSE au téléphone. Le trip ne sera pas l'arrestation d'un dealer mais plutôt celui d'un jeune homo pris en flagrant délit de pipe dans un jardin public. Après tout, le client est roi et puis je serais là pour éviter les débordements et ramener Ric qui risque d'être trop fatiguer pour conduire après.
Ric reste avec nous pour la soirée. Evidement que nous partousons avant de dormir !! Ric apprécie bien les 24cm espagnols dans son cul et nous le terminons en double sodo, Ernesto et moi.
Deux jours plus tard nous roulions vers chez DGSE. Ric me demande de décrire à nouveau le bonhomme. Je fini la description alors que je me gare. La sonnette n'a pas retentie depuis 10 secondes que la porte s'ouvre. La masse de DGSE remplie toute la largeur du couloir d'entrée et je vois mon Ric qui avale sa salive. Je prends l'enveloppe qu'il me tend et ça commence.
Il attrape Ric par le bras et serre suffisamment pour voir mon Ric grimacer. Il le pousse devant lui dans l'escalier qui mène a son sous sol aménagé. Il le fixe debout devant son bureau la lumière d'un spot directement dirigé sur lui, après l'avoir menotté dans le dos. Je me fais transparent dans le fond de la pièce mais n'en perds pas une miette, y'a pas d'âge pour apprendre ! Il commence l'interrogatoire. Comme les réponses de Ric ne lui conviennent pas, il devient plus " violent " et commence à le brutaliser. Aux claques succèdent des coups de poing (maitrisés, pas d'inquiétude à avoir) sur les abdos et les pecs de Ric. Mon regard s'attarde sur l'entrejambe de Ric et je perçois qu'il bande à la vue du volume de sa braguette. DGSE s'en est aussi aperçu et il le traite de pédale, tarlouze et autre mots gentils. Il ajoute que puisqu'il ne veut rien dire sur son souteneur, il va être obligé de passer à la vitesse supérieure. Il défait les menottes et le déshabille complètement avant de lui ré entraver les poignets dans le dos, il ajoute à ses chevilles une barre d'écartement de pas loin d'un mètre, ce qui oblige Ric à rester les jambes écartées.
L'interrogatoire reprend avec maintenant des contraintes sexuelles. A chaque réponse non conforme, il lui pince les tétons, lui serre la bite et écrase ses couilles. Je vois que mon Ric n'en bande que plus. DGSE simule la colère et lui dit que s'il en " chante " qu'avec une bite en lui, il allait s'en charger. Si je n'ai pu filmer la séance, j'ai pris la liberté de l'enregistrer, les images étant plus facile à mémoriser que les dialogues !
Ric se retrouve donc rapidement avec la bite de DGSE sous les yeux. Il fait semblant de résister mais DGSE le forme à ouvrir la bouche et enfile son gland dedans. Comme il fait semblant de s'étouffer avec, DGSE lui prend la tête par les oreilles et s'enfonce entre ses dents. Il lui lime la gorge, bien 5 mn avant de se retirer et de lui répéter la question. Comme la réponse n'est toujours pas celle désirée, il remet ça.
Ric doit être aux anges, il se fait forcer, pincer et triturer ses tétons qu'il a très sensibles, le tout par un mec hyper viril et autoritaire.
La séance dégénère, DGSE passe aux godes dans l'espoir de le faire parler. Il ramène auprès du bureau l'étagère à roulettes qui supporte tout son matériel. Ric voit cela et ne peut s'empêcher de passer sa langue sur ses lèvres. DGSE le voit et il se fait traiter de malade. DGSE pousse Ric a poser son torse sur le bureau et recouvre sa rondelle d'une bonne couche de graisse à gode. Pour le décider à parler, il lui montre chaque gode avant de lui mettre dans le cul. Il commence par du petit (15 x 4) et s'aperçois que ça rentre tout seul. Du coup il fesse le cul de Ric avant de passer à la taille supérieure. Je vois ainsi défiler (ou plutôt enfiler) dans le cul de Ric une bonne demi douzaine de gode de plus en plus gros. Ric fait semblant de trouver cela trop mais je sais que DGSE est encore loin de ce que Ric peut prendre maximum. A un moment, DGSE se kpote et remplace le godage par un enculage en règle de mon Ric. Se dernier en déséquilibre ne peut résister aux grands coups de reins qui enfoncent le pieu de 26cm épais au fond de son trou. Là, Ric ne peut plus se retenir et nous l'entendons gueuler de plaisir. Il demande à se faire bourrer la rondelle, ruiner le cul, ensemencer le ventre.... DGSE ne se retient plus et accroché à ses épaules, le sodomise violemment. Il s'arrête quand même avant qu'ils n'aient jouis tous les deux et sort de l'étagère un monstre de gode. Une bête noire d'au moins 30 cm par 10 de large !
Heureusement que mon Ric est un habitué des doubles sodos et que mes blacks lui ont bien formaté son boyau à des dilatations extrêmes !
Il reprend son interrogatoire et comme Ric ne balance toujours rien (surtout depuis qu'il a vu l'engin, pour rien au monde il n'avouerait quelque chose qui ferait qu'il n'y aurait plus droit !), DGSE met sa menace à exécution et entame l'acte final. Lentement quand même, vu l'engin, après l'avoir quasiment fisté pour graisser le boyau, il force l'anneau de Ric et enfonce la monstruosité jusqu'aux fausses couilles. Quand il lui a tout mis, il se tourne vers moi, étonné d'avoir réussi à tout lui mettre. Je fais signe que c'est Ok et il reprend le travail.
Il alterne le godage du cul de Ric avec le remplissage de sa gorge par sa queue bandée à mort. Au bout d'un moment, il m'appelle et me demande de goder Ric pendant qu'il lui lime la gorge. Je manipule l'engin synthétique Ric tout en le faisant tourner. J'incline un peu le gode pour être sûr (quoi que vu la taille du gland c'est superflu) qu'il frotte bien la prostate de Ric à chaque passage. Pendant ce temps là, DGSE les mains sur le crane rasé de Ric lui défonce la gorge de plus en plus violemment. Heureusement qu'il est habitué aux 27cm de son père et qu'il a l'expérience pour savoir respirer quand il faut. Ce n'est que quand DGSE sort en urgence sa bite pour lui envoyer son jus sur la tête et le dos que Ric s'autorise à jouir aussi. Il inonde le sol au pied du bureau alors que je sors le monstre petit à petit, entre ses contractions anales.
DGSE s'écroule dans le fauteuil du bureau. Je pose le gode à coté de Ric et reprends ma place au fond de la salle. Je bande un max mais j'attends le retour.
DGSE mets un bon 1/4 d'heure avant de des redresser et de venir détacher Ric. Il l'emmène ensuite dans le coin de la salle équipé d'une douche et le laisse se laver. Il revient pour l'essuyer et je vois qu'il prend beaucoup de précautions pour le sécher. C'est le premier à qui je le vois faire cela, faudra que je demande à Jona s'il lui avait ce coup là ! Quand il est sec, il serre Ric contre lui, lui roule une mégapelle et je l'entends lui dire qu'il peut revenir quand il veut. A l'étage il nous offre un rafraichissement, Ric en a bien besoin. C'est la première fois que je vois son salon. Classique avec un grand canapé en cuir noir et un écran plat géant. Nous éclatons de rire quand Ric le remercie et que sa voix est digne d'une basse russe !
Alors que nous partons, DGSE me demande combien cela couterait de revoir Ric. J'ai beau lui expliquer que c'était à titre exceptionnel que Ric m'avait rendu ce service puisqu'il n'émarge pas à ma société, il ne veut rien savoir. De son coté Ric me pousse à accepter. Je me sauve en promettant d'essayer de convaincre le père de Ric de la chose. DGSE m'assure que côté financier, pour Ric, je peux quasiment lui demander ce que je veux et me propose le double de cette prestation que j'avais déjà majorée. Je ne sais pas d'où il tire son fric mais il n'a pas l'air d'en manquer ! Pendant le retour, alors que nous roulons calmement sur l'autoroute, Ric me purge de ma production de spermatozoïdes en souffrance d'expulsion. J'avais bandé pendant presque trois heures à les voir baiser ensemble, mes couilles me faisait limite mal quand j'ai pris le volant !
Cela fait, Ric est revenu à la charge m'assurant n'avoir jamais pris un plaisir pareil depuis son initiation par mes soins. Je lui dis qu'il exagère mais il me dit qu'il a trop kiffé le mec en plus de la séance. Quand nous arrivons chez lui, André est déjà rentré. Il veut savoir si cela s'est bien passé. Ric lui résume en trois mots la séance et ajoute qu'il serait très partant pour remettre ça. Cela étonne un peu mais pas trop son père qui commence à bien cerner son fils et ses besoins spécifiques. Il me demande des précisions sur mon client. Sans citer son nom je situe le mec et je lui précise jusqu'à combien il est prêt à mettre pour le revoir. Sifflement d'André qui connait mes tarifs habituels pour les subir quand il me demande un de mes Escorts. Je lui précise que Ric en aurait la moitié nette puisque toujours payée en liquide. On sera tous gagnant. André se laisse fléchir par l'expression comblé qu'il n'a encore jamais vu sur le visage de Ric et m'autorise à organiser les rendez vous, à conditions qu'ils soient sous mon contrôle et pour Ric que ses résultats de fac suivent.
Cela me promet encore des heures à avoir mal aux couilles à les regarder baiser !! Mais aussi une belle rentrée d'argent frais régulière.
Quand je les quitte, Ric me saute au cou et me roule un patin, glissant dans mon oreille que je n'aurais pas affaire à un ingrat. Je le connais bien maintenant, je sais que ce n'est donc pas une promesse en l'air. Je sais que maintenant je pourrais lui demander tout et n'importe quoi.
Jardinier
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les hommes suisses portent des sous-vêtement "Calida"
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maison des jeunes à Genève
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arizonabowl · 3 months
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༄ Mermaid! Reader x ngnl headcanons ༄
Tet!
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- teto/tet le dieu du monde de disboard à un faible pour les sirènes c'est l'une de ces créations préférées
- il te donne des surnoms comme "ma sirène" ou "Nymphe"
- lorsque que vous vous voyez teto/tet te regarde comme si c'était ma première fois que vous vous voyez pour admirer t'a beauté
- t'es écailles sont comme des pièces rare exposées au musée il adore les toucher et sentir la textures mouillés de ta peau rempli d'écailles
- vous vous donnez rendez-vous à un endroit près d'un lac à chaque fois que vous avez envie de vous voir
- il adore tes cuisses quand tu n'a pas t'a queue de sirènes parce qu'il y a des petites écailles au dessus de t'es cuisses
- "je pensais pas qu'une Nymphe comme toi pourrait me rendre fou à ce point..tu est trop belle.."
- quand tu sors de l'eau tu as des étourdissements à certain moment c'est pour ça que tet/teto a toujours une bouteille d'eau sur lui pour que tu reste hydrater
- "MA SIRÈNE?! TU VA BIEN ?"
"Arrête de paniquer teto..je vais bien"
- tet/teto a l'habitude de se balader dans les airs (il assume pas mais si il se balade dans les airs c'est surtout pour essayer de te repérer et t'observer de loin)
- quand tu n'arrive pas à dormir tet/teto fait tout pour que tu t'endorme dans ces bras
- ou alors quand tu n'arrive pas à dormir tet/teto te porte dans ces bras et fais une balade aériennes sous les étoiles et en général cette technique marche plutôt bien..
- "fais attention à toi petite sirène..j'aime bien manger du poisson tu sais ?"
- "moi j'aime manger des humains."
- "c'est un raccourci pour dire que t'a envie de me manger ?"
- "a toi de le comprendre à ta façon.."
✩ ✩ ✩ ✩ ✩ ✩ ➪
Shiro!
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- shiro ne savait pas l'existence des sirènes jusqu'à ce qu'elle te voit..
- fasciner par ton apparence elle lit des livres qui parlent de sirènes et plus d'informations sur elles
- elle adore la sensation de t'a peau sous ces doigts "si douce..c'est quoi ton secret ?"
- les écailles sur tes joues sont probablement l'emplacement des écailles sur ton corps qu'elle préfère
- elle adore poser sa tête sur t'a queue en guise de coussin pour qu'ensuite tu lui caresse et joue avec ses cheveux
- sora est jaloux à chaque fois qu'il te voit avec shiro parce que lui aussi aurait aimé une belle sirène comme toi qui pourrait lui caressé les cheveux
- elle fait souvent des belles tresses avec t'es cheveux puis rajoute des coquillages pour faire des petites barrettes
- c'est toujours dans une petite grotte que vous vous retrouvez pour discuter et pour montrer votre affection l'une en vers l'autre
- quand elle n'arrive pas à dormir elle t'appelle tout le temps pour que reste avec elle
- "raconte moi tes activités..je sais que tu n'a probablement rien à dire sachant qu'il est tard mais..entendre t'a voix m'aide à dormir alors au moins..parle de tout et de rien s'il te plaît ?"
- quand c'est toi qui n'arrive pas à dormir elle vien dans la grotte en cachette puis vien s'asseoir au bord du lac pour que tu puisse allonger t'a tête sur ses genoux et une fois que tu est bien installée elle fais des mouvements doux dans tes cheveux pour t'aider à t'endormir..
- elle fredonne l'une de ses chanson préférée pendant qu'elle te caresse la tête
- "merci votre altesse.."
"s'il te plait appelle moi shiro.."
"merci shiro.."
✩ ✩ ✩ ✩ ✩ ✩ ➪
Sora!
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- il t'aime comme pas possible.
- la première fois que vous vous êtes vu il a rougis en observant ton corps rempli d'écailles
- ça va sûrement paraître étrange mais il adore des palmes et t'es mains "c'est marrant on dirait un canard :^"
- il adore placer des baisers sur la paume de t'es mains
- quand tu est dans ta forme humaine et que tu prend un bain dans leur château bien évidemment il ne te regarde pas pour respecter ton intimité mais il rougit tellement qu'un jour il a saigné du nez
- il te prête souvent ses habits pour que ton odeur reste dans ces vêtements
- il est souvent stressé à cause des responsabilités d'être le nouveau roi d'imanity alors souvent il te demande de venir dans sa chambre puis s'allonge sur toi pour se détendre
- il a tendance à oublié que tu est une sirène et que tu a besoin d'eau, alors quand t'a peau devient pâle de ton manque d'eau il se met à paniquer et te donne un verre d'eau
"je suis trop con j'avais oublié que tu avais besoin de t'hydrater..je suis désolé"
"c'est pas grave ne t'inquiète pas je vais bien"
- un jour il t'a léché la main pour savoir si t'avais un goût salé..(je vous jure il serait capable de faire ça-)
- il aime te brosser les cheveux et souvent il te fait des compliments comme "t'es cheveux sont magnifiques.." ou alors "t'a les cheveux de raiponce ou quoi-?"
✩ ✩ ✩ ✩ ✩ ✩
J'espère que sa vous a plus et j'essayerai de faire une partie 2 !
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luma-az · 1 year
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Mon renard
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 2 août 
Thème : Apprivoiser/ce que cache un masque
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Peut-on apprivoiser un renard ?
Imaginons que j’en ai envie. Juste pour l’idée. Mettons que, par exemple, j’ai rencontré ce renard, et que j’ai envie de l’apprivoiser. Comment est-ce que je devrais m’y prendre ?
Non, non, ce n’est pas un renard à quatre pattes qui vient creuser sous les poulaillers pour se faire un banquet de volaille. Je ne vous parle pas de ce genre de renard. Non, la question était plutôt à propos des renards à deux pattes. Vous savez. Ceux qui ont l’air humain, très aimables, rusés mais sympathiques, ceux qui ont toujours un petit mot amusant à vous murmurer à l’oreille pour médire discrètement du reste de la société… Ceux qui connaissent très bien les conventions et s’en amusent, ceux qui savent faire danser les autres à leur rythme, pas après pas, jusqu’à ce qu’ils les aient amené exactement là où ils le souhaitaient. Et ensuite les dévorent, j’imagine. Après tout, un renard est un renard.
Ils portent tous des masques, ces renards-là, de beaux masques dont on ne voit pas les ficelles – la seule chose qui les trahit, au final, est de voir leur queue touffue cachée sous leurs vêtements d’humain. Vous savez de quoi je veux parler. Vous connaissez les signes, vous aussi. Comment je le sais ? Oh, disons que ça se sait. J’ai demandé à gauche, à droite, et me voilà. De toutes manières, quelle importance ? Je n’ai pas l’intention de vous faire du tort.
Non, c’est d’un tout autre renard que je viens vous parler – je ne suppose absolument pas que vous êtes un renard vous-même, bien entendu, jamais je n’oserais dire une chose pareille, vous pensez bien. Non, je vous parle d’un autre renard. Un très, très beau renard. Séduisant, amusant, captivant. Je sais très bien comment attirer son attention, il suffirait d’être une jolie proie. Mais je veux plus. Je veux l’apprivoiser. Je veux qu’il devienne mien. Comment pourrais-je m’y prendre ?
Allons. Vous pouvez me le dire. Nous sommes entre nous. Quel risque y a-t-il ?
De la nourriture, peut-être ? De la viande crue, ou au contraire des plats délicats ? De l’extraordinaire ou du réconfortant ? Qu’est-ce qui pourrait détendre mon renard toujours sur ses gardes ?
Du charme, alors ? C’est lui le maitre charmeur, mais peut-être a-t-il envie d’être courtisé à son tour. Tenue experte ou naturel désarmant, qu’est-ce qui peut faire mouche et faire tomber le masque ?
Et si je me contentais d’être honnête, après tout ? J’ai deviné ce qui se cache derrière son masque, mais peut-être sera-t-il touché que j’enlève le mien. J’hésite. J’ai peur de lui faire peur. Vous, depuis que je suis là, je vois bien que vous n’êtes pas du tout à l’aise. Je le sens, même. Alors que tout de même, nous ne sommes plus au moyen-age. Soyez moderne et cessez de trembler, que diable.
De nos jours, qui a encore peur du loup ?
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