#y me frustré
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absolument hilare parce que j'ai retrouvé un texte sur mon ordi et en gros, c'est une bibliothécaire qui raconte que des livres ont disparu et c'est un peu mystérieux et y a une histoire d'incendie d'une ancienne bibliothèque, et la bibliothécaire est très sur la défensive, et un soir, elle reste dans la bibliothèque et elle se rend compte qu'il y a une cave cachée et ça finit avec une chute ambigüe et vraiment, j'ai fini ma lecture en me disant "wah je me demande de quoi ça parlait, vraiment étrange cette fin" mais le problème, c'est que cette nouvelle, c'est moi qui l'ai écrite et j'ai complètement oublié le mystère que j'avais en tête en l'écrivant à l'époque.
#aucune idée de ce que je voulais dire il y a deux trois ans du coup#je me suis auto frustrée c'est fort quand même#littérature#livre
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Me tocó ver una operación policial contra la camioneta blindada más sospechosa del mundo, pensé que se iban a balear, el puto estrés que sentí desesperada por salir rápido del lugar mientras MIL GRINGOS QUE NO SABEN NADA DE LA VIDA SE QUEDABAN AHÍ PARADOTES A VER QUÉ PASABA
#no pasó nada pero sí me frustré y les grité a todo lo que daban mis pulmones: MOVE#ahí recién unos despabilaron y dejaron la escena. pero el resto ahí mirando. mk mirando para QUÉ. les falta calle.#ñ
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Lo único bueno de este final de mierda es conocer el pensamiento de Rita Segato
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Après ce garçon, je ne pourrai plus. J'ai trop tiré sur la corde niveau relationnel et émotionnel. Cette relation m'a fatiguée. Toutes les relations m'ont toujours puisé une énergie que je n'avais finalement pas. Je n'ai pas rencontré un homme qui m'a fait me sentir bien, je veux dire, plus d'un mois. Ça a toujours été ponctué de chagrin, de déception et d'unilatéralité surtout. J'ai peur et mal d'avance de devoir prendre la décision de me séparer mais ce n'est plus possible. Je sais que ce sera libérateur en un sens, enfin, c'est tout ce que j'espère. La vraie gentillesse c'est de ne pas attendre de retour à nos actes, cependant, je ne pense pas que ce soit une manière viable de vivre. Je ne pourrai pas toujours donner tout ce que j'ai pour rendre heureux quelqu'un qui ne se soucie pas de mon bonheur. Je ne pourrai pas toujours accepter les relations où je suis un objet. Je ne pourrai pas toujours espérer que quelqu'un fasse le minimum. Je ne pourrai pas toujours être en bonne santé avec des gens qui me la dégradent juste en existant. J'ai du mal à trouver des relations saines et peut-être à être saine tout court. J'ai longtemps été frustrée du fait que pour moi, c'était facile d'aimer. Facile de donner. Facile d'être attentionnée. Et je crois toujours que ce n'est pas quelque chose de compliqué ou pénible. Il y a des années, un garçon que je fréquentais m'avait dit qu'avec moi on voulait pas aimer, s'engager, mais juste baiser. Ça m'avait blessée tellement profondément et pourtant, je ne peux même pas lui donner tort des années après. Je n'ai rencontré personne qui souhaitait m'aimer de manière bienveillante et construire quelque chose avec moi. Mes parents me disent qu'on est jeunes, qu'on a le temps. Je ne doute pas d'avoir du temps, je doute seulement que le temps règle ce souci de malveillance et égoïsme relationnel. Si tu n'es pas le premier amour de quelqu'un alors tu n'es et ne seras jamais personne, c'est ça que je remarque. J'ai mis du temps à me remettre de ma première rupture, des années à faire un deuil que je pensais infaisable. Ça a été quelqu'un d'important pour moi, mais je l'ai laissé où est sa place: le passé. C'est ça un vrai deuil, c'est accepter. Je n'ai pas rencontré beaucoup de gens qui acceptaient les choses, que ce soit une rupture ou autre. Ça doit être douloureux d'attendre quelqu'un qui ne reviendra pas, pour l'avoir vécu quelque temps, je pense que c'est terrible. Je ne souhaite plus être la personne qui rend l'attente plus agréable et le déni plus fort. Il va me falloir beaucoup d'isolement pour panser toutes ces plaies d'ego et de valorisation qui ont creusé jusqu'à l'os. Je ne peux plus offrir ma guérison à des gens qui n'entreprendront jamais la leur.
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Il faut souffrir pour être une fille !
Ma sœur était plus attirée par les filles que par les garçons. Sa première chérie s'appelait Christine, c'était une rousse mignonne et très féminine. Elle avait 16 ans et était la fille d'une esthéticienne divorcée. Elle logeait au dessus de l'institut de sa mère. Nous formions Christine, ma sœur et moi un drôle de trio de gourmandes de plaisirs. Cela a duré un peu plus de deux ans, jusqu'à mon entrée à l'Université. Tous les samedis après-midi et quelquefois en semaine, nous nous retrouvions dans la chambre de Christine qui était devenue notre salle de jeux. Christine n'était pas en reste et le fait qu'elle vive seule avec sa mère lui a donné beaucoup d'avance côté sexe. Après mes premiers essayages de fille chez Christine, et avant de découvrir le plaisir féminin de me faire prendre par un tampon puis un merveilleux vibro, mes deux complices ont voulu me débarrasser de mes poils disgracieux… Ma sœur y était déjà passée, sauf son minou et c'était très simple car Christine empruntait le matériel de sa mère à l'Institut et s'exerçait sur elle. Un après-midi, ma sœur et sa chérie ne se sont pas caressées comme à leur habitude. Elles ont comploté en messes bases… Elisabeth m'a demandé de me mettre en culotte pendant que Christine descendait à l'Institut. Elle est remontée avec un truc à cire chaude, des bandes et un rasoir électrique. Elle m'a dit : C'est pas beau une fille avec des poils, on va s'occuper de toi ! Elles ont mis une serviette éponge sur le lit et m'ont demandé de m'allonger sur le dos. Christine a appliqué de la cire sur mes jambes, c'était chaud et agréable. Elisabeth a pressé des bandes sur la cire… Et ensuite, je ne sais plus laquelle des deux a arraché la première bande 🤐🥴😭 Tout ce que je sais c'est que j'ai poussé un cri tel que la mère de Christine a demandé du bas ce qu'elles me faisaient pour me faire crier ainsi ! Et elles ont continué ainsi devant et derrière puis sur la poitrine où heureusement j'avais peu de poils car j'ai souffert … Ha les garces 🥴 Pour finir, Christine m'a dit : "Baisse ta culotte, on va te dessiner le maillot pour que tu aies un joli minou comme nous." Je me suis exécuté en lui disant de faire gaffe à ne pas me blesser avec sa tondeuse. Je n'ai pas été blessée mais à force de me manipuler le clito et les couilles, je leur ai offert une belle queue bien raide. Elisabeth a dit : on ne peut pas le laisser comme ça, il ne peut même plus remettre sa culotte 🍆🍆🍆. Et Christine d'ajouter qu'après tout ce travail elles avaient droit a une récompense. Elles m'ont branlé et j'ai déchargé dans la main de Christine qui s'est empressée de lécher ma liqueur. Elisabeth était frustrée car elle n'a eu que les dernières gouttes en essorant mon clito qui dégonflait…
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You have to suffer to be a girl!
My sister was more attracted to girls than boys. Her first sweetheart was called Christine, she was a cute and very feminine redhead. She was 16 years old and the daughter of a divorced beautician. She lived above her mother's salon. Christine, my sister and I formed a strange trio of pleasure seekers. This lasted a little over two years, until I entered university. Every Saturday afternoon and sometimes during the week, we met in Christine's room which had become our playroom. Christine was not left out and the fact that she lived alone with her mother gave her a big head start on the sex side. After my first girl fittings at Christine's, and before discovering the feminine pleasure of being taken by a tampon then a wonderful vibrator, my two accomplices wanted to get rid of my unsightly hairs… My sister had already been there, except for her pussy and it was very simple because Christine borrowed her mother's equipment at the Institute and practiced on her. One afternoon, my sister and her sweetheart did not caress each other as usual. They plotted in my basics… Elisabeth asked me to put on my panties while Christine went down to the Institute. She came back up with a hot wax thing, strips and an electric razor. She told me: It's not beautiful a girl with hairs, we'll take care of you! They put a terry towel on the bed and asked me to lie on my back. Christine applied wax to my legs, it was hot and pleasant. Elisabeth pressed strips on the wax… And then, I don't remember which of the two tore off the first strip 🤐🥴😭 All I know is that I screamed so much that Christine's mother asked from below what they were doing to me to make me scream like that! And they continued like this in front and behind then on my chest where fortunately I had little hair because I suffered… Oh the bitches 🥴 To finish, Christine told me: "Pull down your panties, we're going to draw your swimsuit so that you have a pretty pussy like us." I complied, telling her to be careful not to hurt me with her clippers. I wasn't hurt but by dint of manipulating my clit and balls, I gave them a nice stiff cock. Elisabeth said: we can't leave him like this, he can't even put his panties back on 🍆🍆🍆. And Christine added that after all this work they were entitled to a reward. They jerked me off and I unloaded in Christine's hand who quickly licked my juice. Elisabeth was frustrated because she only got the last drops by wringing out my deflating clit…
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Hey ! 🤗
Aurais-tu des conseils à donner pour des personnes souhaitant apprendre à dessiner ?
Ps : je te suis depuis le début de la création du jeu Amour Sucré et ton évolution est incroyable ! Ton travail est super inspirant ! Je te souhaite une bonne journée et une bonne continuation ! ❤️
Coucou Ca fait longtemps alors ! Merci beaucoup ❤️❤️❤️
Je pense avoir déjà répondu à cette question ici en anglais, alors je vais juste le traduire en Français en espérant que ce soit suffisant :) (mais sinon vous me direz ! )
Les conseils que je peux donner n'ont rien de vraiment magique, mais les voilà !
Amusez-vous en dessinant, c'est bête, mais c'est le PLUS important avant tout. Surtout quand c'est en tant que loisir, pour le plaisir.
Il vaut mieux arrêter votre dessin à un moment donné où vous prenez encore plaisir à travailler dessus (et y revenir plus tard) que de continuer à dessiner jusqu'à ce que vous soyez frustré/énervé dessus. Ca permet de garder un sentiment "positif" sur notre dessin et notre envie de dessiner.
Prendre le temps de travailler et apprendre les bases du dessin. Oui ça peut être casse pied, oui ça peut ne pas vous intéresser, mais au bout du compte c'est toujours utile et nécessaire. Et il serait dommage de s'en rendre compte "trop tard", c'est à dire d'avoir perdu des années d'apprentissage alors que vous auriez pu, y accorder juste un petit peu de temps régulièrement et ça vous aurez déjà permis de cumuler du savoir et progresser plus vite par la même occasion.
Si vous ne pouvez pas, ou n'avez pas envie de dessiner pendant un certain temps, ce n'est PAS GRAVE. Vous pouvez toujours apprendre beaucoup de choses juste en gardant l'œil et en observant, en analysant votre environnement (la forme et le volume d'un objet, comment se propage la lumière sous tel éclairage etc... ) Donc apprendre à observer et pas juste regarder.
Trouvez des amis dessineux, dans une ambiance saine (indispensable). Vous pouvez être un moteur extrêmement positif et motivant les uns pour les autres et créer une vraie émulation. Ca me manque personnellement de ne plus avoir ça !
D'un point de vue plus direct et plus "dans" la pratique, comme pour ce qui concerne des tutoriels, je recommanderais vraiment la chaîne de Marc Brunet. (en anglais) Je le trouve très sympa, il a beaucoup d'expérience, et il sait partager de manière amusante. Ses vidéos sont toujours fun à regarder et vous trouverez une grande variété de sujets ou thématiques selon vos besoins. C'est facile d'accès pour les débutants et même si vous êtes un artiste plus confirmé, il y a encore beaucoup à apprendre de lui.
J'espère que ces petits tips vous aideront, bonne chance dans votre parcours artistique ! 😊
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beaucoup de choses à dire mais je ne sais pas comment les écrire, ça fait longtemps que je n'ai pas été si bien même si ce n'est qu'une passade elle est si agréable que j'ai l'impression d'être à strasbourg à défaut d'y avoir été avec toute ma famille ce week-end (strasbourg = impression que rien n'est réel et que je suis la plus heureuse) je me sens vide et remplie après avoir passée la semaine avec Y, on a fait un pacte en crachant dans nos mains avant de les serrer et j'ai promis de ne plus jamais lui mentir, il m'a dit qu'il me comprenait mieux et qu'il fallait qu'on essaie de faire plus de choses ensemble, ce qu'on a fait ce week-end notamment quand je l’ai ramené chez mes copains de montreuil puis même avant quand ça n'allait pas avec la tonne de concerts auxquels on est allés ensemble en un temps si réduit mais avant ça j'ai cru qu'on ne se parlerait plus jamais, on s'était beaucoup eu au téléphone pour essayer de se comprendre mais on ne se comprenait pas peut-être car moi-même je n'y arrivais pas, ça m'avait mis dans tous mes états pendant bien quinze jours et lui aussi de son côté, c’était tellement la crise que la semaine dernière chez la psy je n’ai pas dit je ne sais pas de quoi parler comme les autres séances j’ai directement embrayé sur ça puis on a parlé de ma peur du conflit, de celle de blesser et quand la séance s’est finie elle m’a dit qu’elle était frustrée car c’était passé super vite et qu’elle voulait en savoir plus, en tout cas je vais continuer mes efforts qui n’en sont pas tant que ça quand on aime quelqu’un puis continuer d’essayer de mieux comprendre puis d’abandonner mes comportements d’adaptation qui ne m’aident plus du tout dans la vie la vraie la vie d’adulte… bref je suis toute seule dans mon lit ça fait longtemps et je préférerais être avec lui
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— Cecilia, tu penses à racheter de la crème solaire ? — Oui, j’y pense. — Tu ne l’as pas fait hier. — Il n’y en avait plus à la supérette. C’est la fin de la saison. — Ben et la pharmacie, alors ? — Je n’y ai pas pensé… — Évidemment ! — Peppina, as-tu vu les statistiques des séparations chez les couples homosexuels ? — Il n’y a rien à en dire, à moins d’une étude approfondie sur les raisons sociologiques. Pourquoi tu en parles ? — Pour rien. Enfin… Les gays sont si fidèles… — Y a-t-il autant d’hommes, parmi les homosexuels qui se marient, que de femmes ? — Je ne sais pas. Je crois que les séparations sont exprimées en pourcentage… — Dans les mariages hétéro, les femmes sont-elles autant indépendantes que dans les mariages lesbiens ? — Sans doute que non. — Bien sûr que non. Que veulent-ils faire dire aux statistiques ? — Je ne sais pas�� C’est étonnant. Parfois j’aimerais être dans un couple d’hommes. — Tu n’es pas sérieuse ! Partager l’interprétation misogyne de je-ne-sais-qui à partir de statistiques qui, une fois de plus, peuvent vouloir dire toute sorte de choses… Déjà, on ignore si les couples homosexuels masculins se marient autant que les lesbiens. — C’est en pourcentage… — PENSES à reprendre de la crème solaire ce soir, Cecilia. — J’y pense. — Il existe certainement de nombreuses raisons qui amènent à ces statistiques. Tant qu’aucune étude approfondie n’est menée, il n’est pas possible d’avoir une opinion définitive. Déjà, les couples masculins se marient à un âge plus avancé que les féminins. Ayant une relation plus ancienne que celle des jeunes femmes, elle est donc plus solide. Un exemple parmi d’autres de tous les éléments pouvant expliquer cela. — L’âge moyen de mariage, pour les lesbiennes, n’est que deux ans et quelques de moins que pour les gays. Cela ne me semble pas une grande différence d’âge. — C’est drôle cette obstination que tu as à me présenter, non pas des données, telles qu’elles sont, avec la lecture qu’en font des chercheuses connues, venant d’universités soutenant la cause LGBT, mais des petites critiques d’inconnus frustrés et misogynes ! — Il paraît… Je ne dis pas que c’est vrai, mais certains disent… que la misogynie serait un peu un mythe. — Ah ouais ? Un mythe carrément ? T’es une merde, Cecilia. — Peppina ! — Tu as pensé à racheter du concombre pour ce soir ? TU Y AS PENSÉ ? — Peppina… Je ne peux plus. Je voudrais… qu’on se sépare. Je… — Il manque aussi des cahouètes. — J’ai pensé à tes cacahuètes. — M’en fiche, plus envie. — Moi non plus.
Illustration : Sunbathers, par William Russel Flint, XXe siècle
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✈︎ (premier poste j'espère que sa vous plaira ) jalousie — [ Enhyphen Jake ] genre ⋆ cochonnerie
"Je pensais que nous étions censés rester un peu plus longtemps." Vos mots sont sortis brouillés, votre petit ami Jake vous tirant derrière lui par le poignet et jusqu'à la voiture.
il était furieux et tu avais beaucoup trop bu pour comprendre pourquoi. ce que vous saviez, c'est que le voir si frustré vous excitait au-delà de toute croyance.
ce soir était censé être amusant. Jake a toujours aimé sortir et boire avec les garçons. il pensait que vous inviter à le suivre serait une bonne idée, mais bon sang, il avait tort.
il lui a suffi de surprendre Heeseung en train de vérifier vos fesses pendant que vous vous penchiez sur la table de billard, la lèvre coincée entre ses dents, pour qu'il vous traîne hors du bar. vous portiez votre jupe plissée préférée, ignorant innocemment qu'elle était un peu trop courte et, en vous penchant, vous pouviez voir un petit aperçu de votre culotte lacée en dessous.
Jake l'a remarqué bien sûr. il l'a toujours fait. cette jupe était sa préférée et tu le savais aussi. c'était la seule raison pour laquelle vous l'aviez mis en premier lieu. pour lui .
la mâchoire serrée et les sourcils froncés, il vous a ouvert la portière passager de la voiture. même quand il était énervé, il était toujours un gentleman. votre esprit bourdonnant ne pouvait s'empêcher de fourmiller des pensées les plus sales alors qu'il montait dans le véhicule.
"Tu es tellement sexy quand tu es en colère." les mots sont sortis comme du vomi, les yeux de Jake se sont tournés vers toi pendant qu'il mettait la clé dans le contact, "tu sais que tu m'appartiens, n'est-ce pas ?" ses mots sortaient à travers les dents serrées, brisant le silence qui remplissait la voiture.
ses doigts serraient si fort le volant que ses jointures devenaient blanches. tu ne pouvais pas t'empêcher de penser à quel point sa main serait jolie autour de ta gorge, la serrant tout aussi fort.
Tu as hoché la tête d'un air penaud et tu as tendu la main pour passer tes doigts dans ses cheveux noirs pour le rassurer, "je suis à toi, Jake." ses épaules se détendirent immédiatement, sa prise sur le volant se relâchant également. tu as adoré voir l'effet que tu avais sur lui.
il ne savait pas qu'il avait un effet très durable sur vous. ta jolie culotte était maintenant trempée dans ta propre excitation. Jake tendit la main pour caresser ta cuisse. c'était un geste innocent de sa part. pourtant, ta chatte palpitait et tes hanches bougeaient, la chaleur de sa main te donnant une sensation de chaleur insupportable.
"Je ne supporte pas de voir d'autres gars te regarder, _____. ça me rend fou. Les ongles de Jake s'enfoncèrent en toi, serrant ta peau somptueuse. "je sais bébé." tu gémissais, ne voulant rien d'autre que qu'il te touche. te touche vraiment .
il savait aussi ce que tu voulais. Jake l'a toujours su. il adorait juste te taquiner. c'était sa partie préférée, t'entendre supplier et plaider pour qu'il te baise. il aimait à quel point ta voix devenait pleurnicheuse, à quel point tu te tortillais contre lui. mais par-dessus tout, Jake aimait le fait qu'il était le seul à pouvoir vous faire ressentir cela.
vous ne saviez pas si c'était l'alcool ou les doigts magiques de votre petit ami, mais dès qu'il a trouvé votre clitoris, la zone autour de vous a commencé à tourner. ta tête retomba contre le siège et tes cuisses s'écartèrent immédiatement pour lui.
"Putain, tu es trempé." sa voix était rauque, de jolis yeux scrutant l'extérieur du bar. il y avait quelques personnes qui fumaient près des portes d'entrée et des voitures vides remplissaient la majeure partie du parking. n'importe qui pouvait s'approcher et vous attraper tous les deux et, d'une manière ou d'une autre, cette pensée l'excitait encore plus.
Quand Jake a tenté de tirer ta culotte sur le côté, tu as tenu son poignet en place pour l'arrêter, "non". ta voix était ferme et tu as retiré sa main. au début, il a été blessé. mais tu avais pas mal bu et ce n'était pas le genre de petit-ami à profiter de toi. même s'il était déjà visiblement dur dans son jean.
puis ta voix était douce, se déplaçant pour s'asseoir sur tes jambes pendant que tes mains tendaient la console centrale pour tâtonner avec impatience avec la boucle de sa ceinture. "laisse-moi te montrer combien je t'aime." tu voulais être celui qui lui plaisait cette fois. pour prouver à quel point vous l'adoriez, lui et sa belle bite. comment il était le seul que l'on puisse souhaiter.
Une fois que vous avez baissé sa fermeture éclair, vous avez rapidement retiré sa queue de sous son slip. et la bite de Jake s'est redressée, toute prête à être touchée par toi. il avait l'impression qu'il avait dû rêver lorsque vous avez léché une longue bande allant de la base de sa queue jusqu'à son bout, pour finalement le prendre dans votre bouche.
sa main saisit rapidement tes cheveux, te tirant plus près et enfonçant sa longueur plus loin dans ta gorge. "Putain, c'est ma gentille fille." ses louanges ont fait serrer vos cuisses, votre mâchoire s'est relâchée pour prendre davantage de lui. tu en prendrais autant que Jake le voulait. toujours.
ce n'est que lorsque sa pointe a touché le fond de ta gorge qu'il a arrêté de pousser ta tête vers lui. tes doux yeux se sont fermés et tu as creusé tes joues avant de rapidement balancer ta tête sur son manche.
"Oh mon Dieu. juste comme ça." Les sourcils de Jake étaient froncés, ses lèvres légèrement entrouvertes et, sans même réfléchir, ses hanches relevées pour rencontrer votre visage. tu l'as bâillonné et tes ongles se sont enfoncés brutalement dans ses cuisses, ce qui lui a valu un gémissement pleurnichard.
avec la prise serrée que Jake avait sur ta tête et les contractions incessantes de sa bite dans ta bouche, tu savais que ton petit ami était proche de son apogée. en plus, il devenait beaucoup plus bruyant. les louanges et les malédictions sortaient de ses lèvres de manière incohérente. tu as accéléré sur lui, sa tête a fini par tomber en arrière et ses jambes ont tremblé lorsque sa charge chaude a finalement recouvert l'intérieur de ta bouche.
vous vous êtes assuré de le sucer lentement de la base à la pointe, en faisant tournoyer votre langue le long de chaque courbe et veine striée de sa bite pour le nettoyer entièrement. le sourire qui dessinait les lèvres de Jake était absolument magnifique. de belles petites gouttes de sueur coulaient sur son front et il gémissait de manière audible lorsque vous le retiriez avec un pop. Vos yeux se sont croisés dans les siens et il a immédiatement pressé ses lèvres contre les vôtres.
vous vous êtes immédiatement fondus tous les deux dans le baiser, vous vous penchant encore plus sur la console jusqu'à ce que vous soyez penché à quatre pattes avec votre jupe retroussée au niveau de vos hanches. Jake ne put s'empêcher de sourire narquoisement lors du baiser. puis il s'est reculé, tendant sa main derrière vous pour vous gifler les fesses à moitié nues, ce qui vous a fait crier bruyamment. et cette fois, Jake ne se souciait pas de savoir qui te voyait ou qui voyait ta jolie culotte parce qu'après tout, tu étais à lui.
#enhypen #enhypen x lecture #enhypen charbon
#jake enhypen#enhypen jake#jake sim#jake x lecteur#jake cochonnerie
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Il y a plusieurs raisons d'aimer Rayllum et je peux comprendre pourquoi c'est un ship assez solide. Je crois que j'ai commencé à les shipper en saison 2. Bien que Callum à ce moment là, était plus intéressé à Claudia. Mais ce que j'apprécie dans ce ship c'est comment leurs points de vue se sont défiés ainsi que leurs préjugés sont au final infondés concernant les humains ou les elfes et changent peu à peu leur vision des choses. Ils ont apprit à se connaître et s'inspirent mutuellement ! Comme par exemple la scène où Rayla veut partir sauver Pyrrha car elle a été poussé par les paroles de Callum. Et Callum bien qu'il est frustré de ne pouvoir rien faire, finit par intervenir. Il sauve le dragon en utilisant la magie noire ainsi que Rayla au passage, car il voulait aider tout comme elle. Bien que celle ci désapprouve cette magie car elle vole l'énergie magique des créatures !
Mais petit à petit, ils apprennent à se faire confiance et se soutiennent mutuellement. Par exemple, l'une de mes scènes préférés c'est que Rayla fait face à Sol Regem ! Lui faisant comprendre à quel point elle a besoin de Callum dans son voyage vers Xadia et quel genre de personne il est pour elle ! Je suis sûre que beaucoup citeront d'autres moments préférés mais pour moi, c'est ce moment ! Mais aussi le fait d'être présent l'un pour l'autre. Quand Rayla se lamente en disant que son village a eu raison de la bannir. Or il la fait taire lui faisant comprendre quel genre de personne elle est vraiment.
Et dans l'acte 2, je peux comprendre pourquoi certains étaient insatisfaits de la saison 4. Pour ma part, elle était pas si terrible mise à part deux trucs qui m'ont fait haussé un sourcil. (Comme le fait que Viren semblait savoir qui est Rex Igneous alors que pour Avizandum, il a dû faire des recherches à son sujet. Ou bien le fait que Rayla est parti sans Soren) Mais j'avais bien aimé l'attitude de Rayla envers Callum ! Je m'explique, je pense qu'à ce moment là, elle se rend pas compte que son départ l'a blessé à ce point. Et elle essaie de se rattraper avec lui mais lui laisse de l'espace. Elle n'impose pas sa présence et n'insiste pas quand celui ci semble pas intéresser à dialoguer ! Et de l'autre je peux pas vraiment blâmer d'être distant envers elle. Il a eu l'impression d'avoir été abandonné par elle à cause de la lettre. Parti le jour de son anniversaire, au point qu'il savait même pas comment se sentir une fois qu'elle soit revenu, c'est assez confus pour lui ! Donc je peux comprendre pourquoi Callum n'était pas réceptif envers elle, car il sait juste pas comment réagir naturellement avec elle en saison 4.
Ce n'est que quand Callum vient la voir que là du coup elle se montre plus active. Bon la conversation s'est pas très bien passé quand il s'est confié. Mais je pense toujours que c'est parce qu'elle le surestime et qu'elle a tellement confiance en lui ! Que du coup, elle est aveugle en ce qui concerne les insécurités, pour elle, c'est impensable que Callum se fasse corrompre. Car justement elle l'a vu utiliser la magie noire une fois et l'a surmonté ! Et dans la saison 5, c'est justement leur relation qu'ils essaient de réparer. En redevenant intimes, comme la scène où ils regardent les étoiles. Ou bien se confiant sur leurs secrets, comme Rayla qui parle de sa famille coincé dans des pièces. Bien que Callum ne s'ouvre pas émotionnellement parlant pour l'instant. Je sens qu'il va finir par se confier de nouveau à elle et cette fois ci au lieu de ne pas comprendre ce qu'il va dire et essayer de "l'encourager" on va dire. Je pense qu'elle essaiera de l'aider, voir même le réconforter si ça va vraiment pas bien !
Je dois dire que je préfère leur relation à l'acte 2 car je la trouve plus nuancé et plus complexe. Non pas que leur relation dans les premières saisons n'avait pas de nuance et quoi que ce soit. Mais dans l'acte 2, leur relation m'attire plus on va dire !
There are many reasons to love Rayllum and I can see why it's a pretty solid ship. I think I started to shipper them in season 2. Although Callum at that point was more interested in Claudia. But what I like about this ship is how their points of view have challenged each other and their prejudices are ultimately unfounded about humans or elves and gradually change their view of things. They get to know each other and inspire each other! Take, for example, the scene in which Rayla sets off to save Pyrrha, inspired by Callum's words. And Callum, although frustrated that he can't do anything, ends up intervening. He saves the dragon using dark magic, and Rayla too, because he wanted to help just as she did. Although Rayla disapproves of this magic, as it steals magical energy from creatures!
But little by little, they learn to trust and support each other. For example, one of my favorite scenes is Rayla confronting Sol Regem! Making him understand how much she needs Callum on her journey to Xadia and what kind of person he is to her! I'm sure many will name other favorite moments, but for me, it's this moment! But also being there for each other. When Rayla laments that her village was right to banish her. But he shuts her up, making her realize what kind of person she really is.
And in Act 2, I can understand why some people were dissatisfied with Season 4. For my part, it wasn't so bad apart from a couple of things that made me raise an eyebrow. (Like the fact that Viren seemed to know who Rex Igneous is when for Avizandum, he had to do some research about him. Or the fact that Rayla left without Soren) But I liked Rayla's attitude towards Callum! Let me explain, I don't think she realizes at this point that he's been so hurt by her leaving. And she tries to make up for it with him, but gives him space. She doesn't impose her presence or insist when he doesn't seem interested in talking! And on the other hand, I can't really blame him for being distant towards her. He felt abandoned by her because of the letter. Leaving on his birthday, to the point where he didn't even know how to feel once she came back, it's pretty confusing for him! So I can understand why Callum wasn't receptive to her, because he just doesn't know how to react naturally to her in season 4.
It's only when Callum comes to see her that she suddenly becomes more active. Well, the conversation didn't go so well when he confided in her. But I still think it's because she overestimates him and trusts him so much! As a result, she's blind when it comes to his insecurities; for her, it's unthinkable that Callum would be corrupted. Because she saw him use dark magic once and overcame it! And in season 5, it's precisely their relationship that they're trying to repair. By becoming intimate again, like the scene where they look up at the stars. Or confiding in each other about their secrets, like Rayla talking about her family stuck in coins. Although Callum doesn't open up emotionally just yet. I have a feeling he'll end up confiding in her again, and this time instead of not understanding what he's going to say and trying to "encourage" him, we'll say. I think she'll try to help him, or even comfort him if he's really feeling down!
I have to say that I prefer their relationship in Act 2 because I find it more nuanced and complex. Not that their relationship in the early seasons didn't have nuance or anything. But in Act 2, their relationship attracts me more, shall we say!
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Coucou ! :D
Pour le jeu des questions avec les fruits, si ça t'inspire et ne te gêne pas : 🍑 🍏 🍈 ?
Merci beaucoup d'avance ! :D
Coucou et merci pour les questions :D
Fruit emoji ask game for fic writers
🍑If you could make a connection between your favorite character and another work you care about (whether a crossover/fusion or a wonderfully “pretentious” literary reference) what would it be? How would it work?
J'avais pensé à faire un "crossover" entre FE3H et la nouvelle La Gorgone de Tanith Lee. Dans cette histoire, on suit un auteur qui se rend en Grèce pour écrire. Il va développer une obsession pour une île qu'il entrevoit aux larges et dont les habitants lui disent qu'elle est habitée par une gorgone. Il finit par s'y rendre et découvre que la gorgone est une femme victime d'une paralysie faciale et qui est donc ostracisée à cause de sa différence.
Dans le scénario qui en était inspiré, Sylvain était un journaliste qui se rendait en Grèce pour faire un récit de voyage (c'était un univers type XIXème siècle). De la même manière, on l'avertissait de ne pas se rendre sur une certaine île. Sauf qu'il découvrait en vérité que les habitants de l'île en question étaient en réalité les bons Agarthans qui faisaient partie d'un groupe incompris et rejeté à cause de superstitions locales.
J'ai aussi très, très, très envie de faire un crossover FE3H/L'éveil d'Angantyr, avec Hervor qui va chercher l'épée de son père dans les collines en feu. La base est posée (c'est pas pour rien que le père de Svanhild et Rusla s'appelle Angantyr et leur mère Töfa) donc il n'y a plus qu'à.
🍏 Is there something you overuse, whether it’s a certain phrase, trope, or piece of punctuation?
Dans les tropes que j'utilise beaucoup trop, il y a la nuit comme refuge, ça je le fais plus ou moins inconsciemment. J'utilise pas mal de métaphores à base de sang aussi ?
Et puis bien sûr il y a l'héroïne guerrière. J'aime quand mes héroïnes peuvent se défendre et participer aux scènes d'actions (quand j'étais petite j'étais frustrée de voir les personnages féminins rester à la maison pendant que les héros allaient vivre des aventures épiques et intéressantes) donc au final...je n'en ai aucune qui ne sache pas se battre (ça fera grincer des dents chez certains, mais je m'en fiche). Il y a peut-être une exception avec Sophia, la protagoniste de mon nouveau projet "Ange qui devient humaine", mais dans les faits je ne sais pas si ça va longtemps rester comme ça et j'ai en tête une scène où elle balance le contenu d'un encensoir à la tête d'un assaillant donc euh...voilà.
Beaucoup de mes personnages ont aussi perdu quelqu'un ou quelque chose et doivent meubler ce vide.
🍈 Who’s your blorbo and what are some of your favorite headcanons/ideas about them that repeatedly show up in your fics? Free pass to rant about blorbo opinions.
On va parler de Rhéa :D Vu que je n'ai pas trop l'occasion d'écrire sur elle parce que...scénario(mais on va bientôt la revoir).
J'aime énormément Rhéa, j'aurais aimé en voir plus. Elle aurait tellement de chose à raconter. J'aime que ce soit un personnage intéressant et gris, qui a pris des décisions complexes pour le bien commun. Mais toutes ses décisions restent compréhensible et finalement qu'aurait-on fait à sa place ? (enfin, ça c'est si on est de bonne foi bien entendu).
Rhéa est absolument badass. Dès la scène d'intro du jeu, tu comprends qu'elle n'est pas là pour niaiser. Elle n'a pas besoin d'un homme pour la sauver et lui tenir la main. Non, elle se venge de ceux qui ont détruit son peuple. L'humanité ne lui a montré que le pire et pourtant elle n'a pas abandonné.
Voici quelques headcanons :
-Rhéa est une de seules personnes à pouvoir remettre Macuil à sa place.
-Elle conserve beaucoup d'objets des personnes qu'elle a apprécié et côtoyé et qui sont aujourd'hui morts.
-Elle était très heureuse de revoir Flayn après tout ce temps. Rhéa l'écoute quand Flayn vient se plaindre de son père et lui donne des conseils. Elle note aussi avec nostalgie combien Flayn ressemble à Liath. Même si la pêche c'est pas trop son truc, elle aime passer du temps dehors avec sa famille.
-Les noms de ses golems sont ceux de gens auxquels elle tenait...même des gens très ordinaires. Marcelle et Simone étaient un couple de femmes qui vivaient au monastère. Marcelle était une cuisinière dont Rhéa adorait les plats et Simone une chevalière avec une personnalité simple et franche.
-Elle serait très heureuse de voir Catherine se mettre en couple avec Shamir et essaierait même de les rapprocher.
-Elle est très faible après son séjour thalasso AHEM sa détention dans le palais d'Enbarr (manque d'exercice, isolement etc.). Elle s'entraîne ensuite avec Catherine et Enid pour retrouver son niveau d'avant.
-D'ailleurs je suis désolée mais elle ne retourne pas seule à Zanado après les événements du jeu ! Elle reste à GM avec sa famille !
-Elle avait beaucoup d'affection pour Sitri et lui a donné une excellente éducation. Je reviendrai dessus dans ma fic, mais Sitri était en gros la secrétaire de Rhéa et tenait une correspondance avec beaucoup de gens à l'extérieur. Même sans sortir, Sitri était quand même capable de faire entendre sa voix et d'influencer le monde. Elle aimait aussi beaucoup débattre avec les savants qui venaient au monastère.
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Hasta las narices de que Youtube ponga anuncios en medio de las meditaciones, métodos guiados o audios relajantes en general. Siempre intento apoyar a los creadores y no me importa ver anuncios al principio del video, pero cuando me salen en medio o al final, no lo soporto. Te saca totalmente de la relajación (por no hablar de que algunos están a todo volumen o con música estridente).
Así que últimamente usaba la app de música de mi móvil, que permitía ver videos de Youtube sin anuncios, pero esta noche me la han actualizado y ya sólo deja buscar canciones y vídeos de música, así que me han fastidiado pero bien.
Y cómo no, me puse a hacer un método directamente de Youtube y me salió el maldito anuncio a medio, me frustré tanto que lo dejé.
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Quand j'étais petite, même adolescente, la réponse de mon père à mes problèmes était souvent la même "on nait seul, on meurt seul, ce qu'il y a au milieu, c'est un flux incertain de gens, d'argent, de moments". J'étais toujours frustrée, c'était trop pragmatique, parce que moi je me raccrochais aux flux en les pensant constant. J'étais sûre que ce serait les gens dans ma vie qui me feraient vivre et qui y donneraient un intérêt. En un sens, c'est vrai. Ça compte beaucoup mais ça ne comptera jamais autant que nous en tant qu'individu. Ma capacité à être mon pilier, ma sûreté, ma zone de confort a longtemps était insuffisante car je ne pensais pas que ça devait venir de moi. J'ai mis du temps à comprendre que les ressources c'était dans les miennes qu'il fallait que je pioche pour avancer car elles, étaient à moi. Celles des autres sont éphémères et pas à ma disposition. J'ai toujours beaucoup de mal avec cette notion d'auto suffisance. Je dois pouvoir subvenir à mes besoins émotionnels, vitaux, individuels. Ça m'a toujours paru être une trop grande responsabilité pour moi. Aujourd'hui j'écris ça au bord de la mer. C'est la 2e fois en 6 mois dans cette nouvelle vi(ll)e que je fais ça. Je sors pas par nécessité, pas parce que je dois acheter quelque chose, aller à la fac ou encore chez le médecin. Non. Je sors pour me balader. Sans but. Juste parce que j'ai le temps et l'envie. La première fois, j'avais écrit du même endroit, en septembre, et complètement brisée. J'étais prise dans une tempête émotionnelle et sensorielle. J'avais peur pour ma mère. J'avais mal d'avoir laissé la liberté à ce garçon de me heurter. Je n'étais pas sûre de vouloir continuer les études. Je ne sais pas si je ne ressens plus tout ça. Ce serait mentir de dire que la peur, la rancoeur et le doute ne font pas partie intégrante de ma vie mais dans la mesure où ils ont toujours été présents, je ressens plus de facilité à atténuer. Je regarde la mer avec plus de sérénité. C'est peut-être bon signe que je recommence à sortir sans but et à aller au cinéma. Après tout ce temps, peut-être que l'habitation est enfin là. J'ai de moins en moins mal au ventre à mesure que le temps passe. Je trouve une sorte de routine. Enfin. Je me prépare à une rupture qui aura lieu tôt ou tard et je tâche de faire ce qu'on attend de moi. Me détacher de toute la souffrance que je sais me rajouter seule. J'essaie de faire à manger régulièrement, ne pas louper de cours, ne pas être flexible, ne pas me forcer, me cultiver, être quelqu'un de moins pénible pour moi et pour les autres. Juste prendre le temps de sourire aux personnes âgées dans la rue, parler aux filles du groupe, lire mes cours. C'est pas chose aisée. Je me contraints à être quelqu'un que j'aimerais côtoyer. J'essaie de prendre tout ça comme un moyen de grandir et moins comme une punition. Sûrement que tout arrive pour une raison (plus ou moins valable) et que ça prend du temps de voir ce qu'on peut en faire de bien. Je ne crois pas que je me déteste, je crois que je me tolère.
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Hello !
J’avais un peu envie de discuter ✍🏻
En ce moment je suis chez moi ! Dans mon appartement tout douillet avec mes plantes 🪴 et toutes mes affiches que j’ai collé au mur ! Je me sens apaisée et j’ai envie d’y rester ✨
J’essaye de garder l’appartement rangé 🧹 pour pas que le bazar m’encombre l’esprit, que les idées que j’ai y reste clair et ne soit pas noirci par du glitch 🗑️
Je pense que la tâche ménagère que j’aime le moins c’est passer l’aspirateur !
Je sais pas si c’est parce que je me sens frustrée de pas avoir assez de force musculaire au niveau des bras ou parce que j’ai aussi l’impression que l’aspirateur n’aspire pas ! Alors que GYUS c’est ton job enfaite !
Aniway !
En tout j’aime beaucoup mon coin bureau !!
J’ai d’ailleurs pris des petites photos pour vous le montrer hihi
J’adore vraiment et d’un côté *chuchote* « je suis contente que mon deuxième écran se soit cassé » !
Car oui comme mon appartement est un meublé ! J’ai pas eu le choix que de garder le bureau !
Snifff 😢 mon grand bureau blanc que j’affectionne tant ! Mais ainsi est fait la vie, j’ai plus de place comme ça dans l’appart 😎 !
En tout cas j’aime beaucoup le rendu avec la lampe arc-en-ciel 🌈 et le petit rangement en bois que ma Mamounette m’a donné !
J’espère que mon petit coin bureau vous aura donné de l’inspiration !
Sur ce je vais dodo 🦤
Merci de m’avoir lu, je vous souhaite une bonne soirée, une bonne journée et vous dis à très bientôt ! Bisouuus sur votre petit nez rouge à cause du froid !
Papillon Lune 🦋🌙
#racontage de vie#aspirateur gif#pluiiedelune#journal de la Lune it’s me#c’est quoi ta tâche ménagère que t’aime pas#bureau aesthetic ou de Pinterest comme tu veuux#study desk#kiki la petit sorcière
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j’avais qu’une envie aujourd’hui c’était de boire ce soir et de nous tirer les cartes mais personne voulait sortir on a passé plus d’une heure dans la cour de prison entre les deux bâtiments de ma fac à discuter alors qu’on aurait pu être posés dans un bar et je suis rentrée frustrée julie m’a dit de regarder un film pour mon mémoire et qu’on sortait dimanche soir de toute façon mais j’en ai besoin maintenant et ensuite Y m’a dit regarde un film tranquille dans ton lit et plus étonnant prend toi une bière avec alors qu’il surveille dès que je bois en ce moment mdr ça dit le désespoir qu’il a lu en moi mais je veux faire aucun des deux ça m’a soulé je voulais juste sortir avec des amis ouin et boire des bières à la violette et j’ai l’impression d’être en spm alors que j’ai mes règles et que toute ma semaine de spm j’étais en train de me dire mais j’ai l’impression d’être dans une phase manique là ahhhh je ne comprends plus mon corps c’est quoi cette énergie du désespoir qui me donne envie de tout mais peut-être que j’étais juste guidée par ma libido je sais pas mais j’étais bizarre bref du coup je mange des kinder dans mon lit et je m’emmerde
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28 janvier:
"No Rest for the Best", comme disent les États-Uniens majoritairement présents ici, et j'entame la fameuse randonnée "Vuelta al Huemul" dont je n'avais aperçu que la moitié en 2020, stoppé physiquement par le vent à mi-chemin. C'est une boucle de 70km et 2700m d+ qui se fait normalement en 4 jours, mais dont 3 sont aussi faisables. Après 10km de marche je me sens particulièrement en forme, j'avais déjà étudié les statistiques pour faire la boucle en 2 jours, je suis frustré de mes longues randonnées précédentes d'être stoppé par des sentiers difficilement praticables, je sais que celui-ci ne l'est pas, je ne serai probablement plus jamais aussi entraîné que maintenant, j'ai envie de briser mes limites, c'est décidé: je ferai la boucle en 2 jours. Mais restons humble et considérons tous les risques d'échecs. Le 1er qui me vient en tête se sont les crampes ou douleurs aux orteils pouvant m'immobiliser en fin de journée. Je fais donc une sieste technique arrivé au 1er campement (la fin du J1 si on fait la boucle en 4 jours) et je reprends ma route pour le 2e campement. La sieste de 40' m'ayant remplie toutes les batteries je resterai en forme toute la journée. Sur le chemin je traverse une petite gorge creusée par une rivière à l'aide d'une tyrolienne (j'avais loué un harnais), je longe une langue de glacier, double des gens qui ont commencé la veille la boucle, monte au col du Paso Viento et risque un arrêt cardiaque en voyant la vue derrière. Je pense que c'est la plus belle vue de ma vie... certains moines bouddhistes ont besoin de plusieurs réincarnations pour atteindre le nirvana, alors qu'il suffit d'un billet d'avion, un bus, 20km de marche, du matos de bivouac et un peu de dulce de leche pour se rendre où je me trouve actuellement en extase. Sorti de mon coma je continue vers le campement en ayant comme vue toujours le même paysage que je ne vais même pas essayer de décrire, même Proust ou Tesson n'y arriveraient pas. Comme j'arrive parmis les derniers au campement (je n'ai pas doublé tout le monde non plus) j'ai un spot de merde pour la tente, dans un endroit exposé au vent. Rappelons que je viens de passé le Paso "Viento" dans une région où Eole serait intimidé.
Bilan: 29km, 1500m d+
29 janvier:
Au réveil je me dis que je dois écrire une lettre à Décathlon pour leur signaler que leur tente ne tient pas des vents à 70km/h comme certifié, mais plutôt du 400km/h (c'est du moins ce qu'il m'a paru). J'en étais arrivé à un stade pendant ma nuit d'insomnie où je me disais que si elle craque "que" au bout de 4h (vers 02h00), je serai suffisamment reposé pour commencer mon J2 à la frontale. Finalement je démarre vers 06h45 alors que tout le monde dort toujours, je longe le paysage incroyable, monte au Paso Huemul et rejoins le terrain connu de 2020. Je fais le bonus du Mirador del Condor et je me retrouve devant un autre angle pour admirer le paysage toujours aussi féerique. Il souffle tellement fort j'ai l'impression d'être derrière un moteur d'avion lors d'un décollage. Puis j'entame une descente casse-gueule (mais non dangereuse) vers le 3e camping. Comme hier j'y fait une sieste avant de reprendre le sentier. 11km plus loin je passe le 2e gué grâce à une tyrolienne, et c'est à ce moment que je réalise que je vais réussir à finir la boucle comme prévu en 2 jours. Les 12km restants sont ennuyeux et j'accélère le pas pour vite me rapprocher de ma bière qui m'attend. Arrivé à El Chalten je suis fier de moi, j'ai explosé mon record personnel de distance parcouru en 2 jours: 70km ! Dont 41 juste le J2. Je ne me douche même pas, j'ai terriblement envie de ma bière et d'une pizza avant de me coucher au camping de la ville. En gonflant mon matelas je constate qu'il s'est encore dégradé, maintenant il y a 3 tubes qui ont fusionnés pour faire un gros cylindre. Cela devient très inconfortable d'y dormir dessus. Je décide donc de dormir à même le sol à partir de maintenant; s'il gèle alors je choisirai l'inconfort du matelas au froid du sol.
Bilan: 41km, 1100m d+
30 janvier :
Journée dediée au repos en attendant mon bus pour El Calafate. Aujourd'hui je la prends cette douche, et avec du savon s'il vous plaît. J'arrive à destination vers 20h00, le temps de me faire enfin un bon restaurant avant de reprendre un bus à 03h00 pour Rio Gallegos.
31 janvier:
Après une micro sieste à la gare routière, je prends mon bus pour Rio Gallegos. Arrivé à 07h00 et j'enchaîne avec un autre bus à 08h00 pour ma destination: Ushuaia. Ce n'est qu'à 600km (équivalent Paris - Grenoble) mais on mettra 15 heures pour y arriver, avec principalement de la pampa à traverser. Pour cause, un bout du Chili bloque l'accès direct à la Terre de feu, donc 2 fois la frontière à traverser. Et comme ce n'est pas déjà assez pénible de subir les contraintes douanière délirantes des chiliens, un des passagers du bus avait du canabis médicinale dans ses bagages et que les chiens ont reniflé... Autre obstacle: le détroit de Magellan. Bon du coup je repense à ce monsieur qui s'est perdu dans la région en pensant être au Cap Horn (faut ouvrir une carte pour comprendre sa surprise lorsqu'il comprit qu'il n'avait pas contourné l'Amérique) et je relativise sur mon temps de trajet. Arrivé à 23h00 je vais à mon hostel et je dors sur un lit, un vrai, sous un toit, derrière quatre surfaces verticales formant un carré bloquant le vent et à côté d'un mec qui ronfle.
1er février:
Le mec qui ronfle ne respire plus, quelqu'un a du l'étranger la nuit. Après quelques occupations logistiques, je pars pour le Cerro Medio, accessible directement depuis la ville. A 300m du sommet le vent est tellement fort que j'en rigole, mais pas trop, en ouvrant en grand la bouche je risque de me disloquer la mâchoire avec la force de l'air. Photo et retour au chaud dans mon hostel. Ushuaia étant hors de prix je ne me ferai aucun resto et utiliserai la cuisine. La ville, sans être intrasequement belle, est très agréable du fait qu'elle se trouve au bord du détroit de Beagle et dans les Andes. On y trouve une vrai vie locale, mais aussi beaucoup de touristes, ceux qu'on n'aime pas. La majorités est ici uniquement pour le nom de la ville, est venu en avions, fera une croisière vers l'Antarctique (5000eur mini), dépense sans compter faisant grimper les prix (pauvres touristes argentins), se déplace qu'en groupe de 4000 (en particulier un pays d'Orient), n'a aucun code de la randonnée (dire bonjour, ramasser ses déchets, ne pas chier aux campings, etc), bref, Ushuaia fait "trop" rêver.
Bilan: 14km, 900m d+
2 février:
Je me ballade dans la ville pour y photographier les montagnes avoisinantes depuis différents points de vue et c'est très beaux. Ca fait bizarre de se dire que cette même chaîne de montagne où je me baladais à 6000m d'altitude il y a 2-3 mois, plonge ici dans l'océan en formant des canaux et fjords rappelant la Norvège. L'après midi il pleut et j'en profite pour visiter l'excellent Museo Marítimo de Ushuaia, qui regroupent dans chaque aile de l'ancienne prison des expositions sur la région: histoire des explorations maritime, conquête de l'Antarctique, vies des bagnards et prisonniers (qui me fait relativiser sur la qualité de mes repas en bivouac), artistes en Terre de feu, une ailes laissée telle qu'elle. J'en ressors agréablement surpris de la qualité de ce musée. Rappelons que, comme la Guyane, cette région fut construite par des bagnards.
3 février:
Je me réveil pour la 3e nuit consecutive dans un hostel; trop de luxe, faut que je retrouve la nature. Bizarrement je dors très bien mais au réveil j'ai légèrement mal au dos... Je pense que je dois réapprendre à ma colonne vertébrale comment dormir sur un vrai matelas.
La matinée je fais l'excursion phare du coin: ballade en bateau dans le détroit de Beagle jusqu'au phare (...) du bout du monde, visite des lions de mer et cormorans, ballade sur une île, et moi je m'offre en bonus une baignade sur une plage isolée à l'écart du groupe que j'ai abandonné. Je me serai baigné au 69e parallèle Nord en Norvège, ici je me baigne au 55e parallèle Sud. J'en suis satisfait. L'après midi j'enchaîne avec une randonnée jusqu'à la Laguna Esmeralda puis continue jusqu'à la Laguna Ojo Del Albino où s'y jette un petit glacier. La météo est belle et les paysages sont sublimes. Phrase du jour: quand il fait beau, c'est beau. De retour à Esmeralda j'y plante ma tente. Je constate que le "camping" est remplis de PQ usagé ce qui me fait me decaller hors de la zone abritée (mais propre). Si un jour je suis président, je me battrai pour faire passer 2 lois: interdiction aux cons de faire des enfants, et interdictions aux cons de randonner dans la nature (sans ordre de priorité). Bref, les lumières proposées par le couché de soleil sont sublimes et tout le décors où je me trouve s'en retrouve enchanté. Au moment de préparer mon dîner mon réchaud rend l'âme et je mange mes haricots rouges sans riz et froid. Pas grand chose aura tenu 1 an dans la montagne...
Bilan: 11km, 750m d+
4 février :
Il pleut. Phrase du jour: quand il fait moche, c'est moche. Je retourne au parking où un uber m'a amené la vielle, et je répète un câble avec aucune voiture qui ne me prend en stop. Toutes sont quasi vides et il n'y a qu'une seule destination possible, à savoir Ushuaia. Au bout de 2km un taxi passe; lui évidement ne m'ignore pas. Il me dépose au début du sentier pour aller à la Laguna de los Témpanos. Comme il y a du brouillard, je vois à peine le glacier qui couronne la lagune. Je ne m'y attarde pas et rejoins la Laguna del Caminante où je pose la tente. La majorité de la ballade se fait dans la boue, dans la forêt, sous un ciel gris, parfois sous la pluie. La tente est deja trempée de la veille quand je la pose sous la pluie. Il en faut des journées pourries pour apprendre à apprécier les bonnes...
Bilan: 27km, 1200m d+
5 février :
Beau temps au programme et réveil à 06h00 pour en profiter. Visite du Lago Superior avant de me diriger au Cañadon de la Oveja. Incroyable formation d'un glacier en forme de tunnel où les couches de glaces / terre avancent en spirale. Des morceaux de glaces et des pierres tombent fréquemment donc je ne m'y attarde pas longtemps en dessous pour la vidéo. Je descends la vallée vers Ushuaia, rejoins un supermarché où je me pète le bide au lait + céréales, fais les provisions (repas froids je rappel car plus de réchaud) et enchaîne via Uber une ballade au Parc Tierra Del Fuego. Je traverse l'entrée sans payer puis longe la baie Lapataia sur 10km offrant de très beaux points de vue sur le détroit de Beagle et les sommets chiliens. Plusieurs plages sur le chemin me font faire des pauses où je pratique mes talents en ricochets. Le camping est paradisiaque; une île sur la riviere débouchant sur le canal de Beagle, au pied des derniers sommets des Andes, soleil sans nuages, un contraste totale avec la journée d'hier.
Bilan: 28km, 800m d+
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