#ville/veni
Explore tagged Tumblr posts
Text
đ°đą
âš
79 notes
·
View notes
Text
I look like a sassy mad boss bitch here LMAO
Thank you so much for the fanart!! I love my angry expression
I mean I could be a boss at like a art place or something but i wouldn't exactly be this strict jshdjshdjs
đđđđđđđ
So, I wanted to make a little Fanart for @villetela
Uhhhhhhhh... yeah, I really enjoyed drawing them this was fun to do. Their art is wonderful.
Well time to make more fanart. I am very tired.
10 notes
·
View notes
Photo
Veni, vidi, vici đđđŻ Dans le livret de Juillet dâUne annĂ©e en Magie, sur Patreon (et sur Etsy en milieu de semaine), je vous ai partagĂ© un de mes rituels personnels les plus chers, que jâai composĂ© Ă Rome alors que jâĂ©tais sous lâinfluence des vibrations extraordinaires de cette ville chargĂ©e dâHistoire Antique. Parce que nous avons tous en nous un merveilleux LaurĂ©at qui ne demande quâĂ briller sous sa couronne de Lauriers !âš #patreon #uneanneeenmagie #lyraceoltoir #laurier #lauriernoble #laurusnobilis #couronnedelaurier #rituel #ritual #magic #spell #magicritual #witch #witchcraft #pagan #paganism #occult #esoterism #roma #antiquity #mythology #romanmythology #history #laurel #bay #laurelcrown #romanempire #romanhistory #victory #venividivici https://www.instagram.com/p/CCUMYYiCBX6/?igshid=19jidz1jqty2q
#patreon#uneanneeenmagie#lyraceoltoir#laurier#lauriernoble#laurusnobilis#couronnedelaurier#rituel#ritual#magic#spell#magicritual#witch#witchcraft#pagan#paganism#occult#esoterism#roma#antiquity#mythology#romanmythology#history#laurel#bay#laurelcrown#romanempire#romanhistory#victory#venividivici
2 notes
·
View notes
Text
21 juillet âȘïž ARFEUILLES â VICHY
37,9 km â«ïž 8h40 â«ïž +650 / -1 119 m
Comme c'était une grosse étape, on est parti mes gùteaux, comme disent les jeunes, ce qui fait sens, comme disent mes collÚgues du marketing, puisqu'on est toujours dans les Monts de la Madeleine (ça c'est moi qui le dit). Enfin, mes gùteaux, ne nous affolons pas non plus, dans le référentiel MirBen, ça veut dire 9h15.
Pourquoi une si longue Ă©tape ? Et bien, d'une part, parce que nous n'avons pas trouvĂ© d'hïżœïżœbergement sur le chemin nous permettant de s'arrĂȘter plus tĂŽt et, d'autre part, comment rĂ©sister Ă l'envie de goĂ»ter Ă la vie trĂ©pidante d'une ville de cure le dimanche soir !
Bon, c'est pas parce l'Ă©tape est longue qu'on a beaucoup Ă dire. On peut quand mĂȘme mentionner nos deux contre-temps. Le premier Ă cent mĂštres du dĂ©part. Nous devons prendre Ă droite la petite route qui va vers les Carrier (dĂ©tail inutile mais un rĂ©cit de voyage qui se respecte se doit de donner ce genre de dĂ©tails) mais pile Ă l'endroit oĂč l'on doit tourner il y a une stĂšle en l'honneur d'une rĂ©sistante, Alice Arteuil, et pile c'est le jour et l'heure de la commĂ©moration et pile c'est le moment de la minute de silence. Et voilĂ , dĂ©jĂ une minute dans la vue. Le deuxiĂšme contre-temps est quand le superbe chemin ombragĂ© de la combe de Malavaux est coupĂ© par une clĂŽture barbelĂ©e de chez Barbelet avec des panneaux âPropriĂ©tĂ© privĂ©e - DĂ©fense d'entrĂ©eâ tous les deux mĂštres. Bon, il est vrai que pour accĂ©der au chemin on avait dĂ» pousser le verrou d'une grosse barriĂšre qui barrait le passage⊠On aurait dĂ» se mĂ©fier⊠Et d'ailleurs on s'Ă©tait posĂ© la question âet si c'Ă©tait fermĂ© Ă l'autre bout ?â⊠Mais au point oĂč nous Ă©tions arrivĂ©s, nous pensions que c'Ă©tait maintenant bon. Et non ! Seule option, remonter en haut de la combe (+ 120 m) et suivre la D62 ! Grrrr, mais c'est la vie !
Une dizaine de minutes plus tard, au détour d'un lacet, le but de notre étape s'étale à nos pieds et, à l'instar de Jules César, je peux proclamer devant des vaches charolaises sidérées : VENI VIDI VICHY !
4 notes
·
View notes
Text
[CP] Scopely lance dans le monde entier âKingdom Makerâ
Aujourdâhui, Scopely, entreprise de jeux mobiles en plein essor, lance âKingdom Maker,â un jeu de stratĂ©gie free-to-play original. Cette expĂ©rience MMO mobile nâa quâune seule rĂšgle, la vĂŽtre ! Câest le dernier titre en date du portefeuille de jeux trĂšs diversifiĂ© de Scopely. "Kingdom Maker" a Ă©tĂ© crĂ©Ă© par Global Worldwide et dĂ©veloppĂ© en partenariat avec Scopely. Ce jeu plonge les joueurs dans une aventure mĂ©dievale cocasse aux scĂ©narios farfelus, aux customisations nombreuses et oĂč les combats Ă©piques font rage.https://youtu.be/3DzJ4-GLNt8Combinant stratĂ©gie en temps rĂ©el (RTS), jeu de rĂŽle (RPG), et gameplay de simulation, âKingdom Makerâ accueille les joueurs dans un monde plein dâhumour et au style bien marquĂ© oĂč chacun peut ârĂšgner Ă sa façonâ. Les joueurs pourront rĂ©aliser leurs rĂȘves mĂ©dievaux les plus fous en Ă©tablissant une lignĂ©e royale, en sâengageant dans la bataille, en flirtant avec la romance et le drama ou bien encore en participant Ă des machinations politiques. Que la joute commence ! Ce nâest pas tous les jours quâon rencontre une expĂ©rience de jeu qui propose une nouvelle innovante et qui rĂ©invente notre façon de jouer, câest exactement ce que fait âKingdom Makerâ. Kingdom Maker est un jeu 4X rafraichissant et câest un excellent ajout Ă notre portefeuille de jeux variĂ©s, attrayants et dynamiques. Le monde original de âKingdom Makerâ allie parfaitement humour et stratĂ©gie, permet un degrĂ© de personnalisation inĂ©galĂ© et offre une aventure mĂ©dievale exaltante aux joueurs du monde entier. En tant quâexpĂ©rience de jeu profondĂ©ment sociale et aux possibilitĂ©s Ă©tendues, âKingdom Makerâ est conçu pour Ă©voluer avec les joueurs pour les annĂ©es Ă venir Steve Huff, prĂ©sident de Scopely âKingdom Makerâ est une expĂ©rience de combat en temps rĂ©el oĂč les joueurs peuvent dĂ©fendre et Ă©tendre leur empire. Le jeu comprend des Ă©lements classiques du jeu de stratĂ©gie moderne mais avec en plus quelques petits âtwistsâ, les features du jeu incluent :Familles nobles : CrĂ©ez votre propre dynastie ! Les ânoblesâ peuvent ĂȘtre utilisĂ©s pour le combat, lâexploration de donjons, la romances et les mĂ©faits. Batailles massives en temps rĂ©el : Combattez jusquâĂ ce que la ville en dĂ©fense tombe ou que les attaquants soient Ă court de paysans Ă sacrifier. Chaque bataille peut ĂȘtre vue par tout la communautĂ© et nâimporte qui peut se joindre au combat. Construction de villes : Construisez des dizaines de bĂątiments uniques, renforcez vos murs pour former un royaume gĂ©nĂ©rant des ressources, des troupes, des objets, des habitants et par consĂ©quent de la puissance ! ContrĂŽle de territoire : Partez Ă la conquĂȘte de territoires immenses, contrĂŽler les points stratĂ©giques allant des capitales, aux comptoirs commerciaux. Veni! Vidi! Vicieusement ambitieux, nâest ce pas ? ArmĂ©es personnalisables : DĂ©veloppez des commandants et recrutez des champions pour mener la charge. Vous obtiendrez ainsi de lâĂ©quipement puissant pour renforcer vos bataillons et ainsi obtenir un avantage dĂ©cisif. SORTEZ LES CATAPULTES ! Alliances : rassemblez des amis sous une banniĂšre commune et Ă vous la domination totale et absolue. Ou faites quelque chose dâennuyeux, comme conclure un traitĂ© de paix ou Ă©changer des biens pour la prospĂ©ritĂ© du peuple.
Suivez-nous sur les réseaux sociaux !
Facebook Twitter Youtube Instagram
Vous pouvez partager nos articles
Read the full article
0 notes
Text
TMB5 Refuge Robert Blanc to Courmayeur
Pas pressĂ© ce matin, je suis parti de Robert Blanc que vers 8h15, juste aprĂšs le lever du soleil. Ă vol dâoiseau, il nây a quâune petite distance entre le refuge et le Col de la Seigne, 200m plus bas, oĂč on rejoint le tracĂ© normal du TMB. Je mâĂ©tais dit que ce serait une promenade de santĂ©, mais sous le refuge je suis tombĂ© sur un panneau indicateur annonçant quâil fallait compter 3 heures pour rejoindre le col. Surprise !       En fait ce segment sâest rĂ©vĂ©lĂ© ĂȘtre le plus technique de tout le tour. Le sentier est en balcon, mais on monte et descend sans arrĂȘt sur une distance de 7,3km. Et surtout, le sentier est trĂšs exigeant avec des passages compliquĂ©s pour traverser des riviĂšres en Ă©vitant les endroits glacĂ©s et escalader des bosses rocailleuses assez hautes. Heureusement, le balisage est excellent et tous les passages difficiles sont Ă©quipĂ©s de cĂąbles et/ou de marchepieds. Cela sâachĂšve par lâascension dâun mur raide dans la caillasse et les rochers instable oĂč il faut sâagripper Ă des cĂąbles sur plus dâune centaine de mĂštres (photo). Une fois au sommet de ce mur, le paysage sâouvre et il ne reste quâune descente en pente douce pour rejoindre le Col de la Seigne. Les 3 heures mentionnĂ©es Ă©taient tout de mĂȘme exagĂ©rĂ©es, en avançant lentement et prudemment il mâa fallu 2h30 depuis le refuge.        ArrivĂ©e au col, Ă la frontiĂšre franco-italienne on aperçoit au loin la silhouette du Grand Combin en terre valaisanne. Mais il reste bien du chemin mĂȘme si les difficultĂ©s techniques sont passĂ©e. Je jette un dernier regard en arriĂšre avant de regarder plus haut sur la gauche ou le Mont Blanc rĂ©vĂšle sa splendeur. Encore 50 min de lĂ©gĂšre descente pour rejoindre le Refugio Elisbetta Soldini et savourer mon petit-dĂ©jeuner. Ăa valait la peine de transporter du beurre dâarachide Santa Cruz jusquâici juste pour ce moment !         Il restait 5 heures de marche jusquâĂ Courmayeur. La descente du Val Veni comporte en fait 500 m de remontĂ©e sur les flancs du Mont Favre. Le chemin en balcon est agrĂ©able, avec de belles vues sur le massif du Mt Blanc, de beaux mĂ©lĂšzes dorĂ©s, et des ruisseaux resplendissants de glace. Une fois arrivĂ© en vue du Mont ChĂ©tif, câest le retour dans la civilisation avec des bruits de machine incessants et des ouvriers qui sâaffairent Ă prĂ©parer les installations de ski de Courmayeur. Jâaime de moins en moins les stations de ski, et pour la randonnĂ©e pĂ©destre câest une calamitĂ©, le paysage sâenlaidit et on perd la trace des sentiers et de leurs balises. Ayant plusieurs fois perdu mon chemin jâai fini par prendre la piste de ski pour descendre Ă Courmayeur sans me poser de question. Ăa tire sur les quadriceps mais câest efficace !
      TrouvĂ© un petit hĂŽtel vĂ©tuste au centre de Courmayeur, avec des hĂŽtes tout aussi vĂ©tustes mais trĂšs avenants et parfait bilingues, la Pension Venezia. Il y avait pas mal de monde en ville, on mâa dit que câĂ©tait calme mais en Ă©tĂ© et pendant la saison de ski ça doit ĂȘtre une vraie foire.
1 note
·
View note
Photo
By Michael Lanza
Our bus winds up a narrow road in the Vallée des Glaciers, below snowy peaks of the French Alps. We boarded it with about 10 other trekkers after a late-afternoon thunderstorm ripped the sky open while we enjoyed a café and tea with chocolate mousse and a slice of blueberry pie at the Auberge de la Nova in les Chapieux, a speck of a village along the Tour du Mont Blanc. As the bus rumbles into Ville des Glaciers, a cluster of old farm buildings, I ask the driver to stop.
My 80-year-old mother wants to get off and hike.
The rain has ceased, so my mom suggestsâsince weâve only hiked about five miles so far todayâthat we hike the final 30 minutes uphill to our destination, a one-time dairy farm turned mountain hut, the Rifugio des Mottets. I glance around at the other trekkers on the busâall of them somewhere between one-third and one-fourth my motherâs age. None are getting off with us. They are all content to ride the bus to the hut. As they all silently watch the old lady get off to walk the rest of the way, Iâm pretty sure I see some sheepish expressions.
We are on day two of a nine-day trek on one of the most popular and majestic trails on the planet, the Tour du Mont Blanc. A roughly 106-mile (170k) footpath encircling the âMonarch of the Alps,â 15,771-foot (4807m) Mont Blanc, the TMB passes through three countriesâFrance, Italy, and Switzerland. The trek normally takes at least 10 to 11 days and entails a demanding 32,800 feet (10,000m) of elevation gain and loss while crossingâdepending on which route variants one takesâ10 or 11 mountain passes, the highest approaching 9,000 feet (over 2600m).
Joanne Lanza, 80, hiking to the Col de la Seigne, Tour du Mont Blanc, France.
My mom, Joanne Lanza, and I are hiking alone only today; eight others in our group took a longer and more arduous route to tonightâs hut, and two more will join us in two days, in Courmayeur, Italy. And those two facts illustrate a prime attraction of the TMB.
Although the genesis for this trip was my desire to help my mother realize her dream of hiking in the Alps, my wife and two teenage kids, strong and experienced hikers and backpackers, would never hear of me going without them. Plus, I invited along some extended family and friends with a range of comfort levels and stamina in the mountains (but fortuitously including people who speak two of the three languages we will use on the TMB). Our group comprises a dozen peopleâwe could field a soccer team.
Hi, Iâm Michael Lanza, creator of The Big Outside, which has made several top outdoors blog lists. Click here to sign up for my FREE email newsletter. Join The Big Outside to get full access to all of my blogâs stories. Click here to learn how I can help you plan your next trip. Please follow my adventures on Facebook, Twitter, Instagram, and Youtube.
 Facing the challenge of finding a multi-day Alps trek that could accommodate a diverse group, I had settled quickly on the Tour du Mont Blanc. Scenically, it has few rivals in the entire world, and we would sample the mountain cultureâand foodâof three nations. But most conveniently, the TMB passes through towns and villages and crosses roads frequently. While we will spend three nights in mountain hutsâall in stunning surroundings, a unique Alpine experience that I wanted everyone to haveâwe will sleep most nights in hotel beds, something Momâs 80-year-old muscles will appreciate. And the availability of public transportation almost every day allows Mom and anyone else to skip or shorten a hard section or sit out a rainy day.
Those convenient logistics led me to think this plan might actually work.
Ready to hike one of the worldâs great treks? Click here now for my e-guide âThe Perfect, Flexible Plan for Hiking the Tour du Mont Blanc.â
Trekkers hiking to the Col de la Seigne, Tour du Mont Blanc, France.
Now, walking beside my octogenarian mother up the Vallée des Glaciers toward the Rifugio des Mottets, the only sounds are the soothing rumble of the river, the Torrent des Glaciers, and the far-off moans of an icy wind blowing off the 12,520-foot (3816m) Aiguille des Glaciers, looming above the valley.
Mom admonishes me to slow down. âRemember,â she says, âyouâre hiking with a snail.â (Her informal hiking club proudly calls itself the Snails.)
We have barely begun a long, hard trek, and neither of us really knows how it will go for her, attempting to walk a substantial portion of this trail that wraps like a 106-mile-long lasso around the tallest mountain in the Alps. Although she continually amazes me in her physical stamina and pain threshold, still, the notion of an 80-year-old embarking on a multi-day hike through the Alps is kind of nuts.
But neither of us worries much about what lies ahead. And that calm optimism just may be the source of her strength.
Find your next adventure in your Inbox. Sign up for my FREE email newsletter now.
 The Tour du Mont Blanc in Italy
An icy wind blowing down from a severely cracked glacier just above us scours the outdoor deck of the Rifugio Elizabetta Soldini as we step outside on our fourth morning on the Tour du Mont Blanc. Clouds the color of battleships cling to the tops of jagged peaks flanking the glacier, but down the Val Veny below us, rows of spires stand silhouetted against blue sky.
Weâre heading in that direction. And my mother has made a unilateral decision to throw out my carefully crafted agenda.
Today, we face a nine-mile hike, with a substantial stretch of uphill, from the Elizabetta hut to the resort town of Courmayeur, Italy. I had expected my mom to walk an easy mile with us to a road and catch a bus to Courmayeur. But she decided that plan sounds a little too sedentary. She wants to hike the entire distance.
I will share this truth with you: The stereotype of the kindly old lady is a myth. Octogenarians can be irritatingly strong-willed. Especially the ones that go hiking.
My daughter, Alex, hiking toward Courmayeur, Italy, on the Tour du Mont Blanc.
In all seriousness, I think sheâll do fineâprobably. Yesterday, hiking about six miles from Rifugio des Mottets to Rifugio Elizabetta, Mom had crushed the 2,100-foot ascent to the Col de la Seigneâa jaw-dropping mountain pass at 8,255 feet (2516m) where we crossed into Italyâin well under three hours. Not bad for a snail.
She naturally canât match the pace of anyone in our groupâespecially the teenagers, my nephew, Marco, and my kids, Nate and Alex, who frequently bound ahead beyond sight and earshot. But she keeps plodding steadily forward, accompanied by me or others. Whenever the faster hikers stop to take pictures or grab a snack, she inevitably comes puttering along, the proverbial, persistent tortoise somehow always catching up with the hares.
Guido Buenstorf hiking to Courmayeur, Italy, on the Tour du Mont Blanc.
Her unflagging clip yesterday, in fact, resulted in us arriving at the Elizabetta hut by early afternoonâearlier than I had expected. And she apparently wasnât tired yet, because when Alex, Marco, our German friend, Guido Buenstorf, and I announce we were taking an afternoon hike up a steep trail behind the hut to an overlook of the glacier, she was the only taker. An entire afternoon, she told me flatly, âis too long to just hang around in the hut.â
After a 45-minute walk from Elizabetta down the valley, we make a long, 1,500-foot climb through forest and then over open, grassy, wildflower meadows onto the rolling terrain of a ridge forming the southern wall of the Val Veni. Across the valley, the Brouillard and Freney glaciers carve wide paths amid a quiver of dark stone spires. Clouds obscure the heights of Blanc, but the view is breathtaking almost every step of the way.
Do this trek right with my e-guide âThe Perfect, Flexible Plan for Hiking the Tour du Mont Blanc.â
About four hours after leaving the hut, we reach the top of ski slopes high above Courmayeur and descend a chair lift and gondola into town, where we meet up as planned with my sister, Julie, and her 21-year-old daughter, Anna, at the Hotel Crampon. That evening, we gorge on an excellent dinner at Ristorante La Terrazza, our meals ranging from margherita pizza for Alex and Marco to an exquisite gnocci in wild boar sauce that my wife Penny and I both eat.
A Dream of Trekking the Swiss Alps
In many ways, the route that led my mom and me to the Tour du Mont Blanc stretches over far more miles than weâll hike this week. She has hiked and backpacked with me all over the U.S. for more than three decades. Bridging more than half my lifetime, itâs a route that we have kept walking together, in all honesty, longer than Iâd ever expected.
In fact, Iâve twice thought that she and I had already taken our last, major hike together: the first time on a weeklong hut-to-hut trek in Norwayâs Jotunheimen National Park that turned out cold, wet, and hard, when she was 75; and then hiking Mount St. Helens when she was 76, a very strenuous, 10-mile, 4,500-vertical-foot day that stretched into 11 hours before we finished. A year after St. Helens, when my family took a weeklong, hut-to-hut trek through Italyâs Dolomite Mountains, she very much wanted to join us. I reluctantly told her I didnât think it was a good idea, and given how hard that trek was, I still believe that was a good call. But I know missing that one greatly disappointed her.
Then my father got cancer. No one suffers from that horrible disease more than the patient, of course. But a terminal illness affects the lives and decisions of a victimâs entire family. My mother took no major hiking trip for two straight summers. He passed away 16 months after being diagnosed, two days after their fifty-sixth anniversary.
Get the right pack for you. See my âGear Review: The 10 Best Backpacking Packsâ and my âTop 5 Tips For Buying the Right Backpacking Pack.â
Hiking to the Refugio Bonatti, Tour du Mont Blanc, Italy.
Last winter, she turned 80. She had been telling me for several yearsâprobably going back to when she was a spry young lass barely past 70âthat sheâd love to hike in the Swiss Alps. The Tour du Mont Blanc seemed to offer the right opportunity to finally show her the Alps on one of the worldâs great treks. My sister, Julie, offered to join us, hiking some days while providing critical logistical support by accompanying our mother on buses and trains around two harder sections of the TMB. As it turned out, they would also elect to take a long bus ride instead of joining the rest of us on day six, hiking through hours of wind-driven rain over the Grand Col de Ferret at 8,323-foot (2537m), the mountain pass where we stepped from Italy into Switzerland.
Sheâs remarkably fit and agile for her age, and tough. But at 80, thereâs no getting around the fact that her biological clock resembles an hourglass whose bottom lobe looks nearly full. Problem is, the top lobe has opaque sidesâwe canât see how much sand remains in it. Compounding matters, she had been sidelined for most of the spring with a foot injury, and wasnât able to resume her exercise program and training hikes until only a month before we flew to Geneva.
See which section of the Tour du Mont Blanc made âMy 25 Most Scenic Days of Hiking Ever.â
But as she bluntly reminds me, âIâm not getting younger. I donât know how much longer Iâll be able to do these trips.â
Our options seemed clear: Go to the Alps this year, accepting the risk that it may prove too hard for her, or risk regretting never having tried it. We hardly had to discuss it before deciding to go.
Hiking Over the FenĂ©tre dâArpette
The water of Lac de Champex offers a razor-sharp reflection of the intensely green mountainsides across the lake as nine of us form a conga line of boots and backpacks, walking through the small, post-card town of Champex-Lac, Switzerland. The sun feels warm and the morning air chilly as we set out excitedly for our eighth day on the TMB.
But weâre still talking about last nightâs dinner.
At the Hotel Alpina, a six-room inn located at the end of a road on one of the highest points in Champex-Lac, overlooking a bucolic valley and more glaciated mountains, we had the best meal of the trekâand, many of us agreed, one of the best dinners we had ever eaten. The multiple courses began with croustini de serac a lâhuile de ciboulette, followed by filet de veau (veal) a lâorientale, pain de pomme de terre (potato bread), and a dessert of poire (pear) gourmande au caramel au beurre demi-sel. Looking around the long table where the 12 of us were seated, I could see everyone doing exactly what I was doing: savoring every bite in our mouths for as long as possible.
Save yourself a lot of time. Get my e-guide âThe Perfect, Flexible Plan for Hiking the Tour du Mont Blanc.â
Lac de Champex, along the Tour du Mont Blanc, Champex-Lac, Switzerland.
Today, taking advantage of the TMBâs logistical flexibility, weâre splitting into three groups. Mom, Julie, and Anna will enjoy a rest day, taking public transportation to our next inn, in the village of Finhaut, Switzerland. The rest of us will hike two different routes from Champex to the Col de la Forclaz, near Finhaut, where Iâve arranged rides for us to the inn.
Guido, his wife, Inken Poszner, and our Boise friend Fiona Wilhelm opt for the nearly 10-mile (16k) primary TMB route via Alp Bovine (where they will confirm a rumor that the best pastries on the Tour du Mont Blanc can be bought at the dairy farm there). My family, Marco, and our friend Jeff Wilhelm (Fionaâs father) turn onto the 8.7-mile (14k) TMB variant that ascends nearly 4,000 feet (1199m) to cross over the FenĂ©tre dâArpette mountain pass at 8,743 feet (2665 meters)âone of the two highest points on the TMB.
I can help you plan this or another hiking trip you read about at my blog. Find out more here.
We follow a quiet country lane past some private homes and small lodges, beyond which the road narrows to a footpath. As we ascend a valley, the way grows increasingly steeper; we clamber over large talus boulders. After slogging uphill for a solid four hours, we wade into a small crowd of trekkers lounging in the cool breeze at the FenĂ©tre dâArpette, a notch in a mountain ridge. On the other side, the broad, crevassed tongue of the Trient Glacier hangs down into the valley weâre descending. Not far down the other side, we hear a loud crack and look up to see ice calve from the glacier and rain down cliffs exposed only in recent years as the glacier, like most others in the Alps, continues a fast retreat as the climate warms.
At the Col de la Forclaz, a pass with a busy, two-lane highway and a powerful wind both cutting through it, weâre met by Ilse Bekker-Maassen, who owns the Chalet Bekker with her mountain-guide husband, Edward. She transports us to her inn, a homey place in the woods overlooking Finhaut. That night, Ilse serves us a dinner of raclette, a traditional meal of Switzerlandâs Valais region, consisting of raclette cheese melted over bread and potatoes which everyone would have devoured even if we werenât ravenous from a big dayâs hike.
Itâs now official: We have been spoiled by the food along the Tour du Mont Blanc.
A Big, Last Day to Chamonix
For our trekâs ninth and final day, Ilse suggests an alternative to stage nine of the Tour du Mont Blanc. Instead, Ilse points out on the map a roughly six-mile trail from the Emosson dam, a short drive from Finhaut on the border of Switzerland and France, to the little village of Le Buet, where we can catch a short, inexpensive train into Chamonix. The trail follows a high ridge across the valley from the TMB, offering constant views of the Mount Blanc massif rather than hiking along its flanks, as we would on the TMB. So we decide to do it, and a bluebird morning sky portends one of the tripâs nicest days.
Ilse offers to drive us to the dam, but notes that anyone interested can also begin from Finhaut with an uphill hike of almost five miles and 2,000 feet just to reach the dam. Some of us opt for the longer dayâincluding, of course, my mom, who I had actually, fleetingly imagined might be feeling kind of tired.
We hike the relentless ascent at her snailâs pace. Below us, Finhaut slowly retreats into the distance, revealing the village as a cluster of homes and hotels clinging to the steep mountainside. At the dam, we meet up with those who drove up with Ilse and eat lunch in the restaurant. Mom looks as fresh as if sheâd accepted the ride instead of hiking there.
Plan your next great backpacking adventure using my downloadable, expert e-guides. Click here now to learn more.
Alex below the Fenetre dâArpette, Tour du Mont Blanc, Switzerland.
Beyond the dam, the trail immediately presents us with a short traverse across an exposed rock faceâa no-fall zone with a fixed chain in place as a handrail. A trekker coming from the other direction says there are numerous similar sections for the next couple of miles. Julie, whoâs recovering from a shoulder injury suffered a few weeks before the trip and has hiked with one arm in a sling all week, decides to turn back and take public transportation from the dam down to the valley; Inken and Guido join her.
For the next couple of hours, Marco, Alex, Anna, and I shadow my mother, lending her a hand or spotting or boosting her when she needs it; but she does most of the work of hauling herself up and down under her own power. I can see the kids are proud of being part of her team. They keep pulling out their phones to shoot video and pictures of her scaling these short walls of rock.
We reach a nearly vertical wall of rock about 15 feet high, requiring third-class scrambling up a rising diagonal traverse. My mom looks up at it and, rather than reacting with fear, busts out laughing at the absurdity of it all. âOh, my gosh,â she says, chuckling. âThis is unbelievable.â But with her young aides surrounding her like Secret Service agents, she scales yet another section of this trail that would turn away many people half her age.
To borrow an expression from the French: âCâest incroyable!â
Are you ready now to hike one of the worldâs great treks? Click here now for my e-guide âThe Perfect, Flexible Plan for Hiking the Tour du Mont Blanc.â
The Power of Positive Thinking
Years ago, I gave my mother the nickname âThe Worldâs Toughest Grandmaâ for her hiking feats. (And as we hike the TMB, she is actually soon to be a great-grandmother. Chew on that fact for a minute.) But the source of what many of us describe as toughness or fortitude may reside in an attitude more fundamental to individual human natureâan attribute Iâve seen her manifest countless times over the years, like the day she stared down her fears to scale the cable route up Yosemiteâs Half Dome when she was nearing 60. Where some people see a glass as half empty, my mother sees it as half full.
Science has proven that the brain influences the bodyâs physical health: Thinking positive thoughts boosts the immune system, counters depression, and lowers blood pressure. Focusing on the positive in their lives has helped some people with chronic illnesses live longer, while a positive view of aging can lead to better health and longevity.
Researchers at the Johns Hopkins School of Medicine found that, among people with a family history of heart disease, those who had a positive outlook were one-third less likely to have a heart attack or other cardiovascular event than those with a negative outlook; positive people in the general population were 13 percent less likely than their negative counterparts to have a heart attack. According to a University of Kansas study, a simple smile reduces heart rate and blood pressure during stressful situations.
Have all the planning done for you. Sign up for one of these 14 best trips to Mont Blanc.
What does that mean for an old lady trying to hike day after day through the Alps?
My mother doesnât visualize failure. Even at 80, she visualizes success. She believes she will make it, and aided by her fitness level, it becomes a self-fulfilling prophesyâand not because itâs easy for her, not by a long stretch. Watching her hike, you can see sheâs not walking up and down mountains pain-free. Jeff will tell me later that his GPS measured todayâs hike from Finhaut to Le Buet at 10.9 miles with close to 4,000 vertical feet of cumulative elevation gain. For almost anyone, at any age, thatâs a huge day. Hiking five of our nine days out here, she will cover more than 43 miles of the 106-mile Tour du Mont Blanc (no one in our group did the entire route), with well over 10,000 vertical feet of climbing.
And yet, to her, the pleasure she derives from it eclipses the suffering. Her optimism is something that many people, of all ages, in any context, could take a lesson from.
Anna Garofalo hiking from Emosson dam to Le Buet, Switzerland.
All afternoon on the high, rugged traverse from the Emosson dam, we stop repeatedly to gape across the valley plunging away thousands of feet to the glaciers and jagged skyline of Mont Blanc muscling into the brilliantly blue sky. A sprawling massif more than 15 miles (25k) long, plastered with more than 40 glaciers, Mont Blanc comprises some 400 distinct summits, including some of the most famous names in mountaineering history: the Grandes Jorasses, Aiguille Noire, the Dru and Aiguille du Midi. Its true summit towers 12,000 feet above Chamonix, France, and nearly two vertical miles higher than the nearest habitations in Italy, and overlooks seven valleys in three countries.
At one point, while catching her breath, Mom looks around and says, âItâs hard, but itâs beautiful. Iâm really glad I did this today.â
 The Big Outside is proud to partner with sponsor Switzerland Tourism, who supported this trip and this story about trekking the Tour du Mont Blanc. Click on the Switzerland logo to find out more about traveling in that beautiful country.
 With evening rapidly approaching, Anna, Marco, Mom, and I reach the Refuge de la Loriaz hutâwe had told the others a while back to go on ahead of usâand begin a long descent on a gravel road through the forest. Shortly after 7 p.m., almost 10 hours after setting out from Finhaut, the four of us reach the train stop in the village of Le Buet shortly before the dayâs last train pulls up at 7:41 p.m. Twenty minutes later, our nine-day journey comes full circle with us arriving back in Chamonix.
We stroll down bustling streets past scores of people talking and laughing at outdoor restaurant tables. Approaching our hotel, we see Guido and Inken sitting at a table outside, smiling at us. They congratulate Mom; Inken gives her a warm hug.
Save yourself a lot of time. Get my e-guide âThe Perfect, Flexible Plan for Hiking the Tour du Mont Blanc.â
âWatching her walk over to us, it doesnât look like she just did this huge hike,â Guido tells me.
I just nod. How do you explain people like her? She hasnât overcome physical pain or exhaustion, of course. She has simply decided it will not stop her from going after a sense of satisfaction thatâs larger than the pain. She understands that age eventually wins out over us all. But sheâs not giving in without a damned good fight.
She has a simple but powerful force on her side: the right attitude. Not to mention a good, steady snailâs pace.
Tell me what you think.
I spent a lot of time writing this story, so if you enjoyed it, please consider giving it a share using one of the buttons at right, and leave a comment or question at the bottom of this story. Iâd really appreciate it.
 See a menu of all of my stories about family adventures and international adventures at The Big Outside.
Get my personal, customized help planning this trip. See my Custom Trip Planning page for details.
Marco Garofalo at the Fenetre dâArpette, on the Tour du Mont Blanc in Switzerland.
Trip Planner: Trekking the Tour du Mont BlancÂ
THIS TRIP IS GOOD FOR anyone in moderately good physical condition, including children, with the caveat that some may want to skip or shorten harder days by using the public transportation and taxi options available along the Tour du Mont Blanc. The route is well marked and virtually always obviousâespecially the primary routeâso basic map-reading skills are adequate to find your way without any major problems. There are also enough other trekkers on the TMB, speaking several languages, that you can often ask directions if needed.
Subscribers to The Big Outside can read the rest of this TMB Trip Planner (below), with my tips on planning the Tour du Mont Blanc, and get access to all stories.
Want to get far more trip-planning and route details? Get my e-guide âThe Perfect, Flexible Plan for Hiking the Tour du Mont Blanc.â
Join The Big Outside now to read ALL stories and get a free e-guide!
. . .
Resources Switzerland Tourism, https://www.myswitzerland.com/en-ch/home.html, and Valais hiking tours, valais.ch/en/activities/hiking/hiking-tours.
0 notes
Photo
Veni, Vedi, VICHY!Â
Ce Week-End se dĂ©roulait la rĂ©pĂ©tition gĂ©nĂ©rale avant lâIronman de Barcelone, Ă savoir lâIronman 70.3 de Vichy.Â
Un Ironman 70.3 est un semi Ironman, constituĂ© de 1,900m de natation, 90.1km de vĂ©lo et un semi marathon (21.1km). La dĂ©nomination â70.3âł est la somme des distances en miles. Un excellent test de sa condition physique avant de rĂ©aliser le double dans 5 semaines.Â
Nous sommes une belle dĂ©lĂ©gation du RCBT au rendez-vous: Danitza, Maxime Fastrez, Maxime PĂ©trĂ©, Bilal, Louis, Simon et Alex. Tous participent Ă lâIronman de Barcelone. Une belle Ă©quipe, bien soudĂ©e, ce qui aide beaucoup pour le moral. On a une pensĂ©e pour Nathalie, aussi inscrite Ă Barcelone avec nous, mais qui a un autre programme pour ce WE.Â
Une chose est sĂ»re, le stress nâest pas au rendez-vous. Dâune part jâavais dĂ©jĂ franchi la ligne de deux autres semi Ironman lâannĂ©e passĂ©e (Dubai aux Emirats Arabes Unis et Ruegen en Allemagne), et dâautre part mâentrainant pour le full Ironman entre 8h et 15h par semaine depuis bientĂŽt 9 mois, je nâavais aucune apprĂ©hension ni inconnue pour les distances du semi.Â
La consigne de mon coach Philippe Shelkens pour cette course Ă©tait claire: intensitĂ© Ironman. Pour moi, cela signifie rester en zone dâintensitĂ© vĂ©lo 2 sur 5  pendant les premiers 60km de vĂ©lo puis rester sous lâintensitĂ© 3 sur 5. Ensuite au semi marathon, rester en zone dâintensitĂ© course Ă pied 2 sur 5 pendant les 15 premiers km. Je pouvais ensuite accĂ©lĂ©rer pendant les 6 derniers km en fonction de mon Ă©tat de forme.
Mâentrainant avec des capteurs de puissance, Phil mâa Ă©galement donnĂ© des zones de puissance correspondant Ă mes zones dâintensitĂ©, que je devais respecter Ă le lettre pour mâassurer que lâintensitĂ© Ă©tait constante pendant tout le parcours vĂ©lo. Â
Lâobjectif Ă©tait donc double: vĂ©rifier ma capacitĂ© physique aux intensitĂ©s Ironman et vĂ©rifier ma capacitĂ© mentale Ă respecter des instructions dâintensitĂ© plus faible que celles que jâai lâhabitude de suivre. En effet, le jour de la course, on est souvent tentĂ© de se donner Ă fond, il faut donc du mental pour se retenir. Imaginez que vous soyez capable de courir 10km en 1h et quâon vous demande de courir Ă du 7 ou 8 km/h.Â
Phil mâavait donnĂ© une semaine dâentrainement plus cool pour que jâarrive en forme Ă Vichy, et ce fut le cas. Jâavais la gniaque et lâenvie dâen dĂ©coudre. Ce qui rendait dâautant plus difficile de respecter les consignes dâintensitĂ©s.Â
ArrivĂ©s vendredi aprĂšs-midi pour la course de samedi, notre premier ressenti fut la chaleur. Sâen suit la question suivante: va-t-on pouvoir porter la combinaison nĂ©oprĂšne pour la natation? En effet, la combinaison est interdite lorsque lâeau dĂ©passe 24.6°C. Elle est dâune grande aide en eau vive, amĂ©liorant la flottaison et la fluiditĂ© dans lâeau. NâĂ©tant pas un trĂšs bon nageur, jâaurais prĂ©fĂ©rĂ© de loin pouvoir lâutiliser. Malheureusement, lâeau est Ă 25.1°C, elle fĂ»t donc interdite.Â
 Le dĂ©part est donnĂ© Ă 7h avec un âRolling Startâ: les 2,000 athlĂštes partent 3 par 3 toutes les 4 secondes, ce qui permet dâavoir un flux constant dâathlĂštes et un dĂ©part en douceur.Â
La natation dans une eau Ă plus de 25 degrĂ©s avec le lever du soleil Ă©tait plus agrĂ©able que prĂ©vue. Les 1,900m consistent en un long aller-retour dans le lac longiligne. Je dĂ©passe pas mal de personnes ce qui mâencourage. Pourtant, en vĂ©rifiant mon temps tous les 500m, je vois que je suis moins rapide que dâhabitude. La course nâĂ©tant pas lâobjectif principal, je ne mâinquiĂšte pas et continue au mĂȘme rythme. Au final je mets 41min, ce qui correspond Ă environ 2'10/100m. Le parcours vĂ©lo consiste en une grande boucle de 90.1 km dans les beaux paysages dâAuvergne. AprĂšs quelques km un peu pĂ©nibles dans la ville, on arrive sur une route dĂ©gagĂ©e avec un excellent revĂȘtement. En position aĂ©rodynamique, je fixe deux valeurs sur ma montre: la puissance de pĂ©dalage et le rythme cardiaque. De temps en temps, je regarde ma vitesse en coup de sonde histoire dâestimer la performance mais je ne base pas dessus pour ajuster lâintensitĂ©. Je suis parti avec deux gourdes, une remplie de boisson isotonique et sucrĂ©e, et lâautre remplie dâeau. Les ravitaillements sont trĂšs bien conçus, tous les 25km, ils sont structurĂ©s de la mĂȘme façon: dâabord une zone pour jeter ses dĂ©chets et gourdes vides, puis une zone oĂč les volontaires nous tendent des gourdes dâeau, puis de boisson isotonique, ensuite des gels et des fruits et pour finir une derniĂšre zone de dĂ©chets. Mon rituel sera identique: jeter la gourde dâeau, en rĂ©cupĂ©rer une nouvelle, et prendre une banane, pour en jeter la pelure dans la zone de dĂ©chets. Je garde ma gourde dâisotonique pendant toute la course car câest une boisson Ă laquelle je suis habituĂ© et je nâai pas envie de risquer de prendre une boisson inconnue pendant une course.Â
Le fait de rester en zone 2 est plus facile que prĂ©vu. Je ne mâĂ©puise pas du tout malgrĂ© une bonne vitesse moyenne, et je profite du paysage. Plusieurs concurrents ne respectent manifestement pas cette stratĂ©gie et jouent au âyoyoâ: ils me dĂ©passent dans les montĂ©es et je les reprends dans les plats. Pour un mĂȘme temps, ils auront produit un effort moins constant, et donc augmentent le risque de crampe pour la course Ă pied. ArrivĂ© au km 60, jâaugmente petit Ă petit lâintensitĂ© pour passer de la zone 2 Ă la zone 3, mais ça reste facile. Au km 70, une belle succession de bosses rĂ©duit ma vitesse moyenne, mais je reste concentrĂ© sur le respect de lâintensitĂ© Ă suivre. Sâen suit 10km de descente, un vrai bonheur pour terminer sans forcer. Jâaugmente la cadence de pĂ©dalage dans le dernier km pour soulager les jambes et les prĂ©parer au semi marathon Ă venir.Â
Au final, je pose le vĂ©lo aprĂšs 2h40, soit exactement 34km/h de moyenne ce qui me booste bien: une chouette moyenne tout en respectant lâintensitĂ©, un trĂšs bon signe pour Barcelone!Â
Il ne reste plus que le semi marathon. Je fais le premier km trĂšs lentement pour faciliter le transfert dâĂ©nergie entre le vĂ©lo et la course, puis prends rapidement mon rythme de croisiĂšre (155 bpm). Je vois que je maintient facilement une moyenne de 5âČ25/km ce qui, pour un semi marathon, nâest pas exceptionnel, mais je me sens pouvoir tenir ce rythme Ă Barcelone, soit un temps de 3h48, qui serait trĂšs bon temps de marathon dâIronman.Â
Les ravitaillements sont aussi bien organisĂ©s: tous les 2km, une succession de volontaires qui nous proposent de lâeau, de lâisotonique, des gels, des tucs, du coca, des fruits... Je reste dans ma stratĂ©gie nutrition qui consiste Ă ne pas essayer de choses nouvelles pendant ma course. J'ai pris mes gels avec moi et en avale un toutes les 30min suivi de lâeau distribuĂ©e.
Au km15, jâaccĂ©lĂšre progressivement le rythme. Je sais que jâai dĂ©jĂ rĂ©ussi mon pari de tenir les intensitĂ©s, et que jâarriverai sans souci au bout de ce semi Ironman, je peux donc me faire plaisir et courir aux sensations. Lâallure moyenne sur ces 6 derniers km sera de 4âČ50/km, et je rattrape un par un une grosse 50aine de personnes qui sont partis trop vite Ă pied ou qui ont poussĂ© trop fort Ă vĂ©lo. Je suis en pleine forme, blague avec les volontaires, et parcours les 200 dernier mĂštres sur le tapis rouge en sprint et en faisant la Ola avec les supporters pour franchir la ligne avec un semi marathon en 1h47.
Le temps total de 5h22 nâest pas trĂšs reprĂ©sentatif. Jâaurais pu faire 5h15 si je nâavais pas perdu autant de temps dans les transitions, mais ce nâest pas ça lâimportant. Par contre, je suis rassurĂ© sur mes capacitĂ©s physiques et mentales Ă tenir lâeffort et câest de bonne augure pour Barcelone!Â
Toute la dĂ©lĂ©gation RCBT est contente de sa course, jâen profite pour tous les fĂ©liciter! Nous terminons 2Ăšme Club et nous qualifions donc pour les championnats interclub dâEurope/Middle East/Afrique. Louis et Max PĂ©trĂ© se qualifient pour les championnats du monde Ironman 70.3 dans leur catĂ©gorie, bravo Ă eux!Â
Place Ă une semaine de rĂ©cupĂ©ration, avec des entraĂźnements plus lĂ©gers (3 sĂ©ances natation cool, 3 sorties vĂ©lo et 2 sortie Ă pied).Â
Ensuite, on attaquera un bloc de deux semaines plus intenses, pour arriver Ă 2 semaines avant Barcelone oĂč lâintensitĂ© diminuera progressivement pour arriver au pic de forme le jour J! Â
Jâen profite pour remercier une fois de plus Muriel pour son soutien inconditionnel, mon coach Philippe, et mon employeur et sponsor Besix RED pour leur soutien dans cette longue prĂ©paration!Â
1 note
·
View note
Text
Quand les postiers deviennent jardiniers
Jusquâau Ă©lections prĂ©sidentielles, le site Miroir 2017 met en valeur des initiatives citoyennes face aux vaines promesses de nos femmes et hommes politiques. Dans le cadre dâun partenariat avec Gazette Debout, nous publions certains de leurs articles. Aujourdâhui, focus sur la communautĂ© Facteur Graine, des facteurs qui investissent le toit dâun centre de tri du courrier pour y installer un potager partagĂ©.
Communauté facteur graines
AmĂ©nager un potager partagĂ© sur toit dâun centre de tri postal ? Voici le pari de lâassociation Facteur Graine, qui souhaite faire pousser des fruits et lĂ©gumes au cĆur de la capitale, et rĂ©-enchanter nos toitures. LaurĂ©at des Parisculteurs, un appel Ă projets sur lâagriculture urbaine et la vĂ©gĂ©talisation de la ville, ils devraient planter leurs premiĂšres graines en avril cette annĂ©e.
Sophie, directrice dâun bureau de poste parisien et lâune des porteuses du projet, se passionne depuis plusieurs annĂ©es sur le sujet. Elle participe dĂ©jĂ Ă lâassociation Veni Verdi qui a crĂ©Ă© un potager dans le XXe arrondissement. Elle insiste sur lâaspect participatif de la CommunautĂ© Facteur Graine. « Il y a plus de 500 salariĂ©s sur ce site. [âŠ] Nous voulons rĂ©unir les talents, un peu comme en permaculture, oĂč il faut associer les plantes ensemble pour quâelles sâĂ©panouissent ».
Lâassociation veut aussi crĂ©er du lien avec les habitants du quartier, organiser des ateliers pĂ©dagogiques, sensibiliser au compost ou encore mener des actions citoyennes. Au-delĂ de ce centre de tri situĂ© boulevard de La Chapelle, Sophie et les autres membres du collectif rĂȘvent dâessaimer sur dâautres toits, la Poste possĂ©dant des centaines de bĂątiments dans toute la capitale.
« Câest une utopie poĂ©tique qui devient nĂ©cessaire. Il faut rĂ©apprendre Ă se nourrir, comprendre la richesse de la terre et la nĂ©cessitĂ© dâen prendre soin », poursuit-elle. Ensemble, ils viennent de lancer une campagne de crowdfunding sur Kisskissbankbank pour financer la montĂ©e de terre et dĂ©buter les premiĂšres plantations dâici la seconde quinzaine dâavril.
Ils espĂšrent produire Ă partir de la seconde annĂ©e 1 530 kg de fruits et lĂ©gumes et 300 pots de 250 ml de miel par an. « Nous avons fait nos estimations avec un rendement de 2 kilos au mĂštre carrĂ©, ce qui est bien peu car en permaculture, on peut aller jusquâĂ 10 Ă 15 kg du mĂštre carré »
La Poste voit leur initiative dâun bon Ćil, mĂȘme si certaines apprĂ©hensions se font dĂ©jĂ sentir. « Câest normal dâavoir des apprĂ©hensions, on les rassure sur lâaccĂšs qui est bien sĂ©curisĂ©  ».Â
Des citoyens-salariĂ©s qui agissent pour changer les choses sans rien attendre de leur hiĂ©rarchie : un comportement qui peut effrayer les grandes entreprises, habituĂ©es Ă des processus trĂšs hiĂ©rarchiques, lents et peu crĂ©atifs. En attendant, les soutiens se multiplient, tant au sein des salariĂ©s que des amis et connaissances. « Nous Ă©tions des messagers du courrier et nous devenons des messagers de la nature ! » sâexclame Sophie. Nul doute que cette belle initiative fera de nombreux Ă©mules Ă Paris et ailleurs.
Pour dĂ©couvrir dâautres initiatives citoyennes, nâhĂ©sitez pas Ă suivre @Miroir2017 sur Facebook et Twitter.
L.A
Cet article Quand les postiers deviennent jardiniers est apparu en premier sur Gazette Debout.
from Gazette Debout http://ift.tt/2mqpeIG via IFTTT
0 notes
Text
I was supposed to be taking a little break from drawing but I couldn't resist on making this doodle of me and the dca bois <33
It's also a comfort doodle btw. I needed to see myself interacting with the dca bois so I made this, no i didn't make this just to make a another art post i just did this for enjoyment and i also thought i should comfort myself.
Also first time drawing eclipse (the accurate nice one)
#moon and me wanted to watch inside out 2 but it was night#so he probably asked me alot of questions if we need time limit when watching the movie XD#Sun is very precious to me and i love him so i technically drew him three times#eclipse is a nice dude and i like to think we went to some shopping and to a garden#my hair is very struggling to draw but it went well anyways lolđ-#fnaf sb#fnaf sun#fnaf moon#fnaf eclipse#doodle#no context#comfort doodle#villetela#ville/veni#ville#my persona#oc x canon#fnaf dca#dca fandom#my art.
115 notes
·
View notes
Text
Venise est lâune des villes les plus originales et les plus Ă©tonnantes dâItalie. Venise te prend aux tripes et te transforme Ă jamais. Venise te fait tourner la tĂȘte et te comble de bonheur. Venise tâenivre et te donne envie dâaimer et de vivre.
Et aujourdâhui, je laisse parler les autres qui la raconte mieux que moi.
 Venise en 10 citations
 #gallery-0-21 { margin: auto; } #gallery-0-21 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 50%; } #gallery-0-21 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-21 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
 « Aucun coin de la terre nâa donnĂ© lieu, plus que Venise, Ă cette conspiration de lâenthousiasme. »
Guy de Maupassant
« Venise, câest comme manger une boĂźte entiĂšre de chocolats Ă la liqueur dâun seul coup. »
Truman Capote
 #gallery-0-22 { margin: auto; } #gallery-0-22 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 50%; } #gallery-0-22 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-22 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
 « Ce qui mâĂ©tonna le plus en entrant dans Venise, ce fut ce sentiment de lĂ©gĂšretĂ© qui sâempara de tout mon ĂȘtre, cette exaltation des sens, cette soudaine joie de vivre et dâaimer. »
Maxime Fermine
« Lorsque je cherche un autre mot pour exprimer le terme musique, je ne trouve jamais que le mot Venise. »
Friedrich Nietzsche
 #gallery-0-23 { margin: auto; } #gallery-0-23 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 50%; } #gallery-0-23 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-23 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
 « En hiver, Venise est comme un théùtre abandonné. La piÚce est terminée, mais les échos restent. »
Arbit Blatas
« Venise digĂšre la foule par lâintestin de ses ruelles et la recrache sur les places. »
Sylvain Tesson
 #gallery-0-24 { margin: auto; } #gallery-0-24 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 33%; } #gallery-0-24 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-24 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
 « Venise ! Est-il une ville qui ait Ă©tĂ© plus admirĂ©e, plus cĂ©lĂ©brĂ©e, plus chantĂ©e par les poĂštes, plus dĂ©sirĂ©e par les amoureux, plus visitĂ©e et plus illustre ? Venise ! Est-il un nom dans les langues humaines qui ait fait rĂȘver plus que celui-lĂ Â ? »
Guy de Maupassant
« Venise câest un songe posĂ© sur le bord de la mer. »
Maxence Fermine
 Et mes deux prĂ©fĂ©rĂ©es pour la finâŠ
 « On a toujours supposĂ© que Venise est la destination idĂ©ale pour une lune de miel, mais câest une grave erreur. Vivre Ă Venise, ou tout simplement la visiter, signifie tomber en amour avec elle et dans le cĆur ne reste plus de place pour rien dâautre. »
Peggy Guggenheim
  « Voici la ville qui, Ă tous, inspire la stupeur. Et jâajouterais que toutes les vertus en Italie dispersĂ©es en fuyant la fureur des barbares ici se rassemblĂšrent, et, ayant reçu du ciel le privilĂšge des alcyons, firent, sur ces eaux, de cette citĂ©, leur nid. Et je conclurai ainsi : qui ne la loue est indigne de sa langue, qui ne la contemple est indigne de la lumiĂšre, qui ne lâadmire est indigne de lâesprit, qui ne lâhonore est indigne de lâhonneur. Qui ne lâa vue ne croit point ce quâon lui en dit et qui la voit croit Ă peine ce quâil voit. Qui entend sa gloire nâa de cesse de la voir, et qui la voit nâa de cesse de la revoir. Qui la voit une fois sâen Ă©namoure pour la vie et ne la quitte jamais plus, ou sâil la quitte câest pour bientĂŽt la retrouver, et sâil ne la retrouve il se dĂ©sole de ne point la revoir. De ce dĂ©sir dây retourner qui pĂšse sur tous ceux qui la quittĂšrent elle prit le nom de venetia, comme pour dire Ă ceux qui la quittent, dans une priĂšre douce : Veni etiam, reviens encore. »
Ăloge de Venise, de Luigi Grotto Cieco dâHadria, prononcĂ© pour la consĂ©cration du Doge sĂ©rĂ©nissime de Venise Luigi Mocenigo,le 23 aoĂ»t 1570.
  DĂ©couvre mon stage dâitalien Ă Venise pour vivre italien Ă Venise : le stage intensif dâitalien
Venise en 10 citations et en 10 photos Venise est lâune des villes les plus originales et les plus Ă©tonnantes dâItalie. Venise te prend aux tripes et teâŠ
0 notes
Photo
Veni Vidi Amavi! I came, I saw, I loved! #adventure #2wheelsadventure #adventuretouring #motortourer #villerslavilleabbey #ruines #abbaye (bij Villers-La-Ville, Brabant, Belgium)
0 notes
Text
Marseille - Corderie : la ministre de la Culture confirme le projet immobilier de Vinci
Marseille â Corderie : la ministre de la Culture confirme le projet immobilier de Vinci
LR: Quand Vinci veut les politiciens se couchent toujours, cette rĂšgle ne souffre aucune exception, avec ou sans lâaccent; du reste son slogan est bien connu: Veni, Vidi, Vinci..; Câeut Ă©tĂ© trop dommage dâen faire un jardin, Marseille est sans doute la ville dâEurope oĂč le rapport urbanisation/espaces verts est le plus catastrophique, malgrĂ© le bord de mer, malgrĂ© la vogue touristique, lesâŠ
View On WordPress
0 notes
Text
Veni, vidi, Ville!
VocĂȘ jĂĄ sabe da novidade empolgante? A Marie vai organizar um evento esportivo na regiĂŁo: o Pentatlo de FarmVille! Este Ă© o maior evento esportivo que a regiĂŁo receberĂĄ e serĂĄ cheio de jogos e aventuras. VocĂȘ pode ajudĂĄ-la a organizar o evento e ganhar o primeiro pintinho d'angola lilĂĄs de FarmVille como recompensa!
Se vocĂȘ estiver no nĂvel 15 ou superior, a janela pop-up "Veni, vidi, Ville!" aparecerĂĄ. Clique no botĂŁo "Começar construção" para iniciar o evento.
Para começar a construir a arena do Pentatlo de FarmVille, colete todos os materiais necessårios.
Em seguida, convide ou contrate seus amigos como construtores.
A arena do Pentatlo de FarmVille, que serĂĄ colocada automaticamente do lado de fora da fazenda, perto da ĂĄrea de forrageamento, ficarĂĄ assim:
Clique na arena do Pentatlo de FarmVille para abrir o menu e começar a concluir a missão da Semana 1.
VocĂȘ precisa concluir 4 missĂ”es por semana. Ă medida em que vocĂȘ concluir missĂ”es, uma marca de conferido mostrarĂĄ seu progresso. Depois de concluir as quatro missĂ”es da semana 1, vocĂȘ poderĂĄ pegar o sofĂĄ de feno como recompensa. Conclua a missĂŁo bĂŽnus para ganhar mais recompensas!
Além disso, uma recompensa especial aguarda depois da conclusão de todas as missÔes de cada semana. Veja jogadores competirem em um evento esportivo na sua arena e torça par ao seu favorito!
Com a semana 1 concluĂda, vocĂȘ sĂł precisa esperar o prĂłximo conjunto de missĂ”es, que serĂĄ desbloqueado nas prĂłximas semanas.
Aposto que vocĂȘ estĂĄ ansioso para os jogos, portanto conclua todas as missĂ”es e ganhe o raro pintinho d'angola lilĂĄs!
0 notes
Text
Veni, vidi, Ville!
Hast du schon die neuesten spannenden Neuigkeiten gehört? Marie veranstaltet einen Sportwettbewerb fĂŒr die Leute in der Gegend â den FarmVillathon! Das ist der gröĂte Sportwettbewerb, den man je gesehen hat â voller Spiele und Abenteuer. Du kannst Marie bei der Organisation dieses Events helfen und FarmVilles erstes blaugraues PerlhuhnkĂŒken als Belohnung erhalten!
Wenn du mindestens Stufe 15 erreicht hast, erscheint die Pop-up-Nachricht âDer Ville zum Sieg!â. Klicke auf die SchaltflĂ€che âBau beginnen!â, um das Feature zu starten:
Um mit dem Bau der FarmVillathon-Arena zu beginnen, musst du die benötigten Materialien einsammeln.
Bitte dann deine Freunde um Hilfe oder stelle Bauarbeiter ein.
Die fertige FarmVillathon-Arena wird automatisch auĂerhalb deiner Farm platziert und sieht so aus:
Klicke auf die FarmVillathon-Arena, um das MenĂŒ zu sehen und mit den Quests von Woche 1 zu beginnen.
Du musst jede Woche 4 Quests abschlieĂen. Wenn du Quests abschlieĂt, zeigt ein HĂ€kchen deinen Fortschritt an. Sobald du alle vier Quests von Woche 1 abgeschlossen hast, kannst du dir das Heuballen-Gartensofa als Belohnung abholen. SchlieĂe die Bonusquest ab, um mehr Belohnungen zu erhalten!
AuĂerdem wartet nach AbschlieĂen aller Quests jeder Woche ein besonderes VergnĂŒgen auf dich! Sieh Spielern dabei zu, wie sie in deiner Arena bei einem Sportevent gegeneinander antreten, und feuere deinen Favoriten an.
Hast du Woche 1 abgeschlossen, musst du nur auf die nÀchsten Quests warten, die in den kommenden Wochen freigeschaltet werden.
Ich wette, du kannst es kaum erwarten, zu den Spielen zu gelangen, alle Quests abzuschlieĂen und dir das seltene blaugraue PerlhuhnkĂŒken zu holen!
0 notes
Text
RĂ©tromobile : auto de collection dans la ville LumiĂšre
See on Scoop.it - hobbies
Salon incontournable pour les passionnĂ©s de voitures anciennes, RĂ©tromobile est aussi lâoccasion pour les non-connaisseurs de veni
0 notes