Tumgik
#ville/veni
villetela · 20 days
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I was supposed to be taking a little break from drawing but I couldn't resist on making this doodle of me and the dca bois <33
It's also a comfort doodle btw. I needed to see myself interacting with the dca bois so I made this, no i didn't make this just to make a another art post i just did this for enjoyment and i also thought i should comfort myself.
Also first time drawing eclipse (the accurate nice one)
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herbwitchery · 4 years
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Veni, vidi, vici 🌞👑🕯 Dans le livret de Juillet d’Une annĂ©e en Magie, sur Patreon (et sur Etsy en milieu de semaine), je vous ai partagĂ© un de mes rituels personnels les plus chers, que j’ai composĂ© Ă  Rome alors que j’étais sous l’influence des vibrations extraordinaires de cette ville chargĂ©e d’Histoire Antique. Parce que nous avons tous en nous un merveilleux LaurĂ©at qui ne demande qu’à briller sous sa couronne de Lauriers !✹ #patreon #uneanneeenmagie #lyraceoltoir #laurier #lauriernoble #laurusnobilis #couronnedelaurier #rituel #ritual #magic #spell #magicritual #witch #witchcraft #pagan #paganism #occult #esoterism #roma #antiquity #mythology #romanmythology #history #laurel #bay #laurelcrown #romanempire #romanhistory #victory #venividivici https://www.instagram.com/p/CCUMYYiCBX6/?igshid=19jidz1jqty2q
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21 juillet â–Ș ARFEUILLES — VICHY
37,9 km ▫ 8h40 ▫ +650 / -1 119 m
Comme c'était une grosse étape, on est parti mes gùteaux, comme disent les jeunes, ce qui fait sens, comme disent mes collÚgues du marketing, puisqu'on est toujours dans les Monts de la Madeleine (ça c'est moi qui le dit). Enfin, mes gùteaux, ne nous affolons pas non plus, dans le référentiel MirBen, ça veut dire 9h15.
Pourquoi une si longue Ă©tape ? Et bien, d'une part, parce que nous n'avons pas trouvĂ© d'hĂ©bergement sur le chemin nous permettant de s'arrĂȘter plus tĂŽt et, d'autre part, comment rĂ©sister Ă  l'envie de goĂ»ter Ă  la vie trĂ©pidante d'une ville de cure le dimanche soir !
Bon, c'est pas parce l'Ă©tape est longue qu'on a beaucoup Ă  dire. On peut quand mĂȘme mentionner nos deux contre-temps. Le premier Ă  cent mĂštres du dĂ©part. Nous devons prendre Ă  droite la petite route qui va vers les Carrier (dĂ©tail inutile mais un rĂ©cit de voyage qui se respecte se doit de donner ce genre de dĂ©tails) mais pile Ă  l'endroit oĂč l'on doit tourner il y a une stĂšle en l'honneur d'une rĂ©sistante, Alice Arteuil, et pile c'est le jour et l'heure de la commĂ©moration et pile c'est le moment de la minute de silence. Et voilĂ , dĂ©jĂ  une minute dans la vue. Le deuxiĂšme contre-temps est quand le superbe chemin ombragĂ© de la combe de Malavaux est coupĂ© par une clĂŽture barbelĂ©e de chez Barbelet avec des panneaux “PropriĂ©tĂ© privĂ©e - DĂ©fense d'entrĂ©e” tous les deux mĂštres. Bon, il est vrai que pour accĂ©der au chemin on avait dĂ» pousser le verrou d'une grosse barriĂšre qui barrait le passage
 On aurait dĂ» se mĂ©fier
 Et d'ailleurs on s'Ă©tait posĂ© la question “et si c'Ă©tait fermĂ© Ă  l'autre bout ?”
 Mais au point oĂč nous Ă©tions arrivĂ©s, nous pensions que c'Ă©tait maintenant bon. Et non ! Seule option, remonter en haut de la combe (+ 120 m) et suivre la D62 ! Grrrr, mais c'est la vie !
Une dizaine de minutes plus tard, au détour d'un lacet, le but de notre étape s'étale à nos pieds et, à l'instar de Jules César, je peux proclamer devant des vaches charolaises sidérées : VENI VIDI VICHY !
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spiritgamer26 · 2 years
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[CP] Scopely lance dans le monde entier “Kingdom Maker”
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Aujourd’hui, Scopely, entreprise de jeux mobiles en plein essor, lance “Kingdom Maker,” un jeu de stratĂ©gie free-to-play original. Cette expĂ©rience MMO mobile n’a qu’une seule rĂšgle, la vĂŽtre ! C’est le dernier titre en date du portefeuille de jeux trĂšs diversifiĂ© de Scopely. "Kingdom Maker" a Ă©tĂ© crĂ©Ă© par Global Worldwide et dĂ©veloppĂ© en partenariat avec Scopely. Ce jeu plonge les joueurs dans une aventure mĂ©dievale cocasse aux scĂ©narios farfelus, aux customisations nombreuses et oĂč les combats Ă©piques font rage.https://youtu.be/3DzJ4-GLNt8Combinant stratĂ©gie en temps rĂ©el (RTS), jeu de rĂŽle (RPG), et gameplay de simulation, “Kingdom Maker” accueille les joueurs dans un monde plein d’humour et au style bien marquĂ© oĂč chacun peut “rĂšgner Ă  sa façon”. Les joueurs pourront rĂ©aliser leurs rĂȘves mĂ©dievaux les plus fous en Ă©tablissant une lignĂ©e royale, en s’engageant dans la bataille, en flirtant avec la romance et le drama ou bien encore en participant Ă  des machinations politiques. Que la joute commence ! Ce n’est pas tous les jours qu’on rencontre une expĂ©rience de jeu qui propose une nouvelle innovante et qui rĂ©invente notre façon de jouer, c’est exactement ce que fait “Kingdom Maker”. Kingdom Maker est un jeu 4X rafraichissant et c’est un excellent ajout Ă  notre portefeuille de jeux variĂ©s, attrayants et dynamiques. Le monde original de “Kingdom Maker” allie parfaitement humour et stratĂ©gie, permet un degrĂ© de personnalisation inĂ©galĂ© et offre une aventure mĂ©dievale exaltante aux joueurs du monde entier. En tant qu’expĂ©rience de jeu profondĂ©ment sociale et aux possibilitĂ©s Ă©tendues, “Kingdom Maker” est conçu pour Ă©voluer avec les joueurs pour les annĂ©es Ă  venir Steve Huff, prĂ©sident de Scopely “Kingdom Maker” est une expĂ©rience de combat en temps rĂ©el oĂč les joueurs peuvent dĂ©fendre et Ă©tendre leur empire. Le jeu comprend des Ă©lements classiques du jeu de stratĂ©gie moderne mais avec en plus quelques petits “twists”, les features du jeu incluent :Familles nobles : CrĂ©ez votre propre dynastie ! Les “nobles” peuvent ĂȘtre utilisĂ©s pour le combat, l’exploration de donjons, la romances et les mĂ©faits. Batailles massives en temps rĂ©el : Combattez jusqu’à ce que la ville en dĂ©fense tombe ou que les attaquants soient Ă  court de paysans Ă  sacrifier. Chaque bataille peut ĂȘtre vue par tout la communautĂ© et n’importe qui peut se joindre au combat. Construction de villes : Construisez des dizaines de bĂątiments uniques, renforcez vos murs pour former un royaume gĂ©nĂ©rant des ressources, des troupes, des objets, des habitants et par consĂ©quent de la puissance ! ContrĂŽle de territoire : Partez Ă  la conquĂȘte de territoires immenses, contrĂŽler les points stratĂ©giques allant des capitales, aux comptoirs commerciaux. Veni! Vidi! Vicieusement ambitieux, n’est ce pas ? ArmĂ©es personnalisables : DĂ©veloppez des commandants et recrutez des champions pour mener la charge. Vous obtiendrez ainsi de l’équipement puissant pour renforcer vos bataillons et ainsi obtenir un avantage dĂ©cisif. SORTEZ LES CATAPULTES ! Alliances : rassemblez des amis sous une banniĂšre commune et Ă  vous la domination totale et absolue. Ou faites quelque chose d’ennuyeux, comme conclure un traitĂ© de paix ou Ă©changer des biens pour la prospĂ©ritĂ© du peuple.
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hikingwithpapau · 3 years
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TMB5 Refuge Robert Blanc to Courmayeur
Pas pressĂ© ce matin, je suis parti de Robert Blanc que vers 8h15, juste aprĂšs le lever du soleil. À vol d’oiseau, il n’y a qu’une petite distance entre le refuge et le Col de la Seigne, 200m plus bas, oĂč on rejoint le tracĂ© normal du TMB. Je m’étais dit que ce serait une promenade de santĂ©, mais sous le refuge je suis tombĂ© sur un panneau indicateur annonçant qu’il fallait compter 3 heures pour rejoindre le col. Surprise !            En fait ce segment s’est rĂ©vĂ©lĂ© ĂȘtre le plus technique de tout le tour. Le sentier est en balcon, mais on monte et descend sans arrĂȘt sur une distance de 7,3km. Et surtout, le sentier est trĂšs exigeant avec des passages compliquĂ©s pour traverser des riviĂšres en Ă©vitant les endroits glacĂ©s et escalader des bosses rocailleuses assez hautes. Heureusement, le balisage est excellent et tous les passages difficiles sont Ă©quipĂ©s de cĂąbles et/ou de marchepieds. Cela s’achĂšve par l’ascension d’un mur raide dans la caillasse et les rochers instable oĂč il faut s’agripper Ă  des cĂąbles sur plus d’une centaine de mĂštres (photo). Une fois au sommet de ce mur, le paysage s’ouvre et il ne reste qu’une descente en pente douce pour rejoindre le Col de la Seigne. Les 3 heures mentionnĂ©es Ă©taient tout de mĂȘme exagĂ©rĂ©es, en avançant lentement et prudemment il m’a fallu 2h30 depuis le refuge.               ArrivĂ©e au col, Ă  la frontiĂšre franco-italienne on aperçoit au loin la silhouette du Grand Combin en terre valaisanne. Mais il reste bien du chemin mĂȘme si les difficultĂ©s techniques sont passĂ©e. Je jette un dernier regard en arriĂšre avant de regarder plus haut sur la gauche ou le Mont Blanc rĂ©vĂšle sa splendeur. Encore 50 min de lĂ©gĂšre descente pour rejoindre le Refugio Elisbetta Soldini et savourer mon petit-dĂ©jeuner. Ça valait la peine de transporter du beurre d’arachide Santa Cruz jusqu’ici juste pour ce moment !                 Il restait 5 heures de marche jusqu’à Courmayeur. La descente du Val Veni comporte en fait 500 m de remontĂ©e sur les flancs du Mont Favre. Le chemin en balcon est agrĂ©able, avec de belles vues sur le massif du Mt Blanc, de beaux mĂ©lĂšzes dorĂ©s, et des ruisseaux resplendissants de glace. Une fois arrivĂ© en vue du Mont ChĂ©tif, c’est le retour dans la civilisation avec des bruits de machine incessants et des ouvriers qui s’affairent Ă  prĂ©parer les installations de ski de Courmayeur. J’aime de moins en moins les stations de ski, et pour la randonnĂ©e pĂ©destre c’est une calamitĂ©, le paysage s’enlaidit et on perd la trace des sentiers et de leurs balises. Ayant plusieurs fois perdu mon chemin j’ai fini par prendre la piste de ski pour descendre Ă  Courmayeur sans me poser de question. Ça tire sur les quadriceps mais c’est efficace !
           TrouvĂ© un petit hĂŽtel vĂ©tuste au centre de Courmayeur, avec des hĂŽtes tout aussi vĂ©tustes mais trĂšs avenants et parfait bilingues, la Pension Venezia. Il y avait pas mal de monde en ville, on m’a dit que c’était calme mais en Ă©tĂ© et pendant la saison de ski ça doit ĂȘtre une vraie foire.
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j0sgomez-blog · 5 years
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By Michael Lanza
Our bus winds up a narrow road in the Vallée des Glaciers, below snowy peaks of the French Alps. We boarded it with about 10 other trekkers after a late-afternoon thunderstorm ripped the sky open while we enjoyed a café and tea with chocolate mousse and a slice of blueberry pie at the Auberge de la Nova in les Chapieux, a speck of a village along the Tour du Mont Blanc. As the bus rumbles into Ville des Glaciers, a cluster of old farm buildings, I ask the driver to stop.
My 80-year-old mother wants to get off and hike.
The rain has ceased, so my mom suggests—since we’ve only hiked about five miles so far today—that we hike the final 30 minutes uphill to our destination, a one-time dairy farm turned mountain hut, the Rifugio des Mottets. I glance around at the other trekkers on the bus—all of them somewhere between one-third and one-fourth my mother’s age. None are getting off with us. They are all content to ride the bus to the hut. As they all silently watch the old lady get off to walk the rest of the way, I’m pretty sure I see some sheepish expressions.
We are on day two of a nine-day trek on one of the most popular and majestic trails on the planet, the Tour du Mont Blanc. A roughly 106-mile (170k) footpath encircling the “Monarch of the Alps,” 15,771-foot (4807m) Mont Blanc, the TMB passes through three countries—France, Italy, and Switzerland. The trek normally takes at least 10 to 11 days and entails a demanding 32,800 feet (10,000m) of elevation gain and loss while crossing—depending on which route variants one takes—10 or 11 mountain passes, the highest approaching 9,000 feet (over 2600m).
Joanne Lanza, 80, hiking to the Col de la Seigne, Tour du Mont Blanc, France.
My mom, Joanne Lanza, and I are hiking alone only today; eight others in our group took a longer and more arduous route to tonight’s hut, and two more will join us in two days, in Courmayeur, Italy. And those two facts illustrate a prime attraction of the TMB.
Although the genesis for this trip was my desire to help my mother realize her dream of hiking in the Alps, my wife and two teenage kids, strong and experienced hikers and backpackers, would never hear of me going without them. Plus, I invited along some extended family and friends with a range of comfort levels and stamina in the mountains (but fortuitously including people who speak two of the three languages we will use on the TMB). Our group comprises a dozen people—we could field a soccer team.
Hi, I’m Michael Lanza, creator of The Big Outside, which has made several top outdoors blog lists. Click here to sign up for my FREE email newsletter. Join The Big Outside to get full access to all of my blog’s stories. Click here to learn how I can help you plan your next trip. Please follow my adventures on Facebook, Twitter, Instagram, and Youtube.
  Facing the challenge of finding a multi-day Alps trek that could accommodate a diverse group, I had settled quickly on the Tour du Mont Blanc. Scenically, it has few rivals in the entire world, and we would sample the mountain culture—and food—of three nations. But most conveniently, the TMB passes through towns and villages and crosses roads frequently. While we will spend three nights in mountain huts—all in stunning surroundings, a unique Alpine experience that I wanted everyone to have—we will sleep most nights in hotel beds, something Mom’s 80-year-old muscles will appreciate. And the availability of public transportation almost every day allows Mom and anyone else to skip or shorten a hard section or sit out a rainy day.
Those convenient logistics led me to think this plan might actually work.
Ready to hike one of the world’s great treks? Click here now for my e-guide “The Perfect, Flexible Plan for Hiking the Tour du Mont Blanc.”
Trekkers hiking to the Col de la Seigne, Tour du Mont Blanc, France.
Now, walking beside my octogenarian mother up the Vallée des Glaciers toward the Rifugio des Mottets, the only sounds are the soothing rumble of the river, the Torrent des Glaciers, and the far-off moans of an icy wind blowing off the 12,520-foot (3816m) Aiguille des Glaciers, looming above the valley.
Mom admonishes me to slow down. “Remember,” she says, “you’re hiking with a snail.” (Her informal hiking club proudly calls itself the Snails.)
We have barely begun a long, hard trek, and neither of us really knows how it will go for her, attempting to walk a substantial portion of this trail that wraps like a 106-mile-long lasso around the tallest mountain in the Alps. Although she continually amazes me in her physical stamina and pain threshold, still, the notion of an 80-year-old embarking on a multi-day hike through the Alps is kind of nuts.
But neither of us worries much about what lies ahead. And that calm optimism just may be the source of her strength.
Find your next adventure in your Inbox. Sign up for my FREE email newsletter now.
  The Tour du Mont Blanc in Italy
An icy wind blowing down from a severely cracked glacier just above us scours the outdoor deck of the Rifugio Elizabetta Soldini as we step outside on our fourth morning on the Tour du Mont Blanc. Clouds the color of battleships cling to the tops of jagged peaks flanking the glacier, but down the Val Veny below us, rows of spires stand silhouetted against blue sky.
We’re heading in that direction. And my mother has made a unilateral decision to throw out my carefully crafted agenda.
Today, we face a nine-mile hike, with a substantial stretch of uphill, from the Elizabetta hut to the resort town of Courmayeur, Italy. I had expected my mom to walk an easy mile with us to a road and catch a bus to Courmayeur. But she decided that plan sounds a little too sedentary. She wants to hike the entire distance.
I will share this truth with you: The stereotype of the kindly old lady is a myth. Octogenarians can be irritatingly strong-willed. Especially the ones that go hiking.
My daughter, Alex, hiking toward Courmayeur, Italy, on the Tour du Mont Blanc.
In all seriousness, I think she’ll do fine—probably. Yesterday, hiking about six miles from Rifugio des Mottets to Rifugio Elizabetta, Mom had crushed the 2,100-foot ascent to the Col de la Seigne—a jaw-dropping mountain pass at 8,255 feet (2516m) where we crossed into Italy—in well under three hours. Not bad for a snail.
She naturally can’t match the pace of anyone in our group—especially the teenagers, my nephew, Marco, and my kids, Nate and Alex, who frequently bound ahead beyond sight and earshot. But she keeps plodding steadily forward, accompanied by me or others. Whenever the faster hikers stop to take pictures or grab a snack, she inevitably comes puttering along, the proverbial, persistent tortoise somehow always catching up with the hares.
Guido Buenstorf hiking to Courmayeur, Italy, on the Tour du Mont Blanc.
Her unflagging clip yesterday, in fact, resulted in us arriving at the Elizabetta hut by early afternoon—earlier than I had expected. And she apparently wasn’t tired yet, because when Alex, Marco, our German friend, Guido Buenstorf, and I announce we were taking an afternoon hike up a steep trail behind the hut to an overlook of the glacier, she was the only taker. An entire afternoon, she told me flatly, “is too long to just hang around in the hut.”
After a 45-minute walk from Elizabetta down the valley, we make a long, 1,500-foot climb through forest and then over open, grassy, wildflower meadows onto the rolling terrain of a ridge forming the southern wall of the Val Veni. Across the valley, the Brouillard and Freney glaciers carve wide paths amid a quiver of dark stone spires. Clouds obscure the heights of Blanc, but the view is breathtaking almost every step of the way.
Do this trek right with my e-guide “The Perfect, Flexible Plan for Hiking the Tour du Mont Blanc.”
About four hours after leaving the hut, we reach the top of ski slopes high above Courmayeur and descend a chair lift and gondola into town, where we meet up as planned with my sister, Julie, and her 21-year-old daughter, Anna, at the Hotel Crampon. That evening, we gorge on an excellent dinner at Ristorante La Terrazza, our meals ranging from margherita pizza for Alex and Marco to an exquisite gnocci in wild boar sauce that my wife Penny and I both eat.
A Dream of Trekking the Swiss Alps
In many ways, the route that led my mom and me to the Tour du Mont Blanc stretches over far more miles than we’ll hike this week. She has hiked and backpacked with me all over the U.S. for more than three decades. Bridging more than half my lifetime, it’s a route that we have kept walking together, in all honesty, longer than I’d ever expected.
In fact, I’ve twice thought that she and I had already taken our last, major hike together: the first time on a weeklong hut-to-hut trek in Norway’s Jotunheimen National Park that turned out cold, wet, and hard, when she was 75; and then hiking Mount St. Helens when she was 76, a very strenuous, 10-mile, 4,500-vertical-foot day that stretched into 11 hours before we finished. A year after St. Helens, when my family took a weeklong, hut-to-hut trek through Italy’s Dolomite Mountains, she very much wanted to join us. I reluctantly told her I didn’t think it was a good idea, and given how hard that trek was, I still believe that was a good call. But I know missing that one greatly disappointed her.
Then my father got cancer. No one suffers from that horrible disease more than the patient, of course. But a terminal illness affects the lives and decisions of a victim’s entire family. My mother took no major hiking trip for two straight summers. He passed away 16 months after being diagnosed, two days after their fifty-sixth anniversary.
Get the right pack for you. See my “Gear Review: The 10 Best Backpacking Packs” and my “Top 5 Tips For Buying the Right Backpacking Pack.”
Hiking to the Refugio Bonatti, Tour du Mont Blanc, Italy.
Last winter, she turned 80. She had been telling me for several years—probably going back to when she was a spry young lass barely past 70—that she’d love to hike in the Swiss Alps. The Tour du Mont Blanc seemed to offer the right opportunity to finally show her the Alps on one of the world’s great treks. My sister, Julie, offered to join us, hiking some days while providing critical logistical support by accompanying our mother on buses and trains around two harder sections of the TMB. As it turned out, they would also elect to take a long bus ride instead of joining the rest of us on day six, hiking through hours of wind-driven rain over the Grand Col de Ferret at 8,323-foot (2537m), the mountain pass where we stepped from Italy into Switzerland.
She’s remarkably fit and agile for her age, and tough. But at 80, there’s no getting around the fact that her biological clock resembles an hourglass whose bottom lobe looks nearly full. Problem is, the top lobe has opaque sides—we can’t see how much sand remains in it. Compounding matters, she had been sidelined for most of the spring with a foot injury, and wasn’t able to resume her exercise program and training hikes until only a month before we flew to Geneva.
See which section of the Tour du Mont Blanc made “My 25 Most Scenic Days of Hiking Ever.”
But as she bluntly reminds me, “I’m not getting younger. I don’t know how much longer I’ll be able to do these trips.”
Our options seemed clear: Go to the Alps this year, accepting the risk that it may prove too hard for her, or risk regretting never having tried it. We hardly had to discuss it before deciding to go.
Hiking Over the FenĂ©tre d’Arpette
The water of Lac de Champex offers a razor-sharp reflection of the intensely green mountainsides across the lake as nine of us form a conga line of boots and backpacks, walking through the small, post-card town of Champex-Lac, Switzerland. The sun feels warm and the morning air chilly as we set out excitedly for our eighth day on the TMB.
But we’re still talking about last night’s dinner.
At the Hotel Alpina, a six-room inn located at the end of a road on one of the highest points in Champex-Lac, overlooking a bucolic valley and more glaciated mountains, we had the best meal of the trek—and, many of us agreed, one of the best dinners we had ever eaten. The multiple courses began with croustini de serac a l’huile de ciboulette, followed by filet de veau (veal) a l’orientale, pain de pomme de terre (potato bread), and a dessert of poire (pear) gourmande au caramel au beurre demi-sel. Looking around the long table where the 12 of us were seated, I could see everyone doing exactly what I was doing: savoring every bite in our mouths for as long as possible.
Save yourself a lot of time. Get my e-guide “The Perfect, Flexible Plan for Hiking the Tour du Mont Blanc.”
Lac de Champex, along the Tour du Mont Blanc, Champex-Lac, Switzerland.
Today, taking advantage of the TMB’s logistical flexibility, we’re splitting into three groups. Mom, Julie, and Anna will enjoy a rest day, taking public transportation to our next inn, in the village of Finhaut, Switzerland. The rest of us will hike two different routes from Champex to the Col de la Forclaz, near Finhaut, where I’ve arranged rides for us to the inn.
Guido, his wife, Inken Poszner, and our Boise friend Fiona Wilhelm opt for the nearly 10-mile (16k) primary TMB route via Alp Bovine (where they will confirm a rumor that the best pastries on the Tour du Mont Blanc can be bought at the dairy farm there). My family, Marco, and our friend Jeff Wilhelm (Fiona’s father) turn onto the 8.7-mile (14k) TMB variant that ascends nearly 4,000 feet (1199m) to cross over the FenĂ©tre d’Arpette mountain pass at 8,743 feet (2665 meters)—one of the two highest points on the TMB.
I can help you plan this or another hiking trip you read about at my blog. Find out more here.
We follow a quiet country lane past some private homes and small lodges, beyond which the road narrows to a footpath. As we ascend a valley, the way grows increasingly steeper; we clamber over large talus boulders. After slogging uphill for a solid four hours, we wade into a small crowd of trekkers lounging in the cool breeze at the FenĂ©tre d’Arpette, a notch in a mountain ridge. On the other side, the broad, crevassed tongue of the Trient Glacier hangs down into the valley we’re descending. Not far down the other side, we hear a loud crack and look up to see ice calve from the glacier and rain down cliffs exposed only in recent years as the glacier, like most others in the Alps, continues a fast retreat as the climate warms.
At the Col de la Forclaz, a pass with a busy, two-lane highway and a powerful wind both cutting through it, we’re met by Ilse Bekker-Maassen, who owns the Chalet Bekker with her mountain-guide husband, Edward. She transports us to her inn, a homey place in the woods overlooking Finhaut. That night, Ilse serves us a dinner of raclette, a traditional meal of Switzerland’s Valais region, consisting of raclette cheese melted over bread and potatoes which everyone would have devoured even if we weren’t ravenous from a big day’s hike.
It’s now official: We have been spoiled by the food along the Tour du Mont Blanc.
A Big, Last Day to Chamonix
For our trek’s ninth and final day, Ilse suggests an alternative to stage nine of the Tour du Mont Blanc. Instead, Ilse points out on the map a roughly six-mile trail from the Emosson dam, a short drive from Finhaut on the border of Switzerland and France, to the little village of Le Buet, where we can catch a short, inexpensive train into Chamonix. The trail follows a high ridge across the valley from the TMB, offering constant views of the Mount Blanc massif rather than hiking along its flanks, as we would on the TMB. So we decide to do it, and a bluebird morning sky portends one of the trip’s nicest days.
Ilse offers to drive us to the dam, but notes that anyone interested can also begin from Finhaut with an uphill hike of almost five miles and 2,000 feet just to reach the dam. Some of us opt for the longer day—including, of course, my mom, who I had actually, fleetingly imagined might be feeling kind of tired.
We hike the relentless ascent at her snail’s pace. Below us, Finhaut slowly retreats into the distance, revealing the village as a cluster of homes and hotels clinging to the steep mountainside. At the dam, we meet up with those who drove up with Ilse and eat lunch in the restaurant. Mom looks as fresh as if she’d accepted the ride instead of hiking there.
Plan your next great backpacking adventure using my downloadable, expert e-guides. Click here now to learn more.
Alex below the Fenetre d’Arpette, Tour du Mont Blanc, Switzerland.
Beyond the dam, the trail immediately presents us with a short traverse across an exposed rock face—a no-fall zone with a fixed chain in place as a handrail. A trekker coming from the other direction says there are numerous similar sections for the next couple of miles. Julie, who’s recovering from a shoulder injury suffered a few weeks before the trip and has hiked with one arm in a sling all week, decides to turn back and take public transportation from the dam down to the valley; Inken and Guido join her.
For the next couple of hours, Marco, Alex, Anna, and I shadow my mother, lending her a hand or spotting or boosting her when she needs it; but she does most of the work of hauling herself up and down under her own power. I can see the kids are proud of being part of her team. They keep pulling out their phones to shoot video and pictures of her scaling these short walls of rock.
We reach a nearly vertical wall of rock about 15 feet high, requiring third-class scrambling up a rising diagonal traverse. My mom looks up at it and, rather than reacting with fear, busts out laughing at the absurdity of it all. “Oh, my gosh,” she says, chuckling. “This is unbelievable.” But with her young aides surrounding her like Secret Service agents, she scales yet another section of this trail that would turn away many people half her age.
To borrow an expression from the French: “C’est incroyable!”
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The Power of Positive Thinking
Years ago, I gave my mother the nickname “The World’s Toughest Grandma” for her hiking feats. (And as we hike the TMB, she is actually soon to be a great-grandmother. Chew on that fact for a minute.) But the source of what many of us describe as toughness or fortitude may reside in an attitude more fundamental to individual human nature—an attribute I’ve seen her manifest countless times over the years, like the day she stared down her fears to scale the cable route up Yosemite’s Half Dome when she was nearing 60. Where some people see a glass as half empty, my mother sees it as half full.
Science has proven that the brain influences the body’s physical health: Thinking positive thoughts boosts the immune system, counters depression, and lowers blood pressure. Focusing on the positive in their lives has helped some people with chronic illnesses live longer, while a positive view of aging can lead to better health and longevity.
Researchers at the Johns Hopkins School of Medicine found that, among people with a family history of heart disease, those who had a positive outlook were one-third less likely to have a heart attack or other cardiovascular event than those with a negative outlook; positive people in the general population were 13 percent less likely than their negative counterparts to have a heart attack. According to a University of Kansas study, a simple smile reduces heart rate and blood pressure during stressful situations.
Have all the planning done for you. Sign up for one of these 14 best trips to Mont Blanc.
What does that mean for an old lady trying to hike day after day through the Alps?
My mother doesn’t visualize failure. Even at 80, she visualizes success. She believes she will make it, and aided by her fitness level, it becomes a self-fulfilling prophesy—and not because it’s easy for her, not by a long stretch. Watching her hike, you can see she’s not walking up and down mountains pain-free. Jeff will tell me later that his GPS measured today’s hike from Finhaut to Le Buet at 10.9 miles with close to 4,000 vertical feet of cumulative elevation gain. For almost anyone, at any age, that’s a huge day. Hiking five of our nine days out here, she will cover more than 43 miles of the 106-mile Tour du Mont Blanc (no one in our group did the entire route), with well over 10,000 vertical feet of climbing.
And yet, to her, the pleasure she derives from it eclipses the suffering. Her optimism is something that many people, of all ages, in any context, could take a lesson from.
Anna Garofalo hiking from Emosson dam to Le Buet, Switzerland.
All afternoon on the high, rugged traverse from the Emosson dam, we stop repeatedly to gape across the valley plunging away thousands of feet to the glaciers and jagged skyline of Mont Blanc muscling into the brilliantly blue sky. A sprawling massif more than 15 miles (25k) long, plastered with more than 40 glaciers, Mont Blanc comprises some 400 distinct summits, including some of the most famous names in mountaineering history: the Grandes Jorasses, Aiguille Noire, the Dru and Aiguille du Midi. Its true summit towers 12,000 feet above Chamonix, France, and nearly two vertical miles higher than the nearest habitations in Italy, and overlooks seven valleys in three countries.
At one point, while catching her breath, Mom looks around and says, “It’s hard, but it’s beautiful. I’m really glad I did this today.”
  The Big Outside is proud to partner with sponsor Switzerland Tourism, who supported this trip and this story about trekking the Tour du Mont Blanc. Click on the Switzerland logo to find out more about traveling in that beautiful country.
  With evening rapidly approaching, Anna, Marco, Mom, and I reach the Refuge de la Loriaz hut—we had told the others a while back to go on ahead of us—and begin a long descent on a gravel road through the forest. Shortly after 7 p.m., almost 10 hours after setting out from Finhaut, the four of us reach the train stop in the village of Le Buet shortly before the day’s last train pulls up at 7:41 p.m. Twenty minutes later, our nine-day journey comes full circle with us arriving back in Chamonix.
We stroll down bustling streets past scores of people talking and laughing at outdoor restaurant tables. Approaching our hotel, we see Guido and Inken sitting at a table outside, smiling at us. They congratulate Mom; Inken gives her a warm hug.
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“Watching her walk over to us, it doesn’t look like she just did this huge hike,” Guido tells me.
I just nod. How do you explain people like her? She hasn’t overcome physical pain or exhaustion, of course. She has simply decided it will not stop her from going after a sense of satisfaction that’s larger than the pain. She understands that age eventually wins out over us all. But she’s not giving in without a damned good fight.
She has a simple but powerful force on her side: the right attitude. Not to mention a good, steady snail’s pace.
Tell me what you think.
I spent a lot of time writing this story, so if you enjoyed it, please consider giving it a share using one of the buttons at right, and leave a comment or question at the bottom of this story. I’d really appreciate it.
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Marco Garofalo at the Fenetre d’Arpette, on the Tour du Mont Blanc in Switzerland.
Trip Planner: Trekking the Tour du Mont Blanc 
THIS TRIP IS GOOD FOR anyone in moderately good physical condition, including children, with the caveat that some may want to skip or shorten harder days by using the public transportation and taxi options available along the Tour du Mont Blanc. The route is well marked and virtually always obvious—especially the primary route—so basic map-reading skills are adequate to find your way without any major problems. There are also enough other trekkers on the TMB, speaking several languages, that you can often ask directions if needed.
Subscribers to The Big Outside can read the rest of this TMB Trip Planner (below), with my tips on planning the Tour du Mont Blanc, and get access to all stories.
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Resources Switzerland Tourism, https://www.myswitzerland.com/en-ch/home.html, and Valais hiking tours, valais.ch/en/activities/hiking/hiking-tours.
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roadtoironman-blog1 · 7 years
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Veni, Vedi, VICHY! 
Ce Week-End se dĂ©roulait la rĂ©pĂ©tition gĂ©nĂ©rale avant l’Ironman de Barcelone, Ă  savoir l’Ironman 70.3 de Vichy. 
Un Ironman 70.3 est un semi Ironman, constituĂ© de 1,900m de natation, 90.1km de vĂ©lo et un semi marathon (21.1km). La dĂ©nomination “70.3″ est la somme des distances en miles. Un excellent test de sa condition physique avant de rĂ©aliser le double dans 5 semaines. 
Nous sommes une belle dĂ©lĂ©gation du RCBT au rendez-vous: Danitza, Maxime Fastrez, Maxime PĂ©trĂ©, Bilal, Louis, Simon et Alex. Tous participent Ă  l’Ironman de Barcelone. Une belle Ă©quipe, bien soudĂ©e, ce qui aide beaucoup pour le moral. On a une pensĂ©e pour Nathalie, aussi inscrite Ă  Barcelone avec nous, mais qui a un autre programme pour ce WE. 
Une chose est sĂ»re, le stress n’est pas au rendez-vous. D’une part j’avais dĂ©jĂ  franchi la ligne de deux autres semi Ironman l’annĂ©e passĂ©e (Dubai aux Emirats Arabes Unis et Ruegen en Allemagne), et d’autre part m’entrainant pour le full Ironman entre 8h et 15h par semaine depuis bientĂŽt 9 mois, je n’avais aucune apprĂ©hension ni inconnue pour les distances du semi. 
La consigne de mon coach Philippe Shelkens pour cette course Ă©tait claire: intensitĂ© Ironman. Pour moi, cela signifie rester en zone d’intensitĂ© vĂ©lo 2 sur 5  pendant les premiers 60km de vĂ©lo puis rester sous l’intensitĂ© 3 sur 5. Ensuite au semi marathon, rester en zone d’intensitĂ© course Ă  pied 2 sur 5 pendant les 15 premiers km. Je pouvais ensuite accĂ©lĂ©rer pendant les 6 derniers km en fonction de mon Ă©tat de forme.
M’entrainant avec des capteurs de puissance, Phil m’a Ă©galement donnĂ© des zones de puissance correspondant Ă  mes zones d’intensitĂ©, que je devais respecter Ă  le lettre pour m’assurer que l’intensitĂ© Ă©tait constante pendant tout le parcours vĂ©lo.  
L’objectif Ă©tait donc double: vĂ©rifier ma capacitĂ© physique aux intensitĂ©s Ironman et vĂ©rifier ma capacitĂ© mentale Ă  respecter des instructions d’intensitĂ© plus faible que celles que j’ai l’habitude de suivre. En effet, le jour de la course, on est souvent tentĂ© de se donner Ă  fond, il faut donc du mental pour se retenir. Imaginez que vous soyez capable de courir 10km en 1h et qu’on vous demande de courir Ă  du 7 ou 8 km/h. 
Phil m’avait donnĂ© une semaine d’entrainement plus cool pour que j’arrive en forme Ă  Vichy, et ce fut le cas. J’avais la gniaque et l’envie d’en dĂ©coudre. Ce qui rendait d’autant plus difficile de respecter les consignes d’intensitĂ©s. 
ArrivĂ©s vendredi aprĂšs-midi pour la course de samedi, notre premier ressenti fut la chaleur. S’en suit la question suivante: va-t-on pouvoir porter la combinaison nĂ©oprĂšne pour la natation? En effet, la combinaison est interdite lorsque l’eau dĂ©passe 24.6°C. Elle est d’une grande aide en eau vive, amĂ©liorant la flottaison et la fluiditĂ© dans l’eau. N’étant pas un trĂšs bon nageur, j’aurais prĂ©fĂ©rĂ© de loin pouvoir l’utiliser. Malheureusement, l’eau est Ă  25.1°C, elle fĂ»t donc interdite. 
 Le dĂ©part est donnĂ© Ă  7h avec un “Rolling Start”: les 2,000 athlĂštes partent 3 par 3 toutes les 4 secondes, ce qui permet d’avoir un flux constant d’athlĂštes et un dĂ©part en douceur. 
La natation dans une eau Ă  plus de 25 degrĂ©s avec le lever du soleil Ă©tait plus agrĂ©able que prĂ©vue. Les 1,900m consistent en un long aller-retour dans le lac longiligne. Je dĂ©passe pas mal de personnes ce qui m’encourage. Pourtant, en vĂ©rifiant mon temps tous les 500m, je vois que je suis moins rapide que d’habitude. La course n’étant pas l’objectif principal, je ne m’inquiĂšte pas et continue au mĂȘme rythme. Au final je mets 41min, ce qui correspond Ă  environ 2'10/100m.  Le parcours vĂ©lo consiste en une grande boucle de 90.1 km dans les beaux paysages d’Auvergne. AprĂšs quelques km un peu pĂ©nibles dans la ville, on arrive sur une route dĂ©gagĂ©e avec un excellent revĂȘtement. En position aĂ©rodynamique, je fixe deux valeurs sur ma montre: la puissance de pĂ©dalage et le rythme cardiaque. De temps en temps, je regarde ma vitesse en coup de sonde histoire d’estimer la performance mais je ne base pas dessus pour ajuster l’intensitĂ©. Je suis parti avec deux gourdes, une remplie de boisson isotonique et sucrĂ©e, et l’autre remplie d’eau. Les ravitaillements sont trĂšs bien conçus, tous les 25km, ils sont structurĂ©s de la mĂȘme façon: d’abord une zone pour jeter ses dĂ©chets et gourdes vides, puis une zone oĂč les volontaires nous tendent des gourdes d’eau, puis de boisson isotonique, ensuite des gels et des fruits et pour finir une derniĂšre zone de dĂ©chets. Mon rituel sera identique: jeter la gourde d’eau, en rĂ©cupĂ©rer une nouvelle, et prendre une banane, pour en jeter la pelure dans la zone de dĂ©chets. Je garde ma gourde d’isotonique pendant toute la course car c’est une boisson Ă  laquelle je suis habituĂ© et je n’ai pas envie de risquer de prendre une boisson inconnue pendant une course. 
Le fait de rester en zone 2 est plus facile que prĂ©vu. Je ne m’épuise pas du tout malgrĂ© une bonne vitesse moyenne, et je profite du paysage. Plusieurs concurrents ne respectent manifestement pas cette stratĂ©gie et jouent au “yoyo”: ils me dĂ©passent dans les montĂ©es et je les reprends dans les plats. Pour un mĂȘme temps, ils auront produit un effort moins constant, et donc augmentent le risque de crampe pour la course Ă  pied. ArrivĂ© au km 60, j’augmente petit Ă  petit l’intensitĂ© pour passer de la zone 2 Ă  la zone 3, mais ça reste facile. Au km 70, une belle succession de bosses rĂ©duit ma vitesse moyenne, mais je reste concentrĂ© sur le respect de l’intensitĂ© Ă  suivre. S’en suit 10km de descente, un vrai bonheur pour terminer sans forcer. J’augmente la cadence de pĂ©dalage dans le dernier km pour soulager les jambes et les prĂ©parer au semi marathon Ă  venir. 
Au final, je pose le vĂ©lo aprĂšs 2h40, soit exactement 34km/h de moyenne ce qui me booste bien: une chouette moyenne tout en respectant l’intensitĂ©, un trĂšs bon signe pour Barcelone! 
Il ne reste plus que le semi marathon. Je fais le premier km trĂšs lentement pour faciliter le transfert d’énergie entre le vĂ©lo et la course, puis prends rapidement mon rythme de croisiĂšre (155 bpm). Je vois que je maintient facilement une moyenne de 5ïżœïżœïżœ25/km ce qui, pour un semi marathon, n’est pas exceptionnel, mais je me sens pouvoir tenir ce rythme Ă  Barcelone, soit un temps de 3h48, qui serait trĂšs bon temps de marathon d’Ironman. 
Les ravitaillements sont aussi bien organisĂ©s: tous les 2km, une succession de volontaires qui nous proposent de l’eau, de l’isotonique, des gels, des tucs, du coca, des fruits... Je reste dans ma stratĂ©gie nutrition qui consiste Ă  ne pas essayer de choses nouvelles pendant ma course. J'ai pris mes gels avec moi et en avale un toutes les 30min suivi de l’eau distribuĂ©e.
Au km15, j’accĂ©lĂšre progressivement le rythme. Je sais que j’ai dĂ©jĂ  rĂ©ussi mon pari de tenir les intensitĂ©s, et que j’arriverai sans souci au bout de ce semi Ironman, je peux donc me faire plaisir et courir aux sensations. L’allure moyenne sur ces 6 derniers km sera de 4â€Č50/km, et je rattrape un par un une grosse 50aine de personnes qui sont partis trop vite Ă  pied ou qui ont poussĂ© trop fort Ă  vĂ©lo. Je suis en pleine forme, blague avec les volontaires, et parcours les 200 dernier mĂštres sur le tapis rouge en sprint et en faisant la Ola avec les supporters pour franchir la ligne avec un semi marathon en 1h47.
Le temps total de 5h22 n’est pas trĂšs reprĂ©sentatif. J’aurais pu faire 5h15 si je n’avais pas perdu autant de temps dans les transitions, mais ce n’est pas ça l’important. Par contre, je suis rassurĂ© sur mes capacitĂ©s physiques et mentales Ă  tenir l’effort et c’est de bonne augure pour Barcelone! 
Toute la dĂ©lĂ©gation RCBT est contente de sa course, j’en profite pour tous les fĂ©liciter! Nous terminons 2Ăšme Club et nous qualifions donc pour les championnats interclub d’Europe/Middle East/Afrique. Louis et Max PĂ©trĂ© se qualifient pour les championnats du monde Ironman 70.3 dans leur catĂ©gorie, bravo Ă  eux! 
Place à une semaine de récupération, avec des entraßnements plus légers (3 séances natation cool, 3 sorties vélo et 2 sortie à pied). 
Ensuite, on attaquera un bloc de deux semaines plus intenses, pour arriver Ă  2 semaines avant Barcelone oĂč l’intensitĂ© diminuera progressivement pour arriver au pic de forme le jour J!  
J’en profite pour remercier une fois de plus Muriel pour son soutien inconditionnel, mon coach Philippe, et mon employeur et sponsor Besix RED pour leur soutien dans cette longue prĂ©paration! 
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lerepondeurdesinsoumis · 8 years
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Quand les postiers deviennent jardiniers
Jusqu’au Ă©lections prĂ©sidentielles, le site Miroir 2017 met en valeur des initiatives citoyennes face aux vaines promesses de nos femmes et hommes politiques. Dans le cadre d’un partenariat avec Gazette Debout, nous publions certains de leurs articles. Aujourd’hui, focus sur la communautĂ© Facteur Graine, des facteurs qui investissent le toit d’un centre de tri du courrier pour y installer un potager partagĂ©.
Communauté facteur graines
AmĂ©nager un potager partagĂ© sur toit d’un centre de tri postal ? Voici le pari de l’association Facteur Graine, qui souhaite faire pousser des fruits et lĂ©gumes au cƓur de la capitale, et rĂ©-enchanter nos toitures. LaurĂ©at des Parisculteurs, un appel Ă  projets sur l’agriculture urbaine et la vĂ©gĂ©talisation de la ville, ils devraient planter leurs premiĂšres graines en avril cette annĂ©e.
Sophie, directrice d’un bureau de poste parisien et l’une des porteuses du projet, se passionne depuis plusieurs annĂ©es sur le sujet. Elle participe dĂ©jĂ  Ă  l’association Veni Verdi  qui a crĂ©Ă© un potager dans le XXe arrondissement. Elle insiste sur l’aspect participatif de la CommunautĂ© Facteur Graine. « Il y a plus de 500 salariĂ©s sur ce site. [
] Nous voulons rĂ©unir les talents, un peu comme en permaculture, oĂč il faut associer les plantes ensemble pour qu’elles s’épanouissent ».
L’association veut aussi crĂ©er du lien avec les habitants du quartier, organiser des ateliers pĂ©dagogiques, sensibiliser au compost ou encore mener des actions citoyennes. Au-delĂ  de ce centre de tri situĂ© boulevard de La Chapelle, Sophie et les autres membres du collectif rĂȘvent d’essaimer sur d’autres toits, la Poste possĂ©dant des centaines de bĂątiments dans toute la capitale.
« C’est une utopie poĂ©tique qui devient nĂ©cessaire. Il faut rĂ©apprendre Ă  se nourrir, comprendre la richesse de la terre et la nĂ©cessitĂ© d’en prendre soin », poursuit-elle. Ensemble, ils viennent de lancer une campagne de crowdfunding sur Kisskissbankbank pour financer la montĂ©e de terre et dĂ©buter les premiĂšres plantations d’ici la seconde quinzaine d’avril.
Ils espĂšrent produire Ă  partir de la seconde annĂ©e 1 530 kg de fruits et lĂ©gumes et 300 pots de 250 ml de miel par an. « Nous avons fait nos estimations avec un rendement de 2 kilos au mĂštre carrĂ©, ce qui est bien peu car en permaculture, on peut aller jusqu’à 10 Ă  15 kg du mĂštre carré »
La Poste voit leur initiative d’un bon Ɠil, mĂȘme si certaines apprĂ©hensions se font dĂ©jĂ  sentir. « C’est normal d’avoir des apprĂ©hensions, on les rassure sur l’accĂšs qui est bien sĂ©curisĂ©  ». 
Des citoyens-salariĂ©s qui agissent pour changer les choses sans rien attendre de leur hiĂ©rarchie : un comportement qui peut effrayer les grandes entreprises, habituĂ©es Ă  des processus trĂšs hiĂ©rarchiques, lents et peu crĂ©atifs. En attendant, les soutiens se multiplient, tant au sein des salariĂ©s que des amis et connaissances. « Nous Ă©tions des messagers du courrier et nous devenons des messagers de la nature ! » s’exclame Sophie. Nul doute que cette belle initiative fera de nombreux Ă©mules Ă  Paris et ailleurs.
Pour dĂ©couvrir d’autres initiatives citoyennes, n’hĂ©sitez pas Ă  suivre @Miroir2017 sur Facebook et Twitter.
L.A
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venisemonamour · 5 years
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Venise est l’une des villes les plus originales et les plus Ă©tonnantes d’Italie. Venise te prend aux tripes et te transforme Ă  jamais. Venise te fait tourner la tĂȘte et te comble de bonheur. Venise t’enivre et te donne envie d’aimer et de vivre.
Et aujourd’hui, je laisse parler les autres qui la raconte mieux que moi.
  Venise en 10 citations
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  « Aucun coin de la terre n’a donnĂ© lieu, plus que Venise, Ă  cette conspiration de l’enthousiasme. »
Guy de Maupassant
« Venise, c’est comme manger une boĂźte entiĂšre de chocolats Ă  la liqueur d’un seul coup. »
Truman Capote
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  « Ce qui m’étonna le plus en entrant dans Venise, ce fut ce sentiment de lĂ©gĂšretĂ© qui s’empara de tout mon ĂȘtre, cette exaltation des sens, cette soudaine joie de vivre et d’aimer. »
Maxime Fermine
« Lorsque je cherche un autre mot pour exprimer le terme musique, je ne trouve jamais que le mot Venise. »
Friedrich Nietzsche
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  « En hiver, Venise est comme un théùtre abandonné. La piÚce est terminée, mais les échos restent. »
Arbit Blatas
« Venise digĂšre la foule par l’intestin de ses ruelles et la recrache sur les places. »
Sylvain Tesson
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  « Venise ! Est-il une ville qui ait Ă©tĂ© plus admirĂ©e, plus cĂ©lĂ©brĂ©e, plus chantĂ©e par les poĂštes, plus dĂ©sirĂ©e par les amoureux, plus visitĂ©e et plus illustre ? Venise ! Est-il un nom dans les langues humaines qui ait fait rĂȘver plus que celui-là ? »
Guy de Maupassant
« Venise c’est un songe posĂ© sur le bord de la mer. »
Maxence Fermine
  Et mes deux prĂ©fĂ©rĂ©es pour la fin

  « On a toujours supposĂ© que Venise est la destination idĂ©ale pour une lune de miel, mais c’est une grave erreur. Vivre Ă  Venise, ou tout simplement la visiter, signifie tomber en amour avec elle et dans le cƓur ne reste plus de place pour rien d’autre. »
Peggy Guggenheim
    « Voici la ville qui, Ă  tous, inspire la stupeur. Et j’ajouterais que toutes les vertus en Italie dispersĂ©es en fuyant la fureur des barbares ici se rassemblĂšrent, et, ayant reçu du ciel le privilĂšge des alcyons, firent, sur ces eaux, de cette citĂ©, leur nid. Et je conclurai ainsi : qui ne la loue est indigne de sa langue, qui ne la contemple est indigne de la lumiĂšre, qui ne l’admire est indigne de l’esprit, qui ne l’honore est indigne de l’honneur. Qui ne l’a vue ne croit point ce qu’on lui en dit et qui la voit croit Ă  peine ce qu’il voit. Qui entend sa gloire n’a de cesse de la voir, et qui la voit n’a de cesse de la revoir. Qui la voit une fois s’en Ă©namoure pour la vie et ne la quitte jamais plus, ou s’il la quitte c’est pour bientĂŽt la retrouver, et s’il ne la retrouve il se dĂ©sole de ne point la revoir. De ce dĂ©sir d’y retourner qui pĂšse sur tous ceux qui la quittĂšrent elle prit le nom de venetia, comme pour dire Ă  ceux qui la quittent, dans une priĂšre douce : Veni etiam, reviens encore. »
Éloge de Venise, de Luigi Grotto Cieco d’Hadria, prononcĂ© pour la consĂ©cration du Doge sĂ©rĂ©nissime de Venise Luigi Mocenigo,le 23 aoĂ»t 1570.
    DĂ©couvre mon stage d’italien Ă  Venise pour vivre italien Ă  Venise : le stage intensif d’italien
Venise en 10 citations et en 10 photos Venise est l’une des villes les plus originales et les plus Ă©tonnantes d’Italie. Venise te prend aux tripes et te

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villetela · 30 days
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~Bill Sona đŸ‹âš ïž~
(Ignore how I Fucking misspelled cipher I thought it was chiper so ignore the misspell pls and thank you.)
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Based on nirami's bill cipher post thingy
Inspo: sm-baby (to the outfit ofc)
I actually like this holy crap. Anyways I'm back guys wassup? 😉
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2wheelsadventure · 7 years
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Veni Vidi Amavi! I came, I saw, I loved! #adventure #2wheelsadventure #adventuretouring #motortourer #villerslavilleabbey #ruines #abbaye (bij Villers-La-Ville, Brabant, Belgium)
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antikorg · 7 years
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Marseille - Corderie : la ministre de la Culture confirme le projet immobilier de Vinci
Marseille – Corderie : la ministre de la Culture confirme le projet immobilier de Vinci
LR: Quand Vinci veut les politiciens se couchent toujours, cette rĂšgle ne souffre aucune exception, avec ou sans l’accent; du reste son slogan est bien connu: Veni, Vidi, Vinci..; C’eut Ă©tĂ© trop dommage d’en faire un jardin, Marseille est sans doute la ville d’Europe oĂč le rapport urbanisation/espaces verts est le plus catastrophique, malgrĂ© le bord de mer, malgrĂ© la vogue touristique, les

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bernardzimmer-blog · 8 years
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RĂ©tromobile : auto de collection dans la ville LumiĂšre
See on Scoop.it - hobbies
Salon incontournable pour les passionnĂ©s de voitures anciennes, RĂ©tromobile est aussi l’occasion pour les non-connaisseurs de veni
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villetela · 2 months
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After the short-writing fic I did
Yeah he hates me and my terrible writing but that won't stop me from loving him.
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Also I prefer "they" but there isn't really "another" gender, since I'm a female it had to be "good girl" instead LMAO😭
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villetela · 1 month
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villetela · 1 month
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Lemon 🍋!!
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Harold junior doesn't like people wanting to eat him 😔/j
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