#vie cruelle
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On m'a raconté une blague , un jour . Un homme va voir son docteur en lui disant qu'il est dépressif , que la vie est difficile et cruelle , qu'il se sent seul dans un monde menaçant . Le docteur lui répond :" Le traitement est simple . Le grand clown Pagliacci est en ville ce soir . Allez le voir . Vous vous sentirez mieux . " L'homme éclate en sanglots et lui dit :" Mais Docteur... Je suis Pagliacci ."
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This is only part of a love letter Napoleon wrote
Je ne sais pas quel sort m’attend ; mais s’il m’éloigne plus longtemps de toi, il me [devient] insupportable ; mon courage ne va pas jusque-là . Il fut un temps où je m’enorgueillissais de mon courage, et quelquefois, en jetant les yeux sur le mal que pourraient me faire les hommes, sur le sort que pourrait me réserver le destin, je fixais les malheurs les plus inouïs sans froncer le sourcil, sans me sentir étonné. Mais aujourd’hui, l’idée que ma Joséphine pourrait être mal, l’idée qu’elle pourrait être malade, et surtout la cruelle, la funeste pensée qu’elle pourrait m’aimer moins, flétrit mon âme, arrête mon sang, me rend triste, abattu, ne me laisse pas même le courage de la fureur et du désespoir… Je me disais souvent jadis : les hommes ne peuvent rien à celui qui meurt sans regret ; mais aujourd’hui, mourir sans être aimé de toi, mourir sans cette certitude, c’est le tourment de l’enfer, c’est l’image vive et frappante de l’anéantissement absolu. Il me semble que je me sens étouffer. Mon unique compagne, toi que le sort a destinée pour faire avec moi le voyage pénible de la vie, le jour où je n’aurai plus ton cœur sera celui où la nature aride sera pour moi sans chaleur et sans végétation… Je m’arrête, ma douce amie ; mon âme est triste, mon corps est fatigué, mon esprit est étourdi. Les hommes m’ennuient. Je devrais bien les détester : ils m’éloignent de mon cœur.
Je suis à Port-Maurice, près Oneille ; demain, je suis à Albenga. Les deux armées se remuent ; nous cherchons à nous tromper. Au plus habile la victoire. Je suis assez content de Beaulieu ; s’il manœuvre bien, il est plus fort que son prédécesseur. Je le battrai, j’espère, de la belle manière. Sois sans inquiétude, aime-moi comme tes yeux ; mais ce n’est pas assez : comme toi ; plus que toi, que ta pensée, ton esprit, ta vie, ton tout. Douce amie, pardonne-moi, je délire ; la nature est faible pour qui sent vivement, pour celui que tu animes. [...]
Adieu, adieu, je me couche sans toi, je dormirai sans toi, je t’en prie, laisse-moi dormir. Voilà plusieurs jours où je te serre dans mes bras, songe heureux mais, mais, ce n’est pas toi…
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I don’t know what fate awaits me; but if it keeps me away from you any longer, it [becomes] unbearable to me; my courage only goes so far. There was a time when I prided myself on my courage, and sometimes, casting my eyes on the harm that men could do to me, on the fate that destiny could have in store for me, I stared at the most incredible misfortunes without frowning, without feeling surprised. But today, the idea that my Joséphine could be unwell, the idea that she could be ill, and above all the cruel, fatal thought that she could love me less, withers my soul, stops my blood, makes me sad, dejected, does not even leave me with the courage of fury and despair… I often used to say to myself: men can do nothing to those who die without regret; but today, to die without being loved by you, to die without this certainty, is the torment of hell, it is the vivid and striking image of absolute annihilation. I seem to be suffocating. My only companion, you whom fate has destined to make with me the painful journey of life, the day when I will no longer have your heart will be the day when arid nature will be for me without heat and without vegetation… I stop, my sweet friend; my soul is sad, my body is tired, my mind is dizzy. Men bore me. I should hate them: they take me away from my heart.
I am in Port-Maurice, near Oneille; tomorrow I'm in Albenga. The two armies move; we seek to deceive each other. The most skilful wins. I am quite happy with Beaulieu; if he maneuvers well, he is stronger than his predecessor. I will beat him, I hope, in a good way. Don't worry, love me like your eyes; but that’s not enough: like you; more than you, than your thought, your spirit, your life, your everything. Sweet friend, forgive me, I am delirious; nature is weak for those who feel keenly, for those whom you animate. [...]
Goodbye, goodbye, I'm going to bed without you, I'll sleep without you, please let me sleep. It's been several days since I held you in my arms, happy dream but, but, it's not you…
link to the entire letter on napoleonica
#Napoleon was the most ardent passionate lover#Josephine was wasted on him#Napoleon's correspondence#Napoleon letters to Josephine#it's so sad that this love wasn't reciprocated until it was too late and even then not the same way#while he was writing this he also wrote a bunch of orders to people where you would never know he had these feelings
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" Elle n'a pas vingt ans, cette femme qui franchit le seuil de mon coeur avec autant d'aisance que d'autres passent une porte.
Non, elle n'a pas vingt ans, mais elle en a le double, et peut être quelques miettes d'années. Va savoir avec les femmes..
Elle n'a pas vingt ans, et c'est tant mieux, car mes vingt ans font partie d'un lointain passé, et j'ai pu apprendre à mieux me connaître, à défaut de toujours m'accepter. A vingt ans, on est dans l'excès, on se croit permis de tout, ou alors on n'ose rien. La quarantaine passée, on choisit ses excès avec volupté, et on accepte d'en payer le prix.
Elle n'a pas vingt ans, et la voici qui s'approche de mes bras, la voici dans mes bras, enfin, et elle m'embrasse, avec une tendresse nonchalante qu'on ne peut avoir lorsqu'on n'a que vingt ans. Ce baiser est certes un premier abandon, mais il est aussi une invitation à continuer à la séduire. Elle savoure ma bouche, mes bras, mon corps contre le sien.
Elle n'a pas vingt ans, et c'est tant mieux, car je ne saurais peut etre que faire d'un corps trop jeune pour moi, je ne saurais répondre à cette énergie d'un désir presque sans limite. A deux fois vingt ans, on a acquis un peu plus d'art d'aimer, on gagne en sensualité ce qu'on a perdu en fougue.
Elle n'a pas vingt ans, mais pour moi elle est deux fois plus belle. Son élégance lui vient de son détachement de l'avis d'autrui et de son amour du beau, sa force lui vient des épreuves qu'elle a traversé. C'est plus rare à vingt ans, même si la vie se moque bien de l'âge auquel elle nous inflige des épreuves bien cruelles parfois.
Elle n'a pas vingt ans, mais je l'aime, et quand on aime, on a toujours vingt ans…"
texte de l'homme amoureux
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SolarTale Personnage #5 : SolarNegative!Gaster
Backstory
Gaster est l'un des monstres les plus anciens avec Sans, Asgore et Toriel, assez ancien pour avoir vécu la guerre entre les monstres et les humains il y'a des milliers d'années. C'est suite à cette guerre cruelle et enragée que les humains lui ont fracturés le crâne au niveau des yeux et lui ont fondu son oeil droit, lui faisant garder des séquelles et des traumatismes à vie.
Gaster rempli maintenant le rôle de scientifique dans l'Underground, continuant ainsi sa profession même après la guerre. Étant le second scientifique royale le plus performant après Sans, il le en tant que scientifique royal lorsqu'il n'est pas là , ce qui est souvent le cas.
Un jour, il récupéra une étrange substance noir qu'il décida d'étudier dans son laboratoire. Cette substance semblait être doté d'intelligence, ce qui sublima Gaster qui croyait avoir trouvé un sujet d'étude intéressant et qui allait pouvoir le faire monter en grade. Car après tout, Sans reste son supérieur et Gaster était jaloux de ses performances.
Suite à une mauvaise manipulation, la substance fini par entrer à l'intérieur de Gaster, prenant le contrôle de son corps et embrumant profondément son esprit. C'est à ce moment que n'acquit SolarNegative!Gaster à cause de cette substance de négativité qui est logé à l'intérieur de son squelette et qui le pousse à faire le mal autour de lui.
Capacité
Manipulation de Goop : Le goop est le liquide noirâtre qui se trouve sur le corps de SolarNegative!Gaster. Avec cela, il peut former n'importe quoi comme des tentacules, se protéger et attaquer avec. Cela reste cependant très faible contre de la positivité qui peut la faire disparaitre.
Illusion horrifique : Il a la capacité de plonger une victime dans des illusions mentales en l'enfermant dans son goop. À l'intérieur, aucune lumière ne peut y pénétrait, laissant la victime enfermé avec ses peurs.
Gaster Blaster : Ses Gaster Blaster peuvent envoyer un rayon normal ou un rayon de Goop qui ralentit l'ennemie et qui fait plus de dégâts.
Manipulation osseuse : Il garde évidemment le pouvoir de faire apparaître des os et de les contrôler, ses os peuvent être normaux ou noirs et peuvent fondre ou former autre chose selon l'envie de Gaster étant donné qu'ils sont fait de goop. Par exemple former une chaîne afin d'immobiliser l'adversaire.
Renforcement négatif : Plus les personnes autour de lui ressentent des sentiments négatifs et plus il se renforce.
Formation de créature : Il a la possibilité de former n'importe quoi avec son goop, dont des créatures vivantes de diverses formes qui lui obéissent au doigt et à l'oeil.
Gaster Hand : Il peut faire apparaître 7 petites mains et 2 mains géantes qu'il peut se servir défensivement comme offensivement.
Corruption négative : Il a la capacité de corrompre une âme avec sa négativité pour la détruire ou prendre le contrôle de la personne, la transformant en un pantin de négativité qui le renforce.
Caractère
SolarNegative!Gaster a profondément été corrompu par la négativité, devenant un être cruel, terrifiant et qui apporte malheur et désolation sur son passage.
Il cherche a envahir l'Underground de négativité afin de se renforcer toujours plus et de devenir plus fort que Sans pour prendre le contrôle de l'univers. Pour cela, il doit amener la peur dans ses habitants et conquérir chaque zone de l'Underground.
Physique
SolarNegative!Gaster est un squelette sombre avec un oeil partiellement fermé et un autre oeil grand ouvert. De ses yeux et de sa bouche coulent un liquide noirâtre. Deux pupilles qui brille d'une couleur violette peuvent être visible dans ses yeux, cependant, elles sont assez petites. Il a aussi des cicatrices au niveau des yeux qui laisse voir la substance noirâtre à l'intérieur de son squelette.
Il porte généralement des vêtements gris et simple dont une veste, un T-shirt et un pantalon long. Il possède aussi un tour de cou de la même couleur.
#solartale#univers alternatif#undertale au#undertale multiverse#solarnegative!gaster#gaster#gaster au#solartale personnage#digital art#digital drawing#my art#oc
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La vie est peut-être dure, cruelle parfois, mais sachez que vous n’aurez jamais été aussi fort, que lorsque vous aurez réussit à trouver des moments où vous aimez cette vie.
#citation#quotes#poetry#poem#poesie#litterature#ecriture#texte français#texte#francais#french#penseedujour#life
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Salut Lounès ! Voyons tes rĂ©actions Ă ces quelques citations… taquines !Â
Première citation :
Je suis de ces auteurs qu’ont du souffle, du rĂ©pondant, du biscoto. J’emmerde le genre entier humain Ă cause de mon rĂ©pondant terrible, de ma paire de burnes fantastiques (et bordel de dieu je le prouve !). Je jute, je conclus, je triomphe, je trempe la page de plein gĂ©nie… De vous Ă moi, entre copains, c’est ce qu’on me pardonne pas du tout, Ă la ronde, ce qu’on me pardonnera jamais, jamais, la façon que je termine, que j’achève les entreprises, que je vais au pied comme une reine, Ă tous les coups. Ils voudraient bien me faire mourir, mes Ă©mules, mĂŞme mes petits Ă©lèves, par chagrins, par mĂ©chants propos, me faire pĂ©rir sous les morsures d’une foison de cancrelats, sous les venins d’une pullulation atroce d’aspics effroyablement voyous, martyrivores. Mais ma peau de vache me protège, jusqu’ici j’ai rĂ©chappĂ©. Louis-Ferdinand CĂ©line, L’École des cadavres (1938)Â
Lounès Darbois : Eh oui ! Dans une confrontation, se coucher excite rarement la pitiĂ© de l’adversaire mais plutĂ´t son sadisme. Les cruels sont souvent des lâches et vice-versa. C’est pourquoi il faut ĂŞtre « terrible et fantastique » pour durer et endurer. J’ai une photo de Raymond Poulidor grimpant une cĂ´te. Tout est rĂ©sumĂ© dans l’expression de son visage, le genre qui ne plaisante pas, sourd Ă la douleur, tendu vers son idĂ©al. Parfois je la regarde.Â
Deuxième citation :
(…) il ne s’agit plus de comprendre et d’aider son prochain mais de le fasciner et de l’enculer. Philippe de Vulpillières, L’homme tue et la femme rend fou (2017)Â
Lounès Darbois : Brutal mais exact vu les mĹ“urs actuelles ! La fascination, la « possession » sont des caractĂ©ristiques du diable. Tendance fatale quand on veut bien croire Ă tout sauf au bon sens ! Auteur au parcours intĂ©ressant soit dit en passant.Â
Troisième citation :
Les hommes sont devenus avides, mesquins, menteurs, […] ils ont perdu la foi et le sens du vrai, il n’y a plus de rois, il n’y a plus de bonheur. Ils chercheront la mort sans la trouver ; ils dĂ©sireront mourir, mais la mort les fuira. Roman von Ungern-Sternberg citĂ© par LĂ©onid YouzĂ©fovitch, Le Baron Ungern (2001)Â
Lounès Darbois : Terrible lorsqu’on sait le destin de cet homme. Lui et sa troupe se battaient Ă Â 1 contre 100 dans la steppe, dans une guerre sans espoir. La chanson sur les Russes blancs finit bien par « et leur agonie cruelle, la honte de l’Occident ».Â
Quatrième citation :
La vie de l’homme oscille, comme un pendule, entre la douleur et l’ennui. Arthur Schopenhauer, Le monde comme volontĂ© et comme reprĂ©sentation (1819)Â
Lounès Darbois : Qu’est-ce qui est le plus agaçant : est-ce le poison de la philosophie du soupçon que Schopenhauer et Nietzsche, en suivant les pas de La Rochefoucauld, ont rĂ©pandu sur les meilleures gĂ©nĂ©rations d’EuropĂ©ens qu’ils avaient au contraire pour mission de galvaniser ? Ou est-ce la complaisance dans la dĂ©prime oĂą aiment se morfondre les jeunes Blancs intelligents pour justifier leur inertie ? Difficile Ă dire ! Enfin tout cela mĂ©rite une bonne douche froide et deux jours de diète. Il y a plus de sagesse dans la vie sans parole de François d’Assises que dans les 10 000 pages de l’oncle Arthur et j’ai le droit de le dire car je les ai toutes lues ! Flaubert plus laconique disait Ă Maupassant : « MĂ©fiez vous de la tristesse, c’est un vice. »Â
Cinquième citation :
Ainsi devient raciste celui qui ne veut pas voir son pays envahi par l’étranger, rĂ©actionnaire celui qui regrette le temps passĂ©, rĂ©visionniste celui qui n’adhère pas Ă la doxa nationale, fondamentaliste celui qui se rĂ©clame de la religion de ses pères. Jean de Pingon, prĂ©face Ă Laurent Gruaz, Et si la Savoie redevenait indĂ©pendante ? Projet pour un Ă©tat souverain, catholique et royal (2020)Â
Lounès Darbois : La xĂ©nophobie que l’on essaie toujours de faire passer pour une agression active est un rĂ©flexe de dĂ©fense Ă une agression. Au plan des instincts, elle procède de la pulsion de vie ; au plan politique elle est une rĂ©sistance Ă la colonisation ; au plan moral elle est morale ; et au plan chrĂ©tien… elle est justifiĂ©e par la parabole du bon Samaritain : seul l’étranger qui vous sauve est votre prochain, pas les Ă©trangers en gĂ©nĂ©ral.Â
Sixième citation :
Ah la sale gueule des honnĂŞtes gens… Pierre-Antoine Cousteau, pensĂ©es et aphorismes (2021)Â
Lounès Darbois : Se vĂ©rifie souvent chez des gens très fiers d’avoir Ă©tudiĂ© en Ă©cole de commerce.Â
Septième citation :
La conversation d’une femme : 95 % de reproches. Paul Morand, Journal inutile (1968-1972 et 1973-1976)Â
Lounès Darbois : Vrai sauf… sauf si vous l’« honorez », comme on disait jadis. Alors elle vous fiche la paix.Â
Huitième citation :
Ă€ vingt ans on a dĂ©jĂ plus que du passĂ©. Louis-Ferdinand CĂ©line, Voyage au bout de la nuit (1932)Â
Lounès Darbois : Avez-vous dĂ©jĂ eu cette impression malgrĂ© tous les voyages que vous avez entrepris, malgrĂ© toutes les rĂ©alisations que vous avez accomplies, que tout pendant l’enfance et l’adolescence Ă©taient encore plus intense, plus beau, plus spontanĂ©, en somme plus vrai ? Il me semble que la vraie vie, c’est l’enfance, et que le reste est accessoire.Â
Retrouvez Lounès Darbois chez Kontre Kulture
#Paul Morand#Schopenhauer#Arthur Schopenhauer#Roman Ungern-Sternberg#Louis-Ferdinand Céline#Pierre-Antoine Cousteau#Philippe de Vulpillières
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Terre-1, l'île d'Elysium
La magie, masquée au grand jour, évolue en parallèle de moldu·e·s joyeusement inconscient·e·s de son existence. Ces deux mondes (sorcier et moldu) se chevauchent, se croisent, s’entremêlent en un équilibre délicat dont la responsabilité du maintien revient tant au Magisterium qu’à chaque individu doué de magie.
À Elysium, les espaces magiques éclosent même dans les lieux les plus inattendus, apanage d’une liberté dont les sorcier·e·s jouissent avec délice. Si ce mode de vie semi-caché ne fait pas l’unanimité et est régulièrement remis en question par certain·e·s, il demeure l’alternative la plus adaptée aux yeux de la majorité, secret magique international soigneusement tissé des siècles plus tôt par nécessité d’échapper aux chasses aux sorcières qui menaçaient de décimer tant des mages que des innocent·e·s. Déchiré par des guerres jusqu’à il y a 26 ans, le monde magique connaît actuellement une ère de paix et de prospérité que beaucoup qualifient d’âge d’or. Mais celleux qui ont combattu portent encore les stigmates des conflits et peuvent se sentir en marge de la félicité ambiante.
Très ancrée dans les traditions et soucieuse de l’harmonie avec la nature, Elysium ne s’ouvre réellement au modernisme que depuis qu’elle côtoie les sorcier·e·s de l’autre dimension Terre, et plus spécifiquement Neferis. Les elysien·ne·s ressentent les différences générationnelles et s’en amusent : les un·e·s sont allergiques à la technomagie, les autres y sont accro et tentent de les aider de leur mieux à naviguer à travers les nouveautés qui bouleversent leur fonctionnement.
La faune et la flore s’épanouissent en symbiose avec la communauté et les créatures magiques sillonnent quotidiennement les rues d’Elysium. Ainsi, lorsque l’explosion d’un laboratoire, en l’an 2000, a dénoncé des expérimentations illégales, cruelles et inacceptables sur des créatures de cette dimension et d’autres, les mesures punitives se sont faites drastiques. Depuis, le trafic d’animaux fantastiques est plus fermement réprimé que jamais, les peines peuvent s’avérer excessivement lourdes et toustes s’accordent à dire ce changement justifié.
De l’explosion est née la brèche, à travers laquelle des individus ont été aspirés à l’époque sans certitude de retour. C’est cinq ans plus tard qu’elle a été stabilisée en portail, situé dans les sous-sol du laboratoire en ruine à Shadowvale ; dans ce laps de temps, des lois ont été établies entre les sorcier·e·s des deux dimensions, à l’insu des moldu·e·s, pour favoriser l’entente, le partage et le respect. Elles continuent encore aujourd’hui d’être ajustées à mesure que les défis se présentent.
La contamination des moldu·e·s (cf. annexe fléaux) s’est quant à elle révélée plus tard, de façon progressive et aléatoire : leurs dons ne sont apparus ni simultanément ni sous la même forme, complexifiant la problématique qu’était leur existence. Dans l’urgence, le métier de Traceur·se a été créé pour les repérer, les marquer (on les nomme alors « Tracé·e·s ») et intervenir à chaque fois qu’iels perdent le contrôle de cette magie naissante. Soutien ou ingérence, bienfait ou déshumanisation ? L’idée est débattable, elle divise. Dans ce climat, les contaminé·e·s non tracé·e·s (celleux tardant à se découvrir ou à être débusqué·e·s) réagissent de manières très différentes aux manifestations de leurs nouvelles aptitudes. Entre panique et émerveillement, en passant par la peur de l’inconnu, iels se voient ouvrir les portes d’un monde magique dont iels avaient toujours rêvé… ou non.
#RPForum#forum rpg#rpg ressources#Megaverse#Fantasyrp#fantasy#Magic#Roleplay#MagicalCreatures#Sorcery#Fae#Wizards#ParallelWorlds#FantasyWorld#rpg forumactif
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bonjour bonjour ♡ je poste ce petit message pour quelque chose que je ne fais que trop rarement, la publicité d'un pré-lien sur live by the sun, mais extrêmement attendue par la superbe @manderleystuff et moi-même. ♡
tw : prostitution, abandon forcé d'un enfant, famille dysfonctionnelle. (pl sombre, complexe mais beaucoup d'amour à la clef)
en quelques mots ;;
Ă mon plus beau marasme.
(f) dahlia - ce rouge sur mon corps
belle, belle, comme l'éternelle tristesse au regard de braise, l'envoutante fleur noire, dahlia (prénom au choix) attire les plus fous des marins. ils s'��chouent près d'elle autant que sa vie à elle est un échec. le sang bafoué qui coule dans ses veines, dont seuls les abîmes se souviennent. les années défilent et se moquent, cruelles, de son imperfection désillusion. silhouette chancelante teinte la mélancolie, résilience faites de toutes les épreuves traversées. l'existence sous les coups de lucifer, bercée près des ombres et loin de la lumière. dahlia danseuse funeste, remonte sur la scène encore et encore pour jouer de ce tragique ballet. dix-huit années qui claquent, et un petit être vient déjà au monde. un bébé, saul, son premier garçon, mais elle manque de tout, dahlia. alors, lui aussi, manquera de tout. le corps beauté qu'elle échange contre les billets, juste assez pour se payer un loyer, se nourrir et nourrir son bébé. elle n'avait rien, dahlia, alors les années défilent et elle continue, la seule chose qu'elle sait faire, au fond. gamin grandit et encaisse difficilement, les passages de ces hommes aux regards lubriques. puis en vient un autre, un homme amour, un différent, relation de quelques temps, elle est la maitresse. et alors elle tombe enceinte, une seconde fois. petite poupée, cette fois, petite princesse, elsie. elle ne grandira pas dans ce foyer crasse, sous le joug des hommes de passage. bébé lui est arraché des bras à peine née, le père l'emmènera loin de dahlia, l'élèvera avec sa femme, bébé volé....
( son enfance et son passé sont libres d'interprétation, quant à son état d'esprit aujourd'hui et son futur, il en est de même ♡)
pour en savoir plus c'est par ici !
et pour toutes questions, nous sommes là aussi ♡ merci merci merci d'avoir pris le temps de le lire. ♡
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Je suis en vie
Dans les fictions, les flics disent toujours que les 48 premières heures après une disparition sont cruciales. Cela faisait 50 heures que j’avais signalé la disparition d’Alice.
Je restais là , planté devant le lavabo, avec l’eau chaude qui coulait depuis je ne savais combien de temps, incapable d’une tâche aussi simple que me débarbouiller le visage.
Une partie de moi, lointaine, s’étonnait de ne pas être en état d’arrestation. La femme et, 15 ans plus tard, la fille ? Qui pouvait croire une coïncidence pareille ?
Mais, au fond, cela importait peu. Je voulais juste savoir si Alice était encore en vie. Sa mère aurait-elle eu ce légendaire instinct maternel qui lui aurait fait dire : « Elle est en vie, je le sens » ? Moi, je ne sentais rien, et j’en avais honte.
Je ne savais qu’une chose : Alice ne m’aurait pas fait ça.
La police pensait le contraire, évidemment. Une ado avec des problèmes à l’école, une dispute récente avec son père, et aucun indice ne laissant supposer un enlèvement ? Ca sentait la fugue à plein nez. Ils m’avaient demandé si des affaires manquaient dans sa chambre, et j’avais avoué, mortifié, que j’étais incapable de leur répondre. Son sac à dos, oui, mais ça ne voulait rien dire. Comment pouvais-je savoir s’il manquait de l’argent ou quelques vêtements dans cette chambre d’adolescente en désordre permanent et dans lequel j’avais gentiment été prié de ne plus mettre les pieds depuis ses treize ans (« mon intimité, papa, tu comprends ? »).
Ils m’avaient posé des questions pleines de suspicion sur notre relation mais je ne savais pas si c’était le traitement normal réservé au père ou si c’était à cause de la disparition de sa mère.
Elle aussi, sans une trace. Pour autant que je sache, elle était à la maison avec Alice. Quand j’étais rentré du travail, la petite pleurait dans son berceau, seule. Le désordre qui régnait dans la maison depuis sa naissance n’était pas pire que d’habitude. La porte était verrouillée. Aucune valise ne manquait, le passeport de Joanne était toujours là , et il n’y avait de mot nulle part.
Je l’avais cherchée. Pendant des années, je l’avais cherchée. Dans les hôpitaux, chez les membres de sa famille et tous les amis que je lui connaissais, dans la ville et puis dans d’autres, collant des affichettes avec sa photo, sur internet… J’avais longtemps été suspecté. Le mari, évidemment. La thèse du suicide avait fini par prévaloir. Dépression post-partum. Elle s’était probablement jetée dans le fleuve. On retrouverait le corps un jour, ou pas. Mais dans le regard de certains, je voyais bien que le doute subsistait.
Et voilà que je refaisais exactement les mêmes recherches, les mêmes démarches, et je ne comprenais pas comment il était possible que ça m’arrive une fois de plus, ni comment j’allais surmonter l’épuisement sans nom qui me gagnait.
Je me mis à pleurer, devant ce fichu robinet que je ne parvenais même pas à fermer. A pleurer comme un gosse, avec la morve et les gros sanglots qui déchirent la poitrine. Parce qu’Alice devait être morte. Parce qu’elle ne m’aurait pas infligé ce doute en sachant par quoi j’étais passé avec sa mère. Elle n’était pas cruelle. On s’entendait bien. Même si on avait nos désaccords. Principalement sur le fait qu’Alice continuait les recherches alors que je trouvais qu’elle, qu’on, devait aller de l’avant maintenant. C’était ça, notre dispute. La dernière fois qu’on s’était parlé.
Je poussai un cri animal et frappai du poing sur le lavabo. Ca ne pouvait pas être les derniers mots que ma fille avait entendus de ma bouche. Je relevai la tête, prêt à fracasser le miroir embué quand quelque chose arrêta net mon geste.
Il y avait une lettre écrite dans la buée. Un J. Puis un E, à l’envers. Des lettres maladroites s’ajoutèrent laborieusement, comme si les écrire demandait un effort considérable. Longtemps, je restai figé face au miroir, partagé entre la certitude que j’avais fini par perdre l’esprit et la crainte que le moindre mouvement ne fasse disparaitre le message.
« Je suis en vie »
#un peu à l'arrache mais bon#30jourspourécrire#30jourspourecrire#french#français#écriture#my writing#sls's stuff#je suis en vie
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Deux réflexions de Georges Canguilhem sur la santé
«Les normes de vie pathologiques sont celles qui obligent désormais l’organisme à vivre dans un milieu "rétréci”, différent qualitativement, dans sa structure, du milieu antérieur de vie, et dans ce milieu rétréci exclusivement, par l’impossibilité où l’organisme se trouve d’affronter les exigences de nouveaux milieux, sous forme de réactions ou d’entreprises dictées par des situations nouvelles. Or, vivre pour l’animal déjà , et à plus forte raison pour l’homme, ce n’est pas seulement végéter et se conserver, c’est affronter des risques et en triompher. La santé est précisément, et principalement chez l’homme, une certaine latitude, un certain jeu des normes de la vie et du comportement. Ce qui la caractérise c’est la capacité de tolérer des variations des normes
auxquelles seule la stabilité, apparemment garantie et en fait toujours nécessairement précaire, des situations et du milieu confère une valeur trompeuse de normal définitif. L’homme n’est vraiment sain que lorsqu’il est capable de plusieurs normes, lorsqu’il est plus que normal. La mesure de la santé c’est une certaine capacité de surmonter des crises organiques pour instaurer un nouvel ordre physiologique, différent de l’ancien. Sans intention de plaisanterie, la santé c’est le luxe de pouvoir tomber malade et de s’en relever. Toute maladie est au contraire la réduction du pouvoir d’en surmonter d’autres. […] Il ne peut rien manquer à un vivant, si l’on veut bien admettre qu’il y a mille et une façons de vivre.» (Georges Canguilhem, La Connaissance de la vie, 1952)
«À partir du moment où "santé" a été dit de l’homme en tant que participant d’une communauté sociale ou professionnelle, son sens existentiel a été occulté par les exigences d’une comptabilité […]
L’élargissement historique de l’espace où s’exerce le contrôle administratif de la santé des individus a abouti, dans le présent, à une Organisation mondiale de la santé qui ne pouvait pas délimiter son domaine d’intervention sans publier, elle-même, sa propre définition de la santé. La voici: “La santé est un état de complet bien-être physique, moral et social, ne consistant pas
seulement en l’absence d’infirmité ou de maladie.” […] Ce discours est celui de l’Hygiène, discipline médicale traditionnelle, désormais récupérée et travestie par une ambition socio-politico-médicale de règlement de la vie des individus […] L’hygiéniste s’applique à régir une population. Il n’a pas affaire à des individus. Santé publique est une appellation contestable.
Salubrité conviendrait mieux. Ce qui est public, publié, c’est très souvent la maladie. Le malade appelle à l’aide, attire l’attention ; il est dépendant. L’homme sain qui s’adapte silencieusement à ses tâches, qui vit sa vérité d’existence dans la liberté relative de ses choix, est présent dans la société qui l’ignore. La santé n’est pas seulement la vie dans le silence des organes, c’est aussi la vie dans la discrétion des rapports sociaux.» (Georges Canguilhem, La Santé. Concept vulgaire et question philosophique, conférence donnée à Strasbourg en 1988)
Il est clair qu’aucun des télétoubibs, membres du Conseil pseudo-scientifique, journalistes ou politiques covidiotistes n’a jamais lu une ligne du plus grand philosophe français de la médecine…
Les champs sémantiques recouverts par les termes de "santé" et de "numérique" sont originellement disjoints et n’ont radicalement rien à faire ensemble, sauf à vouloir induire un forçage idéologique voué à la catastrophe humaine et sociale.
Le corps, c’est la part de "nature" qui entre dans la constitution du sujet.
Plus la "nature" (même étymologie que naissance) tarde à se venger des offenses commises contre elle, plus sa vengeance est cruelle…
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🎶Over the rainbow 🎶
- Je sais que ce n’est pas très original... L’amour est passion, obsession... Sa présence est vitale. Je veux dire tombe à la renverse, trouve quelqu’un que tu aimeras à la folie et qu’il t’aimera de la même manière. Trouver cet homme ? Et bien, laisse de côté ta tête et sois à l’écoute de ton cœur. S’il bat en tout cas je n’entends rien. La vérité ma chérie c’est que sans amour, la vie ne vaut pas la peine d’être vécue. Être passé sur cette Terre sans connaître l’amour, le vrai, et bien, c’est être passé à côté de la vie. Il faut essayer de le trouver, parce que si tu n’as pas essayé, tu n’as pas vécu.
- Bravo.
- Tu es cruelle.
- Excuse-moi. Redis le moi encore mais en version courte cette fois.
- D’accord... Sois prête. Qui sait ? Ça existe les coups de foudre.
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Coucou ! Pour le jeu des questions de la 🔥🔥🔥VIOLEEENCE 🔥🔥🔥, si ça ne te gêne pas, la question 13, 16 et 17 selon ce qui t'inspire le plus pour le fandom que tu préfères ou les fanfiction en général ! Merci d'avance ! :D
Chose violence ask game
Allez c'est parti 🔥Violence🔥 !
13) Pire blorboification !
Allez je vais répondre pour FE3H du coup.
🔥 Hildegarde. Ses stans adorent la qualifier de personnage féminin "gris, fort et complexe". Ils sont pourtant experts dans l'art de la laver plus blanc que blanc. Ils font encore plus fort que le jeu et lui enlèvent toutes ses rares aspérités, la transformant en une pauvre petite fille UwU qui n'a rien fait de mal.
La manière dont je la représente dans ma fic a été beaucoup influencée par ça. Je voulais qu'elle soit vraiment dangereuse, cruelle, violente et monstrueuse. Un truc que ses chevaliers blanc détesteraient.
Le pire étant de savoir que des gens ont été harcelés car ils ont osé mal parler de leur déesse en pixels.
🔥 Lambert. Mon interprétation de Lambert est ultra-minoritaire et peu conventionnelle dans le fandom. Pourtant, je défendrai toujours le fait qu'elle ne contredit pas le canon. On voit peu Lambert dans le jeu, mais on en sait suffisamment pour se rendre compte que c'est un : mauvais roi, mauvais mari, un père négligent et probablement un mauvais ami. J'ai les arguments pour le prouver. Bienvenue à ma soutenance de thèse ahem bref.
Alors je comprends la blorboification de Lambert : il est grand, beau fort, facile de l'imaginer en papa nounours. Mais c'est encore un cas où l'on voit que les gens sont capables de se creuser la tête, de chercher de l'humanité à un personnage masculin à peine développé. Ce qui fait tomber le fameux argument "oui mais si les gens écrivent plus sur les persos masculins c'est parce que les persos masculins sont mieux écrits !!!!!". Mais bien sûr, les personnages féminins qui l'entourent n'ont pas droit à la même chose.
Comme dans la vraie vie les pères sont encensés parce qu'ils font juste le minimum, mais les mères sont soumises à toutes sortes de critiques et c'est toujours la faute des femmes.
La blorboification vient aussi du fait qu'on puisse le shipper avec Rodrigue, ce que je déteste bien entendu. Déjà parce que Rodrigue mérite mieux et ensuite que ça fait passer Rodrigue pour un crétin fini ."oh oui Lambert a risqué une crise diplomatique et donc la stabilité de Faerghus et la vie de son fils en épousant une femme qu'il n'aimait peut-être même pas (merci Nopes) mais c'était kro un bon roi ! Ave Lambert, Domina tecum, Benedictus tu in viribus etc. etc." (j'espère que le latin est bon, j'ai pas vérifié).
Genre c'est quoi ce roi qui met tout le monde en danger pour sa maîtresse du moment ?
🔥Matthias et Miklan et ça vaut pour tous les autres fandoms mais j'aimerais qu'on arrête de racler la fosse sceptique et de chercher de l'humanité/une rédemption pour les pires hommes.
Ce dont Sylvain a besoin, c'est d'être loin de Miklan. Il serait temps que les actions des proches abusifs aient des conséquences. Laissez les persos être légitimement en colère contre ceux qui leur ont fait du mal.
16) Je ne comprends pas pourquoi tant de gens aiment ça (caractérisation, trope, headcanon)
🔥 On va rester dans la lignée du précédent : les épouses troisièmes roues à peine nommées et esquissées et qui ne sont là que pour servir de ventres sur pattes parce qu'il faut donner une descendance au perso du canon. Et évidemment c'est un vrai problème dans le fandom FE3H.
Surtout quand c'est accompagné de situations très violentes comme "mais c'est pas grave, elle était aro-ace" (pour toi c'est pas grave, mais pour moi oui). Parce que le but n'est pas de représenter une situation difficile avec sensibilité. Ce n'est qu'une excuse pour que blorbo 1 et blorbo 2 puissent jouer à tétris sans (trop) de remords. Mais bon, quand je vois les gens se faire des high-fives à eux-mêmes après avoir écrit ça et donné deux traits de personnalité à la femme en question (alors euh bah...elle savait se battre et euh...voilà ), je me dis qu'on ne vit pas dans le même monde.
On se croirait au final dans une vieille BD franco belge : les femmes sont en marge. Les seuls trucs intéressants sont liés aux hommes. Elles ne seront jamais le focus et ne sont pas dignes d'amour et d'intérêt. Au pire, elles seront des nuisances qui viennent casser le grand amour éternel ("Noooon Kyphon je ne peux pas rester avec toi car je dois épouser une princesse sortie de nul part". La princesse n'étant même pas nommée et on se fiche de ce qu'elle en pense).
D'autant que dans la vraie vie, les dynasties ne s'effondrent pas parce qu'il n'y a pas d'héritier biologique direct. On trouve des solutions. L'adoption existe. Si vous voulez écrire une relation entre personnes du même sexe, allez-y ! Faites les heureux et épanouis ! Pas besoin de coller une femme troisième roue ! Personne ne vous en voudra si Dimitri n'est pas le descendant direct de Loog ou Felix celui de Kyphon.
🔥Le fait que les personnages masculins aient le droit d'être exceptionnels mais que les personnages féminins doivent à tout prix se plier à des normes étriquées du ""réalisme"". Cessez cette obsession pour les Mary Sue. Beaucoup de vraies personnes seraient des Mary Sues selon ces critères. Ouvrez un livre. Une femme n'est pas une Mary Sue parce qu'elle suit son mari en campagne militaire.
🔥 Les romances où le personnage féminin est naïf/innocent/moins expérimenté dans tous les domaines de la vie que son love interest sombre et torturé. Je préfère quand les deux ont les mêmes aspérités.
17) Il faudrait plus de ce type de fics/art
🔥Plus de fics avec des OCs ! Il faudrait normaliser ça et inonder les fandoms. En ce moment je lis des fics sur Elden Ring et j'adore voir les personnages et les idées de tout le monde. Chaque perso apporte une nouvelle perspective et c'est super chouette.
Pas de reader inserts, non, des vrais OCs bien construits.
🔥Et dans FE3H plus spécifiquement : plus de fics sur Rhéa qui lui sont sympathiques, de contenu sur les Nabatéens, sur le lore du jeu...et sur des couples que j'aime beaucoup mais qui ne sont pas assez représentés comme DeduexByleth ou SylvainxMarianne !
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Quand je repense Ă nous, Ă notre parcours, je ne pense qu'Ă l'amour.
Parce qu'après 1 an de relation, nous nous chérissons malgré les tempêtes et les disputes, la peur et les doutes.
Au cours de cette année, j'ai appris chaque jour à découvrir peu à peu l'homme que j'aime.
Bien sur, je suis passionnée, autant et toujours par tout ce que tu accomplis. Ta discipline est exemplaire, ta foi, tes valeurs et ta conviction aussi. Même avec de la fatigue, tu veux apprendre, comprendre et réaliser tes rêves les plus fous. Tu es non seulement impressionnant, mais aussi un exemple.
Tu es un personnage haut en couleur, riche en sensibilité qui se cache derrière l'humour.
Quoi de mieux que de rire de cette vie qui peut ĂŞtre belle et cruelle ?
Nous avons grandi ensemble, nous avons réalisé des dates les moins communs, et qu'est ce que j'aime ça !
De la folie, de la passion, de l'amitié..
On trébuche, on se plante parfois, mais surtout on se soutient et on se fait confiance. En tous cas, moi je te fais confiance. (T'en fais pas j'essaie désespérément d'appliquer ta formule 80/20. Mais bon, c'est pas trop ça).
Dans nos folies :
- nous avons regardé notre premier film ensemble au bout de 9 mois,
- nous n'avons toujours pas été au cinéma,
- nous avons mangé notre première glace alors qu'il faisait 10 degrés,
- nous aimons nous creuser la tĂŞte sur des Ă©nigmes,
- nous aimons parler des heures de tout, et à la fois de la complexité de ce monde,
- nous nous sommes mutuellement présentés à nos familles.
Bref, on a notre relation.
Ce que j'apprécie aussi, c'est toutes les petites attentions quotidiennes comme la fois où j'étais épuisée et tu m'as ramené des macarons. Des petits gestes qui veulent dire tellement.
Tellement comme notre premier "je t'aime" au bout de 9 mois. Ces mots veulent dire bien plus, parce qu ils sont choisis avec minuties Ă chaque fois qu'ils sont prononces. Alors, je sais que quand tu le dis, c'est pour exprimer un amour profond et pur.
Tu l'auras compris, je pourrais parler des heures de notre relation et de mon ressenti.
Attends, ce n'est fini, je n'ai pas tout dit ;
Aussi, par cette lettre, je tiens aussi Ă te remercier pour tes encouragements, tes gestes les plus tendres et ton soutien inestimable.
Tu sais, au contact de ton corps, je me sens femme, je me sens moi et je me sens respectée. Et pour tout ce que tu m'apportes merci.
Quand tu liras, tu me diras peut ĂŞtre que j'en fais trop, pourtant c'est ce que j'eprouve.
Bien que tu es aussi ton caractère et tes secrets, je sais que je veux rester à tes côtés. Quoi qu'il advienne.
Et surtout, si un jour, je devais avoir des enfants, j'aimerais qu'ils aient un père comme toi.
Je finis juste par ceci : je t'aime et joyeux anniversaire Ă nous.
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Après avoir « discuté » avec la racaille allogène qui martyrisait son fils, Magalax retire sa plainte.
Nous avons besoin d'une police raciale pour trier les Blancs.
Il faut être demeuré pour mettre ses gosses en colonie de vacances dans la France remplacée de 2024.
Surtout sous la supervision d’animateurs qui votent LFI.
Justement, la mère de ce jeune Blanc est complètement demeurée.
Exceptionnellement demeurée.
Le Parisien :
Choquée par l’état de Jean, son fils, couvert de bleus à son retour de colonie de vacances, Cécile Lemaire, une habitante de Oissy (Somme), avait déposé plainte en août pour violences aggravées. Le garçon de 11 ans lui avait en effet raconté avoir été martyrisé durant son séjour à Camaret-sur-mer (Finistère). Mais la mère de famille a finalement décidé de retirer sa plainte, annoncent le Courrier Picard et France Bleu. Jean avait confié à sa mère les claques dès le premier réveil, les coups de baskets et de claquettes, parfois de poings à chaque repas, les menaces. « Ils lui disaient : T’as 2 minutes pour te laver sinon on te frappe », a confié Cécile Lemaire au Parisien. Si la mère de famille voulait obtenir des réponses, en déposant plainte, notamment de la part de l’organisme qui encadrait ces vacances, les choses sont allées trop loin, estime-t-elle. « Des gens que je ne connais absolument pas sont allés agresser les animateurs de cette colonie de vacances. Je n’ai jamais voulu ça ! », regrette-t-elle auprès de France Bleu. Selon elle, : « Il y a des gens très mal intentionnés qui ont menacé de mort les animateurs. Et j’ai eu peur que les enfants qui sont impliqués dans cette affaire reçoivent les mêmes menaces de mort ».
Cette vache se soucie plus de la sécurité de la racaille afro-maghrébine qui persécutait son fils que de celle des gamins blancs.
Je rêve de très cruelles séances de rééducation pour ces grosses Blanches empathiques.
Cécile Lemaire explique avoir rencontré les enfants en question et « beaucoup discuté » afin de « leur expliquer que ce qu’ils prenaient pour des jeux n’était, en réalité, que de la violence gratuite ». Cécile Lemaire a donc retiré sa plainte mais l’enquête pour comprendre l’inaction des animateurs de la colonie de vacances reste ouverte.
Il y a plus d’étincelles de vie dans le regard d’un labrador que dans celui de cette Magalax.
Instinct de conservation : 0,1%
Laissez-moi être absolument clair : une « mère » tatouée comme une taularde lesbienne devrait être interdite d’avoir des enfants ou d’en approcher. Si elle en a, la garde devrait lui en être retirée.
Aucune femme saine d’esprit ne se tatoue et elle évite encore plus d’écrire ses listes de courses sur son corps.
Je prendrais bien quelques unes de ces névrosées imbibées d’encre pour les passer à la meuleuse en place publique à des fins pédagogiques, mais certaines mauvaises langues vont encore dire que je suis trop radical.
Il y a autre chose.
Si des Blancs veulent rester du bétail fiscal qui se laisse traquer par les hyènes afro-maghrébines sans réagir, qu’ils se taisent et meurent. Leur faiblesse atavique est un véritablement empoisonnement social.
Ce poids mort – j’appelle ça de la mauvaise graisse – nous empêche d’adopter les politiques de survie élémentaires et nous met en danger rien qu’en respirant. Ils n’ont pas à entraîner des innocents dans un suicide collectif parce qu’ils ont peur de crever seuls.
Cette affaire nous rappelle que le racisme est une science qui ne se préoccupe pas prioritairement des autres races, mais de la sienne. Cela suppose de procéder à une ferme prise en main des populations blanches et de combattre activement toutes les tendances comportementales néfastes.
Une race a le devoir d’être impitoyable avec ses éléments faibles. Ils doivent être écrasés sans pitié, faute de quoi c’est la voie royale pour la mort des éléments nobles.
DĂ©mocratie Participative
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Doux papillon 🦋
Doux papillon vagabondant,
Dans le sillage du vent,
Conscient de ta métamorphose,
Tu oses,
DĂ©fier le temps et ses tourments...
Petit insouciant, virevoltant,
Avide de liberté,
Tu vagabondes avec bonheur,
Dans ce royaume de fleurs,
Et te moquant de toutes les épines acérées de Mademoiselle roseraie,
Qui voudrait tant te piquer,
Mais que toi tu viens Ă l'instant de narguer,
En la survolant de très près juste pour la défier...
Ô joli papillon de la liberté,
Tu ressembles tant à cette envolée d'hirondelles,
Quittant leurs nids, vers l'infini...
OĂą seule, la nature serait Reine...
Et toi, Roi de la vie !
Je suis guidée par le battement de tes ailes,
Douce magie Ă©ternelle,
Sans contraintes ni querelles,
Où tous mes rêves semblent s’exaucer,
Comme dans les contes de fées…
Ă” doux papillon de la vie !
Comme je t'envie !
D'ĂŞtre si Ă©panoui...
Pourrais-tu, je te prie,
Effacer ma perpétuelle mélancolie,
D'un seul coup de battements d'ailes ?
Pour que je puisse enfin déployer mes ailes avec allégresse et quitter ma faiblesse la cruelle tristesse...
#Papillon#Vie#Liberté#Fleur#Roseraie#Rose#Épines#Voler#Poésie#Poème#Écriture#Écrire#Joie#Peine#Doux#Envolée#Été#Printemps#Madagascar#Insecte#Chrysalide
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