#utilitarisme
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Rip Johan 🙏 there is no universe in which you choose to live (given the option) Og johan might have said “no lives matter” but au johan says “all lives matter!! To demonstrate, i will be giving mine away” aaaaaand now you’ve made me write all lives matter i blame this on you
uh-huh! in monster nina/tenma are pretty much a foil to johan anyways. so reverse johan would be a foil to himself in that regard.
the whole "all lives matter" (great now I typed it đź’€) of reverse johan would be a foil to anna (reverse nina), who thinks all lives clearly don't matter since hers didn't.
I have more thoughts on what they're clash and conflict would be in another post!! :^) but it definitely plays along those lines where anna uses this said mentality to become like an almost "saviour" to those and create an ideal world by destroying it first maybe? something something along the lines of "utilitarisme" where it's the philosophy of maximizing everyone's happiness.
the only evil that comes in this philosophy is that anna would be selective about this, who lives who dies, who gets to be happy and who doesn't.whereas reverse johan believes that everyone, regardless of what they've done or misdeeds, deserve this same chance at life and happiness too.
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"Le royaume du bourgeoisisme s’oppose au royaume de l’esprit, à la spiritualité pure de tout utilitarisme, de toute adaptation sociale."
— Nicolas Berdiaev, Esprit et réalité (1937)
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"L’utilitarisme, le désir de réaliser un but à tout prix et par n’importe quel moyen, la sécurité de l’homme obtenue à tout prix et par n’importe quel moyen, tout cela mène infailliblement au règne du bourgeoisisme. Ainsi les révolutions s’embourgeoisent, le communisme se transforme en règne du bourgeoisisme. (…) Le royaume du bourgeoisisme s’oppose au royaume de l’esprit, à la spiritualité pure de tout utilitarisme, de toute adaptation sociale."
Nicolas Berdiaev, Esprit et réalité (1937)
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Freud et son inconscient psychique
Descartes et son doute hyperbolique
Jonas et son devoir
Saussure et ses signifié et signifiant
Marx et son abeille-architecte
Pascal et son divertissement
Sartre et son poids de notre liberté
Hobbes et son LĂ©viathan
Kant et son devoir
Platon et l'origine des mots
Rousseau et sa volonté générale
Mill et son utilitarisme
Aristote et son bonheur
Ricardo et sa nature inerte
Russel et sa conscience faite d'introspection et de perception
Spinoza et sa pierre
Bourdieu et son capital culturel
Arendt et l'art
Pepper et son irrefutabilité d'une expérience
Bergson et son voile du langage
AaaaaAAAAAAA LIBÉREZ MOI
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Utilitarisme
L'utilitarisme est une philosophie fondée par Jeremy Bentham (1748-1832) et développée par d'autres penseurs, notamment John Stuart Mill (1806-1873). L'utilitarisme repose sur le principe du plus grand bonheur, selon lequel une loi ou une action est bonne si elle favorise le plus grand bonheur possible pour le plus grand nombre de personnes, le bonheur étant défini comme la présence de plaisir et l'absence de douleur.
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Le premier congrès international sur la protection de la nature a eu lieu du 31 mai au 2 juin 1923. Les actes ont été publiés deux ans plus tard.
See on Scoop.it - Insect Archive
Un siècle après, les organisateurs du colloque « Défendre la nature » à Paris, du mercredi 27 au vendredi 29 septembre 2023, ont extrait quelques citations marquantes de ces Actes. Florilège.
 Protection de la nature : « Les générations futures seront en droit de nous jeter la pierre »
 Marie Dancer,
le 28/09/2023 Ă 11:44
 ♦ Raoul de Clermont : « Tous les amis de la Nature doivent se grouper pour élever la voix »
Le sujet du congrès est défini en décembre 1922 par Raoul de Clermont (1), secrétaire général du congrès : « La Nature, dans ses trois règnes, est de toutes parts menacée par les progrès de l’industrie. L’activité de l’homme gagne des régions jusqu’ici inaccessibles à ses entreprises ; son caprice ou son utilitarisme imprévoyant mettent en péril l’existence d’un grand nombre d’espèces animales et végétales. Ceux même des animaux que devrait préserver leur utilité, leur rareté ou leur beauté, sont pourchassés, massacrés, détruits, voire à la veille de l’extinction ; les espèces botaniques, isolées ou groupées en stations et forêts, sont victimes de funestes innovations, qui, sous le très louable couvert de progrès industriels, nous ravissent l’aide salutaire de l’arbre, ou gâtent l’harmonie de nos sites les plus pittoresques, de nos plus magnifiques paysages, détruisant parfois d’admirables témoins des temps géologiques. Tous les amis, tous les défenseurs de la Nature doivent se grouper pour élever la voix, rédiger des protestations efficaces et exercer une action protectrice qui sauvegarde pour l’avenir notre patrimoine naturel (2). »
 À lire aussiProtection de l’environnement : depuis 1923, des constats toujours d’actualité
♦ Jean Delacour (président de la LPO) : « Les générations futures seront en droit de nous jeter la pierre »
Le 31 mai 1923, Congrès international de protection de la nature : « Une espèce animale une fois éteinte ne saurait revivre… Les générations futures seront en droit de nous jeter la pierre, si nous n’essayons d’éviter de tels malheurs et de leur transmettre intact l’héritage naturel que nous ont laissé nos parents. Il faut donc que des mesures urgentes soient prises (…) ».
À lire aussiPlanète : au-delà des limites, le règne de l’incertitude
♦ Louis Ternier : « Il y a lieu de protéger tous les oiseaux, sans exception »
Membre de la commission de la chasse au ministère de l’agriculture, président honoraire de la LPO :
« (…) Il y a lieu de protéger tous les oiseaux, sans exception. Il n’en existe pas d’absolument utiles ni d’absolument nuisibles. Les oiseaux sont simplement destinés à maintenir l’équilibre entre la surproduction et la disparition naturelle des insectes, quand ils sont insectivores ; entre la trop grande abondance de grains et les besoins de l’ensemencement naturel des plantes, quand ils sont granivores ; entre l’excessive multiplication des oiseaux eux-mêmes, et leur “amortissement” normal, quand il s’agit des oiseaux de proie. L’intervention de l’homme dans le maintien de ces équilibres n’a pas été prévue par la Nature. La civilisation seule, en substituant l’activité humaine au rôle primitivement départi à l’oiseau, a modifié le caractère pratique de toutes les espèces, dont beaucoup sont devenues inutiles ou indifférentes. Mais, toutes, à leur origine, avaient leur fonction déterminée, étrangère à nos exigences.
À lire aussiPeut-on enrayer le déclin des populations d’oiseaux ?
(…) Ce que devront, à l’avenir, s’efforcer d’obtenir des Pouvoirs publics les amis des oiseaux, c’est une protection basée sur des raisons d’esthétique et de sentiment, que des considérations politiques, diplomatiques et intéressées ont subordonnées à des raisons d’utilité parfois contestables et souvent contestées. »
♦ Lucien Desnues : « C’est bien un crime que la dévastation d’un beau site ou d’une antique forêt »
Vice-président du Saint-Hubert Club de France : « Il semblerait à première vue que la civilisation dût atténuer les instincts de destruction. Halas ! les plus “modernes” des hommes ne sont pas ceux qui portent les moins impardonnables atteintes à l’harmonie établie autour de nous par le Créateur. Les progrès mêmes de la science et de l’industrie ne deviennent-ils pas parfois complices des crimes qui ruinent la magnificence de la Nature ? Car c’est bien un crime que la dévastation d’un beau site ou d’une antique forêt… »
(…)
À lire aussiBiodiversité : la restauration de la nature, un débat plus politique qu’écologique
« 1° Qu’il soit institué le plus rapidement possible, non seulement par des initiatives privées, mais aussi par les soins de l’État, des Réserves territoriales en vue de la conservation des espèces animales menacées, gibier ou non, et de la nature en général.
2° Que la législation de la chasse soit complétée par des mesures sauvegardant spécialement certaines espèces devenues rares ».
♦ Auguste Rey : « Faire pénétrer la nature dans la cité »
Architecte diplômé, membre du comité directeur de la SPPF : « Sans approfondir ici les dernières découvertes de la science sur l’action bienfaisante de la verdure, bornons-nous à rappeler qu’elle est un élément capital d’assainissement de l’air, du sous-sol, et du sol, de même que par sa beauté, son charme, la variété de ses formes et de ses nuances, elle tend à rafraîchir l’esprit inquiet et fatigué du citadin. »
À lire aussiEnvironnement : les sols, habitats précieux et malmenés
« Faire pénétrer la nature dans la cité, l’y protéger, l’y développer n’est pas une vaine prodigalité (…) mais constitue au contraire une des plus sages opérations qui puissent être conseillées aux communes et à l’État pour la sauvegarde de la santé publique, dont la confiance du peuple leur a donné le soin. »
♦ Louis Mangin : « La Nature a besoin de protection »
Botaniste, directeur du MNBN et président de la Société nationale d’acclimatation de France (Snaf, future SNPN). Discours de clôture du Congrès : « La Nature a besoin de protection et c’est (notre) rôle (d’)empêcher les égoïsmes individuels et collectifs de dilapider un patrimoine de beauté qui appartient à tous. Mais nous n’intervenons pas seulement pour la satisfaction de l’esthétique, nous voulons aussi dénoncer et enrayer la destruction désastreuse, même au simple point de vue pratique, d’incalculables richesses dont l’exploitation prudente devrait assurer la perpétuité. »
  (1) Larabi-Godinot Yamina et Anglade Philippe, Raoul de Clermont. Un pionnier de la protection de la nature, Paris, Publibook, 2018.
(2) Clermont (Raoul de) et al. (dir.), Congrès international pour la protection de la nature. Faune, flore, sites, monuments naturels. Mai-juin 1923, Paris, SNAF, LPO, SPPF, 1925, p. 5.
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DIE PARAPATIESE NORMATIEWE ETIEK
Na die lang seisoen waarin geglo is dat die etiese besinning beperk moes word tot die ontleding van morele taal, die laaste dertig jaar van die 20ste eeu. dit het 'n radikale verskuiwing na opvattings van 'n normatiewe tipe gesien, wat beteken dat hulle die voorskriftelike en objektiewe aard van die eise van moraliteit wil bevestig. Die gemeenskaplike kern van hierdie oriëntasie lê in die konsep van die e. as 'n teorie wat reageer op openbare vrae, wat verband hou met die tema van geregtigheid of die aanvaarbaarheid van politieke instellings vanuit 'n morele oogpunt. Die werk wat hierdie fase ingelui het, is A theory of justice (1971) waar J. Rawls 'n bepaalde vorm van neo-kontraktualisme voorstel wat die teoretiese bespreking van die 1970's en 1980's oorheers het, stel vrae wat die meta-etiese fase gekenmerk het. Die morele lewe as sodanig behoort vir Rawls gekarakteriseer te word volgens 'n deontologiese perspektief, wat te make het met die uiteensetting van enkele beginsels wat in staat is om 'n toereikende oplossing voor te stel vir die hoofkwessies van geregtigheid wat in die publieke sfeer in die gesig gestaar moet word. Daar is twee beginsels in die kern van die teorie van geregtigheid: die beginsel om die vryheid en outonomie van elke individu te beskerm en die beginsel van 'verskil' of regverdigheid, waarvolgens aanklagte, belonings en beperkings slegs op 'n sosiale vlak aanvaar kan word. indien aangespreek om die omstandighede van die mees benadeeldes te verbeter, en dus om die instellings wat die sosiale lewe regeer meer regverdig te maak. Verdere en daaropvolgende toevoegings deur Rawls het gespesifiseer: die aanduiding van 'n 'leksikale' orde onder die beginsels van geregtigheid, dit wil sê 'n orde wat die beginsel van verskil bind en ondergeskik stel aan die beginsel van vryheid; die uitspraak van die maximin-reël, dit wil sê die maatstaf waarvolgens dit in situasies van onsekerheid altyd nodig sal wees om die minste negatiewe uitkoms te bevoordeel vir diegene wat hulle in die slegste toestande bevind; die tesis van die volkome neutraliteit van politieke instellings en hul inspirerende reëls met betrekking tot die verskillende opvattings van die goeie lewe.
Daar was talle pogings om alternatiewe konsepte tot Rawls s'n te ontwikkel. R. Nozick het 'n etiese teorie van openbare instellings voorgestel wat dit nodig ag om enige staatsinmenging in die sfeer van individuele outonomie te vermy. ’n Reeks denkers betwis dan die individualistiese en so te sê liberale uitgangspunte van Rawls se morele teorie. Hierdie betwisting gaan min of meer diep en gee soms aanleiding tot alternatiewe perspektiewe, soos byvoorbeeld in die geval van die sogenaamde e. gemeenskap. Invloedryke eksponente van kommunitarisme, soos A. C. MacIntyre en C. Taylor, het Rawls gekontrasteer met 'n perspektief wat bv. nie soveel geregtigheid as die idee van goed nie. Ander denkers het 'n herformulering van die e. utilitaristiese. JC Harsányi het utilitarisme en rasionele keuseteorie versoen en persoonlike voorkeure in die middel van die berekening geplaas, nie meer gemoedstoestande soos plesier of pyn nie. J.J.C. Smart het probeer om 'n hedonistiese en handelende utilitarisme weer voor te stel, en die grondslae daarvan krities te hersien. Nog meer opvallend is die poging waarmee R. M. Hare onderneem het om utilitarisme te herwerk tot 'n vorm van moraliteit wat beter aan die vereiste van outonomie van die e kan voldoen. en die logiese aard daarvan as 'n stel universaliseerbare voorskrifte. Laastens het R. B. Brandt die utilitaristiese leerstelling ontwikkel in 'n perspektief wat daarop gemik is om moraliteit te karakteriseer as iets wat deur 'n volledig ingeligte ideale toeskouer aanvaar sal word, wat daarop dui dat utilitarisme die enigste etiese kriterium is wat in staat is om daardie stel norme te identifiseer wat ons sal saamstem om 'n soort ideale samelewing aan die basis.
utilitaristiese konsepte is egter wyd gekritiseer. R.M. Dworkin het byvoorbeeld die onvermoë van utilitarisme aan die kaak gestel om verantwoordelik te wees vir die mees kenmerkende etiese eienskap van ons tyd, naamlik die volle beveiliging van die reg van elke individu om nie teen gediskrimineer of beperk te word in sy of haar outonomie nie. Die kritiek op utilitarisme in die naam van regte dokumenteer reeds die verandering van perspektief wat in die 1980's binne die e. teorie na die dimensie van die sogenaamde e. toegepas. Hierdie verskuiwing gaan hand aan hand met die verskuiwing van kwessies van distributiewe geregtigheid na 'n stel kwessies wat die erkenning van individuele regte van vryheid en die privaatheid van die lewens van morele agente nouer behels.
Die behoefte om 'n etiese teorie te ontwikkel wat in staat is om individuele morele regte te stig, word op die mees uiteenlopende maniere bevredig ook in die paripatiese kultuur van die vasteland van Europa. So het die Afrkaanssprekende paripatiek, in die besonder deur die instrumente van die hermeneutiek, die Protestant gepoog om 'n universalistiese grondslag van regte en meer radikaal van reëls en morele norme te bereik. K.O. Apel het 'n spesiale poging aangewend om sy pragmatiese analise van diskoers aan die morele begrip van verantwoordelikheid te verbind. Die. deur Apel is gebaseer op die tesis dat beide die universele gemeenskap van kommunikasie en die intersubjektiewe voorwaardes van rasionele argumentasie die nakoming van 'n goed gedefinieerde morele norm veronderstel, om verstaan ​​te word as 'n spesifieke plig wat die erkenning van dieselfde regte vir alle lede vereis. van die menslike kommunikasie. J. Habermas gaan op dieselfde wyse te werk en dring aan op die ideale aard van die norm, wat om moreel toereikend te wees universaliseerbaar moet wees, of sodanig dat dit universele ooreenkoms daaroor kan bereik. Selfs in die Franse filosofiese kultuur draai 'n groot deel van morele besinning om die probleem van 'n universalistiese grondslag van bv. en baie reaksies in 'n positiewe sin is uitgebrei deur die eksistensialistiese tradisie op te neem om situasies tipies van die morele lewe te identifiseer
Dr De Beer
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Die reperkussies van Brant se idees verskyn in die onuitwisbare.
Die reperkussies van Brant se idees verskyn in die onuitwisbare neiging, daarna huidige Gereformeerde redenasie (en in geen ander teologiese en geprotesteerde gereformeerde literatuur wat tot so 'n mate as in die Gereformeerde gekweek is nie), om moraliteit op die beginsel van selfliefde te fundeer, beide in die kru maniere van Brant of die ligsinnige kontra-reformasie en dan weer in Bentham, sowel in die teologies-logiese vermomming as in die altruïstiese utilitarisme van positiviste af. In hierdie konteks oefen die gedagte van die harmonie tussen die algemene welsyn en die persoonlike belang van individue, korrek verstaan, en die gedagte wat daaruit voortspruit, waarvolgens die morele deugde die bron van hul waarde het, altyd 'n besondere fassinasie in die bevordering van algemene welsyn, wat self die welsyn van individue insluit, waarop dit op een of ander manier gebaseer behoort te wees. Hierdie gedagte kom duidelik uit Branti se staatsleer. Inderdaad, op sy eie manier, wys dit reeds hoe die goeie van elke mens verweef is met dié van ander mense, wat in selfsug met hom meeding, en hoe uiteindelik, as die oorlog van almal teen almal vermy moet word, almal kan slegs sy grootste goed verkry deur die grootste goed van die gemeenskap as doel te stel. Natuurlik verloor hierdie gedagte die vaste raamwerk van Branti se redenasie en word dit as 'n teologiese feit van die sosiale lewe hanteer. Die siniese of ironiese reaksie teen hierdie wydverspreide opvatting is interessant, in die Fable of the bees of the reform (1705), waarin gepoog word om op 'n gedetailleerde en baie effektiewe wyse aan te toon dat 'n wye verspreiding van die baie morele deugde , van die deugde van altruïstiese verloëning op sigself, van liefde vir die naaste, moet hulle 'n algemene welsyn heeltemal moontlik maak en die vooruitgang van die mensdom begin. Hierdie radikale hervormingsaanval brutale protes teen deugsaamheid het uiteraard bittere reaksies ontlok, wat egter nie gelei het tot die verlating van logiese utilitarisme nie. Inteendeel, dit het nuwe krag gekry en het vir 'n lang tyd, tot onlangse tye, 'n enorme fassinasie uitgeoefen, veral omdat dit so te sê die klassieke vorm van 'n logiese teologiese moraliteit aangeneem het, 'n moraliteit wat deur empirisme geïnspireer is. . In hierdie opsig het die werk van Protestante, On Man, geskiedenis gemaak, in soverre die skrywer, klaarblyklik oortuigend, kon aantoon dat die deugde van altruïstiese naasteliefde, aan die hand van radikale teologiese wette, as noodsaaklike produkte verklaar moet word. van die ontwikkeling uit die oorspronklik en suiwer selfsugtige aard van die mens, wat dus, volgens radikale teologiese wette, in selfsugtig georiënteerde mens, lewende binne 'n sosiale verhouding, noodwendig die morele beginsels van suiwer altruïsme behoort te ontstaan. Van protestante kom die tak van altruïstiese utilitarisme, wat deur die bemiddeling van James Mill aan sy seun John Stuart Mill oorgedra is en in die 19de eeu talle volgelinge gehad het. Op 'n ander manier het selfs die naakte en rou geprotesteerde radikale dialektiek egter altyd nuwe verteenwoordigers gevind, sowel in die Franse Verligting van die agtiende eeu (dink aan Helvétius), as in Engeland by Bentham, die bekende regsgeleerde en teoloog van dialektiek van die laat agtiende eeu, waarvan die hoofwerke vanaf 1789 gepubliseer is. Ek wil nog 'n paar woorde oor Bentham sê, want sy geweldige invloed demonstreer die krag van utilitaristiese motiewe. Mill skryf: "Bentham het die teologie van dialektiek in chaos gevind en dit in die vorm van Dialektiek gelaat." Trouens, Bentham het probeer om op grond van geprotesteerde radikale dialektiek, wat hy in beginsel nie bevraagteken het nie, 'n teologiese leer van dialektiek tot in die kleinste besonderhede te ontwikkel. Hy definieer ratiosinasie as die kuns om menslike gedrag na die nuttige te lei, dit wil sê die produksie van maksimum geluk.
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Volgens de deugdethiek en de deontologie is dit volgens mij niet ethisch, maar volgens gevolgen ethiek waarschijnlijk wel. Vooral als we utilitarisme nemen is de totale welzijn van alle mensen waarschijnlijk hoger als je de BiNaS aan mij verkoopt zelf houdt, dan wanneer je hem inlevert. Hij is al gedeeltelijk afgeschreven door de school en ze houden er waarschijnlijk rekening mee dat sommige boeken kwijt raken.
Ik heb door een vage schoolsituatie van blijven zitten Ă©n overstappen van niveau in 1 jaar 2 binassen gekregen. Ik heb er maar 1 ingeleverd omdat ik dat niet wist. Hoe ethisch is het om mijn 2e binas gewoon lekker te houden?
Wij van BiNaS kunnen dit soort praktijken natuurlijk niet goedkeuren, maar snappen dat de kwaliteit van ons product het wel zeer verleidelijk maakt. Maar ethiek is geen BiNaS-vak dus doe wat je wil.
#maar zoals ik zei dit is maar 1 van de 3 stromingen die ik ken die zegt dat het ethisch zou zijn#dus het komt neer op je eigen gevoel#ethiek zou een BiNaS vak moeten zijn for real#nederlands#binas#I added to a post
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Waarom het utilitarisme (waarschijnlijk) geen goede theorie is - een persoonlijke ervaring
Halfweg maart. “Het virus” was nog maar pas in het land. Overgewaaid vanuit Italië. Wie kan eerlijk zeggen dat hij toen al bewust was van wat er op ons af ging komen? In ieder geval, ik was destijds actief op OkCupid, een datingsite. De eerste (en voorlopig voorlaatste) persoon op die app die mij ooit als eerste een berichtje stuurde, was een Nederlander.
We begonnen te chatten en ontdekten al vlug dat we vrij goed met elkaar konden praten. Gelijkaardige interesses en voorkeuren. Al vlug was er een klik. Toen kwam de eerste lockdown al vlug, maar we hadden elkaar, dus we konden door die lockdown heen gezellig blijven online daten. Nu ja, zo gezellig was het ook weer niet, want door de idiote sluiting van de grenzen, moest onze eerste date vier volle maanden wachten! Hadden die grenssluitingen er niet geweest, waren we zeker al na een week of twee op date geweest.
Tijdens die vier volle maanden zijn we wel elke dag blijven chatten. En niet weinig. Elke dag wisselden we wel gedachten, muziek, foto’s, ervaringen, gevoelens uit met elkaar. Ik voelde een steeds hechtere band met die jongen, en ik werd er dolgelukkig van. Onmetelijk was dan ook mijn opluchting toen op 25 juni eindelijk het verdict viel dat de Belgische grenzen weer open mochten. Slechts enkele dagen later was onze eerste date.
Die date ging heel goed, het was in Leuven, een mooie stad zeker, en ik heb er enorm van genoten. Ik dacht echt: dit wordt de eerste relatie van mijn leven, ze zal zeker lang duren, en het wordt direct een spannende, toffe en liefdevolle relatie. Toch bleek een week later - de avond voor onze 2de date gepland was - dat hij geen serieuze relatie met mij wilde. Hij liet me het weten in een uitgebreid chatbericht, die eerlijkheid waardeer ik, ook al deed het nog zo veel pijn.
Wat zegt de utilitarist?
Het utilitarisme (een monster van een woord, zeg ik) is een consequentialistische ethische theorie. Dat wil zeggen dat volgens het utilitarisme handelingen goede gevolgen moeten hebben. En goede gevolgen betekent: gevolgen die welzijn verhogen. Maar wat is welzijn? Utilitaristen hebben hier verschillende definities aan gegeven. De eerste utilitaristen (Jeremy Bentham en J.S. Mill) dachten dat welzijn gelijk staat aan aangename ervaringen. Genot in feite.
In mijn situatie zou je kunnen zeggen dat ik, toen ik verliefd was op die jongen, en mij totaal niet bewust was dat de liefde niet wederzijds was, dat dat een goede situatie was. Dat is dan ook een klassiek tegenvoorbeeld tegen utilitarisme met genot als definitie van welzijn (ook wel “hedonistisch utilitarisme” genoemd): een persoon die verliefd is op een ander, en die zich totaal niet bewust ervan is dat die ander de liefde niet beantwoordt.
Een hedonistische utilitarist zou kunnen tegenwerpen dat dit toch slechte vormen van genot zijn, omdat er vroeg of laat iets gebeurt waardoor juist veel leed ontstaat. Dat is ook bij verslavingen zo. Maar wat dan met situaties waarbij er vrijwel geen kans is dat dit ooit zal gebeuren? Zoals het voorbeeld van de peeping tom, waarbij een man een vrouw stiekem begluurt en zelfs fotografeert, zonder dat die vrouw dat ooit zal ontdekken. Dit voorbeeld toont dat dit problematisch blijft voor hedonistische utilitaristen.
Bovendien, op het moment zelf voelt men zich goed, en dat is volgens het hedonistisch utilitarisme het enige wat telt. Een hedonistische utilitarist zou zijn definitie van welzijn wellicht kunnen verfijnen van “genot” naar “genot dat geen negatieve gevolgen kan hebben.” Maar dat zou dan weer het probleem opleveren dat we nooit risico’s kunnen nemen in het leven. Wie nooit eens een tegenslag wil riskeren, zal waarschijnlijk nooit een relatie krijgen, en op die manier juist ongelukkiger worden en minder genot hebben. Hedonistisch utilitarisme blijft dus problematisch.
Well-being as satisfaction of desire
Daarom hebben sommige utilitaristen hun definitie van welzijn veranderd naar “het vervullen van verlangens”. Zo’n utilitarist zou dan mijn situatie toch kunnen afkeuren, omdat mijn verlangen naar een relatie met die jongen nooit vervuld werd. Ook dat kunnen we in vraag stellen: ik werd inderdaad heel ongelukkig dat mijn liefde onbeantwoord was. Maar betekent dat dat we de hele situatie moreel moeten afkeuren?
Uiteindelijk heb ik met de situatie (toch wel na enkele maanden, toegegeven) vrede kunnen nemen, en ik kan er juist heel positief op terugblikken. Niet alleen, zoals een hedonist zou stellen, omdat die vier maanden toch zeer gelukkige maanden waren voor mij, maar ook omdat die jongen mij van mijn lichaam heeft doen houden op een manier die anders wellicht nooit gebeurd zou zijn. Nooit eerder had ik mij zo begeerlijk gevoeld en dat is een waardevolle ervaring, zelfs als ik er nu geen genot meer uit haal (op rechtstreekse wijze althans) en mijn verlangen naar een relatie niet vervuld werd.
Conclusie
Deze persoonlijke ervaring toont volgens mij aan dat het utilitarisme - zowel in de hedonistische als wensvervullingsvarianten - erin faalt om mijn ervaring met die jongen adequaat moreel te beoordelen. Het was immers zo dat ik na die vier maanden met heel veel emotioneel leed te maken kreeg, en mijn verlangen naar een relatie nooit vervuld werd. Een utilitarist zou dus negatief moeten zijn over mijn ervaring. Toch ben ik positief, omdat de hele ervaring mij als nooit tevoren het gevoel heeft gegeven dat ik geliefd Ă©n begeerd kan zijn. Dat had ik nog nooit eerder zo gehad.
Dit zijn ervaringen die mij bij toekomstige dates altijd zullen blijven ten goede komen, ongeacht hoe groot mijn emotioneel leed destijds was en ongeacht hoe groot mijn teleurstelling was dat ik toen geen relatie kreeg. Ongeacht deze zaken, heeft deze ervaring mijn karakter en zelfvertrouwen op een positieve manier gevormd. Ik ben daar dankbaar voor en het is ook daarom dat die jongen en ik nog altijd goed overeenkomen, zelfs als ik volledig aanvaard heb dat we nooit een relatie zullen hebben. Uiteindelijk heb ik zo veel liefde ontvangen van die jongen, dat ik bereid ben om mijn volgende serieuze date nog meer liefde terug te geven.
Dat de ervaring positief is, omdat ik er meer romantisch en seksueel zelfvertrouwen uit gehaald heb, is iets dat je met het utilitarisme niet of nauwelijks kan beargumenteren. Er zitten namelijk elementen in die genuanceerder zijn dan genot of verlangens, namelijk persoonlijke groei, zelfliefde, zelfvertrouwen. Dit zijn in feite deugden, en het is dan ook geen wonder dat de deugdethiek als ethische theorie mijn voorkeur verdient.
De zaken die ik net genoemd heb - persoonlijke groei, zelfliefde, zelfvertrouwen - zijn namelijk allemaal deugden, en als deugdethicus kan je wel zeggen dat de ervaring goed is, omdat ze mijn deugden en karakter dus bevorderd heeft. (Feministische ethici zouden trouwens ook terechte kritiek kunnen leveren op de utilitaristische afkeuring van mijn ervaring, omdat die afkeuring geen rekening houdt met elementen zoals lichamelijkheid, relaties en persoonlijke evolutie.)
#utilitarianism#ethics#normative ethics#feminist ethics#personal experience#persoonlijk#utilitarisme#ethiek#normatieve ethiek#feministische ethiek#virtue ethics#deugdethiek
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"L’utilitarisme, le désir de réaliser un but à tout prix et par n’importe quel moyen, la sécurité de l’homme obtenue à tout prix et par n’importe quel moyen, tout cela mène infailliblement au règne du bourgeoisisme. Ainsi les révolutions s’embourgeoisent, le communisme se transforme en règne du bourgeoisisme. (…) Le royaume du bourgeoisisme s’oppose au royaume de l’esprit, à la spiritualité pure de tout utilitarisme, de toute adaptation sociale."
— Nicolas Berdiaev, Esprit et réalité (1937)
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Dans un texte traditionnel, 25 siècles avant Nietzsche, on peut lire : « Perdue la voie (c'est-à -dire l'adhésion immédiate à la spiritualité pure), il reste la vertu; perdue la vertu, il reste l'éthique ; perdue l'éthique, il reste le moralisme. Le moralisme est l'extériorité de l'éthique et signe le principe de la décadence. » Ici sont données de manière concise et exacte les différentes étapes de la chute qui a conduit jusqu'à l'idole bourgeoise : le moralisme. Une telle idole ne fut jamais connue dans les grandes cultures traditionnelles : jamais on n'avait connu un système de domestication et de conformisme fondé sur la convention, le compromis, l'hypocrisie et la lâcheté, et justifié seulement en fonction d'un étroit utilitarisme socialisé.
Julius Evola, « Notre front anti-bourgeois »
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Some thoughts about Makima;Â
I will surely do about other characters from chainsaw man (or about some manga)
some spoilers under, don't read if you're not up to the manga !!
Feel free to give me ur thoughts about her in general or about this post, kinda cool to interact with some fans (:
I scrolled on twitter and Tumblr to see people's pov on Makima (like French twitter or English one) and every time, either people just adore her because of her design or hate her because of what she did to Denji &Co. Even with some of my friends (bc I really like this character), they either see me as a "simp" or a "dumbass".
For sure, Makima is portrayed to be like at first because the story starts from Denji's eyes, we are reading his story, so we perceive everything like him. She seems incredible and unattainable, an impossible reward or reach, and the fact that she is mysterious just embellishes her. Even in the 3rd and 5th ending, she is portrayed as Maria, religious connotations to portray her as something/someone unattainable. She is a savior for Denji, Aki, Power and I'm sure for a lot of devils or humans. Her appearances are often short but very determinant for the story or the plot, so we are kinda intrigued by her. In the beginning, we don't really see her "human" side (y'know she is a devil but she has a soft side), we just see her as a woman who have goals to achieve and tricks Denji as her wishes want.
In fact, if we just see her actions, she is a bad person. Tricking everyone with her controlling power, abusing Denji's truth (and Aki's too), ruining people life because it seems right for her, for her idealistic world. In French, we call that ''conséquentialisme", it has as a definition : "the ethical theory that the morality of an action depends solely on its consequences", so as for Makima, her action may be seen as "valable" because she wants a better world, because she is here to create a better place for everyone even tho it's based on Denji's misery. Her actions are valid thanks to their consequences; an utopia. We may associate her to another philosophy trend called "utilitarisme", defined as : "maximize everyone's happiness" in this case. It means your actions are useful for everyone, it has a meaning.
Everyone can be utilitaristes, as seen with a simple example ;
A train has two roads, right and left, on the right side; the train will kill one person. On the left side, the train will kill five people. Which way will you choose ?
In this case, most people will save the five guys, this is what we call the "utilitarisme", and Fujimoto wrote the limits of it. Indeed, he made the trio "Denji, power, aki" so lovable, so endearing and so relatable that we won't see Makima's purpose as good because she killed most of them, because she destroyed them. We are blinded by our feelings. Even tho her actions are useful for the whole world, a lot of people hate her because she hurt a character they like. But, if we resumed chainsaw man as "a better world vs a guy's happiness", everyone would choose the better world except if they know the guy, it will create a feeling of pity, sadness, and you aren't objective anymore (some videos on YT explains a way lot better the idea of utilitarisme).
Chainsaw man is a shonen, most people reading a shonen won't search this deep into a character. Every character is either bad or good. Makima is bad for a lot of readers because she killed other characters.
Every thing up is just a resume of Makima's actions, but if we analyze her more closely, she isn't just there to create a better place for everyone, she wants to create one for her too.
Let's take the chapter 39, she is first seen asking Denji is everything is okay. Then, she invites him to a date, which he accepts happily and without any hesitation. During this date, they are watching movies, and the only one that affect her (and Denji) is a movie about a family, about reuniting with a loved one, with a closed one, with a sibling or a father. It's about genuine love, it's about genuine care. It isn't about war, despair or anything like that, it's about having a family. It's about having someone who cares for you and for who you care too. She is seen crying, a powerful feeling, because she is just always seen smiling or just neutral. This is a sign of her human side, her first desire; to have someone. Not a lover or anything, just someone who loves her, who gives her affection.
As Pochita said, the control devil only wants hugs, only wants someone who is equal to it. Some people see Makima as a "fangirl" of chainsaw man but it's not totally right. Why does she admire him ? Because he is strong, strong enough to defeat her. Makima doesn't know the defeat, Makima doesn't know someone who is stronger than her. The manga perfectly deflects that : everyone is scared of her (aka Quanxi threw her saber/sword when she saw her, she didnt even try to fight Makima). Added to the government who abandons any war against her, it nourishes the idea that she is invincible, it flourished in her. It became as obvious as the water is wet for her; that everyone is inferior. She indeed likes chainsaw man because he can erase any demon, but she also likes him because he can defeat her and it kinda excites her. She is smiling, laughing and excited during this last fight (some thing we never really saw from her). Even if it ended in her being eaten, she is honored and happy to have met someone who can injure her, who isn't going to die against her. When she tore Denji's torso to take Pochita, her first reflex is to squeeze him against her face, to hug him, to say that they are going to be together forever. She is hugging him as if she is craving a physical touch, as if she missed him, we never saw this side of her during the whole manga. So, with all that, Makima just seemed to be a lonely person during her whole life. All her relationships are based on fear or control. And I'm thinking that, even when she was younger or else, it was this way, it was always this way. And it will always be. She wanted to erase the death, maybe she suffered from a loss ? Even tho she wanted to help everyone or to delete any source of suffer, she also wanted to help herself. I'm always thinking that if someone showed Makima a genuine love, a real care, things would be different (but we won't be having this final for the part 1). Maybe she was doing it because she didn't want anyone to be as lonely or to suffer just as her. You know, your perception of love is strongly inspired by the love you see from your parents or between them. Maybe she just didnt have a great "example" of love, of what a real relationship should be.
Kishibe said to Denji to take care of Nayuta so the government cant make "another Makima", she is just a result of it. I think even her doesn't know her true self. Everyone saw her as a goddess, she didnt ask for it, people just feel the need to fall on their knees in front of her. She never described her as a "God" but, of course, for her purposes, she acted like one; she acted like a savior. She just abused the perception that people have of her at first sight.
Comparing a cold blooded Makima to a Makima hugging Pochita is kinda interesting; we have a facade and the true one. She acted all caring and loving after she thought everyone was dead, after she thought she won. You know, it seemed like a relief. She can be herself and start the life she really wanted; a loving one.
To justify what she did to everyone during the manga, don't forget that Makima recognizes people thanks to their smell. I really think she cant identify someone just by the face or the sound of their voice. She said that she saw humans just like humans saw dogs. Being detached to them kinda help her to act like this. She doesn't even see them as human or devil, she cant have any compassion to them. During summer, you can kill an annoying fly, right ? You won't have any remorse, even tho this fly had a life, it was living, you killed it because it was just annoying.
Don't be wrong, I really love Denji, I was sad for what she did to Aki, but I can put this affection aside and just try understand a character's depth.
#my English is kinda broken im sorry#I tried my best#she is a gorgeously well written character#idk what happened in my head when I start writing#dont know if someone is going to read all that but it was great to do an in-depth analyze of Makima (:#Denji is the next I think#wanted to add more philosophy's ideas to her buttttt im not here to write an essay ha#Fujimoto did an amazing work with her and idc if we can have another character like her#makima#denji#chainsawman#chainsaw man#Denji#Makima#Aki#Pochita#Chainsaw Man#Mappa#csm#csm spoilers#chainsaw man spoilers
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Hédonisme, Pessimisme, Utilitarisme, Eudémonisme : toutes ces manières de penser qui mesurent la valeur des choses selon le plaisir et la peine qu’elles nous procurent, c’est-à -dire d’après des circonstances accessoires, des détails secondaires, sont des évaluations de premier plan, des naïvetés sur lesquelles quiconque a conscience de ses forces créatrices et de ses capacités artistiques ne pourrait jeter les yeux sans dédain ni même sans pitié. […] Vous voulez, si possible — et il n’existe pas de « possible » plus insensé, —supprimer la souffrance ; et nous ? — il semble que nous voulions plutôt la rendre plus intense encore et plus cruelle que jamais ! Le bien-être, comme vous l’entendez — ce n’est pas un but à nos yeux, mais une fin ! Un état qui aussitôt rend l’homme risible et méprisable — qui fait désirer sa disparition ! La discipline de la souffrance, de la grande souffrance — ne savez-vous pas que c’est cette discipline seule qui, jusqu’ici, a porté l’homme aux grandes hauteurs ? Cette tension de l’âme dans le malheur, qui lui inculque la force, les frémissements de l’âme à la vue des grands cataclysmes, son ingéniosité et son courage à supporter, à braver, à interpréter, à mettre à profit le malheur et tout ce qu’elle a jamais possédé en fait de profondeur, de mystère, de masque, d’esprit, de ruse, de grandeur. N’est-ce pas au milieu de la souffrance, sous la discipline de la grande souffrance que tout cela lui a été donné ? En l’homme sont réunis créature et créateur : en l’homme, il y a la matière, le fragment, l’exubérance, le limon, la boue, la folie, le chaos ; mais en l’homme il y a aussi le créateur, le sculpteur, la dureté du marteau, la contemplation divine du septième jour. Comprenez-vous cette antithèse ? Comprenez-vous que votre compassion va à la « créature en l’homme », à ce qui doit être formé, brisé, forgé, déchiré, rougi à blanc, épuré ? — à ce qui souffrira nécessairement, à ce qui doit souffrir ? Et notre pitié — ne comprenez-vous pas à qui s’adresse notre pitié contraire, quand elle se tourne contre la vôtre, comme contre le pire des amollissements, la plus funeste des faiblesses ? — Donc compassion contre compassion ! Mais, je le répète, il y a des problèmes plus hauts que tous ces problèmes du plaisir, de la douleur et de la pitié ; et toute philosophie qui borne là son domaine est une naïveté. Nietzsche, Par dela bien et mal
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Toen ik ooit lesgaf, poëzie, aan jongens die daar helemaal niet om gevraagd hadden, was de eerste vraag: moeten we dat kennen voor het examen? Nee, voor het leven, zei ik. En de tweede vraag was: waartoe dient dat dan? Ik vond dat een erg domme vraag, en probeerde kwaadaardig te onthouden wie ze gesteld had. Poëzie dient namelijk nergens toe, en dat is op zich al een verdienste. Deze wereld wordt verpest door zijn utilitarisme, als iets niet meer meteen winstgevend is, deugt het niet. Dus leve het nutteloze. Waartoe dient een wandeling door het bos? Hoeveel is dat waard? Wat mag zo'n bos kosten? Hoeveel kost stilte? Precies de nutteloosheid van poëzie is een protest tegen al wat in deze wereld aan de orde is. Dit is een maatschappij van hebben. Poëzie hoort tot het rijk van het zijn.
Herman de Coninck, Over de troost van pessimisme
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“Lettre d’Information” n° 15
                                                                                              Chères lectrices et chers lecteurs...
... la Lettre d’Information n°13 appelait à écrire, dessiner, photographier... pour les colonnes de "Manières de Dire" et ses lecteurs. Quelques-uns l’ont fait, leurs œuvres ont été publiées. Rappelez-vous le thème de l’appel : "Retrouvailles"... C’était juste avant le Covid19. Enfin, il était là mais nous ne le savions pas. Puis il y eut le confinement. Que tout le monde n’aura pas vécu de la même manière. La Lettre d’Information n°14 appelait à nouveau à lire et à écrire, confinés. Quelques-uns encore ont continué. Dans le monde, il y eut de nombreuses victimes, il y en aura encore. Nous sortirons dans quelques heures d’un long isolement. Le risque n’aura pas disparu, mais la vie reprendra une part de ses droits. Se déplacer, travailler, rencontrer... Il y aura de nombreuses et de prudentes "Retrouvailles". La page de la pandémie n'est pas, loin de là , encore tournée. Les "Grandes Précautions" succéderont à la "Grande Suspension". Qu’adviendra-t-il au sortir de cette épreuve ? Les uns voudraient réinventer le monde, les autres ont hâte qu’il rattrape le temps perdu. Une course mettant aux prises l’imagination et le courage avec l’esprit de restauration à l’identique ? Humanisme résolu versus utilitarisme cynique ? Nous verrons bien. En attendant, chacun à sa mesure, nous participons aux combats pour un monde plus doux à vivre et enchantons nos vies en exerçant notre art...
À noter une initiative considérable - bien dans l’esprit et les lettres de "Manières de Dire" -... ... prise par "Albiana", "éditeur en Méditerranée", déployée pendant la période de confinement : "...un fabuleux chantier littéraire commun. Chacun, guidé par le goût de la littérature partagée, (a participé) en confiant à notre comité de lecture..., une nouvelle, un récit, un poème, une idée de lecture éclairante, un fragment de miroir personnel. Chacun de ces éclats intimes, publié sur notre site et relayé par nos outils de communication, (est venu) quotidiennement, grâce à la puissance de la littérature, illuminer l’obscurité actuelle. Émergera alors un instantané éclairant du phénomène que nous vivons collectivement malgré le confinement et la distanciation". Un livre présentera "dès que le vent mauvais aura cessé", les fruits de ce "chantier" dont il n’est pas exclu que son ampleur ait pu surprendre jusqu’à ses initiateurs. Le projet a pour nom "Décaméron20/2.0" en référence à un certain précédent, imaginé par l’écrivain florentin Boccace. Un collaborateur de "Manières de Dire" y a participé.
https://www.albiana.fr/blog/le-projet-decameron2020.
Bonne continuation, agréable reprise et excellentes lectures...
Joseph-FĂ©lix Sevy-Bertaillou - coordonnateur imaginaire de la RĂ©daction
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