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TZCLD signifie Territoire Zéro Chômeur Longue Durée C'est une loi d'expérimentation gouvernementale votée à l'unanimité à l'Assemblée Nationale et au Sénat en 2016. Qui a abouti à la création d'EBE. Ce n'est pas l'Excédent Brut d'Exploitation d'un bilan comptable mais Entreprise à But d'Emploi, où le bilan humain prime sur le bénéfice. Parce que nul n'est inemployable. Parce que ce n'est pas le travail qui manque. Parce que ce n'est pas l'argent qui manque. Et parce que, face au chômage, on a pas tout essayé. Ce n'est pas LA solution miracle non plus. C'est une main tendue pour retrouver un emploi, utile et digne. Sans pour autant faire concurrence aux entreprises locales. Un contrat à durée indéterminée (CDI), à temps choisi (temps plein ou temps partiel), sur des activités utiles localement, pour les habitants et les entreprises. Au Salaire MInimum de Croissance, le SMIC, pour tout le monde. Les 10 premières EBE ont déjà créé des milliers d'emploi, et la deuxième loi devrait permettre de créer au moins 50 nouvelles EBE. Je suis fier de faire partie de Novita à Vannes, projet initié en 2018 et qui vient d'aboutir à la création d'AcSoMur en 2022. Première EBE de la deuxième loi d'expérimentation. Longue vie aux Activités Solidaires de MéniMur. @acsomur56 Maraîchage Bio, créations à partir de palettes, ateliers d'aide au numérique, de nombreuses activités vont permettre de créer au moins 80 emplois en 2 ans. Peut-être même un atelier de recyclage des masques et des plastiques? Envie d'en savoir plus ? Il y a forcément un TZCLD auprès de chez vous. Sinon, à vous de le créer ! #emploi #TZCLD #chomage #chômage #insertion #local #entreprise #territoire #action #solidaire #utile #consensus #social #masques #recycle #plastique #vannes #menimur #morbihan #bretagne #france (à Nov'ita Territoire zéro chômeur Ménimur) https://www.instagram.com/p/CdS7Y2RN4I6/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#emploi#tzcld#chomage#chômage#insertion#local#entreprise#territoire#action#solidaire#utile#consensus#social#masques#recycle#plastique#vannes#menimur#morbihan#bretagne#france
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📣 Réunion avec Christophe BLANK Conseiller Municipal Délégué Chargé de l’Emploi et de l’Insertion , Laurence FAYE Directrice Générale des Services de la Ville et Amandine GRIENEISEN Cheffe de Projet #TZCLD , sur l’avancement du dossier Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée. #wittenheim est la Ville du #HautRhin qui porte cette action , car la solidarité est dans notre #ADN ! (à Mairie de Wittenheim) https://www.instagram.com/p/CbQQy6VM7Jb/?utm_medium=tumblr
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Chômage. « L’emploi est perçu comme un bien commun d'un territoire »
Chômage. « L’emploi est perçu comme un bien commun d’un territoire »
L’Humanité, 18 juin 2019
Double peine pour les chômeurs ? À l’heure où le gouvernement annonce un tour de vis sur l’assurance-chômage, l’association Territoires zéro chômeur de longue durée (TZCLD) manifeste ce mardi pour obtenir l’extension de cette expérimentation d’insertion par l’emploi, promise par le président de la République. Entretien. Daniel Le Guillou
Daniel Le Guillou, vice-président…
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#Association Territoires zéro chômeur de longue durée (TZCLD)#Chômage#Daniel Le Guillou#Insertion professionnelle#Réforme de l’assurance-chômage
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Territoire zéro chômeur longue durée : « Personne n’est inemployable »
SÉRIE – Pendant plusieurs mois, nous allons suivre l’expérimentation Territoire zéro chômeur longue durée en allant à la rencontre de ses différents acteurs. Pour ce premier article, nous avons interrogé Patrick Valentin, président du fonds d’expérimentation de l’initiative de lutte conter le chômge. Il nous explique comment est né et fonctionne le dispositif.
Depuis janvier dernier, dix territoires français expérimentent le dispositif Territoires zéro chômeur longue durée (TZCLD), initié par ATD Quart Monde, à laquelle se sont jointes d’autres association comme Emmaüs France ou le Secours catholique. Le principe : créer des entreprises dites à but d’emploi dont le rôle est de recruter tous les chômeurs longue durée de leur territoire en CDI, à temps choisi. Les activités de cette ou ces entreprises sont développées en fonction des compétences, des souhaits du personnel embauché, mais aussi des besoins de la population locale, sans qu’elles ne rentrent en concurrence avec des activités déjà existantes sur le territoire. Ce dispositif original est financé par le transfert des aides dont ces personnes bénéficiaient jusque-là (allocations, formation, CMU, manque à gagner fiscal). Fin août, l’association TZCLD annonçait l’embauche de 280 personnes.
Comment est né ce projet ?
Patrick Valentin – Le projet est né d’un triple constat. Personne est inemployable, sous réserve que les conditions de travail soient adaptées aux capacités de chacun. Il y a plus de travail que de temps de travail disponible chez les chômeurs de longue durée. Ce n’est pas le travail qui manque et ce, quelle que soit la qualification. Enfin, jusqu’à lors, aucune proposition pour « activer les dépenses passives » n’a eu de succès. Nous avons alors proposé de le faire par le biais du calcul du coût de la privation d’emploi [allocations diverses, manque à gagner fiscal…, ndlr]. L’idée étant de pouvoir transférer ces coûts pour en faire des recettes permettant de financer l’emploi. Nous savons bien qu’une personne au RSA reçoit de l’argent alors que ce qu’elle demande c’est travailler. La personne se voit cantonnée dans un statut d’allocataire, un peu mendiant, alors qu’elle demande du travail, que du travail il y en a et que cela coûte de la priver d’emploi.
La première expérimentation menée en 1994 à Seiches-sur-le-Loir a été un échec. Pourquoi ?
Elle a été un succès pour ce qui est de la mobilisation des demandeurs d’emploi touchés par le chômage de longue durée et l’exclusion sociale, notre cible. En revanche, l’expérimentation a été un échec car nous n’avons pas pu utiliser les allocations destinées à des personnes privées d’emploi pour créer des emplois. C’était illégal. Puis, en 2003, une loi constitutionnelle a été votée, donnant aux élus le droit de créer des lois expérimentales, pouvant s’appliquer à quelques territoires, ce qui n’était pas le cas jusqu’ici. En 2012, nous avons repris le travail et en 2016 nous avons obtenu la loi d’expérimentation pour le programme Territoires zéro chômeur longue durée.
Comment le dispositif fonctionne-t-il ?
Sur chaque territoire, un comité local est élu. Ce comité reçoit, par convention avec le fonds d’expérimentation, le pouvoir de recruter tous les chômeurs longue durée de son territoire, sans aucune sélection, et de façon exhaustive. Pour cela, le comité est chargé de créer la ou les entreprises à but d’emploi. Nous n’en sommes actuellement qu’à la moitié de l’opération. J’avais espéré qu’on arriverait à recruter toutes les personnes concernées en six mois, mais ça va être plus long – au moins un an, car nous n’avons pas eu les fonds nécessaires.
Qu’est-ce que sont ces entreprises à but d’emploi ?
Nous appelons, avec un certain humour, ces entreprises des entreprises à but d’emploi, en référence au terme « entreprises avec ou sans but lucratif ». Nous ne demandons pas à ces entreprises de créer des profits financiers, mais de créer des emplois supplémentaires. Et j’insiste, nous nous différencions de tous les mécanismes connus jusqu’ici en matière de développement économique. Plutôt que faire du développement économique pour avoir des emplois, nous faisons des emplois pour avoir du développement économique. Cela inverse les priorités. Et ces emplois sont financés par transfert des dépenses passives, ce qui est un souhait de notre population.
Crédit : Morgane Gaillard
Comment sont définies et choisies les activités qui seront développées par les entreprises d’emploi et exercées par les personnes recrutées ?
C’est un très gros travail d’ingénierie de projet qui demande beaucoup de temps de préparation. Dans un premier temps, il faut mettre autour de la table toutes les parties prenantes de la question de l’emploi des personnes au chômage de longue durée : les entreprises, les administrations, les chômeurs, les associations. Puis, chaque demandeur d’emploi est accueilli individuellement. Leur sont posées trois questions : que savez-vous faire, que voulez-vous faire aujourd’hui, qu’acceptez-vous d’apprendre ? Bien entendu, on ne s’intéresse pas aux diplômes, mais au vécu des personnes et à leurs désirs. Il s’avère, et fort heureusement d’ailleurs, que beaucoup d’entre eux sont polyvalents. Une fois ces deux étapes réalisées, nous sommes en mesure d’interroger la population sur les besoins du territoire. Nous retenons les réponses qui conviennent au personnel à employer. Il y a tellement de choses utiles que peuvent faire les gens, que l’on filtre et qu’on arrête quand il y a plus d’activité que de temps de travail.
Quel genre d’activité ont-elles été créées depuis le début de l’expérimentation ?
C’est un véritable inventaire à la Prévert. Lombriculture, compostage, services d’aide à la personne, offres culturelles, entretien de friches, remise en état de patrimoine, création d’un garage solidaire… c’est aussi diversifié que l’économie elle-même.
Quel est l’objectif au terme des cinq ans d’expérimentation ? Obtenir une loi qui permette à tous les territoires qui le souhaitent de pouvoir mettre en place ce dispositif ?
Pour le moment, nous visons un objectif intermédiaire avec l’extension de l’expérimentation pour en confirmer les méthodes. Déjà, 25 à 35 territoires, que nous accompagnons, souhaiteraient rejoindre l’expérimentation.
Et puis comme vous le disiez plus tôt, il s’agit de développer une économie complémentaire…
Exactement. Ce que nous proposons est une économie complémentaire et anti-gaspi. Il s’agit d’arrêter de faire du gaspillage de personnes, en utilisant de l’argent pour faire de l’assistance, alors que les personnes demandent du travail. C’est de l’écologie humaine. La question ensuite est de savoir comment cette économie complémentaire et l’économie principale vont collaborer. Le problème n’est pas d’insérer mais de vivre ensemble, tous, en emploi.
Existent-ils des dispositifs de ce type à l’étranger ?
Alors ailleurs en France non. D’ailleurs, nous sommes très sollicités par l’Autriche, la Belgique, l’Allemagne. Les pays qui s’en sortent avec l’emploi, sont parvenus à obtenir un taux de chômage inférieur à celui de la France, mais ils n’ont pas résolu le problème des personnes très peu productives. Parce qu’il faut bien voir que la sélection qui aboutit au chômage de longue durée, est une sélection tout à fait rationnelle par rapport aux objectifs lucratifs de l’entreprise. C’est une question de système.
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Chômage de longue durée : ces 10 territoires ont l'antidote !
Ramener à zéro le chiffre du chômage de longue durée dans cinq ans, c’est l’objectif de dix territoires, habilités en novembre 2016 à expérimenter le projet "territoires zéro chômage de longue durée" conçu par ATD Quart Monde. Les premiers résultats sont déjà là.
Halima est en recherche d’emploi depuis deux ans quand elle entend parler, en 2016, du projet mené par la municipalité de Villeurbanne pour le quartier Saint-Jean : créer une entreprise qui ne recruterait en CDI et à temps choisi que des profils comme le sien, au chômage depuis plus d’un an et résidents du quartier. Les salariés n’y exerceraient que des activités sur mesure. "J’ai imaginé les activités que je voulais et que je pouvais exercer, comme le soutien scolaire, la formation à l’informatique, des services que les autres entreprises locales n’assuraient pas. Je prenais un risque, celui d’être profondément déçue si l’entreprise ne voyait pas le jour, mais aujourd’hui EmerJean existe bien." EmerJean est l’une des dix "entreprises à but d’emploi" (EBE) créées en 2017 sur dix communes ou communautés de communes de l’hexagone pour expérimenter pendant cinq ans le projet "territoires zéro chômage de longue durée" portée par l’association du même nom, TZCLD. Le projet est né d’une idée simple, d’ATD Quart Monde.
Un chômeur de longue durée coûte 18 000 euros en moyenne par an à l’État et la collectivité ; pourquoi ne pas convertir cette somme en salaire au SMIC, à travers un outil ad hoc, un fonds de collecte des aides publiques pour financer les EBE ? Cette idée a été inscrite dans la loi du 29 février 2016, votée à l’unanimité par le Parlement. Chaque EBE est financée aux deux tiers par ce dispositif et pour le reste, par ses activités commerciales. À cette date, le bilan est positif, se réjouit Laurent Grandguillaume, président de TZCLD : "En un an, 25 % des chômeurs de longue durée de ces dix territoires ont été embauchés. Les EBE génèrent un chiffre d’affaire suffisant pour grossir leurs effectifs. Une onzième EBE a même été créée fin mai en Meurthe-et-Moselle".
Imaginer de nouvelles activités pérennes
L’idée d’"activer les dépenses passives", et de transformer en salaire les allocations versées par l’Etat et les collectivités ne date pas d’hier. Elle est à l’origine du RMI créé en 1988 sous le gouvernement de Michel Rocard. Elle a été reprise en 1995 par Jacques Chirac pendant sa campagne présidentielle ; il proposait "une exonération complète de charges sociales assortie d'une subvention de 2.000 francs par mois [soit l’équivalent de 55 % environ des allocations-chômage] pour toute embauche de chômeur de longue durée sur une activité nouvelle" (Libération, 17 janvier 1995).L’idée a été rejetée : cette mesure aurait produit un effet d’aubaine qui aurait pénalisé les autres demandeurs d’emploi. "Il y a des besoins auxquels les entreprises ne répondent pas, parce que ce ne serait pas suffisamment rentable ; ce sont ces besoins-là que les EBE veulent satisfaire" explique Denis Prost, chef du projet TZCLD des communes bretonnes de Pipriac et Saint Ganton, en Ille-et-Vilaine.
Entre vingt et quarante activités non concurrentielles ont ainsi été créées par les salariés des EBE : petits travaux de maintenance, blanchisserie, recyclage et compostage des déchets, maraîchage urbaine, épicerie ambulante… qui débouchent parfois sur une proposition d’emploi.
"Je faisais depuis un an des tâches administratives pour la maison de santé de Pipriac quand elle m’a proposé un poste de secrétaire médicale à mi-temps, raconte Lucie. J’ai signé mon CDI le 1ermars, un an et deux mois après avoir signé avec l’EBE le CDI qui mettait fin à une inactivité professionnelle de huit ans".
"Chaque fois qu’on imagine une activité que ni le centre social ni les entreprises locales n’assurent, explique Bertrand Foucher, président d’EmerJean, on vise la pérennité de l’emploi créé, plus que la pérennité de l’entreprise. L’EBE n’est qu’un tremplin."
Des territoires dynamisés
Pour fonder une EBE il faut mobiliser tout un territoire. Deux ans de travail de communication, du porte-à-porte souvent, pour informer les habitants et les chômeurs éligibles, vaincre la peur de certains de n’être plus capables, rassurer les entreprises, les convaincre de rentrer au capital ou de nouer un partenariat, avant de créer l’entreprise. C’est un projet qui ne peut se construire qu’à l’échelle d’un petit territoire de 5 000 à 10 000 habitants.
"Notre projet au fond est plus qu’un remède au chômage, commente Amélie Mathelin, cheffe de projet TZCLD en Meurthe-et-Moselle. C’est tout un territoire qui se reconsidère, qui examine le potentiel de ses femmes et de ses hommes, ses ressources économiques, ses gâchis… Je vous donne un exemple : l’une des activités de notre EBE, La Fabrique, est d’assurer l’entretien de vergers, de revaloriser les fruits perdus des vergers abandonnés. On va aller plus loin. Avec les maraîchers du secteur et les arboriculteurs on pense ouvrir une conserverie". La dynamique créée par ces entreprises va-t-elle s’éteindre en 2021, date de fin de l’expérimentation ? Selon les informations publiées par Le Monde lundi 11 juin, la prolongation de l’expérimentation et l’extension du projet à quarante territoires volontaires feraient partie du Plan antipauvreté d’Emmanuel Macron, qui sera dévoilé début juillet, à Versailles.
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AcSoMur (Activités Solidarité Ménimur), Entreprise à But d'Emploi créée à Vannes, porte un projet de recyclage plastique. Première EBE de la deuxième loi d'expérimentation gouvernementale TZCLD (Territoire Zéro Chômeur Longue durée) issue du travail de préfiguration de Nov'Ita. Proposée parmi les nombreuses activités, dont atelier bois de palettes, le maraîchage bio, et autres actions utiles au territoire, ses entreprises et ses habitants. 1ere étape : récupération et préparation des masques usagés : on coupe le haut du masque pour sortir la barrette, on arraché les élastiques. 2eme étape : gaveuse : passage dans une machine qui compresse les masques. 3eme étape : Extrudeuse : qui transforme les polypropylènes de masques en plastique en fusion. Pour en faire des pellets. 4eme étape : Injecteuse: grâce à une résistance chauffante, les pellets sont fondus et injectés dans un moule. Toupie, règle, équerre, décapsuleur, mousqueton,... Les potentiels sont nombreux et variés. Grâce à Makerspace56, les tests sont en cours. Il faudrait 30 000€ pour monter un atelier semi industriel et permettre de créer de l'emploi localement. #TZCLD #Nov'Ita #AcSoMur # Ménimur #vannes #morbihan #emploi #innovation #noplanetb #stoppollution #insertion #3HE (à Nov'ita Territoire zéro chômeur Ménimur) https://www.instagram.com/p/CcGo8hzt0jU/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Là où elle passe, les masques fondent pour devenir de nouveaux objets utiles au quotidien. Voici donc la machine qui transforme les masques, les polypropylènes et autres matières plastiques en toupies pour enfants. Propriété de l'association #makerspace56 cette #holipress chauffe la matière pour l'injecter dans le moule. Au sein de l'association et de ses multiples ateliers, figure le projet @preciousplastic56 qui experimente. Les matières, les moules, les températures de chauffe... Tout est testé ! De nombreux projets de moules sont en cours, décapsuleur, pince à linge, tomette, et bien d'autres encore. C'est donc avec cette presse que des #déchets deviennent la matière première pour de nouveaux produits finis. Grâce aux salariés de l'entreprise à but d'emploi #AcSoMur, de la loi d'expérimentation Territoire Zéro Chômeur Longue Durée, un meuble de transport fut #upcycle en bois de palettes. Pour les mois à venir, on est en mesure de venir faire des démos. Ça vous intéresse ? #tzcld #maker #preciousplastic #masks #covidart #maskbuster #innovation #recycle #bretagne (à Bretagne - Breizh) https://www.instagram.com/p/CaJcr3ht3XW/?utm_medium=tumblr
#makerspace56#holipress#déchets#acsomur#upcycle#tzcld#maker#preciousplastic#masks#covidart#maskbuster#innovation#recycle#bretagne
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Là où elle passe, les masques fondent pour devenir de nouveaux objets utiles au quotidien. Voici donc la machine qui transforme les masques, les polypropylènes et autres matières plastiques en toupies pour enfants. Propriété de l'association #makerspace56 cette #holipress chauffe la matière pour l'injecter dans le moule. Au sein de l'association et de ses multiples ateliers, figure le projet @preciousplastic56 qui experimente. Les matières, les moules, les températures de chauffe... Tout est testé ! De nombreux projets de moules sont en cours, décapsuleur, pince à linge, tomette, et bien d'autres encore. C'est donc avec cette presse que des #déchets deviennent la matière première pour de nouveaux produits finis. Grâce aux salariés de l'entreprise à but d'emploi #AcSoMur, de la loi d'expérimentation Territoire Zéro Chômeur Longue Durée, un meuble de transport fut #upcycle en bois de palettes. Pour les mois à venir, on est en mesure de venir faire des démos. Ça vous intéresse ? #tzcld #maker #preciousplastic #masks #covidart #maskbuster #innovation #recycle #bretagne (à Bretagne - Breizh) https://www.instagram.com/p/CaJQR01NftO/?utm_medium=tumblr
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C'était il y a 3 ans, lors des 24h de Ploeren que je m'apprête à rééditer ce weekend. J'étais alors responsable de la commission entreprises de l'association Nov'ita, à Ménimur, quartier de la ville de Vannes dans le Morbihan. L'objectif était d'intégrer l'expérimentation gouvernementale de Territoire Zéro Chômeur Longue Durée C'est chose faite!!! Depuis ce matin, le dossier de candidature à été validé, permettant à AcSoMur, la nouvelle EBE (Entreprise à But d'Emploi) de recruter ses premiers salariés. Longue vie à AcSoMur, bravo à l'équipe projet de Nov'ita et vive TZCLD ! Il y a 3 ans, j'avais parcouru 125 kilomètres, combien ce weekend ? #tzcld #menimur #vannes #morbihan #bretagne #etcld #AcSoMur #nov'ita (à Nov'ita Territoire zéro chômeur Ménimur) https://www.instagram.com/p/CW9IYDzt5X4/?utm_medium=tumblr
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📣 Copil de la démarche #TZCLD à #Wittenheim , 🤝 sous la Présidence de Monsieur le Maire Antoine Homé , en présence de Monsieur le Sous-Préfet Alain Charrier , de Madame la Conseillère Territoriale d’Alsace Marie-France Vallat , des partenaires institutionnels , des partenaires associatifs et du monde économique. Cette démarche est un projet de notre territoire qui souhaite supprimer la privatisation durable d’emploi. Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée est un projet citoyen que la Ville de #Wittenheim est fière de porter ! ✅ (à Mairie de Wittenheim) https://www.instagram.com/p/CV5fX1KMKOv/?utm_medium=tumblr
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📣 Premier comité de pilotage de la démarche Territoire zéro chômeur de longue durée #TZCLD présidé par Monsieur le Maire Antoine HOMÉ en présence de : Mairie de #Wittenheim, Mme CUENE Pauline Cheffe de Service Population, Mme DENIS Marie-Blanche Responsable du CCAS, Mme LANDMANN Justine Chargée de développement social, Mme GRIENEISEN Amandine Cheffe de projet TZCLD, M. ALARIO Eric Directeur de Cabinet. Mulhouse Alsace Agglomération, Mme BAECHTEL Rachel Vice - Présidente Economie de proximité, Emploi et Formation, M. HUARD Dominique Directeur Développement Economique. Collectivité Européenne d'Alsace, Mme VALLAT Marie-France Conseillère Départementale, Mme GOLLY Annabelle Chargée de mission insertion. Maison de l'Emploi et de la Formation, Mme WALONISLOW Alexandra Directrice, Mme OPPENOT Laurence Chargée de projets MSA/PLIE. Pôle Emploi, Agence de Mulhouse Doller Mme DOUAIDI Zohra Responsable de l’équipe entreprise. Sémaphore MSA, Mme WURTH Anne-Gaëlle Chargée de projets et de développement. CAP emploi, Mme SCHMITZ Julie Consultante Pôle Handicap. AURM, M. TAVERNE Didier Directeur des études socio-économie. CCI Alsace Eurométropole, M. HELL Patrick Chargé de mission. Chambre des métiers d’Alsace, M. KLOPFENSTEIN Eric Conseiller. Alsace Active, M. ZELLER François Chargé de Projet. ADESION, Mme GUTLEBEN Anne Co-Responsable. Relais Est, Mme GAUDRY Blandine Accompagnatrice socio-professionnel. Poney Club Les Amazones, Mme CASPAR Nathalie Accompagnatrice socio-professionnel. IM'SERSON, M. ROTH Franck Directeur. Galimmo – Cora Shop’in Witty, Mme TSANG Rebecca Directrice des Centres Sud Alsace. CSC Coréal, M. PELISSIER Patrick Directeur. Fédération des Acteurs de la Solidarité, M. MOREAU Alexis Directeur Régional. ATD Quart Monde, M. GEROUDET Christophe Bénévole ATD Quart Monde. Maison de la Citoyenneté Mondiale, M. WINTERHALTER Roger Président de la MCM. SNC Sud Alsace, Mme CARRAZ Brigitte Présidente. URSIEA, M. DREYFUS Thomas Membre du Conseil d'Administration. Jardin de la Garance, M. BOHRER Valéry Animateur Coordinateur. Mme HUGELE Agnès Citoyenne de Wittenheim. Mme ROGEZ Evelyne Citoyenne de Wittenheim. (à Mairie de Wittenheim) https://www.instagram.com/p/CQ0-xpaMSea/?utm_medium=tumblr
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Fabriquer un t-shirt technique pour sportifs à partir de masques recyclés 🧐 L'idée peut paraître farfelue, c'est une utopie réaliste 😉 Quand une contrainte devient une opportunité ♻️ Bravo pour cette intelligence collective territoriale👍 A dupliquer sur d'autres territoires?🤗 @preciousplastic56 @tzcld_rennes @ecolosportfr #opportunity #innovation #emplois #recyclage #recycling #bahlesmasques #maskbusting #maskpollution #zerowaste #masques #tzcld #greenrunners #runnerscommunity #runners (à France) https://www.instagram.com/p/CPT96mnn0k5/?utm_medium=tumblr
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