#tu es malade ? arrête
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leleaulait · 10 months ago
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Vu que je n'ai pas d'enfants, jamais de la vie je n'oserai donner des conseils parentaux au parents, ça me paraît évident, alors pourquoi, pourquoi, POURQUOI j'ai toujours des gens qui essaient de me donner des conseils stupide sur mes troubles d'anxiété généralisée et troubles psy sans jamais en avoir entendu parler avant ?
Nan parce que, si tu as quelqu'un de ta famille ou un proche qui a pareil, ok, mais la meuf qui me sort qu'il faudrait que je fasse une activité physique et que tel médicament à base de plantes fonctionne sur la tante du frère de sa meilleure amie, il y a un moment j'en ai un peu marre.
Je les mets dans la même case que les proches qui m'ont dit à 14ans "bouge toi juste le cul et sort" alors que je faisais de la dépression chronique et que j'étais sous Prozac Quetapine et Valium.
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transparentgentlemenmarker · 9 months ago
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Tu es malade on critique. Tu réussis, on te critique. Tu échoues, on te critique. Tu es introverti, on te critique. Tu es sociable, on te critique. Tu es heureux, on te critique. Tu es triste, on te critique. Tu es maigre, on te critique. Tu es gros, on te critique. Tu es marié, on te critique. Tu es célibataire, on te critique. En fait, quoique tu fasses, tu es critiqué. Et puis le jour où tu meurs, les gens disent que tu étais une bonne personne. Moralité dans la vie, quoi que tu fasses, tu es critiqué, alors fais-le quand même, arrête de te prendre la tête, n'écoute plus les autres, et fais ce que ton intuition et ton intelligence te conseillent de faire
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Et devient ENFIN la personne que tu mérites de devenir. Laisse passer les faux-culs
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mariannaszymanska · 9 months ago
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Be the lady you were, he said
Sois la femme que tu étais, disait -il
Arête de manger !
Laisse tomber le chocolat !
Non, tu n’es pas grosse !
Sois la femme que tu étais, disait- il
Arête de te plaindre !
Tu es toujours malade !
Fais attention à toi, tu es fragile !
Sois la femme que tu étais, disait- il
Séduis- moi !
Excite- moi !
Arrête de m'embrasser !
Soit la femme que tu étais, disait -il
Écoute moi !
Regarde moi !
Arrête de me poser tant de questions !
Sois la femme que tu étais, disait -il
Tu ne vas pas sortir comme ça !
Epile toi !
Reste toi-même !
Sois la femme que tu étais, disait -il
Tu n’écris plus.
Toujours des chemises bien repassées, tu te déguises
Ton apparence est ton opium
Sois l’homme que tu étais
Ton intérieur est rangé, vide de vie
Tu fais semblant
Tu souris vaguement
Sois l’homme que tu es
Là, à côté de toi, je sombre et tu détournes le regard
Tu te caches
Tu perds ta tendresse
Sois l’homme que tu veux être.
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miung-dreamer · 2 years ago
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Je n'en ai rien à péter. Mais vraiment à la base. Elle ne fait pas partie de mes fêtes.
C'est mignon et cool de voir des posts / tweets sur l'amour et tout ça.
MAIS cette journée qui finit par me faire un petit pincement au cœur (coucou le célibat 😎). Bon sang c'est tellement puérile.
Des dizaines de milliers de morts dans le tremblement de terre en Turquie/Syrie, les Palestiniens qui vivent dans des conditions terribles depuis des décennies, la guerre au Yémen, la catastrophe qui s'est passée dans l'Ohio, sans parler des gens handicapés, malades ou qui vivent dans la solitude totale, etc...
Et moi, je suis triste parce que, pauvre bichette, tu es célibataire !?! Ouais bah arrête ton char et regarde ceux qui ont moins que toi déjà... Mais j'avoue que j'y arrive pas là tout de suite.
Ça va finir par passer. Ça passe toujours.
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lunechante · 2 years ago
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Quand il s’agit de ce que je ressens, j’ai l’impression de ne plus arriver à faire la différence entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas.
Des semaines que j’ai de légers acouphènes en continu. Parfois, je sais que c’est ça, mais à d’autres moments, je ne sais pas si c’est moi ou un bruit discret mais réel que j’entends.
Au niveau émotionnel, c’est encore pire. Hier par exemple. Tout allait bien, enfin, je croyais. Je venais de passer une nuit sans interruption (très rare pour moi, la dernière date de début février, les précédentes de novembre…) et une copine venait manger le midi, j’étais plutôt contente.
En discutant avec la copine de mon dernier rendez vous chez le médecin, elle m’a dit que j’étais en colère et m’a demandé pourquoi, ce qui m’a beaucoup décontenancée parce que je n’avais pas remarqué que j’étais en colère. J’ai essayé de lui expliquer, la fatigue de devoir toujours tout réexpliquer, mon manque de confiance en les professionnels de santé (suite à de nombreuses fois où je n’ai pas été prise au sérieux, où on m’a prescrit des médicaments dont je n’avais pas besoin et/ou qui ont considérablement empiré les choses), mon agacement à ce que cette médecin qui n’est pas ma médecin traitante me demande systématiquement si je suis à jour de mes frottis alors que je n’ai pas de vie sexuelles et que je viens la voir pour un arrêt de travail pour me reposer une semaine avant de me refaire happer par les idées suicidaires contre lesquelles je peine de plus en plus à lutter. Bien sûr que dans ces moments-là j’ai pas envie en plus de devoir me justifier auprès d’une inconnue de ne pas avoir besoin de frottis parce que j’ai autre chose à foutre que d’avoir une vie amoureuse et sexuelle. Que j’en ai marre de devoir toujours justifier mon diagnostic parce que je masque tellement bien que je n’ai pas du tout « l’air autiste », whatever that means, et que parce que ça ne se voit pas ça ne veut pas dire que les difficultés ne sont pas là et qu’il faut me traiter comme une neurotypique. Que j’en ai marre de passer mon temps à renoncer à avoir une vie personnelle pour être tout juste capable de fonctionner en pilote automatique au travail. Que en fait j’ai envie de voir ma famille et mes amis (mais j’ai pas eu le temps d’expliquer que c’est pas si simple parce qu’il faut que ce soit à petites doses parce que ça me demande du repos, et que le repos c’est du temps seule. Toute seule. Dans le calme, chez moi, sans personne d’autre autour). Que ça me fait du mal de ne pas pouvoir avoir accès à tout ça. Parce que c’est quand même des besoins que j’ai. Et la seule réponse que j’ai c’est « mais une vie de famille c’est fatiguant aussi tu sais », alors que en fait ce qui me fait mal c’est ce renoncement sans fin. Toujours.
C’est un peu comme mes crises d’angoisse, que j’ai mis très longtemps à identifier comme telles, parce que je n’hyperventile pas (comme apparemment la plupart des gens). Et je n’ai pas non plus l’impression que j’ai un poids sur la poitrine. Non, il y a deux possibilités : soit j’ai mal au ventre à en avoir du mal à rester debout. Mais je vais quand même attendre d’être seule pour me mettre dans un position plus confortable, soit j’ai mal au cœur. Je crois. Quelque part par là en tout cas. Que ce qui est entre la cage thoracique et le diaphragme se rétrécit. Si je prends de plus grandes respirations, c’est bien pire. Les premières fois, je croyais que j’allais mourrir. Puis vers 14 ans j’ai pris l’habitude. Il faut attendre que ça passe. En général quelques heures. Parfois plusieurs jours, voire un peu plus d’une semaine.
C’est aussi me rendre compte que quand mes proches sont au bout du rouleau, la pire pensée qu’ils ont c’est « ce serait bien que ma fille soit malade comme ça j’aurais une excuse pour rester à la maison ». Moi les 3/4 du temps c’est « quand tu rentres du boulot tu es trop crevée tu n’arrives même pas à t’occuper de toi, tu n’as plus envie de rien du tout, tu sers à rien, tu ne vas jamais mieux, ça n’ira jamais mieux, tu emmerdes tout le monde avec tes problèmes qui n’en sont pas, arrête tout ça. Mais bois pas de l’eau de javel, tu te raterais. Si tu te jettes par la fenêtre c’est pas assez haut tu te raterais aussi. Il faut prendre le reste de neuroleptiques que ce débile de psychiatre t’avait fait prendre ». Pour moi c’est quasi quotidien, depuis l’adolescence. Mais quand les autres sont dans un état inquiétant, c’est bien éloigné de ça. Et on s’occupe d’eux. Moi la première. Mais quand moi je suis comme ça tout le monde s’en fout. Je n’ai pas le droit à cette attention. Quand j’essaye de l’exprimer, soit on change très vite de sujet, soit on me dit qu’on est triste pour moi mais qu’il faut que je vois un professionnel. Comme si j’en avais pas vu assez, qui soit ne m’aident pas, soit me sédatent au point que je ne suis plus moi. Vraiment, dans ma tête il n’y a plus rien. Aucune envie. Aucune attention. Je ne peux même pas lire. Alors me ressourcer, n’en parlons même pas. Je ne suis plus en capacité de m’engager dans les activités qui me font du bien.
Alors oui, j’étais en colère, merci de me l’avoir fait remarquer. Je n’avais même pas haussé la voix. Après ca je me suis mise à pleurer. Mais j’en fais quoi de cette colère ? Quand je la garde en moi, elle ne disparaît pas, elle grandit jusqu’au moment où elle explose. Quand je l’exprime, je vois bien que je gêne. Que je peine celles à qui j’essaie d’en parler. Personne ne me répond jamais qu’elle est légitime. C’est qu’elle est donc irrationnelle je suppose. Mais qu’est-ce que je fais avec ?
La copine en question (qui donc ne va pas bien en ce moment), elle arrive à exprimer ses besoins à son conjoint. Moi, ça me met très longtemps pour les identifier. Puis après, je ne sais pas trop à qui en parler… Quand il s’agit de besoins/limites sensorielles, à chaque fois que je les ai exprimés à ma famille, on s’en foutait, j’exagérais. Mes besoins humains (d’attention, d’être rassurée, de connexion), j’ai honte de le exprimer. Parce que ce serait réclamer l’attention de l’autre, être needy. Alors je n’ose pas. On m’a tellement dit que j’étais comme ça, et que c’est pas bien, que ce n’est que quand j’arrive au fond du fond du trou que je vais lever ma main. En espérant qu’on la voit et qu’on l’attrape. Mais sans être capable de demander clairement.
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scarlettcharitybaker · 1 month ago
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Dolores
Je ne suis pas ta douce Lolita
Et je ne t'appartiens pas
'Parce que tu ne me possèdes pas
Et je ne suis pas ta petite poupée
Je ne suis pas ta douce Lolita
Tu appelleras ça l'amour
Quand tu me fais du mal
Et tu m'utilises
Tu dis que tu m'aimes
Mais tu sais que c'est faux
Tu ne m'honore pas ni mon consentement
Quand tu me violes
Et tu m'as volé mon innocence
Tu appelleras ça l'amour
Mais tu sais que ce n'est pas
Je ne suis pas ta chérie
Et tu n'es pas mon papa
Je ne suis pas ton amant
Et tu n'es pas à moi
Quand je ne t'appartiens pas
Et je ne suis pas ta petite nymphette
'Parce que je suis un enfant
J'ai seulement douze ans
Et c'est faux
Alors ne me sexualise pas
Et ne m'appelle pas à toi
Je ne suis pas ta Lolita
Ce n'est pas l'amour
Quand tu me maltraites
Pour votre propre plaisir
Et votre propre satisfaction
Mon consentement n'est pas rien à toi
Et je ne suis rien de plus qu'une poupée à toi
'Parce que tu es me toucher
Et me violer
Mais tu prétendras que c'est consensuel
Même si j'ai seulement douze ans
Je suis seulement un enfant
Et ça devrait te rendre malade
Qu'est-ce que tu me fais
Mais tu n'es absolument pas dérangé
Alors que tu es m'utiliser
Et sans tenir compte de mon consentement
Mais tu diras juste que c'est l'amour
Même si ce n'est pas l'amour
C'est malade
Et tu es un putain de monstre dans le placard
Je ne suis pas ta chérie
Et tu n'es pas mon papà
Je ne suis pas ton amant
Et tu n'es pas à moi
Quand je ne t'appartiens pas
Et je ne suis pas ta petite nymphette
'Parce que je suis un enfant
J'ai seulement douze ans
Et c'est faux
Alors ne me sexualise pas
Et ne m'appelle pas à toi
Je ne suis pas ta Lolita
Ce n'est pas moi qui suis à blâmer
Et je ne suis pas dans le tort
Quand c'est toi qui est me faire du mal
Alors arrête vous appeler la victime
Quand tu n'es pas
Tu es l'auteur
Et ce n'est pas moi qui suis à blâmer
Quand tu es me maltraites
Et tu es me violer
Jusqu'à ce que je suis déchiré et épuisé
Tu as dit que tu m'aimais
Mais maintenant je sais que tu ne pas
Et tu étais juste en train de me laver le cerveau
Me faisant croire dans ta tromperie
'Parce que c'est faux
Ce n'est pas l'amour
Et ce n'est pas le consensuel
Quand tu n'as jamais pas eu mon consentement
Et tu n'es pas la victime
Tu es l'auteur
Alors arrête te tromper
Et tout le monde autour de toi
Quand ce n'est pas moi qui devrait être blâmé
Et tu es dans le tort
Je ne suis pas ta chérie
Et tu n'es pas mon papa
Je ne suis pas ton amant
Et tu n'es pas à moi
Quand je ne t'appartiens pas
Et je ne suis pas ta petite nymphette
'Parce que je suis un enfant
J'ai seulement douze ans
Et c'est faux
Alors ne me sexualise pas Et ne m'appelle pas à toi
Je ne suis pas ta Lolita
Tu es si tordu
Et c'est malade
Quand tu dis que c'est l'amour
Et tu m'aimes
Mais je ne t'aime pas
Quand tu me fais du mal
Tu me maltraites
Et je ne t'appartiens pas
Je ne suis pas à toi
Tu es si tordu et malade
C'est tout dans ton esprit
Je ne suis pas ta chérie
Et tu n'es pas mon papa
Je ne suis pas ton amant
Et tu n'es pas à moi
Quand je ne t'appartiens pas
Et je ne suis pas ta petite nymphette
'Parce que je suis un enfant
J'ai seulement douze ans
Et c'est faux
Alors ne me sexualise pas
Et ne m'appelle pas à toi
Je ne suis pas ta Lolita
Tu ne me possèdes pas
Et je ne t'appartiens pas
'Parce que je suis juste un enfant
Et tu es adulte
C'est si faux
Quand tu sais mieux
'Parce que je sais que je ne mérite pas ça
Et je mérite mieux
Plus mieux que ton soi-disant amour
Quand tu es me sexualises
Réclamer à tout le monde
Je suis venu sur toi
Et j'y ai consenti
Mais tu es faux
Je n'ai jamais consenti
Et j'ai toujours dit non
Tu ne me possèdes pas
Et je ne t'appartiens pas
Je ne suis pas ta chérie
Je ne suis pas ta chérie
Et tu n'es pas mon papa
Je ne suis pas ton amant
Et tu n'es pas à moi
Quand je ne t'appartiens pas
Et je ne suis pas ta petite nymphette
'Parce que je suis un enfant
J'ai seulement douze ans
Et c'est faux
Alors ne me sexualise pas Et ne m'appelle pas à toi
Je ne suis pas ta Lolita
Tu es tellement délirant
Quand tu t'es trompé
Et tu t'es obligé à déformer la vérité et à acheter la tromperie
Je t'aime
Autant que "tu m'aimes"
Comme si quiconque peut considérer l'amour
Et ne pas de comportement prédateur
J'ai douze ans putain!
Et je ne suis pas ton amant
Je ne suis jamais venu sur toi
Comme tu réclames
Tu es déformer la vérité Et c'est tout dans ta tête
'Parce que tu es tellement délirant
Et putain de malade
Alors va te faire foutre, j'ai seulement douze ans!
Je ne suis pas ta chérie
Et tu n'es pas mon papa
Je ne suis pas ton amant
Et tu n'es pas à moi
Quand je ne t'appartiens pas
Et je ne suis pas ta petite nymphette
'Parce que je suis un enfant
J'ai seulement douze ans
Et c'est faux
Alors ne me sexualise pas
Et ne m'appelle pas à toi
Je ne suis pas ta Lolita
Je ne suis pas ta poupée
Pour toi à utiliser et jouer avec
Et je ne suis pas une marchandise endommagée
Quand c'est toi qui est dans le tort
Ce n'est pas moi qui est à blâmer
Je ne suis pas ta poupée
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christophe76460 · 7 months ago
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Jésus demanda au malade de Bethesda s'il voulait être guéri, ce dernier repondit avec désespoir: 𝗷𝗲 𝗻'𝗮𝗶 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗺𝗲 𝗷𝗲𝘁𝗲𝗿 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗽𝗶𝘀𝗰𝗶𝗻𝗲...(𝗝𝗲𝗮𝗻 𝟱:𝟲-𝟳) toi aussi tu as le sentiment que tu n'as personne pour t'aider, ceux sur qui tu comptais t'ont tourné le dos, tu es seul et abandonné face aux épreuves que tu traverses, mais sache que Dieu sera toujours là pour toi. Là où il n'y avait parsonne pour l'aider à être guéri, Jésus l'a fait (Jean 5:8-9). Personne ne t'aide mais Jésus se lèvera pour toi, là où les hommes refuse de te donner un coup de pouce, le Seigneur te tendra sa main de grâce pour te sortir de cette impasse et de ce problème. Arrête de promener tes regards sur les hommes mais lève les yeux vers les montagnes car ton secours te viendra de l'Eternel (Psaumes 121:1-2)
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À TOI QUI TE GLORIFIES OU QUI ES FIERT DE TA RELIGION ET DE SES RITES, DE TON ASSEMBLÉE DE CROYANTS (ÉGLISE OU AUTRE), DES LIVRES SAINTS (BIBLE OU AUTRE) ET DES DIRIGEANTS SPIRITUELS (PASTEURS, PROPHÈTES OU AUTRE).
LE DISCIPLE DU CHRIST, JUDAS ISCARIOTE, A CHASSÉ DES DÉMONS, GUÉRIS LES MALADES ET RASSEMBLÉS DES FOULES AU NOM DU CHRIST.
MAIS PLUS TARD, JUDAS ISCARIOTE VENDAIT LE SEIGNEUR JÉSUS POUR 30 PIÈCES D'ARGENT.
De même, l'apôtre Pierre qui dit-on a reçu l'Esprit de Dieu à la Pentecôte, il ressuscitait les gens morts, mais par la suite l'apôtre Pierre est devenu si hypocrite qu'il faisait preuve de racisme envers ses frères et sœurs non-juif, en refusant de manger avec eux, non par conviction personnelle, mais à cause de la peur qu'il avait de ce que pourrait penser les autres apôtres.
Dieu lui avait pourtant enseigné par l'Esprit de Dieu a considéré tout le monde de la même façon, mais sa peur du qu'en dira-t-on, comme lorsqu'il a renié le Christ 3 fois, est toujours resté dans sa vie.
A-t-il laissé Christ le changer, après que l'apôtre Paul l'est corrigé publiquement, à cause de son hypocrisie flagrante ?
Cela est entre lui et Dieu et ne me regarde pas.
Car à la fin, le salut est personnel, et chacun doit se plaindre de ses propres péchés.
---
TOUS CECI POUR TE DIRE, CHER AMI(E), QUE TOUT CE QUE TU CONSIDÈRES ÊTRE UN EXPLOIT OU ÊTRE UNE BONNE CHOSE QUE TU AS ACCOMPLI POUR DIEU, CELA NE VEUT RIEN DIRE, SI TU N'ES PAS CHANGÉ INTÉRIEUREMENT SURNATURELLEMENT PAR DIEU, POUR DEVENIR DE PLUS EN PLUS COMME LE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST JUSQU'À LA FIN DE TA VIE SUR TERRE, ET SI TU CONTINUES DE RÉSISTER AU CRÉATEUR DANS QUELLE QUE SOIT LE DOMAINE DE TA VIE PERSONNELLE.
Car la définition du salut que le Christ lui-même nous a donné, par la vie qu'il a menée sur terre, est la suivante :
Celui qui persévérera à faire uniquement ce que Dieu lui dit personnellement jusqu'à la fin de sa vie sera sauvé.
On peut aussi définir le salut de cette façon :
Celui qui vivra de tout son être jusqu'à la fin de sa vie sera sauvé.
Ou encore celui qui finira sa vie en étant véritablement sincère, comme le voleur sur la croix, sera sauvé.
"Car l'Éternel Dieu est un soleil et un bouclier, L'Éternel donne la grâce et la gloire, Il ne refuse aucun bien à ceux qui marchent dans l'intégrité."
"L'Eternel est près de tous ceux qui l'invoquent, De tous ceux qui l'invoquent avec sincérité"
---
EN RÉALITÉ, CE N'EST PAS COMPLIQUÉ D'ÊTRE SAUVÉ SI ON DEVIENT HUMBLE, C'EST-À-DIRE, SI L'ON ARRÊTE DE RÉSISTER À DIEU ET QU'ON SE LAISSE CHANGER PAR LE CRÉATEUR.
"LA VIE ÉTERNELLE SIGNIFIE TE CONNAÎTRE ET T'EXPÉRIMENTER COMME LE SEUL VRAI DIEU, ET CONNAÎTRE ET EXPÉRIMENTER JÉSUS-CHRIST COMME LE FILS QUE TU AS ENVOYÉ."
Voici le comportement de quelqu'un qui ne résiste plus à Dieu, mes chers amis :
"Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre cœur. Je me laisserai trouver par vous, dit l'Éternel."
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mxrxll · 1 year ago
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requêtes
si vous voulez un scénario particulier s’il vous plaît précisez un membre de treasure et un enfant précis et ce que vous voudrez voir
vous pouvez aussi faire des mélanges du genre ‘hyunsuk joue avec les enfants de junkyu’ ou ce qui vous plaît !
phrases
vous pouvez aussi choisir entre 1-3  de n’importe quelle phrases ci-dessous
rappelez-vous de spécifiez un numéro, un membre et un enfant!!
1. “Tu l’as senti tapé ?”
2. “Tu penses que je serais un(e) bon(ne) père/mère ?”
3. Regarde, je crois bien que le bébé s’amuses beaucoup là-dedans ! Donnes-moi ta main !”
4. “Hôpital, maintenant !”
5. “Fille ou garçon ?”
6. “On peut lui donner mon nom ?”
7. “Peux-tu monter le berceau !”
8. “Fais-moi un câlin !”
9. “Je suis enceinte”
10. “J’espère qu’il(s)/elle(s) aura/auront tes yeux.”
11. “Tu veux peindre la crèche de quelle couleur ?!”
12. “J’ai un truc à t’annoncer.”
13. “Oui, j’ai pris du poids, mais c’est parce que je suis enceinte !”
14. “Prépares tes ‘dad jokes’.”
15. “Là ! Là ! Regarde ! Un pied !”
16. “Il(s)/elle(s) est/sont en forme aujourd’hui.”
17. “C’est une main ?”
18. “Peut-être que tu devrais essayer de lui/leur lire un livre ?”
19. “Viens voir mon ventre, je crois qu’il(s)/elle(s) s’amuse(nt) !”
20. “Le haut de la tête du bébé est à peu près...là. Et un pied est juste ici.”
21. “Tu penses que le bébé sera plus cool si je mange des doritos ?”
22. “Le café est pas bon pendant la grossesse/l'allaitement, mais pu*ain, il m'en fait un.”
23. “Je pourrais manger de la pastèque avec du beurre de cacahuète là tout de suite.”
24. “Mes pieds sont tellement gonflés.”
25. “Mes vergetures sont horribles.”
26. “Le bébé ne veux pas arrêter de taper ma vessie, alors il est hors de question que je quitte les toilettes.”
27. “T’es enceinte, c’est tout, tu es magnifique.”
28. “Il/elle s’est encore réveillé(e).
29. “Je m’occupe du bébé, retournes te coucher.”
30. “Trop mignon !”
31. “Il(s)/elle(s) est/sont un/des mini(s)-moi.”
32. “On a encore plus de café.”
33. “Arrêtes d’être un petit cochon ?”
34. “Il/elle est magnifique.”
35. “Ce truc-là, être parent, c’est difficile.”
36. “Vous êtes tout(e) les deux précieux.ses
37. “Je vous aimes tellement.”
38. “Oh ! Y en a partout... je pensais pas que les bébés... avaient autant...”
39. “T’inquiètes pas je gère, retournes dormir.”
40. “Réveilles-toi, le bébé a besoin de toi.”
41. “Je peux pas changer ses couches sans être malade. C’est un peu frustrant.”
42. “T’es le bébé à maman toi, pas vrai ! Mais oui, tu l'es!”
43.  “T'es le bébé à papa toi, pas vrai ! Mais oui, tu l'es !”
44. “C’est votre fils/fille.”
46. “J’adore quand il/elle s’endort sur moi.”
47. “Il/elle veut pas s’arrêter de te réclamer.”
48. “Je peux le/la tenir.”
49. “Je peux choisir sa tenue aujourd’hui.”
50. “Le/la petit(e) garçon/fille à papa !”
51. “Le/la petit(e) garçon/fille à maman !”
52. “Il/elle n’aura jamais le droit de sortir avec quelqu’un.”
53. “C’était un mot ?”
54. “Cet enfant aura une meilleure enfance que moi.”
55. “Notre petit ange vient de jeter son jouet dans les toilettes.”
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kurerisama · 1 year ago
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(i7) La Danse Macabre - Acte 1 Scène 3
Episode 3: Arme
traduction française
Note: Cet event ayant été entièrement doublé, vous pouvez suivre la traduction en même temps que le jeu pour une meilleure compréhension.
Episode 3-1
Cura: Haaa… Haaa…!
Fuga: H-Hey… Est-ce qu’on peut s’arrêter ? Ils ont pas l’air de nous rattraper !
Cura: Pas encore ! On continue de courir jusqu’à ce qu’on trouve quelque part où se réfugier !
Fuga: C-Compris !! Tu veux que je porte l’Ange un moment, Libel-san ?
Libel: Non, ça va. Il est plus léger que prévu.
Ange: …
Libel: … Tu ne te débats pas.
Ange: Hein ?
Libel: Tu viens juste d’être kidnappé par une mystérieuse organisation surgie de nul part, mais tu ne résiste même pas ?
Ange: A-Aah… Je pense que même si je tentais quelque chose, je ne serai pas à la hauteur face à vous…
Cura: Heeh… Mais bon, tu rends les choses plus facile pour nous, comme ça.
Fuga: Quoi, tu abandonnes déjà ? Va falloir renforcer ton esprit combatif, petit.
Cura: T’as pas oublié ton poste, toi…?
Ange: H-Hehe…
Libel: …?
Ange: … Vous êtes plutôt amusants.
un peu plus loin
Cura: Fiou… Puisqu’on est arrivé jusque là, je pense qu’on peut ralentir la cadence.
Fuga: Haaa… Haaa… Faut croire qu’ils n’nous ont vraiment pas suivi…
Cura: Sûrement grâce aux bombes que j’avais mis dans la cathédrale. Ça aura au moins eu le mérite de les retenir.
Fuga: Des bombes ? Quand est-ce que tu les as mis, même !?
Cura: Je pensais qu’on aurait du mal à s’enfuir. Alors j’ai placé et programmé des bombes pour qu’elles explosent juste au bon moment.
Fuga: …Mais si trop de gens ont été blessés, on va être désavantagés lors des négociations, nan ?
Cura: Idiot. Y avait juste assez d’explosif pour leur faire peur. J’ai jamais blessé quelqu’un involontairement.
Fuga: Heeh, c’est là un homme efficace.
Ange: …
Libel: … Pour aller jusqu’à notre repaire, ça nous prendra au mieux deux jours. Jusque là, essaie de bien t’accrocher à moi.
Ange: O-Oui… Dîtes…
Libel: Qu’est-ce qu’il y a ?
Ange: Faites-moi descendre.
Libel: Je ne…
Ange: Si vous me faites descendre, je pourrais courir par moi-même.
Libel: Tu quoi ?
Ange: Je ne vais pas m’enfuir. Disons que, comment l’expliquer... J’utiliserai mes propres jambes pour contribuer à l'enlèvement.
Libel: …
Cura: T’es un gosse déconcertant.
Fuga: Hey, oh, l’otage ! T’as pas l’air de comprendre la position dans laquelle tu es ! Si tu dis ça, c’est que tu vas t’enfuir la seconde où on te laisserai mettre le pieds par- …
Libel: Voilà, fais attention où tu mets les pieds.
Ange: Merci.
Fuga: Libel-san !?
Ange: … O-oh… C’est donc ça… Le monde d’en-dessous. La sensation d’avancer sur le sol.
Fuga: Hey…… N’appelles pas ça “le monde d’en-dessous”. Tu nous prend de haut, et ça m’énerve.
Ange: Ah! J-Je vois… C’est vrai.
Libel: …
Episode 3-2
Ange: Cependant… Hehehe… C’est donc ça, c’est tellement…
Fuga: Qu’est-ce que tu racontes, toi ? Et arrête de sourir comme un débile, ça m’rends malade.
Ange: A-Ah, excusez-moi. En vérité… C’est la première fois que je sors. En plus, c’est la première fois depuis toujours que je marche par moi-même ailleurs que dans les couloirs de l’église.
Fuga: Hein ? C’est pas vrai…
Cura: Qu’est-ce que tu fais pendant quatre ans, quand tu montre pas ta tête au festival ?
Ange: Rien.
Fuga: Rien !?
Ange: Je suis toujours à l’intérieur de ma chambre. Puisque je ne sors que pour le festival, aujourd’hui, c’est la quatrième fois.
Cura: L-La quatrième fois de ta vie ?
Fuga: D-Donc tu n’as jamais rien vu d’autre que la cathédrale, depuis ta naissance ?
Ange: Je ne pense pas. C’est pourquoi… Aie…
Cura: H-Hey ! Ça va !? Faut pas que tu te blesses !
Libel: … Il a juste marché sur un caillou. Tout va bien ?
Ange: Ahah… … C’est donc la douleur qu’apporte le fait de marcher sur un caillou. C’est pas si mal.
Cura: …
Fuga: C’est quoi, ce sourire stupide ? Les gens d’en haut prennent du plaisir à souffrir ?
Ange: Ah, je suis désolé. Je sais que je devrais être bien plus préoccupé par la situation actuelle, mais tout est si nouveau pour moi. Des douleurs que je n’ai jamais ressenties, des odeurs que je n’ai jamais senties... Et puis vous, à qui je n’avais jamais parler. Et surtout, le plus important… J’en avais entendu parlé, mais… Je ne pensais pas que la Surface était si splendide.
Libel: … Je vois.
Fuga: … Hein… C’est quoi ton délire ? Y a quoi de splendide, la Surface est en ruines…
Libel: Dis, ton nom est ?
Ange: Hein…
Libel: C’est barbant, de t’appeler l’ “Ange” tout le temps. A moins que tu n'aies pas de nom ?
Ange: …! Un nom, j’en ai un ! Arme. Je m’appelle Arme ! C’est moi !
Libel: … Je vois. Mon nom est Libel. Heureux de te compter dans ce voyage, Arme.
Ange-Arme: Aah… Oui, je suis heureux d’être là aussi ! Libel !
Libel: Huhu…
Cura: C’est étonnant de le voir faire un tel sourire.
Fuga: Ça, c’est sûr…
Ange-Arme: Arme… Oui, je suis Arme…
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lesombresdeschoses · 2 years ago
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ADIEU
Quand les souvenirs reviennent, c’est comme un tison brûlant qui vous traverse chaque membre en même temps. Tyler n’est plus. Sur la tombe de l'inspecteur on peut lire : Mort en service. Un classique du genre pour un flic. Mais il était bien plus que ça. Mortensen reste un moment devant la pierre. Pourquoi l’a-t-il suivie jusqu’à Londres lorsqu’elle a tout quitté pour qu’on l’oublie ? Pour oublier. Mais ce genre de choses ne s’oublie pas. On vit avec. Un flic doit apprendre à négocier avec ses fantômes. Le môme s’en sort, finalement, et le meilleur des hommes repose six pieds sous terre. Une légère brise lui caresse la peau.
— Deyn ?
Lawrina se retourne, à peine surprise.
— Je ne vais pas me rendre à la police… annonce-t-il, planté là, impassible.
— Tu...
— Laisse-moi finir, s’il te plaît.
L’inspectrice l’observe. Elle ressent le vide. Aucune émotion, pas même la colère, ne l’anime.
— Je suis malade. Ma maladie n'excuse en rien ce que j'ai fait, mais... ces voix... il fallait que je les arrête. Je n'ai pas su. Elle continuent de me chuchoter des choses. Je vais me faire interner.
— Deyn. Je suis désolée... pour tout ça.
— Tu n'y es pour rien. Je me demande seulement pourquoi tu m'as épousé ?
— Je t’aimais. J’ai sans doute cru que tu me sortirais de ma mélancolie. Tu étais passionné, altruiste… Je n’aurais jamais dû partir comme ça.
L’atmosphère est imprégnée d’une froideur abyssale. Il s’éloigne vers la sortie du cimetière.
— Deyn ! Ne fais pas de conneries, lance-t-elle, brusquement.
— Ne t'inquiète pas, je ne vais tuer personne.
— Ce n'est pas ce que je voulais dire...
Gilmore sourit.
— Je veux vivre ! Tu ne me connais pas, en fin de compte. Moi non plus, je ne te connais pas. Deux étrangers ont vécus ensemble sans se rendre compte qu'ils n'étaient pas à leur place. Des gens sont mort à cause de ça.
— Tu parles de destin ?
— Je ne sais pas de quoi je parle.
Je n’ai pas compris ma réaction. Ou plutôt, mon absence de réaction. Il a raison, des gens sont morts et moi je suis restée plantée là, apathique. J’aurai dû me jeter sur lui, je cogner, l’insulter. Tyler n’est plus. A cause de lui. A cause de moi. Parce que je me suis toujours laissée porter. Je me suis laissée aller aux gré des choses, sans jamais décider de ce que je voulais vraiment. Ma O’Donnell a essayé de m’ouvrir les yeux sur mon attitude irresponsable envers moi-même. Des innocents ont payé pour ma bêtise. Tout est lié. Nous sommes tous connectés les uns aux autres. Reliés par un fil rouge. Invisible, mais bien réel. Nos actes se répercutent sur l’existence de chacun. Nous devons prendre soin les uns des autres. Non pas au sens où on l’entend, mais prendre soin de notre destinée pour ne pas impacter celle de l’univers. Être responsable c’est vivre et expérimenter pleinement ce don du ciel. Survivre, c’est la mort. Une pandémie de mort. Deyn a raison, il faut vouloir vivre. Je vais vivre.
Lawrina Mortensen, ex-flic de Londres, dépose l’agenda rouge sur la stèle de Tyler Declan McKenzie, Détective Inspecteur Chef de Brixton.
Tout ceci est bien réel. C’est finit.
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bienvenuechezmoi · 2 years ago
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Quand je suis chez mes parents, ma mère elle me met des coups de pression alors que je fais ma meilleure vie de personne adulte " Tu es où ? Tu fais quoi ? Tu rentres quand il est déjà tard". Rien qu'en écrivant ces mots j'ai des frissons dans le dos. La gestapo, un enfer. Quand je lui dit qu'a 24 ans je n'ai plus aucun compte à lui rendre et que depuis que je ne suis plus étudiante elle n'a plus la pression monétaire pour me faire répondre elle utilise l'argument "mais moi je me suis sacrifiée pour toi" et "j'ai peur de te perdre". J'ajouterai quelle passe son temps à me dénigrer auprès de ses copines, de m'insulter de tout les noms et m'a mis tous les morts de ma famille au nom de " j'ai peur de te perdre". A chaque fois que je reviens chez mes parents c'est la même angoisse qui revient. Celle d'être enfermé, épié toute la journée. Ne pas pouvoir respirer sans donner une explication. Faire tout de travers. Avoir une mère qui nous étales ses émotions à la gueule sans un seul filtre et un père qui ne parle pas, ne réponds des fois même pas alors que la question lui est directement posé. A ça des blagues il peut en faire mais parler des vrais sujets c'est un inexistant.
Une fois elle m'avait tellement retourné le cerveau que j'ai fait 2 jours de crises d'angoisses pour 2 semaines de vacances. Elle m'a dit "si tu y vas tu n'es plus ma fille, je ne t'aime plus". Pour 2 semaines de vacances putain.
Et je ne compte même les fois où elle m'a dit que j'étais bizarre alors que je passais mes pire années d'adolescence à me faire bully par mes propres "copines".
Certain.e.s d'entre vous me diront peut être qu'iels rêveraient d'avoir des parents et, principalement, une mère qui s'inquiète pour soit. Sachez quand même, que le résultat est le même à l'âge adulte : des tocs et beaucoup de séances chez la psy. Non ce n'est pas que parce que je suis cheloue, on a les mêmes tocs et pathologies avec ma soeur. Anxiété social, un stress omniprésent jusqu'à nous créer des douleurs chroniques, s'arracher la peau et un perfectionnisme à outrance qui te rend malade.
Elle rêvait d'être fusionnel avec ses filles ; elle a créé des petits êtres angoissé en hyper vigilance prêts à s'effondrer à la moindre vaguelette.
Il y a vraiment des soirs où j'ai envie de me buter parce que la vie est éreintante bien que ma vie soit très douce à la vue de la vie d'autres gens. J'allais dire que dans ces moments comme ça je veux retrouver mon ex mais ce con ne m'a jamais vraiment compris et quand j'étais dans ces états mentales il me disait simplement "je ne comprends pas pourquoi tu te mets dans des états comme ça, arrête ça sert à rien" alors que j'avais juste besoin qu'il me fasse des papouilles et qu'il me dise "ça va aller".
Sur ce je vais prendre mon prochain rdv chez la psy.
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fauvelienne · 2 years ago
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Si tu lis ces mots. Parce que je suis persuadée qu’un jour tu les liras ou qu’on te les rapportera.
Tu es la personne que j’ai considérée et que je considère encore comme tellement plus qu’un.e ami.e.
Tu es la personne qui a toujours été là pour moi même dans les pires moments.
Aujourd’hui tu sais. Je crains que la vie ne nous éloigne. Je le sens. Quelque chose au fond de moi me le dit. Et je prie tout ce que je peux pour que ce ne soit pas vrai.
Si tu comptes m’abandonner, ce n’est pas grave. Parce qu’aujourd’hui quelque chose s’est brisé. Comme un verre qu’on fait tomber sur le carrelage. C’était un bruit sourd. Mais je l’ai entendu.
Tu m’as beaucoup donné. Et dieu sait si j’ai essayé de t’offrir un juste retour du bâton. Et je ne t’en remercierai jamais assez.
Je l’ai toujours pensé et je le pense encore. Il est certainement égoïste de ne pas te partager. Si tu veux partir je ne te retiendrai pas. Je n’ai plus envie de perdre mon temps à cela.
Je t’ai aimée d’un amour inconditionnel. Et d’un amour qui ne meurt jamais. Toi aussi tu m’as aimée je le sais.
La vie est un cycle. Je croyais voir le bout de l’enfer et finalement j’y suis encore. Aujourd’hui il est temps d’en sortir et tu le sais autant que moi.
Je ne pensais pas que tout allait se dégrader aussi vite. Je ne pensais pas un jour ne pas avoir envie d’être en ta présence ni en celle de d’autres personnes d’ailleurs. Je ne pensais pas un jour tout prendre au mot. Et pourtant ça a fini par arriver.
Je crois que j’ai fait mon temps ici. Et ça me rend extrêmement triste de m’en rendre compte. Mais rien ne fonctionne quand le coeur n’y est plus, et il est impossible de guérir dans l’environnement qui t’a rendu malade.
Une nuit j’ai rêvé que tu voulais qu’on prenne nos distances. Je me suis réveillée en pleine crise d’angoisse et pourtant aujourd’hui j’ai une impression de déjà vu.
Si tu dois partir pars je t’en supplie. Ne me laisse pas souffrir. Moi aussi je partirai quand j’aurais une possibilité de retomber sur mes pattes.
Si jamais tu ne veux pas partir, arrête tes bêtises.
On s’est dit des choses qu’on ne pensait pas aujourd’hui. Je ne veux pas de pardon et je ne te présenterai pas d’excuses. Je veux seulement la paix. Je veux que tu comprennes que je ne pardonnerai jamais le manque de respect.
Et sache qu’au fond de moi je t’aimerai toujours. Que si notre histoire se termine là, il y aura encore une petite place dans mon coeur pour en écrire une nouvelle. Mais que je ne ferai peut-être pas le pas.
Je t’aime. Je t’aime pour toujours et je serai là. Si tu traverse une tempête et qu’il faut avoir effet de paratonnerre. Mais je ne serai pas là si tu continues à avoir cette attitude.
Si un jour je pars avant toi, ce que je ne voulais pas voir arriver mais qui risque de se produire. Ne me pose pas de questions. Entends simplement ces mots.
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sabert24 · 4 years ago
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D'Alexandra
Elle était comme une bougie allumée, enthousiaste et énergique. Elle ne manquait aucune occasion de danser le ballet. Et elle est tombée malade et a commencé à souffrir et à s'éteindre . Je me suis donc assis plusieurs fois avec elle et je l'ai accompagné jusqu'à ce que nous nous remettions ensemble et que nous recommençions le voyage de l'art: la danse et de l'écriture.
Je te dédie ce poème impromptu.
Je t'écrirai la prochaine fois un Alexandre, ma chère Alexandra.
*
Mets tes douleurs de côté.
Et prends soin de ta santé.
Affronte ton énorme souffrance
Il est temps de résister.
*
Ma jolie ! Je t'en supplie
Écrase ta mélancolie
Ma chérie ! Je t'en prie
Libère ta belle voix et ris.
*
Fais confiance à ta beauté
Il n'y a pas de place ici
sauf pour s'exprimer, chanter
Et d'écarter tes soucis.
*
C'est le temps de l'Opéra
Ô, courageuse ! Pas à pas !
Encore une fois sur la pointe
Et saute avec souplesse jointe.
*
C'est le temps de l'Opéra
Ô, principale. Pas à pas
Sois comme la fameuse Nina
'La prima ballerina'
*
Tu ne seras pas lassée
Avancer et profiter
De cette opportunité
Qui ne se répète jamais.
*
Ne sois pas fragile cette fois
Tu as un rôle important
Ne perds même pas un instant
Tu es en présence de la joie
*
Fais du monde entier une scène
Pour s'exprimer et danser,
Et arrête de trop penser
Vas-y ! La danse est la tienne
*
Reviens ! Premier échelon
Étoile ! Le ballet t'attend
Reviens ! Ô Alexandra !
J'espère que tu reviendras
.
©️Sæbïr_Lâhm
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joaniepencil · 3 years ago
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L’ile de l’amour
Chapitre 9
Résumé : Qu’est ce qui se passe avec la santé de Rosie.
Avertissement : 18 ans et plus, Smut doux et amoureux (enfin!)
James était parti depuis longtemps quand Rosie revint à l’intérieur de la maison. Cette toute petite promenade et leur engueulade l’avait vider de ses maigres forces.
Elle s’installa sur le sofa du salon, pas question de rester encore dans cette chambre triste. Elle alluma la télé et s’endormit en un instant.
Elle se réveilla beaucoup plus tard, elle avait dû dormir tout l’après-midi. Il faisait sombre dans le salon, Marshall l’avait bordé avec sa couverture préférée. Sur la table basse devant elle reposait ses clés de voiture et une petite boîte. Rosie s’assit en baillant. Elle prit la boîte, c’était un téléphone tout neuf, le même modèle que le sien.
-Tu n’es pas prisonnière ici, tu es en sécurité. Si tu veux vraiment partir tu peux, lui dit Marshall en sortant de l’ombre du corridor. Il entra dans le salon, torse nu en survêtement. Il sortait de la douche, ses cheveux étaient encore humide.
Elle triture la boîte dans ses mains un instant. Marshall s’assit dans son fauteuil fétiche au bout du sofa de Rosie.
-Veux-tu que je parte? Dit-elle d’une petite voix.
Elle n’osa pas le regarder même s’il était à moins d’un mètre d’elle.
-Bien sur que non mais si c’est ce que tu veux, je vais comprendre.
Elle soupira.
-Je veux que mon homme me revienne, je veux que tout redevienne comme avant. C’est tout ce que je veux.
Marshall ne dit rien et soupira tristement. Il changea de poste de télé pendant qu’elle découvrait son nouveau téléphone. Pour une fois, il n’avait pas l’air pressé de sortir.
-Tu reste ici ce soir?
-Oui. Tu as faim? Dit-il en se levant. On a pas grand-chose à manger, constata-t-il en regardant dans les placards. Tu veux qu’on sorte manger? En ville?
Rosie était totalement sidérée. Il lui avait à peine parler aujourd’hui, James avait dû se fâcher contre lui pour qu’il passe du temps avec elle et maintenant il voulait l’emmener manger au restaurant? Elle se redressa plus dans les coussins.
-Qu’est ce qui se passe? Je ne comprends pas… Tu voulais à peine me parler ce midi… et maintenant tu me propose de manger au restau?
Marshall descendit les deux petites marches de la cuisine et la rejoignit. Il s’assit sur la petite table de salon devant elle, il regarda directement dans ses yeux.
-Est-ce qu’on peut juste prendre une pause ce soir et oublier tous ce qui se passe? J’ai faim et j’ai envie de manger avec toi. S’il te plaît.
Rosie n’en croyait pas ses oreilles.
-Quoi? Une pause?
Marshall hocha la tête.
-Une soirée comme avant… S’il te plaît… J’en ai besoin.
Ses yeux bleus triste l’imploraient.
-D’accord. Prenons une pause. J’ai besoin de me changer, j’ai l’air d’une sans-abri.
Marshall sourit pour la première fois depuis longtemps.
Elle enfila un haut simple mais plus mignon que son vieux pull trop grand. Elle dû se résoudre à garder ses leggings c’était trop douloureux d’essayer de porter autre chose.
Marshall ressortit de sa chambre en jeans et en chemise. Il avait prit le temps de se coiffer et se parfumer. Rosie le trouvait tellement beau. Elle le regarda comme si c’était leur premier rendez-vous. Il avait du s’entrainer beaucoup dernièrement, il lui semblait encore plus large et massif.
Rosie ne pu qu’attacher ses cheveux fade et mettre un peu de baume à lèvre. Le reste de ses affaires étaient dans son appartement.
-J’aimerais bien récupérer quelques affaires chez moi, dit-elle pendant qu’il mettait son blouson de jeans sur ses frêles épaules. Marshall lui ouvrit la porte d’entrée.
-Fais moi une liste, j’irais chercher ce que tu as besoin.
-Ce serait plus simple si j’y allais.
-Non pas question, tu ne remonte pas là-bas. Il la regarda dans les yeux, il ne pouvait être plus sérieux.
-D’accord je vais te faire une liste.
Elle descendait lentement les marches quand il la prit dans ses bras comme une mariée. Rosie émit un petit cri de surprise mais passa rapidement ses bras autour de son cou puissant. Pendant quelques petites secondes elle se lova le nez dans son cou. Il sentait tellement bon. Du coin de l’œil elle vit sa petite voiture garer derrière la Volvo noire de Molly.
-Tu l’as sortit! Dit-elle en souriant d’une oreille à l’autre.
-Tu veux qu’on la prenne? Lui demanda Marshall content de la voir sourire.
-Non ça va. Mes béquilles n’entre pas dedans.
Il la déposa doucement dans sa camionnette, Dieu qu’il sentait bon!
-Alors qu’est ce qui te ferait envie?
Marshall prit la route de Saint-Hélier.
-Beaucoup de chose, le problème est de savoir si tout vas rester à l’intérieur… Elle regarda dehors, Marshall grogna.
-Ça m’inquiète que tu sois toujours malade…
Rosie le regarda et posa la main sur sa cuisse tout naturellement.
-Mon amour, on a prit une pause des soucis pour ce soir, on en discutera demain.
Il lui jeta un coup d’œil puis regarda sa main et mit la sienne par-dessus.
-D’accord ma chérie. Il prit sa main et lui donna un baiser. Rosie frissonna au contact de ses lèvres sur sa peau. Italien ça te dit?
Elle hocha la tête en souriant.
-C’est parfait.
Ils passèrent une très agréable soirée à discuter de tout et de rien dans un petit restaurant Italien. Pour une fois la nausée semblait être disparue.
Sur le chemin du retour, c’est le jeune homme qui posa la main sur la cuisse de sa compagne. Rosie posa la main sur la sienne et la serra aussi fort qu’elle pu.
Dans la pénombre de la voiture, elle murmura :
-Je t’aime Marshall. Je t’aime de tout mon cœur…
Il pressa la cuisse doucement.
-Je t’aime aussi ma chérie ma toute petite Rosie.
Au moment de se coucher, Rosie hésita. Elle mourrait d’envie de se retrouver dans ses bras mais elle n’osait pas lui demander.
Dix minutes après s’être coucher, elle entendit cogner à sa porte.
-Oui?
Marshall passa la tête dans la porte.
-Ça te dérange si… je dors avec toi?
Le cœur de Rosie bondit de joie.
-Viens! Elle ouvrit les couvertures de son côté. Par contre, c’est bien possible que je t’empêche de dormir. Je dors très mal. Ma jambe me fait chier la nuit.
Il s’étendit près d’elle, avec pour tout vêtement son boxer.
-Je sais. Je t’écoute toute les nuits, j’entends chacun de tes gémissements, chacun de tes pleurs en espérant que tu finisse par me demander de venir te trouver.
Rosie soupira , l’orgueil l’en empêchait. Marshall était étendu comme elle sur le dos. D’habitude, ils dormaient en cuillère mais c’était impossible avec sa grosse atèle.
Rosie avait les yeux grand ouvert dans le noir, la chaleur de Marshall irradiait dans le lit. Elle avait le cœur qui battait la chamade comme une adolescente lors de sa première fois.
-J’aurais aimé que tu vienne me trouver mais…
-Je sais… Je suis un connard…
Rosie poussa un petit gémissement entre le rire et le sanglot.
Il se retourna vers elle en s’appuyant sur son coude et mit la main sur sa joue. Il l’embrassa doucement. Ses lèvres caressèrent les siennes en parfaite harmonie. Rosie darda le bout de sa langue contre la sienne. Elle soupira de bonheur. Marshall lui donna des baisers fiévreux dans le cou.
-Est-ce qu’on peux, je veux dire avec ta jambe.
Elle l’attira à elle le plus qu’elle pu et se lova dans ses bras puissant.
-Fais moi l’amour …
Il passa les mains sous son pyjama.
-Bon sang tu es toute petite…
Elle passa la main sur son caleçon.
-Et toi tu es immense!
Avec beaucoup de tendresse et de la patience, ils firent l’amour lentement, s’appréciant l’un l’autre, se caressant pour faire monter le plaisir tranquillement.
Marshall finit par lui retirer son attèle et embrassa sa cuisse blessée.
-Je vais prendre soin de toi maintenant, je vais t’aimer tellement fort que tu vas guérir très vite, dit-il en remontant le long de sa vulve.
Cette nuit là, Rosie dormit comme un bébé dans les bras de Marshall.
Au petit matin, Rosie se réveilla encore pelotonner contre son torse. Aussitôt qu’elle remua un peu, la nausée refit surface violemment.
-Ha non pas encore, dit-elle en se précipitant dans la salle de bain. Évidemment, cette course effrénée réveilla Marshall.
-Est-ce que ça va ma chérie? Dit-il au travers de la porte close. Un son de vomissement lui répondit. Elle ressortit de la salle de bain 20 minutes plus tard, toute pâle. Marshall était au téléphone.
-… Ça n’a aucun sens James, elle se vomit le corps tous les matins… Il doit bien y avoir une explication… Il n’est pas question que je perde une autre femme.
Il était en colère, Rosie l’entendait dans sa voix même si elle était dans sa chambre. Elle remit son attèle et le retrouva dans la cuisine.
-James s’en vient. Comment tu te sens?
-Mieux, dit-elle un peu amortie. James n’est pas médecin. Qu’est ce que tu veux qu’il fasse de plus.
Elle s’assit à la table.
-Il peut te faire une prise de sang sans que tu ai besoin de bouger d’ici. Tu veux un café.
Rosie hocha la tête, elle bu quelques gorgées sans dire un mot. Marshall s’assit avec elle.
-Ça va tu es encore toute pâle.
Une larme roula sur sa joue.
-La pause est fini…
-Quoi mais de quoi tu parles?
Rosie essuya ses yeux.
-Hier, on a prit une pause c’était merveilleux et maintenant c’est fini…
Elle cacha son visage dans ses mains.
Marshall quitta sa chaise et s’agenouilla devant elle.
-Rosie, ma chérie, s’il te plaît, arrête de pleurer. On va trouver ce qui se passe avec ta santé, le reste peut attendre mon amour…
On cogna en même temps à la porte d’entrée.
-Bonjour! Oups, j’arrive au mauvais moment?
James entrait avec sa mallette.
Rosie partie à la salle de bain en clopinant.
-Non ça va. Entre.
Elle passa de l’eau froide sur son visage. Elle revint dans la cuisine un peu plus sereine.
-Alors Madame Gagné, comment ça va ce matin? Tu as encore été malade?
Elle hocha la tête. Il sortit son matériel et prit sa pression. Il l’examina sous toute les coutures.
-Ta pression est un peu basse mais rien de grave. Il lui fit une prise de sang. En rangeant son matériel, il demanda à Marshall. Tu peux nous laisser un instant?
Le grand brun croisa ses bras musculeux sur son impressionnante poitrine.
-Non! Si quelques choses cloches avec ma femme je veux le savoir!
-Ta femme? S’exclama Rosie. Marshall avait l’air buté. Ça va, il peut rester.
-Très bien. James s’installa à la table de la cuisine. Tes dernières règles datent de quand?
Rosie fronça les sourcils.
-Je prends la pilule je ne peux pas être enceinte…. Marshall s’avança vers eux.
-Tu crois qu’elle est enceinte?
James hocha la tête. Rosie paniqua.
-Non je ne peux pas être enceinte non! Non pas question!
-À quand remonte tes dernières règles te souviens tu? Lui demanda Marshall à son tour. Au moins deux semaines avant que je parte à Londres non?
Rosie se leva et essaya de faire les cents pas avec ses béquilles.
-Je ne sais plus… Oui je crois que oui. Je ne peux pas être enceinte j’ai toujours pris la pilule et tout allait bien… Sauf peut-être quand on s’est chicaner là-dessus justement…
La jeune femme tremblait, Marshall avait pâlit appuyer sur le comptoir de la cuisine. James était toujours assis à la table de la cuisine, il sortit un test de grossesse de sa mallette.
-Est-ce que tu les prends encore depuis ton accident. Rosie secoua la tête. Marshall prit le test sur la table et le tendit à Rosie.
-Passe se test qu’on ai le cœur net.
La jeune femme secoua la tête et repoussa le test de la main.
-Non je ne suis pas enceinte!
Elle était au bord de la crise d’hystérie. Elle respirait rapidement, ses yeux étaient complètement affolés.
Les deux frères se regardèrent un instant.
-Oublions ça pour tout de suite. Je crois que prendre l’air, ça te ferait beaucoup de bien. Je t’ai emmené des vitamines à prendre tous les matins. Les prises de sang vont nous dire de toute façon ce qui se passe. Est-ce que ça te convient?
Rosie hocha la tête et sortit sur le patio.Elle regarda la mer au loin sans vraiment la voir. Elle revivait dans sa mémoire chaque fois qu’elle avait passé ces foutus test de grossesse. Elle se revoyait euphorique avec Jeff quand les petites lignes roses apparaissaient. Puis, trois fois, le petit être dans son ventre s’Était décroché à peine quelques semaines plus tard, sans explication. À bout de force, Rosie avait demandé à Jeff d’arrêter d’essayer. Rosie ne se sentait pas prête à faire face à de nouvelles déceptions, elle n’en avait pas parler à Marshall non plus. S’il fallait qu’elle perde cet enfant, il ne lui pardonnerait jamais. Elle descendit l’escalier et s’assit tant bien que mal dans l’herbes verte et contempla longtemps le lointain. Marshall vint s’asseoir près d’elle mais ne dit rien.
-J’ai déjà perdu 3 bébés, dit-elle sans préavis. J’avais à peine quelques semaines de fait.
Marshall accusa le coup en silence pendant quelques minutes.
-Tu ne me l’a jamais dis, lui dit-il d’une voix peinée. Tu m’as seulement dit que tu avais de la difficulté à tomber enceinte.
Elle s’étendit sur le dos dans l’herbe et regardait les nuages.
-Tu ne m’avais pas parlé de Louise non plus… C’est la même chose, je n’aime pas en parler.
Marshall lui jeta un coup d’œil noir.
-Ce n’est pas pareil.
-De toute façon, on n’en avait même pas discuté sérieusement d’avoir des enfants…
-On en à parler plein de fois! Pourquoi tu ne m’as pas dis que tu avais fait des fausses couches, ce n’est pas si grave…
Rosie s’assit brusquement.
-Pas si grave? Tout dépend de qui le vit, je n’ai pas pu prendre mes enfants dans mes bras et leur dire adieu…
Les larmes brûlaient ses paupières, Marshall se releva à son tour et posa la main sur la sienne.
-Je suis désolé, je ne voyais pas ça comme ça… Il y a peut-être une solution, une explication?
Rosie soupira.
-Non pas d’explications. J’ai passé une batterie de test. Selon le médecin ce sont des choses qui arrivent régulièrement.
Du pouce, il caressa doucement ses jointures.
-Je connais d’excellents médecins, si tu veux, je pourrais leur parler. Il faudrait peut-être commencer par faire ce test…
Rosie soupira et murmura.
-Je ne suis pas prête à être maman maintenant. J’avais prévu faire tellement de choses avant d’avoir des enfants. Je voulais visiter tout l’Europe, l’Italie, l’Espagne et même l’Allemagne. Je voulais me retrouver un travail dans une banque…
Marshall prit sa main dans les siennes et embrassa doucement ses doigts.
-On pourra faire toutes ses choses ensembles ma chérie…
-S’il y a encore un ensemble!
Marshall passa le bras autour de sa taille et mit la main sur son ventre plat.
-S’il y a vraiment mon petit là-dedans, je me fiche bien de savoir ce qui a pu se passer avec ce gars.
-Moi je veux savoir. Je veux savoir ce qui s’est passer avec Adam.
Elle sortit son téléphone et composa un numéro. Marshall gronda et s’étendit sur la pelouse les mains derrière la tête. Elle mit le haut parleur.
-Allo? Rosie! Comment ça va ? Je voulais t’appeler mais ta ligne était coupée.
Rosie roula des yeux vers Marshall.
-Oui, j’ai eu des ennuis de téléphones… Ça va plutôt bien. Elle résuma rapidement ce qui s’était passé avec sa jambe. Adam je me demandais … l’autre soir… J’ai comme un gros blanc… Je pense que j’ai trop bu.
-T’était complètement torchée oui!
Marshall passa une main sur ses yeux.
-Oui je crois bien que oui. Tu peux me dire ce qu’on a fait chez moi? Je me souviens qu’on est arrivé à mon appart et c’est le néant total ensuite.
-On a manger un morceau, on a bu encore et puis tu t’es effondrée dans le sofa.
Rosie haussa les sourcils vers Marshall.
-Et tu es resté dormir chez moi?
Adam se mit à rire.
-Évidemment, j’avais beaucoup trop peur que tu te lève au milieu de la nuit et que tu te blesse ou que tu sois malade couchée sur le dos. Tu était tellement finie. J’ai dormi sur ton fauteuil épouvantable.
Rosie rougit, Marshall riait doucement.
-On n’a pas… tu sais…
-Non seigneur Non! On n’a rien fait de mal! Tu as passée la soirée à me dire à quel point tu aimais ton gros gorille de copain, je n’aurais jamais osé te toucher. S’il m’avait crut tu ne serais pas tombé… Je lui ai dit mais il m’a quand même foutu son poing sur la gueule.
-Quoi? Elle fit les gros yeux à Marshall qui détourna le regard en souriant.
-Oui quand tu es partie en ambulance, il m’a mit son poing dans la tronche. Je dois te laisser, ravi que tu aille bien à la prochaine.
-Merci Adam.
Elle raccrocha.
-Tu l’a frappé ?!
Marshall haussa les épaules.
-J’étais furieux et tu étais inconsciente, j’avais peur pour ta vie… J’ai fais la première chose qui m’est passé par la tête… Je suis désolé, dit-il s’en en penser un traitre mot. Son immense sourire trahissait sa fierté mâle.
-Alors tu me crois maintenant?
Marshall prit son visage dans ses mains et l’embrassa doucement.
-Oui, je te crois. Je t’aime ma chérie. Maintenant j’aimerais que tu passe ce test s’il te plaît.
Rosie soupira profondément.
-D’accord.
Il l’aida à se relever. Rosie avait le cœur qui battait la chamade en attendant le résultat mais au fond de son cœur, elle se doutait bien de la réponse. Marshall faisait les cents pas dans la cuisine en attendant qu’elle ressorte de la salle de bain. Elle avait perdue toute ses couleurs quand clopina dans de la cuisine.
-Alors ?! Lui dit-il en lui arrachant presque le test des mains. Deux petites barres foncées s’affichaient dans la fenêtre de résultats.
-C’est positif, non?
Marshall riait et exultait de bonheur. Il prit Rosie dans ses bras et la souleva de terre en l’embrassant partout dans le visage. La jeune femme ne réagissait même pas, elle avait les yeux pleins d’eau. Marshall la reposa délicatement.
-Rosie ma petite femme… Qu’est ce qui se passe? Tu n’es pas contente?
Elle hocha la tête en essuyant des yeux.
-Oui… mais j’ai tellement peur! Je ne veux pas perdre ce bébé là…
Elle fondit en larmes dans ses bras. Il la serra très fort contre lui.
-Ne t’inquiète pas ma Rosie, tout va bien aller. Je t’aime mon amour, je vais vous protéger tous les deux.
Quelques Mois Plus tard…………………
-S’il te plaît… On peut rentrer à la maison! Ça fait des heures qu’on fait des courses. J’ai super mal au pieds.
-Oui ma belle femme d’amour, juste une dernière boutique et on retourne à la maison, dit-il en la prenant par la main. Il la regarda comme toujours avec des paillettes pleins les yeux. Elle arrêta devant la boutique de robe de mariée et s’extasia encore une fois sur la magnifique robe celtique.
-Tu serais magnifique dans cette robe… Il entoura son ventre rond de ses mains. Qu’est ce que tu en pense bébé? Maman serait jolie là-dedans non?
Leur bébé donna un coup dans la main de son père. Rosie s’appuya sur lui.
-J’ai une dernière petite course à faire tu veux bien aller chercher les steaks à la boucherie, on se rejoint à la voiture?
-Oui.
Il relâcha son étreinte et partie dans la direction opposée. Elle était épuisée, la chaleur de l’été la fatiguait vraiment beaucoup, elle avait l’impression d’être une baleine échouée et il lui restait encore 12 semaines de grossesse. Heureusement la boucherie du village était climatisée.
-Bonjour Rosie, comment allez vous? Lui demanda le boucher.
-Bien, ça va bien, dit-elle avec un sourire fatigué. Elle choisit 2 steaks.
-Vous avec l’air fatiguée, ma petite reposez-vous avant que ce petit ange arrive.
-Oui je suis épuisée! Marshall a décidé de me faire faire le tour des boutiques je crois bien. Heureusement on a terminé!
La Volvo était stationnée à l’ombre et Rosie eut amplement le temps de faire la sieste avant le retour de Marshall. Elle fut réveillée en sursaut par un Marshall paniqué penché au dessus d’elle.
-Rosie, Rosie mon amour ! Tu vas bien? Marshall la secouait par l’épaule doucement. Elle papillonnait des yeux un instant.
-Oui ça va ! Je dormais ! Je suis épuisée Marsh’ c’est tout. Tout va bien. Marshall se calma doucement, ses deux grosses mains posées sur son ventre. Bébé va bien.
Il soupira et lui donna un baiser sur les lèvres et un sur son ventre. Depuis le début de sa grossesse il était plus que protecteur. Rosie le trouvait parfois ridicule avec ses inquiétudes excessives mais il avait ses raisons et Rosie le comprenait. Elle le trouvait souvent adorable à veiller sur elle à outrance.
-On retourne à la maison? Dit elle en baillant.
-Oui. Repose-toi moi mon amour, tu en a besoin.
Rosie se rendormit bercé par le ronronnement de la Volvo.
-Mon amour on est arrivé.
Rosie ouvrit lentement les yeux, Marshall souriait comme un gamin. Il entrait dans la cour de leur maison. La porte de l’entrée ouvrit et une envolée de ballon rose et bleu sortit de la maison.Tous les amis et la famille du jeune couple sortirent de la maison en criant :
-Surprise!
Rosie crut qu’elle allait défaillir de bonheur. Elle se mit à pleurer avant même qu’il n’arrête la voiture. Sa mère et son frère avait même fait le voyage depuis la canada. Ils l’attendaient dans le salon.
-Maman, Luke! Vous êtes ici? Elle pleura à chaude larmes dans les bras de sa mère.
-Ne pleure pas ma chérie.
Durant leur absence, ses belles sœurs avaient dressé de longues tables et un immense buffet les attendaient sur la pelouse. Une autre table chargée de cadeau de bébé était disposée non loin. La moitié du village devait être présente tellement il y avait des gens.
Rosie avait le tournis de voir tout ce monde. Elle se réfugia momentanément dans leur chambre et en profita pour se changer. On cogna à la porte.
-Mon amour? Tout va bien?
Marshall s’inquiétait comme toujours.
-Oui, je me change.
Marshall entra.
-Ho… tu es… tellement belle, dit-il en la découvrant en dessous de dentelle noire. Ses seins ronds avaient doublé de taille. Tous son corps s’était arrondi magnifié par la grossesse, au grand plaisir de Marshall.
-Merci, elle rougit sous le compliment.
-Est-ce que je peux mettre mon pénis entre ses deux seins fabuleux? Il s’approcha en se lécha les lèvres. Il l’embrassa dans le cou et enfouie son visage dans son décolleté.
-La maison est pleine de monde! Dit-elle en riant. Il grogna contre son cou et posa délicatement les mains sur son ventre ronds à la peau sensible.
-Tu as raison mais ce soir j’ai bien l’intention de profiter de tes charmes. Il lui donna un dernier baiser sur sa belle poitrine. Rosie ébouriffa ses boucles brunes.
-Bien sûr mon chéri.
Elle revêtit une jolie robe à fleur parfaite pour les journées chaudes. Une grosse tresse nouait son épaisse chevelure blonde. Tous le monde dans la maison s’accordèrent pour dire qu’elle était une magnifique femme enceinte. Les cadeaux furent déballés, la nourriture, appréciée. Juste au moment où Rosie allait couper le gâteau qui allait révéler le sexe du bébé encore inconnu, Marshall l’arrêta et lui dit :
-Attends. Il tremblait en repêchant une petite feuille pliée dans la poche de son jeans. J’ai quelque chose à dire.
Un murmure parcouru l’assemblé et tous le monde se turent. Marshall s’éclaircit la gorge noyée par l’émotion.
-Ma belle Rosie, j’ai eu dans ma vie beaucoup de douleur et de jours sombres comme tu le sais. Puis je t’ai rencontré et le soleil est revenu dans ma vie. Je croyais être mort mais tu m’as rendu la vie. Tu me rends tellement heureux… L’émotion le gagna et il s’essuya les yeux comme beaucoup de gens donc Rosie. Je sais que ça n’a pas toujours été facile pour nous mais je t’aime plus que tout.
Il mit la main dans sa poche et s’agenouilla devant elle. Rosie comprit tout à coup où il voulait en venir et mit les mains sur la bouche des larmes coulaient librement sur ses joues. Il lui présenta la plus belle et la plus parfaite bague en argent finement ciselé de petites feuilles et de petites fleurs avec de minuscules diamants tout le tour. C’était une bague magnifique et peut conventionnelle comme bague de fiançailles mais elle était parfaite pour Rosie.
-Veux-tu faire de moi l’homme le plus heureux du monde et devenir ma femme?
La jeune femme était totalement incapable de parler mais elle hocha frénétiquement la tête. Quand il passa la bague à son doigt, tout le monde applaudit. Il la prit dans ses bras en pleurant de joie. Après beaucoup de félicitation le moment de couper le gâteau revint.
-Je peux y aller maintenant? Dit-elle en riant.
-Oui vas-y.
Rosie coupa la première tranche de gâteau, l’intérieur était rose fuchsia.
-Une fille! Marshall caressa son ventre et lui donna un baiser. Une fille! Ma fille!
Après tellement de souffrance et de peine il allait enfin être le papa d’une petite fille. Les larmes ruisselaient sur ses joues sans retenues.
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sur-un-fil · 4 years ago
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A propos du trouble bipolaire ( phase dépressive) , par Nayialovecat
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 Trouble bipolaire, phase dépressive. Texte écrit par @nayialovecat​. ( Le lien vers l’image est LA, celui du texte ICI.)
Une personne dépressive n'est pas celle qui pleure, qui a l'air malheureuse, qui parle de vouloir se suicider... Les personnes dépressives sont souvent souriantes, calmes, et lorsqu'on leur demande ce qui se passe, elles peuvent être enthousiastes et vous convaincre que tout va bien. Il faut donc être très vigilant. Car bien qu'il y ait un sourire à l'extérieur, il peut y avoir un abîme sombre ouvert à l'intérieur qui engloutit lentement cette personne. C'est un peu comme d'autres maladies - le cancer par exemple... une fois que les symptômes sont visibles - il est souvent trop tard pour les traiter.
"Salut  tout le monde. J'aimerais vous donner quelques bons conseils au cas où vous auriez un jour affaire à une personne souffrant de trouble bipolaire et sur le point d'entrer dans une phase de dépression (la plus dangereuse, à mon avis). Mais n'oubliez pas que les conseils que je donne ici sont basés sur mon propre comportement (et celui de deux personnes de ma connaissance souffrant de conditions similaires ) :  tout le monde n'est pas comme moi. Je ne veux pas être un gourou, parce que quelqu'un d'autre qui est déprimé ou quelque chose comme ça pourrait se dire que j'écris n'importe quoi parce que ça ne fonctionne pas pour lui/elle. Néanmoins... Peut-être que quelqu'un en aura besoin, alors je l'écris.
1- Ce qui est répété partout - vous ne devez pas ignorer et minimiser la dépression, vous ne devez pas laisser cette personne seule avec ses pensées, car ce chemin mène tout droit vers  un abîme sombre.
2- Mais cela n'aidera pas si vous dites "Tu as une vie merveilleuse, tu es une personne merveilleuse, tu as une famille merveilleuse".  Je sais que c'est le cas. Et quoi ? Mon cerveau ne fonctionne pas logiquement en ce moment et parler comme ça ne fera que me faire penser "Ma famille est merveilleuse, je ne devrais pas les encombrer avec une merde humaine comme moi". N'essaiez pas la logique avec les personnes bipolaires en crise. La logique ne marche pas.
3- Le pire que vous puissiez dire est "Arrête d'être triste". Putain, vraiment ? Conseil du siècle ! "Tu dis que tu es déprimé ? Alors arrête." Non, vraiment, ça ne marche pas comme ça. Et les beaux slogans de motivation du style "Il suffit de vouloir" , vous pouvez vous les mettre où je pense.
4- Si la personne malade se voit prescrire des médicaments, assurez-vous qu'elle les prend. Je ne parle pas seulement des médicaments pour les troubles bipolaires, mais aussi autres. Par exemple, si elle est diabétique et qu'elle a un épisode dépressif, elle peut très facilement renoncer à l'insuline. Parfois, il s'agit d'un choix conscient ("je veux mourir"), mais parfois, c'est complètement indépendant, elle oublie simplement ou s'en moque. Vous devez les lui  rappeler, pas nécessairement de manière intrusive, mais en lui disant par exemple : "tu as pensé à prendre tous tes médicaments aujourd'hui ?".
5- C'est bien de la contacter de temps en temps, surtout si elle vit seule ou est souvent laissée seule. Il ne s'agit pas seulement d'empêcher le suicide, car toutes les personnes dépressives n'y pensent pas. Mais le fait est qu'elle ne doit pas être seule, qu'elle doit sentir que quelqu'un pense à elle et s'inquiète pour elle. Et même si elle a l'air heureuse au téléphone, ne vous y trompez pas - il s'agit généralement d'un masque et vous devez donc être prudent. Vous devez lui faire comprendre que vous vous souciez d'elle/de lui.
6- Parler du problème ne fonctionne que dans le cas de maladies physiques. Très rarement pour les maladies mentales (encore une fois : n'essayez pas la logique sur une personne souffrant de troubles bipolaires). Pendant les conversations, essayez de ne pas parler du problème, ne l'analysez pas, parlez plutôt d'autre chose.
7- Et un bon conseil qui fonctionne (du moins pour moi) est de garder la personne occupée. Il ne s'agit pas de la faire rire, essayer de la faire rire ne peut qu'aggraver la situation, mais de faire quelque chose de précis. Une activité où elle n'a pas le temps de (trop) penser. Vous pouvez la motiver et faire le ménage ensemble (la méthode de ma grand-mère, ça marche pour  moi). Lui proposer une nouvelle série addictive (la méthode de mon mari, ça marche pour moi). Ou simplement lui parler beaucoup et souvent de choses diverses , de jeux ou de livres (méthode de mes amis, ça marche pour moi). Bien sûr, chaque personne est différente, j'écris sur les choses qui fonctionnent pour moi à ce stade. J'espère que cela vous aidera un peu.”
Nayialovecat. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° ENGLISH VERSION, WRITTEN BY @nayialovecat​
(Drawing link / text link)
Remember, a depressed person is not the one who cries, looks unhappy, talks about wanting to suicide... Depressed people are often smiling, calm, and when asked what's up, they can be enthusiastic convince you that everything is fine. Therefore, you have to be very wary and vigilant. For although there is a smile on the outside, there may be an open dark abyss inside which slowly engulfs this person. It's a bit like other diseases - cancer for example... once symptoms are visible - it is often too late to treat it.
Hey, folks. I'd like to give you a handful of good advices in case you ever have to deal with someone who has bipolar affective disorder and is about to enter a (more dangerous, in my opinion) period of depression. But remember that the advices I am giving here are based on my own behavior (and also on two people with similar conditions that I know) - not everyone is like me. I don't want to be a guru, 'cause someone else who is depressed or something like this might say I'm writing nonsense here 'cause it doesn't work for her/him. Nevertheless... maybe someone will need it, so I write it.
1- What is repeated everywhere - you must not ignore and downplay depression, you must not leave such a person alone with her/his thoughts, 'cause this way goes along straight into the dark abyss.
2- But it won't help if you say "you have such a wonderful life, you are a wonderful person, you have a wonderful family". I know I have. And what? My brain is not working logically right now and talking like that will only make me think "my family is wonderful, I shouldn't burden them with human shit like me". Don't try logic on such people. Logic doesn't work.
3- The absolute worst you can say is "stop being sad". Fuck, really? Century council! "You say you're depressed? So stop it." No, really, it doesn't work that way. And beautiful motivational slogans in the style of "you only need to want" can be put up your ass.
4- If the sick person is prescribed any medications, make sure that he or she takes them. I'm not just talking about medications for bipolar disorder, I'm also talking about all the others. For example, if she/he is diabetic and has a depressive episode, she/he may very easily give up insulin. Sometimes it's a conscious choice ("I want to die"), but sometimes it's completely independent, she/he just forgets or doesn't care. You need to remind such a person, not necessarily intrusively, but like "did you remember about medicaments today?"
5- It is good to contact such a person from time to time, especially if she/he lives alone or is often left alone. It is not just about stopping suicide, 'cause not every depressed person actually thinks of suicide. But the point is that she/he shouldn't be alone, that she/he should feel that someone is thinking about her/him, worrying about her/him. And even if she/he sounds happy on the phone, don't be fooled - it's usually a mask so you should be careful. You have to make it clear that you care about her/him.
6- Talking about the problem works only in the case of physical diseases. Very rarely for mental illness (again: don't try logic on a person with bipolar disorder). During conversations, try not to discuss the problem, do not analyze it, rather talk about anything else.
7- Exactly, a good advice that works (at least for me) is to keep the person busy. It's not about making her/him laugh, trying to make her/him laugh can only make it worse. But to do something specific. Something where there is no time to think. You can motivate such a person to clean up together (my grandmother's method, works at me). A new addictive series can be proposed (my husband's method, works at me). You can just talk a lot and often about various things with this person, about games or books (my friends method, works at me). Of course every person is different, I'm writing about things that work for me at this point. I hope it helps you a little.
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° POLSKA WERSJA
Hej, ludzie. Chciałabym udzielić Wam kilku dobrych rad na wypadek, gdybyście mieli kiedykolwiek do czynienia z osobą, która ma chorobę afektywną dwubiegunową i wkrótce wejdzie w (bardziej niebezpieczny moim zdaniem) epizod depresyjny. Pamiętaj jednak, że rady, których tu udzielam, opierają się na moim własnym zachowaniu (a także na dwóch ludziach z podobnymi schorzeniami, których znam) - nie wszyscy są tacy jak ja. Nie chcę być guru, ponieważ ktoś inny, kto ma depresję lub coś takiego, może powiedzieć, że piszę tutaj bzdury, ponieważ to nie działa dla niej/niego. Niemniej... może ktoś będzie tego potrzebował, więc piszę.
1- To, co się wszędzie powtarza - nie wolno ignorować i bagatelizować depresji, nie wolno zostawiać takiej osoby samej z jej myślami, bo ta droga prowadzi prosto w ciemną otchłań.
2- Ale nic nie pomoże, jeśli powiesz „masz takie wspaniałe życie, jesteś wspaniałą osobą, masz wspaniałą rodzinę”. Wiem, że tak. I co? Mój mózg nie działa teraz logicznie i mówienie w ten sposób sprawi, że pomyślę tylko: „moja rodzina jest wspaniała, nie powinienem obciążać ich takim ludzkim gównem jak ja”. Nie próbuj logiki na takich ludziach. Logika nie działa.
3- Absolutnie najgorsze, co możesz powiedzieć, to „przestań być smutny”. Kurwa, naprawdę? Rada stulecia! "Mówisz, że masz depresję? Więc przestań ją mieć." Nie, naprawdę, to nie działa w ten sposób. A piękne hasła motywacyjne w stylu „trzeba tylko chcieć” można włożyć sobie w dupę.
4- Jeśli choremu przepisano jakieś leki, upewnij się, że je przyjmuje. Nie mówię tylko o lekach na chorobę afektywną dwubiegunową, mówię też o wszystkich innych. Na przykład, jeśli ma cukrzycę i ma epizod depresyjny, może bardzo łatwo zrezygnować z insuliny. Czasami jest to świadomy wybór („Chcę umrzeć”), ale czasami jest całkowicie niezależny, po prostu zapomina lub nie przejmuje się tym. Trzeba takiej osobie przypominać, niekoniecznie nachalnie, ale w stylu „czy pamiętałeś dzisiaj o lekach?”.
5- Dobrze jest od czasu do czasu kontaktować się z taką osobą, zwłaszcza jeśli mieszka sama lub często zostaje sama. Nie chodzi tylko o powstrzymanie samobójstwa, ponieważ nie każda osoba w depresji myśli o samobójstwie. Ale chodzi o to, żeby nie była sama, żeby czuła, że ​​ktoś o niej myśli, martwi się o nią. I nawet jeśli w telefonie brzmi wesoło, nie daj się zwieść - zwykle jest to maska, więc należy zachować ostrożność. Musisz jasno powiedzieć, że ci na niej/nim zależy.
6- Mówienie o problemie działa tylko w przypadku chorób fizycznych. Bardzo rzadko w przypadku choroby psychicznej (ponownie: nie próbuj logiki na osobę z chorobą afektywną dwubiegunową). Podczas rozmów staraj się nie rozmawiać o problemie, nie analizuj go, raczej mów o czymkolwiek innym.
7- Dokładnie, dobrą radą, która działa (przynajmniej dla mnie) jest zajęcie takiej osoby. Nie chodzi o to, żeby ją/jego rozśmieszyć, próba rozśmieszania może tylko pogorszyć sytuację. Ale zrobić coś konkretnego. Coś, nad czym nie ma czasu na myślenie. Taką osobę można zmotywować do wspólnego sprzątania (metoda mojej babci, na mnie działa). Można zaproponować nowy uzależniający serial (metoda mojego męża, na mnie działa). Możesz po prostu dużo i często rozmawiać z tą osobą na różne tematy, o grach lub książkach (metoda moich przyjaciół, na mnie działa). Oczywiście każda osoba jest inna, piszę o rzeczach, które w tym momencie działają dla mnie.
Mam nadzieję, że to trochę Wam pomoże.
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