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LÉGENDES DU JAZZ
GIL EVANS, L’ARRANGEUR DE GÉNIE
"Gil was not a composer in the usual sense of the word. He was not a piano player in the usual sense, either. In fact, Gil was not your usual kind of man. He was a poet all the way from morning till night."
- Lee Konitz
Né le 13 mai 1912 à Toronto, en Ontario, Ian Ernest Gilmore Evans était le fils de Margaret Julia McConnachy. Evans n’avait jamais connu son père. On sait très peu de choses au sujet du père biologique d’Evans, mais il serait décédé peu avant sa naissance. D’origine irlando-écossaise, Evans avait déclaré plus tard que son père biologique était un joueur pathologique et que le couple s’était épousé en Australie avant de s’installer au New Jersey puis de s’établir au Canada sur une base permanente. Initialement baptisé sous le nom Gilmore Ian Ernest Green, Evans avait pris le nom de son beau-père John Evans, un mineur qui était le cinquième époux de sa mère. Très impliquée socialement, la mère d’Evans, qui était infirmière, fabriquait également des repas pour les enfants des mineurs.
La famille d’Evans est déménagée à de nombreuses reprises, et avait vécu successivement en Saskatchewan, en Colombie-Britannique, dans l’État de Washington, en Idaho, au Montana et en Oregon, en somme partout où le père d’Evans pouvait trouver du travail. Vers 1922, la famille Evans s’était finalement installée en Californie, d’abord à Berkeley, où Evans avait complété ses neuvième et dixième années, puis à Stockton, où il avait frequenté le Stockton High School et décroché son diplôme en 1930.
À la même époque, le père d’Evans avait décroché un emploi à la Western Pacific Railroad. À l’époque, Evans avait commencé à voler de ses propres ailes avait partagé un logement avec des amis dans une maison de son quartier. Après avoir obtenu son diplôme, Evans avait fréquenté le College of the Pacific à Stockton, mais il n’avait pas tardé à être transféré au Modesto Junior College. Après avoir passé un an à Modesto, Evans était finalement retourné à Stockton.
De formation essentiellement autodidacte, Evans avait commencé à s’intéresser à la musique dès son plus jeune âge en écoutant Duke Ellington, Louis Armstrong et Fletcher Henderson à la radio et sur disque. Evans vivait à San Francisco en 1927 lorsqu’il avait assisté à un concert du Duke Ellington Orchestra au Orpheum Theatre. La même année, Evans avait acheté son premier disque de jazz, "No One Else But You" de Louis Armstrong et Earl Hines. Il expliquait: "I will never get over it! I wasn't even into music then. I was just buying records and going to high school."
Après avoir appris le piano, Evans avait commencé à écrire des arrangements ‘’sur le tas’’ en transcrivant les enregistrements de grands noms du jazz comme Red Nichols, Duke Ellington,et Don Redman.
Il avait également décroché des contrats avec des musiciens locaux dans des hôtels.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Durant son séjour au collège en 1933, Evans avait co-fondé avec Ned Briggs un premier groupe, une formation de dix musiciens conçue d’après le modèle du Casa Loma Orchestra. La formation, qui interprétait les arrangements de Don Redman, Fletcher Henderson et Duke Ellington, était devenue le groupe-maison du Rendezvous Ballroom de Balboa Beach, en Californie, de 1935 à 1938. La même année, le groupe avait même partagé la scène avec l’orchestre de Benny Goodman au Palomar Ballroom.
Lorsque le chanteur Skinny Ennis avait pris la direction du groupe en 1937, Evans s’était établi à Hollywood. Le groupe se produisait d’ailleurs régulièrement sur l’émission de radio de Bob Hope. C’est d’ailleurs à cette époque qu’Evans avait pris conscience de ses capacités d’arrangeur. Il précisait: "By about 1941 I began to realize that I wasn't really technically equipped to handle that kind of work. It took too much to do it. Besides the producer of the show was always calling me the poor man's Stravinksy... because he could never figure out what key we were playing in."
Les arrangements d’Evans à l’époque étaient très influencés par la musique classique européenne contemporaine, et comprenaient des instruments traditionnellement peu associés au jazz comme le cor français, la flûte et le tuba. Lorsqu’en 1939, Claude Thornhill avait été engagé pour participer à l’émission de Hope, il était devenu une des influences majeures d’Evans.
Evans était demeuré citoyen canadien jusqu’à ce qu’il fasse son service militaire dans l’armée américaine de 1942 à 1946. Après 1946, Evans avait travaillé principalement à New York, et avait vécu pendant plusieurs années dans la Westbeth Artists Community.
De 1941 à 1948, Evans avait travaillé comme arrangeur pour le Claude Thornhill Orchestra. Thornhill, qui avait mis son groupe sur pied en 1939, avait finalement décidé de retourner à New York en 1941. Le 20 mars de la même année, le groupe avait entrepris une période de résidence de trois mois au Glen Island Casino. L’entrée en guerre des États-Unis en décembre 1941 avait cependant sonné le glas de l’orchestre de Thornhill qui n’avait pas tardé à être démantelée.
Décrivant sa collaboration avec Thornhill, Evans avait commenté: "It was a conservatory band in a way. The pitch was perfect, the blend was just built in. At the time I needed a workshop to hone my craft. I had never written for French horns, for example, Thornhill had two, and later three, flutes in addition to the saxophones we already had." Dans une autre entrevue, Evans avait ajouté:
"There was a French horn lead, one and sometimes two French horns playing in unison or a duet depending on the character of the melody. The clarinets doubled the melody, also playing lead. Below were two altos, a tenor, and a baritone, or two altos and two tenors. The bottom was normally a double on the melody by the baritone or tenor. The reed section sometimes went very low with the saxes being forced to play in subtone and very soft."
La première collaboration d’Evans avec Thornhill était un arrangement de Pictures At an Exhibition and Arab Dance du compositeur russe Modeste Moussorgsky. L’historien du jazz Gunther Schuller avait même écrit dans son ouvrage The Swing Era (publié en 1991) que les arrangements qu’Evans avait écrit pour Thornhill "represent some of the more glorious moments in jazz history."
Evans avait quitté l’orchestre de Thornhill à l’été 1948 car il se sentait à l’étroit avec le groupe et désirait pousser son exploration plus loin. Evans expliquait: "He leaned on me, and he didn't want to. I let him because I wanted the experience. He liked modern jazz, but it wasn't what he wanted to play." Evans, qui adorait le bebop, avait même écrit des arrangements des classiques "Anthropology" et "Donna Lee’’ de Charlie Parker. L’arrangement d’Evans de "Donna Lee’’ avait éventuellement été enregistré par l’orchestre de Thornhill, qui comprenait à l’époque de grands noms du jazz comme le trompettiste Red Rodney, le clarinettiste Danny Polo et le saxophonist Lee Konitz. Interrogé dans le cadre de l’ouvrage Jazz Masters of the Forties d’Ira Gitler, Konitz avait commenté: "It was a beautiful band. Gil Evans wrote the better arrangements in the book, and it was a good group of musicians. Gil tried to teach them ... how to play bebop. He was bringing in Bird's lines and teaching these cats--and a lot of them were older--how to inflect the lines."
Les arrangements d’Evans avaient toujours représenté un grand défi pour les musiciens. Le contrebassiste Bill Crow avait même déclaré que Thornhill se servait des arrangements d’Evans lorsqu’il désirait ‘’punir’’ ses musiciens. À l’époque, le modeste d’appartement d’Evans situé derrière une buanderie chinoise de la 55e rue à New York était devenu un lieu de rendez-vous pour les musiciens désireux d’expérimenter de nouveaux styles musicaux hors de l’influence prédominante du bebop. Parmi ces musiciens, on retrouvait Charlie Parker, John Lewis, Gerry Mulligan et John Carisi. Evans avait rencontré Miles Davis pour la première fois à l’été 1947 et un respect mutuel s’était aussitôt développé entre les deux hommes. Comme Davis l’avait déclaré dans son autobiographie publiée en 1989: "During this time I was going over to Gil Evans's a lot, listening to what he was saying about the music. Gil and I hit it off right away. I could relate to his musical ideas and he could relate to mine. With Gil, the question of race never entered; it was always about music."
En septembre 1948, le nonet de Davis avait entrepris un contrat de deux semaines au club Royal Roost. Le groupe était composé des saxophonistes Lee Konitz et Gerry Mulligan, du tromboniste Michael Zwerin, du joueur de cor français Junior Collins, du tubiste Bill Barber, du contrebassiste Al McKibbon, du batteur Max Roach et du chanteur Kenny Hapgood. Même si le groupe s’était attiré des commentaires mitigés des amateurs et des critiques, il avait suscité l’intérêt du producteur Pete Rugolo des disques Capitol qui lui avait proposé d’enregistrer. La seconde session comprenait la pièce "Boplicity’’, une composition conjointe d’Evans et de Davis, ainsi que des arrangements des pièces "Moon Dreams" et "Darn That Dream." Publiées d’abord sous forme de 78-tours, les enregistrements avaient éventuellement été réédités sous le titre de Birth of the Cool. L’album avait joué un rôle déterminant dans le développement de ce qu’on avait plus tard appelé le Cool jazz. Comme Pete Welding l’écrivait dans les notes de pochette de l’album: "Let's reaffirm something here: catchy as the album title notwithstanding, the music of the Miles Davis Nonet was, is anything but cool... Among these twelve performances is to be found some of the most arresting, resourceful, richly textured and abidingly creative small-ensemble writing in all of jazz history."
En 1948, Evans, en compagnie de Davis, de Mulligan et de plusieurs autres, avait collaboré dans le cadre d’un nonet. Ce genre de groupe de taille moyenne était un compromis entre les petites formations comme les trios et les quintets et les grands ensembles comme les big bands qui étaient devenus beaucoup moins rentables avec le déclin du swing à la fin des années 1940. Ce type de formation permettait également aux arrangeurs de travailler avec des instruments plus diversifiés comme le cor français et le tuba. La formule n’était cependant pas tout à fait nouvelle puisque Thornhill avait employé le joueur de cor français John Graas en 1942. Le compositeur et arrangeur Bob Graettinger avait ausssi écrit des arrangements pour cor et pour tuba pour l’orchestre de Stan Kenton. Dirigé par Miles Davis, le nonet avait décroché un contrat d’une semaine au Royal Roost pour faire les frais de l’intermission durant les concerts de Count Basie. Les disques Capitol avaient enregistré douze pièces du groupe dans le cadre de trois sessions d’enregistrement tenues en 1949 et 1950.
Durant la majeure partie des années 1950, Evans avait travaillé pour la radio et la télévision, ce qui lui avait permis de composer et d’écrire des arrangements pour des chanteurs et chanteuses comme Tony Bennett, Peggy Lee, Johnny Mathis et Helen Merrill. Au cours de la même décennie, Evans avait également accompagné le saxophoniste Gerry Mulligan et le batteur Nick Stabulas dans le cadre d’une performance au club Basin Street de Greenwich Village. En mai 1957, près de neuf ans après leur première collaboration, Evans et Davis avaient été de nouveau réunis dans le cadre de l’enregistrement de l’album Miles Ahead. Comme l’écrivait Paul Chambers dans les notes de pochette de l’album Milestones I, "The new project was far removed from the youthful experiments conceived in the grimy 55th Street basement. It involved a nineteen-piece orchestra, and it was backed by the corporate weight of Columbia Records." L’album comprenait une version de la pièce "Maids Of Cadiz" du compositeur français Leo Delibe ainsi qu’une composition d’Evans intitulée "Blues For Pablo."
Davis était sous contrat avec les disques Columbia lorsque le producteur George Avakian lui avait suggéré de travaillé avec des arrangeurs. Davis avait immédiatement sélectionné Evans. Davis avait enregistré trois albums avec Evans: Miles Ahead (1957), Porgy and Bess (1958) et Sketches of Spain (1960). Une autre collaboration de cette période avait été publiée sur l’album Quiet Nights (1962), et ce, malgré l’opposition de Davis, ce qui avait provoqué une rupture temporaire avec son producteur Teo Macero. Bien que les quatre albums aient été mis en marché sous le nom de ‘’Miles Davis with Orchestra Under the Direction of Gil Evans’’, la contribution de ce dernier était tout aussi importante que celle de Davis. Evans avait également joué un rôle plus effacé dans les albums en quintet de Davis dans les années 1960. Davis, qui avait adoré travaillé avec Evans, avait déclaré dans son autobiographie: "As usual, I loved working with Gil because he was so meticulous and creative, and I trusted his musical arrangements completely."
L’enregistrement de l’album Porgy and Bess avait été particulièrement légendaire, en ce sens que le temps très limité accordé aux répétitions avait permis de mettre en valeur les capacités de lecture, d’improvisation et d’adaptation des musiciens. L’album est aujourd’hui considéré comme une des meilleures interprétations de la musique de Gershwin peu importe le style musical, en grande partie parce qu’Evans et Davis étaient tous deux déterminés à sortir du moule de la musique ‘’mainstream’’ et des tentatives des compagnies de disques visant à confiner les musiciens de jazz dans un style de musique plus commerciale.
Après avoir entendu l’adagio du "Concierto de Aranjuez for Guitar and Orchestra’’ de Joaquin Rodrigo, Davis avait de nouveau contacté Evans pour enregistrer la pièce. L’enregistrement, qui avait eu lieu entre novembre 1959 et mars 1960, avait éventuellement donné l’idée à Davis d’enregistrer un album complet de thèmes d’inspiration espagnole, ce qui avait donné lieu à la publication de l’album Sketches of Spain. Afin de se préparer aux enregistrements, Chambers avait écrit dans les notes de pochette de l’album Milestones 2, que toujours aussi perfectionniste, "Evans spent the interval listening to recordings of Spanish folk music and logged several hours in the library reading books on flamenco music." S’inspirant d’un thème contenu dans le ballet El amor brujo (1915) du compositeur espagnol Maneul de Falla, Evans avait composé la pièce "Will O' the Wisp." Evans s’était également servi de chansons traditionnelles d’Andalousie pour confectionner les arrangements des pièces "Pan Piper", "Saeta" et "Sola." En 1968, Evans avait aussi travaillé comme arrangeur sur l’album Filles de Kilimanjaro de Miles Davis.
C’est principalement grâce à Evans que Davis avait commencé à s’intéresser à une musique non traditionnellement associée au jazz, et plus particulièrement à la musique orchestrale. Malheureusement, les arrangements d’Evans pour l’album Porgy and Bess n’avaient pas été conservés intégralement (plusieurs étaient incomplets ou avaient tout simplement été perdus). En 1991, Quincy Jones et Gil Goldstein avaient tenté de reconstituer les arrangements d’Evans dans le cadre des derniers concerts de Davis au Festival de jazz de Montreux. Davis avait toujours refusé de revisiter son ancien matériel, mais à l’époque il se rétablissait d’une pneumonie, et il n’en avait plus pour longtemps. L’album avait été publié sous le titre Miles & Quincy Live at Montreux. Davis étant très souffrant, c’est son protégé Wallace Roney qui avait interprété les passages les plus difficiles. Davis est décédé en septembre 1991 avant la publication de l’album.
À partir de 1957, Evans avait également enregistré des albums sous son propre nom. Le premier album d’Evans comme leader était intitulé Gil Evans and Ten et mettait en vedette trois ex-membres de l’orchestre de Thornhill, le tubiste Bill Barber et les trompettistes Louis Mucci et Jake Koven , ainsi que des grands noms du jazz comme le contrebassiste Paul Chambers, le saxophoniste alto Lee Konitz et le batteur Nick Stabulas. Mucci avait d’ailleurs participé à la plupart des enregistrements d’Evans réalisés avant les années 1980. Parmi les solistes invités sur les autres albums d’Evans comme leader, on remarquait le tromboniste Jimmy Cleveland, les saxophonistes Steve Lacy, Wayne Shorter, Eric Dolphy et Cannonball Adderley et le trompettiste Johnny Coles.
En novembre et décembre 1960, Evans avait enregistré un autre album comme leader intitulé Out of the Cool, qui comprenait sa composition "La Nevada". Continuant de collaborer avec Evans en 1961, Davis avait enregistré avec le Gil Evans Orchestra at Carnegie Hall. L’année suivante, Davis et Evans avaient entregistré avec le chanteur de jazz Bob Dorough. Le duo avait également participé en 1964 à une session de bossa nova qui avait donné lieu à la publication de l’album Quiet Nights. Durant le séjour d’Evans à Los Angeles en 1963, Evans et Davis avaient aussi composé la bande sonore de la pièce de théâtre Time of the Barracuda. Même si la trame sonore avait éventuellement été abandonnée, Evans l’avait réutilisée plus tard dans le cadre de l’enregistrement de la pièce "Barracuda" qui avait été incluse sur l’album Gil Evans Orchestra, Kenny Burrell & Phil Woods.
En 1965, Evans avait aussi écrit des arrangements pour le big band du guitariste Kenny Burrell dans le cadre de l’album Guitar Forms. Commentant sa collaboration avec Evans dans les notes de pochette de l’album Kenny Burrell, Jazz Masters 45, Burrell écrivait: "I had a great time with Gil Evans on Guitar Forms. I selected the tunes... the only input I had with the arrangements was our discussion of some of the harmonies--not necessarily how we would voice them but just what changes we would use at certain points. I made suggestions; he was always open to suggestions. He was incredible as an orchestrator and a harmonizer."
En plus des compositeurs classiques européens, Evans avait été influencé par les compositeurs espagnols Manuel de Falla et Joaquín Rodrigo, ainsi que par Kurt Weill et les compositeurs de musique latine et brésilienne. Les arrangements d’Evans étaient reconnus pour leur caractère original et inattendu et ajoutaient souvent des aspects imprévisibles à des pièces parfois destinées à d’autres fins, comme dans "Barbara Song" de Weill par exemple.
Evans était également reconnu pour s’entourer de jeunes musiciens particulièrement novateurs. Par exemple, la formation qui avait participé à l’album The Individualism of Gil Evans (1964) comprenait non seulement ses collaborateurs réguliers Bill Barber, James Buffington, Milt Hinton et Julius Watkins, mais également des jeunes contrebassistes prometteurs comme Richard Davis, Paul Chambers, Ron Carter et Ben Tucker. Tout en continuant d’utiliser le cor français et le tuba, Evans avait ajouté des instruments beaucoup moins associés au jazz comme les flûtes alto et basse, les instruments à doubles anches et la harpe. En plus de la composition d’Evans "Las Vegas Tango," l’album comprenait également un arrangement orchestral de la pièce "Spoonful" spécialement écrit pour le bluesman Willie Dixon, ce qui démontre qu’il continuait toujours d’explorer de nouveaux territoires sonores.
En 1966, Evans avait enregistré un album avec la chanteuse brésilienne Astrud Gilberto, Look to the Rainbow. Découragé par la direction trop ouvertement commerciale que les disques Verve avaient donné à l’enregistrement de l’album, Evans avait décidé de se retirer du monde de la musique durant un certain temps.
Après avoir constaté qu’Evans était de plus en plus déprimé par les aspects commerciaux et logistiques de ses enregistrements antérieurs, son épouse Anita avait formulé une suggestion étonnante: elle lui avait proposé d’écouter Jimi Hendrix. Très influencé par Hendrix, Evans avait graduellement mis en place un nouvel orchestre dans les années 1970 qui ne comprenait aucun élément de ses arrangements antérieurs. Evans, qui admirait énormément Hendrix, l’avait d’ailleurs qualifié dans une entrevue de really good guitar player... innovative... [and] a bright spirit."
En composant pour des groupes de free jazz et de jazz-fusion, Evans s’était également gagné une génération de nouveaux admirateurs. Les nouveaux groupes, qui comptaient rarement plus de quinze de musiciens, avaient permis à Evans de faire une utilisation plus large des claviers, plus particulièrement avec le développement des synthétiseurs portatifs, qui lui avaient permis d’ajouter de nouvelles couleurs à sa musique. La mort prématurée d’Hendrix à l’automne 1970 avait éventuellement mis un terme à ses projets d’enregistrer avec un big band dirigé par Evans. En 1974, Evans avait rendu hommage à Hendrix en enregistrant à Carnegie Hall The Gil Evans’ Orchestra Plays the Music of Jimi Hendrix, un album de compositions du guitariste qui mettait en vedette les guitaristes John Abercrombie et Ryo Kawasaki. La même année, Evans avait également rendu hommage à Hendrix dans le cadre de l’album There Comes a Time: The Music of Jimi Hendrix. L’album avait été réédité en 1988.
Continuant d’encourager les jeunes talents, Evans avait collaboré par la suite avec le prodige de la basse électrique Jaco Pastorius dans le cadre de l’album Gil Evans & Jaco Pastorius – Live Under The Sky Tokyo '84.
Contrairement à ses arrangements complexes pour grands ensembles qui exigeaient des orchestrations précises pour accompagner les solistes, les arrangements ultérieurs d’Evans nécessitaient davantage de cohésion orchestrale, comme dans la pièce "Little Wing’’ d’Hendrix où les membres de l’orchestre avaient ajouté leurs propres touches d’improvisation. Si avant les années 1970, l’utilisation des claviers était beaucoup plus effacée dans la musique d’Evans, après cette date, ils avaient pris un rôle plus actif dans la section rythmique.
En 1971, Evans avait enregistré un autre album comme leader intitulé Ampex. Quant à l’album Blues in Orbit, il documentait le travail d’Evans de 1969 à 1971. Même si l’album Ampex avait surtout été enregistré au piano électrique et acoustique, Evans avait commencé à incorporer le synthétiseur dans le cadre de ses performances sur scène.
À partir de l’album Where Flamingos Fly (enregistré en 1971, mais publié en 1981), Evans avait commencé à avoir recours à des musiciens de plus en plus accomplis comme le trompettiste Johnny Coles, le violoniste Harry Lookofsky, le contrebassiste Richard Davis et le tromboniste Jimmy Knepper (qui avait joué en solo sur la pièce "Where Flamingos Fly" tirée de l’album de 1961 Out of the Cool), le multi-instrumentiste Howard Johnson, le claviériste Don Preston (qui était membre à l’époque du groupe The Mothers of Invention) et le batteur Billy Harper.
Après avoir enregistré l’album Svengali en 1973, Evans avait poursuivi ses explorations de la musique électronique dans le cadre de l’album Priestess, qui mettait en vedette un orchestre de quatorze musiciens qui comprenait deux tubas et un synthétiseur. En 1980, Evans s’était produit en duo avec le saxophoniste alto Lee Konitz dans le cadre de l’album Green Street, Lee Konitz and Gil Evans: Anti Heroes. Commentant sa collaboration avec Evans, Konitz avait écrit dans les notes de pochette de l’album: "Gil was not a composer in the usual sense of the word. He was not a piano player in the usual sense, either. In fact, Gil was not your usual kind of man. He was a poet all the way from morning till night."
DERNIÈRES ANNÉES
En 1983, Evans avait de nouveau collaboré avec Davis et avait écrit plusieurs arrangements pour l’album Star People avant de participer à une tournée au Japon avec le groupe.
En avril de la même année, Evans s’était produit avec son orchestre au Sweet Basil Jazz Club de Greenwich Village à la demande du producteur et propriétaire du club Horst Liepolt. Le concert avait connu un tel succès que le groupe s’était produit tous les lundis soirs au club durant une période de cinq ans. Cette collaboration avait également donné lieu à la publication de nombreux albums mettant en vedette Evans et le Monday Night Orchestra. Le groupe d’Evans comprenait certains des meilleurs musiciens de New York, dont plusieurs faisaient partie du groupe de l’émission Saturday Night Live diffusée sur le réseau NBC. En plus des arrangements d’Evans, le groupe interprétait également des arrangements des membres du groupe. Parmi les musiciens ayant évolué avec le groupe, on remarquait les trompettistes Lew Soloff, Alan Rubin, Marvin Peterson, le multi-instrumentiste Tom "Bones" Malone, les saxophonistes George Adams, David Sanborn et Bill Evans (sans lien de parenté), le guitariste Hiram Bullock, le bassiste Mark Egan, le pianiste et accordéoniste Gil Goldstein et le batteur Kenwood Dennard.
En 1986, Evans avait enregistré avec le saxophoniste soprano Steve Lacy tout en continuant de composer et d’écrire des arrangements pour son propre groupe.
En 1987, Evans avait enregistré un album live avec le chanteur rock Sting intitulé Sting: Last Session - Live At Perugia Jazz Festival July 11, 1987. Enregistré avec le Monday Night Orchestra, l’album mettait également à contribution le saxophoniste Branford Marsalis comme artiste invité et comprenait des arrangements de chansons du groupe The Police et de Jimi Hendrix. Evans avait d’ailleurs déjà collaboré avec Sting dans le adre de l’album Nothing Like the Sun publié la même année.
Dans la perspective d’introduire de nouveaux talents dans le cadre de son groupe, Evans avait collaboré avec l’actrice Maria Schneider et l’avait engagé comme assistante-arrangeuse. Le dernier projet d’Evans avant sa mort était une collaboration avec le Laurent Cugny Big Band à Paris, dans le cadre de l’album Golden Hair (novembre 1987).
Également compositeur de musiques de films, Evans avait produit et arrangé en 1986 la bande sonore du film Absolute Beginners de Julian Temple. Basé sur le livre de Colin MacInnes, le projet avait permis à Evans de travailler avec des artistes comme Sade Adu, le groupe Eighth Wonder de Patsy Kensit, Style Council, Jerry Dammers, Smiley Culture, Edward Tudor-Pole et David Bowie.La même année, Evans avait aussi arrangé la musique du film The Color of Money de Martin Scorsese. Il avait également collaboré au film Insignificance de Nicholas Roeg, dans lequel il avait interprété avec son orchestre un extrait de la Symphonie Jupiter de Mozart.
Gil Evans est mort d’une péritonite à Cuernavaca, au Mexique, le 20 mars 1988. Au moment de son décès, Evans tentait de se rétablir d’une intervention chirurgicale à la prostate. Il était âgé de soixante-quinze ans.
Evans s’est marié à deux reprises. Il s’était d’abord marié à Lillian Grace peu après l’enregistrement de l’album Birth of the Cool en 1949. En 1963, Evans s’était remarié avec Anita Cooper de qui il avait eu deux garçons, Noah et Miles. Devenu trompettiste, Miles avait joué avec son père dans le Monday Night Orchestra.
Evans a remporté de nombreux honneurs au cours de sa carrière. Intronisé en 1986 au sein du Down Beat Hall of Fame, il a également été admis au sein du Canadian Music Hall of Fame en 1997. Evans a été élu Jazz Master par la National Endowment for the Arts en 1985. Il a aussi été intronisé au sein du American Jazz Hall of Fame. Evans a également été élu meilleur arrangeur dans le cadre des sondages des lecteurs et des critiques du magazine Down Beat en 1966 et 1974. Reconnu comme un des fondateurs du John F. Kennedy Center For Performing Arts, Evans avait également obtenu une bourse de la fondation Guggenheim en 1968.
Evans a remporté trois prix Grammy, de son vivant pour sa collaboration à l’album Sketches of Spain (1960) de Miles Davis dans la catégorie de la meilleure composition de jazz d’une durée de plus de cinq minutes, et à titre posthume pour la compilation Miles Davis & Gil Evans: The Complete Columbia Studio Recordings (1997) et pour le coffret "How About You" in Centennial - Newly Discovered Works of Gil Evans. Evans a également été mis en nomination pour plusieurs autres prix Grammy, y compris pour les albums Out of the Cool (1961), Miles Davis at Carnegie Hall (1962), The Individualism of Gil Evans (1964), Quiet Nights (avec Miles Davis en 1964), Guitar Forms (avec Kenny Burrell en 1965), Svengali (1973), Priestess (1983) et "Look to the Rainbow" in Centennial - Newly Discovered Works of Gil Evans (2012).
En 1996, les disques Columbia ont publié à titre posthume un coffret comprenant les classiques, les prises non publiées et les raretés de la collaboration d’Evans avec Miles Davis. En 2012, le producteur et arrangeur Ryan Truesdell avait rendu hommage à Evans dans le cadre d’un CD intitulé Centennial, qui mettait en vedette des compositions et des arrangements non encore enregistrés du compositeur. Le CD avait été publié avec la permission de la succession d’Evans, ce qui avait permis à Truesdell d’avoir accès à ses arrangements et compositions. Le fils d’Evans, Miles, avait également rendu hommage à son père dans le cadre d’un concert au New York's Highline Ballroom. Le concert mettait en vedette plusieurs des anciens membres du groupe d’Evans.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique.
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Parfois, les itinérants me checkent.
A la douane états-unienne, la dame m'a demandé si j'avais pris des médicaments. Elle a dit que j'avais l'air bien.
Elle m'a emmené dans une salle isolée. J'ai attendu. Puis un homme m'a appelé. Il avait l'air agacé. Il m'a demandé si j'avais pris des médicaments. Si j'en transportais. Il a ajouté que, si je mentais, je risquerais la double peine.
Je lui ai répondu que j'étais un peu stressé. C'était la première fois que je me retrouvais dans cette situation. Il affirma que non. J'affirmai que si. J'ai ajouté que c'était la première fois que je voyageais seul sur des terres étrangères. Ça a commencé à cliquer dans ce petit crâne agité tel un métronome.
Son collègue a vérifié la mobilité de mes yeux avec une petite lampe torche. Gauche droite, droite gauche. J'avais les pupilles dilatées selon la douane états-unienne. Fuck, c'était le même problème en Australie. À chaque fois les videurs hésitaient à me faire entrer parce qu'ils pensaient que j'étais fracassé...
Finalement, l'agilité de mes yeux et l'irréprochabilité de mes affaires ont convaincu l'homme de me laisser aller. J'ai quand-même dû répondre à des questions. Why are you going to my country. Ou are you sure you quit or did you get fired en parlant de mon travail à l'auberge.
Était-ce seulement dû au chapeau lila et au tee-shirt trop large ? Il est vrai que, lorsque l'incertitude me gagne, mon âme a tendance à s'éloigner et mon visage à s'effacer...
Finalement, l'homme s'est même allégé quand je lui ai dit que j'allais travailler dans une ferme à chèvres le mois prochain. Il a grandi dans une ferme quelque-part dans les Caraïbes
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Australie
Excerpts from the article in the Sydney Telegraph, Saturday 6th June, 1997, pp 38-39. It contained an interesting interview with John Pope, Jeff's Australian tour manager, and Donny Ienner, Head of Columbia Records. (thanks to Christine Warren)
THE LAST GOODBYE Music writer Dino Scatena examines an ironic finale.
The tragic details of Jeff Buckley's final few moments read like an overly dramatic draft for one of the artist's video clips. The imagery could have served as a perfect visual counterpart to his most famous song, Last Goodbye. A carefree Buckley, laughing and singing as he walks fully clothed into the Mississippi River, floating on his back until the water's swirling hidden life-force rises to hug his fragile frame and lead it into eternity. Les détails tragiques des derniers moments de Jeff Buckley sont comme un brouillon extrèmement dramatique d'un clip vidéo de l'artiste. L'image aurait pu servir de parfait équivalent visuel pour sa chanson la plus célèbre : Last Goodbye. Un Buckley insousciant, riant et chantant comme il va tout habillé dans le Mississipi, flottant sur le dos jusqu'au moment où la force vitale cachée dans l'eau tourbillonnante s'élève pour étreindre sa fragile charpente et la conduire dans l'éternité.
Buckley would have hated such a storyboard; too cliched, too grandiose. The 30-year-old singer/songwriter always strived to make his work uncluttered, simple, its power left to be carried through the innate beauty of his poetry and pure angelic voice. Buckley aurait détesté un tel story board ; trop cliché, trop grandiose. Le chanteur/songwriter, âgé de 30 ans, s'est toujours efforcé de désencombrer son travail, simple, son pouvoir se laissait porter par la beauté innée de sa poésie et de sa voix pure et angélique.
The extraordinary circumstances surrounding the death of Jeff Buckley has once again sent a generation of rock fans around the world into deep mourning. It's an all too familiar tale: an artist with a seemingly mystic gift, a tortured and tormented soul whose presence is whisked away from us before its full potential is realised. Les circonstances extraordianaires entourant la mort de Jeff Buckley a plongé à nouveau une génération de fans de rock du monde entier dans un deuil profond.
(...)
As it's turned out, Buckley was only on this world long enough to release a single album, Grace will remain one of the most astonishing and well-rounded debuts of the modern rock age. Vu la tournure des choses, Buckley a été dans ce monde seulement assez longtemps pour sortir un unique album, Grace restera un des premiers albums les plus étonnants et les mieux tournés du rock de l'âge moderne.
Of course, all the tragedy surrounding Buckley's passing is compounded by the fact that his father, Tim Buckley, met a similar premature end. Tim Buckley, who many still hail as the most original folk singer of his generation, died of a drug overdose in 1975 at the age of 28. Bien s��r, toute la tragédie entourant le décès de Buckley est constituée du fait que son père, Tim Buckley, eut également une fin prématurée.Tim Buckley, que beaucoup proclament encore comme le plus original chanteur folk de sa génération, est mort d'une overdose de drogue en 1975 à l'âge de 28 ans.
I lost myself on a cool damp night I gave myself in that misty light Was hypnotised by a strange delight Under a lilac tree (Lilac Wine)
Jeff Buckley's two visits to Sydney left an enduring impression. He came twice within six months, first in August of 1995 and then in February of last year. That first brief trip came on the back of an extended European tour. "I was getting tired of it in the last moments of playing in Europe, but it's entirely new here and I've had time to convalesce," he told a reporter on arrival. Les deux passages de Jeff Buckley à Sydney ont laissé une impression durable. Il est venu deux fois en 6 mois, d'abord en août 1995 puis en février de l'année dernière. Ce premier et bref voyage venait derrière une grande tournée européenne. "Je commençais à fatiguer les dernières fois où j'ai joué en Europe, mais c'est entièrement nouveau ici et j'ai eu le temps de me remettre", dit-il à un reporter à son arrivée.
Over the next few days, he gave two unforgettable performances: one at a small club called the Lounge in Melbourne and the other at Sydney's Metro nightclub. To those present, the Metro show on August 28 rates as one of the greatest musical performances ever witnessed in this city. In a magical 90 minutes, Buckley and his three-piece band delivered a remarkable set of light and shade featuring much of the Grace album as well as the aggressive covers of MC5's Kick Out the Jams" and Big Star's "Kangaroo". Buckley's pure, acrobatic voice sounded all the more extraordinary in the flesh. "You could hear a pin drop," recalled tour manager John Pope. "He held the audience in the palm of his hand. He'd take you on the ride with him. He'd lift you and take you down. He paced his gigs with finesse. When he walked on to a stage, he felt a responsibility, but it wasn't to the audience. It was to something else. God knows what." Les neuf jours suivants, il donna deux performances inoubliables : une dans un petit club appelé "the Lounge in Melbourne" et l'autre au Sydney's Metro nightclub. A ceux qui étaient présents, le show du Metro en août demeure une des plus extraordinaires performances jamais vue dans cette ville. En 90 minutes magiques, Buckley et les trois autres membres du groupe offrèrent un remarquable set de lumères et d'ombres jouant la plupart des chansons de l'album "Grace" comme des reprises agressives de "Kick Out the Jams" des MC5 et de "Kangaroo" de Big Star. La voix pure et acrobatique de Buckley sonnait le plus extraordinairement possible dans la salle. "Vous pouviez entendre une mouche voler" rappelle le tour manager John Pope. "Il tenait le public dans la paume de sa main. Il vous emmenait faire le voyage avec lui. Il vous levait et vous reposait. Il dosait ses shows avec finesse. Quand il montait sur scène, il sentait une responsabilité, mais pas envers le public. C'était autre chose. Dieu sait quoi."
"There was high anticipation which was rewarded 10-fold when he played, added Jen Brennan, manager of teh night's local support act Crow. "He just moved a lot of people. It was quite extraordinary. It's not often that you get a crowd at the Metro that's so silent and still. It was serene and very powerful." "Il y avait une grande anticipation qui avait été 10 fois récompensée quand il a joué", ajoute Jen Brennan, manager du Crow."Il a touché un grand nombre de personnes. C'était vraiment extraordinaire.Ce n'est pas souvent qu'on voit une foule au Metro qui soit si silencieuse et si calme. C'était serein et très puissant."
Indeed a couple of nights later at the Lounge show in Melbourne, the venue's management found it necessary to turn off the cash registers because their collective clanging messed with the ambience. De fait, deux nuits plus tard au Lounge show de Melbourne, le management trouva nécessaire de fermer les caisses enregistreuses parce que leur bruit collectif cassait l'ambiance.
That first visit was meant to be a simply a quick promotional trip to push Grace, but such was the impact of the Metro show that Buckley was persuaded to return to Sydney and play two extra gigs at the Phoenician Club to quench the city's sudden fascination with him. Cette première visite était censée être simplement un rapide voyage voyage promotionnel pour pousser Grace, mais l'impact au Metro show a été tel qu'on a convaincu Buckley de revenir à Sydney et de jouer deux nouveaux shows au Phoenician club étancher la soudaine fascination de la ville envers lui.
Within a few days of arriving, Buckley was gone. But he'd loved his time here and promised to return as soon as he could. Buckley kept his word and was back in February for a full-scale national tour. Peu de temps après son arrivée, Buckley était parti. Mais il avait adoré le temps passé ici et avait promis de revenir aussi vite que possible. Buckley tint parole et était de retour en février pour une tournée nationale.
It was now two years since the release of Grace and the pressures of life on the road as a high-profile recording artist were starting to show. "The whole Grace period has just been madness," he told the Daily Telegraph at the time. "I had no idea how completely crazy in the head I was until I came back and touched ground. I lost a lot of blood out there, meaning some things fell apart, some things got stronger. I think maybe I sensed my life would be altered forever, but not in any of the shapes it has. It's just like having a child. You can plan on it for years and years and think about it and daydream about it but when it actually happens, the ripple it causes in your life is really transforming." Cela faisait maintenant deux ans que Grace était sorti et les pressions de la vie en tournée d'un artiste de studio commençaient à se faire sentir. "Toute la période Grace a été de la folie", disait-il au Daily Telegraph à ce moment. "Je ne me rendais pas compte que j'étais complètement fou dans ma tête jusqu'à ce que je revienne et que je touche le sol. J'ai perdu beaucoup de sang là-bas, je veux dire que des choses ont disparu, certaines choses sont plus fortes. Je crois peut-être que je sentais que ma vie serait altérée pour toujours, mais pas du tout dans le sens où elle l'a été. C'est juste comme d'avoir un enfant. Vous pouvez le planifier sur des années et des années et penser à ça et rêver à ça mais en fait quand cela arrive, l'onde de choc que ça cause dans votre vie et vraiment "transformante"."
Although that second tour may have been a bit flat on stage, Buckley was still in good spirits, the same free-wheeling reckless self. He had his girlfriend with him this time, a violinist named Joan from a band called the Dambuilders. There was a screaming match back at the band's hotel one night when one of Buckley's bandmates came back to his room to find the singer and his girlfriend had trashed the room and had sex in both beds. Another night when Joan's band was playing a show at the Annandale hotel, Buckley went down and took care of the light show. When the Dambuilders started trashing their own instruments at the end of the show, Buckley abandoned his lighting duites and ran up on stage and helped them do it right. Même si cette seconde tournée peut avoir été un peu plate sur scène, Buckley était toujours dans de bons esprits, le même personnage imprudent en roue libre. Il avait sa copine avec lui cette fois, une violoniste nommée Joan dun groupe appelé the Dambuilders. Il y eut une effrayante baguarre à l'hôtel du groupe une nuit quand une des roadies de Buckley revint dans sa chambre pour s'apercevoir que le chanteur et sa copine avaient dégueulassé la chambre et fait l'amour dans les deux lits. Une autre nuit quand le groupe de Joan jouait un show à l'hôtel Annandale, Buckley descendit et s'occupa des lumières. Quand les Dambuilders commencèrent à détruire leurs propres instruments à la fin du show, Buckley abandonna la lumière et couru sur la scène pour les aider à bien faire.
Friends all describe Buckley as a warm, loving, open soul but the singer was often apprehensive when first approached by strangers. John Pope, who as tour manager for both visits spent virtually every day with Buckley while he was in Australia, described how the artist might appear cold as ice at first and then suddenly swing to the other extreme. "Someone on the street might say:'Are you Jeff Buckley?'" Pope explained. "And one day he night say: 'No he's over there, I saw him just go around the corner.' Or sometimes he might go, 'Yeah, I'm him' or 'Leave me alone'. Then they might say something funny and he'd open straight up to them and talk to them like they're long lost friends. It went that way in personal life, business life and with people he'd never met before." Ses amis décrivent tous Buckley comme une âme chaude, amoureuse et ouverte mais le chanteur appréhendait souvent ses premières approches avec des étrangers. John Pope, qui en tant que Tour Manager pour les deux passages passa virtuellement chaque jour avec Buckley pendant qu'il était en Australie, décrit comment l'artiste pouvait apparaître froid comme de la glace au début puis soudainement aller vers l'autre extrème. "Quelqu'un dans la rue pouvait dire "êtes-vous Jeff Buckley ?"", explique Pope. "Et un jour il pouvait répondre : "Non, c'est par là, je l'ai vu juste tourner au coin." Ou parfois ça pouvait être "ouais, c'est moi" ou "Laissez-moi tranquille". Puis ils pouvaient dire quelque chose de drôle alors il s'ouvrait directement à eux comme s'ils étaient de vieux amis perdus de vus. C'était comme ça dans sa vie personnelle, professionnelle et avec des gens qu'il n'avait jamais vus avant."
Pope's fondest personal memory of Buckley came during the first trip. The singer was furious when he found out that his tour manager hadn't told him that it was his birthday. Buckley promptly organised a penis-shaped cake and presented it to Pope on stage in Melbourne before shoving his face in the gift. Pope holds dear a photo of the pait on stage together, Buckley covered in cake and smiling broadly. Le premier souvenir personnel de Pope concernant Buckley date du premier voyage. Le chanteur était furieux quand il découvrit que son Tour Manager ne lui avait pas dit que c'était son anniversaire. Buckley organisa sur-le-champ un gâteau en forme de penis et le présenta à Pope sur scène à Melbourne avant de pousser son visage dans son cadeau. Pope montre tendrement une photo de l'événement sur scène ensemble, Buckley couvert de gateau et souriant vaguement.
"I can imagine him doing exactly what he did," Pope offered in reference to the circumstances of Buckley's disappearance, recalling the time he tried to talk the singer out of going for a night swim at Coolangatta Beach. "From when I knew him, you'd say: 'You shouldn't do that Jeff.' And he'd go:'Nah, it'll be all right. Don't worry about it.' And off he'd go. He was carefree and easy-going like that about life. "There was an edge to him that comes with creative people. He was definitely touched. He'd have those moments of of madness like any artisitc person does. But there was no self-destructiveness in it at all." "Je peux l'imaginer en train de faire exactement ce qu'il a fait", Pope fait référence aux circonstances de la disparition de Buckley, rappelant le temps où il essayait de convaincre le chanteur de ne pas aller nager à Coolangatta Beach. "Tel que je le connais, vous auriez dit : "Tu ne devrais pas faire ça Jeff". Et il aurait répondu : "Bah, ça va aller. Ne t'inquiète pas de ça". Et il aurait été. Il était imprudent et insousciant comme ça avec la vie. "Il y avait un côté chez lui qui est lié aux gens créatifs. Il était définitivement atteint. Il avait ces moments de folie comme tout artiste en a. Mais il n'y avait pas d'auto-destruction là-dedans du tout."
They're waiting for you Like I waited for mine And nobody ever came. (Dream Brother)
Jeff Buckley only ever met his famous father once. He spent a week with Tim, who left his mother Mary Guibert only a week after she gave birth to their only child, in April of 1975 when he was eight. Two months later, his father was dead. The weight his father's shadow cast on his life was the primary reason it took Jeff so long to take the leap into the limelight. "I knew there would be [comparisons] from the time I was a small child," Jeff once revealed. "From the time that his manager started calling my house when I was six or seven. I found my grandmother's guitar and [the manager] started calling the house:'Has he written songs yet?' So I've been waiting and doing the maths in my head about the inevitable comparisons all my life. But I don't care." Jeff a seulement rencontra son célèbre père seulement une fois. Il passa une semaine avec Tim, qui quitta sa mère Mary Guibert seulement une semaine après qu'elle ait donné naissance à son unique enfant, en avril 1975 quand il avait 8 ans. Deux mois plus tard, son père était mort. Le poids de l'ombre de la personnalité son père sur sa vie fut la principale raison pour laquelle cela prit si longtemps à Jeff de sortir de l'ombre. "Je savais qu'il y aurait des comparaisons depuis que je suis enfant," révéla Jeff un jour. "A partir du moment où son manager a commencé à appeler chez moi quand j'avais 6 ou 7 ans. J'ai trouvé la guitare de ma grand-mère et le manager a commencé à appeler à la maison : "A-t-il déjà écrit des chansons ?" Alors j'ai attendu et fait le calcul dans ma tête à propos de l'inévitable comparaison toute ma vie. Mais je m'en fiche."
Buckley was never comfortable discussing his father, deeply resented the fact that he wasn't invited to the funeral. But in 1991, he made an unannounced appearance at a Tim Buckley tribute concert in Brooklyn and performed a moving solo version of his father's I Never Asked to be Your Mountain. "I both admired and hated it," the young Buckley said afterwards on the song written about his parents' relationship. "That's why I did it. It was something really private to me. I figured that if I went to the tribute and sang and paid my respects, I could be done with it." Buckley ne se sentait jamais à l'aise pour parler de son père, ressentant profondément le fait qu'il ne fut pas invité aux funérailles. Mais en 1991, il fit une apparition surprise à un concert hommage à Tim Buckley à Brooklyn et joua une version solo "bougeante" de la chanson de son père "I Never Asked to Be your Mountain". "Je l'admirais et la haïssais à la fois," disait le jeune Buckley après-coup de la chanson écrite sur la relation de ses parents. "C'est pour ça que je l'ai fait. C'était quelque chose de vraiment très privé pour moi. Je m'imaginais que si je venais à l'hommage et chantais et payais mes respects, je pouvais en être quitte".
It's night time coming I'm not afraid to die ... My love, now the rain is falling I believe my time has come It reminds me of the pain I might leave behind. (Grace)
Jeff Buckley signed to Columbia records home to the likes of Bob Dylan and Bruce Springsteen, in 1993 and soon after released the EP Live At The Sin(e). Jeff Buckley signa avec Columbia Records en 1993 à l'instar de Bob Dylan et Bruce Springsteen et peu après sortit le EP "Live at Sin-é".
In an exclusive interview with the Daily Telegraph yesterday, an emotional Donny Ienner -- head of Columbia Records and the man directly responsible for signing Buckley -- shared his reminiscences aof that early period. "I remember the first time I went down to see Jeff after a few people had told me about his performances at SINE, I was so taken that night by the depth of his artist. Of all the artists that I've ever personally signed, Jeff made the most immediate impact on my life. I felt that his reverence for the past, not to mention obviously the opportunites for the future, was incredible. He knew every record of Miles Davis and Edith Piaf and opera records and classical records and Led Zeppelin records. He was just such a great teacher of diverse music. He defies any sort of characterisation or trend. He had that at a very, very early age and the impact that he made on the world with just an EP and an album is going to be felt for decades to come. Jeff never worried about rock stardom, never worried about money, and never worried about the things that a lot of young artists worry about today. He was really worried about making sure his integrity was intact at all times. He was just an incredible thing." Dans une interview exclusive avec le Daily Telegraph hier, un Donny Ienner ému - patron de Columbia Records et l'homme directement responsable du contrat de Buckley - partageait ses souvenirs de cette récente période. "Je me souviens de la première fois que je suis venu voir Jeff après que quelques personnes m'aient parlé de ses performances au Sin-é, j'ai été si frappé cette nuit-là par la profondeur de cet artiste. De tous les artistes que j'ai personnellement signés, Jeff a eu l'imapct le plus immédiat dans ma vie. Je sentais que sa révérence pour le passé, pour ne pas mentionner d'ailleurs les opportunités pour le futur, était incroyable. Il connaissait chaque disque de Miles Davis et Edith Piaf et des disques d'opéra et des disques classiques et les disques de Led Zeppelin. C'était un super professeur de diverses musiques. Il défie toutes sortes de caractérisation ou de tendance. Il a eu ça très très jeune et l'impact qu'il a eu sur le monde avec seulement un EP et un album s'estimera dans les décennies à venir. Jeff ne s'est jamais inquiété de la célébrité rock, ne s'est jamais inquiété de l'argent, ne s'est jamais inquiété des choses qui inquiètent beaucoup de jeunes artistes aujourd'hui. Il s'inquiétait vraiment d'être assuré de garder tout le temps intacte son intégrité. Il était juste une chose incroyable."
Ienner also took the opportunity to reject widespread rumours that Buckley had been depressed in the weeks leading up to his disappearance because of problems with his record comapny over the shape his follow up to Grace should take. "I think he was in a good place in terms of making his second record," Ienner said. "The thing that I personally promised him when he signed to Columbia records was that he could take all the time he needed in between his records and we would not interfere on any level. He had over 100 songs and he was ready to go in at the end of June to make his record. He was in wonderful spirits, he was having an amazingly good time spiritually, emotionally and professionally down in Memphis (where Buckley had been since February)". Ienner a également saisi l'opportunité de rejeter les rumeurs très répandues sur une déprime de Buckley dans les semaines précédant sa disparition à cause de problèmes avec sa maison de disque, au sujet de la forme que devait prendre l'album succédant à Grace. "Je pense qu'il était bien placé en vue de faire son second album," a dit Ienner. "La chose que je lui ai personnellement promise quand il a signé à Colombia Records était qu'il pourrait prendre tout le temps dont il avait besoin entre ses albums et que nous n'interférerions pas à aucun niveau. Il avait plus de 100 chansons et il était prêt à aller au bout à la fin du mois de juin pour faire son disque. Il était dans un état d'esprit merveilleux, il passait un étonnemment bon moment spirituellement, émotionnellement et professionnellement à Memphis (où Buckley était depuis février)".
Ienner confirmed that late last year, Buckley completed seven new songs during sessions in New York with producer and former Television lynch-pin, Tom Verlaine. "We have no plans to release anything right now. From what I understand from the people he's been working with, there are in excess of 50 or 60 songs that he was working on. So there's a wonderful legacy that he's left behind." Ienner a confirmé que, à la fin de l'année dernière, Buckley a terminé 7 nouvelles chansons pendant les sessions à New York avec le producteur et le fondateur de Television Tom Verlaine. "Nous n'avons pas prévu de le sortir pour le moment.D'après ce que j'ai compris des gens avec qui il travaillait, il y a en plus 50 ou 60 chansons sur lesquelles il travaillait. C'est donc un legs merveilleux qu'il laisse derrière lui."
Looking out the door I see the rain fall upon the funeral mourners Parading in a wake of sad relations as their shoes fill up with water Maybe I'm too young to keep good love from going wrong But tonight you're on my mind so you'll never know (Lover, You Should've Come Over)
Jeff Buckley is gone but, like all the other great artists who were cut down in their prime, his music will long outlive his tragically short life. Jeff Buckley est parti mais, comme tous les autres grands artistes fauchés dans leur force de l'âge, sa musique survivra longtemps à sa vie tragiquement courte.
(Translation: Jeff Buckley is gone but, like all other great artists cut down in their prime, his music will long outlast his tragically short life.)
#jeff buckley#jeffbuckley#Australia tribute#Australie#Excerpts from the article in the Sydney Telegraph#Saturday 6th June#1997#pp 38-39.#06.06.1997
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Jeudi groovy ! Lancer youtube ci-dessous pour vous mettre dans l'ambiance :
youtube
Detroit sous la pluie et c'est LA bonne raison pour aller visiter le Motown Museum. Si ce nom ne vous parle pas, les musiques vous seront surement familières. Le studio, créé par Berry Gordy, tournait 24h/24 7jours/7 à une période. Le vendredi, un collège de personnes se retrouvait pour écouter les enregistrements et décider si chaque titre devait sortir ou pas " S'il ne vous reste plus qu'un dollar en poche, vous l'utiliser pour écouter ce titre ou pour acheter un hot dog ?" et ça a fait sortir des vrais tubes du studio ! En 1968, il y avait 5 titres de la Motown dans les 10 premiers du Top 100, notamment le top 3 ^^ On peut voir que le sol a été bien usé à la console de mixage.
Petit échec avec le Musée d'Art Contemporain complètement fermé mais je me suis rattrapée dans un Thrift shop (Macklemore référence) où oui, j'ai acheté un vêtement. Je vais encore rentré avec un sac énorme.
Ma passion "maisons vides" continue. On pourrait dire qu'une partie de Detroit est dégueulasse, ce qui n'est pas faux, mais c'est surtout étrange de voir des maison vides en train de tomber ruine au milieu de maisons habitées, colorées, pleines de vie. Tout ce qui est neuf par contre est super surveillé par caméras ! C'est même carrément flippant dans le centre de Détroit. Je suis donc plus inquiète avec des tad de caméras qu'avec des quartiers délabrés XD.
Mardi soir je mangeais chez Karen qui possède plusieurs maisons à Detroit. Dans celle où je dors, il y a au moins 6 chambres en location. Une majorité des chambres est actuellement occupée par des médecins de plein de pays (Inde, Pakistan, Sri Lanka, Australie, Egypte...) qui sont déjà diplômés dans leur pays en médecine générale et viennent aux USA faire leur internat et se spécialiser. Comme en France, tout se passe sur concours et il y a proportionnellement plus de places aux USA que dans les autres pays. Mais tous ces internes payent pour étudier/travailler ici ! Assez incompréhensible ce fonctionnement quand il s'agit de médecine alors que ça nous est indispensable. Je trouve qu'ils et elles ont une volonté de folie ! On a eu des conversations assez improbables et passionnantes. Parler d'avortement avec un médecin musulman pakistanais qui vivra surement aux USA... je n'avais pas imaginer pouvoir parler en si bonne intelligence de ce sujet légèrement sensible !
J'ai cuisiné une soupe de buttent au lait de coco et curry vert puis une quiche aux légumes. Alors ça n'avait pas du tout le même gout qu'à la maison et ça nous a tous réunis pour la soirée et c'était génialissime. J'ai bien ri quand l'un a commencer à chanter Joyeux anniversaire alors que je coupais la quiche. Et c'est vrai que ça m'a donné la sensation que c'était mon anniversaire ! Sur la dernière photo, il y a donc Jenny à gauche (la seule américaine), Lou qui est marocaine, Nahir qui est indien, celui qui est debout je ne connais pas son nom mais il est australien d'origine Sri lankaise et assis à droite c'est Umer qui arrive tout juste du Pakistan et qui fait le ramadan. Autant vous dire qu'il avait très faim à 20h !!!
#detroit#michigan#couchsurfing#meetingpeople#travel#loveamerica#holidays#usa#visiting#cooking#french food#Youtube
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Mesdames et messieurs, comme je le disais donc ce matin : je suis à Sidney ! (C'est bon Dr Rathatton, tu peux venir me chercher, je suis laaaaaaa)
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Anecdote rigolote : j'étais sur le vol d'inauguration de la ligne Ho Chi Minh - Sydney de la compagnie aérienne que j'ai prise, donc on a eu le droit à des photographes, une peluche de kangourou de la taille de mon avant bras, une casquette (je n'ai pas pris tout ça, avec le sac c'est compliqué, mais l'ambiance était sympa !),... Bon, par contre, vu que c'était le vol le moins cher que j'aie pu trouver, pas d'oreiller/couverture, pas de repas inclus, même l'eau était payante :') le confort étant assez minimal, j'ai donc du dormir à peu près trois heures cette nuit !
D'un côté, c'est bien, ça a fait une légère transition entre le coût de la vie en Asie et celui en Australie : je multiplie littéralement par 5 à 10 le budget nourriture et logement. Pour vous donner un exemple, cette délicieuse glace était à... 7$ la boule. Et je dors ce soir dans un lit de dortoir, sans serviette incluse, pour la modique somme de ... 40$ (vs 3 ou 4 en Asie, 6 quand c'était vraiment cher). Ce qui est le moins cher que j'ai trouvé, "trou à rat et à puces de lit" (commentaires Google des deux auberges à 20€ la nuit trouvées sur internet) exclus.
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J'ai profité d'un tour gratuit pour faire 3h de balade dans la ville, où on a appris plein d'anecdotes sur l'histoire de Sydney et de l'Australie !
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Par exemple, on a appris que les animaux symboles du pays, c'est le kangourou (vous ne vous en seriez jamais douté) et l'émeu. Non, pas De Rathatton en PLS dans un fauteuil, un vrai émeu. Et pourquoi ? Parceque ces deux animaux ne peuvent pas reculer, c'est donc le symbole que l'Australie ira toujours de l'avant ! Notre guide nous glisse en passant que c'est aussi un des seuls pays où on dévore allégrement les animaux qui le représentent, et qu'ils ont même une pizza "coat of arms" moitié viande de l'un, moitié de l'autre ... Quelle idée.
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En tout cas, c'est assez marrant comme ville, on trouve côte à côte des bâtiment qui ont 120 ans et des buildings en acier et en verre, c'est assez original. Ils ont aussi un sens de l'humour tres British : on nous a montré une horloge qui remet en scène la décapitation de je ne sais quel roi, et dont la tête tombe donc toutes les heures. Miam.
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A la base, Sydney était constituée quasiment exclusivement de prisonniers, pour la grande majorité des voleurs. En lieu de sentence, on les condamnait à 7 ou 14 and d'exil/travail forcé en Australie, sans billet de retour. Enfin, techniquement, ils avaient le droit de rentrer une fois libre, mais entre payer son billet pour faire 9 mois de bateau, risquer d'y passer, et rentrer dans un pays miséreux, ou rester sur place et obtenir un commerce ou une ferme, le choix était vite fait. Du coup, la ville n'a pas super bien débuté : entre le niveau d'éthique de la population locale, les rixes incessantes avec les indigènes, le fait que la monnaie d'échange était le rhum et que 75% des gens étaient alcooliques, les autres étant corrompus, c'était un peu difficile ... Depuis, la monnaie en plastique presque indestructible et 100% recyclable (ils en font des bancs!) a été inventée, c'est quand même moins biaisé qu'une bouteille de rhum.
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Il y a une certaine rivalité entre Melbourne et Sydney (la fameuse histoire de la capitale Canberra, construire pile au milieu des deux villes parcequ'on n'arrivait pas à se décider), désormais plutôt amicale. Les deux villes se comparent notamment sur le plan de l'art, où Melbourne serait plus développée ; notre guide nous a amenés à une des expositions installée à Sydney qui fait fureur : 50 cages d'oiseaux désormais disparus du centre ville, alors qu'ils étaient autrefois tous sur l'endroit où la ville s'est construite, et les pépiements correspondant transmis par des hauts parleurs.
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Ils ont aussi leur propre version du bout du pied à frotter pour se porter chance : ici, c'est le museau du sanglier ! On met une petite pièce en don dans le fontaine devant (ils font pas mal ça, il y en avait une autre avec le chien préféré de la reine Victoria... Mais celle là parlait et aboyait pour remercier !), c'est donné à diverses associations en fonction de la fontaine.
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Bref, après ces trois heures de visites très intéressantes (mais j'ai mal aux pieeeeeds) ma glace dans l'estomac (ça me servira et de petit dej et de déjeuner, on mangera tôt ce soir mais je n'assume vraiment pas le burger à 25$ du centre ville !), je pars vers le jardin botanique qui est magnifique, où j'arrive à faire une heure de sieste sans me faire mouiller (je suis passée entre les averses !).
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J'ai par contre violemment pris la pluie au retour à l'auberge, bienvenue à Sydney \o/
Note : je retouche à une casserole pour la première fois depuis 3 mois, le kg de tomate a beau être à 7$, ça reste moins cher que de manger en extérieur !
Ps : Dr Rathatton, revieeeeeeeeeeens
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Le 21 avril 2023, le deuxième numéro de la chouette @revue_millecosmos est sorti en librairie. Une très belle sélection d’images, d’entretiens, d’enquêtes et de récits y prennent place. À la page 30 vous retrouverez un travail d’adaptation dessiné que j’ai réalisé à partir d’extraits de l’ouvrage de Val Plumwood « Dans l’œil du crocodile : l’humanité comme proie » traduit par Pierre Madelin (@editionswildproject, 2021). C’était un plaisir de découvrir ces mots, cette pensée qui fait force et de travailler avec la chouette équipe de la revue. 🪶 ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ En février 1985, la philosophe écologiste Val Plumwood survécut – contre toute probabilité – à une attaque de crocodile dans le parc national de Kakadu, en Australie. Aux yeux de Plumwood, qui s’inspire sur ce point des récits mythologiques des Aborigènes australiens et des Égyptiens de l’Antiquité, le crocodile est un « trickster », une créature qui juge sévèrement la prétention des êtres humains à s’extraire du cycle de la vie. Inachevé au moment du décès de l’autrice, ce récit est complété par quatre essais touchant à notre rapport alimentaire au vivant : sur la mort d’un wombat, sur l’ontologie végane, sur le film Babe : le cochon devenu berger, et sur la vie dans nos cimetières. Dans l’œil du crocodile n’est pas seulement un récit de survie, c’est aussi une réflexion unique sur le sens de nos vies humaines, de nos combats et de notre mort. ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~
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L’exode urbain : ma douce réflexion
J’ai grandi dans le beau et profond Cantal. Depuis 12 ans, je vis plus ou moins en ville, pour les études, puis pour le travail. J’ai alterné des périodes de vies en grandes villes (Paris, Lyon) et de voyages (Australie, Chemin de Compostelle pour les plus marquants). En quête de sens, de trouver ma place, j’explore les opportunités, les modes de vies... J’apprends, je grandis.
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Mes voyages m’ont reconnecté à la Nature, à la campagne, à ce rythme de vie plus doux, voir hors du temps... Je me projette retournant vivre à la campagne. Je songe à tous les atouts de la vie en campagne, et j’en oublie volontairement les contraintes que j’ai bien expérimenté durant mon adolescence.
Cette dernière année a été particulièrement enrichissante pour moi. J’ai quitté Lyon, avec l’envie de retourner vivre en campagne, de refaire vivre un territoire. J’ai alors fait quelques woofings pour explorer cette piste, en Allier puis en Ardèche. J’ai aimé vivre en campagne car nous étions toujours en collectif. La vérité, c’est que l’isolement peut très vite se faire ressentir et qu’il faut être bien entouré.
Alors, quand le moment a été venu pour moi de retrouver un nid douillet (et oui, je n’adhère pas encore à la vie de nomade qui me demande beaucoup d’énergies), toutes mes illusions d’exode urbain ont alors été mises à rudes épreuves.
Où vivre ? Dans quel contexte ? En collectif ? En simple colocation ? La campagne proche de la ville ? La campagne tout court ? La ville ? ... Et voilà que mon cerveau part en vrille sur l’étendue du possible.
En résumé, j’ai la trentaine, je suis célibataire, je n’ai pas de potes motivés à monter une colocation à la campagne... Sur le papier, j’étais déjà mal barrée pour monter ce projet de “reconnexion à la vie de campagnard” ! Alors, j’ai commencé mes recherches, j’ai épluché les annonces Le Bon coin encore et encore... Colocation 0 ... Choix difficiles !
Ouverture du site au moins 10 fois par jour.... Comme si, d’une heure à l’autre, le graal de la colocation parfaite dans le bled idéal allait tomber du ciel.
Sur le papier, ma recherche était claire : rejoindre une colocation de jeunes, dans une petite ville aux alentours de Clermont-Fd, connectée par le train, sympa et dynamique... Claire mais pas simple.
Après plusieurs semaines de recherches, j’ai vite compris que les colocations ne couraient pas les rues des petites villes, encore moins celles des villages. De plus, les gares encore en service ne sont pas celles qui desservent les plus beaux villages. Enfin, après avoir testé de vivre dans un petit hameau et constaté que je devenais totalement dépendante de ma voiture et que mon compte en banque fondait plus vite que la pompe à essence, j’ai vite compris que mon exode urbain n’allait pas être aussi idyllique que prévu.
J’ai alors fait fasse à tout un tas de peurs qui ont traversé mon esprit si j’acceptais de partir vivre à la campagne (j’entends alors vivre dans un hameau, pas Clermont-Fd ahah...) : qu’allait devenir ma vie sociale ? Allais-je vraiment devenir l’esclave de mes 4 roues ou serais-je capable d’enfourcher mon vélo par monts et par vaux ? Est-ce que mes ami-e-s viendraient me visiter ou est-ce que ça les feraient juste bien chier ?
Bref, vous l’avez compris, la cacophonie a gagné mon cerveau ! L'utopiste en moi voulait renouer avec ses racines, tandis que la trentenaire pragmatique gardait gentiment les pieds sur Terre : avoir une vie sociale intéressante mais aussi ne pas dépendre de la crise énergétique. Car oui, quand on vit en campagne, et qu’on veut se déplacer, on devient tout de suite dépendant de sa voiture. Les transports publics étant quasi inexistants ou très pauvres, il est nécessaire de prendre sa voiture.
Au final, qu’est-ce qui est le plus viable : vivre à la campagne, avec plus de sobriété, avec la possibilité de cultiver ses propres légumes par ex. mais de dépendre globalement d’un unique mode de transport et au péril d’une vie sociale moins riche. Ou vivre en ville, se déplacer en vélo, proposer des initiatives vertes et profiter de son cercle d’ami-e-s à porter de main.
Peut-on oeuvrer sereinement pour faire revivre les campagnes quand rien n’est fait pour nous y encourager ? Arriverons-nous à retourner en campagne et à créer des espaces de sociabilité viable, joyeux et solidaire ? La voie du collectif me semble être la réponse à ces problématiques. Réflexion en cours !
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Une fratrie enfin réunie deux siècles plus tard
Le nom de l’artiste et naturaliste Charles-Alexandre Lesueur m’est parvenu pour la première fois lors d’une exposition du Musée d’Orsay, en 2021. Dans Les origines du monde. L’invention de la nature au XIXe siècle, ses dessins naturalistes étaient évoqués pour illustrer l’expédition Baudin en Australie, considérée comme l’une des explorations scientifiques emblématiques françaises. Bien que ses aquarelles de méduses m’aient marquées, son nom s’est quant à lui effacé. Jusqu'à ce que je découvre récemment un ouvrage consacré à Lesueur et ses dessins de méduses.
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Méduses/Jellyfish, Coédition Muséum d’histoire naturelle du Havre et MkF Éditions, 168 pages, 300x390mm, rélié toilé, emboîtage toilé, dorure à chaud.
Méduses/Jellyfish est composé d’un livre papier contenant des reproductions des aquarelles de Lesueur, ainsi que d’un livre numérique dans lequel est inclus le manuscrit des Méduses, rédigé par François Péron entre 1808 et 1810. Il semble que l’ouvrage matérialise le lien indissociable entre le travail de l’artiste et du naturaliste : bien que de nature différente, les deux travaux sont non seulement interdépendants, mais chacun dans leur individualité a une valeur scientifique importante et très influente. À l’époque de sa parution, l’écrit de Baudin était le premier travail à grande envergure mené sur les méduses, qui étaient alors des animaux marins encore méconnus, du fait d’une trop pauvre quantité d’échantillons à analyser. Cette situation explique que son texte connaîtra ensuite un grand succès tout le long du XIXe siècle, de l’Europe aux États-Unis. Tandis qu’il influencera les traités de zoologie de grands naturalistes tels que Jean-Baptiste de Lamarck et Georges Cuvier, les aquarelles de Lesueur inspireront l’artiste et naturaliste allemand Ernst Haeckel à dessiner des méduses, encore très largement connues et appréciées aujourd’hui. Au-delà de sa valeur esthétique, c’est aussi grâce aux travaux de Lesueur qu’est née et s’est catalysée une nouvelle classification des méduses.
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Méduse Cyanea lamarcki, C.-A. Lesueurn 1810 ; Méduse Chrysaora lesueur, C.-A. Lesueur (1810 ?).
Jusqu’ici, je retenais la qualité illustrative des aquarelles de Lesueur, emblématique par le fait qu’il peignait à la loupe et avec un pinceau à un seul poil, pour reproduire fidèlement les différentes espèces. Cette minutie extrême est associée à l’intérêt scientifique de ces vélins, notamment car ils permettaient de conserver une trace des couleurs des méduses. Ainsi, les travaux de Lesueur étaient une solution pour contourner le problème de conservation de celles-ci, puisqu’il n’était pas possible de maintenir la morphologie et les couleurs des spécimens récupérés. Forts de leur valeur technique et scientifique, il était évident que les vélins de Lesueur étaient réalisés de facto pour accompagner les écrits naturalistes de Péron. J’ai donc été surprise d’apprendre que n’était cependant pas le cas. En effet, bien que les aquarelles aient été conçus grâce à la vision à quatre yeux (terme introduit par Lorraine Daston et Peter Galison, désignant ici la collaboration entre Lesueur et Péron pour la développement des images raisonnées du premier), le texte de Péron ne fait aucun lien avec les dessins de Lesueur, eux-mêmes n’étant pas reproduits dans aucun ouvrage et ne possédant aucune légende qui permettrait de comprendre l’écrit naturaliste : il incombait donc au lecteur d’aller de lui-même chercher et observer pour associer les informations dans les deux supports.Il semble qu’il se posait donc un problème d’accessibilité, puisque la complémentarité du texte et du dessin n’est jamais annoncée clairement. Pourtant, les deux supports ont été construits ensemble et de sorte à ce qu’ils soient interdépendants. C’est en apprenant l'existence de ce contexte que je comprends le besoin de parution de Méduses/Jellyfish, voire de la nécessité qu’il paraisse, du fait que l’ouvrage ait remporté un prix de l’Académie de Marine.
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Brest Life – Dimanche... c'est jour de marché
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Note:
-> This text is also existing in english here
-> Le précédent poste du blog est ici
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Je me réveille tôt le dimanche et si la météo est convenable (sous-entendu pas de pluie battante) je vais direction la boulangerie le Nektar sur la rue de Lyon que je considère de manière tout à fait arbitraire comme le début du marché. 7h30... c'est un peu tôt et la majorité des marchands n'ont pas encore enclenché le déballage de leurs étales.
Alors à un moment je me posais au café de l'océan proche de la ligne de tram. Là tu voyais 2 grandes catégories de clients. Les réguliers qui lisent leur journal et prennent leur café au calme avec de temps en temps une p'tite discussion. Et il y a les fêtards qui tournaient encore à la bière pour continuer (finir serait un grand mot) leur soirée. En ayant parlé au jeune barman "intérimaire" le deuxième type de client est le plus compliqué à gérer. Il y a même certains bars qui les refusent. Mais ça, c'était à mes début brestois, à mes derniers instants j'aillais au food truck La grande baie Dodo qui se situe à mon début de marché. Ici petit café en silence en pleine air à profiter des passages des habitués à son service. Toujours dans l'attente que les étales soient prêtes je vais direction le camion nommé Suzette. C'est l'usine à börek qui est ouverte très tôt dans la matinée. Pratique quand il faut attendre au calme un peu plus longtemps. Les 3 femmes qui y travaillent sont peut-être pas très loquaces (ou peut-être que est-ce moi qui ne le suis pas avec !?) mais j'ai aimé leur compagnie.
A y est les maraîchers sont prêts. Je sélectionne mes petits légumes de saison auprès du stand où à un moment donné il y avait un des marchands qui scandait les produits qu'il vendait... A l'ancienne j'dirais. Après la provisions de légumes je retourne au fond de l'allée du food truck. "Heeeyyyy Niiiil(s) !" ça, c'est (Fa?)Brice.
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Sa bienveillance n'a sûrement pas d'égal... et ses clients lui rendent bien. Certains jours je viens juste le saluer pour gratter l'amitié. Grâce à lui j'ai appris qu'il n'y avait pas de véritable concurrence entre les food truck de la zone... C'est plus un cercle amical où il y a l'embarras du choix niveau repas : Sushi nomad (nommée madame sushi par un des mes anciens colocs), la petite caravane bleue (ou verte ?) pour manger des baos version taïwanaise, le rôtisseur au bois, le couple vendant des spécialités sénégalaises... et quelques autres que je vous laisse découvrir. Bien que parti dans des contrées lointaines je ne pouvais que vous recommander Damien et son gros barbecue noir à cuisson lente estampillé Pit BBQ.
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C'est un passionné et cela se sent lorsqu'on a le temps de se parler. Il m'a même recommandé un BBQ en Australie à Perth... alors qu'il n'y a jamais mis les pieds ^^".
Ensuite je continue le marché pour aller direction ma fromagère préférée : Bonnes vibes et surtout du choix au stand. Je suis certes curieux mais je suis tout de même rester dans mes terrains connus. Je vous recommande les tommes au lait de vache des Marettes. Un fromage que je trouve bien équilibré. Je continue, passe devant le bar des Océan qui ne désemplie pas, traverse les rails de tram et arrive au niveau du café le central qui à face à mon marchand de fruit qui sont entre temps trop mûrs et à jeter... ce qui explique leurs prix très attractifs. Le marchand qui s'occupe de cette partie est 'pénard'. Il réçoit des plaintes sans broncher par certains clients qui ne comprennent pas qu'à ce prix... bah on ne peut pas tout le temps conserver plus de 3 jours les fruits et qu'on peut avoir quelques surprises.
Continuez, et si c'est la saison prenez des coquilles Saint Jacques au pêcheur Vincent le pêcheur de coquilles Saint Jacques. Il a toujours le petit mot qui fait rigoler. J'en prend toujours 7 pour le repas du soir. Pas loin, si c'est encore la saison des traites de chèvres, achetez du fromage de chèvre à cette femme très discrète. Le jour où j'ai voulu la prendre en photo avant mon départ elle est partie du stand pour que je puisse prendre son stand en son absence.
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Continuez encore vous arrivez aux vendeuses de shiitaké avec leur côté traiteur. A la fin du marché, vers l'entrée arrière de la librairie Dialogue, vous pouvez allez voir Jenny la vendeuse de crêpe (qui a parlé de galette !? Ici c'est le Finistère !). La franchise de cette personne m'a toujours fait sourire. D'ailleurs le stand voisin est tenu par son homme : Louis. C'est à lui (ou à ses enfants) que j'achète mes saucissons sur Brest.
Les courses sont terminées... si la fatigue ne toque pas à la porte, j'envoie un p'tit texto pour passer chez mon ami Fred pour taper la discute un moment.
Première version du texte achevée le 22 décembre 2024
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✍️ Bénédiction dans l’épreuve – Mardi 21 janvier 2025.
"Je les affinerai comme on affine l’argent, et je les éprouverai comme on éprouve l’or. Ils invoqueront mon nom, et moi, je leur répondrai." (Zacharie 13. 9)
"Ôte de l’argent les scories, et il en sortira un vase pour l’orfèvre." (Proverbes 25. 4)
Témoignage de R.H., Sidney, août 1876 :
“Je suis invalide depuis 10 ans et 10 mois. Sur 24 h, j’en passe 20 au lit. C’est de là que j’écris ces lignes, couché sur le dos, incapable de me tourner à droite ou à gauche sans aide, ne pouvant bouger de mon corps que la tête et les bras. J’étais marin sur un bateau en Australie. En montant sur la passerelle, mon pied s’est pris dans une chaîne, et j’ai fait une chute qui m’a brisé le dos. Depuis ce moment, toute la partie inférieure de mon corps est complètement inerte. J’ai passé 14 mois à l’hôpital sans sortir de mon lit une seule fois. Je ne peux assez bénir le Seigneur pour cet accident, car il a transformé ce lit de douleur où je reste paralysé, en antichambre du ciel ; il fallait que Dieu broie mon corps pour briser mon cœur. S’il ne m’a pas encore pris auprès de lui, c’est que son travail en moi n’est pas terminé : comme l’affineur purifie l’argent jusqu’à ce que sa propre image se reflète dans le métal précieux, le Seigneur fait son œuvre purificatrice dans mon âme jusqu’à ce qu’on le reconnaisse en moi. Il sait ce qui convient. Que son saint nom soit béni !”
Aux jours d’épreuve amère, de luttes, de douleurs,
Quand, sous la main du Père, il faut verser des pleurs,
Ne perdons pas courage, Jésus est avec nous,
De ce Dieu grand et sage, apprenons à genoux.
Dieu permet la détresse, afin de nous bénir ;
Jamais sa main ne blesse pour nous faire souffrir.
Le sarment qu’il émonde, c’est celui qu’Il chérit,
Afin que dans ce monde, il porte plus de fruit.
La Bonne Semence
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Mardi 21 janvier 2025
Je les affinerai comme on affine l’argent, et je les éprouverai comme on éprouve l’or. Ils invoqueront mon nom, et moi, je leur répondrai. Zacharie 13. 9
Ôte de l’argent les scories, et il en sortira un vase pour l’orfèvre. Proverbes 25. 4
Bénédiction dans l’épreuve Témoignage de R.H., Sidney, août 1876 :
“Je suis invalide depuis 10 ans et 10 mois. Sur 24 h, j’en passe 20 au lit. C’est de là que j’écris ces lignes, couché sur le dos, incapable de me tourner à droite ou à gauche sans aide, ne pouvant bouger de mon corps que la tête et les bras. J’étais marin sur un bateau en Australie. En montant sur la passerelle, mon pied s’est pris dans une chaîne, et j’ai fait une chute qui m’a brisé le dos. Depuis ce moment, toute la partie inférieure de mon corps est complètement inerte. J’ai passé 14 mois à l’hôpital sans sortir de mon lit une seule fois. Je ne peux assez bénir le Seigneur pour cet accident, car il a transformé ce lit de douleur où je reste paralysé, en antichambre du ciel ; il fallait que Dieu broie mon corps pour briser mon cœur. S’il ne m’a pas encore pris auprès de lui, c’est que son travail en moi n’est pas terminé : comme l’affineur purifie l’argent jusqu’à ce que sa propre image se reflète dans le métal précieux, le Seigneur fait son œuvre purificatrice dans mon âme jusqu’à ce qu’on le reconnaisse en moi. Il sait ce qui convient. Que son saint nom soit béni !”
Aux jours d’épreuve amère, de luttes, de douleurs, Quand, sous la main du Père, il faut verser des pleurs, Ne perdons pas courage, Jésus est avec nous, De ce Dieu grand et sage, apprenons à genoux. Dieu permet la détresse, afin de nous bénir ; Jamais sa main ne blesse pour nous faire souffrir. Le sarment qu’il émonde, c’est celui qu’Il chérit, Afin que dans ce monde, il porte plus de fruit.
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L’Australie décrète l’ouverture totale du pays aux « étudiants indiens ».
Musk veut la même chose en Amérique.
Précédemment : Musk veut pomper un maximum d’esclaves indiens dans l’économie américaine
Le Kali Yuga n’est rien d’autre qu’une marée infinie d’Indiens qui viennent s’établir dans votre pays.
L’Australie a de facto signé un accord d’ouverture des frontières avec l’Inde :
L’accord de partenariat entre l’Australie et l’Inde en matière de migration et de mobilité (MMPA) comprend les dispositions suivantes :
1. Visas d’étudiant de cinq ans, sans limitation du nombre d’Indiens pouvant étudier en Australie.
2. À partir du 1er juillet de cette année, les diplômés indiens des établissements d’enseignement supérieur australiens titulaires d’un visa d’étudiant peuvent demander à travailler sans être parrainés par un visa pendant une période pouvant aller jusqu’à huit ans.
3. Le Mobility Arrangement for Talented Early Professionals Scheme permet à 3 000 des meilleurs diplômés et professionnels indiens en début de carrière de travailler et de séjourner en Australie pour une durée maximale de deux ans. Ils peuvent demander un visa permanent pour travailleurs qualifiés et leurs conjoints auront des droits de travail illimités.
4. Des visas de visiteur de trois mois sont accordés aux Indiens pour des raisons familiales ou professionnelles (le nombre de visas n’est pas limité).
Et ce n’est pas tout :
5. L’Australie doit également reconnaître les diplômes professionnels et universitaires indiens comme étant comparables aux qualifications australiennes à des fins d’études et d’emploi.
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Trudeau a fait des envieux avec son immigration indienne totale.
Ses millions de chieurs de rue importés en moins de deux ans ont donné le vertige aux démocraties capitalistes qui s’empressent de faire de même.
Le centre commercial Vaughn Mills en Ontario aujourd’hui.
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En France, nous n’avons pas encore atteint ce stade tant nos dirigeants sont friands de Noirs et de Maghrébins, mais tôt ou tard ils entendront parler de ce filon infernal et alors ce sera vraiment la fin du monde.
Pour mesurer la chose, il faut avoir conscience que les Algériens font figure d’êtres humains par comparaison. La particularité des Indiens est leur caractère maléfiquement repoussant. Ces créatures sont la saleté incarnée. Et n’allez pas croire que c’est exclusivement vrai dans leur pays. Ils sont la crasse et leur peau a cette particularité d’en avoir absorbé la couleur et les reflets. Il vous suffit de les regarder luire au soleil pour comprendre ce que je veux dire. Et je ne parle pas de leur religion qui fait de l’islam un progrès civilisationnel majeur par comparaison.
Ces Indiens sortent tout droit d’un cauchemar. Parmi leurs usages les plus prisés, cramer leurs morts au milieu des poules et des ordures et se baigner fièrement dans l’eau souillée de jus de cadavres.
C’est une autre dimension.
Les comportements les plus immondes sont naturels pour l’Indien. Tout ce qui est sale ou pourri attire l’Indien comme une mouche, la créature qui lui ressemble le plus.
Vous y voyez l’insoutenable, il y voit un met de luxe irrésistible.
L’Inde est un pays dysfonctionnel sur tous les plans où les catastrophes sont le lot commun des Hindous. Ils meurent comme des insectes de dizaines de façons différentes et ce, depuis des millénaires.
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La culture indienne est indissociable de la merde.
Le pays entier repose dessus.
Il y a bien sûr des festivals religieux qui lui sont dédiés.
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Mais il y a surtout ce rapport d’extrême félicité au contact des déjections. On ne trouve cela nulle part ailleurs sur terre, pas même en Afrique noire.
Dès le plus jeune âge, les Indiens sont brutalement plongés dans la merde pour s’en imprégner spirituellement.
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Il y a l’immigration et puis il y a l’immigration indienne.
Imaginez que l’Inde pourrait déverser 100 millions de ses sujets en Europe sans même sentir la différence. En revanche, pour l’Européen moyen, ce serait comme un voyage direct dans les coins les plus reculés de l’Enfer. Cette concentration de vice, de crasse et des usages les plus impies échappe à notre capacité de compréhension.
Il faut avoir vu une ancienne blanche repeuplée de Dravidiens pour comprendre que ce nous tenons pour fermement acquis au plan civilisationnel peut disparaître en un instant.
Pour se survivre à elle-même, l’Inde a trouvé un mécanisme redoutable : exporter ses centaines de millions de « génies » dans les pays blancs. Le gouvernement indien se démène pour se débarrasser de ces perles rares dont Trudeau et Musk assurent qu’elles sont la solution à tous leurs problèmes de trésorerie.
Avec un QI moyen de 76, l’Inde dispose d’un nombre total de génies potentiels (QI ≥ 145) de 3,000 individus.
C’est 469,000 pour le Japon et 4,4 millions pour la Chine.
Modi est partout, signant un traité de coopération après l’autre, pour se défaire de ses congénères et nous entraîner par la même occasion dans la cuvette des chiottes géante qu’il préside.
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Ce système de Ponzi qu’est la démocratie de marché juive pense avoir trouvé dans le bétail du tiers-monde, tout spécialement d’Inde, une source inépuisable d’esclaves pour remplir ses coffres aux dépends des travailleurs blancs.
A priori, elle n’a pas tort.
Toute personne – quelle que soit sa race, sa croyance ou sa nationalité – qui est venue en Amérique et qui a travaillé comme une forcenée pour contribuer à ce pays aura toujours mon respect.
L’Amérique est le pays de la liberté et des opportunités. Luttez avec toutes les fibres de votre être pour qu’il en reste ainsi !
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C’est la logique judéo-protestante de voracité capitaliste qui a mené l’Afrique du Sud à la ruine et que Musk a piteusement fui pour en reproduire la logique en Amérique.
La Chine va écraser économiquement les États-Unis sans jamais avoir recouru à cette arnaque hébraïque qu’est l’immigration et se retrouver in fine avec un bloc économique, technologique et militaire quatre fois plus puissant que les USA racialement balkanisés avec un glorieux QI médian de 85 en 2050.
C’est une bénédiction de voir cette fraude de Musk montrer son visage aussi rapidement.
L’imposture n’aura pas duré longtemps.
Démocratie Participative
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Australie | Le restaurateur antisémite a comparé Israël aux nazis et en paie le prix.
Un propriétaire d’une chaîne de restaurants de luxe fait face à un boycott et à une colère intense de la communauté juive en Australie après avoir comparé Israël aux nazis. Des fournisseurs ont refusé de travailler avec lui, l’un de ses chefs l’a quitté, et son restaurant, situé dans un bâtiment appartenant à des Juifs en colère, subit des pressions de toutes parts. Alan Yazbek, restaurateur…
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