#train de vie à vie
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Train de vie, à vie
Finalement le Mozart des Finances a plongé la France en récession et continue de la ruiner sans vergogne.
Temps de lecture = 4 minutes Le budget de la Nation, voilà un sujet qui devrait concerner tous les citoyens. Par Claude Picard Continue reading Train de vie, à vie
#2B009A#budget#citoyens#Claude Picard#La Nation#Macron#Observatoire du MENSONGE#politique#train de vie à vie
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ça c symbolique ça c symbolique... mais là à un certain point si tout est symbolique ya rien qui reste. genre il faut garder qqch au moins qcq tu fait de ta vie sinon
#julia.txt#vagueposting in french to offset the vagueposting guilt#jcrois quil y a un juste milieu quon peut trouver entre ya rien qui est symbolique tout est mot pour mot#et des fois. ya des actions quon doit prendre. cmon#la vie chrétienne est pas une vie que tu passe à rester dans ta chambre en train de contempler#c quand même une vie d'action#et quand ya qqch qui est DIT. GENRE C UN ORDRE DIRECT#là il faut admettre. il faudrait le faire#mais bon. peace and love on planet earth#un ordre direct de la BOUCHE du seigneur genre jpeux pas croire qu'il y a du monde qui croit que c symbolique#jen peux plus
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There is something so personal about listening to Jean-Jacques Goldman
#en train de me retenir très fort de ne pas hurler Il changeait la vie dans le transilien#je suis juste là à hocher gentiment la tête en rythme alors qu'intérieurement je suis :#IL Y MIT TANT DE COEUR DE LARMES ET DE DOULEUR#bref#jjg posting on main as one do#upthebaguette#jean jacques goldman#pia's oversharing
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En train de me faire tous les sites d'estimation de mensualité et emprunt max en crédits immobiliers et le prêt à taux 0 car j'ai aucun self contrôle, que la recherche immobilière est une de mes hyperfixations et que apparemment, c'est un des seuls trucs qui calme mon anxiété puissance 10000 depuis 1 semaine.
#jezatalks#encore en train de me projeter sur des maison en pierre#et pleurer quand elles ne sont plus à la vente#jy comprendre pas grand chose mais je crois qu'avec mon compagnon on pourrait peut être envisager une maison à 150 000€ max#ouing les sous#pour ça faut qu'au moins un de nous deux ait un poste fixe#c dur la vie
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I'm going to Give The Fuck Up
#okay i'm writing the rest in french 1) for spyld purposes because it's 1am but still#and 2) so i can pull that post out next time i'm seeing a therapist and maybe they'll take me seriously#donc je suis censée avoir fait un essai et une présentation pour demain (enfin. dans genre 8h)#et j'ai un autre exposé pour vendredi#j'ai rien commencé j'y arrive pas je peux pas#je suis au bout du bout j'arrive pas à me forcer à le faire je peux pas#c'est comme si ça faisait 4 ans que je courrais et qu'on me demandait de faire un sprint final#genre j'ai encore de l'énergie. mais bien sûr. je suis encore debout et c'est un miracle mais oui grave je vais sprinter#je vais aller en cours demain je vais dire au prof que je peux pas et que j'ai pleuré dessus plusieurs fois (ce qui est vrai)#et lui demander ce que je peux faire parce que là c'est pas possible#et on va voir!#je suis au bout de ma vie je n'en peux plus#plus le temps passe plus je me dis que ça vaudrait le coup d'abandonner et de rater mon année juste pour que ça s'arrête#ça fait des ANNÉES qu'à chaque période d'exam j'ai l'impression d'être un tout petit animal#qui s'est replié dans un coin de la pièce parce qu'un prédateur se rapproche#je suis dos au mur y a nulle part où aller et la menace se rapproche encore et encore et je peux rien faire#et je suis hors de moi tellement j'ai peur et je suis stressée#des mois et des mois que j'ai cette image de moi en toute petite souris qui gratte frénétiquement le mur derrière elle#parce que je peux pas aller devant moi. c'est là qu'y a le prédateur et je peux pas! je peux pas!!!#je peux pas fuir par là mais c'est la seule sortie et je vais pas y arriver et il faut que je parte il faut que je m'en sorte#si je reste là je vais mourir mais y a nulle part où aller et je suis pas en état de prendre une seule décision logique#je suis juste en train de paniquer et je peux rien y faire et il faut que je sois ailleurs où que ce soit mais pas ici pas ici pas ici#et toutes les fois où j'ai réussi à me mettre aux devoirs j'ai réussi à esquiver les conséquences mais pour combien de temps?#j'ai une semaine de répit. deux peut-être. et des fois ils faut que je le refasse immédiatement après et j'ai plus ce qu'il faut#si j'arrivais pas à me détacher de ça je serais paralysée toute la journée et je pleurerais au moins deux fois par jour#je mangerais pas je boirais pas je me doucherais certainement pas je parlerais à personne et je ferais absolument rien#rien qui me fait plaisir rien qu'y faut que je fasse rien rien rien. je serais figée tellement je suis stressée#du coup j'ignore et on dirait plus ou moins que ça va de l'extérieur mais je fais des crises de nerfs toutes les semaines#wow i have a ramble tag now
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Quand c'est direction Disney avec mon frère !!!! ❤️
#ça va faire du bien d'oublier un peu ma vie pendant quelques jours#bon même si ça commence mal#on est dans le train là et je viens de recevoir un message de l'élue au CMJ#comme quoi il manque une candidature dans un collège#alors que là j'ai tout fait normalement#et que quand je reviens c'est direct les élections#bref#on va mettre ça de côté#ils se débrouilleront sans moi#je suis tellement en retard dans le racontage de ma vie là#surtout niveau pro#il s'est passé plein d'autres trucs#mais j'arrive pas à trouver le temps de me poser et faire des posts
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Working for christmas is like going to bed at 19h, waking up at 4h and forgetting it's christmas.
But at least i got a nintendo switch teehee.
#et je me suis pétée le bide avec tous les trucs de la boulangerie#je veux bien y bosser si je peux manger gratos tbh#par contre j'ai bien mal aux jambes#et on m'a félicitée parce que j'ai fais du bon boulot à la vente hihihii#best gift ever#en plus la connasse qui couche avec le collègue marié et qui draguait le mien était pas là donc yeay belle journée#par contre les gens qui viennent acheter une buche pour 12 PERSONNES et qui râlent parce qu'il y en a plus#franchement#à quoi vous pensez#ptn mon copain a fait des mini burger foie gras#je pleure#le meilleur cadeau qu'on puisse me faire c'est vraiment de la bouffe jpp#gimme food and i'll give u my heart#voilà voilà je raconte ma vie#joyeux noël tout le monde#et passe un bon réveillon si qlq est tjr en train de lire mdr#<3
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Love in words| Kylian Mbappé x Fem Reader
Summary: Kylian wins your heart with a charming routine of leaving little love notes in French. Unbeknownst to him, you’ve been secretly learning French just to understand his sweet messages
Warnings: English is not my first language. I don't speak Dutch or French, so if there's any mistake, I would appreciate it if you let me know :)))
You couldn't help but smile when you noticed the little envelope next to the breakfast on the counter, certain that your boyfriend had prepared it before leaving for training. It was these small gestures that made you fall more deeply in love with him each day.
The past few months hadn't been easy. In fact, your relationship hadn't followed a "normal" trajectory at all. Just a year ago, you had left your beloved Netherlands to advance your modeling career. Many saw it as a leap into the unknown, predicting you would return with less than you left with. Fortunately, you proved them wrong. It was at a serene evening event under the moonlight, hosted by a brand to showcase their new perfume, where you first met your current partner.
From the moment you met him, you felt a connection. However, you rarely recount your first conversation because it embarrasses you, despite it being one of Kylian's favorite stories. To Kylian's surprise, you didn't recognize who he was, leading him to initially disbelieve you and playfully ask what profession you thought suited him. Without hesitation, you said "architect," which amused him greatly.
Luckily, it turned into a humorous anecdote, and the following week, the handsome Frenchman seized the opportunity to take you on a date where you could savor authentic French cuisine. It was during this date that your mother called you, causing you embarrassment as you excused yourself briefly to the bathroom to speak with her. Uncertain of how to ensure you didn't return with a negative impression of him, Kylian took a lipstick from your bag and wrote on a napkin, "Meeting you was a nice accident." This gesture deeply touched your heart, and since then, you've cherished that napkin, hoping to one day share it with your future children as a cherished memory.
When your relationship began, you faced a series of challenges. First, Kylian got injured. Although it wasn’t a severe injury, he was quite moody since his whole life revolved around football. Luckily, your arrival in his life cheered him up, and he used that recovery time to get to know you better. However, the main issue in your relationship was the language barrier. After moving to France, your French was not very good, and after some bad experiences with a few French people who got offended when you mispronounced words, you decided to communicate mostly in English. Additionally, Kylian didn’t know any Dutch, so your conversations often felt monotonous or a bit awkward, requiring a translator to express your different points of view.
Kylian was quite concerned when you told him about the "trauma" you developed due to those few rude individuals who belittled your efforts and preferred to ridicule you rather than help you improve. To encourage you, Kylian came up with a plan involving leaving little notes in French to motivate you to learn the language. Of course, he understood that you could easily use your phone to translate them, so the first letter he gave you was on your birthday, hoping you’d understand how much he wanted it to come from you and not from a simple translation app. Therefore, on your birthday, he left this letter along with a bouquet of blue carnations:
“Bonjour à l'amour de ma vie,
J'espère que tu as très bien dormi aujourd'hui comme la princesse que tu es. Tu n'as aucune idée de combien je suis fier d'être ton petit ami et d'avoir comme petite amie une personne si gentille et noble, quelqu'un qui se soucie des autres et qui n'a pas peur de tout risquer pour accomplir de grandes choses.
(Y/N), en seulement vingt-quatre ans, tu as accompli tant de choses, et j'espère que tu es fière de chaque réussite car je ne peux m'empêcher de sourire comme un idiot amoureux quand j'entends ton nom mentionné dans une émission de télévision ou que je vois que tu as posté une nouvelle photo sur ton profil.
Je sais que tu vas me tuer pour avoir tout écrit en français, mais j'espère qu'un jour tu liras et comprendras tout. Je ne veux pas dire que j'espère que tu seras ma femme et la mère de mes enfants parce que je suis sûr que cela arrivera; nous sommes destinés à être ensemble.
Merci de me supporter, et s'il te plaît continue de cuisiner; je ne sais pas ce que je ferais sans ta nourriture. Je t'aime tellement, mon amour, profite de ta journée.
P.S. Please, princess, don’t translate anything, and don’t ask anyone to translate it for you. I love you, my queen."
("Good morning to the love of my life.
I hope you slept very well today like the princess you are. You have no idea how proud I am to be your boyfriend and to have such a gentle, noble person as my girlfriend, someone who cares about others and isn’t afraid to risk everything to achieve great things.
(Y/N), in just twenty-four years, you have accomplished so much, and I hope you are proud of every achievement because I can’t help but smile like a love-struck fool when I hear your name mentioned on a TV show or see that you’ve posted a new picture on your profile.
I know you’re going to kill me for writing this all in French, but I hope that one day you’ll read and understand everything. I don’t want to say I hope you’ll be my wife and the mother of my children because I’m sure it will happen; we’re destined to be together.
Thank you for putting up with me, and please keep cooking; I don’t know what I’d do without your food. I love you so much, my love, enjoy your day.
P.S. Please, princess, don’t translate anything, and don’t ask anyone to translate it for you. I love you, my queen.")
When you read the letter, you couldn't help but feel a bit shocked because you didn't expect to receive a handwritten letter from Kylian, especially not one written in French. Although it frustrated you that you couldn't understand what was written, you were sure it was all kind words. From that moment on, you had a new goal: to decipher everything the letter said.
Your motivation grew with the increase in notes that Kylian left everywhere: in your car, your apartment, and even in your purse. His messages varied—some shorter, some longer—but they all had one common factor: they were all written in French.
“Mon cœur, les gars me taquinent parce que je veux aller voir Vice Versa 2 avec toi. Est-ce bizarre ? » "Sweetheart, the guys are bullying me because I want to see Inside Out 2 with you. Is that weird?"
« Hey, je n'aime pas que tu prêtes plus d'attention à mon frère qu'à moi. Rappelle-toi, j'ai une Coupe du Monde, et lui non. » "Hey, I don’t like that you pay more attention to my brother than to me. Remember, I have a World Cup, and he doesn’t."
« Pendant l'entraînement, je n'ai pas pu m'empêcher de penser à toi et à comment nos enfants vont me taquiner parce que je ne parle pas néerlandais. Pourquoi tout le monde se moque de moi ? » "During training, I couldn’t stop thinking about you and how our kids will bully me because I don’t speak Dutch. Why does everyone make fun of me?"
All of this motivated you to sign up for classes with a private tutor to learn the language. You often surprised her by asking about the meaning of specific words to slowly decipher the meaning of your boyfriend’s letters. When you finally succeeded, you couldn’t feel more satisfied with yourself. So, you decided to write Kylian a letter in French and slip it into his training bag, hoping to surprise him. You also had a little revenge planned.
"My love, I hope training went well, and you had a great time with the guys.
Remember to behave, and there will be a delicious meal for lunch.
Overigens, ik denk dat het tijd is dat jij ook mijn taal leert, dus ik hoop dat je veel plezier hebt. Onthoud, als je opgeeft, zal mijn vader een slechte indruk van je hebben.
Ik hou van je, mijn kleine schildpad.
(By the way, I think it’s time for you to learn my language too, so I hope you have a lot of fun. Remember, if you give up, my father will have a bad impression of you.
I love you, my little turtle.)
P.S. Don’t use the translator either."
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Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort. Le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
Paulo Coelho
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Le train de la vie
A la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents. Et on croit qu’ils voyageront toujours avec nous. Pourtant, à une station, nos parents descendront du train, nous laissant seuls continuer le voyage… Au fur et à mesure que le temps passe, d’autres personnes montent dans le train. Et ils seront importants : notre fratrie, amis, enfants, même l’amour de notre vie. Beaucoup démissionneront (même l’amour de notre vie) et laisseront un vide plus ou moins grand. D’autres seront si discrets qu’on ne réalisera pas qu’ils ont quitté leurs sièges. Ce voyage en train sera plein de joies, de peines, d’attentes, de bonjours, d’au-revoir et d’adieux. Le succès est d’avoir de bonnes relations avec tous les passagers pourvu qu’on donne le meilleur de nous-mêmes. On ne sait pas à quelle station nous descendrons. Donc vivons heureux, aimons et pardonnons ! Il est important de le faire, car lorsque nous descendrons du train, nous devrions ne laisser que des beaux souvenirs a ceux qui continuent leur voyage… Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage fantastique. Aussi, merci d’être un des passagers de mon train. Et si je dois descendre à la prochaine station, je suis content d’avoir fait un bout de chemin avec vous ! Je veux dire à chaque personne qui lira ce texte que je vous remercie d’être dans ma vie et de voyager dans mon train. »
Jean D’Ormesson
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Belle Lettre d'amour... à lire......
Lettre de Consuelo de Saint-Exupéry à son mari Antoine St Exupery
Fin décembre 1944
Que j’aille très loin, en train, en avion, sous la mer, par la terre, j’ai l’impression que jamais je ne pourrai arriver jusqu’à toi.
Tonio, Tonito, mon homme, mon fils, mon clocher, fais sonner les grandes cloches parce que je ne peux pas respirer. J’ai grossi en attendant la houle qui va te ramener.
Je tombe avec les feuilles, avec la pluie, avec ma jupe de fête.
Je ne peux pas marcher à force d’attendre le moment où
je reverrai tes yeux, ronds comme des fleurs.
Tu ne vois pas que je ne peux pas arroser l’arbre de Noël pour le faire grandir. Mon mari des étoiles, j’ai de tout petits pieds et de toutes petites mains, il faut que tu reviennes m’aider.
Je ne sais pas comment j’ai marché depuis mon enfance jusqu’à aujourd’hui. Ma vie fut un immense vertige.
A présent, j’ai des cheveux gris, j’ai tellement de larmes dans ma bouche que cela me suffirait pour boire toute ma vie.
Pourquoi Tonio, mon Tonio, mon mari,
mon mal et mon bien, mon ciel et mon enfer,
es-tu parti pour ne jamais revenir ?
Je ne peux pas le croire, je ne veux pas le savoir, tu es parti dans ton avion, le 31 juillet, en mission de guerre et tu n’es pas revenu. Pas de nouvelles de toi et l’année va finir. Il faut que je l’accepte, et si je l’accepte, c’est pour t’aimer davantage.
Comme je t’aurais aimé si tu étais revenu ! Comme toi aussi tu aurais fait la même chose pour moi !
Seigneur à la couronne d’épines, arrache-moi le cœur pour qu’il ne me fasse plus mal.
Tu sais, toi, que Tonio est tout pour moi. Sans lui, je ne suis rien. Sur la table de ma chambre d’hôtel, j’ai un livre de lui, son portrait avec son manteau de soldat en cuir et ses fines mains d’homme comme des ailes et sa barbe pousse avec mes larmes.
Seigneur grand et miséricordieux, je te donne ma peine et ma douleur.
Mon Père, aide-moi. Je n’ai personne pour aimer, pour attendre, pour embrasser.
Ma maison est devenue petite, seule ma fenêtre reste ouverte pour faire entrer le ciel où il est parti en s’envolant pour ne pas revenir.
Rendez-le-moi mon Père, je vous en prie, faites un miracle.
Si vous me le rendez dans sa tendresse, je le coifferai, je le laverai, je l’embrasserai et ensemble nous irons jusqu’à vous
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Ma vie dans le train.
Pour le boulot je dois parfois, comme aujourd'hui, prendre le train pour Paris et clairement :
Devoir se lever à 5h30 en sachant qu'on va rentrer chez soi vers 22h est un concept auquel j'adhère assez tièdement.
Le seul et unique avantage de la première classe c'est qu'il y a moins de monde, donc moins de bruit, mais surtout moins de monde. Rien de plus.
Les toilettes dans les trains. Au secours.
Ça va vous sinon ?
J'ai commencé à prospecter pour Noël, vous aussi ou encore trop tôt ?
Jusqu'où peut aller la numérotation de ce type de liste ?
Il y a t'il un lien entre Juste LeBlanc, Michel Blanc et l'album Blanc ?
Ah, sinon dans le Chez Paul de la gare ils font des petites baguettes aux pépites de chocolat qui sont pas mauvaises du tout.
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Jour 14 : Errer
Day 14 : Roam
Dessin traditionnel tracé au crayon à papier puis encré avec les stylos Pigma Micron, de la taille 005 (0,25 mm) à la taille 8 (0,50 mm).
Le lieutenant Hank Anderson (Détroit : Become Human) a quelques problèmes personnels liés à l'alcoolisme et au deuil de son fils, Cole. Dans un moment de creux durant l'enquête, Connor le retrouve en train de boire dans un parc pour enfants, face à l'horizon d'un Detroit nocturne sous les premières neiges de saison.
La présence de l'androïde dans sa vie redonne à Hank de l'espoir en l'humanité et quelque chose en quoi se raccrocher.
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Traditional drawing traced with pencil then inked with Pigma Micron pens, from size 005 (0.25 mm) to size 8 (0.50 mm).
Lieutenant Hank Anderson (Detroit: Become Human) has some personal problems related to alcoholism and the loss of his son, Cole. In a low moment during the investigation, Connor finds him drinking in a children's park, facing the horizon of a nighttime Detroit under the first snow of the season.
The android's presence in his life gives Hank hope in humanity and something to hold on to.
#inktober 2024#detroit become human#dbh fanart#inktoberchallenge#dbh connor#dbh hank#hank and connor#hank anderson#detroit become human fanart#hannor
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"Un café crème et une minute, voire deux, de réflexion. Nawel (1) est à la recherche des mots pour décrire ses sentiments. La trentenaire est «chargée de sécurité en ligne» pour un média social. Elle a «galéré» pour se faire embaucher. La faute à quoi ? Son nom, son prénom et sa religion, dit-elle dans une brasserie parisienne proche de la place de la République. «Je fais attention à ne pas tomber dans la colère parce qu’on nous refuse le droit à la colère. Elle est perçue comme une forme de violence alors que nous la subissons au quotidien.» Le «nous» englobe de nombreux Français musulmans diplômés. Ils dénoncent une atmosphère «pesante» dans le monde du travail, les médias et l’espace public. Ils ne supportent plus les regards de travers les jours qui suivent les attentats, la «suspicion» et les débats politiques. Une vie avec la «boule au ventre», disent-ils.
Aïcha (1) qui enseigne la littérature dans le Val-de-Marne garde encore en elle la souffrance lorsqu’un collègue lui a posé une question après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Elle était installée en train de boire son café en pianotant sur son téléphone dans la salle des professeurs. Tout était calme. Puis : «Et toi Aïcha, tu es bien silencieuse, ça ne te fait rien ce qui vient de se passer ?» Elle a fondu en larmes dans sa voiture sur le chemin du retour. En arrivant à son domicile, Aïcha a demandé à son compagnon : «Pourquoi on reste encore ici alors qu’on pourrait être respectés ailleurs ?»
«On se bat pour se faire embaucher»
Le ressenti est documenté. Trois sociologues ont mené une enquête. Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont interrogé une partie de cette «élite minoritaire» – appuyée sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et sur 140 entretiens approfondis – qui a décidé de quitter la France pour s’installer à Londres, Dubaï, New York, Casablanca, Montréal. Ils ont en fait un livre, La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil). Les interrogés racontent les raisons de l’exil : discrimination, stigmatisation et difficultés à grimper dans le fameux ascenseur social. Libération a rencontré une dizaine de jeunes diplômés musulmans – pratiquants ou non – qui travaillent actuellement en France mais qui pensent chaque jour un peu plus à l’exil. Nous en avons également croisé qui ont passé le cap ; celui de vivre ailleurs.
Le recteur de la grande mosquée de Bordeaux, le médiatique Tareq Oubrou, perçoit le phénomène. «Le malaise est profond chez les musulmans et ne l’a jamais autant été. Il y a de grandes interrogations, une angoisse même face à l’avenir politique et social d’une France qui se crispe», explique cette figure de l’islam de France. Combien ont passé la frontière ? Les chiffres n’existent pas.
Salim est ingénieur dans la téléphonie. «J’en parle presque tous les jours avec des copains, dit-il en introduction. Nous sommes nombreux à ressentir la même chose. On se bat pour se faire embaucher et on galère pour être promu. Récemment, mon collègue qui a été nommé chef d’équipe a été gêné. Il n’arrive même plus à me regarder dans les yeux. Je suis arrivé avant lui et j’ai fait de meilleures écoles que lui. Je suis vu comme le mec sympa qui fait des blagues, qui devrait remercier chaque matin ses patrons d’être là.» Le trentenaire est en train de se laisser convaincre par son cousin à Londres. Il gagne le double de son salaire mais pas seulement. Salim regarde le plafond, s’évade et revient parmi nous : «Personne ne lui fait de réflexions pendant le ramadan ou après une attaque terroriste. Il n’est pas vu comme un arabe ou un musulman mais comme un ingénieur français.»
«Je me suis sentie entièrement française»
Dans la brasserie parisienne, Nawel commande un second café crème et déroule le câble de sa trajectoire. C’est la petite dernière des huit enfants de la famille. Ses parents ont quitté le Maroc à la fin des années 60 pour s’installer dans l’Yonne. Le daron à l’usine et la daronne avec la marmaille. La famille déménage un peu plus tard dans un petit village du Loir-et-Cher. «Mon père est devenu bûcheron. Les premiers temps étaient compliqués dans le village. Il y avait beaucoup de racisme, nous étions la seule famille arabe du coin. Mais notre famille nombreuse a sauvé l’équipe de foot, la fanfare et l’école du village.» Après un bac littéraire, la petite dernière se lance dans la sociologie. Elle se retrouve à Londres grâce au programme Erasmus. Tout change. «Je rencontre des gens du monde entier et plus personne ne me méprise, dit-elle. Je n’avais plus besoin de me justifier ou d’avoir honte de ce que je suis. Et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie entièrement française.» Cette dernière phrase reviendra souvent tout au long de nos rencontres avec les expatriés.
Nawel se cherche à son retour. Elle se lance dans le journalisme, un milieu où l’entre-soi est roi et la diversité (surtout dans les postes à responsabilité) un songe. Elle galère, enchaîne les petits jobs pour payer les factures. Elle décide de partir pour Dublin, en Irlande, où elle se retrouve – après avoir vendu des sandwichs – modératrice de contenus pour Facebook. Elle gravit les échelons en interne et change de boîte. Airbnb puis Twitter (devenu X). La vie est belle. Un bon salaire et des responsabilités. Nawel décide de rentrer en France après sept années en Irlande. «Je pensais que ça allait bien se passer. J’avais fait mes preuves dans de grosses boîtes, mais non. Je postule à un tas de trucs mais je n’ai aucune réponse. Je galère aussi pour trouver un appartement à Paris. J’avais des offres d’emploi toutes les semaines en Irlande et pas une depuis mon retour en France.» Elle ne lâche pas l’affaire. La «chargée de sécurité en ligne» décroche deux entretiens. Deux réponses positives. Elle ne croit pas au hasard : «J’ai eu un entretien avec un directeur des ressources humaines maghrébin et le second, c’était en visioconférence avec un Afro-Américain parce que c’est une entreprise américaine.»
Pour Amara, 24 ans, la religion en France reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. (Dorian Prost/Libération )
La jeunesse diplômée qui pense à l’exil se ressemble dans le regard de ceux qui mettent dans le même sac les enfants d’immigrés nés en France. «Nous sommes différents. Tous les Arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas Arabes, explique Salim. Et chez les croyants, les degrés de pratique varient mais de nombreuses personnes ne cherchent pas à comprendre.» Les pratiquants, notamment les femmes voilées, sont nombreux à se projeter loin de la France ; pas forcément dans des pays musulmans.
«On est obligés de cacher un peu notre identité»
Cap au Nord. Ils ont tous les deux un parcours brillant : étudiante en M1 dans une grande école lilloise pour l’une ; en dernière année de Centrale-Lille, cursus ingénieur en développement applications mobiles et web, pour l’autre. Fatima (1), 22 ans, a grandi à Roubaix, immigration de troisième génération. Ses grands-parents, habitants de l’Algérie française, sont arrivés en métropole dans les années 50. Amara, 24 ans, originaire de banlieue parisienne, a des parents venant d’Afrique subsaharienne : Côte-d’Ivoire pour le père, Guinée pour la mère. Tous les deux, si différents dans leur histoire, partagent le même désir d’ailleurs. «Rester reviendrait à vivre dans un pays où on ne se sent pas à 100 % acceptés», résume Fatima, voile kaki accordé à sa chemise vintage, chinée en friperie, et jeans blanc. Amara approuve : «Je voudrais trouver un pays où je peux pratiquer ma religion dans des conditions plus propices.» Il dit qu’en France, la religion reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. Un regret ? «On est dans le pays où on a grandi, on fait la culture de ce pays, mais on est obligés de cacher un peu notre identité.»
Fatima souffre, elle, de l’image des musulmans issus des quartiers populaires. «On les associe dans l’imaginaire collectif à délinquance et à communautarisme. Et on nous confond avec des terroristes», soupire-t-elle. Le retour de Berlin, après un séjour Erasmus, a été dur. «Deux jours après, c’était l’annonce de l’interdiction de l’abaya. Je ne me sens pas vraiment concernée, je n’aime pas porter des robes, mais après Berlin, où tout le monde se respecte…» Elle porte le voile depuis trois ans. Dans son école lilloise, elle n’a subi aucune discrimination, de la part des profs comme des élèves. Juste parfois des étonnements maladroits quand on constate qu’elle ne parle pas arabe ou que ses parents sont français. Elle flippe pour les entretiens d’embauche. Elle a une autre peur, que l’extrême droite arrive au pouvoir. Pour ces raisons, elle prévoit de chercher du travail au Canada ou en Grande-Bretagne. «Soit on reste et on aide au développement de sa ville, soupire-t-elle. Soit on part, avec un sentiment de culpabilité. La France a investi sur moi, mais cela ne lui profitera peut-être pas. Je n’ai pas l’impression qu’elle se rende compte de cette perte.»
Amel a une phobie : l’avion. Elle traverse les mers et les océans pour rejoindre les différents continents. Elle a vécu un temps au Brésil. Puis un long moment à Dubaï. Elle raconte toujours un tas d’histoires. Ses traversées en cargo ou en voiliers. «J’ai toujours su que je quitterais la France après mes études, explique l’ancienne étudiante en école de commerce. Je n’ai jamais été une victime directe de racisme mais je sentais que j’aurais moins de barrières ailleurs et qu’on ne me jugerait pas.» Amel a créé plusieurs entreprises à Dubaï dans la cosmétique. Elle travaille aussi dans la finance. Dans un café du IIe arrondissement de Paris, la trentenaire pose une question qui paraît banale : «Pourquoi les choses ne changent pas ?» Elle ne cherche pas la réponse. Elle refuse de parler de «regrets» ou de «gâchis». Elle préfère dire «tant pis» pour la France. Son retour à Dubaï est programmé pour les prochaines semaines. Elle cherche un voilier pour embarquer.
Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante»
Omar est ingénieur en informatique. Il a tout quitté du jour au lendemain pour la Californie. Une décision «difficile mais réfléchie», «contrainte aussi». Le trentenaire, fils de Marocains, est musulman pratiquant. Il y a six mois, il était encore «bien installé». Omar a traversé le monde pour s’établir à Los Angeles avec sa femme Nadia, 30 ans, chercheuse en biologie, et leurs deux enfants de 3 et 8 ans. La réponse à «une atmosphère islamophobe» devenue trop pesante. «Nos proches nous manquent, mais on ne veut plus se cacher par peur d’être jugés», dit-il. La réalité ? Un «incident» leur a fait franchir le pas l’an dernier. «Nadia a été dénoncée par des collègues car elle portait le voile dans son laboratoire.» Des questions de sécurité ont été mises en avant. Une «fausse excuse», selon Omar, qui insiste pour dire que sa femme travaille désormais dans l’un des plus grands hôpitaux de Californie «sans que cela ne leur pose de problème». Dans son entourage, leur cas n’est pas isolé, ses deux sœurs, dont il préfère taire la profession, sont parties en Angleterre pour les mêmes raisons.
La trentenaire Amel a préféré dire «tant pis» à la France et partir vivre à Dubaï. (Marie Rouge/Libération)
Facky, lui, raconte un tas d’anecdotes. Diplômé d’école d’ingénieur l’an dernier, il a sauté le pas il y a quatre mois pour rejoindre le Japon. Une parenthèse pour le moment. Il compte y apprendre la langue, pendant un an, et, s’il s’y plaît, s’y installer définitivement. Ici ou ailleurs mais pas en France. «J’aime mon pays mais malheureusement je n’ai plus vraiment l’espoir de vivre sereinement quand on te répète tous les jours que tu n’es pas chez toi en France.» Il raconte des expériences. Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante». Cette fois, lors d’un contrôle d’identité alors qu’il attend sa mère, où quatre policiers le mettent en joue par crainte de ce qu’il peut avoir dans son sac. Un flingue pointé sur sa tête. Ou alors, «moins grave», mais tout aussi «fatiguant», lorsqu’un caissier de supermarché refuse de passer ses articles. Dernier épisode en date, il y a un mois, dans l’avion le ramenant en France pendant le ramadan. Il explique au personnel de bord qu’il jeûne. Une femme, assise à portée de la conversation, juge bon de donner son avis : «On est au Japon ou à Kaboul là ?»
Dans la brasserie parisienne, Nawel regarde l’heure. Elle doit retourner travailler. La pause est terminée. Une ultime question : partir ou rester en France ? «Je parle cinq langues et j’ai fait mes preuves mais mon pays a du mal à reconnaître mes compétences. C’est triste. Nos parents sont venus ici pour travailler sans faire de vagues. Ils ont accepté beaucoup de choses que je ne pourrais jamais accepter.» Nouvelle hésitation. Nouveau silence. Puis : «Je n’ai pas envie de faire semblant ou de jouer à la meuf sympa pour me faire une place. C’est terminé cette époque. Peut-être que demain j’aurai des enfants et je ne veux pas qu’ils grandissent dans une ambiance ou il faut toujours montrer patte blanche ou se justifier.» "
(1) Les prénoms ont été modifiés.
#article copié en entier car réservé aux abonnés#rien ne me surprend dans cet article mais ça m'attriste...#racism#upthebaguette#whatthefrance#french side of tumblr#french#en français#maghreb#mena#arabe#islam#muslims
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Anaïs Nin par Guillermo Summers
« André Breton m'a rendu visite. Je me disais que l'atmosphère de ma vie, mes intuitions inarticulées correspondaient à sa sensibilité poétique. Il n'en fut rien. Il était intellectuel. Il parla idées, pas impressions ni sensations. Et il me raconta une histoire de ce qui était le contraire de ce que je m'étais figuré.
Il avait parlé du jeu surréaliste qui consiste à se retrouver à plusieurs pour s'engager dans une action non concertée. Ils prennent le train, descendent n'importe où, un endroit qu'il ne connaissent pas, et attendent que des surprises, des choses se produisent. Ou bien montent dans un autocar et décident tout à coup de rester dans une petite ville, et d'attendre l'inattendu. Il raconte cela avec solennité, davantage comme un roi s'adressant à un auditoire que comme un collègue artiste parlant à d'autres artistes. Il n'attendait pas de commentaires, seulement des auditeurs.
Puis il dit : « L'autre jour, j'ai reçu une lettre d'une femme. Elle avait écrit une lettre très belle. Elle commentait l'importance que j'attache à la « surprise », aux coïncidences, et disait qu'elle aimerait me rencontrer seul sous le pont Royal un soir à minuit. Elle ne voulait absolument pas révéler son identité. »
J'attendais le reste de l'histoire. Breton ajouta : « Je n'y allais pas. Bien entendu.
Pourquoi « bien entendu » ? demandais-je.
Parce que j'ai de nombreux ennemis et que ç'aurait pu être un piège ».
Lorsqu'il vit combien j'étais déçue de son manque d'esprit d'aventure, il ajouta : « J'y allais la deuxième fois, pourtant après qu'elle m'eut écrit. Mais je pris soin de poster deux amis loyaux sur le pont de manière à pouvoir les héler en cas de danger .»
Cette histoire, ajoutée à son manque de goût pour la musique, trahissait ce que je soupçonnais dans le surréalisme, la part qui en est consciente, préméditée et une technique intellectuelle ; elle trahissait l'homme de laboratoire. C'est ce qui m'empêcha d'épouser le surréalisme, de devenir un disciple totalement engagé.
P.377,378
Anaïs Nin « Journal 2 - 1934-1939» Livre de poche
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Je décide de te partager mon rêve de cette nuit car il est drôle. J'étais chevalier de la table ronde post KV1 et y'avais Guenièvre et Arthur qui était partit en vacances pour prendre un break .Donc moi j'aide à la reconstruction du château tout ça sauf que personne ne sait ce qui s'est passé à la tour,tout le monde pensait qu'ils s'entendaient bien mais c'est tout. Bref les éclaireurs ils disent que le roi et la reine ils vont pas tarder donc Perceval et moi on courent les rejoindre car on est trop content et quand on arrive on voit Arthur et Guenièvre en pleine séance de pelotage sur l'herbe et moi complètement choqué je dis "Mais Sire,vous vous roulez des patins ???"
Après ya Arthur qui commence à nous engueuler et nous dire que c'est pas parce qu'il est roi qu'il a pas le droit d'avoir une vie privé, Guenièvre elle est mitigé entre mourir de honte et partir en énorme fou rire et Perceval et moi on est comme ça 🧍♂️🧍♂️ à accepter l'engueulade car on connaît pas vraiment les choses de l'amour.
MDRRRR alors non ça c'est pas un rêve c'est carrément une prémonition, et j'espère bien que ça va arriver dans kv2 parce que c'est génial
j'imagine perceval et un jeune genre petrok ou iagu qui tombent sur arthur et guenièvre en train de se pécho et juste ils sont là en mode "????????? mais c'est dégueu???????"
10/10 pour le rêve merci de l'avoir partagé
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