#torse poilu
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thebusylilbee · 2 months ago
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"Racisés, ils nous racontent comment s’expriment, à leur endroit, des représentations racistes dans le cadre du dating. Dans notre deuxième épisode, Nabil (1), 30 ans, est fatigué d’être enfermé dans le stéréotype du mâle alpha poilu et bestial.
Chercher l’amour (ou la bagatelle) sur les applis de rencontre n’a, parfois, rien d’une partie de plaisir tant les profils abondent… avec leur lot de déconvenues. C’est encore plus vrai pour les hommes et femmes racisés. En matière de dating, ces derniers doivent parfois composer avec une essentialisation, majoritairement exprimée par des personnes blanches avec, pour corollaires, fétichisation et exotisation. Les applis exacerbent ces phénomènes racistes qui s’étendent, aussi, aux rencontres IRL. Ils ou elles témoignent de leur sidération, de leur lassitude ou de leur colère vis-à-vis de comportements qui laissent des marques. Aujourd’hui, Nabil (1), 31 ans, restaurateur à Genève.
«Je suis Libanais. J’ai des traits méditerranéens assez développés et je suis très poilu. Sur les applis, les hommes qui m’écrivent ne passent pas par quatre chemins. C’est direct : “Tu es un Arabe bien mat, j’adore les Libanais et en plus j’adore tes poils.” Pour eux, je suis la caricature du brun ténébreux typé Moyen-Orient avec un regard perçant. Cette exotisation est sans doute renforcée par le fait que je vis en Suisse, où il y a beaucoup de blonds. J’incarne pour eux un alter ego bestial. Lors de mes rapports sexuels, j’ai droit à des commentaires sur mon arabité excitante et sur ma pilosité excessive qui me rend animal et sauvage pour eux. Je dois calmer des hommes qui s’excitent sur mon torse poilu et mes fesses velues qu’ils caressent de manière obsessive, en occultant tout le reste de mon corps.
«Dans mes rencontres avec des hommes plus âgés, ils m’abordent ouvertement en me disant : “ Oh un jeune Arabe bien typé ! Tu es tout ce qu’il me faut.” J’ai vite été mal à l’aise quand j’ai compris qu’il ne s’agit pas que d’une préférence physique : ils attendent de moi une attitude qui colle avec mon corps. Je dois être ce mec arabe ultra-viril. Ils placent de fortes attentes sexuelles envers moi. Sur Grindr on me dit souvent : “Mon rêve c’est de me faire brutaliser par un étalon comme toi.” Avec ces personnes je n’ai pas le droit d’être maniéré, je ne peux pas être moi-même. Je me souviens d’un rendez-vous avec un gars qui est parti déçu. Il m’a dit que j’étais beau mais qu’il cherchait un Arabe dominant.
«On est dans un schéma de masculinité toxique. Dans ce type de relation, je ne peux pas être passif, je dois toujours être actif. Heureusement que tu as des gens qui me disent “ j’adore ton sourire” , c’est hyper agréable, mais ça reste une minorité. Trop souvent, je me sens déshumanisé. Pour être attirant, je dois me comporter comme un hétéro de base. Être un dominant qui ne sourit pas, qui ne rigole jamais et qui doit rester froid, mystérieux pour être désirable. Du coup quand je fréquente quelqu’un, c’est très rare pour moi de pouvoir lâcher prise, faire mes gémissements, pousser mes cris aigus, me cambrer. Ces attentes sur mon corps me forcent à annihiler une partie de moi. Quand je rencontre quelqu’un au départ, je cache aussi ma passion pour les drags, je parle le moins possible. »"
(1) Le prénom a été modifié.
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camisoledadparis · 1 month ago
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saga: Soumission & Domination 298
Gwen -2, recrutement Escorts hétéros
Gwen fait du bon taf avec mes clientes. C'est même au point que mes autres Escorts font " fade " quand ils passent après lui. Il faut dire que mes jeunes sont plutôt des homos à tendance bi que des hétéros avec la même tendance ! Si je veux garder ma clientèle féminine et être en mesure d'étendre ce secteur, il va falloir que je recrute. J'en parle à PH qui est d'accord avec moi. J'en discute aussi avec Gwen et Stéphane. Je leur demande si, parmi leurs collègues il n'y aurait pas des mecs intéressés pour gagner 4 SMIC par mois à raison d'une soirée par semaine. Si Stéphane réfléchit, Gwen nous dit en connaitre une bonne demi douzaine que le salaire miteux d'interne condamne au minimum vital. Il pousse du coude Stéphane et lui dit que ce serait peut être le moment de se lancer lui aussi. Notre Stéphane passe pivoine ! Et comme il s'empêtre dans des arguments fallacieux, je tranche le débat et disant à Gwen que son pote appréciait plutôt le petit cul de notre Maxou et de pas le faire chier avec ça. Il revient tout de suite à la liste des collègues qui serait probablement prêt à taffer pour moi. Avant qu'il ne les approche, je prends la liste de noms et l'envoie pour enquête rapide à mon contact ex RG.
Ce n'est qu'après avoir lu leurs dossiers que j'autorise Gwen à contacter certains. J'en écarte deux qui ont une consommation régulière, bien que faible, de shit. Les seuls produits que j'autorise sont : le gel, les poppers (pas tous), et la créatine pour la partie développement physique. Les quelques fumeurs ont été priés d'arrêter. Il n'y a que dans les films que l'haleine de chacal que ça donne est romantique.
Je reçois les trois premiers de ma liste. Ils sont tous plus âgés que ma bande d'Escorts " homo " et tapent plutôt les 25-27ans que les 19-22. Physiquement ils ne sont pas trop mal foutus, sans être aussi sportifs que les autres. Manque de temps ! Deux blonds peu poilus et un brun au torse bien couvert (enfin une ligne remontante du pubis et rejoignant des pecs un peu couverts, avec bien sur le corolaire, bras et jambes velues. Si les deux blonds ne font pas de difficultés à passer à l'épilation (c'est vrai que ça ne les changent pas beaucoup), je dois user d'arguments avec le brun. Il a l'impression de perdre sa virilité si on lui retire le surplus de poils disgracieux. Les couilles rasées, il comprend que c'est plus agréable de ne pas se prendre des poils entre les dents. Je profite de cette remarque pour lui demander s'il préfère les meufs avec un tablier de sapeur et le cul plein de poils ou celles qui s'entretiennent et rasent leurs chattes. Il convient que c'est effectivement plus agréable de baiser une meuf bien entretenue. Il ajoute aussitôt que pour les hommes c'est pas pareil. Je fini par lui poser le marché : soit il accepte de se faire épiler et il va gagner dans les 4 000 nets/ mois soit il garde ses poils et ses capacité financières réduites.
Je crois que c'était là le seul argument capable de lui faire accepter la chose !
Vu le travail à effectuer, je l'envoi chez une esthéticienne avec pour instruction de ne revenir qu'avec un tapis ras entre le dessus de sa bite et son nombril. Tout le reste doit disparaitre et j'insiste bien là-dessus. Je téléphone même devant lui au cabinet pour donner les instructions. Je le revois deux jours plus tard. C'est parfait. En plus je m'aperçois que ses pecs sont bien épais, tout comme ses bras et ses jambes où les muscles deviennent visibles. Quand je le fais tourner devant le psyché, il doit bien en convenir. Sa bite, déjà conséquente : 20 x 6, circoncise, parait un tiers plus longue qu'enfouie dans les poils hirsutes.
Pour le test sexuel, j'ai l'idée de réutiliser la mère de Jean. Ça la changera des dépucelages de lycéens ! Pour l'aspect pratique, je loue une chambre dans un hôtel à carte et y convoque mes nouveaux Escorts. Ils ont renâclé quand je leur ai dit que je serais présent lors de la rencontre. Le brun me certifiant qu'il aurait même du mal à baiser devant moi. Sachant qu'il avait participé à des partouzes, je lui faisais part que je connaissais ce détail et que j'étais sûr qu'il saurait honorer la dame.
Le jour prévu, Ammed me conduit pour rejoindre mon initiatrice et nous installe à l'hôtel. Je téléphone à mes Escorts le n° de la chambre et le premier blond  (Blond 1) arrive. Il ne fait pas de manière. Il se déshabille et rejoint la meuf déjà nue sur le lit. Il commence par bien l'exciter. Léchage de seins et mordillements des tétons alors que je vois ses doigts s'enfoncer dans la chatte. Je note qu'il bande déjà. Il ne met pas longtemps à trouver comment la faire jouir et il joue entre le clito et ses 4 doigts enfoncés dans le vagin pour faire durer ce premier orgasme. Très " clinique ", je commente sa technique et lui demande même comment il réalise ce tour de force. Avec Emma on y arrive mais on s'y met à trois avec PH et Ernesto !
Il m'explique qu'il joue sur la capacité qu'a le vagin de se dilater fortement. Là il n'avait enfoncé que 4 doigts mais me dit que sur ce type d'organe, très " ouvert " il pourrait facilement enfoncer sa main entière. Et de le faire aussitôt devant moi, déclenchant une dernière secousse violente qui tétanise le corps de ma testeuse. Il se retire et me dit que le seul inconvénient c'est que, dilaté comme cela, le vagin met un peu de temps à retrouver ses " marques " et du coup il va " flotter " quand il va la baiser. Je lui dis de passer par l'arrière. Il me dit qu'en levrette ce sera pareil avant de réaliser que je lui disais de l'enculer. Il passe aussitôt à l'exécution. A 4 pattes les seins écrasés sur les draps, elle cambre les reins et mon Escort l'encule après s'être enkpoté la bite. Il y va hard mais m'explique qu'il s'était rendu compte à la vue de son anus qu'elle avait l'habitude de cette pratique. D'ailleurs il avait réussi à lui mettre ses 19cm sans problèmes. Je demande à la mère de Jean qui me dit que c'était bon de se faire mettre par un vrai mâle. Je le laisse faire. Il a le coup de rein impérieux et long. Il aime profiter de sa longueur de bite pour faire sentir tous les centimètres. Il ressort régulièrement complètement du cul sodomisé avant d'y retourner jusqu'aux couilles.
Il la baise plus hard. Les mains accrochées aux hanches larges de la mère de Jean, il lui défonce la rondelle. A chaque fin de pénétration, les chairs se collent et les hanches de Blond 1 claquent sur les grosses fesses de la meuf. Puis, conscient qu'il est là pour donner du plaisir à madame, il se penche, la redresse sur ses avants bras et passe ses bras dessous pour lui pincer les tétons. Effet immédiat garanti. Elle hâlette et ne tarde pas à jouir de nouveau. Blond 1, coincé dans son cul explose à son tour et avec trois furieux coups de rein, rempli sa kpote.
Au débriefing, la mère de Jean nous dira avoir apprécié sa façon de lui pilonner le fond de son vagin et aussi la façon qu'il a eu de la faire jouir la première fois rien qu'avec ses doigts.
Le temps que mon " banc de test " se refasse une beauté, je fais venir Brun 1 (mon futur Escort brun bien épilé).
Quand il arrive elle est de nouveau, nue et allongée sur le lit. Il a moins de gueule que la dernière fois où nous nous sommes rencontrés. Il se présente, et de déshabille un peu gauchement (je note ça dans un coin de mon cerveau). Il évite de me regarder mais je sens bien que mon regard le trouble.
Il attaque le morceau. Sa technique est rodée. Il joue bien avec les seins, ses doigts pincent bien les tétons, fort même ! Mais la mère de Jean en a vu d'autre et ça les lui fait bander. Quand il pratique  pareil sur le clito, elle en décolle ses fesses du lit. Il en profite alors pour enfoncer trois doigts dans sa chatte.
Puis il se positionne en 69 et je le vois bouffer la chatte. Elle en profite pour engouffrer sa bite qui ne bande que mollement. Je vois que, même avec sa science du sexe pourtant bien éprouvée, elle peine à lui donner sa raideur maximale. Elle y arrive dès qu'elle lui rentre deux doigts dans son cul. Je le vois se kpoter alors très vite et s'enfoncer dans son vagin. Je le trouve un peu trop rapide dans son limage de chatte, comme l'impression d'en finir vite. J'interviens et lui rappelle qu'il est en service commandé, qu'il doit en donner pour l'argent de la cliente. Ça le fait débander direct ! Sensible mon beau brun ! La mère de Jean ne s'embarrasse pas de détail et lui remet aussitôt deux doigts dans l'oignon ce qui refait le même effet, en l'occurrence il rebande direct.
Louche tout ça !!
Il ne se tient bien raide que tant qu'il se fait chatouiller le trou par les doigts de la meuf. Par contre, à l'enculage pas de soucis. Sa bite de 20x6 reste bien dure et finalement donne satisfaction.
Au débriefe, ma testeuse lui envoi carrément que pour un Pd, il s'était pas si mal débrouillé que ça. Il devient tout rouge alors qu'elle continue en me disant que ses doigts étaient rentrés dans son cul comme dans du beurre et qu'il n'avait bandé à mort que lorsqu'il l'avait enculée.
Je me tourne alors vers lui et lui demande depuis combien de temps il se connaissait ce penchant et pourquoi il ne m'en avait pas parlé.
Après une vaine tentative de dénégation, il accepte de me parler alors que la mère de Jean est dans la salle de douche. Il me dit que depuis sa puberté il se sait attiré par les mecs mais que dans son milieu, c'est inacceptable. Il s'est donc forcé à baiser des meufs pour pas attirer l'attention et que ce n'est que dans l'intimité de son studio qu'il ose se faire réellement plaisir à l'aide de godes conséquents. Quand je lui dis qu'il m'avait été conseillé comme étant un bon baiseur de meufs lors des partouzes, il sourit et me répond que c'est de voir les bites et les culs des autres mecs participants qui maintient sa bandaison.
Je lui propose alors d'intégrer mon programme mais avec des clients plutôt que des clientes. Je le vois hésiter. Je le rassure et lui dis que cela peut se faire de façon à ce que personne ne soit au courant. Il n'a pas l'air convaincu. Je l'assure que s'il le veut je peux même dire à Gwen et Stéphane qu'il est recruté pour mes clientes. Car comme c'est eux qui m'ont dirigé vers lui, ils risquent de demander. J'ajoute que je ne l'obligerai pas à assister aux divers entrainements physiques de mon équipe d'Escorts homo. Cette dernière précision emporte le morceau. Je lui demande de passer dans la soirée au Blockhaus pour en discuter.
Le passage du troisième nouvel Escort (Blond2) est sans surprise. Il réussit le test sans émotions particulières.
Le soir même, Brun 1 passe me voir. Je le reçois au 4ème, j'ai la flemme de me faire descendre au premier ! PH est à son cours de danse et j'ai demandé à mes deux beurs de nous laisser seuls.
Devant une bière, je le fais parler. Je ne sais si c'est la déco franchement " homo " de notre séjour ou la possibilité d'être écouté sans risque, mais une fois lancé, il me déballe tout. Enfin,  tout est un bien grand mot pour me raconter ses frustrations devant les corps de copains de sport, ses déchainements sur les meufs lors des quelques touzes auxquelles il avait participé et les intromissions répétées et jouissives de godes dans son anus. Sans en avoir l'air, je lui demande la taille des engins, pour info. Je suis quand même étonné quand il me sort qu'ayant commencé avec un gode de 16x3, il était passé quelques semaines plus tard à la copie du sexe d'un acteur porno connu pour ses attributs plus que généreux (25x 5,5 à 7). Après un sifflement élogieux, je lui demandais quand même s'il s'enfonçait ce dernier entièrement dans le cul. Réponse : après quelques essais et beaucoup de vaseline, il avait réussi à coller les couilles en plastiques contre les bords de sa rondelle. Je lui dis alors qu'il me rassure. Comme j'ai principalement des clients homo mais actifs, j'aurais été un peu en peine de l'utiliser s'il n'avait été qu'actif.
C'est de lui-même que vient la proposition d'effectuer un essai avec un homme. Comme il est puceau dans ce type de relation, il me dit craindre de ne pas assurer et surtout de ne pas savoir s'y prendre. C'est tout gêné qu'il me demande si je n'aurais pas quelqu'un à lui présenter pour sa première fois. J'ai failli éclater de rire. Mais son air embarrassé m'a retenu.
Je suis prêt à chercher qui pourrait me rendre ce service quand je pense qu'en tant que " vierge ", il pourrait se faire un max de blé pour sa première prestation.
Je lui explique de quoi il retourne : la mise aux enchères, parmi une sélection de mes clients, de sa première fois. J'ajoute que cela pourrait lui rapporter un bon paquet de fric et lui précise les montants auxquels, jusqu'à présent, mes clients s'était arraché les premières prestations de mes Escorts pourtant loin d'être vierges. Il n'en revient pas qu'un mec puisse offrir autant pour se faire un mec.
Un peu fier, je lui dis que ce n'est pas " un mec " mais un Escort de chez moi !
Je le rassure en indiquant que ma sélection écarterait les mecs un trop bien monté, les brutaux et les trips spéciaux. Je connais bien mes clients et sais ceux qui sauront prendre soin d'un puceau.
Il renonce à son idée de " s'entrainer " avant sur du " matériel " vivant.
Il accepte de faire quelques photos supplémentaires pour l'opération. Je demande à Ammed de les faire avec le mur blanc du salon comme fond.
Il repart avec l'assurance que je l'appellerai bientôt.
Jardinier
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fuckuuufuckingfuck · 4 months ago
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J’ai quitté l’Espagne et suis de retour en France. C’est drôle comment je me sens pas ouf instantanément. Du coup, je fais du sport. Je veux pas perdre le poids que j’ai réussi à prendre.
J’ai remarqué que je suis vachement poilu, genre je constate ça seulement maintenant. Je trouve ça giga sexy ? Genre les cuisses poilus, le torse, le corps en général ? Ça me fait plaisir tout ça.
Sinon, vis à vis de la personne mimi je ne sais plus trop. C’était bien d’être loin quelques jours. Je crois qu’on n’a pas les mêmes attentes, ou le même moyen d’y parvenir. Mais je refuse de me torturer avec ça, l’avenir nous le dira.
J’ai envie de me faire tatouer mais ça voudrait dire pas de baignade avant 3semaines minimum et ça c’est po possible.
Hmmmm quoi d’autre… J’ai eu un skateboard pour mon anniversaire et j’ai hâte de trouver un endroit tranquille pour m’y remettre.
Je relis les méditations métaphysiques de descartes et je me demande si les brindilles sont des territoires et les chiens poutine
Je m’égare.
Vous passez une bonne journée ?
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valentine0o · 1 year ago
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Il est beau.
J'aime le regarder après avoir fait l'amour avec lui.
Il est allongé sur le dos, les yeux fermé, apaisé.
Son torse poilus le rends virile et doux à la fois.
Il est beau.
Jamais je ne m'en lasserai,
Je suis tellement reconnaissante de l'avoir dans ma vie que parfois après avoir fait l'amour,
Je pleure.
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sarahaubel · 1 year ago
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JUILLET
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“J’ai envie que tu écrives sur moi. Écris sur moi. Dis que je suis génial” / Une rescapée de la Shoah m’a dit : “Les trains me font rêver.” Comme quoi tout passe. / Ma maison a la carrure solide, les épaules larges, le torse poilu et deux tétons ravissants. Il n’y a qu’auprès de toi que je me sente chez moi. / Ce matin je photographie une conférence sur les énergies fossiles ou un truc comme ça. Ça tombe bien de fossile j’en suis un et d’énergie j’en ai pas. Je vais peut-être y trouver mon compte finalement. Un homme à l’énergie inversée parle de batteries au lithium. Possible que ce soit lui qui ait alimenté les batteries en question, ça expliquerait son état de semi-coma vertical. Il parle de discours « touffu » et tout de suite j’ai des images. Son monologue est un murmure de pré-sommeil, celui qui implique des yeux chauds et une langue pâteuse. Vient ensuite un mec qui essaie de nous expliquer qu’on peut décarboner avec du carbone. Vague sensation qu’il essaie de me la faire à l’envers. / “Je t'aime pour aujourd’hui”. Je me dis que c’est déjà pas mal d’être aimée sur une journée. Et pour demain ? Demain on verra. / Mon ami a l’amour humide, comme une plaie qui ne cicatrise jamais. Le cœur pâle et gondolé qui commence à sentir mauvais. / Il m’a dit “Rentre pas, je prépare une fête !”. A son signal j’ai été autorisée à mettre un pied dans la cuisine. Des verres Heineken partout et assez de poudre (d’amande) pour fournir toute une boîte berlinoise. A quel âge dois-je commencer à m’inquiéter ? / J’ai rêvé que Céline Dion s’installait à côté de moi au restaurant. On taillait le bout d’gras toutes les deux puis comme elle me trouvait super sympa (on est dans mon rêve, laissez-moi tranquille, je fais ce que je veux) elle me proposait un duo le soir-même à Bercy. Je vous raconte pas la montée d’adrénaline que je me suis tapée. / 2h du matin sur le balcon. J’entend un voisin gémir de plaisir. Je ne sais pas si je viens de surprendre un coït ou si sa femme vient de le gratter entre les homoplates-non-un-peu-plus-à-gauche-descend-encore-voilà-c’est-bon-oh-oui-t’y-es, pile là où ça le démangeait. L’univers est peuplé de questions sans réponses. / Perdue dans la contemplation du vide je suis passée à un poil de confondre mon gel douche intime et mon dentifrice. La vie ça tient à peu de choses parfois.
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stories-of-c · 2 years ago
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E.
Chef de projet Tech - 25 ans - français - verseau
Ma dernière histoire du mois de novembre, c'était avec E. J'ai un excellent souvenir de cette histoire parce qu'elle était simple, sans gênes, facile. J'ai rencontré E. le lendemain de la soirée avec A (le trader). Nous nous sommes donnés rendez-vous dans un café-brasserie pas très loin de chez moi. Je me souviens c'était une journée ou j'étais rentrée assez tard / tôt le matin. Je n'avais pas dormi parce que j'avais un rendez-vous chez le coiffeur. J'en suis même sortie à 15 heures. Enfin, j'ai plu à E. et E. m' a plu. Nous avons beaucoup ri, beaucoup parlé. E. est un bel homme mais n'est pas le genre d'hommes sur lequel je me serais retournée dans la rue. En revanche E. est assez interessant. Il aime la musique, l'art, la littérature et le voyage. Je me souviens à la fin de cette soirée, nous marchions dans les ruelles de Paris lorsqu'il est venu m'entrainer pour m'embrasser. Je n'ai pas ressenti d'effet particulier. Je pense que E. a clairement été victime de mon nombre de conquêtes à ce moment là - ce qui disons le clairement - annihilait en moi tout véritable désir. Je suis rentrée chez moi - seule. L'histoire se corse un peu. Nous nous sommes revus quelques jours plus tard. Il était 16 heures, un samedi après-midi. Je prends un verre de vin, lui une bière. Un de ses copains nous rejoint. Un de mes copains m'appelle. Le plan : mon meilleur ami me propose de sortir au REX (c'était ma première soirée la bas. Je vous assure que je n'y retournerai pas). E. prends son billet pour m'accompagner. Je suis contente. C'est la première fois qu'un mec vient en soirée avec moi alors que nous ne nous connaissons pas. Je trouve ça véritablement "cool" de se connaitre dans ce contexte. BON ! Nous rentrons chez moi, déposer nos affaires et la nous couchons ensemble. Je me souviens encore de son corps, de son torse poilu. Il était vraiment beau nu. C'était vraiment un bon coup ce mec.
Mais je ressentais rien. Je ne sais pas comment je pourrais vous l'expliquer. Ce mec était parfait, mais j'en voulait pas. Je me souviens lui avoir chuchoté dans l'oreille en fumant une clope que c'était un fckg bon coup. Il a clairement surenchéri. Nous sommes ensuite allés chez mon meilleur ami puis en soirée. La ! ça a été compliqué. BON ! Chez mon meilleur ami, nous étions 4. E, mon meilleur ami, un ami de mon meilleur ami et moi même. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé. Mais j'ai globalement ignoré E. toute la soirée. J'ai eu véritablement un coup de foudre pour l'ami de mon ami. Pour rappel, j'écris ces lignes au mois de mai. Cette histoire a eu lieu en Novembre et je pèse mes mots. Un fckg coup de foudre. Nous sommes allés au REX. E. est parti vers 4 heures. J'ai passé ma nuit avec l'ami de mon meilleur ami qui m' a embrassé à plusieurs reprises. Cette soirée était magique. Et la... Un mec dans le fumoir m'a chopé et m' a forcé a l'embrasser. Je me suis débattue. L' ami de mon ami est parti. J'étais triste. profondément triste. Je me souviens lui avoir envoyé un message pour qu'il me rejoigne le samedi d'après dans le café en bas de chez moi. Je lui ai laissé le choix - "je serais à xxxx toute la journée, je t'attends" Et bah vous savez quoi. Il faisait à peine 5 degrés et j'ai attendu toute la journée dehors assise sur cette terrasse de café à l'attendre. de 9h à 18 heures 30 au moins, vous vous rendez compte ! BON ! Il a bien fait de pas venir je crois.
Et puis j'ai raconté toute l'histoire à E. et n'ai plus donné de nouvelles. J'espère qu'il va bien. C'était un chic type.
11-22 C.
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landrock · 18 days ago
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camisoledadparis · 25 days ago
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saga: Soumission & Domination 312
Côme et mes deux Com
A croire que PH est devin. Exactement 2 jours plus tard, Côme me rappelait. Il souhaitait me rencontrer de nouveau.
Autant battre le fer quand il est chaud. Je lui fixais un rendez-vous pour le soir même au blockhaus, avec un peu de chance je l'enregistrerai illico.
Je trépigne jusqu'à la fin des cours. Et rentre directement au Blockhaus. Dans le bureau du premier je prépare son dossier. Quand il sonne, il ne me manque plus que ses caractéristiques personnelles. Comme son frère, lui aussi se demandait s'il était à la bonne adresse.
Il me suit, trouve le monte-charge amusant et nous montons au premier.
Je complète son dossier : Taille : 1m86, Poids : 85Kg Sexe : 20x6 Cela fait, c'est lui qui me demande s'il doit se déshabiller. Je hoche la tête et il s'y met. Il est non seulement plus musclé et plus épais que son frère mais aussi plus poilu.
Comme il boxe aussi, il a un torse bien développé et des abdos en véritable tablette. Et même s'il est plus lourd que son frère, sa silhouette forme bien un V comme j'aime. Les poils par contre sont de trop. Je le lui dis avant même qu'il retire ses jeans.
Il porte comme son frère un boxer DIM moyennement sexy mais bien rempli ! Je lui demande de l'ôter. Un regain de pudeur lui fait me tourner le dos pour l'opération. Ce faisant il me dévoile un superbe cul bien rond et quand il se penche pour dégager ses pieds, j'entraperçois une rosette couronnée de quelques poils blonds. Si ses cuisses sont glabres, ses mollets eux ne le sont pas. Il se retourne en se redressant. J'ai devant moi un beau mec, très bien fait mais un peu trop poilu. Son sexe au repos est déjà d'une belle dimension et son gland tombe sous ses couilles.
Il bascule d'un pied sur l'autre un peu gêné par l'examen dont il fait l'objet.
Je me reprends. Il me demande si ça va convenir question physique. Je souris devant cette inconscience de soi. Je le tire vers la grande glace qui courre du sol au plafond à droite de mon bureau. Je détaille tout ce qui va plaire à mes clientes. Sa belle gueule mal rasée, ses pecs épais lorsqu'ils seront débarrassés de leurs poils. Ma main descend sur ses abdos et compte les rangées avant d'empoigner son sexe qui se met rapidement à grossir. Là, je lui précise que s'il sait en plus s'en servir un peu, ce sera parfait.
Il rougit (c'est mignon). Je lui demande s'il s'en est déjà servi pour donner du plaisir à des filles. Il me répond que sans être un Casanova il en a quand même une demi-douzaine à son actif. Ages ? Entre 15 mais lui aussi en avait 15, et c'était leur première fois, et 25 la dernière, la soeur d'un copain qu'il a culbuté la semaine précédente.
Comme il bande toujours dans ma main, je suppose que ç'avait dû être bon !
Il s'en aperçoit et recule d'un pas.
Je le félicite pour sa belle queue. En souriant il me dit que c'est de famille car Ludo aussi est bien monté et son petit frère de 16ans en a déjà une de 18x5. Je ris et lui dis que pour ce dernier je ne peux rien, il est trop jeune. Mais que pour lui c'est OK, il répond à tous les critères de l'Escort maison, surtout quand il aura été épilé.
Comme il ne répond rien, je lui demande si cela ne va pas le gêner à son club de boxe. Il me répond que c'est pas un problème, il ne sera pas le seul. Il me suit dans la salle de bain. Je lui explique au passage à quoi servent les chambres et les placards de cet étage. J'en ouvre un au passage et il peut voir rangés sur les étagères, les slips et shorty de marques, pendus aux cintres, chemises, costumes et smoking avec un assortiment de cravates bleues. Au sol quelques paires de chaussures classiques.
Il me dit qu'il a juste un costume simple. Je lui dis que le placard est compris à l'embauche, que c'est pour ça que j'ai pris autant de renseignements (tour de poitrine, taille bassin et longueur de bras et de jambes) sur lui.
Arrivés dans la salle de bain, je sors de quoi l'épiler. Le torse, les jambes et avant-bras y passent. Je lui laisse la ligne du nombril au pubis l'affinant juste un peu. Pour les couilles, le périnée et la rondelle, je préfère le rasoir. A raison d'environ une fois par semaine maxi, c'est moins agressif que l'épilation.
Passage sous la douche et il ressort lisse comme un bébé. C'est à ce moment-là qu'il pense à chez lui et aux travaux de la ferme avec son père. Il sourit et m'informe de la chose. Comme je lui dis " trop tard ", il éclate de rire et me dis qu'il va trouver une raison.
Nous revenons au bureau après que je l'aie séché et qu'il se soit laissé faire. Il va pour se rhabiller. Je l'arrête et lui tend une poignée de shorty, slip et boxer Aussiebum, ES et Addicted. Je le mate les essayer. Son corps est maintenant un véritable appel au viol ! Je le lui dis ce qui le fait rire. J'ajoute que lors des cours de self défense, il devra être bon s'il ne veut pas finir dans les bras d'un de ses partenaires !
Il garde sur lui un boxer ES et je range les autres dans son placard avant de l'inviter à prendre l'apéro. Il accepte et nous montons au 4ème. Petite étape au second pour lui montrer le plateau sportif. Il s'aperçoit que je ne rigole pas. Les installations sont aussi complètes que dans son club et même plus quand je l'emmène à la piscine. Au 4ème PH nous attend. Je lui demande s'il a vu Ludovic dans la journée. Il me dit que ce dernier lui a confié qu'il serait bien venu lui aussi ce soir.
PH voit les avants bras de Côme épilés, il remarque alors qu'il a accepté ma proposition. Je confirme. Ammed provoque la même stupeur qu'à Ludovic quand il arrive avec le plateau d'apéritif. Déjà que le décor l'avait interpelé surtout la projection de mes potes en train de " déjeuner sur l'herbe ". Pendant l'apéro, il ne cessera d'y jeter un oeil comme les plans changent.
En partant je lui confie l'adresse du labo pour ses analyses et lui demande de repasser le Mardi qui vient pour faire connaissance avec ma troupe.
Le WE qui vient, je fais démarrer mes deux nouveaux Escorts. Après avoir passé la soirée du vendredi à la mise aux enchères, j'ai leurs deux prestations programmées. Comme d'habitude, leurs démarrages seront exclusivement sexuels ! J'y peux rien, mes clients sont parfois plus obsédés que civilisés !!
Com1 va commencer par du lourd avec un client monté 25x6,5 qui le décroche pour une somme indécente mais qui lui assurerait à elle seule l'autonomie de sa première année. C'est encore mieux pour Com2 que sa virginité au sexe masculin rend encore plus désirable. Lui a la chance de tomber sur un de mes plus facile à contenter puisque monté seulement d'une bite de 24x6. Ce n'est pas la première fois qu'il décroche une première prestation. Mais je l'accompagnerai en personne quand même.
Com2 passe au blockhaus. Je vérifie qu'il est nickel question présentation. A poil il me montre qu'il s'est bien entretenu depuis son embauche et que sa rondelle est plus souple. Comme il n'est pas en représentation, je le laisse en jeans et polo simplement sans sous vêtement, particularisme de ce client.
Dans la voiture, il me remercie de l'accompagner. Car bien qu'il ait signé, il n'est quand même pas trop fier. Je le rassure et lui dis que je serais avec eux même si je ne participe pas. Si d'autres auraient trouvé ça glauque, lui ça lui donne confiance.
J'arrête ma voiture devant le perron d'une grande maison carrée. Je n'ai pas le temps de sonner qu'un maitre d'hôtel nous ouvre la porte. Il nous introduit jusqu'à un grand salon où nous attend le client. Nous nous saluons et il me remercie de présenter de nouvelles têtes régulièrement. Il se tourne vers Com2 et ajoute, de si belles têtes ! Com2 s'approche et direct lui roule un patin. Surpris, mon client se laisse faire et je vois que ça lui fait de l'effet. Le tissu de sa jambe de pantalon gauche commence à se tendre.
Je vois les mains du client serrer la taille de mon Escort et lever le polo pour caresser sa peau. Il les descend pour vérifier l'absence de sous vêtement et me lance un clin d'oeil quand il voit que c'est le cas. Il nous entraine dans sa chambre. Au moins 35m² avec une salle de bain totalement ouverte.
Je m'installe dans un coin pour mater.
Je note que l'appréhension qui paralysait mon Escort en venant, s'est estompée et qu'il est pleinement dans l'action. Ils sont bientôt nus tous les deux et Com2 s'affaire à le piper comme il faut. Evidemment, tout ne rentre pas dans sa bouche ni même dans sa gorge et c'est mieux pour une première fois. Le contraire aurait pu laisser croire à une supercherie concernant sa virginité homosexuelle !
Le client le fait basculer sur lui en 69 et se met à lui manger la rondelle. Ça fait de l'effet à Com2 qui régulièrement délaisse sa bite pour gémir plus aisément.
Il prend bien une demi-heure à lui ouvrir la rondelle avec sa langue. Com2 bande comme un malade et j'ai bien l'impression qu'il apprécie le traitement. Tant mieux car quand il va se faire enculer, ça sera pas la même chose !
Mon client le met à 4 pattes et se place dans son dos. Je perçois une certaine contraction de mon poulain. Alors que le client se kpote et graisse sa queue, je m'approche de la tête de lit et prend la tête de Com2 entre mes mains. Les yeux dans les yeux, je lui dis de se détendre, qu'il a été bien préparé et que ça devrait bien se passer. Je lui confie un petit flacon de poppers et lui dis de sniffer si c'est trop dur.
Le client et conscient de ce que mon jeune escort lui offre (même s'il l'a payé très cher). Il prend son temps et le pénètre très lentement. Il fait ça bien au point que le flacon reste serré entre les doigts. Il met quand même 1/4 d'heure pour le pénétrer complètement. Je sais j'ai chronométré ! Mais mon Escort n'a pas crié. Je l'ai entendu gémir, vu tortiller du cul pour soulager la pression mais dans l'ensemble accepter virilement la saillie (à 24x6 c'est plus proche du cheval que de l'homme moyen !).
Après un moment enfoncé dans mon Escort, Le client se met en mouvement et lime sa rondelle serrée. Il m'apostrophe pour me dire qu'il ne regrette pas son investissement et qu'encore une fois je ne l'ai pas déçu. Quand il se jette en arrière, Com deux se retrouve à la verticale et surpris se détend au point de s'enfoncer la bite dans ses derniers millimètres. Là par contre il gueule ! Le client le repousse vite avant de le laisser retomber de tous son poids. Nouveau cri de mon Escort. J'interviens pour lui rappeler que le jouet qu'il a entre les mains est tout neuf et que je veux le récupérer en bon état. Il ne me répond pas mais je le vois prendre plus de précautions.
Il finira par le couvrir de sperme après 1/2 heure de sodo. Puis il l'accompagne lui-même sous la douche pour le laver tout en le caressant. C'est là que Mon escort prend son pied à son tour et éjacule.
Je récupère un Escort un peu sur les rotules. Mais content de sa première prestation. Dans la voiture, il se confie. Il me dit avoir eu peur tout pendant l'aller mais que dès qu'il avait été dans l'ambiance ç'avait été. Qu'à part le moment où il a chevauché le client eu départ, le reste ç'avait été.
Je lui dis qu'il avait été très fort pour ne pas juter avant la douche. Que c'était très bien et que s'il faisait pareille avec les autres clients, il serait parfait. Il rit met me dit qu'il était tellement concentré sur sa rondelle que s'avait été naturel.
Comme il est trop fatigué pour rentrer chez sa logeuse. Il passera le reste de la nuit dans une des chambres du premier.
Com1 arrive au matin avec des croissants pour me remercier. Il en a pris une montagne et Com2 qui émerge en profite aussi. Il me dit que pour lui ç'avait été comme sur des roulettes et que si tous mes clients sont comme celui qu'il a testé, ce sera du gâteau. Là je les douche un peu et leur confie qu'ils sont en général un peu mieux montés que ces deux-là. Enfin si celui de Com1 était dans la moyenne, celui de Com2 faisait partie des " gringalets ".
Nous petit déjeunons dans la bonne humeur, mes deux nouveaux tout contents de leurs prestations et de leur première paye.
Jardinier
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gayhairymale · 1 month ago
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#poilu #hairy #hairy torso #chest #gay poilu #torse poilu #peludo #haariger man
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lagenevoise · 3 months ago
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L'épilation laser est devenue une méthode incontournable pour les hommes souhaitant réduire ou éliminer les poils de manière durable. En tant que technique non invasive et efficace, elle s'adapte à différents types de peaux et de poils, offrant une solution pratique pour les hommes désireux de simplifier leur routine de toilettage, améliorer leur apparence ou traiter des zones sujettes à l'irritation et aux poils incarnés. Ce guide détaillé couvre tout ce que vous devez savoir sur l'épilation laser pour homme, des bases aux résultats attendus, en passant par les précautions, la convalescence et les coûts associés.
1. Qu'est-ce que l'épilation laser ?
L'épilation laser est une technique qui utilise des faisceaux de lumière laser concentrés pour cibler et détruire les follicules pileux. Ces faisceaux sont absorbés par la mélanine présente dans le poil, entraînant un échauffement du follicule qui finit par être détruit, inhibant ainsi la repousse future du poil. Il s'agit d'une méthode semi-permanente, nécessitant plusieurs séances pour obtenir des résultats durables, mais elle permet une réduction à long terme de la pilosité.
a. Pourquoi les hommes choisissent-ils l'épilation laser ?
Les motivations des hommes pour recourir à l'épilation laser varient :
Esthétique : Certains hommes préfèrent une apparence lisse ou souhaitent réduire la densité de leurs poils sur des zones telles que le torse, les jambes ou le dos.
Confort : L'épilation laser élimine la nécessité de raser fréquemment des zones comme le cou ou le visage, en particulier pour ceux qui souffrent de poils incarnés et d'irritations dues au rasage.
Hygiène : En réduisant la pilosité, il est souvent plus facile de maintenir une hygiène corporelle, notamment pour les sportifs ou ceux qui transpirent abondamment.
2. Le mécanisme de l'épilation laser
a. Le fonctionnement du laser
Le laser émet une lumière pulsée qui est absorbée par la mélanine (pigment) des poils. Cette absorption chauffe le poil et détruit le follicule pileux sans endommager la peau environnante. Cependant, l'épilation laser ne peut être efficace que sur les poils en phase de croissance active (phase anagène), ce qui explique pourquoi plusieurs séances sont nécessaires pour traiter tous les poils, car ils ne sont pas tous dans cette phase en même temps.
b. Les types de lasers utilisés
Il existe plusieurs types de lasers adaptés à différents types de peaux et de poils :
Laser Alexandrite : Idéal pour les peaux claires et les poils foncés. C’est l’un des lasers les plus efficaces pour ce type de peau, mais il n’est pas recommandé pour les peaux foncées.
Laser Diode : Adapté à la plupart des types de peau, y compris les peaux plus foncées, ce type de laser est polyvalent et souvent utilisé chez les hommes ayant des poils épais.
Laser Nd: Particulièrement efficace pour les peaux foncées, ce laser pénètre plus profondément dans la peau et réduit les risques de brûlures.
Laser Ruby : Moins couramment utilisé aujourd'hui, il est conçu pour les poils fins sur les peaux très claires.
3. Zones couramment traitées chez les hommes
L’épilation laser pour les hommes est souvent réalisée sur des zones spécifiques du corps. Les hommes choisissent généralement de traiter soit des zones très poilues, soit des zones sujettes à des irritations fréquentes.
a. Dos et épaules
Les poils sur le dos et les épaules sont difficiles à atteindre avec des méthodes traditionnelles comme le rasage ou l’épilation à la cire. L’épilation laser est donc une solution idéale pour ces zones, en particulier pour les hommes ayant une forte pilosité dorsale.
b. Poitrine et abdomen
Beaucoup d'hommes choisissent de se faire épiler la poitrine et l'abdomen pour un look plus net et lisse. Cela peut être une réduction significative de la densité des poils ou une épilation complète selon les préférences individuelles.
c. Visage et cou
Les hommes qui ont des poils incarnés après le rasage ou qui souhaitent éviter le rasage fréquent choisissent souvent l'épilation laser pour le visage et le cou. Cela permet de dessiner une ligne de barbe nette ou d'éliminer totalement les poils sur le cou, une zone sujette aux irritations.
d. Jambes et bras
Pour les sportifs ou les hommes cherchant à éliminer ou réduire les poils de leurs jambes et de leurs bras, l’épilation laser est une solution pratique. Cela est particulièrement fréquent chez les cyclistes, nageurs et bodybuilders, qui préfèrent des jambes lisses pour des raisons de performance ou d’apparence.
e. Parties intimes
L'épilation laser des zones intimes (maillot, fesses) est également possible. Elle nécessite cependant des précautions supplémentaires en raison de la sensibilité accrue de ces parties du corps.
4. Le déroulement d'une séance d'épilation laser
a. Avant la séance
Consultation initiale : Une première consultation est nécessaire pour déterminer le type de peau, la couleur et la texture des poils afin de choisir le type de laser le plus adapté. Le praticien évaluera également la zone à traiter et discutera des résultats escomptés et des risques possibles.
Préparation de la peau : Il est souvent recommandé de raser la zone à traiter un ou deux jours avant la séance pour que le laser puisse cibler efficacement les follicules pileux. Le bronzage doit être évité avant et après le traitement, car cela peut augmenter les risques de brûlures ou d’hyperpigmentation.
b. Pendant la séance
Durée : Une séance d’épilation laser peut durer de 15 à 60 minutes, selon la taille de la zone à traiter. Par exemple, une petite zone comme le cou prendra moins de temps qu’une grande zone comme le dos ou les jambes.
Sensations : Les appareils modernes sont équipés de systèmes de refroidissement pour minimiser l'inconfort. Cependant, les patients peuvent ressentir une légère sensation de picotement ou de brûlure, souvent comparée à un coup d’élastique sur la peau.
Mesures de protection : Des lunettes de protection sont fournies pour protéger les yeux des éclats lumineux du laser.
c. Après la séance
Effets immédiats : La peau peut être légèrement rouge ou gonflée après la séance, semblable à un coup de soleil léger. Cela disparaît généralement en quelques heures.
Soins post-traitement : Il est conseillé d’hydrater la peau avec des crèmes apaisantes et d’éviter le soleil ou les séances de bronzage pendant quelques semaines après le traitement.
5. Combien de séances sont nécessaires ?
En moyenne, 6 à 8 séances sont nécessaires pour obtenir des résultats durables. Les séances doivent être espacées de 4 à 6 semaines afin de cibler les poils au fur et à mesure qu’ils entrent en phase de croissance active. Les résultats commencent à être visibles après 2 ou 3 séances, avec une réduction progressive des poils.
6. Les précautions et contre-indications
a. Les contre-indications
L'épilation laser n'est pas recommandée dans les cas suivants :
Peaux très foncées ou bronzées (risques accrus de brûlures ou d’hyperpigmentation).
Médicaments photosensibilisants qui rendent la peau plus sensible aux rayons du laser.
Infections cutanées actives ou cicatrices récentes dans la zone à traiter.
b. Soins et protection de la peau
Après chaque séance, il est impératif d'éviter l'exposition au soleil et d'utiliser des crèmes solaires à indice élevé (SPF 50+) si la zone traitée est exposée. Cela permet de minimiser les risques de pigmentation post-inflammatoire et d'autres effets secondaires indésirables.
7. Les résultats et avantages à long terme
a. Résultats attendus
Les premiers résultats peuvent être visibles après quelques séances, avec une réduction notable de la densité des poils. Après un cycle complet de traitements, une réduction de 80 à 90 % des poils peut être atteinte, bien qu’une repousse légère et fine soit toujours possible. Des séances de retouche peuvent être nécessaires tous les 1 à 2 ans pour maintenir les résultats.
b. Avantages de l'épilation laser pour hommes
Réduction permanente : L'épilation laser offre une solution durable pour les hommes qui souhaitent se débarrasser des poils indésirables ou réduire leur densité.
Gain de temps : Elle élimine la nécessité de se raser ou de s'épiler régulièrement, en particulier sur des zones difficiles d'accès.
Prévention des poils incarnés : Le laser est particulièrement efficace pour prévenir les poils incarnés et les irritations fréquentes causées par le rasage.
8. Risques et effets secondaires possibles
a. Effets secondaires courants
Rougeur, irritation ou légère sensation de brûlure dans les heures suivant la séance.
Gonflement temporaire autour des follicules pileux.
b. Effets secondaires rares
Hyperpigmentation : Un assombrissement temporaire de la peau peut survenir, en particulier chez les personnes ayant une peau plus foncée.
Hypopigmentation : Dans de rares cas, la peau peut s’éclaircir temporairement, surtout si les consignes d'évitement du soleil ne sont pas suivies.
9. Coût de l'épilation laser pour homme
Le coût de l'épilation laser dépend de la zone traitée, du nombre de séances et de la clinique choisie. Voici quelques exemples indicatifs de prix par séance :
Visage et cou : 100 à 200 €
Poitrine ou dos : 200 à 400 €
Jambes complètes : 300 à 500 €
Les cliniques offrent souvent des forfaits incluant plusieurs séances à prix réduit, car un cycle complet de traitement nécessite plusieurs visites.
L’épilation laser pour homme est une méthode pratique et efficace pour se débarrasser des poils indésirables de façon semi-permanente. Elle offre des avantages esthétiques, mais aussi des bénéfices en termes de confort et d’hygiène. Avant de commencer le traitement, il est important de consulter un professionnel qualifié pour évaluer votre type de peau et de poil, comprendre les résultats attendus et préparer un plan de traitement personnalisé.
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meloshbielka · 9 months ago
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Je ne serai jamais un homme
Ce n'est pas parce que l'identité de genre peut être une caractéristique profonde d'une personne, un sentiment d'appartenance fort et intangible que ce sur quoi elle s'est construite n'est pas arbitraire à l'origine = le genre.
C'est en ce sens que je disais dans un précédent texte que le genre n'est que stéréotypes. J'entends par stéréotypes quelque chose d'infondé, attribué aux personnes en fonction de leur organes génitaux sans aucun lien avec eux.
Bien sûr que l'identité de genre existe chez l'écrasante majorité des êtres humains : iels ont besoin du genre pour se construire en tant que personne, pour se placer en société, et on ne peut pas changer l'identité de genre d'une personne (ce qu'essaient de faire les thérapies de conversion), il n'y a que la personne concernée et elle seule qui peut la déterminer et peut-être en changer un jour.
Oui, les identités femme et homme existent et ne sont pas prêtes de disparaître.
Mais quand je parle de genre, je fais surtout référence aux caractères associées arbitrairement aux hommes et aux femmes, à leurs comportements appris, à leur expression sociale à travers les vêtements, la voix, les gestes, etc. Je ne parle pas de comment les gens s'identifient car je ne comprends même pas moi-même le concept de s'identifier à un genre. Comme je l'ai déjà dit, ce qu'on associe au genre masculin me concernant, à savoir ma présentation sociale (vêtements, coiffure) et le genre grammatical que j'utilise pour parler de moi (qui est directement lié à ma présentation, fondée sur des goûts personnels, mais aussi à ma volonté de m'éloigner du "programme" qu'on m'a imposé à la naissance = tu seras une fille et tu te présenteras comme telle) n'est pas une caractéristique si importante que ça pour me décrire en tant qu'être humain. En réalité, je m'en fiche un peu d'être masculin en apparence, à l'échelle individuelle et intime, ce ne sont que des goûts parmi tant d'autres, mais je suis conscient qu'à l'échelle collective ça veut dire beaucoup et que ça échappe à mon contrôle. Comme tout le monde, je suis assigné, déterminé également par le regard des autres, et je ne peux pas faire grand-chose pour m'en extirper.
Il peut y avoir plusieurs raisons pour lesquelles une personne trans s'identifie comme femme ou homme (c'est aussi valable pour les personnes cis dans une moindre mesure, tout dépend de leur conscience du genre).
Parce que c'est comme ça qu'elles sont perçues socialement, tout le temps, et donc traitées (coucou le sexisme) : c'est une perspective matérialiste, peu importe comment les personnes se sentent vraiment et leurs opinions politiques sur la question du genre et du féminisme, elles sont traitées comme des hommes ou des femmes et sont placées dans la hiérarchie sociale en fonction. Homme et femme sont des statuts sociaux. Ce n'est pas faux en soi, et je comprends qu'on puisse accepter ces identités pour ces raisons.
Et pourtant je refuse de me définir en tant qu'homme, même si on me perçoit comme tel socialement la plupart du temps. Peut-être que je ne veux pas passer pour un homme toute ma vie, peut-être que c'est en partie pour ça que je veux tester plus d'androgynie dans mon apparence (cf arrêter la testo et ne pas porter de binder). Peut-être aussi que je n'ai pas l'impression de me reconnaître dans le vécu associé à un homme cis. À part mon apparence, il n'y a rien qui me rapproche des stéréotypes masculins, ni dans mes comportements, ni dans ma socialisation, ni dans mon rapport au corps (je n'ai pas de souci avec ce qui est considéré comme un corps féminin, je n'ai pas les éventuels complexes qui peuvent se retrouver chez des hommes cis, liés à leur pénis par exemple, ou à la calvitie, que je compte bien ne pas avoir car cette apparence masculine ne me correspond pas). Ne pas vouloir de torse plat, ne pas vouloir être musclé, ne pas vouloir être viril, ne pas vouloir être particulièrement poilu du visage, tout ça n'est pas anodin dans mon ressenti. Bien sûr certains hommes peuvent se retrouver aussi dans ce que je dis, et dans ces cas-là je me demande bien pourquoi ils s'accrochent tellement à leur identité d'homme… Si c'est leur pénis, ok, je ne juge pas, tant qu'ils ne sont pas transphobes ni sexistes (ce qui réduit pas mal le champ des possibles…), je respecte toutes les raisons pour lesquels une personne adopte une identité, tant qu'elle ne cherche pas à imposer un carcan aux autres. Je n'ai pas de souci avec les personnes cis qui ne comprennent pas la transidentité mais respectent les personnes trans, acceptent que d'autres personnes perçoivent le genre différemment. Mais je pense que celles qui rejettent le plus les personnes trans sont aussi celles qui ont un problème à régler avec leur propre genre… Si tu es à l'aise avec ton genre, qu'il se trouve être conforme aux attentes de la société cishétéronormée, et bien tant mieux pour toi j'ai envie de dire, tu auras moins de problème dans la vie, et il me semble que tu n'as aucune raison de t'en prendre aux autres. Vis ta vis et laisse les autres vivrent la leur.
Bref, si pour toi tu es un homme parce que tu es attaché au fait d'avoir un pénis et pas une vulve, grand bien te fasse. Mais si tu t'en fiches un peu d'être né avec un pénis, si tu ne considères pas cela comme supérieur, et que tu te dis homme juste parce qu'on t'a dit que tu en étais un, alors tu peux aussi réfléchir un peu plus en profondeur et peut-être participer à renverser le patriarcat en te désolidarisant de cette identité et de ces représentants les plus problématiques. Montrer des modèles d'hommes respectueux des femmes, c'est bien, mais le problème fondamental c'est l'ordre patriarcal qui est lié à l'hétérosexualité obligatoire et au système de genre… Donc il me semble plus pertinent de se désidentifier, de lutter activement pour participer le moins possible à l'oppression sexiste (et aux autres oppressions). Refuser tes privilèges, les atténuer. Très peu d'hommes le font. Et ce n'est pas en disant qu'on est non-binaire parce qu'on est sensible et qu'on aime le vernis. Je caricature mais j'ai peur qu'il y ait un mouvement dans ce sens, une sorte de pirouette pour maintenir la domination sous une forme plus douce en apparence. Non, c'est en refusant l'hétérosexualité, c'est en refusant l'exploitation des femmes, c'est en refusant de faire carrière et en se tournant par exemple vers des activités intellectuelles qui font avancer les luttes, et/ou en faisant des boulots de soin, en s'occupant d'enfants, c'est en dénonçant les comportements problématiques d'autres hommes, en rompant les solidarités, en fréquentant plus de de femmes et de personnes hors normes, etc etc.
Et ce, massivement, car à l'échelle d'une poignée d'individus rien ne changera. C'est aussi par le bas qu'on peut imposer une forme de changement politique, même si ça peut être en parallèle dans l'autre sens aussi.
Tout ça pour dire que personnellement ça ne me parle pas du tout de m'accrocher à une identité d'homme, pas plus que de femme, mais que je peux comprendre que d'autres personnes le fassent.
S'identifier en tant qu'homme ou femme, quand on es trans, c'est aussi un moyen de se faire respecter, et d'éviter certaines violences. Parce qu'être réassigné.e en permanence à notre corps, à telle ou telle caractéristique physique, être out en tant que personne trans, c'est épuisant et potentiellement dangereux. Pour la plupart des gens, être féminine et utiliser le féminin=femme et être masculin et utiliser le masculin=homme. Donc si on dit qu'on est un homme et qu'on passe pas trop mal (ce qui est déjà une chance), on nous genre tout de suite au masculin… Idem pour femme et féminin. Pas d'explications à donner, pas de questions déplacées, pas de remise en question de notre genre. C'est donc aussi une simplification, pour faire comprendre aux personnes cis qui ne voient pas en dehors de la binarité qu'on n'est pas notre genre assigné…
S'identifier en tant qu'homme ou femme quand on est trans peut être aussi lié au corps, tout comme pour beaucoup de personnes cis (en partie parce qu'elles n'ont pas réfléchi à la question du genre et/ou qu'elles vivent dans un environnement très stéréotypé) mais chez les personnes trans il me semble qu'il y a une forte dimension sociale consciente, qui coexiste avec de la dysphorie corporelle. Ce qu'on peut ne pas supporter sur son corps c'est à la fois ce qui nous identifie aux autres à tort comme des hommes ou des femmes (pilosité, poitrine, etc) mais aussi sentir qu'on n'a profondément pas envie d'avoir ces caractéristiques, qu'elles sonnent fausses sur soi, qu'elles sont en trop, qu'elles n'auraient jamais dû se développer en premier lieu. Ce n'est pas une expérience que je vis mais je rapporte ce que j'ai pu comprendre d'autres personnes trans. C'est un rejet plus profond, qui peut s'accentuer avec le temps, au fur et à mesure d'une transition parfois. Pour moi, tel que je le comprends, vouloir absolument un torse plat, plus de poils, voire un pénis, est lié au fait de se reconnaître dans l'identité d'homme. On regarde les autres hommes, majoritairement cis, et on est jaloux, on souffre de ne pas avoir le même corps qu'eux, on trouve cela injuste et c'est une souffrance qui peut être grandement apaisée par les chirurgies, les hormones, la musculation. J'imagine que c'est similaire pour les femmes trans pour des caractéristiques considérés comme féminines.
Les personnes trans comme cis ont donc plusieurs raisons tout à fait légitimes de s'identifier comme femme ou homme.
Mais ces identités existent aussi parce qu'il y a des personnes pour les utiliser…
Il n'appartient pas aux personnes trans de bouleverser l'ordre du genre, du moins à elles seules, elles ont toutes les bonnes raisons de ne pas trop le faire car cela entraîne souvent des violences et une marginalisation sociale. Pour moi c'est plus encore à la masse des personnes cis de commencer à rejeter ces identités, en particulier aux hommes puisqu'ils sont en situation de domination dans l'ordre du genre. Évidemment, plus les hommes sont privilégiés socialement (blancs, valides, bourgeois) et plus ils doivent questionner le genre. Mais les femmes aussi ont un rôle à jouer en arrêtant autant que possible de jouer le jeu de l'hétérosexualité.
En tant que personne trans relativement privilégiée (masculin, blanc, valide, issu de classe moyenne) je refuse d'appartenir au groupe des hommes juste parce que je ressemble dans mon apparence à un homme, juste parce que je suis masculin, et que j'ai pris de la testostérone. J'ai conscience que dans un certain nombre de situations cette identité homme m'est imposée par le regard social, que je le veuille ou non, et ça me protège aussi. Mais autant que faire se peut, je parlerai de ma transidentité, de ma non-binarité, je montrerai que les choses ne sont pas si simples, je naviguerai dans ce flou androgyne dangereux mais si libérateur.
J'ai le privilège pour l'instant d'évoluer dans des espaces respectueux, même à dominante cis, et j'ai un certain passing, donc je suis bien placé pour mettre un peu de dissonance dans tout ça. Ce ne sont pas à mes sœurs et adelphes transfem qui se prennent la transmisogynie et dont l'identité est constamment remise en question sur la base d'un sexisme décomplexé de nécessairement clamer haut et fort leur non-binarité, leur détachement partiel ou total de l'identité femme (si elles le peuvent de manière safe c'est bien mais ça doit pas être facile). Je pense à celleux qui ne passent pas ou pas tout le temps, à qui on va bien faire sentir qu'elles ne sont pas assez féminines ou à l'inverse qu'elles en font trop et qu'elle sont trop vulgaires. Le corps des femmes et des personnes fem encore et toujours commentés, jugés, moqués…
Je comprends parfaitement que, même si en aparté elles ne sont pas dupes sur la binarité, elles s'identifient en tant que femmes, déjà pour les mêmes raisons que des hommes trans peuvent s'identifier en tant qu'homme (cf plus haut), mais aussi parce que le prix social à payer est encore plus grand dans notre système patriarcal.
Moi je peux, à ma petite échelle, et de manière toute relative (je suis anxieux et je me protège aussi), m'émanciper un peu de la binarité dans l'espace social, petit à petit, car étant considéré comme masculin, on posera toujours moins les yeux sur moi que sur une personne fem.
Je ne suis pas dans cette démarche juste parce que fuck la binarité, c'est aussi la façon d'être qui se rapproche le plus du rapport à mon corps et de mon ressenti sur le genre. Je pense que je pourrais à long terme me détacher de plus en plus du regard des autres, du comportement et du physique attendu d'un homme, pour signifier que je ne rentre pas dans cette case.
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landrock · 22 days ago
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big-beard-white · 20 days ago
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Magnifique torse poilu 😋 😋 😋
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meloshbielka · 2 years ago
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Peut-être... Mais c'est comme ça
Peut-être que si j'avais eu une enfance tomboy, si j'avais découvert mon orientation à l'adolescence, si je n'avais pas été en couple cishétéro pendant mes années de jeune adulte, si mon vécu avait été bien différent, peut-être que je n'en serais pas là où j'en suis, peut-être que j'aurais êté juste une butch, ou peut-être que j'aurais été non-binaire mais sans désir de transitionner médicalement, peut-être que mon rapport à la masculinité aurait été un peu différent, peut-être que je n'aurais pas été dans une certaine urgence d'embrasser cette masculinité que je n'ai pas pu explorer avant. Ou peut-être que j'aurais juste fait ça plus tôt... Je ne peux pas savoir.
Ce qui est sûr c'est que je n'ai pas été un petit garçon trans ni même un enfant masculin, je n'ai pas été un ado trans, et je ne suis pas un homme trans, cette narration n'est pas la mienne, elle ne correspond pas à mon vécu. J'ai été une petite fille qui ne se posait pas de question de genre, qui n'adoptait pas que des goûts marqués socialement comme féminins mais qui n'avait pas de problème à le faire. Qui n'était pas traumatisée par le fait d'avoir les cheveux longs, mais qui probablement aurait aussi aimé les cheveux courts, voire plus vu que c'est plus pratique à entretenir (car s'occuper de son apparence n'était, comme pas mal d'enfants, pas une priorité pour elle).
Qui adorait jouer à des jeux sportifs avec son frère tout en adorant passer du temps avec sa grande cousine à s'occuper de musique ou écouter ses histoires de cœur adolescentes, en s'identifiant un peu à elle, en la recopiant dans ses goûts.
J'ai été un enfant c'est tout. Je me voyais comme une petite fille peut-être, car on m'avait dit que j'en été une, mais pour moi ça voulait juste dire que j'avais une zézette et pas un zizi.
J'ai été une ado qui ne traînait quasiment qu'avec des filles, qui sentait qu'elle faisait partie de ce groupe, qui ne se trouvait pas différente d'elles au niveau du genre, qui ne ressentait pas de décalage.
Une ado pour qui c'était impensable de faire autrement, de s'éloigner des modèles qu'on lui avait présentés.
Les garçons étaient une autre espèce pour elle, ils l'intéressaient très peu pour lier des liens car elle ne voyait pas de points communs avec eux. Elle a un peu fait semblant de crusher vite fait sur eux, car apparemment c'est ce qu'on fait à l'adolescence, et aussi qu'elle avait envie secrètement qu'on s'intéresse un peu à elle...
Une fille qui ne s'identifiait vraiment pas aux garçons, qui a bien vécu sa puberté, qui ne désirait rien de différent, pour qui c'était tout à fait normal que son corps évolue dans ce sens puisque les personnes avec ce corps autour d'elle avaient vécu la même chose, et ces personnes étaient des femmes. Donc elle était une fille, apparemment, et ça ne lui posait pas de soucis.
J'ai été une jeune adulte, en couple hétéro, qui petit à petit a découvert qu'on pouvait faire autrement, en l'occurrence comme son copain... Qui a mis des années à se rendre compte qu'elle n'était pas hétéro. Avant de comprendre tout ce que l'extérieur projetait sur elle, de comprendre qu'être une fille n'était pas avoir une vulve, qu'elle n'était pas définie par son entrejambe, qu'elle avait été conditionnée par la société pour ne pas trop remettre en questions ces normes de genre, à les adopter tant bien que mal, sans être sûre que ça lui convenait vraiment ni même se poser la question.
Une fille qui a osé faire une rando à vélo à 23 ans avec un des pantacourts de son copain, même si la peur d'être jugée pour ses jambes poilues l'accompagnait encore, que c'était une situation exceptionnelle, et qu'elle ne portait que des pantalons au quotidien.
Une fille qui a basardé ces soutifs à 27 ans, ne supportant plus cet inconfort, jalouse de son copain qui mettait juste un t-shirt sans se préoccuper d'autre chose... Mais qui n'était pas jalouse de son torse plat. Qui a toujours globalement aimé sa poitrine, tout en reconnaissant qu'en avoir une visible dans l'espace public l'exposait à plus de danger que lui. Et qui supportait de moins en moins cet injustice au fond d'elle, sans mettre des mots précis dessus encore.
Une fille qui, au même moment, a commencé à se poser des questions sur ce qu'était une femme, sur ce qui la différenciait fondamentalement de son copain. Qui a entendu pour la première fois parler d'une personne transmasculine qui prenait de la testo. Et qui était très intéressée par cette question. Qui ne comprenait pas vraiment comment on pouvait faire ça, qui trouvait ça fou, mais qui en même temps ne niait pas ce vécu, qui s'efforçait de genrer la personne correctement quand elle parlait d'elle (ne la connaissant pas personnellement et ne l'ayant jamais croisée) car c'était une évidence pour elle. Qui trouvait les positions de son copain sur la question de la transidentité un peu limites, avec des sous-entendus plus pathologisants, et avec un discours sur le fait que cette personne était quand même plus jolie en fille et que c'était dommage.
Une fille d'accord avec lui sur le fait que les filles étaient plus belles globalement. Qui défendait aussi une certaine masculinité physique que son copain moquait parfois mais qui ne parlait pas de la même chose en réalité... Certes, qui était en couple avec lui et qui n'était pas dégouté physiquement par la masculinité de son copain, et qui était censé être hétéro donc il lui semblait logique de défendre le fait que les hommes aussi puissent être beaux et "attirants" mais qui ne parlait pas au fond d'une attirance amoureuse/sexuelle... Qui ne voyait juste pas en quoi avoir un physique "de mec" était moins beau en soi. Bien sûr tout était un peu embrouillé dans sa tête à cette époque, et elle était encore loin d'assumer son attirance pour les femmes et sa transidentité...
Une fille qui à 28 ans a commencé à se désidentifier, petit à petit, du mot femme, de tout ce qu'il impliquait.
Une fille qui n'en est plus une. Qui pensait en être une mais qui a changé d'avis.
C'est sa narration
Son histoire
Elle est unique, comme toutes les histoires.
Personne ne peut lui imposer autre chose, personne ne peut lui demander de revisiter son histoire pour en rassurer quelques un.e.s, même si leur vie a été plus difficile que la sienne, qu'iels regrettent de ne pas avoir commencé leur transition plus tôt ou de l'avoir commencé tout court.
Tout le monde a ses contradictions
Car la complexité bouleverse tout.
Je suis pluriel et je n'aime pas qu'on me résume à ce qu'on croit percevoir ou comprendre de moi.
Je n'aime pas qu'on me dise que j'ai été une petite fille, ça me met mal à l'aise. J'ai simplement peur qu'on me voit comme une femme actuellement. Qu'on change son regard sur moi à cette simple information.
Mais je peux le dire pour moi-même.
Même si ça concerne moins mon identité profonde qu'une identité sociale. J'ai été vu, traité, et donc je me suis perçu comme une fille, c'est tout.
Mais aujourd'hui je ne veux pas qu'on utilise mon histoire pour me délégitimer. Pour me dire que je ne suis pas ce que je dis être.
Je veux envoyer un message à mes adelphes qui, comme moi, ont pu se sentir ou se sentent encore des imposteurices, des fauxsses trans,
Vous n'ètes pas seul.e.s.
Vous avez le droit d'évoluer sur votre identité de genre, vous avez le droit de penser à un moment donné de votre vie que tel ou tel mot vous correspond, quelque soient les raisons pour lesquelles vous le pensez. Sincèrement convaincu.e.s ? Doutant mais préférant rester dans la norme par peur de la violence ? Trop jeunes, pas le bon contexte, pas la priorité ? Peu importe.
Vôtre vécu est légitime
Vous êtes trans
Et bien plus encore
Vous êtes magnifiques 💛🤍💜🖤
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griffinrampant · 6 years ago
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Arms of the borough of Barnet, London, England
Granted 1965
Blazon: Azure on a mount in base a Paschal lamb proper; on a chief per pale argent and gules a Saxon crown or between two roses counterchanged barbed and seeded proper
Crest: On a wreath of the colors a two-bladed airscrew in pale winged or surmounted by two swords in saltire points upwards proper
Supporters: On the dexter a lion and on the sinister a stag argent charged on the shoulder with a cross potent quadrate gules
Mantling: Azure lined argent
Motto: Unitas efficit ministerium (Unity accomplishes service)
The borough was formed from a combination of other boroughs, most of which are represented in the achievement. The Paschal lamb and the airscrew are from Hendon; the supporters are from Finchley; the crosses potent quadrate are from Friern Barnet. The red and white roses featured in the arms of both Barnet and East Barnet as a reference to the Battle of Barnet from the Wars of the Roses.
There is so much going on here, and I'm not sure any of it is good. Setting aside the fact that it's basically impossible to make these arms work within the law of tinctures and the completely unnecessary compartment, my biggest complaint has to be the crest. First, that does NOT look like a propeller. I only figured out it's supposed to be a two-bladed propeller seen from the front from the blazon. That's not good. Secondly, it's a fucking propeller. It's already an allusion to aviation. You don't need to put fucking wings on it. Third, I'm going to borrow Fox-Davies' complaint about more modern crests: they were originally intended to be worn on top of a helmet. How the fuck are you supposed to balance that thing on your head? Would it even be identifiable from a distance? This is such a trainwreck, even the counterchanged reference to the Wars of the Roses isn't enough to save it.
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