#talisman objet
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Activités
(Il n'est pas possible de rĂ©server de rĂŽles pour l'instant, ceci est une liste non exhaustive Ă but informatif. Dans la liste, vous pourrez voir que certains rĂŽles sont limitĂ©s, car considĂ©rĂ©s comme "essentiels" mais ne nĂ©cessitant pas non plus d'ĂȘtre multipliĂ©s.). A Derry, le temps sâorganise diffĂ©remment quâĂ lâextĂ©rieur. La coutume veut que lâon donne une partie de son temps Ă la communautĂ© en gĂ©nĂ©rale dans une activitĂ© utile Ă la survie quotidienne. Il est ensuite possible dâoccuper le reste de son temps Ă des activitĂ©s jugĂ©es non essentielles Ă la survie, mais qui agrĂ©mentent la vie. Il nâest pas rare que la population de Derry occupe plusieurs rĂŽles en fonction des saisons ou de lâabsence de travail.Â
Occupations :Â
Artisanat :Â
Apprenti·e :Â
Couturier·e :     Â
ĂbĂ©niste :Â
Forgeron·ne / marĂ©chal ferrant (0/1) :Â
Fromager·Úre :
Homme / femme Ă tout faire : Â Â Â Â Â
Maçon·ne :Â
Menuisier·Úre :Â
Meunier·Úre :
Potier·Úre :Â
Réparateur·ice :
Tanneur·euse :Â
Vie quotidienne :Â
Agriculteur·ice :Â
Apprenti·e :Â
Boucher·Úre :Â
Boulanger·e :Â
Bucheron·ne :Â
Eleveur·euse : staff
Employé·e Ă lâabattoir : staff
MaraĂźcher·Úre : Â
Soins :Â
Herboriste :Â
MĂ©decin / infirmiĂšr·e (0/3) :Â
Croque-mort (1/1) : staff
Vie communautaire :Â
Adjoint·es du shĂ©rif (0/2) :Â
Employé·es du diner (1/2) : staff
GĂ©rant·e de lâĂ©picerie (0/1) :
Gérant·e du bar (0/1) :
Pasteur (1/1) : PNJ
Professeur·e dâĂ©cole (0/1) :Â
Shérif (1/1) : PNJ
Autres :Â
Arpenteur·euse de la zone (0/2) (en forme physiquement, dotĂ©s d'un bon sens de l'orientation, qui disparaissent souvent sans qu'on sache s'ils n'ont pas rĂ©ussi Ă rentrer avant la nuit ou qu'autre chose les a eus (on retrouve parfois leurs corps... ou des morceaux), ils tournent rĂ©guliĂšrement avec dâautres personnes leur but est de chercher des objets, ferrailler, cartographier, peut-ĂȘtre aussi trouver des explications) :
 Parasite :
ActivitĂ©s en plus (pas des activitĂ©s communautaires Ă plein temps mais qui sont utiles au quotidien) :Â
Aide au culte :Â
Apiculteur·ice :Â
Brasseur·euse :Â
Chasseur·euse / trappeur·euse :Â
Fabriquant·e de talismans (0/2 - 1 par groupe) :
PĂȘcheur·euse :Â
Activités non essentielles :
Artiste :Â
Artisan·e bijoutier / accessoires :Â
Ecrivain·e public :Â
Coiffeur·euse :
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Découvrez la fascinante symbolique cachée derriÚre les bracelets
Introduction Le bracelet est un bijou trĂšs populaire qui se porte autour du poignet. Mais derriĂšre cet accessoire esthĂ©tique se cache une riche symbolique. Dans cet article, nous explorerons lâhistoire du bracelet, les significations associĂ©es aux diffĂ©rents matĂ©riaux et types de bracelets, ainsi que leur utilisation en tant que talismans ou objets de protection. Continue reading Untitled
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RERAJAHAN.
CE SONT DES TALISMANS HAUTEMENT SACRĂS DESSINĂS PAR DES PRETRES ET CONSACRĂS LORS DE LINAUGURATION DUN TEMPLE OU DUNE MAISON OU AURTE CONSTRUCTION
Les dessins sont symboliques et destines a proteger le lieu et ses occupants, ils sont fixes en haut des portes ou des pavillons ou autels
Certains ne sont fait que pour l'occasion des cĂ©rĂ©monie de sacralisation , confectionnĂ©s par les prĂȘtres eux mĂȘme ils ne se trouvent pas dans.le commerces
Non associĂ© au titulaire de leur mise en place ils n ont pas d autre pouvoir que ceux qu on le leur donnera soit mĂȘme ( superstitions) .
L objet l est rien sans son " Ăme " . Le pouvoir des prĂȘtre est de le "Animer " . ( en fait les intĂ©grer Ă ce qu est l Esprit ) .
Intégrer à ce qu est l esprit change l état d esprit .
ça sâappelle Ulap Ulap
Ătymologiquement, le mot oulap-ulap vient du balinais qui signifie agiter, agiter/appeler avec la main (ngaukin aji five). Cela signifie invoquer un certain pouvoir ou lumiĂšre sacrĂ©e d'Ida Sang Hyang Widhi Wasa pour animer le bĂątiment.
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L'inventaire amer
Des journaux, des livres En pile sur la table basse Des cartes postales, des photos Du chocolat Un petit mouchoir en tissu roulé en boule dans le fauteuil Une télécommande à portée de main Un panier en osier en guise de sac à main Une canne Un chapelet une Vierge en ivoire
Menus objets de ma mĂšre Passant dans les mains de sa fille et de sa petite-fille Talismans du quotidien Choisis avec soin Pour lâattendre dans sa nouvelle chambre
âMaison de retraiteâ⊠Ne devrait-on pas dire plutĂŽt Maison de retrait ? Retrait de la vie active â celle des courses du matin De la boĂźte aux lettres, Et des clefs sur la porte.
Une cuillÚre à riz du Vietnam Des chaussettes rigolotes Une broche libellule en bois laqué Un scarabée de chez Deyrolle Des écharpes colorées Une jolie housse de coussin
Cadeaux soigneusement rangĂ©s dans les tiroirs quâil faut vider Objets retrouvĂ©s qui, De retour chez ceux qui les avaient offerts, Se transforment en dâautres talismans â Ce nâest plus âun souvenir de Mamanâ, Câest âun souvenir dâun cadeau que jâavais fait Ă Mamanâ
Et mon inventaire sera Le regret Les remords LâindĂ©cision La trahison Lâincertitude Le dĂ©ni Le chagrin Le chagrin Le chagrin Le chagrin
Marie-Pia 25 novembre 2024
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LA DĂFENSE SAINTE
[DEUTĂRONOME 33:25-29]
Le MIM Patriot est un missile sol-air. Le systĂšme sol-air est utilisĂ© par l'armĂ©es des Ătats-Unis et les armĂ©es de plusieurs pays alliĂ©s. Le systĂšme du Patriot a quatre opĂ©rations primaires : les communications, le contrĂŽle et la commande, la surveillance radar et le guidage de missile. Ces quatre fonctions sont combinĂ©es pour donner un systĂšme intĂ©grĂ© coordonnĂ© et sĂ©curisĂ©. Les intercepteurs du Patriot sont estimĂ©s Ă 4 millions de dollars par missile. ComparĂ© au systĂšme de dĂ©fense impĂ©nĂ©trable, invincible et invisible de Dieu pour Son peuple, les systĂšmes de dĂ©fense humains coĂ»tent trop cher et sont imparfaits. MoĂŻse, le serviteur de Dieu, pria pour les tribus d'IsraĂ«l avant de mourir. En bĂ©nissant IsraĂ«l, il dĂ©clara que l'Ăternel Dieu est leur refuge et toutes les armes sont sous eux. MoĂŻse Ă©tait un dirigeant qui a connu du succĂšs. Au moment oĂč il mourait, IsraĂ«l Ă©tait plus fort que lorsqu'il Ă©tait allĂ© le sortir d'Ăgypte sous un mandat divin. Dans les bĂ©nĂ©dictions qu'il a prononcĂ©es sur IsraĂ«l avant de mourir ; il les avait rassurĂ©s que s'ils gardaient les commandements de Dieu et observaient tout ce qui Ă©tait Ă©crit dans le livre de la loi, la protection de Dieu demeurerait sur eux.
L'Ă©glise de Christ est aujourd'hui l'IsraĂ«l de Dieu et peut bĂ©nĂ©ficier de Sa protection dans ce monde de mal et de mĂ©chancetĂ©. Notre passage biblique montre la puissance illimitĂ©e de Dieu pour les Siens. Il promet nous donner de la force tous les jours de notre vie et la puissance Ă ceux qui faiblissent. Ses anges ont reçu l'ordre de nous garder dans toutes nos voies. La ferme assurance de la protection divine sur Ses enfants constitue l'un des messages qui rĂ©confortent le plus l'Ă©glise. Nous servons un Dieu puissant. l'Ăternel des armĂ©es est son nom. Parce que les armes de notre combat ne sont pas charnelles, mais puissantes pour renverser les forteresses, nous n'avons pas besoin d'armes physiques comme les talismans, les objets occultes, et les gris-gris pour notre dĂ©fense et notre dĂ©livrance ainsi que celle de notre famille. De mĂȘme, en tant que croyants du Nouveau Testament, nous n'avons pas besoin de maudire les gens qui se prĂ©sentent Ă nous comme des ennemis, ni de demander que Dieu les dĂ©truise. Notre Dieu combattra toujours pour nous. Nous avons l'assurance inamovible que Dieu est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais dans le temps de dĂ©tresse (Psaumes 46:1). Nous n'avons aucune raison de nous inquiĂ©ter ou d'avoir peur. La promesse qu'Il a faite Ă l'apĂŽtre Paul demeure pour nous aujourd'hui. <<Car je suis avec toi, et personne ne mettra la main sur toi pour te faire du mal>> (Actes 18:10). L'uniformitĂ© des tĂ©moignages dans les Ăcritures nous atteste que notre sainte dĂ©fense est irrĂ©futable ! Rappelez-vous aussi que notre Seigneur JĂ©sus a dĂ©truit les principautĂ©s sur la croix, et nous a donnĂ© le pouvoir de conquĂ©rir toutes les adversitĂ©s par Son nom. Notre dĂ©fense est sĂ»re. Notre victoire est confirmĂ©e. Notre domination est garantie. Sortez aujourd'hui, et le reste de vos jours avec cette assurance et cette confiance.
Réjouissez-vous car notre défense est invincible et impénétrable.
Que l'Ăternel le Dieu Tout-Puissant nous protĂšge et nous accorde la grĂące de marcher selon Ses prĂ©ceptes car en Lui, nous avons tout pleinement, Lui qui est le Chef de toute domination et de toute autoritĂ© . Ameeennnnn đđ
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Les Omamori sont des amulettes japonaises vendues dans des sanctuaires Shinto et temples Buddhistes, dédiées à un kami ou une figure Bouddhiste et sont réputées pour procurer différentes formes de chance et protection.
Le shintoĂŻsme, religion primitive japonaise est basĂ©e sur des concepts animistes. Les ĂȘtres vivants - y compris la faune et la flore -, les objets et les Ă©lĂ©ments naturels (vent, pluieâŠ) ont un esprit ou force vitale, et un pouvoir de protection. Ainsi, un arbre gĂ©ant sacrĂ© est censĂ© protĂ©ger le village d'Ă -cĂŽtĂ© si on lui tĂ©moigne son respect Ă travers des rites.
L'omamori pour l'argent et les affaires
Le kaiun shofuku serait efficace pour attirer la bonne fortune : investissement, héritage, épargne, etc. C'est pour cette raison qu'il représente un sac d'argent jaune vif, couleur de la richesse.
TrĂšs populaire auprĂšs des Ă©tudiants nippons, le pic d'achat du gakugyĆ-jĆju se situe avant la rentrĂ©e scolaire - entre fĂ©vrier et mars. Ce talisman gĂ©nĂ©ralement de couleur bleu ou vert prĂ©sage de bonnes notes.
Le yakuyoke est un moyen de protection censé réprimer les superstitions, chasser les démons et prévenir les événements malheureux.
TrÚs répandue parmi les inconditionnels d'omamori, le en-musubi est une amulette japonaise qui embellit les relations amoureuses actuelles et provoque de belles rencontres futures. Il en existe pour les célibataires, les couples, les mariés et les familles.
Un omamori ouvert perd son pouvoir protecteur, il faut le porter constamment sans jamais l'ouvrir. Il est également conseillé de le remplacer une fois par an ; à défaut, la malchance qu'il aura accumulée poursuivra son porteur. Sachez que le moment le plus opportun d'acheter un nouveau fétiche japonais est le jour de l'an. Eh oui, les bons départs se prennent au bon moment !
Par ailleurs, il ne faut pas changer un omamori détérioré. Bien au contraire, une amulette abßmée signifie qu'elle a barré la route à beaucoup d'événements malheureux.
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Les romans de la Table Ronde sont de grands rĂ©cits d'amour. Autour d'Arthur, le roi lĂ©gendaire, l'Ă©lite de la chevalerie s'adonne aux exploits qu'alimente la force du dĂ©sir. Lancelot, l'amant idĂ©al, Ă©prouve pour GueniĂšvre, l'Ă©pouse de son souverain, une folle passion qui doit rester secrĂšte ! Mais Gauvain, le neveu d'Arthur, peut faire Ă©tat du prestige de sa sĂ©duction : beau et galant, ardent, il est disponible Ă la moindre invite des dames, parfois au risque de sa vie - car une nuit auprĂšs d'une jeune fille nue et consentante qu'un pĂšre livre Ă son hĂŽte est bien pĂ©rilleuse : une Ă©pĂ©e aux attaches d'argent interdit la jouissance ! Gauvain se prĂȘte aux fantasmes les plus divers : sa force suit le cours du soleil⊠Le fantastique aussi imprĂšgne les rĂ©cits. Merlin l'Enchanteur, nĂ© d'une copulation du diable avec une jeune fille, est Ă l'origine de la Table Ronde. C'est grĂące Ă lui qu'Uterpendragon, passionnĂ©ment Ă©pris d'Ygerne, prend les traits de l'Ă©poux absent et c'est dans l'illusion d'une nuit que sera conçu Arthur. Merlin Ă©tablira la souverainetĂ© du jeune homme, roi de la Table Ronde. Une femme peut elle aussi accomplir un acte extraordinaire : pour sauver Caradoc, la belle Guinier accepte de se plonger dans une cuve de lait, une nuit de pleine lune, et de sacrifier l'extrĂ©mitĂ© de son sein blanc. Les quĂȘtes des chevaliers de la Table Ronde mĂšnent au Graal, qui garde le mystĂšre de son nom et de son origine : objet magique, source de vie, il fait partie des talismans de l'autre monde. L'initiation du jeune Perceval et son Ă©chec dans cette quĂȘte imprĂ©gneront profondĂ©ment la sensibilitĂ© occidentale. Du XIIe au XXe siĂšcle, la lĂ©gende arthurienne, en français et en langue d'oc, a essaimĂ© dans l'Europe entiĂšre, tĂ©moin de la sĂ©duction de la "matiĂšre de Bretagne".
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OFFRE-TOI LE DISQUE Il sâappelle Origami et il est recommandĂ© Par les plus grands experts en matiĂšre* De dĂ©veloppement indie pop personnel ! Event FB pour les Ă©veillĂ©s Campagne Ulule pour les campanules
*ORIGAMI: INDIE POP & BILLETS DOUX Alors quâen ce jour de fĂȘte commerciale de lâamour j'ai enfin dĂ©cidĂ© dâannoncer publiquement la sortie physique de mon 3e album, les quelques curieux et privilĂ©giĂ©s Ă avoir dâores et dĂ©jĂ plongĂ© dans les 9 plages dâOrigami, ses plis et replis, intimes et extimes, ont de leur cĂŽtĂ© acceptĂ© de tĂ©moigner de leur expĂ©rience. Ambiance voyage voyage et courriers du cĆur. Morceaux choisis. 1. Jeanne Morisseau : "Magnifique album, harmonieux, profond. Qui commence fort et s'apaise. Des ambiances aimantes, toujours de bon ton. Un gars qui cherche mais est quand mĂȘme sĂ»r de trouver. Merci pour cette petite nef tombĂ©e du ciel. Qu'elle soit." 2. Natacha Banaix : "Jâaime beaucoup, ambiances envoĂ»tantes et opaques. Les textes sont trĂšs beaux, incisifs. Jâai une prĂ©fĂ©rence pour "Sakin" et sa douce mĂ©lancolie. Lâautre soir jâai tout rĂ©Ă©coutĂ©. Lâalbum est vraiment gĂ©nial. On dirait qu'il nous fait voyager dans les labyrinthes les plus saillants de tes vies intĂ©rieures..." 3. Olivier Triboulois : "Nouveau trĂšs bel album : les textes, les compos, les arrangements. Jâen conseille vivement l'Ă©coute ! Ma prĂ©fĂ©rĂ©e est "Center Parcs", un tube en puissance ! Mais selon lâhumeur et le moment on apprĂ©ciera plutĂŽt telle ou telle chanson. J'aime beaucoup aussi "Amy". Il est trĂšs riche en ambiances, je pense que je vais dĂ©couvrir d'autres sonoritĂ©s au fil des Ă©coutes. La pochette, le livret et l'artwork sont aussi trĂšs rĂ©ussis !" 4. Rita Bagha : "J'ai aimĂ© lire les paroles et tenir lâobjet entre mes mains. A l'Ă©couter, il me semble que c'est un rĂąga du matin. J'ai aimĂ© la diversitĂ© des voix, leurs mĂ©langes et leurs dĂ©ploiements. J'ai senti la musique comme un refuge, presque un talisman. C'est grand et habitĂ© de multiples dimensions. Ăa m'a empli d'une douce Ă©nergie. J'y replonge dĂšs que possible." 5. Alexandre Ruiz : "Jây ai souvent trouvĂ© un cĂŽtĂ© Arnaud-Fleurent Didier sauce tribal. Cool." 6. Dave Le Monocle : "Cet Origami est un petit bijou !" 7. Jan Youri : "Un bel univers planant, surprenant, cohĂ©rent et fignolĂ© avec amour. "Origami", qu'est ce qu'elle est belle ! Câest ma prĂ©fĂ©rĂ©e avec "Ciel de Shoah". Tout ça mâa fait penser aux deux premier albums de Jay-Jay Johanson, le cotĂ© jazz en moins, la touche pop en plus !" 8. Francis Randriamamonjisoa : "Je suis en train d'Ă©couter Origami, il est absolument divin, mortel ! Franchement, c'est Ă minima 15 pointures au-dessus du dernier Dominique A... " 9. Bribinvoile Compos : "Avec "Parfois" en 1, on part direct en voyage ! En 3 et 4, "Ciel de Shoah" et "Center Parcs" forment pour moi le cĆur de l'album, son espace dynamique, qui ravira les plus pressĂ©s. "Origami" est le seul morceau qui mâĂ©chappe encore. TrĂšs Ă©sotĂ©rique, celui-ci monte haut et câest dur de s'en dĂ©faire. Sa fin marque une saturation des sens. "Caprice des Dieux" relĂąche la tension, on sent qu'on a passĂ© le col, que vient le rĂ©confort, et câest le cas avec "LâAmour au Soleil", "Sentima" et "Sakin", des sortes de bonus tracks trĂšs doux qui semblent remercier tous ceux qui sont restĂ©s aprĂšs la fin... J'aime ces albums oĂč on voyage !" Amen ! On est jamais mieux servi que par soi-mĂȘme surtout lorsquâon rĂ©colte le philtre que lâon sĂšme. Alors voilĂ , me suis-je dit, commençons en douceur et grande pompe par nous lancer les fleurs que lâalbum a reçu. AprĂšs tout le chemin parcouru - jây reviendrai - ça fait rudement plaisir. Merci, mercy, mer sea ! Et comme ce nâest que le dĂ©but, force avec vous et faites que ça dure. Let's go ! Sylvain Fesson / Sf En partenariat avec The Queen is Dead Records (Laurent Auffret) Et le webzine Indie Pop Rock (Yan Kouton)
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Talisman lunaire
Ou lâartefact aux milles voyages (et une malĂ©diction)
(40x65x2mm)
Ce talisman lunaire a appartenu Ă GĂ©rald Gardner (1884-1964), fondateur de la religion Wicca. Il rencontra Cecil Williamson en 1946, et sont devenus amis et partenaires de travails - Cecil lâemployant en tant que « sorcier en rĂ©sidence » au Moulin des SorciĂšres, quand le Folklore Center of Superstition and Witchcraft a ouvert ses portes sur lâĂźle de Man en 1951.
Au fil des annĂ©es, leur amitiĂ© sâest dĂ©tĂ©riorĂ©e. En 1954 Cecil dĂ©mĂ©nagea sa collection en Angleterre en vendĂźt le Moulin des SorciĂšres Ă GĂ©rald Gardner (qui le renomma le Museum of Magic and Witchcraft) et dĂ©sormais proposa ses propres artefacts.
Quand GĂ©rald mourut, il laissa sa collection Ă la Haute PrĂȘtresse Monique Wilson. Avec son mari, elle gĂ©ra le musĂ©e pendant plusieurs annĂ©es, avant de revendre lâentiĂšretĂ© de la collection - les prĂ©cieux objets furent alors divisĂ©s entre les musĂ©es de Gatlinburg et de San Francisco. Quand les deux musĂ©es fermĂšrent en 1985, les artefacts furent mis aux enchĂšres. Des annĂ©es plus tard, Mark Sosnowski, un sorcier vivant a New York, commande trente-neuf de ces items sur eBay et en fĂźt don au Museum of Witchcraft en 2012. Des rumeurs circulĂšrent que Cecil avait maudit la collection personnelle de GĂ©rald, câest pourquoi un rituel adaptĂ© fut rĂ©alisĂ© pour dĂ©livrer les artefacts et leur permettre dâĂȘtre exposĂ©s.
Les documents passĂ©s dĂ©crivent cet objet comme un « talisman de Lune en argent, utilisĂ© par une sorciĂšre aux environs de 1740 ». Toutefois il est bien plus probable que ce soit GĂ©rald qui le crĂ©a lui-mĂȘme.
La Lune est considérée par certains comme étant la souveraine de tous les arts magiques, et les sorts sont souvent réglés pour coïncider avec les phases de la Lune. La coordination avec la nouvelle lune est favorable aux rituels concernant les nouveaux départs ou le renforcement, tandis que la lune décroissante est une période propice pour tout sorts destinés à décroßtre, inverser, ou bannir.
La plupart des wiccans tiennent des rassemblements Ă la pleine lune (esbats), et y vĂ©nĂšrent une dĂ©esse lunaire Ă triple visage (la fameuse trinitĂ© maiden-mother-crone). Dans les rites wiccans, la dĂ©esse est appelĂ©e Ă entrer dans le corps de la prĂȘtresse et parler Ă travers elle, un procĂ©dĂ© appelĂ© « drawing down the moon », attirer la lune en bas.
Ă mercredi prochain pour un nouvel artefact occulte âš
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Bijoux haute fantaisie Paris: Corinne Darmon création
Bijoux haute fantaisie Paris: Corinne Darmon création
Une marque de bijoux haute fantaisie vient illuminer le blog de ses fabuleuses crĂ©ations. AprĂšs Kajika Jewelry avec ses bijoux en dentelle de mĂ©tal, Sylvia Corrette avec ses bijoux colorĂ©s de pierres fines, place aujourdâhui Ă une autre crĂ©atrice parisienne⊠Corinne Darmon crĂ©ation  Corinne, Ă©tant notre invitĂ©e sur le blog, sâest prĂȘtĂ©e Ă un petit jeu de questions pour prĂ©senter son parcours etâŠ
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The lights reflecting in the liquid in the last shot make it look like a 1970s sci-fi process when itâs just salt added to a vinegar bath to speed up rust loosening. That is some wild counterweight. No idea how it got earthed under the old fence, construction of a new fence clearly unearthed it. I sense it will become a yard charm, assembled talisman, magickal objet dâart.
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âïž LE PENTACLE âïž âšA ne pas confondre avec le #pentagramme : une Ă©toile Ă 5 branches.âĄïž L'un des symboles les plus anciens du monde, ayant pour signification, la domination de l'esprit sur les Ă©lĂ©ments de la crĂ©ation matĂ©rielle. đLe #pentacle est un pentagramme entourĂ© d'un cercle. âïžCe cercle reprĂ©sente l'infini et l'Ă©ternitĂ©. Il est aussi associĂ© Ă un corps humain ayant les bras et les jambes Ă©cartĂ©s, reprĂ©sentant lâanatomie en relation avec l'infini.⟠Les 5ïžâŁ branches reprĂ©sentent Ă©galement les 4 Ă©lĂ©ments : eau, terre, feu et air ainsi que l'esprit. L'esprit Ă©tant la branche qui pointe vers le haut. đ§ââïžSous cette forme, le pouvoir de l'univers peut ĂȘtre invoquĂ© pour se protĂ©ger ou pour alimenter des rituels ou des sorts. Il s'agit d'un symbole trĂšs ancien utilisĂ© dans la #wicca âšIl a toujours Ă©tĂ© reliĂ© aux symboles de la protection avec l'aide du divin, ou pour se protĂ©ger des forces du mal, des dĂ©mons ou de la #magienoire đ đNous pourrons Ă©galement trouvĂ© comme dĂ©finition du pentacle un sceau magique ou talismanique reprĂ©sentant des figures gĂ©omĂ©triques ( Ă©toiles Ă 5 branches ) avec des caractĂšres hĂ©braĂŻques ou #cabalistiques , des formules censĂ© symboliser et capter des puissances occultes. đCe nom de pentacle est utilisĂ© pour dĂ©signer n'importe quel talisman, portĂ© gĂ©nĂ©ralement au cou, ou placĂ© dans un triangle d'invocation. đDans de nombreux anciens #grimoires magiques, les pentacles sont prĂ©sents dans une variĂ©tĂ© de formes. - Tel que le dĂ©crit Henri Corneille Agrippa, sa fonction premiĂšre est de "prĂ©dire toutes choses futures, commander l'ensemble de la nature, obtenir le pouvoir des dĂ©mons et des anges, et de rĂ©aliser des miracles". - Chez les BerbĂšres il a Ă©tĂ© utilisĂ© comme symbole de protection, ou objet de #sorcellerie permettant de prendre contact avec un monde parallĂšle. Apparu au #roisalomon ce sceau offre pouvoir et contrĂŽle sur les esprits du monde. đ En outre, ce #symbole qu'il soit Ă 5 ou 6 branches a pour point commun dans de nombreux cultes le principe de protection, et le pouvoir de repousser le mal.đ
đœââïž Texte de @szafanialuna #esoterisme #sciencesoccultes #wearewitchiz #sorcieremoderne #wearewitchizđ https://www.instagram.com/p/CcQoP3eMJTu/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#pentagramme#pentacle#wicca#magienoire#cabalistiques#grimoires#sorcellerie#roisalomon#symbole#esoterisme#sciencesoccultes#wearewitchiz#sorcieremoderne#wearewitchizđ
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*âïžANNE QUOTIDIENNE* đ„âđ
_Un guide de dévotion journaliÚre_
*MERCREDI 1ïžâŁ4ïžâŁ AOĂT 2ïžâŁ0ïžâŁ2ïžâŁ4ïžâŁ*
*đĄLA DĂFENSE SAINTE*
*đTEXTE: DEUTĂRONOME 33:25-29*
*đVERSET CLĂ*
*_«Le Dieu d'éternité est un refuge, Et sous ses bras éternels est une retraite. Devant toi il a chassé l'ennemi, Et il a dit: Extermine»_(Deutéronome 33:27).*
*âđŒLe MIM Patriot est un missile sol-air. Le systĂšme sol-air est utilisĂ© par l'armĂ©e des Ătats-Unis et les armĂ©es de plusieurs pays alliĂ©s. Le systĂšme du Patriot a quatre opĂ©rations primaires: les communications, le contrĂŽle et la commande, la surveillance radar et le guidage de missile. Ces quatre fonctions sont combinĂ©es pour donner un systĂšme intĂ©grĂ© coordonnĂ© et sĂ©curisĂ©. Les intercepteurs du Patriot sont estimĂ©s Ă 4 millions de dollars par missile.*
*ComparĂ© au systĂšme de dĂ©fense impĂ©nĂ©trables, invincible et invisible de Dieu pour Son peuple, les systĂšmes de dĂ©fense humains coĂ»tent trop cher et sont imparfaits. MoĂŻse, le serviteur de Dieu, pria pour les tribus d'IsraĂ«l avant de mourir. En bĂ©nissant IsraĂ«l, il dĂ©clara que l'Ăternel Dieu est leur refuge et toutes les armes sont sous eux. MoĂŻse Ă©tait un dirigeant qui a connu du succĂšs. Au moment oĂč il mourait, IsraĂ«l Ă©tait plus fort que lorsqu'il Ă©tait allĂ© le sortir d'Ăgypte sous un mandat divin. Dans les bĂ©nĂ©dictions qu'il a prononcĂ©es sur IsraĂ«l avant de mourir, il les avait rassurĂ©s que s'ils gardaient les commandements de Dieu et observaient tout ce qui Ă©tait Ă©crit dans le livre de la loi, la protection de Dieu demeurait sur eux.*
*L'Ă©glise de Christ est aujourd'hui l'IsraĂ«l de Dieu et peut bĂ©nĂ©ficier de Sa protection dans ce monde de mal et de mĂ©chancetĂ©. Notre passage biblique montre la puissance illimitĂ©e de Dieu pour les Siens. Il promet nous donner de la force tous les jours de notre vie et la puissance Ă ceux qui faiblissent. Ses anges ont reçu l'ordre de nous garder dans toutes nos voies. La ferme assurance de la protection divine sur Ses enfants constitue l'un des messages qui rĂ©confortent le plus l'Ă©glise. Nous servons un Dieu puissant. L'Ăternel des armĂ©es est sont nom. Parce que les armes de notre combat ne sont pas charnelles, mais puissantes pour renverser les forteresses, nous n'avons pas besoin d'armes physiques comme les talismans, les objets occultes, et les gris-gris pour notre dĂ©fense et notre dĂ©livrance ainsi que celle de notre famille. De mĂȘme, en tant que croyants du Nouveau Testament, nous n'avons pas besoin de maudire les gens qui se prĂ©sentent Ă nous comme des ennemis, ni de demander que Dieu les dĂ©truise. Notre Dieu combattra toujours pour nous. Nous avons l'assurance inamovible que Dieu est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais dans le temps de dĂ©tresse. (Psaumes 46:1). Nous n'avons aucune raison de nous inquiĂ©ter ou d'avoir peur. La promesse qu'Il a faite Ă l'apĂŽtre Paul demeure pour nous aujourd'hui. «Car je suis avec toi, et personne ne mettra la main sur toi pour te faire du mal» (Actes 18:10). L'uniformitĂ© des tĂ©moignages dans les Ă©critures nous atteste que notre sainte dĂ©fense est irrĂ©futable ! Rappelez-vous aussi que notre Seigneur JĂ©sus a dĂ©truit les principautĂ©s sur la croix, et nous a donnĂ© le pouvoir de conquĂ©rir toutes les adversitĂ©s par Son nom. Notre dĂ©fense est sĂ»re. Notre victoire est confirmĂ©e. Notre domination est garantie. Sortez aujourd'hui, et le reste de vos jours avec cette assurance et cette confiance.*
*đ§ PENSĂE DU JOUR*
*_Réjouissez-vous car notre défense est invincible et impénétrable_.*
*đïžLa Bible en UN AN*
*JOB 19-21.*
***************
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[ĂSOTĂRISME] Roles et talismans magiques. S. l. [Allemagne]) S. d. [XVIIe s. ?]. 6 roles manuscrits (4 sur peau de vĂ©lin, 2 sur papier) et divers objets talismaniques.
Important ensemble magique constituĂ© de roles et objets talismaniques. Il renferme une sĂ©rie de textes manuscrits, contenant des invocations de protections angĂ©liques et des conjurations du diable. Ces roles, Ă©crits en allemand et en latin, avec de nombreux mots hĂ©braĂŻques translittĂ©rĂ©s, appartiennent Ă une tradition allemande de manuscrits talismaniques attestĂ©e par de rares tĂ©moins entre la fin du XVIe siĂšcle et le XVIIe siĂšcle.Â
artcurial.com
Vendu 16 900 âŹ
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La magie jaune
Magie autonome et magie par la croyance subie
J'appelle "magie" la puissance de l'ĂȘtre vivant qui cultive un lien avec lui-mĂȘme et le monde. Cette magie permet d'utiliser les capacitĂ©s normales de l'ĂȘtre vivant, mais donne du pouvoir "en-dedans" (Starhawk).
Le mage jaune (en rĂ©fĂ©rence aux âjaunesâ dans le langage syndical) est le mage qui utilise sa position de mage comme une position de pouvoir sur les autres. Au lieu de mettre en puissance la personne qu'il assiste, il lui donne des croyances, lui permettant sans doute de plus facilement traverser ou affronter quelque chose, mais certainement pas d'apprendre Ă le faire en autonomie, le rendant dĂ©pendant de la magie du mage. Le mage jaune est trĂšs courant dans la sociĂ©tĂ© Ă©conomique comme il peut l'ĂȘtre dans une sociĂ©tĂ© tribale. Cela donne du "pouvoir sur" (Starhawk toujours) les gens, leur permettant de faire le commerce de son pouvoir ou d'avoir une position de pouvoir dans une communautĂ©.
Le "charlatan", le "comploteur" sont des figures du mage jaune. Cela va du "vendeur de cailloux" qui apprend au gens que telle pierre a tel pouvoir pour lui vendre ces mĂȘmes pierres au charlatan qui se prĂ©sente comme un mĂ©decin et vend de faux remĂšdes (parfois plus dangereux que de ne rien prendre ou dĂ©tournant dâun traitement efficace). Cela marche avec des pierres, des herbes, des talismans, des soins Ă©nergĂ©tiques ou n'importe quel type de magies commercialisĂ©es ou parfois prodiguĂ©es gratuitement.
Le mage "Ă©thique" tel que je le conçois personnellement empuissante les personnes dans le sens oĂč il rĂ©vĂšle aux personnes la façon dont elles peuvent cultiver le pouvoir sans apprendre Ă leur insu des croyances qui nâont pourtant pas dâexistence au delĂ de celle que la croyance leur donne. Le mage autonome peut dĂ©cider d'accorder tel pouvoir Ă tel objet, telle herbe, tel rituel, dans le but d'appuyer une intention, lui donner toute la force nĂ©cessaire, par exemple dans un but de transformation intĂ©rieure ou d'affrontement d'une difficultĂ©. Câest une pratique matĂ©rielle qui donne corps Ă un pouvoir psychique, que certains aromantiques appelleront sans doute âauto-persuasionâ ou âeffet placeboâ. Mais si on peut observer le rĂ©sultat dâune foi placĂ©e dans quelque chose qui nâa pourtant pas dâefficacitĂ© en soi, on peut apprendre Ă utiliser ce pouvoir de la foi en conscience sans subir de manipulation.
«Lâeffet placebo, câest le fait dâobserver une amĂ©lioration dâun symptĂŽme dans un groupe oĂč le traitement nâa pas de principe actif spĂ©cifique, par rapport Ă un groupe qui ne reçoit aucun traitement»
Cela peut paraitre ridicule de rĂ©duire le pouvoir Ă âlâeffet placeboâ conscientisĂ© et utilisĂ© sciemment. Mais il peut bien sĂ»r avoir une portĂ©e bien plus importante sur la psychĂ©, Ă lâĂ©chelle individuelle et Ă lâĂ©chelle collective. Par exemple, formuler des intentions trĂšs ambitieuses et sâencourager Ă les mener malgrĂ© les difficultĂ©s en rĂ©actualisant rĂ©guliĂšrement cette intention. Cela peut permettre de âdĂ©placer des montagnesâ.
Comparaison avec le charlatanisme
Je ne tiens pas Ă ĂȘtre trop dur avec la plupart des mages jaunes qui comme chacun essaient de trouver un moyen de "gagner leur vie" dans un monde qui la marchande et qui sont comme les autres seuls face Ă cette nĂ©cessitĂ© et sans soutien pour transformer les rapports sociaux.
Je pense surtout que la grande majoritĂ© des mages jaunes sont eux-mĂȘmes persuadĂ©s du lien de cause Ă effet direct entre ce quâils font et le rĂ©sultat, et en les explications quâils vĂ©hiculent.
Je tiens en revanche Ă appuyer mon mĂ©pris pour les "comploteurs", ceux qui utilisent la colĂšre des gens pour leur propre pouvoir ainsi que les industries qui utilisent la croyance en lui donnant une fausse validitĂ© scientifique, se parant souvent dâune plus grande ânaturalitĂ©â ou dâun moindre risque pour la santĂ©, alors mĂȘme que le traitement nâa pas dâefficacitĂ© vĂ©rifiable, seulement un pouvoir duquel on peut se convaincre par des observations biaisĂ©es. En soit ça ne serait pas tant un problĂšme si ça ne sâinscrivait pas dans un schĂ©ma de manipulation volontaire dâautrui.
Raoult est sans doute l'incarnation type du mage jaune comploteur, pas trÚs loin de la figure du fasciste en vérité. Il entretient des liens avec des gens trÚs fortunés et son éthique est inexistante face à son désir de pouvoir. Raoult a été dénoncé dans son milieu pour des comportements de prédation sexuelle (à l'occasion d'un genre de gala étudiant, par un groupe de femmes dansant et chantant). Il est connu pour avoir remis en doute des rapports sur l'usage d'armes chimiques par le boucher de Damas en Syrie, alors qu'il entretenait des liens avec un milliardaire syrien (ami de Sarkozy aussi). Il a surtout utilisé la crise du Coronavirus pour poser en la figure de "celui qui défie les médias, "big pharma" et les politiciens" alors qu'il était sur les plateaux de télé, partout sur les réseaux sociaux, que Macron lui passait des coups de fil et qu'il avait des liens forts avec un laboratoire pharmaceutique (l'argument du "le médicament coûte pas cher" ne valant absolument rien par rapport au pouvoir et l'argent que peut tirer Raoult de la vente de "son" traitement).
Dingue d'ailleurs de critiquer "Big Pharma" et de ne pas reconnaitre la position de pouvoir classique de Raoult, une figure de mĂ©decin patriarcal parmi d'autres. MĂȘme ceux qui ne voient pas de maniĂšre conspirationniste "Big Pharma" peuvent critiquer lourdement la culture du monde de la mĂ©decine qu'on connait notamment pour les bizutages en Ă©tudes, les violences sexistes extrĂȘmes, les maltraitances des patients, la hiĂ©rarchie genrĂ©e, etc. Raoult est le parfait reprĂ©sentant de ce qu'il y a de plus pourri en mĂ©decine, mĂ©prisant mĂȘme les postulats scientifiques et utilisant des protocoles dĂ©libĂ©rĂ©ment foireux pour imposer un mĂ©dicament qu'il a dĂ©cidĂ© de faire voir comme efficace. Le pire Ă©tant quâil est possible que la prise du traitement implique plus de risques que de bĂ©nĂ©fices.
De quoi alimenter les croyances des gens comme avec l'homĂ©opathie, une magie jaune, qui certes peut aider des gens Ă guĂ©rir, mais comme dans un protocole de test foireux, oĂč les gens donnent eux-mĂȘme du pouvoir au mĂ©dicament en "y croyant" alors qu'il n'en a aucun en soi. Le problĂšme est quand ça profite effectivement Ă des laboratoires qui exploitent la croyance sans rĂ©sultat sanitaire consĂ©quent face Ă des vraies ravages liĂ©s Ă des virus ou bactĂ©ries.
Les rÎles différents et complémentaires que peuvent jouer magie et médecine
A mon sens, médecine scientifique et magie sont deux choses différentes avec des applications différentes. On ne demande pas d'un magicien qu'il soit médecin et d'un médecin qu'il soit magicien. On attend du médecin un diagnostic et un traitement efficace, en confiance de son usage des outils scientifiques.
On attend du mage/prĂȘtre/guide spirituel une comprĂ©hension des liens subtils entre l'ĂȘtre et le monde, de la bienveillance et de la sincĂ©ritĂ© sur l'accompagnement qu'il peut donner. Souvent par une prĂ©sence dans un cadre communautaire, le mage ou prĂȘtre est plus ou moins Ă Ă©galitĂ© avec dâautres dans lâusage de la magie. Le ou la shaman est souvent porteur dâune âconnaissanceâ qui mĂ©lange connaissances empiriques en mĂ©decines et sensibilitĂ© Ă la spiritualitĂ© quâiel dispense Ă ceux qui en bĂ©nĂ©ficient. Le ou la shaman accompagne Ă©galement pour la rĂ©alisation de cĂ©rĂ©monies qui accompagnent la vie et aident Ă traverser certaines Ă©tapes, soudant les liens communautaires et avec lâenvironnement.
Dans le coven de sorciĂšres en revanche, le pouvoir est plus partagĂ© et Ă©galitaire. Lâensemble des personnes est invitĂ© Ă cultiver le pouvoir, les connaissances, en faisant autant de mages mĂȘme si souvent quelques personnes reconnues gardent une fonction sociale spĂ©cifiquement octroyĂ©e et liĂ©e Ă une plus grande connaissance ou sensibilitĂ© initiale.
MĂ©decine et magie recouvrent des domaines diffĂ©rents et ne disposent pas des mĂȘmes outils, comme science et spiritualitĂ©. Le mage participe Ă des fonctions sociales uniques tout comme le mĂ©decin. MĂȘme si ces rĂŽles peuvent se mĂȘler, une plus grande conscience de la dĂ©marche scientifique et de lâapproche magique par les bĂ©nĂ©ficiaires Ă©vite une confusion propice aux charlatanismes.
La raison pour laquelle magie et mĂ©decine sont souvent mĂȘlĂ©s est historique et culturelle. Lâempirisme qui prĂ©cĂ©dait lâapproche scientifique amenait plus naturellement Ă mĂȘler mĂ©decines efficaces et soutien spirituel. Les sorciĂšres et shaman cumulent donc les deux, avec une conscience inĂ©gale de ce qui relĂšve du soin magique et de ce qui relĂšve du soin mĂ©dical.
La rĂ©appropriation des savoirs, la rĂ©institution locale et autogĂ©rĂ©e, notamment par les groupes de sororitĂ©, peut permettre de jongler avec ces pratiques et dâaborder de maniĂšre plus âholistiqueâ les problĂšmes, en envisageant aussi leurs causes sociales, environnementales, politiques.
Magie et politique
Traiter une affliction sans que rien ne vienne soigner les problĂšmes sociaux qui parfois jouent un rĂŽle secondaire ou dĂ©terminant dans ces afflictions, que ce soit par le soutien individuel, le combat politique, l'organisation sociale (auxquelles peuvent participer la fonction de guide spirituel) montre certaines limites. Câest Ă ce titre que la magie peut ĂȘtre mobilisĂ©e pour soutenir des luttes, des communautĂ©s dans le combat social, politique, Ă©cologique.
Combattre lâassujettissement de nos vies par lâĂ©conomie et restaurer les liens sociaux et environnementaux permettrait par exemple de limiter tout un tas dâafflictions liĂ©es Ă ces cadres, que le traitement mĂ©dical ne peut que soigner en tant que symptĂŽmes.
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Upon the Clear Distinction Between Fandom and the Baker Street Irregulars
BY LYNDSAY FAYE
November 30, 2012
In light of the ever-expanding popularity of the Sherlock Holmes mysteries in conjunction with recent adaptations including the Warner Brothers films, the BBC series, and the CBS reimagining, it falls to me to discuss certain disturbing tendencies on the part of new devotees to refer to that venerable institution, the Baker Street Irregulars, as a âfandomâ when it is actually a literary society. The youth of the Sherlockian world will be excused for making this dare I say elementary error, since the case for the distinction has not been hitherto laid out. Following the summation of this article, however, fans and traditional Sherlockians alike will have reached a much clearer understanding, and the unfortunate misnomer of referring to the present Irregulars as a âfandomâ will doubtless cease and be swiftly forgotten.
(Note: for the purposes of this intellectual exercise, the possibility that the BSI may potentially be a storied and erudite literary society and a happily thriving fandom simultaneously will be ignored. This decision was made in light of the fact that a noun cannot be two things concurrently, the way the Empire State Building is not both a functioning office tower and a tourist destination, and the way Bill Clinton is not both a former president and a saxophone player. Arguments that the BSI is peopled by both cultured readers and by eager fans would only muddy the issue, and therefore will not be entertained here.)
According to the Online Etymology Dictionary, the word fandom dates from 1903 and is defined simply as âthe realm of avid enthusiasts.â Although undoubtedly a positive, even a flattering definition, already we can see that this is an inaccurate way of describing the Baker Street Irregulars, founded in January of 1934 by Doubleday editor Christopher Morley and later permanently established as the premier Sherlockian society by Edgar W. Smith. While the BSI was conceived as a group of congenial, clubbable men who admittedly shared an avid enthusiasm for the Great Detective, no mention whatsoever is made in the definition of fandom of a taste for adult beverages, and the drinking of toasts to Sir Arthur Conan Doyleâs characters, which is of such import to the group as to be codified in the BSIâs by-laws. As a matter of fact, the words âSherlock Holmesâ appear nowhere in this document, while the words âdrunk,â âdrink,â âround,â and âtoastâ occur six times in the brief record. Describing the BSI as a fandom is thus clearly a counterfactual practice, and should be treated as such.
Of note, because the dates could potentially lead to confusion, is the fact that the Irregulars were founded in 1934 in New York City, at very close to the identical time period when the science fiction fandom was forming convivial societies of âavid enthusiastsâ in order to discuss space travel, interplanetary colonization, their whip-smart literary contributions, and large-chested alien females. The Futurians, according to Frederik Pohlâs autobiography, were founded in 1934 in New York City; the Scienceers were founded in 1929 in New York City; the Los Angeles Fantasy Society was founded in 1934 in Los Angeles; and the National Fantasy Fan Federation was founded in 1941 in Boston. These societies in no way resembled the BSI, however, for their purpose was to discuss speculative, fictional adventures, while the BSIâs purpose (apart from toasting) was to discuss Sherlock Holmes. The Grand Game, as itâs called, a form of meta-scholarship, bears but scant resemblance to the doings of folk who pen Middle-Earth chronologies and dictionaries of the Klingon language. Those who suggest the BSI is a fandom will also note that, as a literary society, the BSI has always been peopled with thinkers and literary luminaries such as Isaac Asimov, while the Futurians boasted as one of their members Isaac Asimov, who was undoubtedly a different Isaac Asimov to the deservedly admired creative philosopher invested in the Irregulars.
One of the most self-evident differences between the Irregulars and those involved in fandom is the latterâs tendency to memorize an enormous amount of trivia regarding their specific preoccupations, be those preoccupations Battlestar Galactica or fiction featuring anthropomorphized dragons. A member of the Star Trek fandom, for instance, could readily inform an outsider that when Captain Picard was captured by the Cardassians, he insisted despite being cruelly tortured that the number of lights shown to him numbered four; such remarkable displays of knowledge are all too common among fandom enthusiasts. Invested members of the BSI could undoubtedly inform non-Sherlockians that Sherlock Holmesâs ancestors were country squires, that John Watson was an invalided member of the Fifth Northumberland Fusiliers, and that Holmes is on record as having possessed three dressing gowns (blue, purple, and mouse), but as these are matters of historical fact, knowledge of them is much more akin to familiarity with the Gettysburg Address. I say again: do not succumb to lazy terminology and misidentify the BSI as a fandom. The one is concerned with an exceedingly popular series of crime stories, and the other is concerned with pop culture.
The activities of fans vs. traditional Sherlockians are hugely divergent. While fans come together to discuss their favorite sci-fi stories, television shows, and films, Sherlockians confine their conversation (and toasts) exclusively to the sixty stories, referred to as the âcanon.â No mention is made of adaptations of the Sherlock Holmes mysteries; indeed, it is safe to say that the BSI as a whole is unaware of such bastardizations of the original writings, if indeed such things as movies and television shows based on the works of Sir Arthur Conan Doyle exist, which is doubtful. In addition, fandom engages in a pastime termed âcosplay,â defined by Wikipedia as âa type of performance art in which participants don costumes and accessories to represent a specific character or idea.â Such behavior would be anathema to a Baker Street Irregular, some of whom have been photographed dressing in Victorian garb and deerstalker hats.
Denizens of the fandom community fail to confine their âavid enthusiasmâ to mere discussion of hobbits and tribbles; they also, as a group, have a marked tendency to collect memorabilia relevant to their favorite characters, spending precious funds in pursuit of items such as action figures and animation cells. A comic book collector would think absolutely nothing of paying triple digits for a prized mint-condition issue of Spider-Man, for example, while my copy of the 1892 issue of the Strand MagazineâŠno, strike that, I beg your pardon, the comparison is similar but ultimately misleading. Irregulars of my acquaintance have amassed collections of Sherlock Holmes art, Sherlock Holmes books, Sherlock Holmes knickknacks, Sherlock Holmes pins, Sherlock Holmes translations, Sherlock Holmes reference volumes, and Sherlock Holmes talismans such as magnifying glasses or pipes, but as these are clearly objets dâart, they find no equivalency within the realm of fandom.
It is of particular importance to note that fandom participants often write what is termed fanfiction, fictional works featuring their beloved characters in various situations of the fanâs own imagining, defined as âstories about characters or settings written by fans of the original work, rather than by the original creator.â Whenever a writer pens a story about a character created by another author, that tale falls under the umbrella of fanfiction, a practice that the Baker Street Irregulars would find both mystifying and vaguely distasteful. In fact, the mere concept of writing new stories starring characters not belonging to the author would strike dismay into the hearts of the BSI, who very often write and read pastiches featuring Sherlock Holmes and John Watson (a pastiche is defined as âa work of art, literature, film, music, or architecture that openly imitates the work of a previous artistâ). As you have already recognized, no doubt, pastiche is entirely different from fanfiction, as fanfiction is specified as being penned by fans, and as I have argued previously, the Baker Street Irregulars are not fans but rather a literary society, and thus are categorically incapable of writing fanfiction. The notion that they could be both we have already dismissed as specious.
One must bear in mind as well the ironclad argument that the BSI was founded in the tradition of the great metropolitan menâs clubs of the 1930s, and thus bears no resemblance whatsoever to fandoms, which are largely concerned with grown men and women wearing tights. I find this line of reasoning particularly compelling, since it is common knowledge that once a group forms around a certain idea, it remains always the identical entity, indistinguishable in its modern incarnation from its origins, free from growth, change, or adaptation. Admittedly the BSI is no longer exclusively for men, but that is an admirable mark of progress and should be considered accordingly. Just as the company Apple Inc. sells small personal circuit boards hand-crafted by the artist Steve Wozniak (keyboard and screen not included), the BSI is emphatically not a fandom. And please stop referring to them by such blatantly fallacious terminology.
Lastly, a word upon the subject of respect for the gentleman who made our literary society possible, Sir Arthur Conan Doyle. There are some who take mild offense to those who speak of the BSI as a fandom, but I am not of their number, though it is worth mentioning out of deference that Doyle would certainly be outraged by the term. So beloved a character was Sherlock Holmes to Doyle that he spoke of him always with the soft light of adoration in his eyes and a flush upon his cupidâs cheeks, joy suffusing his features whensoever the subject of his masterful sleuth was raised. Were Doyle to be reanimated and exposed to the neophytes who ignore all discrepancies and insist upon wrongly identifying the BSI as a fandom, his mighty love for his hero would so overwhelm him, and his fury at the misidentification swell into so vast a storm cloud of righteous rage, that he would probably decide to remain alive simply for the pure, unadulterated pleasure he derived from writing the Sherlock Holmes mysteries, and would deliver unto us sixty more cases. And lo, global warming would be reversed, and he would find a cure for herpes.
I trust that this article clears up any remaining confusion regarding the word fandom, and its woeful inexactitude when characterizing the Baker Street Irregulars. I likewise hope I have assured the reader the BSI cannot be both a respected literary society and a fandom, any more than Australia can be both a continent and an island. One earnestly hopes that this will settle the matter for good and all, and we can move on to other, better topics. In the meanwhile, I am going to don my deerstalker and write a story in which Sherlock Holmes fights the Cardassians, that being the sort of activity relevant to my interests. Thank you.
1. Am I wrong or is this a bit rude?
2. Why donât we hear more stories about how Doyle actually loved Holmes? Itâs as though people want the character to be remembered as hated.
Lyndsay Faye is the author of Dust and Shadow and The Gods of Gotham from Amy Einhorn Books/Putnam. She tweets @LyndsayFaye.
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