#mezouza
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philoursmars · 10 months ago
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Marseille, le MuCEM et sa nouvelle collection permanente (à mes yeux, bien plus intéressante et mieux présentée que la précédente…)
Suite (et fin ?)
mezouza en argent - Afrique du Nord, XIX-XXe s.
amulette "nazar boncuk" contre le mauvais œil, en verre - Izmir, début XXIe s.
masques "maschere", terre cuite glaçurée, contre le mauvais œil - Calabre, mi-XXe s.
le MuCEM
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infosisraelnews · 6 months ago
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Regarder : Mise en place d'une mezouza au Festival international du film de Cannes
Le Festival de Cannes est le festival de cinéma le plus important au monde, qui se déroule aujourd’hui dans la ville de Cannes, située sur les rives de la Côte d’Azur. Aujourd’hui (jeudi), lors d’une passionnante cérémonie de l’installation de la mezouza, le pavillon israélien a été inauguré lors du festival marqué par les films israéliens de Gaza. Avant de placer la mezouza, le directeur…
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aurevoirmonty · 24 days ago
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Le mari de Kamala Harris, Doug Emhoff, a annoncé qu'elle prévoyait de placer une mezouza à l'entrée de la Maison Blanche, la marquant officiellement comme un foyer juif.
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girafeduvexin · 1 year ago
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Contente que ma mezouza soit chez moi et pas à l'extérieur.
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lepartidelamort · 8 months ago
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Espagne : le cocktail baptisé « Tuer des Juifs » enthousiasme les foules !
Je décrète officiellement la ville de León, en Espagne, capitale du mouvement.
The Times of Israël :
C’est la semaine qui précède la fête de Pâques à León, une ville ancienne du nord-ouest de l’Espagne et les locaux arpentent les rues pour boire des verres d’un mélange à base de vin – une festivité annuelle qui est parfois ponctuée d’un cri joyeux : « Matar Judíos » ou « Tuer des Juifs ». La « Semana Santa » – ou Semaine sainte – est la période pieuse la plus importante en Espagne. A León, les célébrations sont particulièrement spectaculaires, avec dix jours de musique, de sermons et une trentaine de processions qui rassemblent environ 16 000 pénitents. C’est aussi une saison déterminante pour les touristes – en 2002, la Semaine sainte a été déclarée « Fiesta de Interés Turístico Internacional » (« Festival d’intérêt touristique international »).
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L’une des caractéristiques de ces réjouissances endiablées est un cocktail léonais à base de vin rouge, de citron, de cannelle et de sucre, parfois agrémenté d’oranges et de figues. Ici, ce cocktail est connu sous le nom de « limonada », et pratiquement tous les bars du Barrio Húmedo, le quartier médiéval de la ville où la vie nocturne bat son plein, sont couverts d’affiches promouvant leur propre variante. La tradition locale veut que l’on boive 33 limonadas pendant la Semana Santa, symbolisant l’âge de Jésus lorsqu’il a été crucifié.
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La limonada
C’est aussi une tradition vieille de plusieurs siècles, pour les personnes à la recherche de limonadas, de dire qu’ils vont sortir pour « tuer des Juifs ».
« C’est une expression ici », a déclaré Margarita Torres Sevilla, professeure d’histoire médiévale à l’Université de León, à la Jewish Telegraphic Agency. « Par exemple, vous allez me dire : ‘Tu viens boire quelque chose avec moi ? […]’ ‘D’accord, allons tuer des Juifs.’ Une autre phrase typique de la Semana Santa est : ‘Combien de Juifs as-tu tués ? Trois, quatre, cinq [limonadas] ? Oh, tu en as tué beaucoup’. »
Je dois absolument aller boire des limonadas à León.
88, exactement.
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En attendant, qui peut aller à León boire des limonadas et envoyer des photos ? Si ce n’est cette année, alors l’année prochaine ?
À León, une ville d’environ 124 000 habitants qui n’a pas de communauté juive visible, des locaux ont déclaré à la JTA que l’expression n’était pas considérée comme vulgaire ou antisémite. Certains bars la célèbrent comme une fierté de l’héritage de la ville, utilisant la phrase comme un hashtag lorsqu’ils annoncent leurs spécialités saisonnières sur les réseaux sociaux.
« Avec l’arrivée de la Semana Santa vient aussi la saison de la limonada léonaise, une tradition devenue également populaire sous le nom de ‘tuer des Juifs’, » peut-on lire dans une publication Facebook en espagnol du Bar Genarín du 10 mars. « Nous vous proposons deux versions, la classique et la blanche. » « C’est étrange pour les touristes, mais ils le prennent en riant », a explique Sonia Da Costa, une serveuse qui distribue des assiettes et des verres aux clients de la Cafetería Chamberí, un bar à tapas local. « Ici, c’est normal. »
Chez les gens normaux, c’est normal, oui.
Le quartier juif historique de León – qui ne compte plus de population juive depuis des centaines d’années – se compose de deux rues encastrées dans le Barrio Húmedo qui, en cette semaine sainte, est arpenté par tous les amateurs de limonadas. Peu de traces indiquent où vivait la communauté ; ses trois synagogues médiévales ont été perdues – la dernière étant commémorée par une petite plaque récemment installée dans la rue Misericordia. La troisième synagogue juive de León a été construite ici [1370-1481]. Dans une rue secondaire de la place centrale de León, une porte en pierre porte deux marques verticales qui, selon Torres Sevilla, ont été laissées par une mezouza.
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Les Juifs se sont installés dans la région à partir du Xe siècle. León a donné naissance à Moses de León, un célèbre mystique juif qui aurait rédigé le Zohar, texte fondateur de la Kabbale.
La ville est devenue un centre de la pensée religieuse juive, où les Juifs ont vécu dans une relative égalité avec les chrétiens de León, interrompue par des flambées de violence sporadiques, jusqu’en 1293, lorsque le roi Sancho IV leur a interdit de posséder des terres agricoles. Vingt ans plus tard, les Juifs ont été contraints de porter un badge jaune et, à partir de 1365, ils ont dû s’acquitter d’un impôt spécial, semblable à celui que supportent les musulmans. Selon Torres Sevilla, l’expression « tuer des Juifs » pendant la Semaine sainte remonte à un épisode du XVe siècle. León était économiquement dévasté par la guerre et la peste noire, laissant de nombreux nobles chrétiens endettés. L’un de ces chevaliers, Suero de Quiñones, devait de l’argent à un marchand juif. Pour éviter d’honorer sa dette, Quiñones avait exploité la ferveur religieuse de la Semaine sainte en la retournant contre les Juifs de León, en 1449. Il était aller attaquer, avec d’autres chevaliers, le quartier juif, tuant son créancier et d’autres personnes le jour du Vendredi saint. « Quiñones a dit que pendant la Semaine sainte, notre Seigneur a été accusé par les Juifs et que les Juifs l’ont tué », a déclaré Torres Sevilla. « Alors que faisons-nous des Juifs ? Nous les tuons. Mais la vraie raison n’était pas un motif chrétien – la vraie raison était qu’il avait une dette importante envers un marchand important de la communauté juive. » Pour célébrer leur prétendue vengeance pour la mort de Jésus, Quiñones et ses alliés sont allés boire du vin dans le Barrio Húmedo. C’est ainsi qu’a commencé le rituel consistant à descendre des limonadas au son du refrain « tuer des Juifs », a expliqué Torres Sevilla.
Imaginez un peu ça.
De par leur cruauté et leur soif du profit, les juifs se sont rendus si odieux dans la région que 7 siècles plus tard le bon peuple boit encore à leur mort.
Ça donne le vertige.
D’autres récits affirment que l’expression est née du pouvoir d’apprivoisement de la limonada, autorisé par les dirigeants médiévaux en pleine semaine sainte d’abstinence et de jeûne pour empêcher les chrétiens de commettre des pogroms contre les Juifs – en les gardant occupés dans les tavernes.
Cette version est encore plus extraordinaire.
Le pouvoir politique était si corrompu par l’or juif, qu’il fallait saouler tout le monde pour que la plèbe oublie de lyncher ceux qui les pressaient comme des citrons.
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C’est probablement vrai.
La tradition léonaise du « Matar judíos » ne semble pas avoir de lien avec la ville espagnole située à environ 150 kilomètres à l’est, qui a été appelée Castrillo Matajudíos – ou Fort Tue-les-Juifs – de 1627, pendant une période de persécution antisémite, jusqu’à il y a quelques années.
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L’ambassadeur d’Israël en Espagne Daniel Kutner (5e à gauche), le maire de Castrillo Mota de Judio Lorenzo Rodriguez (7e à gauche), la conseillère espagnole de la culture et du tourisme de la Junta de Castilla y Leon Maria Josefa Garcia Cirac (8e à gauche) et des officiels tenant deux panneaux indiquant le nouveau nom du village espagnol « Castrillo Matajudíos » à Castrillo Mota de Judios, à proximité de Burgos, le 23 octobre 2015. (Crédit : Cesar Manso/AFP)
La communauté juive de la région n’a pas survécu longtemps à l’attaque de Quiñones. Les Juifs ont été expulsés de León en 1481, et 11 ans plus tard, en vertu du décret de l’Alhambra du roi Ferdinand II et de la reine Isabelle I, de toute l’Espagne. Certains historiens ont également établi un lien entre la limonada et l’idée de « tuer des Juifs » et une citation attribuée à Ferdinand lors de la signature du décret d’expulsion en 1492 : « Limonada que trasiego, judío que pulverizo » (« Limonada que je transvase, Juif que je pulvérise »). Aujourd’hui, les habitants affirment qu’il s’agit d’une coutume sociale qui n’a aucun lien avec le meurtre, la religion ou les vrais Juifs.
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Ferdinand II pulvérisait les juifs et buvait de la limonada
C’est entendu.
Nous devons boire de la limonada pour les mêmes raisons.
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Démocratie Participative
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mydearalgeria · 5 years ago
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Algérie. A Mezouzah cover dating back to the 19th century.
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paillettesengoguette · 3 years ago
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Bijoux haute fantaisie Paris: Corinne Darmon création
Bijoux haute fantaisie Paris: Corinne Darmon création
Une marque de bijoux haute fantaisie vient illuminer le blog de ses fabuleuses créations. Après Kajika Jewelry avec ses bijoux en dentelle de métal, Sylvia Corrette avec ses bijoux colorés de pierres fines, place aujourd’hui à une autre créatrice parisienne… Corinne Darmon création   Corinne, étant notre invitée sur le blog, s’est prêtée à un petit jeu de questions pour présenter son parcours et…
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claudehenrion · 5 years ago
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Le covid 19 et ses conséquences : une punition divine ?
  Un mélange complexe de pessimisme, d'alarmisme et de catastrophisme semble faire partie intégrante de l'histoire de l'humanité. Les “récits” d'un Paradis qui a été perdu pour cause de désobéissance à Dieu ou à Gilgamesh, ou d'un Déluge pour punir les péchés de l'humanité sont omni-présents et presque reproductibles d'une religion à l'autre..  et pourtant, peu de chercheurs se sont penchés sur cet étrange phénomène. Or ces temps derniers, le questionnement sur nos “fins dernières” ou sur le “besoin” d'une punition ontologique à tout ce qu'il y a de factice dans notre existence semble faire un retour en fanfare, après que nous les ayons longtemps éloignés de nos préoccupations. Encore une autre manière de lire la “pandémie’‘ !
  Toutes les grandes religions ont adopté un comportement extrêmement civique devant cette pandémie, allant parfois à l'opposé complet de leur job description théorique, jusqu'à se solidariser avec César au détriment de Dieu.Depuis quelques semaines, rabbins, imams et leaders des trois christianismes tentent de faire respecter les consignes de prévention des autorités civiles, à la surprise de la majorité de leurs “fidèles”, qui se sentent maltraités –et avec juste raison : le Pouvoir Judiciaire a condamné le Gouvernement français. A contrario, le grand mufti de Jérusalem, Mohammad Hussein, a affirmé à la radio que “la santé est plus importante que la pratique religieuse. Se protéger est l’une des bases de l’islam”…
  Les israélites, depuis peu, s'interdisent d'embrasser la mezouza, ce petit étui placé aux portes des maisons des juifs pratiquants que l’on touche en entrant. Les chrétiens eux, étaient appelés à ne prier qu’en petits groupes de 15 personnes maximum et à ne plus recevoir l’hostie directement en bouche, jusqu'à la fermeture des églises et des lieux Saints, Saint Pierre de Rome, la basilique de la Nativité à Bethléem, ou même Lourdes ou Fatima. Les musulmans ont ’'accepté” un drôle de Ramadan “version soft” et de ne pas fêter l'Aïd es-Seghir, une des grandes fêtes de l'Islam, s'alignant ainsi sur le silence des chrétiens sur la fête de Pâques et des juifs sur celles de Pessah et de Pourim… Cependant, allant au delà des injonctions de dignitaires souvent proches des “pouvoirs” en place, les fidèles sont nombreux à rechercher dans cette pandémie des traces d'une “colère” de Dieu, de Yahweh ou d'Allah. “Qu'est-ce que j'ai fait au bon Dieu ?”, dit une expression populaire…
  Les chrétiens en général, et les catholiques en particulier ne se sont pas entièrement libérés du “Dieu-colère” qui a chassé Adam du Paradis terrestre, qui a noyé “le monde” (sauf Noé)  lors du déluge, ou qui a détruit Sodome et Gomorrhe pour des raisons qui peuvent paraître moins évidentes à certains, aujourd'hui.  Les écritures parlent  “du Seigneur qui a englouti Israël” (Lm 2,5) ou de “la ville devenue un foyer sacrificiel rempli de pleurs et de gémissements” (Isaïe 29, 3). La vision d'un Dieu qui punit les hommes pour leurs péchés, pour archaïque qu'elle paraisse, est une tentation dans toutes les religions. Elle a certainement fait beaucoup de mal aux chrétiens qui ont eu un mal fou à superposer cette image ancienne avec l'image plus moderne (?) d'un “Dieu d'Amour universel”. Car, comme c'est facile, et tentant, de faire de Dieu, quel que soit le nom qu'on lui donne, le responsable du mal sur Terre : on ne se souvient pas qu'il ait râlé pour de vrai, sur le moment !
  On oublie que la Genèse (encore elle !) dit clairement “Je ne maudirai plus jamais la terre à cause de l'homme, et je ne frapperai plus les vivants” (Gn, 8, 21) maintenant qu'ils ont éprouvé la force de mon bras. Et d'ailleurs, les icônes orthodoxes représentent des Saints avec, à leurs pieds, des démons, qui ont été vaincus, mais pas supprimés…. comme le mal, après chaque épreuve. Mais il faut reconnaître qu'il n'est pas facile de comprendre pourquoi Dieu a fait un monde où surgit non seulement l'imprévu, mais l'imprévisible et parfois l'impensable, au prétexte que toute épreuve est (ou devrait être) l'occasion d'un pas en avant et que, si nous retrouvons notre force intérieure (et antérieure !), nous sortirions plus forts de chaque épreuve… qui prendrait alors un autre sens… même si la pandémie actuelle n'a pas d’autre finalité qu'elle-même et n'est, au fond, qu'un grand shabbat planétaire, une immense parenthèse jusqu'à ce jour inexpliquée.
  Pour les juifs, c'est parfois plus excessif, et certains rabbins ont, dans des vidéos diffusées sur internet, tenté de trouver des justifications théologiques à l’épidémie, au prétexte curieux que le virus était “la conséquence du fait que les non-juifs mangent n’importe quoi”. (Ah ! mais qui racontera les méfaits de la malbouffe ?)  Le rabbin ultra-orthodoxe Ron Chaya a affirmé, dans une vidéo qui a été vue plus de 50 000 fois : ‘’L’épidémie est un signe avant-coureur de la venue du Messie. Car comme le dit le prophète Esaïe, explique-t-il, (…) tous les signes annonciateurs (…) sont maintenant réunis et y rester indifférent serait une immense tragédie”.
  En ce qui concerne l'islam, les choses sont plus et moins simples, à cause de la lecture binaire du Coran (soit le bien, soit le mal, sans nuances), et d'une absence regrettable de toute critique des textes. Si bon nombre d'imams ont une attitude “raisonnable” (telle que vue par nous !), il existe une tendance très forte (qui pourrait facilement devenir majoritaire) à penser que Allah a envoyé ce virus sur terre pour punir les hommes de leur impiété. Le salafisme, par exemple, est obsédé par les théories sur la fin du monde et le châtiment divin, et voit donc dans le coronavirus une épreuve pour vérifier l'authenticité de la foi des vrais “croyants”, qui leur vaudrait la certitude d'être sauvés et le statut (très envié) de “martyr”. Mourad Hamza, Imam à Aix-en-Provence, a même dit, devant son Mirhab : “Si on ne voit pas la main d'Allah dans des événements comme celui-ci, quand pourrait-on la voir ? Celui qui a fait descendre sur terre cette épreuve peut aussi la lever, si nos prières le satisfont…”. J'ai envie de conclure par un “Yallah ! Y a plus qu'à…” !
  Il reste une “religion” (?) dont nous n'avons pas parlé, ou plutôt une secte obscurantiste : c'est l'écologisme intégriste et caricatural. Pour les “croyants” de cette imposture de l'esprit, qu'ils se prétendent décroissantistes, collapsologues,  gretathunberguistes, “Schadenfreudistes” ou “j'vous-l'avais-bien-distes”, le coronavirus est une vraie aubaine, car “quand les hommes souffrent, la planète souffle” (sic !), dixit le dangereux Antoine Bueno. L'irresponsable Yves Cochet  (qui fut ministre de Jospin, c'est tout dire !) a écrit : “Seul un événement qui causerait beaucoup de morts peut produire un choc psychologique comparable au nazisme en 1939 (re-sic !). Pour voir enfin la décroissance, il faut que se produise une vraie catastrophe humaine”. Antoine Bueno, déjà cité, se réjouit donc que Macron, en fermant tous les commerces et en stoppant toute activité, ait enfin sauté le pas salvateur vers une conversion écologique : faire croire qu'on sauvera peut-être la planète, mais seulement à la condition de la rendre inhabitable à l'homme… Et dire qu'ils se trouvent géniaux avec de tels défis à tout bon sens ! Et dire que certains votent pour eux… sans voir que leur perversité n'est rien d'autre que mortelle…
  Quant à la France, la pauvre, anesthésiée par quarante années de soumission passive aux conneries des idéologues de gauche qui se prenaient pour des êtres intelligents (ce qu'ils étaient bien les seuls à croire !), elle ne voit pas que ses dirigeants sont en train de lui préparer un “futur” qui ne peut en être un en aucun cas : toutes les folies conceptuelles finissent toujours par se payer un jour, en prélèvements obligatoires, en diminution du niveau de vie, en perte de liberté, en augmentation des charges sociales et donc du chômage… c'est-à-dire, tout simplement : en malheur et en malheurs, infiniment plus graves que les 25 ou 30 000 morts du covid 19. Punition, sans doute. Divine ? Qui peut le dire ? 
H-Cl.
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hazelandglasz · 6 years ago
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Une lettre à Papa
Salut Papa
Trois ans deja
Trois ans depuis que tu n'es plus la
Trois ans ou j'ai cru que je ne pourrais pas continuer sans toi
Trois ans ou j'en ai voulu a la terre de continuer à tourner
Trois ans durant lesquels on a continué parce que tu serais tellement triste qu'on arrête tout juste parce que tu n'es plus la
J'ai déménagé cette année Papa, et sans toi pour m'aider à choisir les couleurs, les matériaux, les dispositions des différentes pièces
Je pensais pas y arriver
Et pourtant
Mon appartement est vraiment devenu ma maison quand j'ai posé ta guitare et ma mezouza (je suis sûre que la 2e est autant une surprise pour toi qu'elle l'a été pour moi !)
Maman aussi a déménagé - dans l'appartement qui restera toujours la maison dans ma tête, tu étais partout, omniprésent. .. trop présent pour qu'elle commence à aller mieux, je sais que tu comprends
Tu aurais aimé l'appart qu'elle a choisi d'ailleurs, c'est un quartier que vous aviez toujours eu dans votre viseur pour vos "vieux jours" ...
Sauf que toi tu n'auras pas de vieux jours
Yael aussi a eu une année riche en changements, vers un avenir plein de promesses, mais je sais que vous en avez déjà parlé tous les 2
Quant à moi ...
Papa, je te promets que je fais tout ce que je peux pour prendre soin de moi, pour grandir, pour aller de l'avant, pour tracer mon propre chemin
Mais y a des jours où c'est juste trop dur sans toi.
Mais je continue quand même, parce que je suis la fille de mon père et qu'on est des battants, pas vrai?
On continue comme ça et j'espère que tu es fier de moi, de nous, de ton héritage parce que c'est tes valeurs qui nous rendent fortes
Je t'aime et tu me manques
Ta nanou
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baleboste · 8 years ago
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infosisraelnews · 6 months ago
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Retrait de la mezouza de la porte : « Les Juifs d'Europe cachent leur judaïsme, car ils ont peur pour leur vie »
L’antisémitisme continue de faire rage en Europe et le président de la Conférence des rabbins européens, le rabbin Pinchas Goldschmidt, prévient que les Juifs de tout le continent sont contraints de cacher leur identité juive. Dans une interview accordée au “Guardian” britannique, Goldschmidt affirme que depuis le 7 octobre et le déclenchement de la guerre à Gaza, les communautés juives de toute…
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infosisraelnews · 1 year ago
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Documentation scandaleuse à Harish : un coursier arrache une mezouza de la porte d'un immeuble et la jette à la poubelle
Les locataires d’un immeuble résidentiel à Harish ne comprenaient pas où était passée la mezouza sur la porte d’entrée. Après avoir vérifié les caméras, ils ont été choqués de voir qu’un coursier arrivé au bâtiment avait arraché la mezouza de son emplacement et l’avait jetée à la poubelle. Documentation choquante : un coursier arrache une mezouza d’un immeuble et la jette à la poubelle // Photo…
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