#t le clerc
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Ruby said she stole back, as if that justified her part in the equation, but Aspen wasn't so sure they agreed. Just because someone else stole from you didn't mean stealing something back made it okay. But hey, maybe it was just a different time. Aspen sometimes could hardly consider the world their parents had grown up in, let alone numerous centuries back.
They sipped at their coffee as she went on with her story, absorbing it all piece by piece. "That makes sense," they agreed thoughtfully. "If it's what you're surrounded by, I guess you don't really have a choice. But you must've liked it, if you're still doin' it. So that's good!" Was it the same way that Aspen learned tattooing? In a sense, they supposed. But they never learned out of some kind of necessity. Just because it was something they wanted to do. "Maybe so," they agreed with a smile.
~~*~~
Ruby couldn't help but laugh at the look on his face. Everything was different now and the lifestyle she led wasn't as profitable now as it used to be. Plus, there was just more to do now. More to see. And she had all of the time in the world to do it. "Stole back," she corrected with a nod of her head. Though she did steel things in general too. Not that it mattered anymore. The people she stole from weren't alive anymore.
"Well, when you live on an island and all you know is that, you learn a thing or two," she shrugged and sipped at her coffee. The sweetness making her sigh and smile into the cup. "So I just kept learning as the times change and voila. Here we are. Same way you learn the tattoos, yes?"
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Mets-lui ça, enfonce-lui fissa Ton bambou tout pointu Tu vois bien qu’elle attend plus que ça Mets-lui ça, ça la tue Mets-lui sa chatte à la harissa Pine à bride abattue Plus d’une fois même on la fessa Après l’avoir foutue « Arrête, horrible individu ! J’ai la choune à sang ! » S’écrie-t-elle mais bien entendu Elle gueule en jouissant Meuf accro aux fruits défendus Pute à cent pour cent Pas d’erreur, pas d’malentendu C’en est indécent Mets-lui ça, hier quand tu la forças Elle s’est avouée vaincue Reste à la percer vice versa En empalant son cul « Arrête ! ah ! j’ai le fion fendu Par ce jonc puissant ! » Supplie-t-elle mais bien entendu Elle hurle en jouissant Cette fille-là c’est une vraie tordue Un cul ravissant Qui veut qu’on l’foute à corps perdu C’en est renversant Mets-lui ça, enfonce-lui fissa Ta biroute in situ Elle est clean et fine en plus de ça Elle bosse à l’institut Ouh ! fous-lui ton pénis Ouh ! raide et sans retenue Ouh ! faut qu’on la punisse Ouh ! comme c’était convenu Ouh ! fous-lui ton pénis... (ad lib.) Sur l’air de « Melissa » (Julien Clerc)
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Ernst Theodor Wilhelm Hoffmann naît en 1776 en Prusse orientale, à Berlin dans une famille de pasteurs et d’hommes de loi. Les parents se séparant, Ernst est élevé par sa mère qui meurt quand il est tout jeune homme. Il suit des écoles classiques et s’avère un prodigieux pianiste, un excellent dessinateur. Il étudie le droit sans réelle conviction puis la philosophie. Entre 1794-1808, il travaille comme clerc de notaire, puis auditeur mais il préfère les artistes. Parallèlement à sa vie juridique, il peint et compose un opéra comique Le Masque et fréquente le milieu romantique, en désaccord avec la société bourgeoise. Le succès n’est pas au rendez-vous et il s’attire les réprobations du monde « bien-pensant », par son insolence provocatrice. Il s’exile. De retour en Allemagne en 1808, il se voue à la musique et à la critique musicale puis au théâtre. Il vit pauvrement avec sa femme et rencontre beaucoup d’artistes. Son premier conte Le Chevalier Gluck date de l'automne 1808. Il compose Les Kreislerania pour un journal.
En 1813, entre son poste de chef d’orchestre ou de directeur artistique d’une troupe, il gagne peu mais continue d’écrire quelques-uns de ses meilleurs contes (Le Vase d'or, Le Magnétiseur et Ignaz Denner) Puis, il multiplie les fonctions modestes pour privilégier l’écriture et choisit de modifier son troisième prénom en hommage à Mozart : il devient « E. T. A. (cf. Amadeus) Hoffmann » en 1815.
Alors qu’il est juriste, le succès arrive avec l’opéra Ondine en 1817. Tous ses écrits se publient : Les Elixirs du Diable en 1816, Les Contes nocturnes en 1817, Le Chat Murr en 1819… En 1822, les abus, la lutte contre la pauvreté et le surmenage ont raison de sa santé et il dicte ses derniers contes à sa femme, avant de mourir à 46 ans.
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PÉRÉGRINATIONS AUTOUR DU MENSONGE (Suite).
Article de Marc Olivier BERTHOUD
Au cours de toutes les civilisations, des prophètes ont été suscités pour prévenir, avertir et appeler à la repentance. Comme le dit l’adage, ceux-ci sont rarement bien accueillis dans leurs propres pays. Ce rôle a souvent été assumé par les détenteurs du pouvoir symbolique religieux, cela en raison de l’autorité immatérielle mais concrète qu’ils détiennent sur les affaires du monde. Ces personnes ont été appelées prêtres, chamans, philosophes, docteurs, théologiens ou autres.
Notre Occident postchrétien ne fait pas figure d’exception.
Des religieux, clercs ou laïcs, se sont levés ponctuellement face au mensonge et ont, par leurs actions ou paroles « prophétiques », changé le cours des choses. Souvent, les institutions religieuses, malgré toutes leurs imperfections, ont pris fermement position face au déferlement du mal. Aujourd’hui pourtant, si nous ne sommes pas surpris par l’omniprésence du mensonge, nous le sommes beaucoup plus par le silence de la chrétienté qui, semble-t-il, n’y trouve (presque) rien à y redire, comme si le mensonge et ses conséquences matérielles délétères n’était pas de leur domaine.
Comment se fait-il, alors que la parole-loi de Dieu s’applique à toute les choses de la création et peut régénérer toutes choses, que les églises se limitent trop souvent à ne traiter que des questions doctrinales, morales et spirituelles, celles concernant la grâce du salut personnel, et bien sûr de l’amour, mais refusent de combattre sur le terrain du monde ? C’est comme si le réel était volontairement exclu du champ de réflexion des églises par crainte de la complexité, par une certaine idolâtrie de l’unité et par conformisme social, privilégiant le doux confort des certitudes bibliques relatives à notre propre espérance éternelle.
Pourtant, les chrétiens prient : « Que ton règne vienne ; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel » (Matthieu 6 :10) et sont appelés à incarner la lumière du monde afin de faire fuir les ténèbres du mensonge.
Pourquoi les églises, qui, pour les non-croyants, demeurent une référence par rapport à laquelle se positionner, donnent-elles tant l’impression d’être recroquevillées sur elles-mêmes, bien au chaud, et de n’avoir plus rien à dire à un monde qui ne sait plus distinguer le bien du mal, le vrai du faux ? Pourquoi se perçoivent-elles hors sujet, plates ou inutiles lorsqu’elles abordent la complexité matérielle et concrète du monde ? Pourquoi tant d’activités sociales, de tentation de modernité avec des chants plus « adaptés » à notre temps (musique plus rythmée et sentimentale, paroles égocentrées), de la danse ou autres ? Qu’en est-il du vieux combat héroïque de l’église historique victorieuse au cours des siècles ? Oui, nos églises ont-elles encore quelque chose à dire au monde ?
Comme le Christ l’a dit, nul n’est plus grand que son maître. Et, s’il a été persécuté jusqu’à la croix, c’est également ce qui attend ses disciples. Une église qui ne voit la persécution qu’au loin devrait vraiment s’interroger sur sa propre pertinence.
De prochains post nous permettrons de poursuivre cette réflexion...
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"A pesar de una relajación de los precios en la 2ª mitad de 2023, la mejora de la situación en el mercado de materias primas durante el mismo período permitió una recuperación de los resultados económicos para los productores", observa Elisa Husson, economista del Instituto Porcino francés (Ifip). Suficiente para dar un poco de oxígeno a las tesorerías de los productores, que se verán gravemente dañadas entre 2021 y 2022. Para las reproductoras francesas de parto, el margen sobre los costes de alimentación y renovación se recuperó el año pasado. Promedió en 2.069€/Cerda al año, un aumento del 42% respecto a 2022. Sin embargo, después de alcanzar un máximo de 2.663€ en julio de 2023, cayó a 1.553€ en noviembre, para terminar el año en 1.578€ en diciembre. En otras zonas de producción europeas, la suerte de los productores de cerdos también está mejorando. Ifip calculó el margen sobre los costes de alimentación suplementaria para los criadores franceses, alemanes, holandeses, daneses y españoles. Se trata de “el margen entre el precio de la carne de cerdo recibida y el coste del pienso al que se añade un complemento medicinal”, explica Lisa Le Clerc, ingeniera del Ifip. De enero a septiembre de 2023, este indicador se establece de media en los 5 países en 2.570€/Cerda presente y por año, frente a los 1.020€ del mismo período en 2022. “Estos buenos resultados se explican principalmente por el gran aumento de los precios percibidos, que alcanzaron niveles sin precedentes en 2023. Han superado los 2,50€/kg de canal en Francia, Alemania y España”, subraya Le Clerc. Al mismo tiempo, los precios de los alimentos se mantuvieron estables o incluso disminuyeron “a veces de manera muy pronunciada, como en Alemania (–16%)”. En Francia, el precio de los piensos para reproductoras y engordas calculado por Ifip se situó en 358 €/t en noviembre de 2023. Esto supone una caída de 59 € en un año, pero un aumento de 47 € respecto a noviembre de 2021.
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Championne Du Mensonge 01/12/2023
Renoncez au mensonge, et que chacun de vous parle selon la vérité à son prochain. Éphésiens 4.25
Un écrivain et quelques amis réunis dans une brasserie projetaient d’attribuer un prix à qui dirait le plus gros mensonge. À ce moment, une inconnue entra dans la brasserie, et l’écrivain, par jeu, lui expliqua l’objet du concours.
– Eh bien, moi, déclara-t-elle, je n’ai jamais dit un mensonge de ma vie. – Madame, s’écria l’écrivain, vous avez gagné le prix !
Qui peut dire qu’il n’a jamais menti dans sa vie ? Ou alors, il est amnésique. Car nous sommes tous de la même race, la race des pécheurs.
Jésus dit : Vous avez pour père le diable… il est menteur et le père du mensonge 1. Sans doute est-ce Satan qui vous a conduit un jour ou l’autre, comme il l’a fait pour moi, dans la voie du mensonge, f��t-ce par l’exagération. Nous n’en sommes pas moins responsables.
Ce n’est pas à la façon des livres de morale que la Bible nous appelle à renoncer au mensonge et à employer le “parler-vrai”. Jésus, qui a pu dire : Je suis la vérité2, veut nous donner la victoire sur le mensonge. Mais il ne le fera que lorsque nous aurons l’amer regret d’avoir fait des entorses à la vérité, et lorsque nous aurons compris qu’il a la puissance de nous le pardonner.
Lui qui a pardonné à tant d’hommes et de femmes vivant dans le péché le fait encore en notre faveur si nous croyons qu’il est mort sur la croix et est ressuscité pour nous obtenir le pardon.
Lucien Clerc
1 Jean 8.44 2 Jean 14.6
__________________ Lecture proposée : Lettre aux Éphésiens, chapitre 4, versets 25 à 32.
25 C’est pourquoi, renoncez au mensonge, et que chacun de vous parle selon la vérité à son prochain ; car nous sommes membres les uns des autres. 26 Si vous vous mettez en colère, ne péchez point ; que le soleil ne se couche pas sur votre colère, 27 et ne donnez pas accès au diable. 28 Que celui qui dérobait ne dérobe plus ; mais plutôt qu’il travaille, en faisant de ses mains ce qui est bien, pour avoir de quoi donner à celui qui est dans le besoin. 29 Qu’il ne sorte de votre bouche aucune parole mauvaise, mais, s’il y a lieu, quelque bonne parole, qui serve à l’édification et communique une grâce à ceux qui l’entendent. 30 N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption. 31 Que toute amertume, toute animosité, toute colère, toute clameur, toute calomnie, et toute espèce de méchanceté, disparaissent du milieu de vous. 32 Soyez bons les uns envers les autres, compatissants, vous pardonnant réciproquement, comme Dieu vous a pardonné en Christ.
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Matthieu Bloch : "Pourquoi supprimer un régime de retraite qui fonctionne, celui des Clercs et Employés de Notaires ?"
Matthieu Bloch, Maire de Colombier-Fontaine, et Clerc de Notaire de profession, communique : "Pourquoi supprimer un régime de retraite qui fonctionne (très) bien ? C’est la question que l’ensemble du notariat français se pose à la lecture du texte de réforme des régimes de retraite qui comporte un volet suppression des régimes spéciaux dont celui des Clercs et Employés de notaires (CRPCEN). L'article 1er prévoit la fermeture du régime des clercs et employés de notaire (CRPCEN). Or, ce régime est excédentaire, pérenne et financé par des cotisations supérieures des employés et abondé par la contribution de 4 % des employeurs. Depuis sa création en 1937, il n'est pas déficitaire et ne fait l'objet d'aucune subvention d'équilibre provenant, soit du Régime général de Sécurité sociale, soit du budget de l'Etat. Il a une réserve d’un milliard d’euros, lui permettant d’absorber les imprévus. Mieux que cela, il reverse chaque année une partie de ses excédents au régime général. Ce régime a prouvé sa fiabilité et sa résilience face aux nombreuses crises économiques et immobilières que le notariat a traversé. Alors pourquoi vouloir supprimer quelque chose qui fonctionne bien ? A t-on dans ce pays une telle volonté de déclassement que l’on massacre systématiquement ce qui marche ? Plutôt que de vouloir supprimer un régime, certes original, qui s’érige en modèle d’efficacité et de fiabilité depuis plus de 80 ans, pourquoi ne pas plutôt étudier ce qui fait sa réussite et essayer d’appliquer ses bonnes recettes au régime général ? Ce régime général qu’on doit réformer tous les 5 ans pour qu’il tienne le coup… La question est ouverte et c’est aux parlementaires désormais de prendre la responsabilité d’y répondre". Read the full article
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Outfit of the Day by Paola Moretti
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Pantalone: Alice + Olivia Maglia: BCBG Max Azria Scarpe: Pollini Giacca: Street Leathers Borsa: YSL Collana: Kendra Scott Orecchini: Salvatore Ferragamo Anello: Freida Rothman Nail: T. Le Clerc Profumo: Oud wood by Tom Ford Cover: Fifth & Ninth Fashion Blogger: Paola Moretti Instagram: paolamorettiiho
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Voyage dans le temps
C’est une de ces histoires difficiles à raconter. Tout simplement parce qu’elle est invraisemblable
Mon grand-père a vécu son enfance à Questembert dans le Morbihan puis il partit faire ses études à Rennes. Il logeait une petite chambre qu’il partageait avec un autre étudiant de sa ville natale. Le soir, il avait pris l’habitude de se promener le long des quais de la Vilaine. Très souvent, il s’arrêtait pour écouter un violoniste. Le musicien n’était pas toujours présent. Les cheveux en bataille, toujours mal fringué, il apparaissait comme un vagabond et jouait sans jamais réclamer d’argent. D’ailleurs, si on lui offrait une pièce, il refusait catégoriquement. Par contre, il acceptait un verre de bière ou juste un verre d’eau. Ainsi, il jouait pendant une heure ou deux, égayant la nuit venue à l’aide de sa musique. Mon grand-père disait qu’il avait vu les étoiles danser au son de son violon.
Quand il me parlait de cet homme, où plutôt de sa musique, il avait toujours les yeux qui pétillaient. Il écoutait, appréciait. Il disait qu’il était plus que musicien, il était magicien. Ensuite, le joueur de violon partait, disparaissant dans les rues pleines de sombre. On ne le revoyait apparaitre qu’au même endroit et à la même heure.
Un jour, mon grand-père lui adressa la parole. Il avait de nombreuses questions mais il ne reçut que peu de réponses. L’homme n’était pas très causant. Il préférait jouer ses airs de musique. Avec lui, on partait dans le passé avec Mozart, Beethoven, Vivaldi ou Haendel. Mais il y avait aussi de nombreuses chansons et airs originaux. Dans ces cas, mon papy essayait de les retrouver.
Les années passèrent. Mon aïeul quitta Rennes pour Dieppe où il rencontra ma grand-mère. Puis, ils se marièrent et déménagèrent à Nantes. La famille s’agrandit avec trois enfants. Plus tard, les petits enfants… Bref, la vie. Durant mon enfance, mon ancêtre s’amusait à siffloter quelques musiques dont il gardait le souvenir. Il parlait de temps en temps de cet homme qui bouleversa sa vie. D’ailleurs, il s’était mis à la musique jouant du mieux qu’il pouvait du piano et du violon. Il disait toujours qu’il était moins bon que le clochard de Rennes.
Je me souviens d’un jour. C’était pendant les grandes vacances durant mes six ans. La télévision diffusait une émission de variété organisée par les Carpentier. Les invités étaient toujours les mêmes, Joe Dassin, Johnny, Carlos, Gainsbourg, Sardou et j’en passe. Un sketch débile puis Julien Clerc entra en scène. Il chanta « ma préférence » pour la première fois. Mon grand-père se leva, troublé par la musique. « Je la connais » affirma-t-il. Je l’ai entendu il y a longtemps. Je garde encore en mémoire le visage perturbé de mon grand-père.
Durant la semaine, pendant un repas de famille, il parla de cette chanson avec son frère. Je les écoutais se questionner sur la mélodie qui, d’après mon grand-père, était déjà joué lorsqu’il était étudiant. Mon grand-oncle resta muet avant de rappeler que ce n’était pas la première fois qu’il avait cette sensation d’avoir entendu une chanson récente. Ils restèrent sans réponse, puis ils parlèrent d’autre chose.
Quelques années plus tard, je passais mes premières vacances à Rennes. Je marchai avec mes parents pour rejoindre l’appartement d’un oncle. Pour faire vite, nous nous retrouvâmes à longer la Vilaine. C’est alors que nous entendîmes une magnifique chanson jouée au violon. A l’angle d’un pont, un homme à l’air débraillé jouait du violon. Autour de lui, quelques personnes écoutaient, le visage enthousiaste et ravi par l’harmonie des notes de musique. Malgré la nuit tombée, nous nous arrêtâmes pour apprécier les mélodies. Un homme voulut déposer quelques pièces. Dès lors, le musicien arrêta de jouer et signala qu’il n’était pas ici pour ça, mais pour apporter un peu de beauté dans notre triste monde. Puis il recommença de gratter son violon faisant apparaitre des musiques venues d’ailleurs. L’homme joua pendant une bonne heure avant de ranger son instrument et de partir. Juste avant, ma mère eut la bonne idée de le prendre en photo.
Lorsque nous retournâmes finir nos vacances chez mes grands-parents à Nantes, ma mère profita pour faire développer les pellicules prises à Rennes. Elle les récupéra, et nous nous amusâmes à les regarder. Je me moquai de ma petite sœur, nous trouvâmes quelques photos jolies. Je me suis fait enguirlander pour avoir fait une grimace sur l’une des photos. Mon grand-père prenait plaisir à les regarder se souvenant des rues qu’il côtoyait durant sa jeunesse. Soudain, il eut un choc en découvrant le portrait du violoniste. C’était exactement le même musicien qu’au temps de sa période étudiante. Il n’avait pas changé ; le même visage, le même regard, le même manteau vieux et abimé.
Mes parents assurèrent qu’il devait être un descendant de cet homme que mon ancêtre appréciait tellement. Il garda longtemps la photo dans la main, les yeux brillants, le regard dans le doute. Le soir, il partait à Rennes. Nous le revîmes que deux jours avant notre départ.
Lorsqu’il rentra, il posa son sac dans la salle de bain. Ma grand-mère demanda si son séjour s’était bien passé. Il répondit par un « excellent et stupéfiant ». Il n’ajouta rien de plus et reprit ses petites habitudes. Il s’assit ensuite dans son fauteuil et lit le journal du jour. Il semblait heureux et sifflait un air que je ne connaissais pas. « Alors, c’était lui ? » chuchotai-je en passant à côté de lui. Il haussa les sourcils et se mit à sourire. Puis il tourna une page du journal. Le soir, il proposa d’aller manger au restaurant. Surprise, ma grand-mère s’interposa en expliquant qu’elle préparait un gigot. « On n’a à peine dix ans encore à vivre ensemble ! » exclama-il mettant soudainement un léger malaise. Puis il me regarda et dit brusquement : « Quand tu seras plus grand, méfie-toi d’une certaine Hélène. Elle te rendra malheureux. » « Et toi, dit-il à ma sœur, tu auras une très belle famille ». Nous le regardâmes prendre son blouson et sa casquette avant d’ouvrir la porte et de nous presser à nous habiller.
Personne ne comprit les propos de ce jour, jusqu’à ce que je retourne à Rennes pour un voyage chez des amis. Je venais de divorcer de la mère de mes enfants. Hélène était partie avec un autre. En fait, c’était le père de mon troisième. Je ne vais pas éterniser sur cette histoire. Je longeai la Vilaine après avoir rendu visite à des cousins. La nuit était merveilleusement étoilée et même s’il on était en hiver, je n’avais pas la sensation de froid. Je regardai la lune refléter dans l’eau de la rivière lorsque j’entendis un étrange air de musique. A une centaine de pas, je vis un homme en train de jouer du violon. Quelle fut ma stupéfaction que de reconnaitre celui qui jouait déjà quinze ans auparavant. Il jouait, le regard emporté par sa mélodie. Je m’arrêtai, écoutant une musique à la fois douce et puissante. Il jouait si bien que les passants ne pouvaient que s’arrêter. Il joua encore deux chansons et s’arrêta en souhaitant à tous une belle nuit. Il rangea son violon et changea de trottoir, s’enfonçant ensuite dans une ruelle. Je le regardai avec curiosité. J’étais intrigué par cet homme qui semblait vaincre le temps.
Tout à coup, je reconnus une voix derrière moi. « Et maintenant ? Nous allons où ? ». Je me tournai et me trouvai à quelques mètres d’un duo que je connaissais. L’un était ce violoniste qui venait de partir dans le sens inverse, l’autre était mon grand-père décédé depuis cinq ans. Sur le coup, il ne porta pas attention à ma présence et suivit le musicien qui parlait à voix basse : « Tu en as assez vu, nous retournons à ton époque ! ». Ils passèrent devant moi. Je croisai le regard de mon aïeul et compris en voyant son sourire qu’il ne pouvait pas me parler. Les deux hommes prirent le même chemin que le musicien. Je décidai de les suivre, mais ils disparurent dans la partie la plus sombre de la ruelle.
Je restai à observer cette rue étroite. Je cherchai une éventuelle issue. Seulement je ne trouvai rien qui pouvait cacher quelqu’un, ni lui permettre de quitter la ruelle, sans être vu. Dès lors, je retournai chez mes amis et depuis, je reste persuadé que mon grand-père a vécu un voyage dans le temps.
Alex@r60 – juillet 2022
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Hi, how are you doing?? Hope you're alright wherever you are!
So, I was making some research about the marquis and I had 2 questions that poped up to my mind which I couldn't find the answear for online:
1. How many stories do we have Lafayette as a child still living at the Chavaniac. I've heard of the one where he once went looking for the beast of gévaudan, but if he had the guts to go after it so young, that mustn't be the only thing he did;
and 2. I've acidently came across three quotes from the book "The Woman of the Chatêau Lafayette" and, while they sound amazing, I doubt it's veracity, for as the saying goes "if something sounds too good to be true, the it probably isn't."
This first quote, Adrienne was supposed to be hosting a bishop or something but she refused to go, and feeling bad that she might've disapointed her husband, she went to try to apologize bur heard Lafayette saying
"Sir," Lafayette began, "I do not share my wife’s religious beliefs, but if you knew my marriage, you would realize that she is not my subject , nor would I wish her to be. She is a woman of high-minded principle and the model of kindness; of a character we would all do well to emulate. I would no more crush my wife’s spirit than I would persecute any other citizen for matters of conscience. And I promise that if you try to crush her spirit, you will find me in your way, sword in hand."
this other one isn't much of a quote but, more like a moment, it is during the beggining of the french revolution, and he and the duc d'Orlean if I remember correctly are discussing, and Lafayette threatens him (?) to leave to Englad and to not be back.
The third one is, at the National Assembly, he says some controversial stuff and, to punish him, they took off some titles from his name, and he signed his name on the last record of the session without any noble title or military rank at all, just Lafayette.
Again, I have no idea if any of this us true, and I'm sorry for basically just using you to fact check some stuff since my searching habilities are basically zero lol, but thank you very much =))
p.s. here talking about the frev, how the americans viewed lafayette's role in it? and how did his friends did?
Hello Anon,
that are a lot of questions, so let us try to tackle them one by one, shall we? ;-)
1. Childhood Stories
No, sadly I do not know a lot of childhood stories. La Fayette did not reference his childhood often in his own writings and this time in his life appears to not have been remarkable. He was a young Marquis from a mediocre family at the time. His wealth was also greatly limited at that time because he inherited most of his money from his maternal-grandfather and he was still alive at that point in time. The Auvergne was far away from the bustling cities like Paris or the court in Versailles. La Fayette grew up in the countryside with his grandmother (a very remarkable women in her own right), his two aunts and a cousin. His childhood was by all accounts a very happy one, but a mostly uneventful one - or the stories were not preserved. The earliest stories I know about start when La Fayette entered the schools of Paris at around twelve years of age.
2. The Bishop of Paris
This incident as depicted in the book (Stepahnie Dray, The Women of Chateau Lafayette, Penguin LCC US, New York, 2021, p. 320-321.) is for the most part factual and happened that way. A little bit of background for everybody who has not read the book and/or is not familiar with this aspect of revolutionary France: the clergy was ordered to swear the oath of the Civil Constitution of the Clergy (January 3, 1791) - some clergymen took the oath, some refused and some even fled the country. Adrienne was absolutely against the idea that a priest should swear this civic oath - and she was quite open about this. The Archbishop of Paris, Antoine-Elénore-Léon Le Clerc de Juigné, who had sworn the civic oath as well, left France in 1790 because he became alarmed by the turn the Revolution had taken. In his place Jean-Baptiste-Joseph-Gobel became Archbishop of Paris. Now, Gobel was never recognized by the pope, he was described by some of his contemporaries as an atheist and he was opposed to some of the pillars of the roman-catholic believe - in short, he was no one with whom devout Adrienne would ever get along. Here is what Adrienne’s daughter Virginie wrote in her book:
My father often received constitutional clergymen at dinner. On those occasions, my mother would express before them her attachment to the cause of the former bishops. She would discuss her opinion with those whose personal character she esteemed, and in these conversations she manifested such enlightened views, gave proofs of so much sincerity, and was, at the same time, so careful of offending, that no one could be wounded by the expression of her feelings. Independently of their conduct or opinions, all were received by her according to my father’s wishes, without her own consideration being diminished, because she preserved on every subject the liberty of expressing her way of thinking. Once only did she depart from the rule she had laid down for herself, that of receiving all sorts of persons equally well; it was the day when the bishop of Paris, after his instalment, came to dine at my father’s. He did not, like his colleagues, come as a private individual and she declined receiving him as bishop of the diocese. Accordingly, she dined out that day, although her doing so was much remarked.
I purposefully included a longer passage, to give you an understanding of the general scene at the time. We see that the events, the dinner, Adrienne being absent, happened just as described in the book. Do we know if La Fayette and Gobel had a conversation? No. But given the general stir that Adrienne’s absent caused, we can be quite sure that a conversation of some sort took place. You can say a lot about La Fayette as a husband but in his very own way he was very loyal to Adrienne and he would have never chosen Gobel over her (since he also did not appear to be terrible pleased with Gobel himself.) Where either he or Gobel that direct and harsh in their wording? We do not know, maybe not. I am certain though that La Fayette defended Adrienne’s actions in front of Gobel or anybody else.
3. The Duc d’Orléons
La Fayette and Louis Philippe II, Duke of Orléans had a disastrous relationship on good days and an even worse one on bad days. (What is somewhat ironic since he basically made d’Orléans son king - but the relationship between La Fayette and Phillipe I soured soon as well. Like father like son. :-)) Here is the quote from the book you were referring to (at least I hope I’ve got the right one :-.)
Philippe lifted his chin. “What do you want, General Redhead?”
“To warn that Paris is no longer safe for you.”
Philippe laughed. “I am safer in Paris than you.”
More than fifteen years of enmity between the two men had finally brought them to this reckoning, and I saw murder in my husband’s eyes. “Understand, sir, that you are not safe anywhere I am.”
Philippe stopped laughing. “You are threatening me.”
Lafayette’s expression was cold, like frigid mountain air. “My wife tells me you have friends in England. Visit them.”
Philippe was not accustomed to taking orders. “Or what?”
In answer, Lafayette put his hand upon the pommel of his sword. The one carved with his great deeds in America. And I realized there might very well be bloodshed in my parlor. Philippe must have realized it too. He glanced at me, but I kept my eyes hard.
For once in his life, Philippe gauged us properly. “I will apply for a passport.”
My husband nodded. “It will be granted.”
Stepahnie Dray, The Women of Chateau Lafayette, Penguin LCC US, New York, 2021, p. 292-293.
Now, I do not know of any such particular stand-off between the two of them, but there really was no love left. Was La Fayette that direct in his manners with d’Orléans? I personally doubt it and would think he had himself more under control (he certainly would not have murdered d’Orléans and even less so in his own parlour with his wife present and his children maybe upstairs) but La Fayette, when under pressure, could also sometimes be very rash. Just like with the last question; the general scenario is correct but we will never know the exact details.
4. La Fayette and his titles
Sooo, I think and hope that your last quote was in reference to this scene from the book:
So Gilbert set aside his poultices. He caught his breath. He returned to Versailles. And there, he rose in the assembly to rain down thunder. He protested corruption and wasteful spending. He supported reforms in the judicial system to prevent torture and unjust convictions. And perhaps most controversial of all, he argued for a motion to grant civil rights to Protestants and Jews.
Gilbert rose again and again, like a colossus.
To punish him, the royals divested him of his rank as field marshal. And in response, he defiantly signed his name on the last record of the session without any noble title or military rank at all.
Lafayette.
The name we shared.
A name that would, henceforth, speak for itself.
Stepahnie Dray, The Women of Chateau Lafayette, Penguin LCC US, New York, 2021, p. 248.
While La Fayette knew and was friends with many like-minded nobles (they even called themselves the “Fayettists”) and there were still members of the nobility who were way more progressive and sympathetic towards the Revolution than La Fayette was, his relationship with the royals was often taunt and marked by mutual mistrust. The abolishing of titles was a notion introduced by a relative of La Fayette’s and he supported the idea wholeheartedly - what really makes me stumble is the passage where La Fayette was supposedly stripped of his rank as a field-marshal. I am not as firm with La Fayette’s military titles as I should be but I really do not know when that should have taken place. La Fayette entered the Revolution as a Maréchal de Camp and he was promoted to Lieutenant Général on June 30, 1791. This timeline intrigues me and will look that up and make a separate post about his ranks and how he got or lost them. Until then, please be patient with me. :-)
Maybe as a closing though - the name La Fayette did indeed came to speak for itself, without the need of military or noble titles.
You also asked about the perception different people had about La Fayette’s role during the French Revolution - since that is such a lengthy and complex topic on its own, I would like to make a separate and detailed post about that as well. I will put it on my list (and no worries, I take good care of my list. :-))
I hope that answered all your question thus far and I hope you have/had a lovely day!
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L’ultime trahison des clercs: le cas Zizek
Un ami me dit que ce matin Zizek était pathétique sur France Culture, traitant Poutine de fasciste et passant le plus clair de son temps à étayer le discours dominant, tout en se laissant présenter par l’animateur comme "psychanalyste"…
Prononcer des phrases dont le sujet ou l’objet est en -isme (le racisme, le féminisme, le socialisme, le marxisme, le libéralisme, le christianisme...) présuppose que ce que ces mots désignent existe, de la même manière que dans le conte d’Andersen dire que le roi est nu, présuppose qu’il y a un roi, et qu’il est nu, or ce passage laxiste, subreptice et frauduleux du nom à la chose en tant qu’elle est nommée est un glissement ontologique qui a pour conséquence de réduire les possibilités d’émancipation du sujet par un affaiblissement du pouvoir symbolique, à savoir ce pouvoir de nomination constitutive qui est véritablement pouvoir en tant que la nomination constituante "fait être" ce à quoi elle s’applique: être nommé professeur, ou déclaré "malade" par une autorité médicale compétente, par exemple, ou plus fort encore pouvoir affirmer que le prolétariat existe ou la nation Corse ou l’Europe...
Le psychanalyste évitera, lui, de vouloir avoir le dernier mot dans des querelles de mots qui voudraient se faire passer pour des querelles de choses, averti qu’il est de la honte qu’il y a à confondre le signe, qui de mémoire de logicien représente "quelque chose" pour quelqu’un, avec le signifiant, qui n’est lui que partie du signe, et qui représente un sujet pour un autre signifiant qui ne le représente pas.
À nourrir les symptômes de sens, on ne fait que leur donner continuité de subsistance.
C’est ainsi qu’à la question philosophique: pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien? le bouddhisme avait déjà apporté la réponse suivante: il n’y a rien, chaque "chose perçue", chaque entité est en définitive une illusion qui n'existe que dans la perception de celui qui s'imagine qu'elle existe.
Le matérialisme dialectique avait fait un pas de plus: ce "vide bouddhiste" lui-même où s'aboliraient toutes les différences n'existe pas non plus.
Quant à Lacan, il propose la réponse suivante: il y a quelque chose parce qu'il y a le symptôme, ce qui se traduit par le réel du retour à Freud: là où était ton symptôme, tu auras dû advenir en tant que sujet.
L’invention du symptôme n’est pas à chercher chez Hippocrate mais chez Marx.
Irruption du Réel qui déchire la trame symbolique ou inconsistance du Symbolique lui-même miné par le Réel qui en marque la limite interne, le symptôme s’instaure comme un partenaire dérangeant l’ordre de tout discours, la grève étant le symptôme social par excellence...
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for 800 zloty you can buy a packet of studies on suicide written in german, polish, & french, almost entirely during the interwar period, & i have never wanted to spend money so unwisely in my life
table of contents:
P. Jurgens, Uber den Unterschied zwischen Mord und Selbstmord durch Erdrosselung unter Veroffentlichung dreier Falle von Selbsterdrosselung, Berlin [b. r.] R. Schulz, Blutungen in den Halslymphknoten bei Erhangten, Bleicherode 1936 W. Sierosławski, Zmiany anatomiczne i mechanizm w śmierci z powieszenia, Kraków 1936 A. Haberda, M. Reiner, Ueber die Ursache des raschen Eintrittes der Bewusstlosigkeit bei Erhangten, [b. m.] [b. r.] F. Reuter, Welchen lokalen anatomischen Befund am Halse konnen wir in Fallen von Erhangen erheben, bei welchen die Aufhangevorrichtung versagte und der Erhangte zu Boden fiel?, Berlin 1922 F. Reuter, Ueber die anatomischen Befunde beim Tode durch Erdrosseln und durch Erhangen, Wien und Leipzig 1901 F. Otto, Befunde am Halse Selbsterhangter, Bleicherode 1936 P. Conte, Contribution a l`etude du mecanisme de la compression du paquet vasculo-nerveux du cou au cours de la pendaison, Lyon 1929 F. Lorenz, Uber das Vorkommen von Schnitt- und Stichwunden an Handen und deren Bedeutung fur die Diagnose "Mord oder Selbstmord" nach dem Material d. ger. med. Institut der Universitat Munchen, Dusseldorf 1936 E. Babin, Der Selbstmord der Frau in Beziehung zur Menstruation und Graviditat, Breslau 1933 W. Grzywo-Dąbrowski, Z kazuistyki samobójstwa, Warszawa 1935 H. Egglhuber, Ueber Sektionen von Selbstmordern, Munchen 1910 R. Ullrich, Selbstmordverletzungen, Breslau 1913 K. Pohlen, Statistische Kurzberichte, Leipzig 1937 N. Nyiszli, Selbstmordarten auf Grund des Sektionsmaterials des Breslauer Gerichtsarztlichen Instituts von Juni 1927 - Mai 1930, Breslau 1930 H. Picard, Essai d`hygiene mentale. Prophylaxie des epidemies de suicides, Metz 1923 M. Dobrew, Wurchu samootrawjanijata s chinin u nas w Bulgarija, Sofia 1933 K. Pohlen, Die Morbiditat und Letalitat an Selbstmord, Leipzig 1936 F. Erzer, Selbstmord durch Cocain sowie uber histologische Befunde bei experimenteller Cocainvergiftung, Berlin 1924 S. Hurwicz, Przypadek zatrucia formaliną, Warszawa 1937 Ch. Pressler, La Suicide chez les enfants, Strasbourg 1929 T. Stefanoff und K. Pohlen, Selbstmord und Selbstmordversuch in Bulgarien, Jena 1937 J. Stanisz, Samobójstwo w Krakowie w latach 1899 do 1930, Warszawa 1935 W. Grzywo-Dąbrowski, Samobójstwo czy zabójstwo? I. Śmierć na skutek postrzału oraz w następstwie ran ciętych, kłutych i rąbanych, Warszawa 1936 M. Grzywo-Dąbrowska, Samobójstwo wspólne oraz zabójstwo z samobójstwem połączone, [b. m.] 1936 H. Walęcka, Samobójstwo przez zadanie ran rąbanych, Warszawa 1937 M.R. Madey, Samobójstwa na prowincji, Warszawa 1936 W. Grzywo-Dąbrowski, Samobójstwo z punktu widzenia sądowo-lekarskiego. IV. Śmierć wskutek utonięcia: samobójstwo, wypadek czy zabójstwo? Zabójstwo i wrzucenie ciała do wody, Warszawa 1935 S. Hurwicz, Pięć przypadków samobójstwa za pomocą zadania ran kłutych, Warszawa 1935 M.F.M. Strowski de Lenka, Le suicide a deux. Etude psychiatrique et medico-legale, Bordeaux 1933 Ben-El-Mouffok Abderrahman, Du suicide emotif et du suicide non pathologique, Paris 1933 S.G. Clerc, La folie et le suicide de Gerard de Nerval, Bordeaux 1930.
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Ma capacité à m’enflammer pour des détails indiffère les salopards (T. Clerc)
Esthétique matérielle: je confirme qu’il existe deux types de double vitrages, les intégrés et les redoublants. Les intégrés, c’est-��-dire ceux qui ont remplacé les vieilles fenêtres (dont on voit parfois des reliquats posés sur le trottoir), et les redoublants, qui sont posés en plus de la fenêtre préexistante, quand l’espace le permet. “Qu’est-ce que vous êtes barbant, avec vos obsessions! — Je sais, mais comme Warhol, “j’aime ce qui est barbant”.” Ma capacité à m’enflammer pour des détails indiffère les salopards qui défigurent les façades avec leurs volets roulants, les châssis de fenêtre en pin marron, la disparition des plaques de rues, les paraboles, etc. Tout cela m’est plus parlant que bien des abstractions. Il y a des gens qui sont de bons critiques d’art mais de mauvais critiques de la réalité. Ils voient ce qui fait la beauté d’une oeuvre (ou ce qui cloche en elle), mais ils passent inertes devant la rue splendide, le visage en ruine, la chemise moche. Je ne sépare jamais l’art de la vie.
Paris, musée du XXIe siècle. Le Xe arrondissement, p.198-199
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7 raisons d'intercéder pour Israël
Auteur : Pasteur Lucien Clerc Type : Réflexion Thème : La prière Partager
Nous devons ne pas oublier, dans nos prières, le peuple d'Israël, et cela pour sept raisons:
1. DIEU N'A PAS OUBLIE ISRAEL En Es 44.21 nous lisons : O Israël ! Tu es mon serviteur, je ne t'oublierai pas. Et dans Ez 36.24 : Je vous retirerai d'entre les nations... et je vous ramènerai dans votre pays. Je répandrai sur vous une eau pure et vous serez purifiés... Je vous donnerai un coeur nouveau. Le retour des Juifs dans leur pays est un prélude pour qu'ils reçoivent un coeur nouveau. Nous pouvons nous réjouir quand nous rencontrons des Juifs messianiques : ils représentent le début de l'accomplissement de cette prophétie.
2. LA PLENITUDE D'ISRAEL BENIRA L'EGLISE Rm 11.11 dit des Juifs : Par leur chute, le salut est devenu accessible aux païens... Or, si leur chute a été la richesse du monde, et leur amoindrissement la richesse des païens, combien plus en sera-t-il ainsi quand ils se convertiront tous. L'Eglise non-juive a été bénie par Israël; par elle, nous avons reçu la Parole, et même reçu notre Seigneur Jésus.
3. L'AMOUR DE DIEU POUR ISRAEL N'A PAS DIMINUE Jr 31.3 dit : Je t'aime d'un amour éternel et Os 14.4 : Je réparerai leur infidélité, j'aurai pour eux un amour sincère, car ma colère s'est détournée d'eux. Dieu dit encore: En ce qui concerne l'élection, ils sont aimés à cause de leurs pères, car les dons et l'appel de Dieu sont irrévocables (Ac 11.28-29).
4. L'EGLISE A DES RACINES JUIVES Paul apprend aux Romains, (une église composée de païens, comme nous), qu'elle est portée par la racine de l'olivier franc, et non le contraire. L'Eglise est greffée sur Israël et est rendue participante de la racine nourricière de l'olivier (Rm 11.17) qui produit des fruits pour Dieu. Paul nous avertit et dit : Ne te glorifie pas aux dépens de ces branches, parce qu'elles vous portent (Rm 11.18). Nous pouvons témoigner de cette appartenance par le choix de certains de nos chants dans nos réunions, en priant pour la paix de Jérusalem (Ps 122.6), en invitant des juifs messianiques comme orateurs...
5. DIEU DESIRE QUE NOUS MONTRIONS DE LA MISERICORDE ENVERS ISRAEL Paul écrit, en Rm 11.31 : ils ont désobéi maintenant pour que la compassion de Dieu vous soit accordée, afin qu'eux aussi puissent connaître maintenant cette même compassion. Nous pouvons consoler le coeur blessé d'Israël. Sachons témoigner que Jésus est le Sauveur suscité premièrement à Israël.
6. LE RETABLISSEMENT D'ISRAEL COMPREND LE RETABLISSEMENT DE TOUTES CHOSES Nous lisons en Rm 11.15 : Si leur mise à l'écart a été la réconciliation du monde, que sera leur réintégration, sinon le passage de la mort à la vie ? Jésus décrit le bourgeonnement du figuier (Lc 21.29) comme le grand signe du retour prochain du Messie. Le figuier représente ici Israël. Tous les évènements touchant à Israël, ont une charge prophétique. Ils concernent directement ou indirectement l'avenir du monde entier.
7. DIEU NOUS INVITE A PRIER POUR ISRAEL Rm 10.1 dit : Ma prière pour eux, c'est qu'ils soient sauvés. L'ordre de prière le plus connu se trouve dans le Ps 122.6 déjà cité : Demandez la paix de Jérusalem; que ceux qui t'aiment jouissent du repos.
Une nouvelle époque est arrivée. Il semble que Dieu ait tourné une page dans son livre. Les prophéties s'accomplissent sous nos yeux. Dieu a a commencé à attirer le cœur des juifs vers lui. Prions pour que le Saint-Esprit souffle de par le monde et fasse son œuvre de salut en Jésus-Christ, dans le cœur des Juifs en cette génération. Prions pour tous les Juifs, ceux d'Israël et ceux dispersés dans le monde.
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