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#syndicalisme
aiceje · 1 year
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BRAVO LES GARS !
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Résistant à Paris - Georges Lenormand
À l’heure où nous nous préparons à fêter les 80 ans du débarquement allié et de la libération de 1944, je poursuis ma liste d’articles concernant des personnalités de ma généalogie dont la vie a pris un tournant au cours de la Seconde Guerre Mondiale. Voici donc ici une courte biographie de Georges Clément François Lenormand. Georges Lenormand (09/06/1911-22/11/2002) Georges Lenormand, né le 9…
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orbitofdesire · 2 months
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[...] Pour le dire vite, s’il y a dans les syndicats tout ce qu’il faut pour faire de l’enquête ouvrière, il ne manque que la volonté de le faire, l’impulsion politique nécessaire : la règle, c’est plutôt « chacun fait ce qu’il veut dans son coin ». Dans cette logique, pas besoin de mutualiser l’information, de synthétiser, de connaître l’état du salariat à un moment et de partager avec d’autres des constats sur notre fonctionnement, nos victoires et nos échecs. Résultat : les potentialités contenues dans toutes les pratiques listées ici sont loin d’êtres pleinement utilisées. Par quels canaux les connaissances produites pourraient-elles servir à transformer le monde ? Par effet de conscientisation mutuelle dans l’enquête – et c’est là un processus qui est largement à l’œuvre aujourd’hui, même quand on ne le cherche pas volontairement. À titre de support de propagande : partager l’expérience ouvrière, pour que d’autres s’y retrouvent et veuillent s’investir dans la lutte. Dans un but « cartographique », parce que la connaissance du tissu salarial est indispensable à la réflexion stratégique : quels espaces échappent complètement à l’implantation syndicale ? Où faut-il concentrer nos efforts de syndicalisation ? Quelles alliances possibles dans le combat de classe ? Autant de questions qui demandent un effort explicite de production de connaissance, à tous les niveaux, du national à l’entreprise, en passant par tous les échelons territoriaux. En laissant émerger des sujets écartés par les routines militantes : si tel sujet revient souvent parmi les non-adhérent⋅es en contact avec le syndicat, c’est peut-être que celui-ci devrait s’y pencher au plus vite… Par mutualisation et coordination, qui sont les bases de la force d’une organisation : partager les tactiques qui marchent, les revendications ignorées à mettre en avant, tirer les bilans des échecs, lancer des campagnes qui impliquent réellement les équipes militantes… Dans une optique de long terme : comment penser et lutter pour la transition écologique sans un état des lieux minimal de l’outil de production en s’appuyant notamment sur celles et ceux qui le connaissent le mieux : les travailleur⋅es ? Pour illustrer ces points un peu abstraits, on pourrait imaginer qu’il y ait un travail de synthèse à partir des permanences juridiques : il permettrait de « détecter » une préoccupation récurrente des salarié⋅es, mais pour l’instant hors des radars syndicaux (par exemple un système de discrimination raciste dans tel secteur, ou dans les entreprises appartenant à tel patron…). Le problème peut alors être mutualisé, et faire l’objet d’une réflexion stratégique, pour mettre en place des outils juridiques et d’organisation (préparation d’une grève, etc.). Ce qui permettra au réseau militant de base de s’attaquer au sujet avec détermination, dans le cadre d’un effort coordonné, et en bénéficiant de l’appui des différents échelons syndicaux. Le recueil et la diffusion de témoignage de salarié⋅es, qui se faisant deviennent des militant⋅es, est alors un outil de diffusion et de mobilisation plus large, tout en permettant d’exercer une pression médiatique. Ce petit exemple spéculatif montre que la volonté d’enquête, en somme, n’est rien d’autre qu’une composante essentielle d’une coordination qui fait trop souvent défaut au syndicalisme de lutte actuel.
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faire-quelques-choses · 4 months
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dessinsdebado · 7 months
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François Legault voit les syndicats des enseignantes et des éducatrices dans sa soupe. (Le Droit, samedi 16 décembre 2023)
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nicolasanoto · 11 months
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Militantisme syndical : ce vent qui souffle d’Amérique
L’engagement syndical a le vent en poupe, pour cet été 2023, et les centrales syndicales ont largement communiqué sur les chiffres records d’adhésion suite à la mobilisation sur les retraites du début d’année. Si beaucoup de gens ont testé l’engagement associatif, si l’engagement politique est bien connu grâce à la télé et aux séries (merci « baron noir »), l’engagement syndical est moins connu dans son fonctionnement quotidien. Mais je n’avais qu’à aller au cinéma quand le film à ce sujet est sorti. Sachez en tout cas, et c’est le sujet de cet article, que le syndicalisme pourrait changer d’image, si on regarde ce qui se passe de l’autre côté de l’Atlantique.
L’engagement syndical, en France, s’appuie sur des adhésions soutenues par la puissance publique (crédit d’impôts), sur un dialogue social inscrit dans la loi (instances représentatives du personnel, tant dans le public que dans le privé), et puis, sur des réalités différentes, entre des milieux très syndiqués (éducation, police, grandes entreprises publiques) et le désert syndical des PME et des secteurs ou des statuts à la marge (PME, auto-entrepreneurs, etc.). Sans parler de l'histoire des acquis sociaux...
Les syndicats ont été soutenus par l’opinion publique à l’occasion du mouvement sur les retraites. Largement même.
Mais la confiance évaluée par les sondages (voir lien) pour ce type d’institutions varie peu depuis 2014, entre un quart et un tiers des Français font confiance aux syndicats (contre trois quarts à l’armée, deux tiers à l’éducation, un quart aux médias et 10% environ aux partis politiques).
Ce n’est pas brillant, c’est aussi le résultat d’un système qui n’est pas celui de la cogestion allemande où les syndicats sont en responsabilité, ni celui adopté outre-atlantique du syndicalisme (parfois obligatoire) où la négociation sur les conventions collectives peut être très dure (mais très valorisante pour les organisations qui les mènent).
C’est quoi militer dans un syndicat ? Déjà, le militantisme a divers degrés d’activité, l’adhésion simple consiste surtout à recevoir des informations et des « services ». Le deuxième niveau d’engagement est une fonction de représentation à l’échelle locale (représentant ou délégué du personnel, correspondant du syndicat sur un site donné). Le troisième niveau est celui des « permanents » ou semi-permanents, des militants qui bénéficient d’un temps dégagé du travail pour leur engagement, sur la base des résultats de leurs organisations aux élections professionnelles. Le niveau des dirigeants à l’échelle nationale correspond à un « cursus honorum » pour celles et ceux qui appartiennent à ce troisième cercle des permanents, qui peut être plus ou moins accéléré parfois par un passage préalable dans des organisations de jeunesse (JOC, UNEF, etc.).
Ce militantisme syndical ressemble par certains côtés au militantisme politique sur le terrain du travail : on prend des positions, on les défend dans des instances, on les fait connaître auprès des mandants. Mais lors de formations en Finlande, en Angleterre, j’ai appris qu’il existait d’autres formes d’engagement et d’autres formes d’organisation de l’engagement syndical. Cette forme, c’est le « community organizing ».
Ce concept vient des associations citoyennes si actives à l’échelon local aux Etats-Unis. Dans les années 2000, des dynamiques ont changé leur fonctionnement : elles ne se sont plus contentées de rechercher l’adhésion des citoyens pour promouvoir ponctuellement telle ou telle mesure en pour ou en contre (rassemblement pour cela, pétition contre cela). Elles ont cherché à aller plus loin, en repérant des bénévoles à potentiel pour les former à l’animation militante. En cherchant les meilleures solutions pour rendre l’engagement bénévole plus durable et plus intense, en créant de la convivialité, des échanges, en proposant des formations, en impliquant les bénévoles dans le choix des actions…et en proposant de véritables parcours de formation aux responsabilités en leur sein.
Ce modèle, c’est celui que Barack Obama a appris dans son métier d’organisateur de communauté, à Chicago, à la fin des années 80  (voir lien) : aller à la rencontre des habitants d’un quartier pour identifier leurs problèmes et les accompagner dans le fait de les résoudre par eux-même. C’est le premier métier de Mathilde Panot (voir lien), quand elle travaillait dans les banlieues de l’Essonne pour l’association « voisin malin » qui avait le même objet. Et c’est la méthode que développe les partis socio-démocrates du nord de l’Europe pour changer leur manière de mener des campagnes électorales : accompagner des projets locaux, repérer des leaders d’opinion et les accompagner pour aller plus loin.
Cette nouvelle fonction militante de l’organisation est particulièrement développé au sein de la première organisation syndicale américaine, la National Education Association dont j’ai rencontré à plusieurs reprises les responsables des affaires internationales dans mes fonctions syndicales. Pour eux, le Syndicat est l’organisation des travailleurs de l’éducation pour façonner leur outil de travail dans le sens de leurs valeurs. Ils ont un fonds pour l’éducation publique qui récompense des projets novateurs. Ils rassemblent des centaines d’organisations syndicales locales pour constamment faire le lien entre les revendications des usagers, des collectivités, des familles et des personnels pour faire avancer un projet social et démocratique pour l’École.
Cela passe notamment par un programme de « leadership development » avec des cours, un séminaire national annuel et des ateliers particuliers (pour favoriser l’émergence de leaders issus des minorités ou pour les femmes). Dans ces ateliers, on apprend à faire entendre sa voix, à mener des équipes, à exercer un leadership local pour atteindre des objectifs, à gérer des moyens, à être un bon communicant. C’est une approche centrée sur les compétences sociales : on ne se contente pas de déverser des connaissances sur des questions sociales ou éducatives, on centre les apprentissages sur ce qui peut permettre d’être encore plus efficace pour son organisation et pour les valeurs qu’elle défend. Au-delà des formations, il y a des ressources, comme par exemple un kit d’action pour faire avancer la cause écologique dans son établissement (voir lien) en expliquant comment s’adresser aux collectivités, aux parents, comment avancer dans les instances, sur quels enjeux il faut se concentrer…
Ce qui m’intéresse dans cette démarche, c’est qu’elle est à même de redorer le blason syndical en France.
Les syndicats ne sont plus des râleurs, empêcheurs de tourner en rond, ils deviennent des bâtisseurs de possibles, facilitateurs de projets, là non pour imposer des idées ou des combats mais bien pour aider les travailleuses et travailleurs à mener ceux qu’ils choisissent.
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cramazouk · 2 years
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Pourquoi il n’y a pas d’écologie possible en capitalisme ?
Suivi de « Comment faire ta part ? »
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Les exemples ne manquent pas de « greenwashing », montrant l’oxymore que représente le capitalisme vert. La raison est simple à expliquer, et peut également à s’appliquer aux rapports sociaux.
Dans une économie marchande, chaque entreprise doit vendre sa marchandise. Le produit le plus « vendable » est celui qui se trouve moins cher que le concurrent à qualité égale.
Une qualité maximum pourrait être ce qui se rapport le plus d’un produit écologique, mais n’est réservé qu’à l’élite bourgeoise. C’est forcément un produit utilisant le moins possible les « flux » de marchandise (local) et le moins d’énergie fossile ou même nucléaire, et donc plus d’énergie humaine et plus de machines « primitives » (moins techniquement complexes). L’énergie humaine étant la plus onéreuse et compliquée à gérer (l’humain se rebiffe plus en comprenant son caractère absolument nécessaire), le prix s’en trouve donc très élevé. C’est surtout un produit prenant le plus possible en main en interne les questions écologiques, impliquant plus de travail et donc plus de coût.
Un produit de qualité basse va chercher à utiliser les techniques les plus abouties pour évacuer le plus de main d’œuvre possible. Il sera déjà accessible seulement à des entreprises au haut pouvoir d’investissement, donc aux plus puissantes. On évacuera toutes les questions non essentielles à la production, comme la question des des déchets ou de la provenance des matières premières.
Qu’un produit soit de bonne ou de mauvaise qualité apparente, en fonction du public qu’on vise (masse pauvre ou minorité riche), il faudra néanmoins de la manière la plus discrète possible réussir à être un peu moins cher que son voisin, pour être sûr de vendre. Si l’on ne vend pas, l’entreprise meurt. C’est le principe de concurrence absolument essentiel au capitalisme. Pour être un peu moins cher, à nouveau on rogne soit sur la « qualité » (ou propreté) des machines et processus, soit sur le coût de la main d’œuvre, donc en tirant les prix du travail vers le bas, et donc la capacité de consommation des travailleurs.
La masse des consommateurs dans le capitalisme étant pauvre, la masse de la production est fatalement de mauvaise qualité et donc très polluante (pour l’environnement et les consommateurs eux-mêmes).
La majorité des travailleurs exploités pour produire une marchandise de haute qualité, n’ont souvent accès qu’à des marchandises de très mauvaises qualité, correspondant à leur classe sociale.
Comment faire ta part ?
La seule manière de mettre fin à cela est la production planifiée en fonction des besoins d’une population et non à but d’écoulement de marchandise concurrentielle. Et la seule manière de faire cela démocratiquement est de sortir de la propriété privée des moyens de production pour leur socialisation. Et cela à l’échelle internationale.
Enfin, sauf miracle permettant l’organisation internationale extrêmement aboutie pour neutraliser tous les systèmes de compétition marchande, il faut commencer par démarchandiser une partie de la production d’où on est, avec l’ambition de remonter des chaînes de production les plus simples possibles pour réduire à leur maximum les flux. Seule la démarchandisation démocratiquement organisée par les travailleur.ses permet de se passer de l’hypothèse d’un magique grand soir. Cela oblige chacun à apprendre à travailler avec les autres, ni sous la contrainte économique ni sous la contrainte totalitaire.
On peut partir du temps qu’on refuse de travailler et des outils qu’on peut acquérir en commun à partir de nos propres richesses ou de celles qu’on soutire aux bourgeois à la conscience travaillée. Tout tout en se battant dès maintenant pour un temps de travail réduit à mi-temps possible pour tous, à la condition de se battre aussi pour rendre accessible les institutions autonomes du dépassement de l’économie et de la propriété privée.
Cela ne peut se produire que par l’implication de chacun et chacune. Il faut contribuer à l’essor d��institutions autonomes de la sortie de la marchandise et au syndicalisme de classe pour la gestion démocratique de l’économie capitaliste.
Bref, tu veux faire « ta part » ? Syndique-toi dans un syndicat de classe, même si tu es précaire, chômeur ou retraité. Et contacte aussi l’organisation anarchiste la plus proche de toi pour pousser les pratiques de coopération intégrale et de démarchandisation des relations. Ta passion, ce qui te meut dans la vie peut et doit être ta contribution à tout ça ! Ce sera la meilleure façon de le vivre. Toi même tu sais toutes les contradictions de ton métier dans l’économie.
Sinon ne te plains plus jamais de politique et fais juste semblant jusqu’au bout que ça t’inquiète, mais en silence stp.
Mais pour les grosse victimes de dépressifs : tu ne feras rien sans soigner ta santé psy. Ne te tue pas le moral en te culpabilisant inutilement. Soyons matérialiste. Fais au mieux de tes possibilités le temps de soigner. Tout ne dépend de toutes façons que des liens que nous arrivons à créer. Il faut apprendre à vivre en gérant le fait que c’est extrêmement compliqué dans l’état des choses. Et donc savoir se donner de l’amour et savoir quand on fait de son mieux. Bref, être miséricordieux et aimant, tout en étant droit. Moi c’est avec Dieu.e que je vois ça mais chacun son truc. Voilà pour la fin de la leçon de morale ! Bonne fin du monde  (et crèvent les cyniques) !
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yoannblogging · 5 months
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090224
Dans la soirée du 08 février 2024, Yoann et une partie de ses collègues ont passé un bon moment dans un mini-golf avant de rentrer à la maison des secrets où ils se sont vaillamment efforcés de finir l’alcool restant de la veille (la modération des uns entraîne les excès des autres #çafaitréfléchir). Notre envoyé spécial, E.R., était sur place pour suivre l’événement.
Après n’avoir pas brillé de tous ses feux au mini-golf (même Yoann ne peut pas avoir tous les talents), Yoann, pourtant toujours bon joueur, perdant magnanime et gagnant élégant, a été pris d’un élan de rage et de désespoir en arrivant seulement deuxième à Mario Kart, qui contrairement au mini golf est une de ses spécialités. Des témoins parlent de cris à glacer le sang. Il est possible que sa décennie d’expérience en tant que joueur de League of Legends soit en cause dans ces réactions vocales et passionnées lors de la pratique du jeu vidéo.
Plus tard dans la soirée cependant Yoann s’était beaucoup radouci, et a exprimé sa reconnaissance à ses collègues pour leur positionnement pro-Yoann et non anti-Yoann. Nous saluons bien évidemment cette opinion frappée au coin et nous réjouissons que Yoann soit apprécié à sa juste valeur.
Il semblerait également que Yoann ait, sans surprise, fait preuve d’une grande générosité et de beaucoup de bonté en attribuant un précieux kudos (terme technique et singulier sur le document d’évaluation annuel) à l’humble reporter derrière yoannblogging lors de son entretien annuel avec le CTO, ce qui nous va droit au cœur.
Par ailleurs, il apparaît que Yoann ait été victime de quolibets lors de la semaine de séminaire car il fait trop d’heures supplémentaires pour lesquelles on n’est pas payés et vas-y c’est bon les clients ils peuvent attendre 12h pour un mail surtout si ils sont pas sympas ou commettent des crimes orthographiques contre Yoann. Ici à la rédaction de yoannblogging nous pensons qu’il faut parfois dénoncer ce type de mauvaise habitude en place publique, et que qui aime bien châtie bien. Cela vaut aussi pour les membres de l’équipe de Yoann qui vivent à Bourgoin-Jallieu ou encore les gens qui ont une thèse et font de la recherche.
Enfin, il semble que Yoann ait mis un frein à ses ambitions d’absorber tout le monde dans son équipe et ait accepté de laisser quelques collègues aux autres, ce qui est bien aimable Yoann est si noble et bon.
Un admirable passage de relais journalistique a eu lieu aux alentours de minuit lorsque notre envoyé spécial est rentré chez lui, une démarche pleine de sagesse puisque les festivités / consommation d’alcool et de chips / jeux vidéos / discussions à visée révolutionnaire ont duré ensuite bien tard dans la nuit. Yoann a fait une démonstration diabète aiguilles science médecine pour l’édification générale, n’était pas le moins concentré de tous quand une tentative de jeu de société a été lancée, et était très volontaire ainsi que proactif pour porter une démarche de jamais se coucher aller jusqu’au bout de la nuit, mais la soirée a pris fin aux alentours de 4h. Aucun regret même si les heures de sommeil manquantes se font ressentir.
Yoann est maintenant en train de tenter de s’assoupir dans le Ouigo inconfortable alors qu’il devrait être dans un vrai train pas low cost en première classe puisqu’il est cadre, mais hélas la SNCF n’a sans doute pas réalisé qui elle avait à bord sinon il aurait sans aucun doute bénéficié d’un surclassement.
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zeboute · 3 months
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Louise et Denise Boute, une histoire de syndicalisme et d'égalité des hommes, et femmes.
Le monde de l’entreprise est un monde où l’on cherche bienveillance, solidarité, entre-aide. Le bien vivre ensemble ! Respecter chacun, dans sa diversité. Hommes et Femmes, personnes d’origine étrangères, homosexuels, handicapés… La longue histoire de ma famille s’est ancrée dans ces valeurs de solidarité. Madeleine Singer, historienne de la CFDT, retrace ici son histoire. Louis Boute et…
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lesoreillesouvertes · 3 months
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J’ai encore 3 sièges juste pour moi !!!
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Le pilote nous remercie infiiiiniiiiment d’avoir choisi Air France ! Et moi je suis ravie de retrouver mon pays de ronchons parce qu’on ne ronchonne pas pour rien et qu’au fond, j’aime bien ça aussi ! ♥️
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dorianmathay · 10 months
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aurevoirmonty · 1 month
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"Par syndicalisme, par nationalisme, par catholicisme nous sommes opposés à la domination de l’or, à la ploutocratie, qu’elle soit nationale ou internationale, qu’elle règne sous son nom propre ou sous le couvert de la république ou de la monarchie."
Georges Valois, Cahiers du Cercle Proudhon (1912)
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Opinion peut être impopulaire mais qui sera peut être réconfortante pour des gens ici au cas où : les élections ne doivent pas être l'alpha et l'oméga de votre vie politique. Le gros du travail réside dans la lecture d'ouvrages philosophiques et politiques, le syndicalisme, l'associatif ect ect
Bref ne laissez ces élections prendre toute votre énergie, déjà que vu l'état de ce pays, elles sont plus ou moins faites pour favoriser certains partis. Il ne faut pas se contenter de juste suivre la campagne électorale, regarder les bulletins, voter et aller hop lundi matin c'est fini (guess what je suis sûre que c'est ce que pleins de dirigeant(e)s veulent). Au regard des résultats, il y a une longue bataille à mener. Et avoir une formation politique solide vous évitera de voter n'importe quoi au cours de votre vie.
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a-room-of-my-own · 1 month
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Avec une amie on était d'accord pour dire que l'intersectionnalité signifierait la mort du féminisme et il faut voir comment ces vautours entraînent celles qui ont des avis censées dans les théories post-colonialistes made in US.
Mais c’est non seulement la mort du féminisme mais aussi celle de la lutte contre le racisme, contre l’homophobie, celle du syndicalisme… Ce sont des semeurs de chaos qui n’ont aucun intérêt à ce que la cause sur laquelle ils se greffent arrive à quoi que ce soit. En cela ce sont les meilleurs alliés des extrémistes du bord d’en face. Pas mieux qu’un néo-communiste pour booster l’extrême droite, et inversement.
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restonscalmes · 2 years
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maaarine · 10 months
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J'ai vu passer ton post sur la féminisation des métiers qui entraîne ensuite une baisse des salaires car ça devient un "métier de femme". Tu devrais peut-être t'intéresser au fait que les femmes sont moins syndicalisées (surtout dans les syndicats de "combat" type CGT), qu'elles font donc moins souvent grève, et donc qu'elles défendent moins efficacement leurs droits. La "masculinité toxique" c'est aussi foutre le bordel. Dans ce contexte, ça peut être utile.
je ne suis pas sûre de suivre ton raisonnement
c'est le patriarcat qui fait que le syndicalisme est un monde d'hommes
c'est le patriarcat qui fait que les femmes n'osent pas demander ou se voient injustement refuser des augmentations de salaire
j'ai l'impression que tu dis: si les femmes veulent être mieux payées, elles doivent se comporter comme les hommes pour exiger ce qui semble leur être dû
mais les études montrent que dans le monde du travail, les femmes sont sanctionnées pour le type d'agressivité qui passe crème quand il vient des hommes
tangente: une théorie des ressources humaines est que le métier de prof est faiblement rémunéré parce que c'est un métier qui enrichit autrement
être prof c'est tellement beau, tellement riche de sens, tellement utile socialement, c'est tellement pas un bullshit job, que la rémunération financière n'a pas à être élevée, car la rémunération symbolique du sens est si grande qu'elle compense
idem pour d'autres métiers du care (ou mère au foyer): c'est malvenu de demander de l'argent, parce que la rémunération déshumanise la relation avec les enfants, les seniors, les malades, etc — on devrait faire ça de bonté de coeur, pas pour l'argent
bref s'il s'agit d'amener les stratégies de lutte de la "masculinité toxique" dans des contextes féminisés qui sont soumis à des forces propres et qui fonctionnent selon d'autres logiques, ma réaction instinctive (pas longuement réfléchie donc) est que c'est malavisé
ceci dit c'est un point de vue intéressant, merci pour ta remarque
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