#endurance de la jeunesse
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090224
Dans la soirée du 08 février 2024, Yoann et une partie de ses collègues ont passé un bon moment dans un mini-golf avant de rentrer à la maison des secrets où ils se sont vaillamment efforcés de finir l’alcool restant de la veille (la modération des uns entraîne les excès des autres #çafaitréfléchir). Notre envoyé spécial, E.R., était sur place pour suivre l’événement.
Après n’avoir pas brillé de tous ses feux au mini-golf (même Yoann ne peut pas avoir tous les talents), Yoann, pourtant toujours bon joueur, perdant magnanime et gagnant élégant, a été pris d’un élan de rage et de désespoir en arrivant seulement deuxième à Mario Kart, qui contrairement au mini golf est une de ses spécialités. Des témoins parlent de cris à glacer le sang. Il est possible que sa décennie d’expérience en tant que joueur de League of Legends soit en cause dans ces réactions vocales et passionnées lors de la pratique du jeu vidéo.
Plus tard dans la soirée cependant Yoann s’était beaucoup radouci, et a exprimé sa reconnaissance à ses collègues pour leur positionnement pro-Yoann et non anti-Yoann. Nous saluons bien évidemment cette opinion frappée au coin et nous réjouissons que Yoann soit apprécié à sa juste valeur.
Il semblerait également que Yoann ait, sans surprise, fait preuve d’une grande générosité et de beaucoup de bonté en attribuant un précieux kudos (terme technique et singulier sur le document d’évaluation annuel) à l’humble reporter derrière yoannblogging lors de son entretien annuel avec le CTO, ce qui nous va droit au cœur.
Par ailleurs, il apparaît que Yoann ait été victime de quolibets lors de la semaine de séminaire car il fait trop d’heures supplémentaires pour lesquelles on n’est pas payés et vas-y c’est bon les clients ils peuvent attendre 12h pour un mail surtout si ils sont pas sympas ou commettent des crimes orthographiques contre Yoann. Ici à la rédaction de yoannblogging nous pensons qu’il faut parfois dénoncer ce type de mauvaise habitude en place publique, et que qui aime bien châtie bien. Cela vaut aussi pour les membres de l’équipe de Yoann qui vivent à Bourgoin-Jallieu ou encore les gens qui ont une thèse et font de la recherche.
Enfin, il semble que Yoann ait mis un frein à ses ambitions d’absorber tout le monde dans son équipe et ait accepté de laisser quelques collègues aux autres, ce qui est bien aimable Yoann est si noble et bon.
Un admirable passage de relais journalistique a eu lieu aux alentours de minuit lorsque notre envoyé spécial est rentré chez lui, une démarche pleine de sagesse puisque les festivités / consommation d’alcool et de chips / jeux vidéos / discussions à visée révolutionnaire ont duré ensuite bien tard dans la nuit. Yoann a fait une démonstration diabète aiguilles science médecine pour l’édification générale, n’était pas le moins concentré de tous quand une tentative de jeu de société a été lancée, et était très volontaire ainsi que proactif pour porter une démarche de jamais se coucher aller jusqu’au bout de la nuit, mais la soirée a pris fin aux alentours de 4h. Aucun regret même si les heures de sommeil manquantes se font ressentir.
Yoann est maintenant en train de tenter de s’assoupir dans le Ouigo inconfortable alors qu’il devrait être dans un vrai train pas low cost en première classe puisqu’il est cadre, mais hélas la SNCF n’a sans doute pas réalisé qui elle avait à bord sinon il aurait sans aucun doute bénéficié d’un surclassement.
#yoann#premier article long format#correspondant freelance de qualité#syndicalisme révolutionnaire#vodka#curaçao#vidéoludisme#endurance de la jeunesse#déficit de sommeil#cohésion d’équipe#à bientôt pour de nouvelles aventures#yoann gamer backstory unlocked#bons sentiments#quolibets#work life balance
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La jeunesse porte à la révolte contre tout ce qui a voulu servir de modèle. Cette prise de distance est saine, une sorte de nécessité psychologique, même si elle peut être ingrate et cruelle pour les ainés qui ont incarné la loi qu’il faut enfreindre pour devenir son propre législateur. Les générations suivantes s’émanciperont à leur tour, se liant alors souvent avec la génération des grands-parents…
La contestation juvénile est la plupart du temps décevante, sans grandeur, et se précipite sur le moindre prétexte pour se démarquer. L’industrie du loisir et du divertissement profite de ce réflexe, et produit en série des modèles toujours plus stupides auxquels il sera surtout permis de s’identifier par la consommation, dans un secteur de marché spécialement créé pour cela. C’est toute l’histoire de la mode, de la musique, et de tout ce qui usurpe le nom de culture. La jeunesse tranche dans ses mœurs et dans ses goûts, mais s’immerge tout aussi docilement dans l’imaginaire que des ainés détenteurs de capital ont conçu pour elle. D’où l’extraordinaire conformité de la révolte, en séquences et modes bien ordonnées, puis périmées avec la même soudaineté que leur jaillissement publicitaire. Les générations se suivent et n’y voient que du feu, poussant sur le sol d’un capitalisme qui prospère en faisant semblant de se contester. Il s’agit toujours de répondre à une suggestion de masse, d’obéir une série de signes et d’attitudes, jamais bien loin d’un acte d’achat que nul ne songe à remettre en question. C’est aussi pourquoi depuis la grande domination libérale d’après-guerre, la jeunesse se distingue par son insondable bêtise.
Intelligence et noblesse peuvent cependant toujours briller par endroits et inspirer le jeune âge. La révolte n’est alors ni divertissement ni simple plaisir de contester, mais dépassement des limites imposées du dehors et confrontation au réel.
Ces jours-ci, mon fils s’est mis en tête de traverser l’île de la Réunion à pied, seul, sans gîte ni assistance, avec pour seul réconfort une bonne couverture et un sachet de riz. Comment ne pas y reconnaitre la marque de cet instinct, monté du fond des âges, qui porte à se renforcer dans l’adversité et se forger par l’expérience. Se contenter de peu, vivre sur le moment, endurer patiemment et assumer l’imprévu, voilà une belle façon de contester l’ordre bourgeois.
La saine contestation est celle qui prépare à légiférer à son tour, et qui refonde indépendamment de la simple pulsion de détruire. Pour cela, point de caprice juvénile ou de persévération dans la jouissance des jeunes années, mais une âme rendue plus tranchante par frottements avec le concret. Dans ses Lois, Platon évoquait déjà l’importance de "l’endurance face à la douleur, qui présente tant de formes chez nous, aussi bien dans les combats que nous nous livrons les uns les autres à mains nues que dans ces vols qui ne sont pas sans bon nombre de coups. Il y a encore ce que l’on appelle la "cryptie", qui constitue un merveilleux exercice d’endurance en multipliant les douleurs à supporter : aller pieds nus en plein hiver, coucher à la dure, s’occuper de soi en se passant de serviteur, aller au hasard de nuit comme de jour sur l’ensemble du territoire."
De nos jours, aucune tradition ne propose plus de telles épreuves, auxquelles les âmes bien faites sont alors portées à s’exposer volontairement et par instinct. Ce faisant, elles repoussent aussi bien les habitudes bourgeoises de leurs ainés que les fantaisies œdipiennes d’une simple révolte juvénile. Dans l’immensité silencieuse de cette ile lointaine, la nature sauvage montre la voie de la vie bonne. S’y confronter est un spectacle probablement agréable aux dieux, et plus sûrement encore un bon motif de fierté paternelle.
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Un tendre baiser entre ces deux demoiselles :3
note: Cela se passe des années plus tard dans la vie de Amary, mais faut bien que je la dessine un peu heureuse, avec tout ce qu'elle endure au cours de sa jeunesse
A tender kiss between these two ladies :3
note: This takes place years later in Amary's life, but I have to draw her a little happy, with all that she endures in her youth.
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Éva, j’aimerai tout dans les choses créées, Je les contemplerai dans ton regard rêveur Qui partout répandra ses flammes colorées, Son repos gracieux, sa magique saveur : Sur mon coeur déchiré viens poser ta main pure, Ne me laisse jamais seul avec la Nature ; Car je la connais trop pour n’en pas avoir peur.
Elle me dit : “Je suis l’impassible théâtre Que ne peut remuer le pied de ses acteurs ; Mes marches d’émeraude et mes parvis d’albâtre, Mes colonnes de marbre ont les dieux pour sculpteurs. Je n’entends ni vos cris ni vos soupirs ; à peine Je sens passer sur moi la comédie humaine Qui cherche en vain au ciel ses muets spectateurs.
“Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, J’ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations.
Éva, j’aimerai tout dans les choses créées, Je les contemplerai dans ton regard rêveur Qui partout répandra ses flammes colorées, Son repos gracieux, sa magique saveur : Sur mon coeur déchiré viens poser ta main pure, Ne me laisse jamais seul avec la Nature ; Car je la connais trop pour n’en pas avoir peur.
Elle me dit : “Je suis l’impassible théâtre Que ne peut remuer le pied de ses acteurs ; Mes marches d’émeraude et mes parvis d’albâtre, Mes colonnes de marbre ont les dieux pour sculpteurs. Je n’entends ni vos cris ni vos soupirs ; à peine Je sens passer sur moi la comédie humaine Qui cherche en vain au ciel ses muets spectateurs.
“Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, J’ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations.
Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avait déclose Sa robe de pourpre au Soleil, A point perdu cette vesprée (old spelling for vêprée) Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au votre pareil.
Las ! voyez comme en peu d’espace, Mignonne, elle a dessus la place Las ! las ses beautés laissé choir ! Ô vraiment marâtre Nature, Puis qu’une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! (old way for jusqu’au)
Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez votre jeunesse : Comme à cette fleur la vieillesse Fera ternir votre beauté.
Dites-moi où, dans quel pays, Est Flora la belle Romaine, Archipiades, et Thaïs, Qui fut sa cousine germaine, Echo, parlant quant bruit on mène Dessus rivière ou sur étang, Qui beauté eut surhumaine ? Mais où sont les neiges d’antan ?
Où est la très sage Héloïse, Pour qui fut châtré puis fait moine Pierre Esbaillart à Saint-Denis ? Pour son amour eut cette peine. Semblablement, où est la reine Qui commanda que Buridan Fût jeté dans un sac en Seine ? Mais où sont les neiges d’antan ?
La reine Blanche comme un lis Qui chantait à voix de sirène, Berthe au grand pied, Béatrice, Alice, Haramburgis qui tint le Maine, Et Jeanne, la bonne Lorraine Qu’Anglais brûlèrent à Rouen ; Où sont-ils, où, Vierge Souveraine ? Mais où sont les neiges d’antan ?
Prince, ne demandez cette semaine ni cette année, où elles sont ; Je vous ramène à ce refrain : Mais où sont les neiges d’antan
Je vis, je meurs: je me brûle et me noie, J’ai chaud extrême en endurant froidure; La vie m’est et trop molle et trop dure, J’ai grands ennuis entremélés de joie.
Tout en un coup je ris et je larmoie, Et en plaisir maint grief tourment j’endure, Mon bien s’en va, et à jamais il dure, Tout en un coup je sèche et je verdoie.
Ainsi Amour inconstamment me mène Et, quand je pense avoir plus de douleur, Sans y penser je me trouve hors de peine.
Puis, quand je crois ma joie être certaine, Et être en haut de mon désiré heur, Il me remet en mon premier malheur.
Philis, qu’est devenu ce temps Où, dans un fiacre promenée, Sans laquais, sans ajustements, De tes grâces seules ornée, Contente d’un mauvais soupé Que tu changeais en ambroisie, Tu te livrais, dans ta folie, A l’amant heureux et trompé Qui t’avait consacré sa vie ?
Le ciel ne te donnait alors, Pour tout rang et pour tous trésors, Que les agréments de ton âge, Un coeur tendre, un esprit volage, Un sein d’albâtre, et de beaux yeux. Avec tant d’attraits précieux, Hélas ! qui n’eût été friponne ? Tu le fus, objet gracieux ! Et (que l’Amour me le pardonne !) Tu sais que je t’en aimais mieux.
Ah ! madame ! que votre vie D’honneurs aujourd’hui si remplie, Diffère de ces doux instants ! Ce large suisse à cheveux blancs, Qui ment sans cesse à votre porte, Philis, est l’image du Temps ; On dirait qu’il chasse l’escorte Des tendres Amours et des Ris ; Sous vos magnifiques lambris Ces enfants tremblent de paraître. Hélas ! je les ai vus jadis Entrer chez toi par la fenêtre, Et se jouer dans ton taudis.
La lune s’attristait. Des séraphins en pleurs Rêvant, l’archet aux doigts, dans le calme des fleurs Vaporeuses, tiraient de mourantes violes De blancs sanglots glissant sur l’azur des corolles. C’était le jour béni de ton premier baiser. Ma songerie aimant à me martyriser S’enivrait savamment du parfum de tristesse Que même sans regret et sans déboire laisse La cueillaison d’un Rêve au coeur qui l’a cueilli. J’errais donc, l’oeil rivé sur le pavé vieilli Quand avec du soleil aux cheveux, dans la rue Et dans le soir, tu m’es en riant apparue Et j’ai cru voir la fée au chapeau de clarté Qui jadis sur mes beaux sommeils d’enfant gâté Passait, laissant toujours de ses mains mal fermées Neiger de blancs bouquets d’étoiles parfumées
Tes pas, enfants de mon silence, Saintement, lentement placés, Vers le lit de ma vigilance Procèdent muets et glacés.
Personne pure, ombre divine, Qu’ils sont doux, tes pas retenus ! Dieux !… tous les dons que je devine Viennent à moi sur ces pieds nus !
Si, de tes lèvres avancées, Tu prépares pour l’apaiser, À l’habitant de mes pensées La nourriture d’un baiser,
Ne hâte pas cet acte tendre, Douceur d’être et de n’être pas, Car j’ai vécu de vous attendre, Et mon coeur n’était que vos pas.
En vérité, une feuille blanche Nous déclare par le vide Qu’il n’est rien de si beau Que ce qui n’existe pas.
Sur le miroir magique de sa blanche étendue, L’âme voit devant elle le lieu des miracles Que l’on ferait naître avec des signes et des lignes. Cette présence d’absence surexcite Et paralyse à la fois l’acte sans retour de la plume. Il y a dans toute beauté une interdiction de toucher, Il en émane je ne sais quoi de sacré Qui suspend le geste, et fait l’homme Sur le point d’agir se craindre soi-même.
C’est un trou de verdure, où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D’argent; où le soleil, de la montagne fière, Luit: c’est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort; il est étendu dans l’herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme: Nature, berce-le chaudement: il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
J’ai perdu ma force et ma vie, Et mes amis et ma gaîté ; J’ai perdu jusqu’à la fierté Qui faisait croire à mon génie.
Quand j’ai connu la Vérité, J’ai cru que c’était une amie ; Quand je l’ai comprise et sentie, J’en étais déjà dégoûté.
Et pourtant elle est éternelle, Et ceux qui se sont passés d’elle Ici-bas ont tout ignoré.
Dieu parle, il faut qu’on lui réponde. — Le seul bien qui me reste au monde Est d’avoir quelquefois pleuré.
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Mon amour? A, j’espère que tu vas bien. Tu sais, je panse souvent à comment te dire que je t’aime d’autres façons que je ne le fais déjà. Et ce soir, je crois, que j’ai trouvé comment le faire. T’es prête? Un. Deux. Trois. J’aimerais vivre vieux avec toi. Oui, je sais que ça ne semble pas vraiment extraordinaire en fin de compte. C’est pas une déclaration véritablement loufoque et créative. J’en suis désolé. Mais tu me connais. J’ai toujours cru que j’allais crever jeune. Parce que je m’ennuie vite de tout, et que, pour moi, on fait le tour de la vie en quelques petites décennies. Mais avec toi, putain. Tout devient inépuisablement inlassable. Par exemple, te regarder goûter mon café chaque matin. Juste ça. Il n’y a pas une seule fois où je ne me dis pas que ce spectacle vaut le coup d’être regardé. Quitte à payer le prix fort de m’ennuyer de tout, à côté de ça. Même de vivre. Ou te voir sautiller sur ta chaise parce que ce que tu viens de manger est délicieux. Est-ce que tu sais à quel point ça me rend heureux? Alors t’imaginer faire tout ceci, pendant que la vie nous épuise, nous vieillit. Et pouvoir me sentir attendri, alors que chaque jour me fait crever un peu plus. Je crois que c’est ma chose préférée au monde. Alors je te le dis, moi, l’éternel attristé, celui qui ne veut de la vie que son éphémère et sa jeunesse: j’ai envie de vivre vieux avec toi. Alors merci de me faire ressentir tout ça.
My love? A, I hope you’re doing well. You know, I often think about how to tell you I love you in other ways than I already do. And tonight, I think, I’ve figured out how to do it. Are you ready? 1. 2. 3. I want to grow old with you. Yes, I know it doesn’t seem particularly extraordinary in the end. It’s not a truly outlandish declaration or creative. I’m sorry. But you know me. I always thought that I would die young. Because I quickly get bored of everything, and that, for me, one can experience life in just a few short decades. But with you, damn. Everything becomes endlessly enduring. For instance, watching you taste my coffee every morning. Just that. There’s not a single time when I don’t think that this spectacle is worth watching. Even if it means paying the high price of getting bored of everything else. Even of living. Or watching you bounce on your chair because what you ate is delicious. Do you know how much that makes me happy? So imagine doing all this, while life wears us out, ages us. And being able to feel tender, while each day makes me die a little more. I think that’s my favorite thing in this world. So I’m telling you, me, the eternal sad one, the one who only wants from life its ephemerality and its youth: I want to live old with you. So thank you for making me feel all this.
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Je te rappelle de ranimer le don de grâce de Dieu, qui est en toi… Possède un modèle des saines paroles que tu as entendues de moi… Fortifie-toi dans la grâce qui est dans le Christ Jésus… Étudie-toi à te présenter à Dieu : approuvé, ouvrier qui n’a pas à avoir honte… Fuis les convoitises de la jeunesse, et poursuis la justice, la foi, l’amour, la paix, avec ceux qui invoquent le Seigneur d’un cœur pur… Prêche la parole, insiste, que l’occasion soit favorable ou non, convaincs, reprends, exhorte, avec toute patience et doctrine… Sois sobre en tout, endure les souffrances, fais l’œuvre d’un évangéliste, accomplis pleinement ton service. 2 Timothée 1:6, 13 ; 2. 1, 15, 22 ; 4. 2, 5.
Lire la suite...https://www.chretiens.com/vie-chretienne/le-seigneur-jesus-est-proche/je-texhorte-a-ranimer-le-don-de-dieu-que-tu-as-recu-par-limposition-de-mes-mains-2-timothee-16/2024/04/22/12/41/
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Jeunesse Natiin Révolution
🔥⚫🇨🇵⚜️ Le 5 février 2022, les #Nationalistes, à l'invitation du #CercleFrancoHispanique, sont venus, sur la tombe de Robert Brasillach, honorer cet écrivain de génie, fusillé par les gaullistes et les communistes le 6 fevrier 1945, ainsi que son beau-frere Maurice Bardèche et toutes les victimes du 6 février 1934.
Nous, #Nationalistes, n'oublierons jamais la mémoire de nos héros.
Cette année, la tombe avait été hélas souillée par une main aussi lâche qu'anonyme de l'inscription "collabo".
C'est pour nous l'occasion de rappeler qu'une occupation militaire, aussi dramatique qu'elle soit, n'a jamais détruit l'âme d'une nation.
Choisir de suivre l'exemple de son vainqueur, pour régénérer sa propre Patrie, à la lumière des leçons qu'il peut apporter, est un acte de lucidité patriotique.
La France, depuis l'instauration de la République, avait dû au moins trois fois subir l'invasion de sa capitale, en 1814, 1815 et 1871, avant ce tragique printemps de 1940, sans pour autant disparaître.
Par contre, la destruction méthodique des nos traditions, la submersion de notre peuple par une immigration massive et incontrôlée créent une situation totalement nouvelle, qui met en péril l'existence même du peuple français, de la nation francaise.
Ceux qui souillent la tombe de Robert Brasillach soutiennent cette politique et ce régime mortifères.
Ils sont aussi les héritiers des assassins de 1934 et de 1945, de ceux qui tiennent les fusils et font tirer sur le peuple de France parce que les intérêts qu'ils servent ne sont pas ceux de la France et des Français.
Nous ne l'oublions pas et nous ne pardonnerons pas.
Loin d'être les derniers d'hier, nous serons les premiers de demain !
👉 https://jeune-nation.com/nationalisme/natio-france/a-paris-les-nationalistes-commemorent-le-six-fevrier-solstice-de-la-nation
🔥⚫🇨🇵⚜️ On February 5, 2022, the #Nationalists, at the invitation of the #CercleFrancoHispanique, came to Robert Brasillach's grave to honor this genius writer, shot by the Gaullists and the Communists on February 6, 1945, as well as his brother-in-law Maurice Bardèche and all the victims of February 6, 1934.
We, #Nationalists, will never forget the memory of our heroes.
This year, the grave was unfortunately stained by a cowardly and anonymous hand with the inscription "collabo".
This is an opportunity for us to recall that a military occupation, however dramatic, has never destroyed the soul of a nation.
Choosing to follow the example of the victor, in order to regenerate one's own homeland, in the light of the lessons it can bring, is an act of patriotic lucidity.
France, since the establishment of the Republic, had had to endure the invasion of its capital at least three times, in 1814, 1815 and 1871, before this tragic spring of 1940, without disappearing.
On the other hand, the methodical destruction of our traditions, the submergence of our people by massive and uncontrolled immigration is creating a totally new situation, which is endangering the very existence of the French people, of the French nation.
Those who defile the grave of Robert Brasillach support this deadly policy and regime.
They are also the heirs of the murderers of 1934 and 1945, of those who hold the guns and have the people of France shot at because the interests they serve are not those of France and the French.
We do not forget this and we will not forgive it.
Far from being the last of yesterday, we will be the first of tomorrow!
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Lendemains de cuite et gueule de bois...
La France sort de son stupide confinement complètement rincée, essorée, vidée, détruite, “KO debout”. Et le pire est à venir, puisque là où il aurait fallu “confiner” sans attendre les malades, les contagieux, les “porteurs” et, à titre conservatoire, les cas les plus inquiétants parmi ceux qui risquaient le pire, on a “attendu Godot”, avant de décréter un confinement de tous… pour camoufler les manquements les plus hurlants, tout en sachant que, ce faisant, on “plombait” le pays de manière gravissime, pour des mois et des années, et peut-être même pour qu'il ne puisse plus jamais retrouver l'état où on l’avait trouvé en arrivant. Depuis, comme on pouvait s'y attendre, chacun veut profiter de cette faiblesse pour tenter de faire avancer ses fantasmes les plus fous. Ils appellent cette folie ‘’le monde d’après’’ !
On a beaucoup parlé du manque de masques, du ‘’néant’’ présomptueux de nos politiciens et de la nullité “XXL” des soi-disant experts, nuls en tout… sauf dans l'art de raconter n'importe quoi et son contraire : après tout ce qu'ils nous ont fait endurer, aucun d'entre eux ne devrait avoir l'audace de jamais se montrer en public, définitivement. Au-delà du ridicule, ce qui est grave c'est que notre pauvre pays, si mal dirigé par des incapables, a perdu ses réflexes de survie, son intelligence, sa foi en lui-même… mais aussi et surtout son industrie, toute son industrie, donc sa force, sa santé économique, son indépendance… donc sa liberté. On nous a fait croire que le confinement était destiné à éviter la propagation… alors qu'il était “pour ne pas avoir à avouer qu'on était à court de tout, par notre faute’‘ ! Notre ex ’'cinquième puissance économique du monde” en a été réduite à supplier la Chine de lui envoyer, s'il vous plaît, du paracétamol, des masques, des blouses, des gants, du savon et de l'alcool… même de très mauvaise qualité, même pourris, même inutilisables ! Il faut l'audace d'Emmanuel Macron pour oser prononcer un hymne à la gloire de sa gestion de la ‘’crise sanitaire’’ : elle a été lamentable.
“Malheur à la cité dont le roi est un enfant”, prophétisait l'Ecclésiaste (Qohelet) il y a quelque 2500 ans (par une ironie cruelle, l'auteur présumé de ce “psaume” était Salomon, homonyme du responsable en chef de nos manques de tout (et, pour cette raison, promu Grand Mammamouchi de la litanie des mauvaises nouvelles quotidiennes, au lieu d'émarger à l'ANPE. Le monde est mal fait !). Mais tout cela remonte loin : dans un tsunami de mauvaises idées insoutenables et de scandales d'Etat à répétition, notre Président s'est fait élire “par défaut” pour nous imposer (contre toute intelligence et toute possibilité de réalisation, jamais) un monde post-moderne, post-républicain, post-démocratique, post-politique, post-historique, post-moral, post-national, et j'en oublie. On allait voir ce qu'on allait voir ! On a vu ! Un monde sans limites, sans bornes, sans frontières, et donc sans souveraineté… ne peut survivre qu'en recréant à la première ‘’crise’’ véritable, toutes les protections, les barrières et les interdits que les faux intellectuels/vrais technocrates avaient détruits et remplacés par une permissivité sur toutes les idées mortifères, celles qui sont, intrinsèquement, mauvaises pour l'Homme et la société !
Il n'est pas une seule couche sociale qui ne soit “vent debout” contre ce fatras de concepts fumeux, pas une famille, pas une région, pas une religion, pas une industrie, pas une profession qui ne soient remontées à cran contre la totalité de ce qui s'est passé les trois dernières années. C'est simple : certains, à gauche, en arrivent à regretter Hollande, “Fainéant 1er”, le roi des mauvaises idées, le moins doué des plus idiots… Et les trois mois qui viennent de s'écouler (et de nous faire couler) doivent être jugés pour ce qu'ils ont été : une vraie déroute en rase campagne pour l'intelligence, pour la réflexion, pour la maturité, pour l'efficacité. Tout a commencé par un déni honteux et un immense mensonge général : On sait mais on ne fait rien : on dit qu'il ne se passera rien (“le virus ne viendra pas chez nous”!), qu'il faut aller au théâtre : il y aura “quelques cas en France, peut-être”. Les prévisions des vrais experts (pas la bande d'hyper nuls dogmatiques qui continuent à plastronner sans pudeur devant la commission d'enquête du Sénat), les informations sur Wuhan (cachées et niées par le très approximatif Raffarin, ce sinophile de salon qui est incapable d'aligner 3 mots de chinois), bref toutes les vraies informations, ont été mises sous le boisseau, oubliées et placardisées.
Tout ayant été raté puisque mal fait et à contre sens, à contre rythme et à contre intelligence, il ne restait plus qu'à contraindre toute la population à être congelée. Au trou, les français ! Tous ! Non contents de cette aberration (qui va nous coûter si cher, pendant si longtemps) nos autocrates autoproclamés ont condamné à mourir, isolés de tout, tous les pauvres vieux qui, pas syndiqués et sans présence organisée sur les réseaux, n'ont pas su se défendre. Mes parents étant déjà morts, je n'ai pas été confronté à l'horreur de savoir ceux que j'aime rendre leur dernier soupir sans dire un mot, sans leurs émouvantes ultimes recommandations à leurs petits enfants… Je pense que, dans le cas contraire, j'aurais passé le reste de ma vie à tous les poursuivre de ma haine le plus totale ! Comme quoi, il doit y avoir un mauvais génie qui protège les vrais méchants. Dans ma jeunesse (c'est-à-dire dans un autre monde) on le désignait par “le diable’' !
L'alerte passée (mais pas complètement puisqu'ils ont inventé ’'le déconfinement qui n'en est pas un”… pour ne pas perdre la face en reconnaissant publiquement qu'ils avaient eu tout faux), il suffit de ne pas être un des “experts -sic” choisis par l'Elysée pour voir que les pays qui ont le mieux résisté sont en Europe de l'Est et en Asie, plus le Maroc : ceux qui avaient des frontières, des masques, et des tests. Et ceux qui ont été le plus durement frappés ont été ceux qui ont sacrifié leurs populations au dogme maastrichtien (donc mortifère) de l'ouverture de frontières devenues inexistantes (Italie, Espagne, France, Belgique). Mais notre Président, lui, reste scotché à son idée démodée et masochiste de son Europe-institution, dans ce que des dérives sectaires, mondialistes, acculturées et anti-nationales en ont fait.
Mais au fond, tout cela n'était rien : il nous faut maintenant boire la coupe jusqu'à la lie : les tenants d'une idéologie mortelle qui se prétend ‘’anti-raciste’’ (exactement le contraire de ce qu'elle est) rêvent de détruire jusqu'aux fondements de notre civilisation (sans les bienfaits de laquelle pas un seul des manifestants ne serait ce qu'il prétend être, soit dit en passant !). Et les mêmes dirigeants qui nous ont fait tant de mal… posent un genou en terre, en signe de soumission. Mais où va le monde ? Prions pour que ce ne soit pas vers leur terrifiant ‘��monde d’après’‘ !
H-Cl.
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Les Chroniques de Livaï #384 ~ POUR TE PROTEGER, J'IRAI EN ENFER (septembre 845) Gratia Heilwig, chef-médecin
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
Encore un casse-cou, celui-là. Il sera remis en un rien de temps. Pendant que nous restons intra-muros, je vais devoir me contenter des petits bobos quotidiens. Rien à voir avec ce que je dois endurer sur le terrain. Ce n'est pas plus mal pour mon moral, les dernières sorties ont été si désastreuses...
Avec Erwin Smith à notre tête, j'ai bon espoir que le taux de survie remonte, emballer des cadavres de jeunes gens finit par me donner des cauchemars.
Je jette un oeil aux blessés qui resteront ici pour la nuit, puis éteins les bougies dans le dortoir. Quelques soupirs et gémissements se font entendre, mais ils sont peu de choses. Un garde de nuit va prendre le relais pendant que j'irai m'étendre un moment. Je ne peux me permettre de quitter l'hôpital, un accident grave peut toujours survenir, même à cette heure.
Nadja essuie ses mains propres avec un linge et s'apprête à rentrer. Elle loge au QGR avec les autres recrues, et je lui ai dit qu'elle n'avait pas besoin de rester. Elle s'est fait une place dans la section des soins du bataillon assez rapidement, j'ai vite vu qu'elle avait un don pour soigner les gens. Elle diagnostique très vite et imagine souvent des remèdes que je ne connaissais pas. La jeunesse, sans doute. Cependant, je la sens peu motivée pour aller au combat. Il est vrai que notre rôle est paradoxal : nous devons côtoyer la souffrance et la mort pour sauver ceux qui peuvent l'être. Mais la vue du sang semble lui faire horreur.
Nous ne parlons que peu, et cela me convient. Elle n'a pas besoin de me dévoiler ses motivations et son passé, le travail qu'elle fournit me suffit. Je lui tape sur l'épaule et lui dit à demain, mais elle m'arrête avant que je puisse m'éloigner. Son regard est différent de d'habitude, elle paraît déterminée, alors que ses yeux sont la plupart du temps dans le vague, suivant ses mains avec automatisme mais sans réel intérêt. Qu'y a-t-il, ma petite ?
Elle se tord un peu les doigts devant moi avant de se lancer. Elle m'informe qu'après-demain, il y a un test de vol et qu'elle aimerait y participer. Je n'y vois pas d'inconvénient. Mais si tu ne peux pas venir de la journée, je devrais sans doute te remplacer. Tu es la meilleure pour me seconder, et peu d'explorateurs choisissent la filière médicale. Seras-tu là plus tard ? Elle répond que cela risque de lui prendre la journée car il peut y avoir des imprévus. De quel genre ?
Elle annonce que le caporal-chef Livaï cherche un cinquième membre à son escouade d'élite et qu'apparemment, elle serait sur les rangs ; elle vient de l'apprendre d'un camarade. Ah oui, celui dont tu t'es occupée. Il n'avait rien de grave à première vue. Dis-moi, si tu ne veux pas être recrutée, tu peux toujours refuser, personne ne t'en tiendra rigueur. La question que tu dois te poser est "en es-tu capable ?"
Elle se met à balbutier et je comprends qu'elle est sous le choc. Ce n'est pas facile, quand on vient de changer de régiment, de se voir proposer une telle opportunité. Nadja est une fille plutôt douce et gentille, pas une guerrière implacable. Enfin, je ne l'ai pas vue à l'oeuvre, je ne saurais pas dire, peut-être qu'un fauve enragé sommeille en elle... Là, dans l'immédiat, elle ressemble plus à un chaton apeuré. Je l'emmène dans une pièce vide et lui demande de se calmer et de me dire vraiment ce qui ne va pas.
C'est la première fois qu'une telle intimité s'installe entre nous. Je ne fais pas semblant de m'intéresser à son problème. Elle est vraiment perturbée par ce qui lui arrive. Elle a besoin d'être écoutée et conseillée.
Elle m'avoue entre deux sanglots réprimés qu'elle n'a pas du tout envie d'aller affronter des titans, mais que deux de ses amis font partie de l'escouade tactique et qu'elle en serait malade s'ils devaient aller à l'extérieur sans elle. Je vois, c'est donc ça... Une petite amourette, peut-être ? Elle secoue la tête énergiquement et je lui souris pour lui montrer que je détends l'atmosphère. Je sais ce que c'est, j'ai été jeune aussi. Et j'ai perdu beaucoup de mes amis... On ne peut pas toujours les sauver, c'est un fait. Mais ne même pas pouvoir essayer, c'est encore pire.
Ma petite, tu dois braver ta peur des titans et aller là où tu seras utile. Tu peux rester ici à soigner des chutes de cheval ou des chevilles foulées, mais est-ce vraiment ce que tu es venue chercher ? Même un médecin se doit d'avoir des qualités guerrières. Je ne suis pas particulièrement douée moi-même, mais j'ai survécu à nombre de périls. D'autres n'ont pas eu cette chance. Si Livaï a jugé que tu avais les qualités requises...
Elle m'interrompt pour me dire qu'il ne l'a jamais vue à l'oeuvre, que ce sont ses amis qui l'ont proposée au poste. Eh bien, difficile de dire si ce sont réellement des amis ou non ! Ceci dit, ils doivent avoir foi en toi pour avoir fait ça. Tu veux savoir s'il faut te donner à fond au test de vol, ou bien mentir sur tes capacités réelles ? Je n'ai pas de réponse. Mais ce dont je suis sûre, c'est que cette occasion ne se présente qu'une fois dans une vie. L'escouade d'élite, c'est pas rien.
Elle ne semble pas vouloir prendre de décision tout de suite et je lui conseille d'aller dormir pour avoir les idées claires. Avant de s'en aller, elle me demande si je connais le caporal-chef et je ne peux m'empêcher de rire. Oh oui, un peu. J'ai dû lui recoudre le crâne une fois, une sacrée tranchée qu'il avait dans la tête ! Il n'a du surhomme que l'apparence, crois-moi. C'est un être comme toi et moi et son sang coule aussi rouge que celui de n'importe quelle bête. Même si j'admets que ses capacités de guérison sont assez hors normes... Si tu apprends à le connaître, ça devrait aller. Regarde comment il est avec le major. Pourtant, leurs premiers contacts étaient très difficiles, voire... musclés ! Ils sont comme cul et chemise maintenant, comme quoi tout arrive. Il faut savoir l'apprivoiser, c'est tout. Il ne fera pas de misère à une fille comme toi.
Si j'ai bien compris, en fonction de ta décision et de tes résultats, il se peut que je ne te vois plus ici ? Elle soupire que c'est ce qui risque d'arriver. Ne soit pas désolée. Je vais avoir du mal à te remplacer. Je regrette presque qu'on ne se soit pas plus parlé que ça. Mais je suis honorée que tu aies voulu de mes conseils.
Si j'en ai un dernier : quel que soit ton choix, mets-lui en plein la vue, à ce gnome ! Au moins, tu ne regretteras rien.
#lc384#levi chronicles#les chroniques de livaï#fanfiction#fallenRaziel#snk#attack on titan#shingeki no kyojin
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BÂTON
Création mars 2020 de Perrine Mornay / Collectif Impatience.
Conception et texte : Perrine Mornay Avec : Mélanie Potin-Troisgros et Perrine Mornay Création sonore : Sébastien Rouiller Création Lumière : Cyril Leclerc Regard extérieur chorégraphique : Sylvie Balestra Regard extérieur : Olivier Boréel Costumes : Elisabeth Cerqueira Régie représentation : Soraya Sanhaji Regards et accompagnement : Vanessa Vallée
VOIR LE TEASER :https://vimeo.com/451421139
Bâton montre la rencontre de Mélanie Potin, entraineuse sportive de l’association de twirling bâton de Mantes la Jolie et de Perrine Mornay, metteuse en scène.
Perrine Mornay a écrit ce spectacle en étant conduite par ce qu’il y a de spectaculaire et d’aléatoire dans le Twirling et également par sa rencontre avec Mélanie Potin. Elles partagent le plateau et le rapport incertain à la gravité. Cette performance commune devient un double lancé biographique : jonglerie, risques, hasard, compétition, promesses de victoires et dépassement de soi .... Cette pièce parle de façon inattendu d'amour, d'amitié, de mort, du temps qui passe, de la jeunesse et de la vieillesse, sans lyrisme. Peut-être est-ce une conférence sur nos subsistances,avec du twirling bâton ? C'est aussi l'histoire d'un envol d'adolescent. C’est à notre propre endurance, nos propres rêves et nos échecs que ces moments font échos. La réalité du twirling bâton remplit ici son rôle de catharsis.
Production: Collectif Impatience Coproduction: La Filature, Scène Nationale de Mulhouse, Collectif 12 / Mantes-La-Jolie Avec l'aide au compagnonnage de la DRAC Grand Est avec la Cie Arsène / Odile Darbelley et Michel Jacquelin
https://www.maculture.fr/entretiens/perrine-mornay-baton/ Toutes les photos © Hélène Harder
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La servante écarlate
Auteurice : Margaret Atwood
Maison d’édition : Robert Laffont
Date de publication : 1985
Nombre de pages : 511
Genre : Science-fiction, dystopie
Ce qu’en pense Seli :
Je n’ai pas (encore vraiment) vu la série télévisée qui a adapté ce roman à l’écran, mais pour être parfaitement honnête, c’est à cause d’elle que j’ai décidé de le commencer.
D’une part, le concept laissait présager d’une oeuvre dystopique sérieuse, loin de tout ce qui existe actuellement, très orienté jeunesse et foisonnant jusqu’à l’overdose. J’ai trouvé la quasi-totalité de ces récits trop superficiels car déterminés en partie par les carcans de la littérature jeunesse, plus que par l’univers décrit : un héros ou une héroïne badass, souvent Mary Sue ou Gary Stu, avec une histoire d’amour chiante et souvent, ô comble de l’horreur ! un triangle amoureux. Je pense très sérieusement que ce poncif doit être éradiqué de toute oeuvre de littérature jeunesse pour les dix années à venir, le temps qu’on digère cette horrible mode lancée par Bella, Edward et Jacob à l’époque où Twilight faisait gagner ses lettres de noblesse au fantastique jeunesse. Non, le seul roman dystopique qui m’a marquée durablement est Le Passeur, de Lois Lowry, qui pour le coup est une dystopie jeunesse très réussie qui va au fond de son concept.
L’autre élément qui m’a fait lire ce roman est que je le sentais comme un passage obligé vers la série. J’ai pour règle de toujours lire l’oeuvre originale avant d’en voir une adaptation, c’est ce que je fais la plupart du temps, vous verrez dès mon prochain billet que ce n’est pas toujours le cas. Cependant j’essaie de m’y tenir, pour avoir un point de comparaison et comprendre les intentions de l’auteurice, puis celles de læ réalisateurice. Dans le cas de La servante écarlate, il y a apparemment des différences, et c’est l’analyse de ces différences qui m’intéresse.
Mais passons plutôt à la critique en elle-même. Au-delà de ses thèmes et de son histoire, La servante écarlate est-il un bon roman ?
Oui, plutôt, mais il faut accepter certains partis pris.
Le roman est raconté du point de vue de Defred, une servante écarlate, c’est-à-dire une des rares femmes encore fécondes qui a été affectée à une famille pour concevoir des enfants. C’est là son unique fonction. Dans cette anticipation, la natalité a drastiquement chuté et une secte religieuse a pris le pouvoir aux Etats-Unis pour mettre en place une société patriarcale uniquement tournée vers l’enfantement et prônant une morale et des valeurs évangéliques. Je n’entre pas dans les détails, il vous faudra découvrir le reste vous-même. La première critique qu’on pourrait apporter de ce point de vue, est celle du manque d’ouverture de l’univers. C’est ce qui ressort de beaucoup de critiques de lecteurices qui n’ont pas vraiment apprécié : on ne sait rien de ce qui sort du monde de Defred. Aucune réelle considération géopolitique (on nous parle vaguement de “pouponnières pour tous” en Amérique Latine, mais c’est tout), on ne sait pas vraiment comment Gilead est gouvernée, quelles sont les relations avec les autres pays, qui sont réellement les résistant.es, etc... Pour beaucoup, c’est un manquement, ce que je comprends. Cependant, ce serait oublier que nous voyons ce monde par le biais d’une Servante, cloîtrée soigneusement dans son ignorance par la société. Le passage où la maisonnée regarde la télévision nous montre bien que Defred a conscience que ce qu’elle voit n’est surement qu’invention. Comment, dans ce contexte, parler d’autre chose que de ce qu’elle voit et tout en restant cohérent ?
Autre chose souvent critiquée, mais qui va de paire avec le premier “problème” de ce roman, sa lenteur. J’avoue que j’ai souvent du mal quand le récit est lent, ça me fait décrocher assez souvent. Mais là, j’irai jusqu’à dire que c’est une force ! Cette lenteur est due au fait qu’il y a plusieurs récits croisés : la description du quotidien de Defred entrecoupé de ses souvenirs de sa vie d’avant. On nous présente pas à pas toute l’horreur des conditions de vie des femmes, points de détail par point de détail qui font en fait tout. La Cérémonie n’est pas abordée tout de suite, l’autrice prend son temps. Il y a un intérêt d’exposition donc (et qui du coup compense largement le manque d’exposition politique), mais aussi un intérêt rythmique. En effet, la lenteur pose une certaine atmosphère sur le récit. Defred nous explique que son existence est constituée de beaucoup de vide, d’ennui, et que c’est pour ça qu’elle pense autant. On se rend compte au fur et à mesure que les personnages passent leur temps à essayer de combler ce vide. Le temps semble s’étirer pour eux. D’une part parce que si la mise en place du régime qui remonte à trois ans, elle nous semble dater de trois fois plus. D’autre part car le temps qui passe est palpable, comme si les jours devenaient des années. On capte l’ennui, l’oisiveté forcée, ce qui nuit peut-être le plus aux personnages.
Transition toute trouvée, parlons des personnages. Defred, en premier lieu, est un personnage plus complexe qu’on le suppose de prime abord, et surtout, plutôt réaliste. Elle n’est pas une vraie croyante, elle haït de ce qu’elle est devenue et ce qu’on l’oblige à faire. Cependant, elle est rentrée dans le moule, et sent également sa perception se modifier, si bien que peu à peu, ce qui lui arrive semble se transformer en indifférence, du plus anodin au pire. De même, contrairement à la totalité des autres héroïnes de dystopie que j’ai pu lire, son acte de rébellion n’est pas réellement volontaire, il est presque sollicité, consenti avec une extrême réticence de sa part. Car elle connait les limites, elle sait ce qu’elle risque, et bien que la tentation du suicide soit forte, elle ne peut se résoudre à perdre la vie. Sauf que l’interdit ne vient pas toujours des rebelles, il vient du coeur du système, et paradoxalement elle ne peut le refuser. Ces petites entorses semblent être le seul moyen de vivre réellement. De même, on se rend compte rapidement que chaque membre de la maisonnée, sans exception (jusqu’à la cuisinière), espèrent voir Defred enfanter. Si on peut penser au débat que c’est par nécessité sociale, rapidement et via le personnages du Commandant, on se rend compte que chacun se sent affreusement seul, et espère qu’un enfant viendra rompre cette solitude. En effet, les interactions sociales sont si réglementées que les liens entre les être humains semblent être lointains, distendus, et que créer une relations, c’est forcément entrer dans la clandestinité.
Il y a indéniablement un message très fort contre les violences politiques et la dictature dans ce roman, comme une sorte d’avertissement, mais ce qui ressort aussi pour moi et qui me fait préférer cette dystopie à beaucoup d’autre, c’est l’idée que la rébellion n’est pas aisée, que c’est une souffrance supplémentaire que tout le monde n’est pas près à endurer, au risque de rester prisonnier.e d’un monde oppressif. Dans toutes ces autres œuvres auxquelles je compare La servante écarlate, le soulèvement est présenté comme naturel, c’est presque trop facile, et on ne sent pas toujours à quel point ce choix peut-être dévastateur. En gros, ce qu’elles montrent, c’est que la révolte est nécessaire et évidente quand le monde est injuste et fait souvent passer ceux qui choisissent de courber l’échine avec un mélange de pitié et de mépris. Ce roman nous rappelle que la révolte est plus un sacrifice qu’un acte héroïque pour la beauté du geste en nous plaçant du côté d’une personne qui a peur, et qui a d’autant plus d’envie de se révolter qu’elle se souvient de la liberté, de ses droits perdus. Se rebeller est difficile, il faut s’en souvenir. Je vais faire encore un parallèle féministe pour montrer à quel point ce message est important. Quand les plaintes pour agression sexuelle ou viol se concrétisent et passent en jugement (rappelons, moins de 10% des agressions estimées), beaucoup se demandent pourquoi la victime n’a pas protesté ou riposté et certains en déduisent que la victime s’est “laissée faire”, avec tous les sous-entendus qu’on peut imaginer. On oublie en effet qu’en plus de l’effet de sidération, la peur est souvent la plus forte. C’est exactement ce que souligne cette oeuvre, et c’est un message important.
Une oeuvre de science-fiction donc, anticipatrice, qui met en garde. Une oeuvre importante qu’il est presque nécessaire de lire et, quand bien même, qui se positionne bien au-dessus des ouvrages de science-fiction les plus accessibles aujourd’hui. Espérons que le regain d’intérêt pour cette oeuvre donne naissance à un renouveau de la dystopie, jeunesse ou pas, plus profonde est impliquée que ”la dictature c’est pas bien”. Car aujourd’hui, c’est insuffisant. Pour les récalcitrant.es à la lecture, je ne saurais que vous conseiller de vous tourner vers la série télé, que je compte commencer bientôt également.
Ma note : 17/20
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Je te rappelle de ranimer le don de grâce de Dieu, qui est en toi… Possède un modèle des saines paroles que tu as entendues de moi… Fortifie-toi dans la grâce qui est dans le Christ Jésus… Étudie-toi à te présenter à Dieu : approuvé, ouvrier qui n’a pas à avoir honte… Fuis les convoitises de la jeunesse, et poursuis la justice, la foi, l’amour, la paix, avec ceux qui invoquent le Seigneur d’un cœur pur… Prêche la parole, insiste, que l’occasion soit favorable ou non, convaincs, reprends, exhorte, avec toute patience et doctrine… Sois sobre en tout, endure les souffrances, fais l’œuvre d’un évangéliste, accomplis pleinement ton service.2 Timothée 1. 6, 13 ; 2. 1, 15, 22 ; 4. 2, 5
Timothée
Être un homme de Dieu dans un temps de déclin
Paul écrit cette lettre à Timothée – sa dernière épître qui nous soit conservée dans la Parole de Dieu – alors qu’il est de nouveau en prison à Rome. Cette fois, il attend d’être exécuté : “le temps de mon départ est arrivé” (4. 6). De plus, dans la province d’Asie – dont Éphèse était la capitale, là où Paul et Timothée avaient beaucoup travaillé et où Paul avait passé trois ans (voir Actes 20. 31) –, tous s’étaient détournés de Paul et de la vérité qu’il avait si fidèlement enseignée. Humainement parlant, les choses étaient donc très tristes et Timothée avait bien des raisons d’être découragé.
Mais Paul l’encourage à “ranimer le don de grâce de Dieu” qui est en lui et lui donne des recommandations claires quant à ce qu’il fallait faire dans un tel temps de déclin. Nous en avons quelques-unes dans les versets ci-dessus, et elles sont aussi très actuelles pour nous.
Par-dessus tout, l’œuvre devait se poursuivre. Dieu demeure toujours fidèle, car il ne peut pas se renier lui-même (2. 13). Aussi Paul encourage non seulement Timothée à accomplir pleinement son service avec patience et fidélité, en se fortifiant dans le Seigneur, mais il lui demande aussi de transmettre ce qu’il avait entendu de lui “à des hommes fidèles qui soient capables à leur tour d’en instruire d’autres” (2. 2).
Relisons cette épître en portant une grande attention aux instructions données dans une période qui correspond tellement à ce que nous vivons aujourd’hui ! Dieu recherche des hommes qui soient accomplis, mûrs, connaissant bien les Écritures, veillant à se séparer du mal, étant ainsi des hommes de Dieu bien “préparés pour toute bonne œuvre” (voir 2. 21 ; 3. 17). Faisons-nous partie de ces hommes ou femmes “de Dieu” (voir 1 Timothée 6. 11) ? Veillons-nous à transmettre ce que nous avons reçu à d’autres ?
⦁ <> d’après E.P. Vedder
⦁ Jeudi 11 avril 2024
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Ticket out of here
It's with some dread today that I make what would normally be a banal trip to the courthouse over a ticket. On the other hand, it makes much easier the decision to permanently leave the place my ancestors built. It's not just the $500 ticket, or the loss before that of my car. The last time I was in court was at the Chambre de la Jeunesse albeit as an adult for events I endured as a child, against two people. One pled guilty, but the other required a hearing which ended up with the judge reserving judgment until he came down later with a conviction on three counts. The detective, Sgt Belisle, called me in Toronto with the news. I wrote a long letter of thanks to the prosecutor, Me Sylvie Lemieux, which she told me she kept for years. She told me this after I had to ask her how the conviction on three charges was now on only one charge with an unconditional discharge and no $10 000 to charity as penalty. I found this out when I requested a transcript 15 years later, in order to detach my mother from this abuser who handled her affairs, following a report he had told my parents he won the case. The prosecutor had no answer for me. To her, we had won.
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Une prime jeunesse en prison
Chen Xi La province de Hebei
Je suis née dans une famille heureuse, et depuis mon enfance j’adore Jésus avec ma mère. Quand j’avais quinze ans, ma famille et moi, convaincus que Dieu Tout-Puissantest Jésus venu de nouveau, avons accepté avec joie Son œuvre des derniers jours.
Un jour d’avril 2002, quand j’avais dix-sept ans, une sœur et moi étions dans un endroit où nous accomplissions nos devoirs. À 1 h du matin, nous étions profondément endormies chez notre hôte quand nous avons soudainement été réveillées par des coups bruyants et pressants sur la porte. Nous avons entendu quelqu’un crier dehors : « Ouvrez la porte ! Ouvrez la porte ! » Dès que la sœur qui nous accueillait l’a ouverte, quelques policiers sont entrés brusquement et ont dit agressivement : « Nous sommes du Bureau de la sécurité publique ». Entendre ces trois mots, « Bureau de la sécurité publique », m’a immédiatement rendue nerveuse. Étaient-ils là pour nous arrêter à cause de notre foi en Dieu ? J’avais entendu parler de frères et sœurs qui avaient été arrêtés et persécutés à cause de leur foi ; se pourrait-il que cela fût en train de m’arriver alors ? Juste à ce moment-là, mon cœur s’est mis à battre violemment, boum boum, boum boum, et prise de panique, je ne savais pas quoi faire. J’ai donc prié Dieu à la hâte : « Dieu, je T’implore d’être avec moi. Donne-moi la foi et le courage. Quoi qu’il arrive, je serai toujours prête à témoigner pour Toi. Je Te prie aussi de me donner Ta sagesse et de m’accorder les paroles que je dois dire, afin que je ne Te trahisse pas et que je ne vende pas mes frères et sœurs. » Après cette prière, mon cœur s’est progressivement apaisé. J’ai vu ces quatre ou cinq méchants flics fouiller la pièce comme des bandits, fouiller la literie, chaque armoire, chaque boîte et même ce qui se trouvait sous le lit jusqu’à ce qu’ils aient enfin trouvé des livres de paroles de Dieu ainsi que des CD d’hymnes. Le chef me dit d’une voix impassible : « Le fait que tu sois en possession de ces choses constitue la preuve que tu crois en Dieu. Viens avec nous et tu pourras faire une déposition. » Choquée, j’ai dit : « S’il y a quelque chose à dire, je peux le dire ici ; je ne veux pas aller avec vous. » Il a immédiatement souri et a répondu : « N’aies pas peur, faisons un petit voyage pour faire une déposition. Je te ramènerai ici très vite. » Le prenant au mot, je suis allée avec eux et je suis montée dans la voiture de police.
Je n’ai jamais pensé que ce petit voyage serait le début de ma vie en prison.
Dès que nous sommes entrés dans la cour du poste de police, ces méchants flics ont commencé à me crier dessus pour que je sorte du véhicule. Leurs expressions faciales avaient changé très rapidement et soudainement, ils semblaient être des personnes complètement différentes de celles qu’ils avaient été avant. Lorsque nous sommes arrivés au bureau, plusieurs policiers robustes sont entrés après nous et se sont tenus à ma gauche et à ma droite. Leur pouvoir sur moi désormais assuré, le chef du groupe des méchants flics hurla contre moi : « Comment t’appelles-tu ? D’où viens-tu ? Combien êtes-vous au total ? » Je venais à peine d’ouvrir la bouche et j’étais en train de répondre quand il s’est jeté sur moi et m’a giflée deux fois : baf ! baf ! J’étais sidérée à n’en pouvoir parler. Je me suis demandé : « Pourquoi m’a-t-il frappée ? Je n’avais même pas fini de répondre. » Pourquoi étaient-ils si brutaux et non civilisés, complètement différents de ce que j’avais imaginé de la police du peuple ? Ensuite, il m’a demandé quel âge j’avais, et quand je lui ai répondu honnêtement que j’avais dix-sept ans, baf, baf, il m’a encore frappée au visage et m’a grondée pour avoir menti. Après cela, peu importe ce que je disais, il me donnait des coups à tort et à travers au visage, à tel point que je voyais des étoiles, ma tête tournait, un « wham wham » retentissait dans mes oreilles, et mon visage brûlait de douleur. C’est alors que j’ai finalement compris : ces méchants flics ne m’avaient pas du tout amenée là pour me poser des questions ; ils voulaient simplement utiliser la violence pour me forcer à me soumettre. Je me suis souvenue avoir entendu mes frères et sœurs dire qu’essayer de raisonner avec ces policiers vicieux ne marcherait pas, mais au contraire, cela ne causerait que des ennuis sans fin. Maintenant, après en avoir moi-même fait l’expérience, je n’ai dès lors plus prononcé un mot, peu importe ce qu’ils demandaient. Quand ils ont vu que je ne voulais pas parler, ils m’ont crié dessus : « Fille de pute ! Je te donnerai de quoi réfléchir ! Sinon, tu ne nous donneras pas un compte rendu véridique ! » Après avoir dit cela, l’un d’eux m’a férocement frappée deux fois dans la poitrine, me faisant tomber lourdement au sol. Il m’a ensuite donné deux violents coups de pied et m’a tirée du sol pour me crier de m’agenouiller. Je n’ai pas obéi, alors il m’a donné quelques coups de pied dans les genoux. La vague de douleur intense qui m’a envahie m’a forcée à m’agenouiller brusquement en me heurtant les genoux au sol. Il m’a saisie par les cheveux et m’a tirée avec force vers le bas, puis il m’a violemment tiré la tête en arrière, me forçant à lever les yeux. Il m’a insultée en me rouant le visage de coups encore quelques fois, et ma seule sensation était que le monde tournait. À cet instant-là, je suis tombée au sol. Juste à ce moment-là, le chef des méchants flics a soudainement repéré la montre sur mon poignet. La regardant avec convoitise, il a crié : « Qu’est-ce que tu portes là ? » Aussitôt, un policier m’a attrapé le poignet et a arraché la montre avec force, puis l’a remise à son « maître ». Voir un tel méchant comportement m’a remplie de haine à leur égard. Après cela, quand ils me posaient plus de questions, je les regardais en silence, et cela les exaspérait encore plus. Un des vicieux flics m’a attrapée par le col comme s’il ramassait une petite poule, et m’a levée du sol pour me rugir dessus : « Ô, tu es une grande fille, n’est-ce pas ? Je te dirai quand te taire ! » En disant cela, il m’a brutalement frappée deux ou trois fois de plus et j’ai encore été violemment jetée au sol. À ce moment-là, tout mon corps souffrait insupportablement et je n’avais plus aucune force pour lutter. Je suis juste restée par terre les yeux fermés, sans bouger. Dans mon cœur, je suppliais Dieu avec insistance : « Dieu, je ne sais pas quelles autres atrocités cette bande de méchants flics va commettre contre moi. Tu sais que j’ai une petite stature et que je suis faible physiquement. Je T’implore de me protéger. Je préfère mourir plutôt que d’être un Judas et Te trahir. » Lorsque je priais, les paroles de Dieu m’éclaireaient intérieurement : « Tu dois souffrir pour la vérité, te donner à la vérité, tu dois endurer l’humiliation pour la vérité, et pour gagner plus d’elle tu dois subir plus de souffrance. C’est ce que tu devrais faire. » (« Les expériences de Pierre : sa connaissance du châtiment et du jugement », La Parole apparaît dans la chair). Ces paroles de Dieu m’ont donné un pouvoir infini et m’ont fait reconnaître que c’est seulement dans un état de souffrance que l’on peut comprendre et obtenir encore plus de vérité. Je savais que si je n’avais pas souffert physiquement ce jour-là, je n’aurais pas vu les vrais visages de ces méchants policiers et j’aurais plutôt continué à être trompée par leur façade. La raison pour laquelle Dieu est venu au milieu des humains pour S’engager dans une œuvre si ardue est précisément de permettre aux hommes d’obtenir la vérité afin qu’ils puissent distinguer entre le noir et blanc, le bien et le mal ; c’est pour qu’ils puissent comprendre la différence entre la justice et le mal, la sainteté et la laideur. C’est pour qu’ils sachent qui doit être méprisé et rejeté, et qui doit être adoré et admiré. Ce jour-là, j’ai clairement vu le laid visage de Satan. Tant qu’il me restait encore un souffle en moi, je témoignerais pour Dieu, et je ne céderais jamais aux forces du mal. Juste à ce moment-là, j’ai entendu quelqu’un à côté de moi dire : « Comment se fait-il qu’elle ne bouge plus ? Est-elle morte ? » Après cela, quelqu’un m’a délibérément écrasé la main avec son pied, appuyant fort dessus tout en criant férocement : « Lève-toi ! On va t’emmener ailleurs. Si tu ne parles toujours pas quand on y arrivera, tu auras ce qui t’attend ! » Étant donné que les paroles de Dieu avaient augmenté ma foi et ma force, je n’avais pas du tout peur de leur intimidation. Dans mon cœur, j’étais prête à combattre Satan.
Plus tard, j’ai été escortée au Bureau de la sécurité publique du comté. Quand nous sommes arrivés à la salle d’interrogatoire, le chef de ces méchants flics et son entourage m’ont entourée et m’ont interrogée à plusieurs reprises, marchant de long en large devant moi et essayant de me forcer à trahir les guides de mon Église ainsi que mes frères et sœurs. Lorsqu’ils ont vu que je n’allais toujours pas leur donner les réponses qu’ils voulaient entendre, les trois m’ont giflée plusieurs fois à tour de rôle. Je ne sais pas combien de fois ils m’ont frappée ; tout ce que j’entendais, c’était baf ! baf ! quand ils me frappaient au visage, un son qui semblait résonner avec un volume particulier au milieu de cette nuit tranquille. Leurs mains étant devenues endolories, les méchants flics ont commencé à me frapper avec des livres. J’avais un goût salé dans la bouche et du sang tombait goutte à goutte sur mes vêtements. Ils m’ont battue jusqu’à ce qu’à la fin, je ne ressentais plus la douleur ; je sentais que mon visage était simplement enflé et engourdi. Finalement, voyant qu’ils n’allaient pas obtenir de précieux renseignements de ma bouche, les policiers vicieux ont sorti un carnet téléphonique et, satisfaits d’eux-mêmes, ont dit : « Nous avons trouvé ça dans ton sac. Même si tu ne nous dis rien, on a encore un tour dans notre sac ! » Tout à coup, je me suis sentie extrêmement anxieuse : si l’un de mes frères ou sœurs répondait au téléphone, cela pourrait mener à son arrestation. Cela pourrait aussi les lier à l’Église, et les conséquences pourraient être désastreuses. Juste à ce moment-là, je me suis souvenue d’un passage des paroles de Dieu : « Dieu Tout-Puissant domine toute chose et tout événement ! Tant que nos cœurs se lèvent vers Lui en tout temps, que nous entrons dans l’esprit et nous nous associons à Lui, alors Il nous dévoilera toutes les choses que nous cherchons et Sa volonté nous sera certainement révélée ; nos cœurs seront alors dans la joie et la paix, stables avec une clarté parfaite. » (Déclarations et témoignages du Christ au commencement). Les paroles de Dieu m’ont montré la voie de la pratique et le chemin que je devais suivre. À tout moment donné, Dieu avait toujours été le seul sur Qui je pouvais compter, ainsi que mon unique salut. J’ai donc prié Dieu à maintes reprises, L’implorant de protéger ces frères et sœurs. Par conséquent, lorsqu’ils ont composé ces numéros de téléphone un par un, certains appels ont sonné sans que personne réponde, tandis que d’autres ont tout simplement mené à rien. En fin de compte, crachant des jurons de frustration, les méchants flics ont jeté le carnet téléphonique sur la table et ont cessé d’essayer. C’était vraiment un exemple de la toute-puissance et de la souveraineté de Dieu et de Ses merveilleuses actions ; je ne pouvais m’empêcher d’exprimer mes remerciements et ma louange à Dieu.
Néanmoins, ils n’avaient pas baissé les bras et ils ont continué à m’interroger sur les affaires de l’Église. Je n’ai pas répondu. Irrités et exaspérés, ils ont trouvé un moyen encore plus méprisable de me faire souffrir : l’un des méchants flics m’a forcée à m’accroupir, et je devais tendre les bras à la hauteur de mes épaules et je n’avais pas l’autorisation de bouger du tout. Sous peu, mes jambes ont commencé à trembler et je ne pouvais plus tenir les bras étendus, et mon corps a commencé à se relever involontairement. Le policier a pris une barre de fer et m’a regardée comme un tigre surveillant sa proie. Dès que je me suis levée, il m’a frappée brutalement sur les jambes, provocant tellement de douleur que j’ai failli retomber à genoux. Au cours de la demi-heure qui a suivi, chaque fois que mes jambes ou mes bras bougeaient, même un peu, il me battait immédiatement avec la barre. Je ne sais pas combien de fois il m’a frappée. Parce que j’avais été accroupie pendant une si longue période, mes deux jambes sont devenues extrêmement enflées et étaient insupportablement endolories, comme si elles étaient fracturées. Au fil des heures, mes jambes tremblaient encore plus fort et mes dents claquaient continuellement. À ce moment-là, j’avais l’impression que ma force allait céder et que je risquais de m’évanouir. Cependant, les méchants flics, juste à côté, se moquaient simplement de moi et me ridiculisaient, ricanant constamment et riant de moi méchamment, comme des gens qui essayaient cruellement d’amener un singe à faire des grimaces. Plus je regardais leurs visages laids et méprisables, plus je ressentais de la haine pour ces méchants flics. Je me suis soudainement levée et je leur ai dit d’une voix forte : « Je ne m’accroupis plus. Allez-y, condamnez-moi à mort ! Aujourd’hui, je n’ai rien à perdre ! Je n’ai même pas peur de mourir, alors comment aurais-je peur de vous ? Vous êtes des hommes forts, mais tout ce que vous semblez savoir faire, c’est persécuter une petite fille comme moi ! » À ma grande surprise, après que j’ai dit cela, le groupe de méchants flics a proféré quelques jurons de plus et puis a cessé de m’interroger. À ce moment-là, je me suis sentie très excitée, et j’ai compris que c’était Dieu qui manœuvrait tout pour me rendre parfaite : une fois la peur extirpée de mon cœur, mon environnement a changé en conséquence. Au fond de mon cœur, j’ai vraiment compris la signification des paroles de Dieu : « On dit : « “Le cœur du roi est un courant d’eau dans la main de l’Éternel ; Il l’incline partout où il veut.” Alors, n’est-ce pas encore plus le cas avec ces moins-que-rien ? » J’ai compris qu’aujourd’hui, Dieu avait permis que la persécution de Satan m’atteigne, non pas pour me faire souffrir intentionnellement, mais plutôt pour l’utiliser afin de me permettre de prendre conscience de la puissance des paroles de Dieu, de me conduire à me libérer du contrôle de la sombre influence de Satan, et de plus, de me faire apprendre à compter sur Dieu et à me tourner vers Dieu quand je suis en danger.
Cette meute de méchants flics m’avait tourmentée presque toute la nuit et au moment où ils ont arrêté, il faisait jour. Ils m’ont fait signer mon nom et m’ont dit qu’ils allaient me détenir. Après cela, un policier âgé, feignant d’être gentil, m’a dit : « Mademoiselle, regardez, vous êtes si jeune — dans la fleur de votre jeunesse —, alors vous feriez mieux de vous dépêcher et d’expliquer clairement ce que vous savez. Je vous garantis que je les obligerai à vous libérer. Si vous avez un problème, n’hésitez pas à me le dire. Regardez, votre visage a gonflé comme une miche de pain. N’avez-vous pas assez souffert ? » Juste à ce moment-là, je me suis souvenue des paroles de Dieu : « Pourquoi employer diverses astuces pour tromper le peuple de Dieu ? » (« L’œuvre et l’entrée (8) », La Parole apparaît dans la chair). Je me suis également souvenue de quelque chose que mes frères et sœurs avaient dit lors des réunions : pour obtenir ce qu’ils veulent, les méchants flics utilisent à la fois la carotte et le bâton et recourent à toutes sortes de ruses pour te tromper. En pensant à cela, j’ai répondu au policier âgé : « Ne faites pas comme si vous étiez quelqu’un de bien ; vous faites tous partie du même groupe. Que voulez-vous que je confesse ? Ce que vous faites s’appelle extorquer des aveux. C’est une punition illégale ! » En entendant cela, il a pris un air innocent et a rétorqué : « Mais je ne vous ai pas frappée une seule fois. Ce sont eux qui vous ont frappée. » J’étais reconnaissante pour la direction et la protection de Dieu, qui m’a permis de vaincre une fois de plus la tentation de Satan.
Après avoir quitté le Bureau de la sécurité publique du comté, j’ai été directement enfermée dans le centre de détention par ces policiers. Dès que nous avons franchi la porte d’entrée, j’ai vu que l’endroit était entouré de murs très hauts surmontés par du fil barbelé à boudin électrifié, et dans chacun des quatre coins se trouvait ce qui ressemblait à une tour de sentinelle. Des policiers armés y montaient la garde. Tout cela semblait très sinistre et terrible. Après avoir franchi plusieurs portails en fer, je suis arrivée à la cellule. Lorsque j’ai vu les couettes vétustes et recouvertes de lin sur le kang glacé, qui étaient à la fois noires et sales, et lorsque j’ai senti l’odeur âcre et infecte qu’elles dégageaient, je ne pus m’empêcher de ressentir une vague de dégoût me traverser, laquelle a été très vite suivie d’une vague de tristesse. Je me suis dit : comment des hommes peuvent-ils vivre ici ? Ce n’est rien d’autre qu’une porcherie. Au moment du repas, chaque prisonnier n’a reçu qu’un petit pain cuit à la vapeur, acide et à moitié cru. Même si je n’avais pas mangé de la journée, voir cette nourriture m’a vraiment fait perdre l’appétit. En plus, mon visage était tellement gonflé à cause des coups reçus des flics, et je le sentais tendu comme s’il était enveloppé de ruban adhésif. Ouvrir la bouche pour parler me faisait mal, et encore plus pour manger. Dans ces conditions, j’étais d’humeur très sombre et je me sentais fortement lésée. L’idée que je serais obligée de rester là pour endurer une existence si inhumaine m’a rendue si émotive que j’ai involontairement versé quelques larmes. Juste à ce moment-là, je me suis souvenue d’un cantique des paroles de Dieu : « Dieu est venu sur cette terre souillée et endure silencieusement les attaques violentes et l’oppression des humains. Il n’a pas résisté une seule fois et n’a jamais fait de demandes excessives à leur égard. Dieu réalise toutes les œuvres dont l’humanité a besoin : enseigner, éclairer, reprocher, raffiner par les paroles, rappeler, exhorter, consoler, juger et révéler. Il fait chaque pas pour le bien des hommes et pour les purifier. Bien qu’Il enlève le futur et le destin des hommes, toutes les actions de Dieu sont pour leur bien. Chacun de Ses pas est fait pour l’existence des hommes et pour fournir à toute l’humanité une merveilleuse destination sur terre. » (« Le Dieu concret apporte subtilement le salut à l’humanité », Suivre l’Agneau et chanter de nouvelles chansons). Lorsque j’essayais de comprendre les paroles de Dieu, je me sentais extrêmement humiliée et honteuse. Dieu était venu du ciel à la terre — de là-haut jusqu’aux profondeurs les plus basses — allant de la position de l’Être le plus honorable à celle d’un homme insignifiant. Le Dieu saint est venu dans ce monde dégoûtant et sale de l’humanité et a interagi avec les humains corrompus, mais toutes ces souffrances, Dieu les a endurées en silence. Dieu n’avait-Il pas souffert beaucoup plus que moi ? En tant qu’être humain profondément corrompu par Satan et sans aucun honneur digne de mention, comment n’ai-je pas pu endurer cette petite souffrance ? Pendant cette période horrible et sombre, si je n’avais pas eu la chance d’être soutenue par Dieu pour pouvoir Le suivre, alors il serait impossible de savoir dans quelle situation j’aurais été, ou si oui ou non j’aurais même été encore en vie. Le fait que je me sentais lésée et triste à cause de cette petite souffrance et que je refusais de l’accepter montrait que je manquais vraiment de conscience et de rationalité. Réalisant cela, j’ai cessé de me sentir lésée et j’ai trouvé en moi une certaine volonté pour endurer mes épreuves.
Un demi-mois s’est écoulé et le chef de ces méchants flics est revenu m’interroger. Voyant que je restais calme et sereine, et que je n’avais aucune crainte, il cria mon nom et hurla : « Dis-moi la vérité : dans quel autre endroit as-tu été arrêtée auparavant ? Ce n’est certainement pas ton premier séjour ici à l’intérieur, sinon, comment pourrais-tu être aussi calme et aguerrie, comme si tu n’avais pas peur du tout ? » En l’entendant dire cela, je ne pouvais m’empêcher de remercier et de louer Dieu dans mon cœur. Dieu m’avait protégée et m’avait donné du courage, me permettant ainsi de faire face à ces méchants policiers sans aucune crainte. Juste à ce moment-là, la colère est montée dans mon cœur : vous abusez de votre pouvoir en persécutant les hommes pour leurs croyances religieuses, en arrêtant, intimidant et blessant sans raison ceux qui croient en Dieu. Vos actions sont contraires à la légalité et aux lois du ciel. Je crois en Dieu et je marche sur le bon chemin ; je n’ai pas enfreint la loi. Pourquoi devrais-je avoir peur de vous ? Je ne succomberai pas aux forces maléfiques de votre gang ! J’ai alors répondu : « Pensez-vous que partout ailleurs c’est si ennuyeux que je voudrais vraiment venir ici ? Vous m’avez fait du tort et m’avez malmenée ! Tout autre effort de votre part pour extorquer des aveux ou m’incriminer sera inutile ! » En entendant cela, le chef des méchants flics est devenu si furieux que la fumée semblait être sur le point de sortir de ses oreilles. Il a crié : « Tu es sacrément trop têtue pour nous dire quoi que ce soit. Tu ne parleras pas, hein ? Je vais t’infliger une peine de trois ans, puis nous verrons si tu diras la vérité ou non. Je te défie de rester têtue ! » Alors je me suis sentie tellement indignée que j’aurais pu exploser. D’une voix forte, j’ai répondu : « Je suis encore jeune ; que représentent trois ans pour moi ? Je sortirai sortie de prison en un clin d’œil. » En colère, le méchant flic s’est levé brusquement et a crié à ses laquais : « J’abandonne, vous, continuez à l’interroger. » Il a ensuite claqué la porte et est parti. Voyant ce qui s’était passé, les deux flics ne m’ont plus questionnée ; ils ont simplement achevé la rédaction d’une déposition que je devais signer et sont sortis. Être témoin de la défaite des flics m’a rendue très heureuse. Dans mon cœur, je louais la victoire de Dieu sur Satan.
Pendant le second tour d’interrogatoire, ils ont changé de tactique. Dès qu’ils sont entrés, ils ont fait semblant de s’inquiéter pour moi : « Tu es ici depuis si longtemps. Comment se fait-il qu’aucun membre de ta famille ne soit venu te voir ? Ils ont dû t’abandonner. Et si tu les appelais toi-même et leur demandais de venir te rendre visite ? » Entendre cela m’a rendue insupportablement maussade. Je me suis demandé : papa et maman auraient-ils vraiment arrêté de se soucier de moi ? Cela fait déjà un demi-mois et ils savent sûrement que j’ai été arrêtée ; comment pourraient-ils avoir le cœur de me laisser souffrir ici sans même venir me voir ? Plus j’y pensais, plus je me sentais esseulée et impuissante. Je m’ennuyais de la maison et mes parents me manquaient, et mon désir de liberté devenait de plus en plus intense. Involontairement, mes yeux débordèrent de larmes, mais je ne voulais pas pleurer devant cette bande de méchants flics. Silencieusement, je priais Dieu : mon Dieu, en ce moment je me sens très malheureuse et dans la douleur, et je suis très impuissante. Je Te prie d’arrêter mes larmes de couler, car je ne veux pas laisser Satan voir ma faiblesse. Cependant, pour l’instant, je ne peux pas saisir Tes intentions. Je Te supplie de m’éclairer et de me guider. Après ma prière, une idée m’est soudainement venue à l’esprit : c’était la ruse de Satan ; ces flics avaient semé la dissension, tentant de déformer ma vision de mes parents et de m’inciter à les haïr, dans le but ultime de profiter de mon incapacité à résister à ce coup pour que je tourne le dos à Dieu. De plus, leur tentative de me faire entrer en contact avec ma famille pourrait bien être une ruse pour amener les membres de ma famille à apporter une rançon pour réaliser leur arrière-pensée d’extorquer un peu d’argent, ou peut-être qu’ils savent que tous les membres de ma famille croient en Dieu et souhaitent profiter de cette occasion pour les arrêter. Ces méchants flics débordaient vraiment de stratagèmes. Sans l’illumination de Dieu, j’aurais pu téléphoner chez moi. N’aurais-je pas alors été indirectement un Judas ? Alors, j’ai secrètement déclaré à Satan : vil diable, je ne te permettrai tout simplement pas de réussir ta tromperie. À partir de maintenant, que ce soit des bénédictions ou des malédictions qui descendent sur moi, je les porterai seule ; je refuse d’impliquer les membres de ma famille, et je n’influencerai absolument pas la foi de mes parents ou l’accomplissement de leurs devoirs. En même temps, je suppliais aussi silencieusement Dieu d’empêcher mes parents de me rendre visite, de peur qu’ils ne tombent dans le piège de ces méchants policiers. J’ai alors répondu de façon nonchalante : « Je ne sais pas pourquoi les membres de ma famille ne sont pas venus me voir. Quelle que soit la façon dont vous vouliez me traiter, je m’en fous ! » Les méchants flics n’avaient plus de carte à jouer. Après cela, ils ne m’ont plus interrogée.
Un mois s’est écoulé. Un jour, mon oncle est soudainement venu me rendre visite, disant qu’il était en train d’essayer de me sortir de là dans quelques jours. Quand je suis sortie de la salle de visite, je me sentais extrêmement heureuse. J’ai pensé que je pourrais enfin de nouveau voir la lumière du jour, ainsi que mes frères, mes sœurs et mes proches. J’ai donc commencé à rêver et à attendre avec impatience que mon oncle vienne me chercher ; chaque jour, je gardais les oreilles ouvertes au bruit des gardes qui m’appelleraient pour me dire qu’il est temps de partir. Comme je m’y attendais, une semaine plus tard, un garde est effectivement venu m’appeler. Mon cœur était sur le point de sortir de ma cage thoracique lorsque je suis joyeusement arrivée à la salle de visite. Mais quand j’ai vu mon oncle, il a baissé la tête. Il y eut un long moment avant qu’il ne dise sur un ton découragé : « Ils ont déjà scellé ton sort. Tu as été condamnée à trois ans. » Quand j’ai entendu cela, j’étais stupéfaite. J’étais absolument incapable de penser. J’ai retenu mes larmes et aucune goutte n’a coulé. C’était comme si je ne pouvais plus rien entendre de ce que mon oncle disait après cela. En transe, je suis sortie en titubant de la salle de visite, je sentais mes pieds pesants comme s’ils étaient remplis de plomb, chaque pas plus lourd que le précédent. Je n’ai aucun souvenir de la manière dont je suis retournée dans ma cellule. Quand je suis arrivée, je suis restée figée, complètement paralysée. Je me suis dit : chaque jour du dernier mois ou plus de cette existence inhumaine s’est écoulé si lentement, et je l’ai senti comme une année ; comment vais-je pouvoir survivre à trois longues années ? Plus je m’y attardais, plus mon angoisse grandissait, et plus mon avenir semblait indistinct et insondable. Incapable de les retenir plus longtemps, j’ai fondu en larmes. Dans mon cœur, cependant, je savais sans aucun doute que personne ne pouvait plus m’aider ; je pouvais seulement compter sur Dieu. Dans mon chagrin, j’étais de nouveau venue devant Dieu. Je me suis ouverte à Lui en disant : « Dieu, je sais que toutes choses et tous les événements sont entre Tes mains, mais en ce moment mon cœur se sent complètement vide. J’ai l’impression que je suis sur le point de m’effondrer ; je pense que ce sera très difficile pour moi d’endurer trois années de souffrance en prison. Dieu, je Te prie de me révéler Ta volonté, et je T’implore d’augmenter ma foi et ma force afin que je puisse me soumettre complètement à Toi et accepter courageusement ce qui m’arrive. » Juste à ce moment-là, les paroles de Dieu m’ont éclairée de l’intérieur : « Pour tout le monde, le raffinement est atroce et très difficile à accepter ; cependant c’est au cours du raffinement que Dieu rend manifeste son juste tempérament envers l’homme et rend publiques ses exigences pour l’homme, et fournit plus d’éclairage, et plus d’émondage et de traitement ; en comparant les faits et la vérité, Il donne à l’homme une plus grande connaissance de lui-même et de la vérité, et donne à l’homme une plus grande compréhension de la volonté de Dieu, permettant à l’homme d’avoir un amour plus vrai et pur de Dieu. Tels sont les desseins de Dieu dans la réalisation du raffinement. » (« Ce n’est qu’à travers le raffinement que l’homme peut véritablement aimer Dieu », La Parole apparaît dans la chair). « Au cours de ces derniers jours, vous devez rendre témoignage à Dieu. Quelle que soit votre souffrance, vous devrez aller jusqu’à la fin, et même à votre dernier souffle, vous devez toujours être fidèle à Dieu et à la merci de Dieu ; c’est ce qui est d’aimer véritablement Dieu, et seulement cela est le témoignage fort et retentissant. » (« C’est seulement en passant par des épreuves douloureuses que tu peux réaliser que Dieu est agréable », La Parole apparaît dans la chair). Grâce à l’éclairage et l’orientation de Dieu, j’ai commencé à réfléchir sur moi-même et j’ai progressivement découvert mes faiblesses. J’ai vu que mon amour pour Dieu était frelaté et que je ne m’étais pas encore soumise à Dieu de façon absolue. Depuis mon arrestation et au cours de mes luttes contre ces méchants flics, j’avais fait preuve de courage et d’audace, et je n’avais pas versé une seule larme tout au long de ces séances de torture, mais ce n’était pas ma véritable stature. Tout cela avait été la foi et le courage qui m’avaient été donnés par les paroles de Dieu, lesquelles m’avaient permis de vaincre la tentation et les agressions de Satan à maintes reprises. J’ai aussi vu que l’essence des méchants flics m’avait été invisible. J’avais pensé que la police du PCC était respectueuse des lois et qu’en tant que mineure, je ne serais jamais condamnée ou, qu’au pire, je ne serais enfermée que pour quelques mois. J’avais pensé que je n’aurais plus qu’à endurer un peu plus de douleur et d’épreuves et que je n’aurais qu’à tenir le coup un peu plus longtemps, puis cela passerait ; je n’avais jamais pensé que je pourrais passer trois ans ici à vivre cette vie inhumaine. Juste à ce moment-là, je ne voulais pas continuer à souffrir ou à me soumettre à l’orchestration et aux arrangements de Dieu. C’était différent du résultat que j’avais imaginé, et il se trouve que cela révélait ma véritable stature. C’est seulement à ce moment-là que je me suis rendu compte que Dieu regarde vraiment profondément dans les cœurs des hommes et que Sa sagesse est vraiment exercée sur la base des plans de Satan. Satan souhaitait me tourmenter et m’épuiser complètement par cette sentence de prison, mais Dieu avait profité de cette occasion pour me permettre de découvrir mes faiblesses et de reconnaître mes insuffisances, accentuant ainsi ma soumission réelle et permettant à ma vie de progresser plus rapidement. L’éclairage de Dieu m’avait fait sortir de ma situation difficile et m’avait donné une puissance infinie. Mon cœur s’est soudainement senti plein et lumineux, et j’ai compris les bonnes intentions de Dieu et je ne me suis plus sentie misérable. J’ai décidé de suivre l’exemple de Pierre en permettant à Dieu de tout orchestrer, sans une seule plainte, et de faire face calmement à tout ce qui pourrait arriver à partir de ce jour-là.
Deux mois plus tard, j’ai été transporté dans un camp de travail. Lorsque j’ai reçu les documents de mon verdict et que je les ai signés, j’ai découvert que la peine de trois ans avait été commuée en un an. Dans mon cœur, j’ai remercié et loué Dieu encore et encore. Tout cela était le résultat de l’orchestration de Dieu, et je pouvais y voir l’amour et la protection immenses qu’Il me réservait.
Dans le camp de travail, j’ai découvert un côté encore plus cruel et plus brutal des méchants policiers. Très tôt le matin, nous nous levions et allions travailler, et nous étions sérieusement surchargés de tâches chaque jour. Nous devions travailler pendant de très longues heures tous les jours, et parfois nous travaillions vingt-quatre heures sur vingt-quatre pendant plusieurs jours. Certains prisonniers sont tombés malades et ont dû être placés sous perfusion intraveineuse ; le taux d’égouttement devait être réglé à la vitesse la plus rapide pour qu’ils puissent retourner rapidement à l’atelier et reprendre le travail. Cela a mené la majorité des condamnés à contracter par la suite des maladies très difficiles à guérir. Certaines personnes, parce qu’elles travaillaient lentement, étaient fréquemment victimes de violence verbale de la part des gardes ; leur langage grossier était tout simplement impensable. Certains détenus violaient les règles pendant qu’ils travaillaient et donc étaient punis. Par exemple, ils étaient « mis sur la corde », ce qui signifiait qu’ils devaient s’agenouiller au sol et avoir les mains attachées derrière le dos, obligés de lever les bras douloureusement jusqu’au niveau du cou. D’autres étaient attachés à des arbres avec des chaînes de fer comme des chiens et étaient flagellés impitoyablement avec un fouet. Certains détenus, incapables de supporter cette torture inhumaine, essayaient de se laisser mourir de faim, mais les méchants gardes menottaient leurs chevilles et leurs poignets et tenaient fermement leur corps, introduisant de force des tubes et des liquides en eux. Ils craignaient que ces prisonniers ne meurent, non parce qu’ils chérissaient la vie, mais parce qu’ils avaient peur de perdre la main-d’œuvre bon marché qu’ils fournissaient. Les actes maléfiques commis par les gardiens de prison étaient vraiment trop nombreux pour être comptés, tout comme les incidents sanglants et d’une violence effroyable qui se sont produits. Tout cela m’a fait voir très clairement que le Parti communiste chinois était l’incarnation de Satan qui était dans le monde spirituel ; c’était le plus mauvais de tous les démons et les prisons sous son régime étaient l’enfer sur terre — pas seulement de nom, mais dans la réalité. Je me souviens de certains mots inscrits sur le mur du bureau où j’ai été interrogée, qui ont attiré mon attention : « Il est interdit de battre les gens à volonté ou de leur infliger des châtiments illégaux, et il est encore plus interdit d’obtenir des aveux par la torture. » Cependant, en réalité, leurs actions étaient ouvertement opposées à cela. Ils m’avaient battue sans raison valable, moi, une fille qui n’était même pas encore adulte, et m’avaient soumise à des châtiments illégaux ; de plus, ils m’avaient condamnée simplement à cause de ma croyance en Dieu. Tout cela m’avait fait voir clairement que le PCC utilisait des ruses pour tromper les gens en prétendant que tout allait bien. C’était exactement comme Dieu l’avait dit : « Le diable ligote fortement tout le corps de l’homme, il couvre ses yeux et scelle ses lèvres fermement. Le roi des démons a tout saccagé pendant plusieurs milliers d’années jusqu’à nos jours alors qu’il surveille toujours la ville fantôme, comme si elle était un « palais des démons » impénétrable ; […] Ancêtres des anciens ? Leaders bienaimés ? Ils s’opposent tous à Dieu ! Leur ingérence a tout laissé sous le ciel dans un état de ténèbres et de chaos ! Liberté de religion ? Les droits et intérêts légitimes des citoyens ? Tout cela n’est qu’une ruse pour camoufler le péché ! » (« L’œuvre et l’entrée (8) », La Parole apparaît dans la chair). Après avoir vécu la persécution des mauvais policiers, j’ai été totalement convaincue de ce passage des paroles prononcées par Dieu, et j’en ai maintenant une connaissance et une expérience réelles. De plus, dans le camp de travail, j’avais vu de mes propres yeux la laideur de toutes sortes de personnes : les visages répugnants de ces serpents opportunistes et enjôleurs qui cherchaient à s’attirer les bonnes grâces des capitaines, le visage cruel d’hommes férocement violents et déchainés qui persécutaient les faibles, et ainsi de suite. Pour moi qui n’avais pas encore mis les pieds dans la société, durant cette année de vie en prison, j’ai finalement clairement vu la corruption de l’humanité. J’ai découvert la trahison dans le cœur des hommes et je me suis rendu compte à quel point le monde humain pouvait être sinistre. J’ai aussi appris à faire la distinction entre le positif et le négatif, le noir et le blanc, le juste et l’injuste, le bien et le mal, le louable et le méprisable ; j’ai vu clairement que Satan est laid, mauvais, brutal, et que seul Dieu est le symbole de la sainteté et de la justice. Dieu seul symbolise la beauté et la bonté ; Dieu seul est amour et salut. Sous le regard attentif et la protection de Dieu, cette année inoubliable a passé très vite pour moi.
Maintenant, quand j’y pense, bien que j’aie subi des souffrances physiques pendant cette année en prison, Dieu a utilisé Ses paroles pour me guider et me conduire, faisant ainsi mûrir ma vie. Je suis reconnaissante pour la prédestination de Dieu. La possibilité de mettre le pied sur ce bon chemin de vie était la plus grande grâce et la plus grande bénédiction que Dieu m’ait accordée. Je Le suivrai et L’adorerai pour le restant de ma vie !
Source: L’Église de Dieu Tout-Puissant
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