#sujet2
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mathexponentielle · 2 years ago
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Bac 2022 Centres étrangers (2)
Voici mes corrections du bac de maths 2022- sujet n°2 des Centres Étrangers. Si tu es lycéen et si tu veux découvrir des sujets du bac 2022, t’entrainer au cours de l’année sur un chapitre précis ou te pratiquer en vue de ton prochain examen, c’est le bon endroit. Autres sujets de 2022 :  Métropole – La Réunion sujet 1 Métropole – La Réunion sujet2 Tu trouveras ci-dessous : un descriptif des…
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mauxpourdesmots · 6 years ago
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Demain comme hier
Je t’attendrai aussi longtemps qu’il le faudra. Jour et nuit, hiver comme été, Au moment des bourgeons et des citrouilles. Je serai là, à t’attendre. Mais ça sera merveilleux que tu sois enfin là, Que nous soyons de nouveau, Que nous existions encore, Que nous imaginions un futur, Ensemble
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umobiliteshdf · 4 years ago
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https://www.francetvinfo.fr/economie/automobile/assurance-auto-malgre-une-baisse-des-accidents-les-tarifs-vont-augmenter-en-2021_4185275.html#xtor=EPR-744-[newsletterjt]-20201117-[sujet2]
https://www.francetvinfo.fr/economie/automobile/assurance-auto-malgre-une-baisse-des-accidents-les-tarifs-vont-augmenter-en-2021_4185275.html#xtor=EPR-744-[newsletterjt]-20201117-[sujet2]
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lespetitsreves · 8 years ago
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Trois juillet deux-mille-seize : jour Vingt-et-un.
Intouchables.
Il est de ceux qu’on ne voit presque pas. Son corps est fantôme i m p e r c e p t i b l e .
À quoi bon s’accrocher se suspendre s’agripper se  r e t e n i r à quelques parcelles de sa peau ? L’attraper serait une erreur.
À toute allure il file et allume les idées vagabondes des curieux qu’il croise. Son corps est fantôme mais son âme omnisciente.
Tout autour de nous chaque chose est recouverte d’un tissu invisible. Une pommade sur une peau en filigrane qui vient huiler les idées qui vient agiter les particules suspendues dans le  v i d e .
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30jourspourecrire · 8 years ago
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tissu-oceanique:
John Keats a écrit : “Je rêve que nous sommes des papillons n’ayant à vivre que trois jours d’été. Avec vous, ces trois jours d’été seraient plus plaisants que cinquante années d’une vie ordinaire.” Que faire durant ces trois jours ? Comment les décririez-vous ?
La délicieuse éphémérité se répand le long de mes papilles, comme sublimée par son drame. Trois Lunes et ce sera tout. Je m'éveille et crépite, pleine de doutes, d'envies et d’espoirs. Où ? Je ne sais pas. La tentation de replonger au cœur des souvenirs est trop forte, omniprésente.
- Je retourne en Toscane. Tout est là à nouveau, l'îlot fortifié encadrant nos structures, mont silencieux. Je vais pleurer avec le ciel, souffler le vent, chevelure en rafale dans cette course frénétique pour avoir la chance d'apercevoir à nouveau la résurrection des cieux embrasant la tragédie boréale. Je sens déjà mon corps appuyé contre le muret, cette douce pression au bas de mon ventre comme seule frontière entre mes yeux ivres et le firmament revêtant ses doux pétales.
- D'un bond, je plonge et nage en m'éloignant de la rive pour enfin être seule, profitant de cette étendue calme découlant le long de mon dos, me portant entièrement à la surface par la simple force de ses caresses. L'ecchymose est d'une pureté rarement égalée ; un avion plane, toutes ces vies liées dans la traversée et peut-être une portant un pull marin. Je laisse mes yeux le suivre jusqu'à ce qu'il s'échappe miraculeusement de mon champ de vision. Ce dernier que j'aime provoquer lorsque je me laisse porter, renversant mon visage afin que l'eau glisse le long de mes sourcils et que mon univers tout entier soit bouleversé, surplombé par ces abîmes délicieux. Je m'emplis de cette atmosphère sereine et limpide, paix mutique assaisonnant mon épiderme.
- Je veux être seule. Et je rappellerai son souvenir, son sourire et son goût de liberté, sa confiance prématurée. J'appellerai la nuit que l'on n'a pas encore passée, ses vapeurs inconnues, et tes lueurs favorites, mais une chose est sûre, je ne partirai pas avant d'avoir embrassé l'Aurore.
Retrouvez tous ses textes ici
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mauxpourdesmots · 6 years ago
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La violence d’un pas de côté
Il marchait dans la chaleur paisible d’un soir d’automne. Il essayait de se souvenir de ses mots. Il voulait qu’ils restent et deviennent comme une seconde peau. Mais ils lui échappaient encore et toujours.
Il se souvenait de son dos, de ses cheveux qui flottaient dans le vent du bord de mer. Il savait que quelque chose avait soudainement changé sans savoir quoi. Il attendait une jolie parole qui viendrait délier ses souvenirs emmêlés. Mais ne venait que le silence.
Et tout à coup, une odeur. Douce et présente. Les souvenirs jaillissant. La douleur étouffante, Les souvenirs envahissants. Les moments passés et, Les chemins empruntés. Un pas de côté de trop Et la violence du vide.
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mauxpourdesmots · 6 years ago
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Les garçons
Il y a ceux qui jurent qu’ils sont différents Il y a ceux qui te regardent sans jamais venir te parler Il y a ceux que tu regardes de loin sans jamais t’approcher
Et il y a celui qui fait naître des papillons Celui dont tu voudrais te souvenir de l’odeur Et aussi de la musique de son rire
C’est celui là qui compte Pas les autres Il suffit de s’en souvenir
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mauxpourdesmots · 6 years ago
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La route
Je me souviens des routes empruntées, Des demi-tours hâtifs pour ne pas rater la sortie. Les raccourcis pour rentrer à la maison,  Qu’on pouvait faire les yeux fermés. Les champs de maïs dans lesquels on se perdait, Les pruniers aux fruits sucrés avec les abeilles, Le raisin un peu acide mais tellement bon, Les chats qui ronronnent sur nos genoux, Le bruit des grenouilles de la mare d’à côté.
Je me souviens de la route de la maison  Mais aujourd’hui, je cherche la route de notre maison
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mauxpourdesmots · 6 years ago
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La morale des oiseaux
Voler toujours plus haut Vers le soleil Loin des étoiles
Laisser l’eau rebondir sur les plumes Laisser le soleil les sécher Et repartir
Le vent s’engouffre sous les ailes Planer longtemps et regarder le monde Battre des ailes et aller plus haut
Toujours plus haut
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mauxpourdesmots · 6 years ago
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Le voyage
Partir loin et ne jamais regarder en arrière Ne penser qu’à ce qui sera Aux couchers de soleil à venir Aux nouvelles amitiés à venir Mais ne jamais regretter les choix qui ont été faits
Je crois que je suis prête à partir Loin de tout ça, loin de tout ce que je connais Je suis prête à me souvenir de ma vie ici Mais je suis aussi prête à tout recommencer Ailleurs, cet ailleurs que je ne connais pas encore
Avec toi
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mauxpourdesmots · 6 years ago
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Au sommet du monde
Là-bas, l’air est glacial L’herbe est inexistante Le ciel est blanc toute l’année
Mais quand je suis dans tes bras J’oublie l’air gelé et le ciel J’oublie tout Pour me souvenir de la chaleur De ton sourire et de tes bras, Au sommet du monde, J’oublie tout
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mauxpourdesmots · 6 years ago
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Reflets
Chaque fois que je passe devant cet immeuble, Je ne peux pas m’empêcher de regarder le reflet. Et je me souviens de nos reflets, à tous les deux, Quand nous passions devant main dans la main. J’imagine encore nos reflets dans les fenêtres, Dans les miroirs du palais des glaces, Et ces reflets sont tout ce qu’il nous reste.
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mauxpourdesmots · 6 years ago
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La curiosité
Regarder à gauche et à droite, Regarder les gens dans leur voiture, Regarder les gens dans le métro, Ecouter les gens au restaurant.
Imaginer leur vie, leurs amours, Leurs douleurs et leurs joies. Penser à tout ce qui les a mené A être ici, aujourd’hui et à dire ça.
La curiosité est un vilain défaut, Je trouve que c’est une belle qualité
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mauxpourdesmots · 6 years ago
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L’orage
Je me suis réveillée en sursaut à cause du tonnerre. Il y a eu une lumière blanche et vive. Ce n'était pas la première fois, Certainement pas la dernière. Mais je me souviens des nuits, Où les orages éclataient. Et que nous nous réveillions Pour aller à la fenêtre Et admirer les lumières fendre le ciel Les couleurs éclatantes Qui appelaient à des jours heureux. Et quand tout se terminait, Les bruits de la nature revenaient, Les oiseaux reprenaient leurs droits dans le ciel. Cette nuit là n'était pas mon premier orage, Mais c'était mon premier sans toi.
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mauxpourdesmots · 6 years ago
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Appelle-moi (avec courage)
Prends ton courage à deux main et appuie sur le bouton. Pense à tout ce qu’on pourrait se dire et tout ce qu’on aurait du se dire. N’oublie pas que je ne suis pas partie mais que tu m’as laissée partir. Tu aurais pu te souvenir de tout ce qu’on a déjà partagé et de ce qu’il nous restait à découvrir. Je crois que tu n’as pas voulu que les mots qu’on se serait dit et les maux qui en seraient nés existent. Tu voulais oublier tout ça, toute cette douleur qui te faisait grincer les dents la nuit. Mais tu as tiré un trait sur tous les rires qu’on a partagé, tu sais. Toutes ces joies, ces larmes nées des rires, ces gloussements et cette chaleur au fond de nous. Tu as voulu tout oublier mais souviens toi que je suis toujours là pour toi, pour nous.
Pense à moi, Appelle-moi.
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mauxpourdesmots · 7 years ago
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L’attirance / le désir.
Je ne t’avais pas remarqué parmi la foule. Je ne t’avais pas vu parmi les autres. Mais j’ai fini par te voir et ton image est restée. Ta voix est là, partout, telle un murmure. Et tes yeux, tes yeux me transpercent à tout moment. Je me souviens quand nos mains se sont touchées pour la première fois. Je me souviens quand j’ai senti ton odeur, au creux de ton cou. Je me souviens quand nous nous sommes embrassés pour la première fois.
Un désir lent et durable Une attirance fulgurante et électrique Comme le flot des vagues qui ne cesse jamais.
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